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Japon: relance par la création monétaire

Japon: relance par la création monétaire

Comme aux Etats-Unis, le japon veut sortir de la crise grâce à une politique monétaire très accommandante. »Le gouvernement et la Banque du Japon se sont entendus pour mener conjointement une politique renforcée afin d’en finir rapidement avec la déflation et permettre au pays d’atteindre une croissance économique durable sur fond de stabilité des prix », ont-ils écrit dans une déclaration conjointe.  La banque du Japon aurait été tellement obnubilée par le risque d’une inflation excessive que cela l’a empêchée de viser jusqu’à présent plus de 1%.  A cette pression politique s’ajoute celle des marchés qui spéculent tant et si bien sur les décisions espérées que la BoJ était quasi forcée de satisfaire les attentes, sans quoi le retour de bâton aurait pu être sévère au moment où la Bourse a remonté et le yen fortement baissé.  De fait, en dépit de son indépendance statutaire, la BoJ a consenti mardi non seulement à fixer un objectif d’inflation de 2%, mais aussi à amplifier son dispositif spécial d’achat d’actifs financiers divers, au premier rang desquels figurent des obligations d’Etat.  La BoJ va modifier le procédé et « acheter chaque mois pour un certain montant » des actifs financiers, de façon illimitée dans le temps, au lieu d’une enveloppe pour une période plurimensuelle donnée comme c’était le cas jusqu’à présent.  Le nouveau montant est fixé à 13.000 milliards de yens (110 milliards d’euros) par mois à partir de janvier 2014, dont 10.000 milliards pour les bons du Trésor et 2.000 milliards pour les obligations d’Etat, le reste étant réservé à des titres divers d’entreprises ou fonciers.  Grâce à ces dispositions et à un plan de relance de 20.200 milliards de yens (dont la moitié à la charge de l’Etat) décidé par M. Abe, l’économie nippone devrait atteindre une croissance de 2,3% pour l’année d’avril 2013 à mars 2014 selon les prévisions révisées mardi par la BoJ. L’inflation, elle, ne devrait pas dépasser 0,4% dans ce même laps de temps, encore loin de l’objectif visé.

Espérance de vie menacée par la pollution dans les villes

Espérance de vie menacée par la pollution dans les villes

Les preuves des effets nocifs de la pollution atmosphérique sur la santé se sont multipliées L’étude de Aphekom (résultats de 2011) a démontré l’ampleur des effets sur la santé publique des niveaux actuels de pollution dans 25 villes européennes (dont neuf françaises). «Près de deux ans d’espérance de vie pourraient être gagnés dans les villes les plus polluées d’Europe si la pollution pouvait être ramenée aux niveaux préconisés dans les lignes directrices de l’OMS relatives à la qualité de l’air», souligne Michal Krzyzanowski dans le BEH. «Cela représente près d’un tiers de l’écart d’espérance de vie observé entre les États membres de l’Union européenne», ajoute-t-il. «Près de 15% du gain d’espérance de vie aux États-Unis entre 1980 et 2000 ont été attribués à l’amélioration de la qualité de l’air», poursuit-il. La «relation de cause à effet» entre l’exposition aux particules fines (PM2,5), la morbidité (maladie) et la mortalité cardiovasculaires a été souligné par l’American Heart Association. Et en février 2012, les gaz d’échappement des moteurs diesel – émetteurs de particules fines – ont été classés parmi les cancérogènes certains pour les humains par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC/IARC/OMS), basé à Lyon. Une réduction du risque pour la santé, apparue peu après la diminution des niveaux de pollution atmosphérique, a été enregistrée dans plusieurs études, à des concentrations de particules fines relativement faibles. L’étude la plus récente et la plus vaste à ce jour, réalisée auprès de 2,1 millions de Canadiens adultes, a confirmé le lien observé entre morbidité, mortalité et niveau d’exposition, «mais à des niveaux de particules fines nettement inférieurs à ceux observés dans la plupart des villes européennes

Bettencourt-Sarkozy : Sarkozy convoqué par la justice

Bettencourt-Sarkozy : Sarkozy convoqué par la justice

 Nicolas Sarkozy est convoqué dans le cadre de l’enquête concernant les abus de faiblesse présumés commis à l’encontre de la milliardaire Liliane Bettencourt, ce qui ne signifie pas qu’il sera mis en examen à la fin de l’audition, celle-ci pouvant aussi s’achever par son placement sous le statut de « témoin assisté ».   Le juge Jean-Michel Gentil et ses deux consœurs souhaitent manifestement confronter l’ancien chef de l’Etat aux déclarations de l’ex-comptable des Bettencourt Claire Thibout qui avait déclaré à la police en juillet 2010 s’être vu réclamer 150.000 euros en liquide par l’ancien homme de confiance des Bettencourt, Patrice de Maistre, début 2007, celui-ci assurant vouloir les donner à Eric Woerth, alors trésorier de campagne de Nicolas Sarkozy.  Ils veulent aussi savoir s’il a pu y avoir des échanges d’argent lors des visites que l’ex-Président rendait à cette époque à l’héritière de l’Oréal et à son mari. Lui-même n’a reconnu qu’une visite à leur domicile pendant la campagne, en février 2007.  Les magistrats, qui avaient saisi le 3 juillet les agendas de Nicolas Sarkozy, ont également relevé de nombreuses coïncidences de dates entre des moments-clés de l’affaire Bettencourt et ses rendez-vous avec des protagonistes du dossier, notamment Patrice de Maistre et l’ancien procureur de Nanterre Philippe Courroye, en charge du dossier jusqu’à novembre 2010. Par ailleurs, une enquête préliminaire vient d’être ouverte après une deuxième plainte de l’association Anticor visant indirectement Nicolas Sarkozy et son entourage et portant sur les conditions de passation de sondages commandés par l’Elysée de 2007 à 2012. Cette deuxième plainte de l’association vise l’ex-chef de l’Etat et les sociétés ayant passé un contrat avec le Palais, en particulier la société Publifact de son conseiller Patrick Buisson.

 

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