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Roumanie : l’extrême droite soutenue par Poutine battue

Roumanie :  l’extrême droite soutenue par Poutine battue

 

Ouf de soulagement en Roumanie mais avertissement cependant du fait de la montée des forces d’extrême droite soutenuse notamment par Poutine.

 

Les sociaux-démocrates pro-européens sont arrivés en tête des législatives dimanche en Roumanie mais l’extrême droite confirme sa forte percée, plongeant dans l’incertitude cet État voisin de l’Ukraine, membre de l’UE et de l’Otan. Le PSD – qui gouvernait jusqu’à présent avec les libéraux – a recueilli 23,5% des voix, devançant les autres formations, selon des résultats partiels portant sur le dépouillement de plus de 96% des bulletins. Toutefois l’ensemble des forces d’extrême droite combinées se situent à plus de 30%, soit le triple du précédent scrutin de 2020.

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la Géorgie menacée par l’influence russe

la Géorgie menacée par l’influence russe

 

Le parti « le rêve géorgien » sous influence russe est en train de verrouiller pour mieux la tuer la démocratie. Témoins les pressions sur tout ce qui est opposition et les immenses tricheries aux élections législatives.

par Thorniké Gordadzé Chercheur à l’Institut Jacques Delors, professeur à Sciences Po, ancien ministre de l’intégration européenne de Géorgie dans radiofrance

La coalition de l’opposition en appelle à la communauté internationale pour qu’elle reconnaisse l’ampleur des irrégularités dans ce pays candidat à l’Union européenne depuis décembre 2023. Comment expliquer l’influence croissante de la Russie en Géorgie ? Quelles orientations le nouveau Parlement prévoit-il concrètement ?

Le parti « Rêve géorgien » est accusé de fraudes électorales massives. Thorniké Gordadzé détaille les pratiques à l’œuvre : « ce parti procède à une campagne électorale extrêmement violente. Des pressions très fortes sont exercées contre les partis de l’opposition, contre les médias de l’opposition. Ils procèdent à l’achat de votes en rétribuant de l’argent aux électeurs pauvres. Les sondages sortis des urnes montraient que le parti au pouvoir se situait environ à 40%. Ils se sont rajoutés une quinzaine de points, pour se mettre à 54% », clame-t-il. Face à cette violation du processus électoral, une mobilisation est née et ne fera que grandir, selon le politiste, « parce que les quatre partis de l’opposition ont boycotté ensemble ce Parlement et ont refusé d’y siéger. La présidente de la République a également dénoncé les résultats de ces élections ».

« Le gouvernement géorgien actuel applique la méthodologie russe, affirme Thorniké Gordadzé, en s’appuyant sur des conseillers russes pour orchestrer des fraudes électorales similaires à celles observées en Russie et en Biélorussie ». La situation actuelle rappelle, à ses yeux, les manigances observées lors des élections en Moldavie, où « Maia Sandu a parlé de 300 000 voix volées » par des partis prorusses. Ce chiffre, équivaudrait à « 15% des votes » en Géorgie. Malgré ces tristes procédés, « la Géorgie reste le pays le plus pro-européen de la région, souligne-t-il, avec 80% de la population pro-européenne selon les sondages d’opinion ».

Selon Thorniké Gordadzé, le « Rêve géorgien a complétement verrouillé le système du point de vue judiciaire, médiatique et économique. Seules les entreprises proches du pouvoir ont pignon sur rue, les autres subissent des pressions, et là c’est un dernier acte en quelque sorte, parce que le rêve géorgien a promis qu’en cas de victoire, ils allaient interdire tout simplement les partis de l’opposition qu’ils accusent d’être des agents de l’étranger. À ce propos, ils ont adopté une loi par ce Parlement qui est une chambre d’enregistrement qui qualifie la plupart des ONG, la plupart des organisations de la société civile, comme étant des agents des forces étrangères. Ce parti est en train de détruire les derniers îlots de la démocratie dans ce pays », conclut-il.

Le dollar monte par rapport à l’euro

Le dollar monte par rapport à l’euro

 

Nouvelle hausse pour le dollar par rapport à l’euro; Le dollar atteint son plus haut niveau face à l’euro depuis plus d’un an, poussé par des politiques monétaires divergentes, entre une Fed attendue plus ferme que prévu du fait des risques d’inflation et une BCE jugée accommodante du fait de la faiblesse de la croissance. Vers 20h20 GMT, le billet vert s’appréciait de 0,60% par rapport à la monnaie unique, à 1,0479 pour un euro. Il est même monté jusqu’à 1,0462 euro, un sommet touché pour la dernière fois en octobre 2023.

 

Les opérateurs attribuent désormais une probabilité de 56% à une réduction d’un quart de point à l’issue de la prochaine réunion de la Fed, les 17 et 18 décembre, contre 72% la semaine dernière, selon l’estimation de CME Group. Les taux américains se trouvent actuellement dans la fourchette de 4,50 à 4,75%. Sur le long terme, le marché s’attend à trois baisses du taux directeur de la Fed d’ici fin 2025, alors que les opérateurs en prévoyaient six sur la même période il y a deux mois. Parallèlement, «il semble que la Banque centrale européenne (BCE) va être plus agressive que la Fed» dans ses baisses de taux, a noté M. Chandler, une position plus accommodante qui profite donc au dollar. Les marchés attendent déjà une baisse des taux lors de la prochaine réunion de la BCE, en décembre, et prévoient que le taux de référence baissera jusqu’à 2% d’ici mi-2025.

Athlétisme–exceptionnel record d’Europe par un Français

Athlétisme–exceptionnel record d’Europe par un Français

 

L’athlète français Étienne Daguinos a remporté samedi l’Urban trail de Lille en 27 minutes et 4 secondes, battant le record d’Europe du 10 km sur route qui était détenu depuis mars par son compatriote Jimmy Gressier.

 

Agé de 24 ans, Étienne Daguinos, 15e du 5.000 mètres lors des Championnats d’Europe à Rome en juin, a réalisé une course stratosphérique, battant son ancien record personnel de 45 secondes pour remporter la course devant les Kenyans Meshack Lelgut et Charles Rotich. Au bout de l’effort, il s’est effondré quelques secondes après avoir franchi la ligne d’arrivée.

 

 

 

Le budget dingo rejeté par l’Assemblée nationale

Le budget dingo rejeté par  l’Assemblée nationale

 

Ce budget complètement dingo a été rejeté par l’Assemblée nationale. Rien d’étonnant à cela dès le départ la proposition du gouvernement était déjà en contradiction avec ses propres objectifs ( notamment augmentation préférée des impôts par rapport à la réduction des dépenses). Ensuite les différents courants de l’assemblée de manière complètement contradictoire et souvent paradoxale n’ont eu de cesse de compléter le texte initial déjà bancal avec des impôts supplémentaires.

Du coup en finale la droite a rejeté ce « budget de gauche « incohérent et irresponsable. Le texte initial du gouvernement va donc être expédié au Sénat dans sa forme initiale pour un réexamen complet. Ensuite interviendra une réunion interparlementaire avant sans doute le recours aux 49 -3. On voit mal d’ailleurs comment Sénat et Assemblée nationale pourraient trouver un compromis cohérent visant en particulier au désendettement et à la réduction du déficit budgétaire. Bref le débat à l’Assemblée nationale n’a servi strictement à rien.

La partie « recettes » du texte a été approuvé par 192 députés, issus du Nouveau Front populaire, contre 362, membres des quatre groupes de la coalition gouvernementale et du Rassemblement national et de ses alliés ciottistes.

Une majorité de députés rejette le matraquage fiscal et ne peut pas légiférer contre le droit », a aussitôt réagi le ministre du Budget, Laurent Saint-Martin, à l’issue du scrutin.

« La culture de compromis et de coalition ne s’est pas vue. Je le regrette. L’examen du texte au Sénat va permettre de retrouver des amendements discutés à l’Assemblée nationale. Ce travail n’a pas servi à rien », a-t-il poursuivi devant un hémicycle bondé, après une séance de questions au gouvernement.

Le gouvernement Barnier s’apprête donc à retrouver une version du texte qu’il avait présentée il y a un mois jour pour jour après moults reports.

Notation financière de l’Espagne : relèvement de la note par Fitch

Notation financière de l’Espagne : relèvement de la note par Fitch

Alors que la plupart des agences de notation ont qualifié de négative l’évolution financière de la France, Fitch a contrario remonté à  « positive » la perspective de crédit de l’Espagne

L’agence de notation Fitch a relevé vendredi de « stable » à « positive » sa perspective de crédit pour l’Espagne, saluant des facteurs structurels à même de renforcer le potentiel de croissance et la résilience du pays face aux chocs extérieurs.

Fitch a notamment souligné les tendances positives du marché du travail grâce à une forte migration et des réformes, l’amélioration de la compétitivité et l’absence de déséquilibres macro-financiers.

 

Foot- l’OM humilié par Auxerre à Marseille

Foot- l’OM  humilié par Auxerre à Marseille

Une victoire surprenante et en même temps inquiétante pour l’OM humilié sur son terrain trois à un par l’AJ Auxerre.

 

Budget Sécu: Contre l’avis de la droite partie recettes votée par la gauche

Budget Sécu: Contre l’avis de la droite partie recettes votée par la gauche

Une nouvelle fois l’assemblée nationale ce singularise avec des votes complètement contradictoires. Ainsi la partie recettes du budget de la Sécu soutenue par le gouvernement a été rejetée par la droite mais par contre approuvé par la gauche. Le monde à l’envers évidemment. De toute manière ce projet de budget au final sera rejeté totalement et renvoyé au Sénat. Autant dire que ces discussions complètement surréalistes n’ont aucun sens.

 

L’Assemblée nationale a approuvé lundi, avec les voix de la gauche, une version profondément remaniée de la partie recettes du budget 2025 de la Sécurité sociale, les députés macronistes et de droite ayant voté contre et le RN s’étant abstenu. Le texte amendé, qui prévoit notamment 17 à 20 milliards de cotisations supplémentaires selon les députés, a été approuvé par 126 voix «pour» et 98 «contre». L’Assemblée va ainsi pouvoir entamer en soirée l’examen de la partie «dépenses» du texte.

 

Les élus du «socle» gouvernemental ont fustigé un texte «vidé de son sens et de tout sérieux, politique et budgétaire», comme l’a résumé François Gernigon (Horizons). «Vous avez créé des taxes et des charges pour près de 17 milliards», a déploré Thibault Bazin (LR) en s’adressant aux élus du Nouveau Front populaire (NFP)«Et là, les victimes, ce ne sont pas les grandes fortunes, ce sont les classes moyennes qui travaillent», a-t-il dit, fustigeant un texte qui «ne ressemble plus à rien».

 

Après le vote, le président du groupe MoDem Marc Fesneau a fait part de son agacement : «quand vous avez RN et NFP qui votent ensemble, vous voyez bien que c’est la collusion du populisme»«À la fin, le gouvernement va dire “voyez, tout ça n’est pas raisonnable, on va laisser ça au Sénat, car eux ce sont des gens responsables et raisonnables”», a-t-il ajouté.

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« Route solaire « : 5 millions d’euros gaspillés par Ségolène Royal

  »Route solaire « : 5 millions d’euros gaspillés par Ségolène Royal

Dans une petite commune de Normandie, un projet de  » route solaire » voulu par celle qui était alors ministre de l’Environnement a tourné court. Sept ans après leur installation, les panneaux photovoltaïques ont été retirés en mai 2024.

 Ce lundi 27 mai 2024, sur la route départementale 5, les panneaux solaires ont été  décollés du macadam entre deux averses, 7 ans seulement après leur installation. Ce jour-là, une «expérimentation» lancée tambour battant, et dans laquelle des millions d’euros ont été déversés, prend fin en catimini. Un exemple de gaspillage qui évidemment n’est pas le seul, le pire se trouvant sans doute dans le dérapage incontrôlé de budget public que plus personne ne contrôle.

 

Un enfant touché par balle victime de la « narcoracaille »

Un enfant touché par balle victime de la « narcoracaille »

 

Pendant  que les députés des « Insoumis » et des » écologistes » montrent une scandaleuse bienveillance vis-à-vis d’un député drogué ,  la « narcoracaille » continue d’œuvrer dans le pays. Un enfant de cinq ans circulant à bord d’une voiture conduite par son père a été grièvement blessé par balles à la tête samedi soir près de Rennes, lors d’une course-poursuite survenue quelques heures après une fusillade sur fond « narcoracaille ». 

Depuis plusieurs mois, des fusillades éclatent régulièrement dans certains quartiers de Rennes, à Maurepas dans le nord de la capitale bretonne, où sont implantés plusieurs points de deal. Deux fusillades ont ainsi eu lieu les 23 et 30 septembre à Maurepas et une autre dans le quartier de Bréquigny (sud) le 24 septembre.

Un homme avait été grièvement blessé par balle dans la nuit du 5 au 6 octobre, dans le centre-ville de Rennes. La maire de Rennes Nathalie Appéré (PS) avait alors alerté dans un communiqué sur une «guerre de territoire entre narcotrafiquants au Gros-Chêne», évoquant «une escalade de la violence particulièrement inquiétante».

 

Dettes et déficits : nouvelle dégradation de la France par Moody’s

Dettes et déficits : nouvelle dégradation de la France par Moody’s ?
L’agence de notation Moody’s pourrait dégrader la note de la France ce vendredi notamment en notifiant des perspectives détériorées Un abaissement de la note qui par ailleurs pourrait être justifié par la foire aux  impôts installée dans la plus grande confusion politique au sein de l’assemblée nationale. La dégradation de la France pourrait sonner comme un nouvel avertissement après celui du fonds monétaire international afin que les députés traitent enfin sérieusement des déficits au lieu de l’approfondir avec des  amendements contradictoires et invraisemblables concernant le budget 2025.

 

Actuellement, l  ’agence note la France un cran au-dessus des autres agences Fitch et S&P, à « Aa2 » (l’équivalent de 18 sur une échelle de 20 niveaux de notation), et pourrait s’aligner sur elles malgré une perspective actuellement « stable ».

Cette dégradation potentielle serait une mauvaise nouvelle pour la France. Les taux auxquels le pays emprunte sur les marchés pourraient se détériorer, alors que l’Hexagone est déjà sous tension, notamment de Bruxelles, en raison de la dérive de ses comptes publics. Pour le moment, la dette française continue de séduire les investisseurs du marché, mais ses taux d’intérêt sont désormais proches de ceux de pays comme le Portugal ou l’Espagne, réputés plus risqués.

La décision de Moody’s interviendra deux semaines exactement après celle de Fitch, qui a placé la France sous « perspective négative », lui épargnant la dégradation de sa note « AA- » malgré ses finances publiques. L’agence a souligné que depuis sa précédente évaluation en avril, « les risques liés à la politique budgétaire se sont accrus ».

« Une forte fragmentation politique et un gouvernement minoritaire compliquent la capacité de la France à mettre en œuvre des politiques d’assainissement budgétaire durables », estime l’agence, qui ne croit pas aux prévisions officielles de déficit.

Pour rappel, la charge de la dette est aujourd’hui le deuxième poste budgétaire derrière l’éducation avec plus de 50 milliards d’euros et elle est susceptible de devenir le premier d’ici à 2027. Ce qui réduit d’autant les marges de manœuvre financières.

 

Netanyahou très déçu par Macron

 Netanyahou très  déçu par Macron

 

 

Finances publiques : le grand gaspillage de la France par rapport à l’Allemagne

Finances publiques : le grand gaspillage de la France par rapport à l’Allemagne
Faute de vouloir et de pouvoir engager des réformes qui remettent en cause la nature et les modalités d’intervention de l’État, les gouvernements successifs se contentent de coups de rabot qui en fait ne font que prolonger les tendances de l’accélération des déficits et de la dette.

Pour chaque champ d’intervention de l’État, on trouve évidemment des corporatistes de tous les horizons pour défendre le montant des budgets et même pour l’accroître davantage que la richesse nationale. La vérité sans doute c’est que les dépenses publiques en France ne sont plus sous contrôle.

Personne ne contrôle plus les dérives par l’État bien sûr mais pas davantage les étagères inutiles que constituent les régions, les départements, les communautés de communes, les communes regroupées et les communes avec leur cortège de hiérarchie, de fonctions inutiles, de budgets et d’effectifs.

La comparaison avec l’Allemagne est intéressant dans la mesure où les dépenses publiques outre-Rhin se limitent à environ 48 % du PIB alors que pour la France elles représentent 58 %. Une différence de 10 % soit autour de 300 milliards pour la France, soit exactement ce qu’il conviendrait d’économiser pour équilibrer totalement les comptes nationaux et locaux.  ( À noter aussi la différence de PIB par habitant au profit de l’Allemagne qui témoigne du manque de travail en  France (rapports actifs-inactifs et productivité notamment). Autre comparaison, celle du nombre de fonctionnaires pour 1000 habitants 55 en Allemagne et 85 pour la France! Une différence que les particularités locales ne peuvent justifier.

Le problème c’est qu’il est facile de faire pleurer dans les chaumières à partir de cas qui ne rendent pas compte de la gabegie des moyens financiers publics.

Cela vaut pour tous les champs d’action de l’État et des collectivités locales, partout il y a un véritable gâchis de la dépense publique avec notamment partout en moyenne des sureffectifs. Le problème est qu’il faudrait procéder à des audits  permanents et très fin pour  éliminer le surplus des fonctions dites d’administration, de logistique et autres fonctions support.

Il y a cependant une difficulté majeure puisque la moitié ou les trois quarts du personnel politique résonnent comme des fonctionnaires puisque même issus de la fonction publique ou assimilés (cela vaut aussi pour les élus qui vivent en permanence de la politique). La crise n’est pas seulement financière elle est aussi sociologique avec une démocratie qui n’est pas représentative de la population et qui vit donc dans son propre monde virtuel.

Finances publiques : le grand gaspillage de la France par rapport à l’Allemagne

Finances publiques : le grand gaspillage de la France par rapport à l’Allemagne
Faute de vouloir et de pouvoir engager des réformes qui remettent en cause la nature et les modalités d’intervention de l’État, les gouvernements successifs se contentent de coups de rabot qui en fait ne font que prolonger les tendances de l’accélération des déficits et de la dette.

Pour chaque champ d’intervention de l’État, on trouve évidemment des corporatistes de tous les horizons pour défendre le montant des budgets et même pour l’accroître. La vérité sans doute c’est que les dépenses publiques en France ne sont plus sous contrôle.

Personne ne contrôle plus les dérives par l’État bien sûr mais pas l’avantage les étagères inutiles que constituent les régions, les départements, les communautés de communes, les communes regroupées et les communes avec leur cortège de hiérarchie, de fonctions inutiles, de budgets et d’effectifs.

La comparaison avec l’Allemagne est intéressant dans la mesure où les dépenses publiques outre-Rhin se limitent à environ 48 % du PIB alors que pour la France elles représentent 58 %. Une différence de 10 % soit autour de 300 milliards pour la France, soit exactement ce qu’il conviendrait d’économiser pour équilibrer totalement les comptes nationaux et locaux.  ( À noter aussi la différence de PIB par habitant au profit de l’Allemagne qui témoigne du manque de travail en  France (rapports actifs-inactifs et productivité notamment)).

Le problème c’est qu’il est facile de faire pleurer dans les chaumières à partir de cas qui ne rendent pas compte de la gabegie des moyens financiers publics.

Cela vaut pour tous les champs d’action de l’État et des collectivités locales, partout il y a un véritable gâchis de la dépense publique avec notamment partout en moyenne des sureffectifs. Le problème est qu’il faudrait procéder à des audits  permanents et très fin pour  éliminer le surplus des fonctions dites d’administration, de logistique et autres fonctions support.

Il y a cependant une difficulté majeure puisque la moitié ou les trois quarts du personnel politique résonnent comme des fonctionnaires puisque même issus de la fonction publique ou assimilés (cela vaut aussi pour les élus qui vivent en permanence de la politique). La crise n’est pas seulement financière elle est aussi sociologique avec une démocratie qui n’est pas représentative de la population et qui vit donc dans son propre monde virtuel.

finances publiques : le grand gaspillage de la France par rapport à l’Allemagne

Le grand finances publiques : le grand gaspillage de la France par rapport à l’Allemagne
Faute de vouloir et de pouvoir engager des réformes qui remettent en cause la nature et les modalités d’intervention de l’État, les gouvernements successifs se contentent de coups de rabot qui en fait ne font que prolonger les tendances de l’accélération des déficits et de la dette.

Pour chaque champ d’intervention de l’État, on trouve évidemment des corporatistes de tout poil pour défendre le montant des budgets et même pour l’accroître. La vérité sans doute c’est que les dépenses publiques en France ne sont plus sous contrôle.

Personne ne contrôle plus les dérives par l’État bien sûr mais pas l’avantage les étagères inutiles que constituent les régions, les départements, les communautés de communes, les communes regroupées et les communes avec leur cortège de hiérarchie, de fonctions inutiles de budgets et l’effectifs.

La comparaison avec l’Allemagne est intéressant dans la mesure où les dépenses publiques outre-Rhin se limitent à environ 48 % du PIB alors que pour la France elles représentent 58 %. Une différence de 10 % soit autour de 300 milliards pour la France, soit exactement ce qu’il conviendrait d’économiser pour équilibrer totalement les comptes nationaux et locaux.  ( À noter aussi la différence de PIB par habitant au profit de l’Allemagne qui témoigne du manque de travail en  France).

Le problème c’est qu’il est facile de faire pleurer dans les chaumières à partir de cas qui ne rendent pas compte de la gabegie des moyens financiers publics.

Cela vaut pour tous les champs d’action de l’État et des collectivités locales, partout il y a un véritable gâchis de la dépense publique avec notamment partout en moyenne des sureffectifs. Le problème est qu’il faudrait procéder à des audits  permanents et très fin pour  éliminer le surplus des fonctions dites d’administration, de logistique et autres fonctions support.

Il y a cependant une difficulté majeure puisque la moitié ou les trois quarts du personnel politique résonnent comme des fonctionnaires puisque même issus de la fonction publique ou assimilés (cela vaut aussi pour les élus qui vivent en permanence de la politique). La crise n’est pas seulement financière elle est aussi sociologique avec une démocratie qui n’est pas représentative de la population et qui vit donc dans son propre monde virtuel.

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