Archive pour le Tag 'pardon'

Angela Merkel demande «pardon», pas Macron !

Angela Merkel demande «pardon», pas Macron !

 

De toute évidence , il y a une grande différence de comportement démocratique entre Merkel et Macron. La chancelière est particulièrement aimée dans son pays même si elle est maintenant en fin de carrière. Elle sait se montrer ferme mais sans jamais adopter de posture condescendante ,  voire méprisante comme le fait souvent macron On voit mal Macron, le président jupitérien, présenter ses excuses pour le fiasco complet de sa politique sanitaire. On objectera que cette demande de pardon, pratiquée ailleurs notamment en Afrique ne fait pas parti du bagage politique traditionnel en France où le président se prend le plus souvent par une sorte de monarque absolu.

 

 

Pourtant force est de constater que la politique sanitaire de la France constitue un dramatique échec, un échec qui avait commencé avec les masques, qui a continué avec les tests et maintenant avec les vaccins. Certes la pandémie se développe dans la plupart des pays mais avec des proportions très différentes. Ainsi en Grande-Bretagne après avoir multiplié nombre d’erreurs, on a su aussi redresser la barre et par exemple il y a deux jours on a constaté seulement 17 morts en 24 heures pour 350 en France.

 

Ne parlons pas de ce troisième confinement qui n’en est pas un et que personne n’a compris en dépit des bavardages insupportables de Castex et du ministre de la santé.

 

Engela  Merkel s’est excusé pour avoir envisagé des mesures trop restrictives au cours des fêtes de Pâques. Son mea culpa est sans ambiguïté :  «Cette erreur était uniquement la mienne… Elle doit être reconnue comme telle et surtout corrigée», s’est excusée, les yeux cernés, la chef du gouvernement, éreintée par la presse allemande.

 

Très vite, l’idée de fermer les magasins pour seulement quatre jours était apparue absurde, beaucoup anticipant un afflux prématuré des consommateurs, au risque de propager l’épidémie.

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Vaccin: Véran demande pardon !

Vaccin: Véran demande pardon !

 

 

Olivier Véran  aura tout dit, le contraire aussi. Il aura même été capable d’introspection et de demander le pardon des Français noyés sous les flots de paroles du ministre de la santé et du président de la république. Interrogé ce dimanche 10 janvier, le ministre de la Santé a en effet reconnu des erreurs dans la communication de l’exécutif.

 

Il y a en effet eu un « manque de clarté dans la communication et l’explication de la campagne vaccinale ». Une erreur que le ministre assume : « Je prends personnellement le point là-dessus. » Un exercice débuté dès jeudi. Le locataire de l’avenue Duquesne avait ainsi estimé sur BFMTV avoir peut-être été « un peu trop défensif dans la façon d’aborder le vaccin », voire « un peu trop prudent ». Seulement, en trois jours, son discours à quelque peu changé.

 

Tandis qu’il réfutait jeudi l’idée selon laquelle il avait été guidé par l’opinion des anti-vaccin, particulièrement nombreux dans le pays, il envisage désormais cette possibilité. « Nous avons sans doute internalisé l’espèce de défiance générale vis-à-vis des vaccins dont on parlait en permanence sur les plateaux et dans les familles », a-t-il reconnu sur Europe 1.

« . Olivier Véran a notamment fustigé le président LR de la région Grand-Est, Jean Rottner, qui avait décrit un « scandale d’État ». « Parler d’un ‘scandale d’État’ au bout de cinq jours ? Ne me dites pas qu’il n’avait pas trouvé la formule avant même que nous commencions à vacciner », a-t-il réagi.

 

Reste à voir si cette offensive pourra convaincre la grande majorité des Français qui juge la campagne gouvernementale comme « pas assez rapide ».

 

Laurent Wauquiez (LR): pardon !

Laurent Wauquiez (LR): pardon !

« Nous n’avons pas toujours été à la hauteur » a déclaré Laurent Wauquiez président des Républicains.  »Et il faut qu’on soit à la hauteur de ce que vous attendez, de la responsabilité qui nous incombe. Redonner aux Français un choix. » La mode semble donc à la contrition chez les politiques. Ce mea culpa fait suite à celui de Macon qui à chacune de ses interventions s’excuse désormais de ses maladresses qui ont pu blesser les Français. En fait il semble bien que le pardon soit influencé par la perte de popularité des intéressés. Macron  lui n’est plus soutenu que par environ 20 % des Français. Pour Laurent Wauquiez, c’est la bérézina. Traditionnellement le score de ce parti tourne autour de 20 % mais les sondages en cours pour les élections européennes ne lui accordent actuellement que 8 % soit juste un point devant Dupont Aignan qui semblent le grand bénéficiaire de la révolte des gilets jaunes.

Le Rassemblement national (RN), lui, retrouve son score arriverait en tête des élections européennes, selon un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour Franceinfo publié ce vendredi. Mais toutes les formations politiques perdraient de nombreuses voix si une liste citoyenne gilets jaunes se présentait, puisqu’elle est créditée de 8% des voix. Dans le détail, le RN récolte 24% des voix, soit une hausse de 3 points par rapport à septembre. Toujours en tête si une liste gilets jaunes était constituée, le parti de Marine Le Pen baisserait à 21%. Le parti majoritaire, LaREM, rassemble quant à lui 19% des votes et connaît une baisse de 2,5 points en 3 mois. Les Républicains connaissent de leur côté une chute significative dans les intentions de vote, avec une baisse de 6 points pour atteindre les 8% des voix, seulement 1 point de plus que le parti Debout la France de Nicolas Dupont-Aignan.  D’une certaine façon Laurent Wauquiez reconnaît l’échec de sa stratégie : « je ne suis ni sourd ni aveugle. En prenant la tête des Républicains, je savais bien que la mission serait difficile après l’un de nos pires échecs. ….Je sais aussi que nous n’avons pas toujours su convaincre ni nous faire entendre. Nous avons certainement commis des erreurs et j’en suis conscient » avance encore Laurent Wauquiez lors de ses vœux.

« J’ai parfois donné prise aux caricatures médiatiques si promptes à résumer le débat d’idées à quelques anecdotes et petites phrases. J’entends les critiques et l’année à venir nous permettra d’y répondre », ajoute-t-il, appelant à « l’unité et à la constance ». À gauche, à gauche, les parties connaissent une dérive encore plus prononcée. La France insoumise qui avait fait près de 20 % aux présidentielles se retrouve avec 11,5 %. Le parti socialiste devient marge avec 7 % comme les écolos. Une éventuelle liste des gilets jaunes pourrait recueillir autour de 8 %.

Le révérend père Richard Ferrand accorde le saint pardon à la pécheresse Aina Kuric.

Le révérend père Richard Ferrand accorde le saint pardon à  la pécheresse  Aina Kuric.

 

La clémence d’Auguste et l’absolution papale de la part de Monseigneur Ferrand, par ailleurs président la république en marche. Mgr Ferrand connaît le péché pour l’avoir lui-même pratiqué en ayant  profité de ses responsabilités politiques afin d’enrichir sa compagne (le procès est toujours en train de s’enliser). Magnanime, il a donc refusé de sanctionner la rebelle députée qui avait voté contre la loi asile et migration. «S’abstenir, c’est un péché véniel ; voter contre, c’est un péché mortel». Tels étaient les mots martelés par Richard Ferrand, le président du groupe LaREM à l’Assemblée nationale, lors de l’examen en première lecture de la loi asile et immigration au printemps dernier. Un principe qui a coûté sa place au sein du groupe macroniste à Jean-Michel Clément: l’élu de la Vienne a voté contre le texte controversé en avril, et il a ensuite quitté les bancs des marcheurs après avoir été poussé vers la sortie par la direction. La semaine dernière, une autre élue a décidé de voter contre le texte, lors de son examen en deuxième lecture à l’Assemblée: il s’agit de Aina Kuric. La députée de la Marne, qui s’était déjà abstenue en avril, a cette fois décidé de franchir le Rubicon de la fronde.  «Nous ne sommes pas des fonctionnaires chargés d’appliquer à la lettre un règlement, mais des responsables politiques libres d’apprécier dans l’intérêt commun de chaque situation, chaque cas d’espèce. Comme je l’ai également toujours affirmé, dans notre groupe on ne vire pas, on discute», a-t-il encore expliqué en huis clos. «Je vous propose de clore le sujet et vous demande d’approuver ma proposition d’être clément avec notre collègue», a enfin conclu Richard Ferrand. Cette bienveillance du patron des députés marcheurs peut s’expliquer par le contexte difficile que traverse actuellement la Macronie. Sans doute aussi par le fait que Richard Ferrand déjà viré de son portefeuille ministériel devrait sans doute être également écarté du poste de président du groupe parlementaire d’en  marche pour que le groupe parlementaire macroniste retrouve un peu de crédibilité.

 

 

Déficit budgétaire : Madrid demande pardon à la commission européenne

Déficit budgétaire : Madrid demande pardon à la commission européenne

 

Le déficit budgétaire espagnol va sans doute dériver en raison d’une part de la crise économique mais aussi de la crise politique puisque l’Espagne n’est toujours pas capable de former un gouvernement. Des élections seront d’ailleurs organisées fins juin pour tenter de trouver une majorité et de dégager un gouvernement stable. Madrid demande donc pardon à la commission européenne surtout pour éviter d’avoir à subir les pénalités prévues en cas de dépassement budgétaire, soit environ 2 milliards. Le président du gouvernement espagnol par intérim, Mariano Rajoy, a donc adressé un courrier à la Commission européenne lui demandant de ne pas appliquer à son pays une amende pour manquement aux objectifs de réduction du déficit budgétaire en 2015. Mariano Rajoy explique dans cette lettre envoyée au président de l’exécutif européen Jean-Claude Juncker que l’Espagne a consenti d’importants efforts, réduisant de moitié son déficit public, au cours des quatre dernières années, indique le quotidien El Pais. Un porte-parole de la Commission européenne a confirmé qu’un courrier de l’Espagne avait été reçu et qu’il allait être examiné. Une source au sein du gouvernement espagnol a précisé que la lettre reprenait des informations qui avaient déjà été transmises à Bruxelles lors des derniers plans de réduction du déficit budgétaire. Celui-ci devait être ramené à 4,2% du PIB pour 2015 mais cet objectif n’a pas pu être atteint en raison d’une hausse des dépenses des régions et d’une baisse des revenus tirés des cotisations sociales. La Commission européenne envisage d’infliger des pénalités à l’Espagne et au Portugal en raison de ces manquements. Toutefois, des responsables ont expliqué à Reuters que la sanction pourrait être symbolique. La pénalité maximale est de 0,2% du PIB, ce qui équivaudrait dans le cas de l’Espagne à 2,16 milliards d’euros.

(Avec Reuters)

Invasion Irak « Pardon » (Tony Blair)….amen!

Invasion Irak « Pardon » (Tony Blair)….amen!

 

Des aveux un p eu tardifs mais pas inutiles. Blair l’un des plus véhéments pour éliminer Saddam reconnaît aujourd’hui que c’était une erreur et cela a favorisé l’émergence de l’Etat islamique. Une confession sans doute permise parce que Blair n’espère plus le moindre mandat politique (il se contente de faire des conférences à 200 ou 300 000 euros dont Sarko s’est inspiré). Il est pourtant clair qu’en destituant les régimes en place, certes pas très démocratiques et même souvent sanguinaires on a en même complètement déstabilisé des pays qui n’avaient aucun système de rechange sinon l’anarchie ou la dictature religieuse et ou ethnique. Plus de douze ans après le début de l’invasion de l’Irak, l’ex-Premier ministre britannique Tony Blair a donc présenté « des excuses » pour cette intervention en 2003, durant laquelle il fut le principal allié de Georges W. Bush, dans une interview à la chaîne américaine CNN, qui doit être diffusée lundi 26 octobre. Face à Farid Zakaria, commentateur en faveur de l’invasion américaine à l’époque, avant de basculer du côté des opposants, Tony Blair reconnaît également une part de responsabilité dans la montée actuelle de l’organisation État islamique (EI) en Irak et en Syrie voisine. C’est la presse britannique qui a révélé ces déclarations avant leur diffusion.  « Je présente des excuses pour le fait que le renseignement était faux. Je présente également des excuses, au passage, pour certaines erreurs de planification et, certainement pour notre erreur dans la compréhension de ce qui arriverait une fois que nous aurions renversé le régime. Mais il m’est difficile de demander pardon pour avoir renversé Saddam« , a déclaré Tony Blair à CNN, selon des propos rapportés par le quotidien The Telegraph et plusieurs tabloïds.   La référence au faux renseignement, peut laisser penser que Tony Blair évoque les supposées armes de destruction massive de Saddam Hussein, qui ont grandement conduit à l’intervention des États-Unis et de la Grande-Bretagne en Irak en 2003. La coalition américaine avait peu préparé l’occupation du pays, qui devait suivre la chute du régime de Saddam Hussein. Sur CNN, lorsqu’on demande à Tony Blair s’il considère que l’invasion a mené à l’essor de l’EI, l’ancien Premier ministre répond : « Je pense qu’il y a là des éléments de vérité. Bien sûr, vous ne pouvez pas dire que ceux qui ont renversé Saddam en 2003 n’ont aucune responsabilité dans la situation en 2015« .

Morano doit demander pardon (Sarkozy)

Morano doit demander pardon (Sarkozy)

En réalité Sarkozy veut mettre Morano à genoux en la contraignant à écrire une lettre d’excuses suite à ses propos racistes relatifs à la race blanche. Pas sûr cependant que l’intéressé consente à revenir en arrière. Moins pour des considérations philosophiques et idéologiques qui lui échappent largement que pour l’occasion extraordinaire qu’elle a de sortir de l’ombre et d’occuper ainsi une place médiatique exceptionnelle pour elle. Ses explications sont en effet pathétiques, elle ne cesse de s’enfoncer dans son argumentaire fumeux et contradictoire. Mais là n’est pas l’essentiel, Morano à l’occasion d’exister grâce à l’outrance de ses propos ! Nadine Morano, condamnée par Nicolas Sarkozy pour avoir parlé de la France comme d’un pays « de race blanche », devrait selon toute vraisemblance être évincée mercredi de la campagne des Républicains pour les élections régionales, une sanction qui ne fait pas l’unanimité au sein de la formation d’opposition. L’élue européenne, qui dénonce « une cabale politique et médiatique » pour « une évidence de bon sens », a refusé mardi de présenter les excuses réclamées par le président de LR lors d’une réunion houleuse du bureau politique, où Jean-François Copé, ex-président de l’UMP, a pris sa défense, ont rapporté des participants. Nicolas Sarkozy a donné jusqu’à mercredi à l’élue pour retirer ses propos dans une lettre, a-t-on précisé. Mais l’inflexibilité de l’ancienne ministre, qui répète ne pas avoir commis de faute, risque de sceller son sort. Mercredi après-midi, la Commission nationale d’investiture (CNI) du parti devrait lui retirer la tête de liste en Meurthe-et-Moselle pour les élections régionales des 6 et 13 décembre. Nadine Morano, qui est vice-présidente de la CNI, a annoncé sur France 2 qu’elle serait mercredi à Strasbourg pour les interventions d’Angela Merkel et François Hollande devant le Parlement européen. « J’ai dit ‘La France est un pays de race blanche’, je n’ai pas dit ‘Les Français sont de race blanche’. Je sais que la communauté nationale est composée de tous ses habitants, quelle que soit leur couleur de peau, leur origine, leur histoire, leur croyance ou leur non croyance d’ailleurs », a-t-elle plaidé. « L’affaire Morano », embarrassante pour Nicolas Sarkozy, qui se prévaut d’avoir ramené l’unité au sein du parti d’opposition, est loin d’être close: des élus dénoncent en privé un « acharnement » contre ce bon soldat de la Sarkozy et s’inquiètent des effets de sa mise à l’écart sur un électorat prompt à défendre « Nadine ».

Nutella –Ségolène : « pardon j’ai dit une connerie »

Nutella –Ségolène : «  pardon j’ai dit une connerie »

 

C’est en substance ce qu’a dit Ségolène à propos de ses critiques concernant le Nutella ; C’est sa façon de faire de la politique et de faire parler deux fois d’elle. D’abord en racontant n’importe quoi puis en revenant dessus le lendemain. Souvenons-nous des autoroutes gratuites le dimanche ! En fait Ségolène dont l’équilibre mental mériterait d’être évalué veut donner du volume et du lustre à un ministère de l’écologie qui n’a jamais existé. Pour cela les coups de com. ; sont à peu près les seuls moyens dont elle dispose. Retour en arrière de la ministre de l’Ecologie ce mercredi après la polémique sur la célèbre pâte à tartiner. Lundi soir, sur le plateau du Petit Journal de Canal +, elle l’avait ouvertement critiqué, pointant du doigt l’utilisation de l’huile de palme. Ses propos ont provoqué un tollé immédiat en Italie et Ségolène Royal a dû présenter ses excuses sur Twitter.  Ségolène Royal combattra sur un seul front à la fois. Elle a déjà fort à faire avec sa campagne contre une autre multinationale : Monsanto et son désherbant, le Roundup, considéré comme cancérigène. Alors, s’attirer les foudres de Ferrero, en Italie, la même semaine, ça fait beaucoup.  La ministre de l’Ecologie s’est donc fendu d’un tweet, ce mercredi, pour s’excuser de ses propos tenus lundi soir sur le plateau du Petit Journal, l’émission de Canal Plus.  »Mille excuses« , et une petite phrase d’apaisement de la ministre de l’Ecologie pour stopper la polémique. Elle avait accusé la marque Ferrero de contribuer à la déforestation en utilisant de l’huile de palme dans le Nutella. Ces propos ont été jugés « déconcertants » par Ferrero, qui a assuré mardi avoir bien conscience des enjeux environnementaux.  La polémique a même pris une tournure politique puisqu’un député italien a même demandé des excuses à la ministre française, ce qu’elle a fait ce mercredi sur la chaine Public Sénat, le sourire aux lèvres. « Je comprend que ces propos aient pu soulever un certain nombre de troubles. Je ne veux pas polémiquer« . A l’Elysée, un proche conseiller de François Hollande assure que le Président n’a pas appelé sa Ministre pour la réprimander. Il n’empêche, ces excuses publiques permettront au Président français de passer un week-end plus serein. Il doit rencontrer Matteo Renzi, le chef du gouvernement italien, à Milan, ce dimanche.

 

Valls : « J’ai fait une connerie, pardon » Amen !

 

Valls :  « J’ai fait une connerie, pardon » Amen !

 

C’est en substance ce que dit Valls dans le JDD. Pas encore tout à fait mais il y vient après avoir contesté les faits et même menti. Encore quelques jours et il va demander l’absolution pape François….ou à l’imam tolérant de Drancy! Manuel Valls reconnaît, dans le Journal du Dimanche, avoir fait « une bourde », alors qu’il se doit d’être « irréprochable ». « ?C’est une leçon à retenir. Ce fut une erreur, une bourde. J’ai pu donner l’impression aux Français que je ne me consacrais pas entièrement à eux. Je le regrette », affirme au JDD le Premier ministre au terme d’une tournée de trois jours à La Réunion et à Mayotte. Bravo la com.  ‘ » gauche RSCG » …. Mais un tard !




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