Archive pour le Tag 'palestiniens'

Suisse : arrêt des financements à l’agence pour les réfugiés palestiniens de l’ONU

Suisse : arrêt des financements à l’agence pour les réfugiés palestiniens de l’ONU

Peu d’observateurs notent la dérive gauchiste d’organismes dépendants de l’ONU voire du secrétaire même de l’organisation. Faute de peser sur les événements et d’organiser les concertations et le règlement des conflits, l’ONU multiplie les prises de position gauchistes surtout en faveur des palestiniens.

«C’est un secret de polichinelle que dans les écoles de l’UNRWA on continue à faire l’apologie du terrorisme, à inciter à la violence et à promouvoir l’antisémitisme, justifie David Zuberbühler, membre du groupe parlementaire Suisse-Israël. Une majorité du Conseil national l’a enfin reconnu (…). Comme le Conseil fédéral et le parlement ont détourné le regard pendant longtemps, voire trop longtemps, il n’y a certes pas lieu de se réjouir, mais je suis malgré tout naturellement très satisfait de cette décision.»

Les palestiniens seraient unanimes dans leur soutien au Hamas !

Les palestiniens seraient unanimes dans leur soutien au Hamas !

Leila Seurat, politiste affirme dans le Monde que : « A Gaza comme en Cisjordanie, les Palestiniens sont unanimes dans leur soutien au Hamas ». Une affirmation un peu rapide et pas très pertinente. Pour preuve d’abord en Cisjordanie, la mobilisation des palestiniens en faveur du Hamas est finalement modeste. Les palestiniens vivants en Israël ont plutôt tendance à condamner la brutalité du Hamas. Même à Gaza, le soutien au Hamas est très discuté eu égard à la corruption du Hamas et son incapacité à gérer la zone.

L’injonction au qualificatif du Hamas comme terroriste est désormais un préalable à toute discussion. Proportionnelle à la déstabilisation que connaît Israël, cette mise à l’agenda politico-médiatique ne permet toutefois pas de saisir la nature protéiforme de cet acteur politique (tout à la fois mouvement social, groupe armé et acteur gouvernemental), ni les raisons de son irrésistible ascension. Depuis 2013, le Hamas est parvenu à produire une réflexion sur l’évolution de la lutte armée et de son rôle en Palestine. Perçu comme l’incarnation même de la résistance qui, pour les Palestiniens, est une composante centrale de leur identité, ce mouvement ne saurait donc être considéré comme un groupe sectaire exogène à sa société.

Ouvrant une période de grandes difficultés diplomatiques et économiques, le coup d’Etat du maréchal Al-Sissi, en Egypte, en juillet 2013, favorise la réévaluation stratégique du mouvement. La priorité pour le Hamas est l’établissement de bonnes relations avec ce pays, qui dispose d’une frontière avec la bande de Gaza. Pourtant à la tête de l’axe anti-Frères musulmans, aux côtés de l’Arabie saoudite et des Emirats arabes unis, Le Caire trouve son intérêt à coopérer avec le Hamas pour assurer la sécurité du Sinaï. Ces relations de relatif bon voisinage amènent les autorités égyptiennes à supprimer le Hamas de sa liste des organisations terroristes. Ultime concession à l’Egypte, le Hamas ne fait plus mention de son affiliation aux Frères musulmans dans son « Document de principes et de politique générale » publié en 2017.

L’autre évolution qui caractérise l’après-2013 est la volonté du Hamas de se détacher des institutions officielles palestiniennes. Dès l’accord de réconciliation d’Al-Shati conclu avec son rival du Fatah au printemps 2014, le Hamas avait laissé à ce dernier la responsabilité de former à lui seul le gouvernement. Si l’existence de divisions internes au Hamas avait à l’époque empêché la mise en œuvre de cet accord, l’arrivée au pouvoir de Yahya Sinwar en 2017 ne permet plus l’expression de voix dissidentes. Profondément opposé à l’établissement d’un mini-Etat à Gaza, le nouvel homme fort de l’enclave impose la signature d’une nouvelle réconciliation. Par cet accord signé au Caire à l’automne 2017, le Hamas réitère son souhait de se désengager des structures de l’Autorité palestinienne. La légitimation du mouvement ne peut plus passer par ces institutions largement discréditées.

Les palestiniens véritables victimes du Hamas, de l’Iran et des régimes théocratiques arabes

Les palestiniens véritables otages du Hamas, de l’Iran et des régimes théocratiques arabes


Le conflit entre Israël et les palestiniens suscitent évidemment la plus grande compassion dans le monde entier en raison de ses conséquences dramatiques sur le plan humain, social et économique. Et chacun y va de son couplet pour souhaiter la paix et l’aide humanitaire aux palestiniens.

Toutefois ce soutien aux palestiniens et particulièrement hypocrites de la part de nombre de pays. En particulier et principalement de l’Iran qui organise l’instabilité permanente grâce à son bras armé : le Hamas et le Hezbollah.

La vérité c’est que les palestiniens sont aussi les otages du Hamas qui se montre particulièrement incompétent pour gérer le pays et l’aide internationale dont une grande partie va dans les poches de l’organisation politique et militaire. On objectera que c’est aussi sans doute le cas du côté du Fatah. Ce qui ne constitue pas une explication très convaincante.

L’objectif de l’Iran et de déstabiliser la plupart des régimes politiques arabes pour leur substituer des républiques islamiques à la main de fer. Pour cela l’Iran manœuvre le Hamas, se sert des catastrophes humaines pour mobiliser la rue arabe. Du coup les régimes théocratiques arabes en rajoutent une couche pour garder le pouvoir et font semblant de soutenir les palestiniens. Mais la vérité c’est que ces pays arabes craignent surtout l’extrémisme palestinien et ne veulent surtout pas l’émancipation d’un nouveau pays susceptible de stabiliser les autres.

La plupart des pays arabes sont comme Iran les responsables de ce drame et permettent au Hamas de tenir la population en otage. Pour preuve juste avant la guerre des manifestations importantes s’était déroulée à Gaza pour protester contre la mauvaise gestion du hamas et sa corruption.

Soutenir le Hamas n’a aucun sens, c’est au contraire enfoncer un peu plus une population sous tutelle des intérêts les plus contradictoires et les plus détestables.

En soutenant bêtement le Hamas, nombre de personnalités et de pays font l’économie d’une analyse complexe de la situation géopolitique et finalement contribue à enfoncer les palestiniens eux-mêmes dans la plus grande misère.

Politique-Les palestiniens véritable otages du Hamas, de l’Iran et des régimes théocratiques arabes

Politique-Les palestiniens véritable otages du Hamas, de l’Iran et des régimes théocratiques arabes

Le conflit entre Israël et les palestiniens suscitent évidemment la plus grande compassion dans le monde entier en raison de ses conséquences dramatiques sur le plan humain, social et économique. Et chacun y va de son couplet pour souhaiter la paix et l’aide humanitaire aux palestiniens.

Toutefois ce soutien aux palestiniens et particulièrement hypocrites de la part de nombre de pays. En particulier et principalement de l’Iran qui organise l’instabilité permanente grâce à son bras armé : le hamas et le Hezbollah.

La vérité c’est que les palestiniens sont aussi les otages du Hamas qui se montre particulièrement incompétent pour gérer le pays et l’aide internationale dont une grande partie va dans les poches de l’organisation politique et militaire. On objectera que c’est aussi sans doute le cas du côté du Fatah. Ce qui ne constitue pas une explication très convaincante.

L’objectif de l’Iran et de déstabiliser la plupart des régimes politiques arabes pour leur substituer des républiques islamiques à la main de fer. Pour cela l’Iran manœuvre le Hamas, se sert des catastrophes humaines pour mobiliser la rue arabe. Du coup les régimes théocratiques arabes en rajoutent une couche pour garder le pouvoir et font semblant de soutenir les palestiniens. Mais la vérité c’est que ces pays arabes craignent surtout l’extrémisme palestinien et ne veulent surtout pas l’émancipation d’un nouveau pays susceptible de stabiliser les autres.

La plupart des pays arabes sont comme Iran les responsables de ce drame et permettent au Hamas de tenir la population en otage. Pour preuve juste avant la guerre des manifestations importantes s’était déroulée à Gaza pour protester contre la mauvaise gestion du hamas et sa corruption.

Soutenir le Hamas n’a aucun sens, c’est au contraire enfoncer un peu plus une population sous tutelle des intérêts les plus contradictoires et les plus détestables.

En soutenant bêtement le Hamas, nombre de personnalités et de pays font l’économie d’une analyse complexe de la situation géopolitique et finalement contribue à enfoncer les palestiniens eux-mêmes dans la plus grande misère.

Les palestiniens véritable otages du Hamas, de l’Iran et des régimes théocratiques arabes

Les palestiniens véritable otages du Hamas, de l’Iran et des régimes théocratiques arabes

Le conflit entre Israël et les palestiniens suscitent évidemment la plus grande compassion dans le monde entier en raison de ses conséquences dramatiques sur le plan humain, social et économique. Et chacun y va de son couplet pour souhaiter la paix et l’aide humanitaire aux palestiniens.

Toutefois ce soutien aux palestiniens et particulièrement hypocrites de la part de nombre de pays. En particulier et principalement de l’Iran qui organise l’instabilité permanente grâce à son bras armé : le hamas et le Hezbollah.

La vérité c’est que les palestiniens sont aussi les otages du Hamas qui se montre particulièrement incompétent pour gérer le pays et l’aide internationale dont une grande partie va dans les poches de l’organisation politique et militaire. On objectera que c’est aussi sans doute le cas du côté du Fatah. Ce qui ne constitue pas une explication très convaincante.

L’objectif de l’Iran et de déstabiliser la plupart des régimes politiques arabes pour leur substituer des républiques islamiques à la main de fer. Pour cela l’Iran manœuvre le Hamas, se sert des catastrophes humaines pour mobiliser la rue arabe. Du coup les régimes théocratiques arabes en rajoutent une couche pour garder le pouvoir et font semblant de soutenir les palestiniens. Mais la vérité c’est que ces pays arabes craignent surtout l’extrémisme palestinien et ne veulent surtout pas l’émancipation d’un nouveau pays susceptible de stabiliser les autres.

La plupart des pays arabes sont comme Iran les responsables de ce drame et permettent au Hamas de tenir la population en otage. Pour preuve juste avant la guerre des manifestations importantes s’était déroulée à Gaza pour protester contre la mauvaise gestion du hamas et sa corruption.

Soutenir le Hamas n’a aucun sens, c’est au contraire enfoncer un peu plus une population sous tutelle des intérêts les plus contradictoires et les plus détestables.

En soutenant bêtement le Hamas, nombre de personnalités et de pays font l’économie d’une analyse complexe de la situation géopolitique et finalement contribue à enfoncer les palestiniens eux-mêmes dans la plus grande misère.

Palestiniens : la France défavorable à une suspension de l’aide

Palestiniens : la France défavorable à une suspension de l’aide

Paris est défavorable à la suspension de l’aide de l’Union européenne qui bénéficie directement aux populations palestiniennes et l’a fait savoir à la Commission européenne, a indiqué mardi le ministère français des Affaires étrangères. Le problème est cependant qu’on ne sait pas combien de cette aide va directement au palestinien. Une grande partie est souvent détournée par les organisations politiques palestiniennes. (Notons qu’ il s’agit cependant d’un phénomène qui concerne toute l’aide au développement.)

La France s’oppose à la suspension de l’aide européenne directe aux Palestiniens en réponse à l’offensive meurtrière menée par le Hamas en Israël, a déclaré le Quai d’Orsay mardi 10 octobre, indiquant en avoir fait part à la Commission européenne. Cette dernière avait indiqué lundi soir vouloir réexaminer son aide aux Palestiniens, mais Oliver Varhelyi, le commissaire européen chargé du Voisinage et de l’Elargissement, avait auparavant laissé entendre que toutes les nouvelles propositions budgétaires concernant l’aide aux Palestiniens seraient reportées jusqu’à nouvel ordre.

« Nous devons lutter de manière intraitable contre le terrorisme et le terrorisme du Hamas, mais nous ne devons pas confondre la lutte contre le terrorisme avec le droit humanitaire le plus élémentaire et le soutien aux populations civiles », a estimé mardi Emmanuel Macron.

« Procédure de revue ». « Je suis tout à fait en faveur pour qu’il y ait une procédure de revue de toutes les aides européennes qui soient apportées, mais je ne suis pas en faveur pour qu’il y ait une suspension, surtout quand cette revue et les procédures de vérification ont été effectuées, ce qui fut le cas pour notre aide », a indiqué le président de la République. La France a apporté une aide aux Palestiniens qui s’élevait à 95 millions d’euros en 2022, a précisé le Quai d’Orsay dans son communiqué.

Ces aides directes sont concentrées sur le soutien aux populations palestiniennes, dans les domaines de l’eau, de la santé, de la sécurité alimentaire et de l’éducation, a expliqué le ministère français des Affaires étrangères. « Versée notamment par le biais des Nations unies, [cette aide] bénéficie directement à la population palestinienne, à Jérusalem-Est, en Cisjordanie, à Gaza et dans les camps situés dans les pays voisins », a détaillé le Quai d’Orsay, assurant que « cette aide est pleinement conforme aux engagements de la France ».

L’Espagne s’oppose aussi au projet de suspension de l’aide de l’Union européenne aux territoires palestiniens, a également fait savoir le ministre espagnol des Affaires étrangères, José Manuel Albares. « Cette coopération doit se poursuivre, nous ne pouvons pas confondre le Hamas, qui figure sur la liste des groupes terroristes de l’UE, avec la population palestinienne, ou avec l’Autorité palestinienne ou l’Organisation des Nations unies sur le terrain », a-t-il dit mardi dans une interview à la radio espagnole Cadena SER.

18 palestiniens exécutés par le Hamas, l’horreur !

18 palestiniens exécutés par le Hamas, l’horreur !

 

Exécution sommaire et publique de 18 palestiniens supposés être des collaborateurs d’Israël. Le Hamas s démontre ainsi son visage, les accusé n’ayant pas bénéficié d’un procès régulier, ni l’accord  de l’autorité palestinienne. Certes les victimes civiles de Gaza sont dramatiques, inadmissibles  et condamnables mais elles sont le fruit des provocations et des violences du Hamas qui vit de ce climat de terreur et l’entretient y compris dans son propre camp.  18 « collaborateurs » qui, selon la télévision du Hamas, ont été donc exécutés vendredi. Au moins six de ces exécutions ont eu lieu en place publique, à la sortie de la prière. Des hommes en uniforme des Brigades Ezzedine al-Qassam, l’aile militaire du Hamas, ont débarqué de leurs voitures six « collaborateurs » devant la mosquée al-Omari, la plus grande de Gaza, ont rapporté des témoins à l’AFP. Sous les yeux de centaines de fidèles, ils ont vidé les chargeurs de leurs armes automatiques sur eux, selon ces témoins. Onze autres « collaborateurs » ont été supprimés plus tôt près du siège de la police, et un autre encore sur une place proche, ont rapporté des témoins. Cette purge intervient après une tentative israélienne d’élimination de Mohammed Deif, le chef d’Al-Qassam, mardi soir, et celle, réussie, de trois commandants de la même organisation jeudi à Rafah, dans le sud du territoire. Les Brigades assurent que Mohammed Deif a échappé à sa sixième tentative d’assassinat, une affirmation invérifiée. Mais la mort de sa femme et de ses deux enfants, puis celles de trois commandants, impliqués dans des opérations militaires qui ont infligé à Israël ses plus lourdes pertes depuis 2006, semblent avoir mis en rage le Hamas. Le site Majd, proche du Hamas, prévenait vendredi que la « résistance », terme désignant les groupes armés à Gaza luttant contre Israël, « n’épargnera aucun collaborateur, tous seront jugés par des tribunaux révolutionnaires et écoperont des peines prévues pour leur crime », en référence aux tribunaux secrets mis en place par ces mouvements. Les Palestiniens exécutés vendredi ont eu droit à une « procédure judiciaire », selon Majd, qui cite sans le nommer un haut responsable de la sécurité à Gaza. Selon Human Rights Watch, le Hamas a exécuté plus d’une trentaine de « collaborateurs » pendant et après l’offensive israélienne de 2008/2009. Le Hamas et Israël ont repris les hostilités mardi, et échangent depuis tirs de roquettes et frappes aériennes. Israël a été la cible de 430 tirs de roquettes depuis mardi soir, selon son armée. Les sirènes ont notamment retenti à Tel Aviv et dans sa région vendredi en fin d’après-midi.




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