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Hidalgo interdit les véhicules les plus polluants

Paris: Hidalgo interdit les véhicules les plus polluants

Dans une interview au Monde Anne Hidalgo présente son plan d’urgence (applicable dès le 1er juillet 2015) pour réduire la pollution en interdisant notamment la circulation des véhicules les plus polluants, cars, camions, automobiles).

 

Vous présentez le 9 février votre plan antipollution au Conseil de Paris. C’est l’un des premiers grands dossiers que vous faites adopter. Qu’est-ce qui dicte cette priorité ?

Anne Hidalgo : Je tiens une promesse de campagne. Et nous sommes déterminés à agir vite, car la lutte contre la pollution aux particules fines, liée notamment à la diésélisation du parc automobile, est un enjeu de santé publique majeur. Bertrand Delanoë a déjà beaucoup fait pour proposer des mesures alternatives de transport. Mais il faut aller encore plus loin dans la lutte contre la pollution. Les politiques qui ne posent pas aujourd’hui les actes seront demain redevables de ce qu’ils n’ont pas fait. Je ne serai pas de ceux-là.

Concrètement, qu’est ce que vous pouvez faire de plus que votre prédécesseur ?

Comme l’ont déjà fait près de 200 villes européennes, nous allons mettre en place une « zone à basse émission » dont nous allons progressivement interdire l’accès aux véhicules polluants, diesel comme essence. Je souhaite dès le 1er juillet 2015 interdire la circulation des cars et des poids lourds les plus polluants. Et le 1er juillet 2016, en s’appuyant sur la loi de transition énergétique, cette interdiction s’appliquera à tous les véhicules les plus polluants. Nous sommes encore en discussion avec l’Etat sur le périmètre concerné par cette interdiction, mais le gouvernement partage notre volonté d’agir. Je souhaite que cette interdiction soit dans un premier temps applicable à l’ensemble de Paris, à l’exception du périphérique et des bois de Paris.

Que prévoyez-vous pour que les livraisons et dessertes intramuros puissent être assurées sans encombre ?

Notre démarche s’appuie sur une méthode très impliquante. Nous avons organisé une conférence citoyenne avec un panel de citoyens franciliens et nous avons engagé des concertations avec les élus de la Ville, de la métropole, et avec les professionnels. Cette discussion avec la chambre des métiers et les syndicats professionnels est très constructive : les opérateurs se montrent très intéressés par le passage à des véhicules plus propres. Il ne s’agit pas d’avoir une mesure couperet qui ne leur permettrait plus d’exercer leur activité. Je suis garante de la bonne poursuite de leur activité. Nous leur proposons ainsi de les accompagner par une aide financière à l’acquisition d’un véhicule propre, qui viendra s’ajouter à celle de l’Etat. L’aide des pouvoirs publics représentant ainsi 50 % du prix d’achat du véhicule. Et pour les 50 % restants, je souhaite favoriser la création d’un crédit à taux préférentiel. Je vais mettre autour de la table le secteur bancaire parisien et les commerçants pour avancer sur ces prêts.

Vous voulez éradiquer le diesel à Paris d’ici à 2020. Autrement dit, à cette date, plus aucun véhicule diesel, qu’il s’agisse de bus, de camions, de voitures individuelles, ne sera autorisé à rouler dans Paris ?

Oui, c’est l’objectif. Il est vrai qu’entre les véhicules de la fin des années 1990 et les nouveaux diesels d’aujourd’hui, il existe des améliorations technologiques. Mais les particules très fines – et les plus dangereuses pour la santé – ne sont pas captées par les filtres les plus puissants. En tant qu’acteur de terrain, je me veux très volontariste : je ne négocierai pas sur l’essentiel, à savoir la santé des parisiens. Pour autant, je souhaite faciliter ces transitions.

Je vais pour cela aussi engager la discussion avec les constructeurs automobiles. Parce que là encore, il ne s’agit pas d’être dans des logiques d’affrontement. Il faut que chacun comprenne que l’avenir de nos villes passe par des changements radicaux. A la Ville, nous avons par exemple encore recensé 300 poids-lourds particuliers, comme des bennes ou des véhicules de nettoyage qui roulent encore au diesel et qui n’ont pas sur le marché d’équivalent non polluant. Avant la fin de l’année, je souhaite que plus aucune fourgonnette au diesel ne soit présente dans le parc de la ville. Il faut susciter une offre de la part des constructeurs. Le 26 mars, je vais réunir les maires des villes françaises et européennes pour travailler sur les groupements de commandes. Cela permettra de créer un effet de levier pour faire émerger une offre compétitive de véhicules propres. Cette demande sera génératrice d’activité et d’emplois.

Comment entendez-vous inciter les citoyens à évoluer vers des mobilités  plus propres ?

Les comportements changent déjà fortement. En 2001, plus 60 % de Parisiens avaient un véhicule personnel, aujourd’hui, leur nombre est tombé à 40 %. Mais il faut encore accélérer ces évolutions. Nous voulons pour cela, sans attendre, développer une batterie de mesures alternatives pour accompagner les usagers vers des mobilités moins polluantes. Nous prévoyons ainsi des aides financières à l’achat d’un véhicule moins polluant (vélo ou voiture), mais aussi des abonnements à Autolib’ et le remboursement du forfait Navigo. Un accompagnement financier sera proposé aux copropriétés pour installer des bornes de recharge pour véhicules électriques, ou s’équiper d’abris vélos sécurisés.

Nous allons par ailleurs développer le réseau des bornes de recharge électrique avec des tarifs attractifs, accroître les possibilités d’autopartage avec Autolib’ mais aussi d’autres sociétés travaillant sur des trajets plus longs. Et nous assurons la gratuité du stationnement à toute personne entrant et circulant dans Paris avec un véhicule propre, électrique, gaz ou hybride rechargeable, avec la possibilité de le recharger gracieusement la nuit.

Toutes ces mesures incitatives, qui représenteront plus de 5 millions d’euros en année pleine, s’appliquent tout de suite. Cela permettra aux personnes d’anticiper l’interdiction des véhicules polluants qui va progressivement être mise en place. Un centre des mobilités va être créé qui informera sur l’ensemble de ces aides et répondra à toutes les questions que peuvent se poser les Parisiens.

Vous comptez mettre en place des « voies à ultra basse émission » sur quelques axes particulièrement pollués, et transformer l’hypercentre de Paris notamment « en zone à trafic limité » réservée aux seuls piétons, vélos, transports en commun et riverains. C’est une guerre contre les automobilistes ?

On a dépassé ce genre de polémique. La question n’est plus de savoir pourquoi il faut agir, mais comment et à quel rythme. Le rythme, c’est dans l’urgence, du moins à l’échelle du mandat avec des étapes bien sûr. Le « comment », c’est en offrant une large palette d’alternatives et en accompagnant la transition par des aides. Nous avons augmenté les tarifs pour le stationnement rotatif et résidentiel, c’est vrai, mais en même temps nous proposons la gratuité de stationnement à toute personne qui circule à Paris avec un véhicule propre. Il ne s’agit pas d’empêcher de circuler mais de permettre de circuler sans polluer. La conférence sur le climat aura lieu à Paris en décembre 2015, nous ne pouvons être en dessous de l’ambition qui sera portée par la France.

Toutes ces décisions ne sont-elles pas prématurées alors que la « métropole du Grand Paris » sera créée le 1er janvier 2016 et que la pollution ne s’arrête pas aux portes de Paris ?

Nous nous inscrivons pleinement dans une dimension métropolitaine. Si nous n’avons pas souhaité inclure le périphérique dans le périmètre concerné par les premières mesures d’interdiction de circulation, c’est parce que nous sommes bien conscients qu’il est un axe structurant pour les déplacements des Franciliens. De même, les aides financières à l’achat d’un véhicule propre, que nous proposons aux artisans et commerçants, s’adressent aux professionnels parisiens mais aussi aux professionnels de la petite couronne.

Le 9 janvier, nous avons réuni les maires de la métropole pour travailler avec eux. Car dès que la loi sur la transition énergétique sera promulguée, nous souhaitons que le dispositif mis en place s’applique à l’échelle du Grand Paris, avec toutes les collectivités qui le souhaitent. Des groupes de travail sont mis en place pour réfléchir à cette mise en œuvre. Tout le monde a conscience que l’on doit travailler ensemble. En même temps, Paris ne peut pas attendre que tout le monde bouge pour avancer. La ville doit jouer un rôle d’éclaireur, de pionnier.

PSG-Evian : Les intermittents du foot de Paris

PSG-Evian : Les intermittents du foot de Paris

 

C’est bien péniblement que Paris a battu l’un des derniers du classement. Et d’une certaine manière le PSG joue comme des intermittents du spectacle, de temps en temps sur un match.  Et toujours pour les mêmes raisons, un manque de rythme général. Une attaque encore trop improductive avec un Ibra qui n’a pas retrouvé la forme. Un milieu qui n’a pas la densité, la même fluidité que  l’année dernière et surtout une défense toujours aussi fébrile. Sur la tendance, le PSG pourrait bien perdre à la fois le championnat et bien sûr se faire éliminer rapidement en coupe d’Europe. Bref une saison ratée, d’autant plus que Blanc est maintenant complétement discrédite et qu’il n’est pas en capacité d’imposer la rigueur nécessaire à ses vedettes.  Au moins, l’ombre de la crise s’est un peu éloignée. En battant Evian (4-2, buts de Verratti, David Luiz, Pastore et Cavani) ce dimanche, le PSG a signé sa deuxième victoire consécutive après sa qualification en Coupe de la Ligue contre Saint-Etienne. Le minimum syndical pour la formation de Laurent Blanc, qui a encore inquiété contre les Savoyards, surtout en première période. Non, le PSG n’est pas encore redevenu lui-même. En début de semaine passée, on s’est beaucoup moqué de la présence de Thiago Silva et David Luiz dans le onze-type de l’année 2014 de la FIFA. Contre l’ETG, les deux Brésiliens ne sont pas passés au travers. Le deuxième a d’ailleurs marqué le premier but de son équipe. Mais la charnière centrale parisienne a souvent été prise de vitesse en contre, surtout lors de la première demi-heure. Même s’ils ont régulièrement été abandonnés, David Luiz et Thiago Silva n’ont pas beaucoup rassuré, comme sur l’ouverture du score de Cédric Barbosa.  Sa performance médiocre à Saint-Etienne avait été effacée par son but. Pataud et maladroit, Zlatan Ibrahimovic n’a cette fois pas trouvé le chemin des filets. Le Suédois est méconnaissable, et n’a pas encore retrouvé son rythme de croisière. Sa talalgie, qui l’a éloigné des terrains pendant trois mois en début de saison, ne lui servira pas éternellement d’excuse.

Terrorisme – Paris : 12 gardes à vue en région parisienne (France info)

Terrorisme – Paris : 12 gardes à vue en région parisienne (France info)

Ces personnes ont été interpellées par le Raid dans la nuit, en région parisienne. Une source judiciaire parle d’un « possible soutien logistique » apporté aux tueurs – des armes et des véhicules. Des perquisitions sont en cours à Montrouge, Châtenay-Malabry, Grigny, Fleury-Mérogis et Epinay-sur-Seine.  Ces derniers jours, les enquêteurs ont multiplié les filatures –  des personnes repérées à partir d’ADN et d’écoutes téléphoniques réalisées dans l’entourage des frères Kouachi et d’Amédy Coulibaly. Qui sont-elles ? Des délinquants ou des terroristes ? Les sources sont assez contradictoires… Toujours est-il que 12 personnes sont actuellement en garde à vue ce vendredi matin. Ces neuf hommes et trois femmes ont été interpellés dans la nuit par le Raid en Ile-de-France. Des perquisitions sont en cours à Montrouge, Châtenay-Malabry, Grigny, Fleury-Mérogis et Epinay-sur-Seine. Ces 12 personnes vont être interrogées sur le « possible soutien logistique » qu’ils auraient fourni aux tueurs, notamment des armes et des véhciules, selon une source judiciaire.

Des vélos-taxis à Paris… et ailleurs

Des vélos-taxis à Paris

 

Comme en Asie, les vélos taxis s’installent à Paris, mais des vélos plus modernes aidés par des moteurs (un peu comme sur les velos électriques° ;  Trois roues, une banquette, un toit en plastique. En France, on les appelle « triporteurs », « pedicab » ou « vélo-taxi », autant d’expressions un peu emphatiques pour désigner le même engin: un pousse-pousse, ni plus ni moins. Rien de bien nouveau donc, mais si l’on en parle aujourd’hui, c’est que, plus de 150 ans après sa création au Japon, ce gros tricycle pourrait devenir une alternative au taxi sous nos latitudes. La société Cyclopolitain a lancé son premier pousse-pousse en France en 2003, à Lyon, et connu des débuts plutôt timides. Aujourd’hui, le concept existe aussi dans d’autres grandes villes: Paris, Nice, Reims et Tours. En décembre 2012, Cyclopolitain fêtait son 2.000.000e passager. Preuve de son succès, l’idée a été reprise par d’autres sociétés (Trip Up, Yellow Pedicab, etc) et par des conducteurs indépendants.  Stratégie commerciale oblige, les « cyclos » sont postés près des centres névralgiques. A Paris, c’est devant le musée d’Orsay, sur le parvis de Notre-Dame ou devant la tour Eiffel que vous serez le plus susceptible d’en trouver. « La moitié du temps, je prends des touristes qui veulent juste une petite visite de la ville », explique Edouard, étudiant en école de commerce et conducteur de pousse-pousse depuis deux ans. Mais si les emplacements sont savamment choisis, la formule pousse-pousse est loin d’être un attrape-touriste. Comptez par exemple 10 ou 15 euros pour un trajet entre le musée d’Orsay et la tour Eiffel. Attention cependant, les prix peuvent varier du simple au double en fonction du conducteur, qui loue son cyclo à la journée et récolte intégralement le fruit de ses courses. Jacob, conducteur depuis deux mois, nous explique sa logique commerciale: « Je fais un prix dégressif en fonction de la longueur du trajet. Pour les longues distances, employer mes services plutôt que ceux d’un taxi peut être très intéressant. Pour les courtes distances, je ne le recommande pas forcément. » Le profil type du conducteur de pousse-pousse est un étudiant de moins de 30 ans qui, comme Edouard, ne travaille que deux ou trois jours par semaine, pour 6 ou 7 heures. Dans un timing aussi court, il n’a pas le temps d’attendre trop longtemps les clients et accepte facilement les petites courses à 10€. « C’est déjà ça de pris », déclare Edouard. Mais il y a l’autre profil: celui du conducteur quotidien, le plus souvent propriétaire de son cyclo, qui peut se permettre de rejeter les courses à moins de 20€. Celui-là annoncera systématiquement un prix très élevé; le tout est de négocier. « Ces conducteurs-là sont surtout postés sur la place de la Concorde, aux Champs-Elysées ou devant la tour Eiffel. Ils visent les clients chinois ou américains, qu’ils prennent pour des pigeons », indique Edouard. « À chaque fois qu’on donne un petit coup de pédale, on a une petite aide grâce au moteur. Ça permet de réduire quand même l’effort ». Le vélo-taxi est devenu la première activité de Kevin, auto-entrepreneur. « C’est amusant, ça permet de bien voir la ville, mieux que dans un taxi », déclare un touriste. Le voyage coûte 50 euros de l’heure pour deux personnes. Pour que l’activité soit rentable, Kevin doit travailler au moins huit heures par jour. Le salaire est irrégulier, mais l’activité a séduit environ 500 personnes en France, à Paris, Lille, Marseille, Bordeaux, Toulouse et Lyon.

Taxis : manif lundi à Paris

Taxis : manif lundi à Paris

 

Les Taxis bloqueront le périphérique  lundi,  trois cortèges sont prévus au départ de Roissy-Charles de Gaule, Orly et l’Epi d’or (A86 Versailles).  Les taxis parisiens sont appelés à manifester ce lundi 15 décembre dès 5 heures du matin. Une grogne suite à la décision du tribunal de commerce de Paris vendredi de ne pas interdire l’application UberPOP. Les principales organisations de taxis, Taxis de France, le collectif des taxis parisiens (CTP) et l’Association française des Taxis (AFT) appellent « à réagir avec ferveur et fermeté à cette injustice ». L’idée est donc « une grande mobilisation » à partir de lundi 5h autour des aéroports de Roissy, en direction du nord et de l’Est de Paris et au départ d’Orly, vers l’entrée sud de la capitale, ainsi qu’à l’Ouest par la Porte de Saint-Cloud.

 

Le frère de Bernadette Chirac en HLM à Paris !

Le frère de Bernadette en  Chirac  HLM à Paris !

La vie est dure pour tout le monde même pour cette famille de bourgeois, sans doute pourquoi le frère de Bernadette Chirac bénéficie d’un HLM cossu mais à prix modéré. C’est le journal Le Monde qui a révélé l’information ce jeudi. Plusieurs proches de Jacques Chirac occupent des appartements HLM de la ville de Paris, pour des prix modiques. C’est le cas du beau-frère de l’ancien chef de l’Etat, Jérôme Chodron de Courcel, le frère de Bernadette Chirac. Selon le journal, il habite un immeuble cossu du Marais, le IVème arrondissement de la capitale. Il y aurait déménagé au début des années 80, à l’époque où Jacques Chirac était le maire de Paris. Non seulement l’immeuble est tranquille, mais les voisins sont de bonne compagnie. Ainsi l’ancien secrétaire d’Etat Pierre Mazeaud, 86 ans aujourd’hui, qui a siégé au gouvernement entre 1974 et 1976. Le Premier ministre s’appelait… Jacques Chirac. Alors que les prix du quartier tournent autour de la trentaine d’euros par mètre carré, ceux des heureux locataires VIP de la Régie immobilière de la ville de Paris (RIVP), culminent à 11 euros par mètre carré. Ces appartements, longtemps gérés par une société d’économie mixte toute dévouée à la chiraquie parisienne, la SAGI, ont été transmis à la RIVP en 2011, sous la pression de la municipalité Delanoë. Ils sont aujourd’hui conventionnés, c’est à dire que leurs loyers restent modérés, ce qui bénéficie aussi aux locataires actuels, puisque la révision des baux n’intervient que tous les six ans. Et encore, le rythme de progression des loyers ne permet pas un réajustement immédiat avec le niveau du parc privé. Il faudra une dizaine d’années. Environ 130.000 personnes attendent un logement social à Paris.

PSG – Barça : Paris toujours endormi

PSG - Barça : Paris toujours endormi

 

C’est maintenant récurrent depuis un an, le PSG est endormi. Insuffisance physique, manque d’agressivité, maladresse. Bref la différence était flagrante avec Barcelone. En ligue 1, le PSG peut faire illusion (et encore de manière laborieuse), par contre en match international il n’ya plus photo. Ce qui ne marche pas au PSG : à peu près tout. Une défense centrale beaucoup trop fébrile surtout Thiago Silva, allumé par Jean-Michel Larqué. « On discute de Thiago Silva mais on sait pertinemment que ce garçon-là, sur le plan mental, a quand même des problèmes. Si pleurer sur son passé est son fond de commerce, ça ne peut pas marcher. Un footballeur, je vous assure, ne rêve que d’une chose quand ça s’est mal passé le dimanche, c’est de rejouer pour oublier. Lui, on a l’impression qu’il ressasse tout. A un moment donné, Nasser Al-Khelaïfi va être rattrapé par la réalité des choses. Il ne peut pas, aujourd’hui, fermer les yeux sur un joueur qui depuis le mois d’avril est très moyen, même très mauvais par rapport à ce qu’il est capable de faire. » . Mais le pire a sans doute eté Thiago Motta incapable d’animer le jeu (en dépit de la bonne performance de Matuidi et surtout de Verrati). Du coup le milieu de Barcelone largement ris le dessus. En attaque come souvent une succession de maladresses ; Avec ce niveau de forme le PSG ne pourra pas aller loin en ligue des champions. En cause auusi et peut-être surtout ‘l’incapacité totale de Blanc de réagir et de mettre les joueurs devant leurs responsabilités. Visiblement Blanc n’a pas la taille d’un entraineur de dimension internationale. Il n’impose plus rien au PSG là où il faudrait une sérieuse reprise en Main de vedettes qui paraissent finalement globalement concernés.

Immobilier Paris : prix en baisse

Immobilier Paris : prix en baisse

 

Les lobbys s’efforcent de relativiser la baisse des prix de l’immobilier pour éviter l’effondrement voire l’éclatement d’une bulle. Pour autant les prix baissent y compris à Paris ( mais moins qu’ailleurs) ;  même si mécaniquement les prix sont plus élevés sur les petites surfaces qui mobilisent moins de capitaux de départ.  . Selon les observations de MeilleursAgents.com, en 2010-2011, 25 % des biens se vendaient rapidement et sans décote. Les 75 % restant se vendaient un peu plus lentement avec une réduction de seulement -5 %. Aujourd’hui, 84 % des ventes se font avec une réduction moyenne de -9 % alors que seulement 16 % des biens se vendent au prix demandé. D’où l’importance de mettre un bien au prix du marché, sans espérer un miracle qui ferait vendre 10 % à 15 % au dessus du prix, ce qu’espèrent généralement les vendeurs qui tentent dans un premier temps de le céder de particulier à particulier. Car le temps joue contre les vendeurs. Les indicateurs sont toujours à la baisse. L’indicateur de tension immobilière (ITI) de MeilleursAgents.com indique toujours un marché baissier. l’ITI, indicateur permettant de mesurer la tendance sur les six prochains mis, est calculé en divisant le nombre total d’acheteurs actifs par le nombre total de vendeurs actifs. Le marché est haussier lorsque l’ITI et supérieur à 3 (3 acheteurs actifs pou 1 vendeur). Pour qu’il soit stable, il faut un ITI entre 2 et 3 et s’il est inférieur à 2, la tendance est à la baisse. Or, actuellement l’ITI à Paris, petite et grande couronne indique clairement une tendance baissière. Dans la capitale intramuros, on compte 1 acheteur pour un vendeur, mais seulement 0,8 acheteur pour un vendeur dans les Hauts-de-Seine (92), un peu moins encore pour les Yvelines (78) avec 0,6 acheteur pour un vendeur. Quant aux départements de l’Essone (91), Seine-Saint-Denis (93) et Val d’Oise (95), ils affichent l’ITI le plus bas avec seulement 0,4 acheteur pour un vendeur.

Interdiction du diesel à Paris : une mesure précipitée et antisociale

Interdiction du diesel à Paris : une mesure précipitée et antisociale

 

 

 

Sur le principe vouloir supprimer le diesel en ville est cohérent avec l’objectif assainissement de l’air. Pour autant il convient de tenir compte de la réalité car le diésel représente 80% du carburant.une spécificité française qui découle de la structure de la fiscalité.  Le renouvellement du parc ne peut donc s’effectuer que de manière progressive. L’âge moyen d’une voiture est  de 8.5 ans mais beaucoup plus pour le diesel (plus de 10 ans). 2020 la date choisie par la Maire de Paris est donc trop précipitée pour renouveler le parc sauf à créer des inégalités sociales. Les couches sociales moins favorisées conservent les  véhicules anciens plus longtemps. Tout cela sent la précipitation et sans doute auusi la volonté raccrocher les wagons écolos à la majorité socialiste de Paris Au 1er janvier 2014, le parc automobile (tous véhicules) en circulation en France est estimé par le CCFA à 38,2 millions de véhicules, soit une hausse de 0,2 % par rapport au 1er janvier 2013.Le rythme de croissance annuel du parc continue de s’infléchir comme dans d’autres pays européens, inférieur désormais à 1%, contre plus de 2% entre les années 1998 et 2002.Au 1er janvier 2014 le parc automobile français est composé de  31,7 millions de voitures particulières + 0,2 % par rapport aux données du 1er janvier 2013. L’âge moyen des voitures particulières est estimé à 8,5 ans soit une augmentation de 0,2 par rapport au 1er janvier 2013. On observe la fin de la stabilité des dernières années, où des mesures comme la prime à la casse et les bonus élevés ont soutenu le marché. La part de l’essence et autres énergies atteint 37,9 % et celle du diesel et de l’hybride diesel 62,1 % du parc des voitures particulières (61,3 % au 1er janvier 2013) mais il s’agit des immatriculations et non de la part du carburant.

 

 » Plus de diesel à Paris »(Hidalgo)

 » Plus de diesel à Paris »(Hidalgo)

Dans une intreview au JDD, Anne Hidalgo déclare qu’elle ne veut plus de diesel à Paris en 2010.  Un plan très volontariste avec en particulier une zone piétonnière couvrant presque 4 arrondissements La maire de Paris dévoile en exclusivité son plan antipollution. Anne Hidalgo fait plusieurs propositions chocs, comme l’interdiction totale du diesel à Paris ou la semi-piétonnisation des quatre premiers arrondissements.   Interdiction totale du diesel à Paris en 2020 ; la rue de Rivoli ou les Champs-Élysées réservés aux « véhicules propres à ultra-basse émission » ; les quatre arrondissements du centre transformés en vaste zone semi-piétonne… Le plan antipollution qu’Anne Hidalgo, maire de Paris, dévoile en exclusivité dans son interview au Journal du Dimanche comporte des mesures chocs, qui ne manqueront pas de faire débat. L’édile cible tous les véhicules polluants, les cars de touristes, les camions, les utilitaires ou les voitures individuelles. Elle prévoit aussi des mesures incitatives pour la mise au rebus des vieux diesels, en partenariat avec l’Etat. Elle compte aussi réunir rapidement les élus de Paris Métropole, afin d’élargir son plan au Grand Paris. Son ambition : « agir efficacement, vite et fort » pour s’attaquer sans attendre à ce « grave problème de santé publique ».

 

Foot- Comparé à l’OM le PSG manque de tout, surtout d’entraineur

Comparé à l’OM le PSG manque de tout, surtout d’entraineur

 

Ce n’est pas la crise au PSG mais ça pourrait venir tellement l’équipe est insipide depuis un an (sauf une fois devant Barcelone). Quelle différence avec l’OM qui montre envie, forme physique, adresse et surtout managée de main de maître par Biella ; A Paris au contraire c’est une addition de vedettes au talent incontestable mais sans condition physique et sans envie, une équipe  dirigée par Blanc  sans grade conviction. La différence est vraiment de taille, les matchs de l’OM plein de dynamisme, de rigueur, d’opportunisme sont agréables à regarder tandis qu’on s’ennuie en général au moins une mi-temps devant une prestation du PSG. La ritournelle de Blanc depuis le début de la saison  « ça ira mieux quand les joueurs auront retrouvé la forme ! ». Pas vraimenet une analyse pointue des défaillances individuelle comme collectives. La vérité c’est qu’il manque un grand entraineur au PSG. Blanc a vécu sur sa réputation mais n’impressionne plus des  stars qu’ils osent à peine critiquer. L’inverse de Biella qui cherche la perfection et qui à la moindre défaillance met un joueur sur le banc. De toute évidence Blanc na’ pas la taille psychologique pour diriger une telle équipe de superstars. Il manque d’autorité et de psychologie. Il n‘a sans doute pas le bagage culturel pour impose sa maîtrise sur les joueurs. A ce niveau de compétition, il n’ya strictement rien à apprendre sur la plan technique aux joueurs tout se passe dans la tête, c’est essentiellement un travail psychologique afin de tirer le meilleur parti physique et tactique de l’équipe. Il ne faut pas parler d’entraineur mais de manageur. Blanc set come de nombreux anciens grands joueurs trop  limité intellectuellement. Les meilleurs anciens joueurs font rarement de bons entraineurs quand ils n’ont pas le bagage intellectuel et psychologique. Ou Blanc se réveille rapidement ou il faudra envisager par son remplacement pat un manager de dimension internationale. Paris na pas le droit de s’autoriser des  prestations auusi médiocres. Comme les médias (y compris sportifs) sont légitimistes, il faudra encore plusieurs mois pour qu’ils parviennent à cette évidence : il faut un entraineur à la hauteur des joueurs.

Pollution à Paris : aussi nocive que la cigarette

Pollution à Paris : aussi nocive  que la cigarette

Paris accumule les pics de pollution, des pics de pollution mortels puisqu’aussi dangereux que la cigarette. Principal responsable : la circulation automobile. Paradoxe cette hyper concentration urbaine n’empêche pas d’envisager une ville encore plus concentrée : le Grand Paris. La folie conjointe des urbanistes et des politiques. Aussi des économistes qui louent la « croissance endogène » des zones très agglomérées (en clair les zones idéales pour le businesse où il faut payer pour tout !). Dans Paris en plein pic de pollution est aussi néfaste que de se trouver dans une pièce de 20m² où huit cigarettes seraient allumées en même temps. Voilà l’image, éloquente, choisie par des chercheurs du CNRS pour illustrer la gravité de la situation dans une étude publiée ce lundi. Ils en concluent donc que le niveau de pollution de l’air parisien est comparable à du tabagisme passif.  Principal danger de cette forte pollution: les particules fines, qui ont atteint des taux nettement plus élevés qu’en temps normal à Paris. Jusqu’à 30 fois plus, précisément, le 13 décembre 2013, selon les données récoltées grâce au ballon de Paris pendant dix-huit mois, au-dessus du parc André-Citroën.   « Les grosses particules s’arrêtent dans la gorge et le nez. Les petites vont jusqu’aux poumons et les alvéoles. Les plus petites vont dans le sang et peuvent alors provoquer des maladies cardio-vasculaires », a expliqué sur RTL Jérôme Giacomoni, le créateur du ballon Générali utilisé pour cette étude.  « La pollution de l’air représente un risque environnemental majeur pour la santé, estime l’OMS. En diminuant les niveaux de pollution atmosphérique, les pays peuvent réduire la charge de morbidité imputable aux accidents vasculaires cérébraux, aux cardiopathies, au cancer du poumon et aux affections respiratoires, chroniques ou aiguës, y compris l’asthme. »  « En 2012, on estimait à 3,7 millions le nombre de décès prématurés provoqués dans le monde par la pollution ambiante (de l’air extérieur) dans les zones urbaines et rurales », explique par ailleurs l’organisme sur son site.

Manifestation anti austérité le 12 novembre à Paris

Manifestation  anti austérité  le 12 novembre à Paris

 

 Le parti de gauche (PG), le PCF, le NPA, Nouvelle Donne, Ensemble, Gauche unitaire, plusieurs membres d’Europe Ecologie Les Verts, des responsables d’associations féministes, de lutte contre le chômage, des syndicalistes (dont la CGT, Solidaires, FO et FSU) ont notamment signé l’appel à manifester. Cet appel se fait dans la lignée de la manifestation contre l’austérité du 12 avril dernier qui avait réuni entre 25 000 et 100 000 personnes à Paris.  «Ceux qui gouvernent n’ont aucune idée de ce que l’austérité fait subir comme galère», a déclaré ce mardi lors d’une conférence de presse de présentation de la manifestation Willy Pelletier, de la fondation Copernic, qui dénonce «une nouvelle noblesse d’État qui foule du pied ce pour quoi elle a été élue». «A partir du moment où l’Assemblée nationale n’a pas été capable de bloquer la politique du gouvernement, c’est au peuple de le faire», a renchérit Éric Coquerel du Parti de gauche. «Il faut une mobilisation très forte pour faire en sorte de faire dérailler la locomotive de Manuel Valls.» Pour Olivier Besancenot, du Nouveau parti anticapitaliste (NPA), «c’est la contestation du peuple de gauche qui pense que ce gouvernement fait une politique de droite. (…) C’est une vraie bagarre politique qu’on souhaite mener jusqu’au bout, c’est-à-dire faire tomber le budget», a-t-il ajouté estimant que «la vraie fronde aura lieu dans la rue».  «Dans ce moment de crise, il n’y a pas de solution s’il n’y a pas de mobilisation populaire», estime Clémentine Autain pour Ensemble, composante du Front de gauche, déplorant l’absence de couverture médiatique pour annoncer la manifestation. «Nous sommes nombreux à avoir honte qu’un gouvernement mène au nom de la gauche une politique qui rende plus difficile la vie à un très grand nombre de gens. Le budget doit tomber, le gouvernement doit cesser.» Faisant partie de «la dizaine» de signataires d’EELV, Jérôme Gleizes juge que le gouvernement de Manuel Valls «nous amène droit dans la crise et dans un face-à-face entre la droite et le FN».

Grand Paris : Valls va financer les transports… mais avec quoi ?

Grand Paris : Valls va financer les transports… mais avec quoi ?

 

Déclaration péremptoire de Valls, pour lui pas, de problème l’Etat va fiancer les transports. En fait on se demande bien avec quoi en l’état des finances. Par l’emprunt évidemment et par la dette. « L’Etat a décidé de mobiliser des financements sans précédent », a déclaré le Premier ministre lors d’un déplacement consacré à ce grand chantier à Créteil, en région parisienne.  Le chef du gouvernement y a annoncé que la Région Ile-de-France disposerait d’une recette supplémentaire de 140 millions d’euros par an via le budget de l’Etat pour financer la modernisation et le développement du réseau. Un développement nécessaire mais dont le financement paraît aléatoire tant que des recettes supplémentaires n’ont pas été budgétisées. Un bras de fer avait opposé cet été des élus de la région au ministre des Affaires étrangères chargé du tourisme Laurent Fabius, qui avait mis son veto à la création d’une taxe de deux euros sur les nuitées d’hôtel en Ile-de-France pour collecter cette somme. Manuel Valls a aussi confirmé que l’État apporterait 1,4 milliard d’euros sur la période 2015–2020 dans le cadre du contrat de Plan État-Région pour financer les opérations. Le Premier ministre a réaffirmé son soutien politique à certains projets phares du Grand Paris, comme le Charles-de-Gaulle Express qu’il souhaite voir relier dès 2023, l’aéroport de Roissy à Paris intra-muros.

 

Déclaration péremptoire de Valls, pour lui pas, de problème l’Etat va fiancer les transports. En fait on se demande bien avec quoi en l’état des finances. Par l’emprunt évidemment et par la dette. « L’Etat a décidé de mobiliser des financements sans précédent », a déclaré le Premier ministre lors d’un déplacement consacré à ce grand chantier à Créteil, en région parisienne.  Le chef du gouvernement y a annoncé que la Région Ile-de-France disposerait d’une recette supplémentaire de 140 millions d’euros par an via le budget de l’Etat pour financer la modernisation et le développement du réseau. Un développement nécessaire mais dont le financement paraît aléatoire tant que des recettes supplémentaires n’ont pas été budgétisées. Un bras de fer avait opposé cet été des élus de la région au ministre des Affaires étrangères chargé du tourisme Laurent Fabius, qui avait mis son veto à la création d’une taxe de deux euros sur les nuitées d’hôtel en Ile-de-France pour collecter cette somme. Manuel Valls a aussi confirmé que l’État apporterait 1,4 milliard d’euros sur la période 2015–2020 dans le cadre du contrat de Plan État-Région pour financer les opérations. Le Premier ministre a réaffirmé son soutien politique à certains projets phares du Grand Paris, comme le Charles-de-Gaulle Express qu’il souhaite voir relier dès 2023, l’aéroport de Roissy à Paris intra-muros.

Risque d’attentat dans le métro à Paris ?

Risque d’attentat dans le métro à Paris ?

Bien que cette information en provenance d’Irak soit contestée, il est clair  que par définition on ne prévient pas les autorités avant de commettre de tels actes. Le risque potentiel est donc évident dans le métro ou ailleurs.  Le Premier ministre irakien aurait  mis en garde la France et les Etats-Unis contre des projets d’attentats. De New York, où se déroule actuellement l’Assemblée générale de l’ONU, Haïdar al Abadi aurait  indiqué disposer de renseignements « crédibles » faisant état de projets d’attentats de Daech (l’Etat Islamique) contre le métro parisien et aux Etats-Unis. « Aujourd’hui, j’ai reçu des renseignements de Bagdad, où ont été arrêtés certains éléments, laissant penser que des réseaux présents en Irak préparent des attentats », a-t-il dit à New York à des journalistes américains. « Ils projettent des attentats dans les métros de Paris et des Etats-Unis », a-t-il ajouté. « Au vu des détails que j’ai reçus, cela semble crédible ». De leur côté, les Etats-Unis ont déclaré ne disposer d’aucun élément permettant d’appuyer les déclarations du Premier ministre irakien. La France a été expressément citée par Daech comme cible d’attentats pour riposter aux opérations militaires visant l’organisation terroriste. Un Français, Hervé Gourdel, a été sauvagement assassiné hier en Algérie après l’appel de Daech. Suite à cet appel, le gouvernement français a décidé de renforcer les mesures de sécurité pour prévenir « le risque terroriste ». « Les mesures de prévention contre les risques terroristes mises en œuvre sur le territoire national vont être renforcées dans les lieux publics et dans les transports », a annoncé l’Elysée après un conseil de défense, qui s’est tenu jeudi 25 septembre. Pour le gouvernement, « aucune zone ne peut plus désormais être considérée comme totalement sûre » et il est conseillé aux ressortissants français d’être prudents, surtout « dans la zone sahélienne, mais aussi dans les pays limitrophes ».

 

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