Archive pour le Tag 'Paris'

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Pollution : circulation alternée à Paris

Pollution : circulation alternée à Paris

 

À la suite de pics de pollution enregistrés dans plusieurs régions dont l’Ile-de-France La circulation alternée sera mise en place à Paris et en proche banlieue à partir de lundi matin, a annoncé samedi Matignon. Des mesures d’urgence, dont la gratuité des transports en commun en Ile-de-France, avaient été prises dès jeudi pour lutter contre le pic de pollution aux particules fines.   »On constate et on prévoit pour demain une amélioration de la situation. Cependant les prévisions font apparaître une remontée de la pollution à compter de dimanche soir et pour les journées de lundi et mardi », écrit samedi Matignon dans un communiqué.   »Le Premier ministre, après consultation des ministres chargés de l’Écologie, de la Santé, de l’Intérieur et des Transports, a décidé la mise en place à Paris et dans la petite couronne du dispositif de circulation alternée à compter de lundi », poursuit-il.   »Ce dispositif sera confirmé lundi matin pour la journée de mardi en fonction de l’évolution de la situation. » Pourront circuler lundi les véhicules dont la plaque d’immatriculation se termine par un chiffre impair, a précisé dans la soirée le ministre de l’Ecologie, Philippe Martin. Une exception sera faite pour les chauffeurs de taxi, les services de secours ou encore les véhicules transportant au moins trois personnes. Pour le reste, les contrevenants s’exposeront à une amende de 22 euros.

Pollution à Paris :coût 4 millions d’euros par jour

Pollution Paris : 4 millions d’euros par jour

Plus de 30 départements sont en alerte maximale à la pollution aux particules fines, vendredi 14 mars. Les autorités prennent des mesures d’urgence comme la gratuité des transports en commun, notamment en IIe-de-France jusqu’à dimanche. Et selon les informations recueillies par RTL, le coût d’une telle mesure s’élève à 4 millions d’euros par jour. Ces 4 millions par jour, c’est la recette quotidienne des billets vendus à l’unité qui ne sera pas perçue. Pour les pass Navigo, en revanche, aucun impact financier puisque ces abonnements sont payés à la semaine, ou à l’année et aucune ristourne n’est prévue pour cause de pollution .  Cette perte de recette pour la RATP, la SNCF et le réseau OPtile qui regroupent des compagnies de bus privées qui desservent la grande banlieue, sera compensée par le STIF, l’organisme qui regroupe les collectivités territoriales en Ile-de-France pour gérer les Transports Publics .  Le budget du STIF étant de près 9 milliards d’euros, 4 millions pour absorber cette journée de gratuité, cela ne pose pas de problème nous dit-on. Mais si cela dure plusieurs jours, ça risque de finir par peser lourd et le STIF n’exclut pas de se retourner vers l’État pour obtenir une aide financière car c’est un arrêté préfectoral qui a instauré la gratuité. Ce n’est pas une décision des élus locaux, le gouvernement doit assumer.  En tout cas promesse du STIF : il n’y aura pas de hausse des tarifs en cours d’année pour absorber le coût de la mesure.

Immobilier Paris : prix a triplé en 20 ans

Immobilier  Paris : prix  a triplé en 20 ans

Paris est la vile la plus chère du monde (après Singapour) en raison notamment du prix du logement. Dans la capitale, les prix ont été multipliés par 3,34 entre 1996 et 2013 passant de 2840 euros à 8140 euros en moyenne. Au fil des ans, les écarts de prix se sont réduits entre les arrondissements. Ceux situés dans le nord-est (IIIe, IXe, Xe, XIe, XVIIIe et surtout IIe), quartiers à l’origine parmi les plus populaires, ont enregistré les hausses les plus rapides au cours des vingt dernières années. A contrario, c’est dans les arrondissements qui étaient les plus chers en 1991 que les prix ont le moins progressé (Ier, Ve, VIe, VIIe, VIIIe, XVe et XVIe).Depuis 1991, le prix moyen au mètre carré est, par exemple, passé de 4410 à 9220 euros dans le XVIe arrondissement. Et il a bondi de 2760 à 9610 euros dans le IIe, selon une étude des notaires qui ont passé en revue deux décennies en Ile-de-France. En parallèle, les petits appartements ont enregistré des hausses de prix plus fortes que les grands. Le prix des studios a été multiplié par 3,6 entre 1996 et 2013, et celui des cinq-pièces par 3. «La hausse a été alimentée par une pénurie constante de logements», analysent les auteurs de l’étude. Faute de place, on a construit beaucoup moins de logements à Paris et en Ile-de-France au cours des trente dernières années que dans le reste de l’Hexagone.

 

Singapour et Paris, villes les plus chères du monde

Singapour et Paris, villes les plus chères du monde

 

 Immobilier, carburant fiscalité générale, trois éléments qui font de Paris la deuxième ville la plus chère du monde.  Singapour détrône ainsi Tokyo, qui glisse à la 6e place (ex-aequo avec Melbourne, Genève et Caracas) sous l’effet d’un affaiblissement du yen.  Paris a également gagné six places au classement, une tendance symptomatique selon l’EIU du redressement des prix en des monnaies en Europe.  Oslo, Zurich et Sydney occupent respectivement les 3e, 4e et 5e rangs.   »L’enquête sur le coût de la vie dans le monde » de la société d’études EIU (groupe The Economist) examine les prix de quelque 160 produits et services dans 140 villes à travers 10 catégories et vise à aider les entreprises à calculer les indemnités de leurs cadres expatriés.   »A Singapour, les prix ont augmenté de manière régulière plutôt que spectaculaire », relève l’analyse accompagnant l’étude: une hausse de 40% de la monnaie locale conjuguée à une forte inflation a ainsi fait passer la ville-Etat du 18e au 1er rang en une décennie.  Le système de quotas et de taxes élevées qui pèse sur le marché automobile y rend la possession d’un véhicule plus coûteuse que nulle part ailleurs, tandis que le coût global des transports est trois fois plus onéreux qu’à New York (au 26e rang du classement). De plus, la dépendance de Singapour en termes d’énergie et d’alimentation en eau en fait la 3e ville la plus chère en matière de services publics.  Concernant l’Europe, l’étude relève que les villes européennes sont les plus chères dans les catégories loisirs et divertissement. Concernant Paris, aucune catégorie ne se distingue particulièrement, la Ville Lumière étant plus chère que la plupart des cités étudiées dans 7 catégories sur 10, note l’étude.  En queue de peloton, Bombay est classée comme la ville la moins chère, aux côtés de Karachi, New Delhi ou Katmandou.

 

Les taxis bloquent Paris, pourquoi ?

Les taxis bloque Paris, pourquoi ?

Ils ont raison de protester les taxis car une nouvelle fois la réglementation obsolète de leur profession met à mal les conditions de concurrence. En fait on impose un régime fiscal particulier aux taxis tandis que les VTC (voiture avec chauffeur sur réservation) ne sont pas soumis au même. Notamment concernant le prix de la licence de 240 000euros qui constitue un droit d’entré exorbitant. Ceux qui ont acquitté ce droit ne souhaitent pas fort légitimement qu’il se dévalorise, les Pouvoirs publics eux qui ont imposé ce doit d’entrée essayer de le contourner en libéralisant. Pour schématiser on matraque fiscalement d’un coté et pour compenser on libéralise de l’autre mais en créant des conditions de concurrence très inégales. Bref, un vrai dossier pourri d’autant que la rentabilité dépend aussi beaucoup de la fluidité du trafic et de la priorité donnée au transport collectif. Les taxis n’en démordent pas: les voitures de tourisme avec chauffeur (VTC) leur font une concurrence déloyale. Les syndicats CFDT, CGT, FO, SDCTP et CST ont appelé à un mouvement de grève lundi 13 janvier. Ils attendent un millier de taxis dans les cortèges qui partiront des aéroports parisiens de Roissy et Orly pour converger dans la matinée vers les Invalides. Des rassemblements sont annoncés aussi à Marseille, Bordeaux, Montpellier et Lyon. Les chauffeurs de taxis voient d’un mauvais œil l’essor croissant de ces voitures qui, selon eux, n’ont pas à supporter les mêmes charges telles que le paiement d’une licence. Pourtant, la législation encadre drastiquement les services des VTC: elles ne peuvent exercer que sur réservation et n’ont en aucun cas le droit de prendre des passagers « à la volée » dans la rue, prérogative qui relève toujours du monopole des taxis. Mais après pression auprès du gouvernement et des menaces de blocage de la capitale, les taxis ont obtenus davantage encore: les VTC sont obligés de respecter, depuis le 1er janvier, un délai de 15 minutes entre la réservation d’une voiture et la prise en charge du client. Ce qui les coupe d’une bonne partie de la clientèle pressée.  Mais ce n’est toujours pas suffisant aux yeux des syndicats de taxis, qui souhaitent encore un durcissement de la réglementation, notamment en passant le délai entre réservation et prise en charge à 30 minutes. Ils souhaitent aussi le gel de l’attribution des licences de taxis. Pour faire face à la pénurie, le gouvernement a en effet décidé la mise en circulation de 1.000 plaques supplémentaires. Or aux yeux de professionnels, ces nouveaux venus ne peuvent que faire baisser la valeur de leur licence,. Mi-2013, on recensait dans l’Hexagone près de 5.300 entreprises de VTC exploitant plus de 9.800 véhicules. Le nombre de taxis dépasse les 50.000.

 

Immobilier: baisse surtout à Paris

Immobilier: baisse surtout à Paris

Il aura fallu presque un an pour que les lobbys de l’immobilier conviennent  d’abord de la baisse des transactions ensuite de la baisse des prix. Pourtant cette baise est nettement amorcée même si le marché demeure encore relativement bloqué. Bloqué parce que les acquéreurs potentiels attendent de nouvelles baisses qui viendront inévitablement tellement les prix sont en décalage avec la solvabilité de nombre de  candidats à l’accession. Les prix dans l’ancien ont enfin baissé en 2013, et notamment dans la capitale. Selon le bilan annuel de Century 21, dont les chiffres seront publiés ce lundi 6 janvier, les acquéreurs parisiens ont profité de cette baisse pour acheter plus grand: la superficie moyenne d’une acquisition passe ainsi de 47 à près de 50 m². Si, en moyenne, les prix de l’ancien continuent de baisser en France, sept régions voient les leurs progresser. Autre élément marquant de cette année 2013, l’investissement locatif dans l’ancien recule de 7,5%. Même les propriétaires bailleurs, dont le bail arrive à échéance, ont préféré vendre pour investir dans les murs de boutiques et dans les locaux commerciaux. En cause, le projet de loi Alur : l’encadrement des loyers ou la taxation des plus-values immobilières font peur aux propriétaires bailleurs. Côté perspectives, si les taux d’emprunt restent stables, l’évolution des prix en 2014 devrait être comparable à l’an dernier. En revanche, une hausse brusque des taux pourrait stopper le marché et seule une baisse plus importante des prix pourrait permettre son redémarrage

Fiscalité: blocage de Paris jeudi par les agriculteurs

 

Fiscalité: blocage de Paris jeudi par les agriculteurs

 

 

Une belle pagaille en perspective avec la menace des agriculteurs de bloquer Paris jeudi. Dans un communiqué, la fédération départementale des Syndicats d’exploitants agricoles d’Ile-de-France (FDSEA) et les Jeunes agriculteurs prévoient « des rassemblements sur tous les axes routiers menant à Paris pour faire entendre la voix d’une agriculture aujourd’hui sacrifiée ». Ils protestent contre « un matraquage tous azimuts, des réglementations environnementales toujours plus exigeantes, des contrôles toujours plus nombreux, des contraintes règlementaires de plus en plus fortes » ainsi que les augmentations de TVA et l’écotaxe – suspendue sine die mais que le gouvernement entend maintenir.   »La +FOLL+ journée du jeudi 21 novembre n’est plus un avertissement lancé au Ministre de l’agriculture, mais un ultimatum » préviennent-ils en jouant sur le patronyme du ministre Stéphane Le Foll dont ils demandent « la démission pour incompétence notoire ». « Ce n’est pas une action du type +bonnets rouges+, on reste vraiment sur des revendications agricoles », se défend Damien Greffin, président de la FDSEA Ile-de-France, joint par l’AFP. « On n’appelle pas à la révolution ni à la guerre civile. Pas question de fumer les portiques (de l’écotaxe), mais dans notre situation, on est obligé d’avoir une action dure et probablement impopulaire ».  Cette initiative est prise unilatéralement reconnaît-il encore: ainsi « le nord du bassin parisien mobilise le 29 et on recommencera avec eux, mais on ne peut pas ne pas réagir ».  Le président de la FNSEA Xavier Beulin avait assuré la semaine dernière qu’il ne comptait pas appeler à de nouvelles manifestations. Quant au président des JA, François Thabuis, contacté lundi, il a reconnu n’avoir pas été informé.  Le ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll a prévenu lundi soir qu’il n’a « pas l’habitude de céder aux ultimatums ».   »On demande ma démission? Ils l’ont déjà demandée. On fixe des ultimatums? Je n’ai pas l’habitude de céder aux ultimatums », a averti le ministre, invité de l’émission Mots Croisés sur France 2.

Copropriété : plus de 2000 euros à Paris

Copropriété : plus de 2000 euros à Paris

Chaque année à Paris , les charges de copropriété s’y élèvent en effet à 2.167 euros par logement en moyenne, selon l’Observatoire publié mardi par la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim) Paris Ile de France. Basé pour la première fois sur l’analyse des comptes de copropriété de 1.776 immeubles (divisés en 39.748 lots) parisiens, validés par les copropriétaires, cet indicateur, certifié par huissier, se veut plus fiable que ceux réalisés à partir des seules déclarations des syndics. « L’objectif est d’informer les copropriétaires de leur situation par rapport à un indice calculé tous immeubles confondus: s’ils paient le double, ils peuvent se poser des questions », a précisé Gilles Ricour de Bourgies, président de la Fnaim Paris Ile de France. « Mais c’est aussi un outil utile aux professionnels, qui pourront se situer par rapport à leurs confrères et aller chercher des références pour améliorer leur gestion », a-t-il ajouté. Le premier poste de frais est représenté par le salaire du concierge ou des employés qui assurent l’entretien : il s’élève à 970 euros ou 13,10 euros/m2. Viennent ensuite, sans surprise, le chauffage collectif avec 610 euros en moyenne, soit 6,20 euros par m2, l’ascenseur, avec 182,85 euros et 2 euros/m2 puis les honoraires des syndics (155,20 euros et 1,70 euro/m2) suivis de près par les assurances (150,26 euros et 1,64 euro/m2). Globalement, sur l’échantillon parisien considéré, 70,5% des immeubles ont un ascenseur, 31% un chauffage collectif et 30% disposent d’un concierge, tandis que 20% font appel aux services d’un employé et 50% à ceux d’une société d’entretien. Les immeubles étudiés datent, pour 69% d’entre eux, d’avant 1918 (haussmanien), tandis que 13% ont été construits entre 1918 et 1960, les 18% restants étant postérieurs à 1960.

 

Réforme SNCF : course de vitesse entre Paris et Bruxelles

Réforme SNCF : course de vitesse entre Paris et Bruxelles

 

 

Paris veut reformer rapidement la SNCF en améliorant les résultats et en fusionnant RFF et la SNCF. Bruxelles doit de son coté sortir de nouvelles orientations d’ici 2014 mais au contraire en séparant infra et exploitation.  Du coup Le projet de loi de réforme ferroviaire sera soumis mercredi au Conseil des ministres. Reste et à savoir quand l’assemblée nationale votera la loi !  Objectif : contenir la dette et améliorer un système qui s’est détérioré. Mais la France risque de se heurter à Bruxelles. Un an après avoir annoncé l’ébauche de la réforme ferroviaire pour les 75 ans de la SNCF, Frédéric Cuvillier, le ministre des Transports, a voulu s’entourer une nouvelle fois des cheminots vendredi. Mercredi, son projet de loi de réforme du rail, qui va notamment réunir sous le même toit Réseau ferré de France et la SNCF, séparés depuis seize ans, sera soumis au Conseil des ministres. Il devrait ensuite être débattu au Parlement au cours du premier semestre. . Les syndicats qui défendent la fusion de RFF et de SNCF constituent un soutien de poids au projet de réforme également voulu par Guillaume Pepy, le président de la SNCF, qui a martelé ces dernières années que le système ferroviaire français allait «dans le mur». Le mur en question est avant tout une dette abyssale – 32 milliards d’euros logés dans RFF – qui s’alourdit mécaniquement d’un milliard et demi d’euros supplémentaires par an. Ce montant provient de la vieille dette de la SNCF récupérée par RFF lors de sa création, en 1997. Il s’est lesté des grands projets de lignes à grande vitesse auxquels se sont ajoutés les travaux titanesques de rénovation du réseau classique, menacé par le manque d’entretien. Il faut également prendre en compte les 7 milliards d’euros de dette de la SNCF. Dans cinq ans, le gouffre de l’endettement atteindra 50 milliards d’euros. RFF a eu beau augmenter, année après année, le montant des péages fixés aux entreprises ferroviaires, c’est-à-dire essentiellement la SNCF, la dette a continué à grandir inexorablement. Parallèlement, le service rendu aux clients s’est détérioré: ponctualité, informations aux clients lors d’incidents, retards records… Les Français ont fini par se lamenter de la qualité de leur service public ferroviaire. Pas de coup de baguette magique en vue pourtant. La loi présentée par le ministre des Transports n’aura pas d’incidence immédiate sur la vie des voyageurs. À partir de 2015, date de mise en œuvre de cette réforme, elle a l’ambition d’améliorer l’efficacité du système français. SNCF et RFF promettent une meilleure productivité, chiffrée en centaine de millions d’euros, et visent la suppression de la dette chronique. «L’enjeu est national, a affirmé le ministre vendredi devant la presse et les dirigeants de la SNCF et de RFF réunis dans les ateliers de Pantin. L’objectif est de créer un groupe public intégré, une nouvelle SNCF, un acteur majeur du ferroviaire en Europe et dans le monde, Une vitrine du service public.» Aujourd’hui, le ministre compte sur les syndicats pour faire pression sur Bruxelles, qui prépare de nouvelles directives imposant la séparation nette dans les chemins de fer européens du gestionnaire d’infrastructures (RFF, en France) et de l’entreprise ferroviaire (SNCF). Mercredi justement, la CGT et la CFDT avaient lancé une journée de grève contre la «libéralisation forcée des transports dictée par Bruxelles». La Commission européenne juge que la France porte le bonnet d’âne de l’ouverture à la concurrence de son réseau ferroviaire. Le ministre français des Transports, associé à son homologue allemand, compte réunir autour de lui quelques États attachés à un système ferroviaire unifié. «Nous souhaitons qu’on cesse avec les murailles de Chine, les murs de Berlin, a affirmé Frédéric Cuvillier au sujet de cette séparation institutionnelle entre les activités ferroviaires réclamée par Bruxelles. Redonnons force, vigueur et vertu au service public.»

 

Sondage Paris : NKM remonte

Paris : NKM remonte

L’issue du match qui oppose à Anne Hidalgo semble de plus en plus incertaine. L’écart entre les deux candidates à la mairie de Paris continue de se resserrer, selon notre sondage Ifop-Fiducial-Le Journal du Dimanche. Certes, la première adjointe de Delanoë fait toujours la course en tête au deuxième tour (52,5%), mais son avance sur sa rivale de l’UMP (47,5%) devient de moins en moins nette. Avant l’été, huit points les séparaient. Une bonne nouvelle pour NKM même si la percée du FN au premier tour (8%) complique sa tâche. Parachuté depuis la Picardie, le trésorier du parti de Marine Le Pen, Wallerand de Saint-Just, gagne trois points par rapport à notre sondage de juin dernier. Et s’impose ainsi comme la troisième force politique dans la capitale alors qu’il y a deux moins encore, ses adversaires écologistes, du MoDem et du Front de gauche le devançaient.

 

La Bourse de Paris au plus haut, comme le chômage !

La Bourse de Paris au plus haut, comme le chômage

Il ya les informations économiques et les informations sociales ; deux domaines qui s’ignorent. La preuve, la bourse est au plus haut comme le chômage ; d’une certaine manière les valeurs boursières grimpent d’autant plus que le chômage progresse ; C’est la grande cohérence sans doute d’une société en perdition qui confond la spéculation avec la santé économique réelle.  La Bourse de Paris a terminé en hausse jeudi (+0,64%) et a atteint son plus haut niveau de l’année en clôture, dans un marché une nouvelle fois peu actif et privé de nouvelle économique majeure. L’indice CAC 40 a pris 25,83 points à 4.064,32 points, dans un volume d’échanges très faible de 1,090 milliard d’euros. La veille, il avait gagné 0,15%.

 

Austérité de l’UE : Paris veut plus de latitude, c’est-à-dire plus de temps

Austérité de l’UE : Paris veut plus de latitude, c’est-à-dire plus de temps

 

 

« Plus de latitude et des recommandations moins prescriptives », voilà ce que demande la France à la commission européenne. Traduit en langage courant cela signifie que la France ne pourra tenir ses engagements. La France a en effet plaidé jeudi pour que les Etats aient plus de latitude dans l’application des recommandations macroéconomiques faites par la Commission européenne et qui doivent être adoptées vendredi par les 27. « Que des réformes soient nécessaires, c’est l’évidence mais, en même temps, il faut que les Etats aient plus que leur mot à dire, qu’il y ait une latitude d’action », a affirmé le ministre français des Finances, Pierre Moscovici, à son arrivée à Luxembourg pour une réunion avec ses homologues de la zone euro.   »Nous sommes d’accord sur les finalités des réformes (…) mais, en même temps, nous voulons la pleine possession de nos moyens », a-t-il affirmé, insistant pour que les recommandations de Bruxelles ne soient « pas trop prescriptives ».  La Commission européenne a exigé fin mai de la France des réformes, notamment des retraites et du marché du travail, en échange du délai de deux ans qu’elle a proposé de lui accorder pour ramener son déficit dans les clous.  Elle a précisément demandé à Paris de prendre des mesures dès cette année pour réformer son système de retraites et le ramener à l’équilibre « pour 2020 au plus tard ».   »Ce que je souhaite, c’est que ces recommandations notent que la France a engagé un agenda de réformes très ambitieux », a souligné M. Moscovici, rappelant que concernant le marché du travail, Paris a adopté « la réforme la plus importante depuis 40 ans ». « Sur les retraites, nous sommes en train d’engager une réforme qui aboutira à la fin de l’année », a-t-il ajouté.  Le président français, François Hollande, avait vivement réagi aux recommandations de Bruxelles.   »La Commission n’a pas à nous dicter ce que nous avons à faire. Elle a simplement à dire que la France doit rétablir ses comptes publics », avait-il affirmé.  Les recommandations de la Commission sont faites une fois par an aux 27 pays de l’Union européenne, elles doivent ensuite être adoptées par les ministres des finances européens.

 

Rome, Berlin, Paris et Madrid d’accord pour ne pas faire grand-chose sur l’emploi

Rome, Berlin, Paris et Madrid d’accord pour ne pas faire grand-chose sur l’emploi

 

 

Encore une réunion d’affichage sur l’emploi qui débouche sur des mesurettes pas du tout à la hauteur de l’enjeu. La question de la croissance n’a pas été évoquée au cours de la rencontre entre les ministres des Finances italien, français, allemand et espagnol ; ils ont seulement  affiché vendredi à Rome leur volonté commune de mobiliser la Banque européenne d’investissement (BEI) et de grands établissements financiers publics pour combattre le chômage des jeunes sans remettre en cause la réduction des déficits. Cette réunion de quatre heures, à laquelle participaient leurs collègues du Travail, visait à préparer le Conseil européen prévu à Bruxelles à la fin du mois, au cours duquel l’emploi des jeunes devrait être largement évoqué. Si la réunion de Rome n’a débouché sur aucune mesure concrète, les ministres ont débattu des moyens d’augmenter les flux de crédit en faveur des petites et moyennes entreprises (PME) en conjuguant les moyens de la BEI et des grands établissements publics nationaux. Le ministre italien de l’Economie, Fabrizio Saccomanni, a expliqué que la BEI coopérerait notamment avec la Cassa Depositi e Prestiti italienne, la Caisse des dépôts et consignations (CDC) française et la KfW allemande pour canaliser les crédits à long terme vers les PME embauchant des jeunes. Il a précisé que l’augmentation de capital de 10 milliards d’euros réalisée par la BEI l’an dernier pourrait être « démultipliée » à hauteur de 60 milliards pour lutter contre la pénurie de crédit dont souffrent les PME. Il n’a toutefois pas donné davantage de précisions. Le Conseil européen du 27 juin devrait être l’occasion d’un débat entre chefs d’Etat et de gouvernement sur les moyens de débloquer le crédit aux PME, l’une des priorités actuelles des dirigeants politiques et économiques européens. Pour autant, rien ne permet de penser que les 27 vont alléger les contraintes en terme de consolidation budgétaire. « Nous sommes tous d’accord sur le fait que la consolidation est un fondement nécessaire de la croissance future », a dit Fabrizio Saccomanni.

 

Sondage -Municipales Paris : NKM menace Hidalgo, en cause le mécontentement général

Sondage -Municipales Paris : NKM menace Hidalgo, en cause le mécontentement général

 

 

Une surprise la remontée de NKM liée sans doute au contexte local mais aussi au mécontentement des couches moyennes en général vis-à-vis da la politique économique du gouvernement. Anne Hidalgo (PS) arriverait en tête au premier tour des municipales à Paris si l’élection avait lieu dimanche avec 37% des voix, devant Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP, 35%), qui progresse de 7 points depuis janvier, selon un sondage Ifop-Fiducial pour le JDD à paraître dimanche.  A la question « pour laquelle des listes suivantes y aurait-il le plus de chances que vous votiez? », une liste conduite par la première adjointe au maire sortant Bertrand Delanoë est première avec 37% des suffrages, un point de moins par rapport à un sondage identique effectué en janvier.  Une liste conduite par Nathalie Kosciusko-Morizet obtiendrait 35% des voix, contre 28% en janvier. Tous les autres concurrents sont loin derrière.  Au deuxième tour, la candidate socialiste l’emporterait haut la main, par 54% des voix contre 46% à sa rivale (56% contre 44% en janvier).  A la question de savoir si Nathalie Kosciusko-Morizet sort « renforcée, affaiblie ou ni renforcée, ni affaiblie de cette primaire », 28% jugent « renforcée », 18% « affaiblie », et 54% ni l’un ni l’autre.  Sondage réalisé du 5 au 7 juin auprès d’un échantillon de 855 personnes inscrites sur les listes électorales, extrait d’un échantillon de 1.006 personnes, représentatif de la population de la ville de Paris âgée de 18 ans et plus.   »La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession de l’interviewé(e)) après stratification par arrondissement » souligne l’étude.

 

Paris et Londres : livraison d’armes aux rebelles syriens

Paris et Londres : livraison d’armes aux rebelles syriens

Paris et Londres vont demander d’avancer la prochaine réunion de l’Union européenne sur l’embargo sur les armes pour la Syrie. Et s’il n’y a pas d’accord, ils décideront d’en livrer à titre national aux rebelles, a annoncé ce jeudi le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius.

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