Archive pour le Tag 'par mois'

Conséquence inflation :un surcoût de 120 euros par mois

Conséquence inflation :un surcoût de 120 euros par mois

Une enquête qui contredit totalement les affirmations du gouvernement, de certains experts et de Bercy sur l’augmentation des salaires qui seraient supérieurs à l’inflation. Il se confirme en effet que les Français ont perdu de l’ordre de 10 % du pouvoir d’achat en deux ans.

D’après le baromètre annuel du comparateur de banques en ligne Panorabanques, près de 6 consommateurs sur 10 auraient perdu en capacité financière depuis le début de l’année 2023. L’étude s’appuie sur un sondage réalisé par Poll&Roll auprès d’un échantillon de 1000 personnes représentatives de la population française. Et les résultats sont sans appel : pour 96% des sondés, la hausse des prix actuelle a un impact négatif sur le pouvoir d’achat.

Selon Panorabanques, la perte financière mensuelle due à l’inflation a encore augmenté cette année. De 7% supérieure à la précédente, elle atteint 120 euros en moyenne (contre 112€ en 2022). Et pour 16% des sondés, elle dépasse même les 200 euros. Une proportion qui grimpe à 20% chez ceux qui gagnent moins de 1500 euros par mois, alors qu’elle n’était que 10% l’année dernière. Trois postes de dépenses pèsent particulièrement lourd dans la perte de pouvoir d’achat. D’abord la hausse des prix de l’alimentation, avec 85% des Français impactés. Suivie de près par la hausse des prix de l’énergie (70%, contre 63% en 2022) et enfin le prix des carburants (64%).

Dans le détail, 57% des Français ont vu leur pouvoir d’achat fondre quand 40% estiment qu’il est resté relativement stable. Seuls 4% jugent avoir des capacités financières en hausse. . Les catégories les plus durement frappées sont les 50-65, les parents célibataires et les travailleurs touchant moins de 1500€ par mois. D’autant que 43% de ces derniers déclarent être énormément impactés par l’inflation, alors qu’ils étaient 39% en 2022.

Le SMIC à 1500 euros net par mois » ( Xavier Bertrand)

Le SMIC à 1500 euros net par mois », ( Xavier Bertrand)

Le SMIC actuellement à 1258 € nets passerait à 1500 € nets par mois selon la promesse faite hier par Xavier Bertrand.

Une mesure de justice sociale sans doute mais aussi de nature politique pour contourner les organisations de gauche. La concurrence sur le niveau du SMIC est donc lancée  En témoigne l’annonce faite par Anne Hidalgo, ce lundi 22 novembre dans un entretien aux « Dernières Nouvelles d’Alsace ».

La candidate du Parti socialiste fait de la hausse du salaire minimum l’une de ses grandes priorités. « Je commencerai par une revalorisation du smic et des bas salaires de 15 % », déclare-t-elle, soucieuse de répondre aux préoccupations des Français pour leur pouvoir d’achat. Cela reviendrait à faire passer le smic de 1 258 euros net à 1 446 euros net, soit une hausse de près de 190 euros. « Le travail est au centre de mon projet car il impacte toute la société : le pouvoir d’achat mais aussi l’écologie, l’école, l’hôpital », insiste celle qui veut aussi augmenter le salaire des profs.

La veille, c’est le candidat communiste, Fabien Roussel, qui plaçait la hausse des rémunérations au cœur de son discours. « Ma gauche à moi croit au travail et aux salaires », a-t-il lancé lors de son meeting, place Stalingrad à Paris. Fabien Roussel va un peu plus loin qu’Anne Hidalgo. Il propose une augmentation du smic et des pensions de retraite à 1 500 euros net, des mesures financées par un « impôt Covid » sur les bénéfices et par le « triplement de l’ISF ».

Petites retraites agricoles : +30 euros par mois

Petites retraites agricoles : +30 euros par mois

 

Pas vraiment un gros cadeau mais c’est toujours ça ! Aujourd’hui les retraites agricoles sont inférieures de 40 % à la moyenne nationale, cette disparité va s’estomper après la publication ce samedi matin de trois décrets d’application de la Loi sur la réforme des retraites du 20 janvier 2014. Ces décrets apportent quatre modifications substantielles. Tout d’abord et cela faisait longtemps que les agriculteurs le demandaient, la retraite minimale des exploitants ne pourra plus être inférieure à 75 % du Smic (moins de 800 euros). Actuellement les plus petites retraites agricoles dépassent péniblement les 50 % du Smic. Cette revalorisation se fera progressivement d’ici 2017. Par ailleurs des points gratuits seront attribués aux conjoints collaborateurs et aux aides familiaux, dans leur très grande majorité des femmes. «Cela peut représenter jusqu’à 30 euros en plus par personne et par mois et concerne plus de 500.000 personnes», détaillent dans un communiqué commun la ministre des Affaires sociales, Marisol Touraine, et son collègue à l’Agriculture, Stéphane Le Foll. Troisième changement de taille, il y aura bien la réversion de la RCO (retraite complémentaire obligatoire) au conjoint en cas de décès, que celui-ci soit ou non agriculteur. Enfin les exploitants agricoles auront un accès élargi à la pension minimale de retraite. Les agriculteurs tout comme leur conjoint n’auront plus l’obligation de cotiser pendant une durée minimale de 17,5 ans pour bénéficier d’une pension minimale. Ce délai est supprimé. Côté syndical, les réactions sont enthousiastes. «C’est conforme à ce que l’on attendait, même s’il faudra patienter jusqu’à 2017 pour que la mesure de revalorisation soit pleinement effective, explique au Figaro, Xavier Beulin, le président de la FNSEA (Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles). Ces mesures qui entrent en vigueur rétroactivement au 1er février 2014 seront financées par les régimes sociaux agricoles. «Seuls les actifs agricoles vont supporter cette charge supplémentaire et non la solidarité nationale», tient à préciser Xavier Beulin.

Paris : appartement de 1,56m2 à 300 euros par mois pendant 15 ans !

Paris : appartement de 1,56m2 à 300 euros par mois pendant 15 ans !

De plus en plus fort, on avait déjà connu des locations pour des «  appartements » de  5 ou 6 m2 à Paris, cette fois c’est un placard de 1.52m. Le tribunal d’instance du 11e arrondissement de Paris a donc condamné lundi la propriétaire d’un minuscule appartement de 1,56 m2 et l’agence immobilière qui le gérait à payer 10 000 euros de « préjudice de jouissance » au locataire qui les avait assignés en justice, et 1000 euros en « réparation du préjudice moral ».  Ni douche, ni WC mais un simple lavabo: le locataire a vécu quinze ans dans cette pièce d’environ 4 mètres carrés très mansardée, dont seulement 1,56 m2 est comptabilisé selon la loi Carrez. Il s’acquittait d’un peu plus de 300 euros de loyer mensuel. Or selon le décret du 30 janvier 2002, un logement décent doit disposer d’une surface habitable au moins égale à 9 m2 et une hauteur sous plafond d’au moins 2,20 m, soit un volume habitable de 20 mètres cubes au minimum.

Guéant : la chasse à l’homme pour seulement 10 000 euros par mois

Guéant : la chasse à l’homme pour seulement 10 000 euros par mois !

 

Il a raison Xavier Bertrand, c’es vraiment de la chasse à l’homme contre Guéant voire Sarkozy ; 10 000 euros par mois qui auraient été détourné par Guéant, ce n’est vraiment rien, si on compare par exemple aux détournements de fonds d’autres élus qui par exemple se font construire quasi gratuitement des villas en échange de complaisance vis-à-vis d’appels d’offre public ou qui cumulent en toute légalité les rémunérations de maire, d’élus national et les « remboursements de frais divers » (autour de 20 000 euros). Il est clair qu’un smicard qui par exemple met du fuel dans sa voiture au lieu du gasoil sera lui très vite condamné et lourdement, d’autant qu’il va toucher une augmentation de 12 euros mensuels  grâce aux largesses du (12 euros payés par les entreprises et non par le gouvernement). Selon qu’on est smicard ou haut fonctionnaire politisé la justice ne saurait être la même ! Ou alors c’est la « cohésion » de la société qui est en cause. Claude Guéant a donc été entendu mardi sous le régime de la garde à vue dans le cadre de l’enquête préliminaire sur des primes en liquide perçues alors qu’il était directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy au ministère de l’Intérieur, a-t-on appris de source judiciaire. Sa garde à vue a été levée dans la soirée, de même que celle de Michel Gaudin, qui était directeur général de la police nationale à l’époque et a été interrogé également à Nanterre (Hauts-de-Seine). Michel Gaudin dirige aujourd’hui le cabinet de Nicolas Sarkozy. Les responsables de l’UMP ont été relativement discrets sur cette enquête qui vise le premier cercle sarkosyste. L’ancien ministre UMP Xavier Bertrand a cependant déploré une « chasse à l’homme permanente » à l’encontre de l’ancien chef de l’Etat. « Cette chasse au Nicolas Sarkozy n’a pas cessé avec l’élection de François Hollande et ça ne sert à rien de l’entretenir », a-t-il dit sur BFM-TV. « On essaie d’abîmer judiciairement Nicolas Sarkozy », a renchéri Guillaume Peltier, vice-président de l’UMP. L’enquête a été ouverte en juin par le parquet de Paris après la découverte, lors d’une perquisition effectuée au domicile de Claude Guéant, de factures ayant donné lieu à des règlements en liquide pour quelque 20.000 euros. L’ancien secrétaire général de l’Elysée, qui a été aussi ministre de l’Intérieur, avait indiqué que les sommes provenaient de primes de 10.000 euros par mois payées en liquide entre 2002 et 2004 et prélevées dans les fonds destinés aux frais d’enquête et de surveillance de la police. L’enquête n’étant qu’à un stade préliminaire et aucun juge d’instruction n’ayant été nommé, Claude Guéant et Michel Gaudin ne risquent pas de mise en examen à l’issue de leur garde à vue, qui peut être prolongée mercredi.

 

Retraites : minimum à 800 euros par mois

Retraites : minimum à  800 euros par mois

La ministre des Affaires sociales Marisol Touraine a indiqué mardi 26 novembre à l’Assemblée qu’il n’y aurait « plus de pension en dessous de 800 euros par mois », en raison de la double revalorisation des retraites des plus modestes annoncée dans la nuit. « Si un effort est demandé à l’ensemble du pays » à travers la réforme des retraites, « le gouvernement a été sensible aux préoccupations que vous avez portées, que l’ensemble des groupes de la majorité gouvernementale ont portées, en direction des retraités les plus modestes », a déclaré la ministre en réponse à une question de la députée Martine Pinville (PS). « Hier (lundi), j’ai annoncé deux mesures en direction des retraités les plus modestes qui n’auront pas à contribuer à l’effort demandé », a rappelé Marisol Touraine. « D’abord, les retraités qui bénéficient aujourd’hui de l’Allocation de solidarité pour les personnes âgées (Aspa, qui a remplacé le minimum vieillesse) pourront l’année prochaine compter sur une double revalorisation de leur pension, ce qui nous permettra de dire qu’il n’y aura plus de pension en dessous de 800 euros par mois », a-t-elle expliqué. « Cela, c’est une avancée importante due à notre gouvernement », a souligné la ministre. Le minimum vieillesse (787 euros mensuels) sera revalorisé en 2014, à la fois au 1er avril et au 1er octobre, d’un montant correspondant à l’inflation. Par ailleurs, « les bénéficiaires de l’aide à la complémentaire santé (ACS), qui ont une retraite inférieure à 970 euros, pourront voir passer leur aide de 500 à 550 euros, ce qui représente une avancée significative », a-t-elle ajouté. « Grâce à vous, le gouvernement a avancé en direction d’une réforme de justice et de responsabilité », a-t-elle conclu.  Le gouvernement avait décidé de recourir au vote bloqué sur l’ensemble du projet de loi de réforme des retraites mardi, afin de passer outre l’opposition de nombreux députés de gauche au report de six mois de la revalorisation annuelle des pensions. Dans la nuit de lundi à mardi, Marisol Touraine a assuré dans l’hémicycle avoir « entendu les préoccupations » des groupes de la majorité, annonçant des mesures visant à compenser pour les retraités modestes un report de la revalorisation annuelle des pensions, qui ne concerne toutefois pas les bénéficiaires de l’Aspa.

Immobilier : il faut gagner au moins 4.000 euros par mois pour acheter

Immobilier : il faut gagner au moins 4.000 euros par mois pour acheter

Selon les enquêtes menées par les courtiers Empruntis et Meilleurtaux, le salaire net moyen des foyers qui achètent une maison ou un appartement s’élève à plus de 4.000 euros par mois. Pour la première fois, l’apport personnel moyen des emprunteurs a franchi le seuil de 50.000 euros. Un couple déjà propriétaire, âgé de 36 ans et avec un revenu net de 4.430€ par mois : voici le portrait-type de ceux qui ont acheté un appartement ou une maison en 2011-2012. L’enquête annuelle du courtier Empruntis.com révèle que l’acquisition d’un bien immobilier est de plus en plus difficile pour ceux qui souhaitent acheter pour la première fois. Sur l’ensemble du territoire français, le revenu net moyen par foyer pour les nouveaux acquéreurs dépasse donc 4.000 euros par mois, bien au-dessus de la moyenne (2.935€ par mois, selon les chiffres de l’Insee en 2010). Dans Paris intra-muros, selon un autre site de courtage, Meilleurtaux.com, ce revenu moyen s’élève jusqu’à 8.147€ par mois (7.980€ selon l’enquête d’Empruntis). Le prix du mètre carré dans la capitale a battu un nouveau record cet été, s’établissant à 8.440 euros en moyenne, selon la Chambre des Notaires de Paris-Île-de-France. Un autre chiffre significatif est relaté par l’enquête d’Empruntis.com, rapportée ce lundi par le quotidien Le Parisien : le montant moyen déboursé cette année pour acheter un bien immobilier est de 201.333€, et la moyenne des emprunts est de 160.000€. Soit un apport personnel moyen dépassant la somme de 50.000 euros. « C’est la première fois que cette barre symbolique est franchie », selon Maël Bernier, responsable des études chez Empruntis.

 




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