Archive pour le Tag 'Paris'

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Foot-PSG-Lille : Paris enfin !

Foot-PSG-Lille : Paris enfin !

Enfin du football flamboyant et réaliste devant les buts pour le PSG. Il aura fallu attendre cette rencontre contre Lille pour retrouver le PSG de la saison dernière. Certes Lille n’est pas une équipe de classe européenne ( en plus encore davantage diminuée après le carton rouge) mais Paris a pu enfin se libérer et surtout démonter que Pastoré et Thiago Motta étaient indispensables à l’équipe. Il  y avait de l’envie, de l’engagement, de la clairvoyance et  de l’efficacité. Autant de qualité qui ont manqué à Paris cette année. Aussi bien en championnat qu’en coupe d’Europe.  Paris a complètement maitrisé le ballon. Une situation complètement opposée à celle contre le Barça. Or sans ballon le PSG ne sait plus jouer car n’est  pas une  équipe de défense. De ce point de vue Blanc a commis une  lourde faute stratégique contre le Barça même si indiscutablement les individualités de Barcelone sont quand même supérieures à celles de Paris.  Le PSG, sans Ibrahimovic encore suspendu, n’a donc  eu besoin que de vingt-secondes pour se mettre sur les bons rails. Sur l’action du coup d’envoi, il profite d’une équipe lilloise totalement amorphe et statique pour permettre à Maxwell de tromper Enyeama, loin d’être exempt de tout reproche sur la frappe croisée. C’est le but le plus rapide de l’histoire du PSG en Ligue 1. L’ancien record appartenait à Zlatan Ibrahimovic, en 2012. C’était déjà contre le Losc qui, douché d’entrée, n’a même pas le temps de réagir qu’il est breaké à la quatrième minute par un joli job de Cavani sur Enyeama, complètement passif. Si la haute défense nordiste est testée à plusieurs reprises par des ouvertures dans son dos, Lille insiste s’offre un éclair de football en première période grâce à un sacré numéro du jeune Boufal, éliminant trois défenseurs dans la surface tel un joueur de futsal, avant de voir l’action échouer sur un hors-jeu. Mais Paris ne laisse aucun espoir avec le caviar de Cavani pour Lavezzi (28e). Une but initié par Thiago Motta. L’Italien, jamais mis sous pression, est également à l’origine des deux premiers buts et du quatrième, lui aussi marqué par Lavezzi, servi sur un plateau après le débordement de Matuidi (44e). Au retour des vestiaires, Paris, qui mène donc 4-0, gère tranquillement sa domination. Seule ombre au tableau : les sorties sur blessure de Sirigu et Aurier. Lille, impuissant dans le jeu, parvient malgré tout à réduire l’écart par le biais de Basa, qui domine sans difficulté David Luiz sur corner (59e). Pas de quoi déstabiliser le club de la capitale puisque Lavezzi obtient un penalty sur une faute de Corchia, expulsé. Cavani le transforme pour son onzième but de la saison (75e). Puis Lavezzi se fait aussi plaisir en y allant de son premier triplé dans un championnat (77e).

Barça-PSG : leçon de foot pour Paris

 Barça-PSG : leçon de foot pour Paris

 

 

Le  PSG a reçu une vraie leçon de foot à Barcelone et perdu 2à 0. Le score aurait pu être encore plus sévère tellement la différence de classe était grande. Comme à l’aller le Barça a dé montré qu’l i possédait des individualités nettement supérieures au PSG en attaque et au milieu. Ensuite le PSG a montré toutes ses limites actuelles , manque de conviction, manque d’engagement, insuffisance technique, insuffisance physique et tactique approximative. Alors que le Barça empêchait le PSG de relancer par un pressing tout terrain, les joueurs de Paris se sont épuisés en pressant de manière isolée et improductive. Une nouvelle fois on aura noté que l’attaque parisienne est transparente. Ce match a démontré les lacunes individuelles et collectives. Il faudra renforcer cette attaque , aussi un entraineur de classe internationale susceptible de davantage motiver des joueurs trop lymphatiques depuis le début de la saison. Il n’y a donc pas eu de miracle pour le Paris Saint-Germain au Camp Nou. Battus à l’aller sur leur pelouse 3 buts à 1, les Parisiens se sont inclinés 2-0 en quart de finale retour de la Ligue des Champions face au FC Barcelone. Le Brésilien Neymar a inscrit les deux buts de son équipe en première période (14′, 34′). Le premier pour conclure un superbe travail d’Iniesta, auteur d’une percée de 60 mètres au cœur de la défense parisienne. Le second de la tête, à la réception d’un centre parfaitement ajusté par Daniel Alves. Largement dominé, le PSG est logiquement éliminé, et échoue, pour la troisième année consécutive, à s’inviter dans le dernier carré.

Candidature de Paris aux JO de 2024 : pour quoi faire ?

Candidature de Paris aux JO de 2024 : pour quoi faire ?

 

Des jeux olympiques mais pour quoi faire ? En l’état actuel de notre économie on peut se demander si cette candidature est très opportune. En général pour la justifier l’évaluation des dépense est sous-évaluée , c’est ainsi que la facture des jeux de Londres a doublé pour atteindre  plus de 11 milliards d’euros. Par contre on a tendance ensuite à surévalué les retombée économiques. Il est de toute manière très complexe sinon impossible de mesurer les effets de tels événements. Il est clair que Hollande recherche tous les événements à consensus fort pour remonter la pente de la popularité. Ajoutons que pour décrocher les jeux, il est nécessaire d’entrer dans le processus de corruption du CIO ! Dans le même temps la France est aussi candidate à l’exposition universelle de 2025, un événement dont les effets économiques sosnt davantage certains. La question se propose de savoir s’il est bien raisonnable  de présenter la candidature de la France à ces deux événements très proches.  François Hollande a donc défendu lundi au Comité international olympique la candidature de Paris à l’organisation des Jeux d’été de 2024, que le président du CIO, Thomas Bach, a qualifiée de « forte » et d’ »exemplaire ». Candidate malheureuse aux JO de 2012 organisés à Londres, la ville de Paris devrait formaliser sa candidature auprès du CIO à la mi-septembre et saura dans un an si elle est retenue parmi les candidats officiels.   »Ce serait une formidable opportunité pour la France tout entière d’être au rendez-vous de 2024. Mais nous savons qu’il y a des étapes à franchir », a déclaré le président français devant la presse au siège du CIO, à Lausanne. « Dans toute compétition, il y a des règles et il convient de les respecter », a-t-il ajouté, au terme d’un entretien avec Thomas Bach, en compagnie du champion olympique Tony Estanguet, membre du comité international.  La candidature de Paris sera « une candidature très, très forte », a dit Thomas Bach.   »La France a beaucoup à offrir au mouvement olympique », a-t-il ajouté, rappelant le renouveau de l’olympisme initié par le Français Pierre de Coubertin en 1924.  Le président du CIO a évoqué une « candidature exemplaire » et salué le souci de la France de protéger l’environnement.   »Si elle continue dans cet esprit, vous avez tous les atouts », a-t-il ajouté. « Bonne chance à la France. »

 

« Studio » de 1.6 m2 à Paris : une amende de 20 000 euros pour l’agence et le propriétaire

«  Studio » de 1.6 m2 à Paris  : une  amende de 20 000 euros pour l’agence et le propriétaire

Après 15 ans passé dans un studio- pacard  de 1.6m2, le locataire va donc toucher une indemnité de 20 000 euros. Selon les informations du site 20minutes.fr, la cour d’appel de Paris a finalement alourdi les peines prononcées en première instance, à la fois à l’encontre de la propriétaire qui louait ce bien, mais aussi de l’agence immobilière qui en assurait la gestion. Elles ont été condamnées solidairement à verser un peu plus de 20.000 euros de dommages et intérêts au locataire, contre 10.000 euros en première instance. Soit le double. En tout, cela équivaut à cinq années de loyer remboursées.  «La cour d’appel a estimé que le locataire était en droit de se voir rembourser les loyers versés avant même la rédaction de cet arrêté, se réjouit Aurélie Geoffroy, l’avocate du locataire, contactée par 20Minutes.fr C’est une grande satisfaction.» Dans cette affaire, c’est surtout l’agence immobilière qui a été sanctionnée par la justice. Elle doit s’acquitter de verser les trois quarts des dommages et intérêts, le reste revenant à la propriétaire. «L’agent immobilier aurait dû s’assurer que le bail satisfaisait aux conditions légales», tacle ainsi la cour d’appel.  L’immobilier parisien fourmille de petites histoires sur les «mini» appartements ou studios. Le Figaro rapportait par exemple il y a quelques semaines cette petite annonce comme on en trouve des dizaines et des dizaines sur les sites de recherches de biens immobilier: «Une pièce, une chambre», dans la rue de Maubeuge (Paris 9e) de 6 mètres carrés… à vendre pour 76.000 euros. Soit 12.258 euros le mètre carré, bien au dessus des prix en vigueur dans le quartier. Quant à savoir ce que va faire (l’heureux?) propriétaire de ce bien, c’est un autre mystère: il est en effet interdit de louer un appartement de moins de 9 mètres carrés comme résidence principale, ni comme location saisonnière où la surface minimum doit être de 7 mètres carrés!

FOOT- PSG-Barça : Paris n’a pas le niveau

FOOT- PSG-Barça : Paris n’a pas le niveau

Il est clair que Paris n’a pas le niveau pour concurrencer le Barça. Il  y avait aussi trop d’absent au départ : Verrait, Ibra, Motta, Lucas. En outre et peut être surtout Paris a joué trop bas et  s’est trop replié en défense se contentant de contrer et de regarder jouer les espagnols. Du coup Paris s’est installé dans un faux rythme. Barcelone  monopolisé le ballon et les parisiens ont été  trop spectateurs. Paris a cependant réalisé de belles contre-attaques mais avec des conclusions stériles. Un mal récurrent au PSG. Conclusion des joueurs pas au niveau, une grave erreur tactique, une adresse approximative.  Il faudra d’autres joueurs et un autre entraineur si le PSG veut vraiment gagner un jour cette coupe d’Europe Sans être flamboyant, le Barça a implacablement posé sa main sur la rencontre, avant de porter l’estocade finale. En douze minutes (67e, 79e), Luis Suarez a quasiment tué tout suspense pour la qualification, tout en mettant en évidence les limites parisiennes du soir : quand son homologue et compatriote Cavani restait muet, l’Uruguayen flambait ; quand Ter Stegen repoussait tous les assauts, Sirigu était poussé à la faute. Pas loin de l’humiliation, Paris retrouvait toutefois une lueur d’espoir à huit minutes de la fin, grâce à un but de Wan der Wiel. L’addition reste très salée, l’avenir assombri. Mais avec les retours de « Zlatan », Verratti et Motta, associé à l’idée qu’il n’y a plus rien à perdre, le PSG peut se permettre d’y croire encore. Un tout petit peu. L’exploit serait gigantesque.

Pollution Paris : 20 km/h en moins sur les routes

Pollution Paris : 20 km/h en moins sur les routes

Avec le retour de la pollution, on va réduire la vitesse de 20 km/h, pas sûr que cela soit de nature à limiter les particules. Cela pourrait au contraire être de nature à créer davantage de bouchons et donc à polluer davantage. La vitesse maximale autorisée sur les routes d’Ile-de-France, limitée à 90 km/h ou plus, sera donc abaissée de 20 km/h jeudi en raison des prévisions de forte pollution aux particules fines, a annoncé mercredi la préfecture de police. A cet égard la circulation alternée qui réduit vraiment le volume de circulation est sans doute plus adaptée. Un problème toutefois de nature sociale :  la contrainte que cela représente pour certains banlieusards. La solution  à long  terme c’est le développement des transports collectifs et de la voiture électrique. En attendant des mesures s’imposent c’est non seulement l’environnement qui est concerné mais aussi la santé. ( voir article).  « Le préfet de police a décidé, après consultation des collectivités locales (…), d’abaisser de manière contraignante de 20 km/h la vitesse maximale autorisée sur les routes franciliennes (dont la vitesse est supérieure ou égale à 90 km/h) », selon un communiqué. Mercredi, le taux de pollution était déjà très élevé sur la capitale française et le stationnement résidentiel gratuit.   Cette décision a été prise après une réunion avec un « collège d’experts (AirParif, Météo-France et Direction régionale et interdépartementale de l’environnement et de l’énergie) en présence des représentants de la mairie de Paris, du conseil régional d’Ile-de-France et des conseils départementaux, afin d’examiner l’évolution de la situation en termes de pollution », a précisé la PP. Airparif, l’organisme qui surveille la qualité de l’air en région parisienne, a annoncé pour jeudi une deuxième journée de pollution plus élevée qu’habituellement. « La situation anticyclonique actuelle ne favorise pas la dispersion des agents polluants », relève la PP.

 

Paris : nouvelle alerte à la pollution

Paris : nouvelle alerte à la pollution

 

Nouvelle alerte à la pollution à Paris avec évidemment des conséquences sur la santé, plus généralement sur les équilibre environnementaux et humains.  La maire de Paris et le président de la région demandent à l’Etat de prendre, « dès maintenant », des mesures. Le préfet tient une réunion ce mercredi, pour éventuellement déclencher le seuil d’alerte – et réduire la vitesse de 20 km/h. Selon Airparif, l’organisme chargé de la surveillance de la qualité de l’air en région parisienne, le niveau d’information sera atteint ce mercredi. Sans attendre, Anne Hidalgo et Jean-Pierre Huchon, respectivement maire de Paris et président du conseil régional d’Ile-de-France, ont demandé mardi à l’Etat de « planifier dès maintenant » les mesures à prendre pour faire diminuer les niveaux de pollution. Ségolène Royal, ministre de l’Environnement, a demandé au préfet de réunir les élus de la région ce mercredi, et d’être « prêt à déclencher le seuil d’alerte ». Qui prévoit une réduction de la vitesse de 20 km/h, l’interdiction de l’épandage, de la pulvérisation d’engrais, la réduction de la pollution industrielle… Bref, il n’est pas question pour l’heure de circulation alternée, mais cela « peut faire partie des discussions » du jour, a ajouté la ministre. Car la décision d’une telle mesure d’urgence revient aux services de l’Etat, et pas aux élus locaux…Un mesure d’urgence qui se justifie d’abord par ses conséquences sur la santé. Car cette pollution favorise le réchauffement climatique  qui  a tout d’abord un impact direct sur les populations vulnérables: les personnes âgées, les jeunes enfants et les individus en situation précaire. Selon le rapport, le nombre de morts augmente dès que la température moyenne dépasse les 25°C. Le réchauffement favoriserait aussi l’apparition de phénomènes extrêmes, en particulier des canicules, et ferait des ravages dans une population toujours plus vieillissante. Enfin le rayonnement solaire provoquerait aussi, par sa composante UV, l’apparition de cancers ou de mélanomes cutanés: ceux-ci ont augmenté de 45 % chez les hommes et de 19% chez les femmes entre 1990 et 2010. Les maladies infectieuses pourraient avoir des dynamiques inédites et atteindre de nouvelles régions. En effet, «les changements climatiques peuvent modifier et rendre imprévisibles les évolutions d’espèces microbiennes» et ainsi avoir «des effets directs et immédiats sur le paysage infectieux auquel est confrontée notre espèce», prévient l’étude. Le moustique vecteur de la dengue Aedes albopictus est par exemple présent dans le sud-est de la France depuis 2010. Si son implantation est le fruit de l’intensification des échanges internationaux et de l’usage massif d’antibactériens induisant des résistances accrues, le réchauffement climatique y a aussi contribué, estime le Haut conseil de la santé publique. Mais certains dangers sanitaires sont aussi imprévisibles. Le rapport recommande de ne pas «réduire les conséquences du changement climatique à des relations simples de cause à effet». En effet, le réchauffement augmente les risques d’incendie et de submersion/inondation des littoraux très concentrés en population, et selon le rapport, il faudrait «dès à présent envisager certaines relocalisations».

Conférence climat de Paris : risque d’accord a minima

Conférence climat de Paris : risque d’accord a minima

 

Dans une  interview au JDD, Laurence Tubiana représentante spéciale du ministre des Affaires étrangères prévient déjà qu’on pourraiat aboutir seulement à un accord minima. C’est le risque pour deux raisons, d’une  part ce futur accord reposera essentiellement sur la bonne volonté de chaque pays sans aucune contrainte, sans contrôle, et sans sanction. En outre et surtout Hollande a absolument besoin d’un accord pour redorer son image et pour se présenter en 2017. On connait l’art de la synthèse molle de Hollande. Il  fera tout pour obtenir un accord même au prix d’un contenu insignifiant ( l’objectif étant surtout d’empêcher Duflot d’EELV de se présenter en 2017). En outre Hollande ne dispose plus de l’autorité internationale pour peser de manière significative , témoins le récent accord Etats-unis-Iran où la France a bien été contrainte de s’aligner après avoir tenté de saboter la négociation. .Ce qu’on peut comprendre en creux dans les propos de Laurence Tubiana.

INTERVIEW – Ambassadrice chargée des négociations sur le changement climatique en vue de la conférence Paris Climat 2015 (COP21), Laurence Tubiana se dit « raisonnablement optimiste ». Un accord contre le dérèglement climatique devra être trouvé en décembre. Ce ne sera pas « suffisant », affirme-t-elle, mais un échec provoquerait « un très grand découragement ».

Elle est la représentante spéciale du ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius. C’est pourtant au ministère de l’Ecologie, boulevard Saint-Germain à Paris, que l’on retrouve Laurence Tubiana, en charge des négociations pour la conférence Paris Climat de décembre 2015. Faute de place, elle a emménagé ici avec son équipe, une quarantaine de collaborateurs. Cette femme de 64 ans est une spécialiste des questions climatiques et de gouvernance mondiale. Elle a notamment conseillé Lionel Jospin à Matignon, de 1998 à 2002.

A moins de huit mois de l’ouverture de la « COP 21″, le 30 novembre, Laurence Tubiana tente de trouver des compromis, volet après volet, avec les délégations du monde entier afin de parvenir à temps à un texte commun. Après Genève mi-février, les négociateurs se retrouveront en juin à Bonn, en Allemagne, pour une nouvelle session de travail. Suivront deux autres, en août et octobre, avant Paris. Les « consultations informelles », elles, ne cessent jamais. « Elles sont très importantes pour s’entendre. C’est beaucoup plus simple ensuite quand on doit trouver un accord. Il n’y a plus qu’à rédiger », résume Tubiana. Ce n’est sans doute pas de trop pour que la conférence de Paris soit une réussite.

La France accueille en décembre la Cop21, qui doit entériner un accord global contre le dérèglement climatique. Faut-il être optimiste?
Il faut toujours être prudent, mais je suis raisonnablement optimiste. Pour une raison très importante : tous les pays souhaitent finir cette négociation. Ils pensent que c’est le moment. Ce ne sera sans doute pas un accord qui pourra tout résoudre, mais il y a suffisamment de réflexion et de préparation dans chaque pays pour que nous y parvenions.

Les leçons de l’échec de Copenhague, en 2009, ont-elles été tirées?
A cette époque, beaucoup de pays – notamment les émergents comme l’Inde, la Chine ou le Brésil – disaient que c’était trop tôt, qu’ils ne pourraient y arriver. Ils affirmaient encore : « C’est le problème des pays développés, on agira après eux. » Ces dernières années, le climat est devenu un sujet de politique nationale. Des politiques se sont développées – concernant l’énergie, l’urbanisme, les transports ou la déforestation – et des outils ont été créés. Or s’il n’y a pas de décision nationale, on peut dire ce qu’on veut au niveau international, mais il ne se passera rien.

L’objectif final est de contenir le réchauffement climatique à deux degrés d’ici à la fin du siècle. Est-ce que ces contributions actuellement sur la table sont suffisantes?
Non, on le sait déjà, c’est pour cela qui faudra tenter de les réévaluer. Mais on peut déjà faire en sorte que les contributions nationales soient les meilleures possibles. Il faut aussi considérer que ce seront des « minimums » et que les pays pourront faire davantage. Quand ils se donnent des objectifs aussi lointains dans le temps, c’est avec beaucoup d’incertitudes : on ne sait pas comment va évoluer le prix des énergies renouvelables, par exemple. Typiquement, en 2010, les Européens avaient dit qu’ils atteindraient – 20% d’émissions en 2020, et finalement ce sera plutôt autour de – 27%.

«L’idée, c’est qu’il ne reste que quelques arbitrages à Paris. »

La solution passe-t-elle forcément par un accord à la carte, chaque pays fixant ses propres objectifs?
C’est plus compliqué que cela. Il y a la volonté d’atteindre un objectif commun. Il nous reste un budget d’émissions de gaz à effet de serre, d’aujourd’hui jusqu’à la fin du siècle. L’atmosphère peut en absorber une certaine quantité. Au-delà, cela sature et il y a réchauffement. Ce budget carbone, c’est notre capacité à neutraliser ce réchauffement. Idéalement, on pourrait dire : « Voilà ce qu’il reste, et puis on distribue. » Mais c’est extrêmement difficile, on n’arrive pas à avoir une distribution juste entre tous les pays. Donc oui, chaque pays dit ce qu’il peut faire, mais ce n’est pas un accord à la carte, il est aussi contraignant : il faudra revoir et améliorer ces contributions.

C’est compter beaucoup sur la bonne foi de tous les pays…
On ne peut pas faire autrement. Dès que l’on dépasse la sphère nationale, on voit bien que les sanctions, même dans un ensemble de droits comme l’Union européenne, sont difficiles à imposer à un pays souverain. On ne peut donc compter que sur l’engagement et la bonne volonté de chacun. Il n’y a évidemment pas de sanctions militaires ; les sanctions commerciales sont complexes même si elles peuvent être perfectibles. Pourquoi est-ce que je fais cette hypothèse que tous les pays veulent un accord? Parce que tout le monde ressent l’impact du changement climatique et sait qu’il faut agir. Et parce que les pays ne peuvent pas le faire seuls.

Saura-t-on dès l’ouverture de la conférence de Paris, le 30 novembre, si un accord sera conclu?
C’est ce que l’on souhaite, mais je ne sais pas si on va y arriver. L’idée, c’est qu’il ne reste que quelques arbitrages à Paris. Cet accord, c’est un équilibre politique, c’est un paquet. D’ici fin octobre, nous en aurons les grandes lignes du paquet. On construit, brique par brique. Les pays voient ce qu’ils peuvent ajouter, en fonction aussi des concessions qu’ils auront faites sur d’autres sujets. C’est la responsabilité de la France d’aider à poser ces briques. Il faut qu’on fasse preuve de leadership, qu’on guide ces négociations tout en respectant les points de vue. C’est ce que je fais actuellement. Après, il y aura sûrement de la négociation jusqu’à la fin. Certains voudront peut-être attendre jusqu’à la dernière minute pour voir s’ils peuvent obtenir quelque chose…

Personne ne veut qu’ils viennent négocier, comme à Copenhague. Ceux qui vont négocier in fine, ce sont les ministres et leur délégation. Les chefs d’Etat peuvent éventuellement se mobiliser très en amont, ou venir célébrer un accord. Mais il n’y aura pas de réunions entre eux, comme on peut le voir lors d’un G8. Quand les chefs d’Etat négocient, ce sont des déclarations politiques, des communiqués. Là, c’est un texte de droit international avec des règles, des procédures. Comme un traité, même si on ne connaît pas précisément la forme juridique qu’il prendra.

Que se passera-t-il si vous ne parvenez pas à un accord à Paris?
Il n’y aura pas d’effondrement, mais un très grand découragement. Tout le monde en a marre de négocier. Si les pays n’arrivaient pas à se mettre d’accord sur un texte, c’est la responsabilité de la présidence, et donc de la France, d’en proposer un autre. On pourrait essayer de recommencer l’année prochaine, mais la communauté internationale s’était donnée cette date (celle de Paris, Ndlr) pour y arriver. D’ici là, il ne se passera rien de particulier, car tous les pays ont pris des engagements jusqu’en 2020 (l’accord de Paris devra entrer en vigueur en 2020, Ndlr).

Est-ce que, s’il le faut, vous essaierez de trouver un accord a minima?
Je ne travaille pas avec cette hypothèse. Il ne faut pas être obsédé par le résultat d’avoir un accord à n’importe quel prix, mais par le fait d’avoir un accord qui va faire quelque chose. Il ne faut pas penser accord a minima, il faut mettre les pays sous pression et garder cette tension jusqu’à la dernière minute.

Cela n’arrangeait-il pas tout le monde que la France soit candidate, pour ne pas avoir à porter cette responsabilité?
Oui. C’est une grande prise de risque, c’est sûr. Les présidences tournent et c’était au tour de l’Europe. Personne n’avait envie. Copenhague a coûté très cher au gouvernement danois. En réputation notamment, puisque six ans après, on parle encore de l’échec de Copenhague.

«Beaucoup de ministres veulent être sur la photo, le Président veut être sur la photo. Mais pour y être, il faut réussir. »

A l’inverse, une Cop21 réussie pourrait aussi redorer l’image de François Hollande…
L’image de la France c’est bien, mais ce n’est pas le sujet. Après peut-être que chacun peut en tirer quelque chose. C’est normal, tout le monde veut être sur la photo. Il y a une petite blague qui circule que je peux vous confier. Parallèlement à cette négociation climat, il y en a une sur les questions de biodiversité. Or, on dit que la négociation sur la biodiversité est une négociation sur les écosystèmes, et que celle sur le climat est une négociation sur les « égo-systèmes ». Tout le monde veut être le sauveur de la planète.

Y compris la France…
Oui, beaucoup de ministres veulent être sur la photo, le Président veut être sur la photo. Mais pour y être, il faut réussir. Sinon, on est sur une très mauvaise photo! Les Danois, c’était pareil. Ils voulaient que tous les chefs d’Etat soient sur la photo, et ils se sont plantés.

Vous vous intéressez aux questions environnementales depuis longtemps. Est-ce un aboutissement pour vous de mener ces négociations?
Oui. J’ai très souvent été au cœur des négociations, mais là c’est le cœur du cœur. A Copenhague, on représentait la France, un pays parmi d’autres. Donc c’est vrai que c’est un point d’aboutissement, et j’espère que ça va marcher. En général, les gens me connaissent plus à l’international qu’en France, car je me suis très rarement occupée de questions nationales. Même dans le cabinet de Lionel Jospin (de 1997 à 2002, Ndlr), je travaillais essentiellement sur les sujets internationaux.

Vous êtes une femme de gauche?
Ma famille politique est à gauche. Elle a pu être à l’extrême gauche il y a longtemps, plutôt au Parti socialiste maintenant. Mais je ne me suis jamais présentée à une élection, sauf dernière de liste à une élection municipale! Je fais de la politique au sens collectif. Cette question d’internationalisme, cette façon de ne pas penser qu’à son pays, est pour moi un ‘driver’ très fort, et il est plutôt de gauche. C’est un idéal pour moi.

 

Crise immobilier : un appartement , 6m2, Paris 76 000 euros

Crise immobilier : un appartement , 6m2, Paris 76 000 euros

Tous les lobbys l’affirme la crise immobilière est finie. Bien sût tout krach est exclu. A moins que les prix mondiaux ne continuent de baisser ! Et  que les actifs pourris ne viennent faire évaporer les fonds propres des banques.  La baisse des prix mais pas partout.  la preuve  la mise en vente pour 76.000 euros d’un « appartement » de 6,2 mètres carrés, situé rue de Maubeuge, dans le 9e arrondissement.  Cette annonce est relayée par une agence immobilière proche, et a été repérée par Le Parisien. Elle précise la présence d’une douche dans le studio, composé de « 1 pièce – 1 chambre », et que le prix comprend l’utilisation des toilettes situées sur le pallier. Aussi étonnante soit-elle, cette vente n’est pourtant pas illégale. Elle l’aurait été si elle proposait de louer cette surface comme résidence principale, car sa surface est inférieure aux 9 mètres carrés minimum prévus par la loi Carrez. Elle ne pourra pas non plus servir de location saisonnière, car elle fait moins de 7 mètres carrés.  En janvier 2013, RTL avait rencontré Dominique, un homme de 50 ans qui avait loué pendant 15 ans un logement de 1,56 mètres carrés, à Paris, pour 330 euros de loyer. Il avait ensuite porté plainte contre son propriétaire, accompagné par la Fondation Abbé Pierre.

Pollution Paris : Ségolène avec trois jours de retard

Pollution Paris : Ségolène avec trois jours de retard

 

 

On va donc attendre la fin du pic de pollution pour prendre des mesures. Ségolène si prompte à occuper les médias  une fois de plus réagit avec retard.   Comme sur le nucléaire, le barrage de Sivens, Notre Dame des Landes et tous les dossiers chauds. Il est clair qu’il fallait prendre des dispositions dès la constatation du pic par exemple avec la gratuité des transports collectifs. Lundi il y aura donc la circulation alternée quand la pollution aura disparu ! La gratuité des transports collectifs ce sera seulement ce week-end (comme la proposition de Ségolène de gratuité aussi des autoroutes,  proposée mais non retenue). Des mesures d’urgence s’imposaient bien plus tôt puisque Paris a été la ville la plus polluée du monde pendant quelques jours ( et bien d’autres régions en France). Une politique des transports à long terme aussi. Mais dans ce domaine c’est la contradiction la plus complète. Avec uen fiscalité qui avantage le diesel, la future augmentation d’environ 10% de la tarification des transports collectifs, la libéralisation des cars sur autoroutes et du transport routier marchandises etc. Il ya longtemps qu’il n’y a plus de politique des transports en France dont la responsabilité relève seulement d’un sous secrétariat d’Etat. Résultat celui là fait ce qu’il peut et la ministre de tutelle ( de l’écologie), Ségolène, pas grand-chose puisqu’elle ne connait rien. L’Etat a donc annoncé la mise en œuvre sous condition de la circulation alternée à partir de lundi à Paris après une polémique opposant la ministre de l’Ecologie à la maire de la capitale et aux écologistes sur la lutte contre la pollution. « Lundi, il y aura la circulation alternée sauf s’il y a une baisse manifeste de pollution demain et après-demain », a déclaré vendredi soir la ministre de l’Ecologie, Ségolène Royal, lors d’une conférence de presse. D’ici-là, les transports publics seront gratuits dès samedi en Ile-de-France, a-t-elle ajouté.  Le compromis annoncé par Ségolène Royal est loin des attentes de la maire PS de Paris, Anne Hidalgo, qui réclamait la mise en place de la circulation alternée dès vendredi, après plusieurs jours de forte pollution aux particules. La question a donné lieu vendredi à une passe d’armes entre Ségolène Royal et l’écologiste Cécile Duflot. La ministre de l’Ecologie a mis en garde contre toute « décision intempestive » pour justifier la fin de non-recevoir opposée à la demande de la maire de Paris sur la mise en place de ce dispositif vendredi.  Ce différend a poussé François Hollande à intervenir, pour annoncer qu’une décision serait prise en fin de journée. « La pollution devait être réduite aujourd’hui et encore davantage les jours suivants. Tel n’est pas le cas. Donc, la ministre de l’Ecologie va travailler cet après-midi pour savoir s’il y a un risque de pollution pour les jours à venir », a dit François Hollande à l’issue d’un Conseil européen à Bruxelles. La circulation alternée consiste à n’autoriser que les véhicules dont le numéro de plaque d’immatriculation est pair à circuler les jours pairs et inversement. Une telle mesure n’a été prise qu’à deux reprises, en octobre 1997 et en mars 2014. Après avoir essuyé un premier refus, Anne Hidalgo a demandé vendredi la mise en place pour la journée de samedi « de la circulation alternée et du contournement de l’Ile-de-France par les poids-lourds de transit ».

 

Pollution à Paris : Ségolène dans le brouillard

Pollution à Paris : Ségolène dans le brouillard

Paris la ville du monde la plus polluée, plus qu’à Londres ou en Chine ! En cause notamment le diesel. Pourtant Ségolène ne bouge pas. Bien entendu la circulation alternée porterait d’abord préjudice aux travailleurs de la banlieue et une  politique à long terme s’impose en tenant compte des paramètres environnementaux, économiques et sociaux. La circulation alternée n’est pas la meilleure solution mais en cas de cirse comme en ce moment elle peut s’imposer temporairement.  Une fin de non-recevoir de Ségolène qui a indigné l’édile. «La santé des Parisiens ne se négocie pas. Je maintiens ma demande de mise en place de la circulation alternée», a écrit Anne Hidalgo, jeudi soir, sur son compte Twitter. Et Ségolène Royal de répliquer aussitôt sur le réseau social: «Pas raisonnable d’imposer si vite cette galère à la banlieue. Demander d’abord aux Parisiens de prendre transports et bus électriques». «Ça fait quatre jours que la métropole suffoque! Pas raisonnable de rester inactif», s’indigne Bruno Julliard, le premier adjoint PS à la maire de Paris. Mais la ministre de l’Ecologie doit faire à un nouveau front: celui des écologistes. «On étouffe et la ministre regarde ailleurs…», lance Christophe Najdovski, l’adjoint EELV à la maire de Paris chargé des Transports. «Il y a ceux qui ont compris et ceux qui n’ont pas compris la gravité de la situation», explique Cécile Duflot, invitée vendredi d’Europe 1. Pour l’ancienne ministre, la circulation n’est «pas un caprice» mais «une question de santé publique utile et même indispensable». L’écologiste rappelle qu’un tel dispositif avait déjà été mis en place l’année dernière. «La circulation alternée a montré son efficacité», insiste Cécile Duflot qui dénonce «une erreur, incompréhensible et consternante» de Ségolène Royal.

Drones sur Paris :on attend quoi pour les interdire ?

Drones sur Paris :on attend quoi pour les interdire ?

 

Des drones sur Paris, sur les centrales nucléaires, demain transformées en armes dans un espace public. On se demande pourquoi attend pour en interdire complètement la commercialisation et  l’usage sauf sur les espaces strictement privés ( agricoles par exemple).  A moins d’attendre une catastrophe Au moins cinq drones ont été aperçus dans la nuit de lundi à mardi survolant différents endroits de Paris, entre minuit et 6h et leurs pilotes n’ont pu être interpellés, a-t-on appris de sources proches de l’enquête. Le premier drone a été aperçu près de l’ambassade des Etats-Unis peu après minuit, « mais la Tour Eiffel, les Invalides ou encore la Concorde ont également été survolés », a précisé une de ces sources. « Il pourrait s’agir d’une action coordonnée mais nous n’en savons pas plus pour l’instant », a-t-elle expliqué. Assez rapidement, en raison du caractère sensible des lieux, les premiers services de police présents ont tenté de suivre l’appareil qui « a continué son survol vers les Invalides », a expliqué une source proche de l’enquête, avant que les policiers ne perdent sa trace. Différents services de police ont été mobilisés dans la nuit, sans succès. « Nous avons tout déployé pour tenter d’intercepter les pilotes mais ils n’ont pas été détectés », a regretté une autre source. Concernant le survol de l’ambassade des Etats-Unis, les investigations ont été confiées à la section de recherche de la gendarmerie des transports aériens (GTA). La police judiciaire parisienne a, elle, été chargée des autres survols. Il y a un peu plus d’un mois, le 20 janvier, l’Elysée avait été survolé par un drone, « mais jamais autant de drones n’avaient été aperçus en une nuit », a assuré la source policière. Une vingtaine de vols de drones, dont les auteurs n’ont pas été identifiés, ont également été observés ces derniers mois aux abords de sites nucléaires. Par ailleurs, les 26 et 27 janvier derniers, plusieurs drones ont été détectés à proximité du site militaire nucléaire de l’Ile Longue, dans la rade de Brest.

 

Immobilier – Paris : un appartement de 6,2 m² pour 76.000 euros ou 1 m2 pour 12 000 euros

Immobilier -  Paris : un appartement de 6,2 m² pour  76.000 euros ou 1 m2 pour 12 000 euros

Non le marché immobilier ne se porte pas aussi mal qu’on le dit, la profession indique même que le marché va reprendre. La preuve cette annonce pour un appartement de 6m2 pour 76 000 euros. La problématique est simple du fait de la spéculation ces dix dernières années, l’accès à la propriété devient improbable  pour nombre de candidats qui n’ont pas la solvabilité suffisante pour emprunter. Du coup pourquoi ne pas diviser par 10 la surface d’un appartement et les vendre par morceaux. 60m2 pour 760 000 euros c’est presque inaccessible mais 6 m2 pour 76 000 euros c’est possible. Pour les candidats à accession peu fortunés on peut même vendre les 6, 2m2 à la découpe, par m2, soit 12 000 euros. Il y a donc encore des progrès à faire en matière d’ingénierie financière dans immobilier  en inspirant de cet exemple de cet appartement à  76.000 euros de 6,2 mètres carrés, situé rue de Maubeuge, dans le 9e arrondissement.  Cette annonce est relayée par une agence immobilière proche, et a été repérée par Le Parisien. Elle précise la présence d’une douche dans le studio, composé de « 1 pièce – 1 chambre », et que le prix comprend l’utilisation des toilettes situées sur le pallier. Aussi étonnante soit-elle, cette vente n’est pourtant pas illégale. Elle l’aurait été si elle proposait de louer cette surface comme résidence principale, car sa surface est inférieure aux 9 mètres carrés minimum prévus par la loi Carrez. Elle ne pourra pas non plus servir de location saisonnière, car elle fait moins de 7 mètres carrés.  En janvier 2013, RTL avait rencontré Dominique, un homme de 50 ans qui avait loué pendant 15 ans un logement de 1,56 mètres carrés, à Paris, pour 330 euros de loyer. Il avait ensuite porté plainte contre son propriétaire, accompagné par la Fondation Abbé Pierre.

Immobilier Paris : dix ans de salaires en plus pour acheter

Immobilier Paris : dix ans de salaires en plus  pour acheter

Encore une confirmation que le marché est désormais interdit à nombre de primo accédants. Cela vaut bien sûr à Paris mais aussi ailleurs surtout dans les grandes villes. L’immobilier est un investissement sûr, entend-on souvent. Encore faut-il en avoir les moyens. À Paris, il est de plus en plus compliqué pour un travailleur aux revenus moyens de pouvoir devenir propriétaire. Selon une étude UFC-Que choisir, il faut économiser dix années de salaire de plus qu’il y a trente ans pour acheter un 75 m² dans la capitale. En 1984, il était possible de devenir propriétaire en économisant 13,3 années de revenus net moyen. En 2014, le chiffre s’élève à 23,5 ans. Une différence d’autant plus importante, qu’il y a trente ans le salaire net moyen était de 12.255 euros annuels. Il est aujourd’hui de 26.267 euros. « L’opération n’est plus envisageable pour un primo-accédant, à moins de gagner remarquablement bien sa vie », souligne l’étude. Les prix sont devenus démentiels à Partis évidemment mais dans beaucoup de grandes villes. Pas de relance à  attendre aussi bien du neuf  ( à cause notamment du prix du foncier) que de l’ancien. Une seule solution : que les prix baissent. Ce qu’attendent les acheteurs potentiels primo- accédants comme les autres. Pas une petite baisse mais une évolution substantielle comme celles qui se sont produites en zone rurale mais dans nombre de viles moyennes et petites, dans les zones périphériques des grandes villes. De baisses qui vont jusqu’à 50% ! En fait l’immobilier est devenu un marché hautement spéculatif et comme tel il est soumis à des fluctuations irrationnelles à  la  hausse comme à la baisse. Jusqu’à ces années dernières c’était à la hausse ; une bulle dans le secteur n’est pas exclure  tellement le marché est actuellement figé et l’attentisme généralisé.

Foot- PSG- Rennes : Paris encore petits bras

Foot- PSG- Rennes : Paris encore petits bras

 

Encore un match insipide pour le PSG et devant son public. Tellement insipide que le public a sifflé. Toujours les mêmes faiblesses :  manque d’engagement, de vitesse, de forme physique et d’adresse devant le but adverse. Bref sur cette prestation et celles toutes aussi décevantes qui l’ont précédé pas de miracle à attendre en ligue des champions. Même pas sûr que Paris parvienne à redevenir champion de France ; et pour couronner le tout Blanc toujours aussi insignifiant avant, pendant et après le match. Bref c’est uen saison en grande partie perdue qui se prépare en grande partie du fait d’une incompétence en matière de management.  Les Parisiens s’imposent face au Stade Rennais au terme d’un match globalement dominé, mais dont ils n’ont jamais su tuer le suspense. Mis à part le but de Lavez, inscrit au terme d’une action fantastique, le PSG n’a pas montré grand-chose ce soir. Rennes non plus, mais sur une ou deux situations favorables, les Bretons auraient pu accrocher le point du nul. Les hommes de Laurent Blanc reviennent à une longueur de Lyon en tête du classement, avant le déplacement du leader à Monaco dimanche soir.

 

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