Archive pour le Tag 'paresseux ?'

PSG: Messi et Neymar deux mercenaires paresseux peu reconnaissants

PSG: Messi et Neymar, deux mercenaires paresseux peu reconnaissants

Dans une interview Neymar se montre sans concession avec le PSG: « J’étais très heureux pour Messi, pour sa saison, même s’il a tout connu. Il est allé au paradis avec l’Argentine, il a vécu l’enfer à Paris, nous avons vécu l’enfer lui et moi ». Messi de son côté a aussi évoqué ses difficultés au PSG. Le problème de ces deux joueurs sans doute parmi les meilleurs du monde c’est qu’ils se sont comportés comme des mercenaires trop payés, paresseux et peu reconnaissants.

Avec des salaires de près de 10 millions par mois, il n’y avait pas matière à être malheureux. Par ailleurs sur le plan des résultats sportifs, les deux intéressés ont décu profondément déçu. Neymar parce qu’il n’a joué qu’à mi-temps en raison d’une vie dissolue. Et Messi pour avoir joué comme un retraité.

Compte tenu de leurs prestations, les deux joueurs visés devraient avoir honte de se plaindre du soi-disant enfer au PSG.

Scandale- Foot-PSG: l ‘équipe de mercenaires paresseux encore battue

Scandale- Foot-PSG: l ‘équipe de mercenaires paresseux encore battue

PARIS, ENCORE BATTU ET ÉLIMINÉ DÈS LES 8ES DE LA LIGUE DES CHAMPIONS

Le club de la capitale s’est incliné 2-0 mercredi soir sur la pelouse du Bayern Munich, trois semaines après la défaite 1-0 à l’aller.

Comme d’habitude le PSG ne pèse pas lourd en Europe avec son équipe de mercenaires paresseux trop payés.( des millions par mois pour les sénateurs du foot français du PSG qui en fait jouent vraiment 1 match sur 3 !)

Pour le PSG, la fin de saison s’annonce très longue avec pour seul objectif de préserver les huit points d’avance en tête du classement de la Ligue 1. Ces derniers mois seront aussi très pénibles pour Christophe Galtier, déjà fragilisé par la série de mauvais résultats en février.

Foot-PSG:l’équipe de mercenaires paresseux encore battue

Foot-PSG:l’équipe de mercenaires paresseux encore battue

PARIS, ENCORE BATTU ET ÉLIMINÉ DÈS LES 8ES DE LA LIGUE DES CHAMPIONS

Le club de la capitale s’est incliné 2-0 mercredi soir sur la pelouse du Bayern Munich, trois semaines après la défaite 1-0 à l’aller.

Comme d’habitude le PSG ne pèse pas lourd en Europe avec son équipe de mercenaires paresseux trop payés.

Pour le PSG, la fin de saison s’annonce très longue avec pour seul objectif de préserver les huit points d’avance en tête du classement de la Ligue 1. Ces derniers mois seront aussi très pénibles pour Christophe Galtier, déjà fragilisé par la série de mauvais résultats en février.

Revenu universel du travail : une réflexion de paresseux et d’incompétent

Revenu universel du travail : une réflexion de paresseux et d’incompétent

 

Une étude récente d’Allianz vient de démontrer que les Français sont bon derniers en Europe en matière de culture financière qu’il s’agisse de la gestion de leurs finances personnelles, de crédits ou encore d’épargne. D’une façon plus générale cette incompétence concerne l’ensemble du champ économique. Une insuffisance évidemment dramatique car elle permet de donner un écho favorable à toutes les orientations démagogiques. D’après les promoteurs du revenu universel,  le travail serait appelé à disparaître remplacé par la diffusion du numérique, des algorithmes et des robots. Du coup, le pouvoir d’achat serait assuré par le versement à tous les Français d’un revenu minimum qui varie de 600 € à 1000 € selon les propositions soit 400 à 700 milliards. Une paille ? Évidemment se pose la question du financement étudié de manière aussi superficielle que le phénomène d’évolution structurelle de la nature et de la quantité du travail. Il suffira de taxer les robots voire même de leur donner une responsabilité civile comme le propose Benoît Hamon. Bref l’irréalisme, l’utopie et la fumisterie. La plupart de ceux qui proposent ce revenu pour compenser la fin du travail n’ont évidemment jamais mis les pieds dans le monde productif, il n’en qu’une connaissance concrète approximative des réalités socio-économiques du monde de l’entreprise. C’est le cas de tous les politiques qui n’ont jamais travaillé ailleurs que dans des fonctions électives. Bref les oligarques qui ont transformé cette fonction élective en métier. Même observation aussi pour nombre d’économistes dont les avis sont d’ailleurs complètement contradictoires. Ce qui n’est guère surprenant car l’économie n’est pas une science exacte surtout dans une période caractérisée par des mutations systémiques complexes qui exigent d’articuler les problématiques économiques, financières, technologiques, sociales, environnementales et sociétales. S’il est clair que la numérisation et la robotisation vont continuer d’affecter les conditions de production et de l’emploi, il est tout aussi évident que les emplois voient vont évoluer dans leur nature. On oublie souvent de dire que la moitié des produits qui seront consommés en 2050 sont aujourd’hui inconnus. On ne connaît pas leur nature et forcément leurs conditions de production. Il faut quand même noter que les pays qui se sont le plus robotisé sont aussi ceux qui connaissent la meilleure situation d’emploi : l’Allemagne par exemple. Mais ceci est également lié aux conditions économiques et sociales générales. On oublie de la même manière de dire que si le travail actuel est délocalisable, les robots le seront encore. On voit mal pourquoi des investisseurs maintiendraient de production dans des pays qui seraient surtaxés. Les projections de la plupart des organismes de prospective sont tout à fait aléatoires et très contradictoires dans ce domaine aussi complexe. Certains prévoient la suppression de millions d’emplois. Parmi la somme d’études sur la question, l’une peut spécialement mériter de retenir l’attention. Dénommée « Penser l’emploi autrement », elle émane du Lab’Ho, un think tank du groupe Adecco. Elle a été dirigée par Tristan d’Avezac, expert des questions d’emploi et d’accompagnement des transitions. Ce rapport dresse un état des lieux très complet des transformations qui sont à l’œuvre: le développement rapide des formes particulières d’emploi (CDD, intérim) ; le regain du travail indépendant, avec le développement du statut d’auto-entrepeneur et l’essor des plateformes dites « collaboratives », style Uber ; l’émergence des statuts « hybrides », tels le portage salarial et les coopératives ; les groupements d’employeurs, etc. Il constate aussi que la révolution numérique va entrainer une « disparition des collectifs de travail traditionnels » et que le risque d’isolement des travailleurs de l’économie numérique est bien réel. A l’instar du WEF, l’étude plaide pour une rapide mutation de la formation vers des compétences « digitales et comportementales ». L’étude du cite un rapport du Centre d’Analyse Stratégique (CAS) sur l’évolution de l’emploi à l’horizon 2030 qui identifie « trois grandes tendances de réallocation des emplois entre secteurs porteurs et en déclin ». Ainsi, les emplois d’utilité collective et des services à la personne connaîtraient une certaine croissance. En revanche, le déclin frapperait «l’emploi industriel fortement impacté par la concurrence internationale ». Enfin, il y aurait une stabilité des secteurs d’intermédiation et de la construction. In fine, le rapport du CAS conclut que, si le bilan en termes d’emploi est positif avec près de 1,8 million d’emplois créés, d’importants mouvements « de réallocations sectorielles auront lieu, nécessitant un système de formation adapté à la hausse des qualifications et à l’orientation davantage servicielle des métiers ». Si la problématique de la disparition du travail apparaît en France ce n’est sans doute pas par hasard, c’est lié à la capacité des pouvoirs publics à mettre en place les conditions économiques générales pour favoriser la croissance et l’emploi. Ceux qui pronostiquent la fin du travail font ainsi l’impasse sur les facteurs explicatifs du chômage en France car cela remettrait en cause trop de tabous. La fin du travail et son remplacement par le revenu universel sont donc le produit de responsable paresseux autant qu’incompétent.

Suisse : les travailleurs français trop paresseux ?

Suisse : les travailleurs français trop paresseux ?

Par crainte d’embaucher des frontaliers français, certains recruteurs helvétiques ajoutent désormais la mention « Suisse et résidence Suisse » parmi leurs critères de sélection lors des embauches, explique le journal « Le Matin Dimanche ».  Le journal prend en exemple un poste proposé sur l’Internet dans une banque genevoise pour un collaborateur dont la mission consiste notamment à ouvrir et fermer des comptes de clients. « Les patrons craignent d’engager des Falciani ou des Condamin-Gerbier en puissance », fait valoir le journal. Pierre Condamin-Gerbier est un ancien collaborateur de la banque Reyl & Cie qui est actuellement en prison à Berne pour son témoignage dans l’affaire Cahuzac. Des critiques similaires avaient également refait surface en 2009 lorsqu’Hervé Falciani, un ancien informaticien de la banque HSBC en Suisse, avait vendu un fichier volé comportant une liste d’évadés fiscaux. Les discriminations ne touchent toutefois pas exclusivement le secteur bancaire. « Le Matin Dimanche » cite ainsi une PME Suisse active dans le secteur de la construction qui écarte les Français après plusieurs mauvaises expériences. Les Français embauchés étaient souvent malades le lundi et le vendredi, se plaint la responsable du recrutement, qui fustige leur attitude revancharde et revendicatrice. « Il y a toujours un problème. Alors que les Espagnols et les Portugais, ça n’a vraiment rien à voir », a-t-elle déclaré sous couvert de l’anonymat. Les cabinets de recrutement interrogés par journal suisse disent cependant se conformer aux exigences de certaines entreprises en exigeant que les candidats soient Suisses ou résident en Suisse. Ces discriminations à l’embauche sont pourtant illégales, rappelle le journal. La Suisse ayant signé en 1999 un accord de libre circulation avec l’Union Européenne qui entérine le principe de l’égalité de traitement entre les ressortissants de l’Union et les Suisses. Pour écarter les CV des Français, les entreprises peuvent cependant jouer sur les critères de recrutement, en demandant par exemple un excellent niveau d’allemand même lorsque la langue n’est pas nécessaire pour le poste. Elles peuvent également invoquer les quotas à l’immigration, récemment ré-institués.

 




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