Archive pour le Tag 'pain'

Du pain et des jeux : la martingale politique pour la France !

Du pain et des jeux : la martingale politique pour la France !

La recette n’est pas nouvelle sous l’empire romain déjà on considérait que le bonheur des peuples était conditionné par la satisfaction de jouir suffisamment de pain et des jeux ( panem et circenses). En France, les JO ont été l’occasion pour une société qui sérieusement d’elle-même et qui craint son déclassement de découvrir à nouveau la joie des jeux. Une ambiance qui tranche avec la tristesse voire le tragique de la situation économique et politique.

Au plan économique en  effet,  la France se dirige lentement mais sûrement vers une faillite financière qui rappelle celle de la Grèce et au plan politique le pays pourrait connaître une crise institutionnelle du fait de la paralysie de toutes les institutions président de la république y compris.

Le pays souffre d’immobilisme car noyauté par une élite incompétente et condescendante dont Macron représente sans doute l’exemple le plus caractéristique. La France a livré le pays aux énarques et autres diplômés d’instituts politiques . Ni technocrates véritablement, ni techniciens ni même très cultivés, les énarques ont mis la main sur les postes clés de l’économie et de la politique. La plupart mettraient en faillite en moins de six mois la moindre épicerie si on leur en confiait la gestion. Du coup les Français attendent désespérément le pain dont une grande partie est désormais financée par la dette. Faute de pain suffisant et mieux réparti, l’opinion se gave pour un temps de l’heureuse parenthèse des jeux.

Après le chèque carburant, le chèque alimentation et le chèque pour le pain ?

Après le chèque  carburant, le chèque alimentation et le chèque  pour le pain ?

Un nouveau chèque carburant pourra  être reçu pour les utilisateurs éligibles qui se rendent à leur travail. L’idée est de faire face encore à la crise de l’énergie et en particulier du carburant. 

Cette distribution de chèques pour faire face aux différents aspects de la crise fêtent entrer la France dans une sorte d’économie de guerre administrée.
Notons que ce type de mesure est assez peu efficace car en général réclamé par la moitié des bénéficiaires compte tenu de la complexité de la procédure.
Mais la question fondamentale qui se pose est de savoir si ne serait pas plus efficace de mettre en place une régulation pérenne s’attaquant aux racines du mal; en effet jamais sans doute; les énergéticiens  (carburant, fioul domestique, électricité gaz) n’ont jamais réalisé autant de profits grâce à la crise.
Il s’agirait donc de mettre fin notamment à l’énorme spéculation qui a été occasionnée à l’occasion d’une crise générale de l’énergie.
On objectera que les chèques constituent des mesures ciblées. Un curieux ciblage quand en faite mesure carburant applicable à partir du 1er janvier concernera toutes les voitures attestant de déplacements domicile travail.

Encore une fois, il aurait été plus simple et plus efficace de réguler les prix du carburant par exemple dans le cadres d’une fourchette et cela sans nécessairement d’apports financiers de l’État.

À ce rythme on peut se demander si le gouvernement ne décidera pas un jour de créer des chèques pour le pain dans la mesure où les boulangeries sont très fortement impliquées par la hausse de l’énergie dont les coûts ont été multipliés par sept à huit en moyenne notamment par des pseudos énergétiques qui ne produisent rien, qui ne distribue rien et qui constituent des intermédiaires inutiles.

On peut aussi imaginer un chèque alimentation car le gouvernement planche actuellement sur le prix d’un panier de consommation de base.

Évidemment pour l’instant, le gouvernement met sous le tapis l’une des causes fondamentales de l’inflation à savoir la spéculation générale sur l’énergie.

L’aide s’élève à 100 euros. À noter, chaque véhicule ne peut donner lieu au versement que d’une aide, et chaque personne ne peut demander qu’une aide, même si elle dispose de plusieurs véhicules. Ainsi, un foyer ayant une voiture pour deux actifs ne pourra demander qu’une aide. En revanche, «elle peut s’élever à 200 euros pour un couple qui travaille et possède 2 voitures».

Selon Matignon, le montant de 100 euros «représente une remise de l’ordre de 10 centimes par litre» à la pompe, «sur la base des trajets moyens» des Français, soit 12.000 kilomètres sur une année.

Les véhicules doivent être «régulièrement assurés», et ils peuvent être à deux, trois ou quatre roues, thermiques ou électriques, précise le site des impôts. Il est aussi possible de solliciter l’aide pour un véhicule de société ou loué pour une longue durée, ainsi que pour une «utilisation habituelle à des fins professionnelles du véhicule appartenant à un proche».

Aucune condition kilométrique n’est exigée pour recevoir le chèque, mais les véhicules de fonction dont les frais de carburant sont pris en charge par l’employeur ne sont pas concernés, de même que les véhicules agricoles, poids lourds et quadricycles lourds à moteur. Les trottinettes et vélos sont aussi exclus, sans surprise.

L’indemnité carburant s’adresse uniquement aux personnes qui travaillent et exclut ainsi les retraités, parents au foyer et les chômeurs. Pour les demandeurs d’emploi, une aide spécifique est accordée par Pôle Emploi pour rembourser leurs déplacements liés à leur recherche de travail.

Pour recevoir le chèque, il faut se rendre directement sur le site des impôts, à partir de ce lundi 16 janvier à 9h. Un formulaire est mis en ligne sur ce sujet, et vous aurez jusqu’au 28 février pour faire votre demande. Les premiers versements sont attendus fin janvier.

Il faut ensuite renseigner votre numéro fiscal, votre plaque d’immatriculation et remplir une déclaration sur l’honneur indiquant que vous utilisez bien votre voiture pour vous rendre au travail.

Après l’échec carburant, d’échec pour le pain ?

Après le chèque  carburant, le chèque pour le pain ?

 

Un nouveau chèque carburant pour être reçu pour les utilisateurs éligibles qui se rendent à leur travail. L’idée est de faire face encore à la crise de l’énergie et en particulier du carburant. 

Cette distribution de chèques pour faire face aux différents aspects de la crise fêtent entrer la France dans une sorte d’économie de guerre administrée
Notons que ce type de mesure est assez peu efficace car en général réclamé par la moitié des bénéficiaires compte tenu de la complexité de la procédure.
.Mais la question fondamentale qui se pose est de savoir si ne serait pas plus efficace de mettre en place une régulation pérenne s’attaquant aux racines du mal; en effet jamais sans doute; les énergéticiens  (carburant, fioul domestique, électricité gaz) n’ont jamais réalisé autant de profits grâce à la crise.
Il s’agirait donc de mettre fin notamment à l’énorme spéculation qui a été occasionnée à l’occasion d’une crise générale de l’énergie.
On objectera que les chèques constituent des mesures ciblées. Un curieux ciblage quand en faite mesure carburant applicable à partir du 1er janvier concernera toutes les voitures attestant de déplacements domicile travail.

Encore une fois, il aurait été plus simple et plus efficace de réguler les prix du carburant par exemple dans le cadres d’une fourchette et cela sans nécessairement d’apports financiers de l’État.

À ce rythme on peut se demander si le gouvernement ne décidera pas un jour de créer des chèques pour le pain dans la mesure où les boulangeries sont très fortement impliquées par la hausse de l’énergie dont les coûts ont été multipliés par sept à huit en moyenne notamment par des pseudos énergétiques qui ne produisent rien, qui ne distribue rien et qui constituent des intermédiaires inutiles.

 

 

 

L’aide s’élève à 100 euros. À noter, chaque véhicule ne peut donner lieu au versement que d’une aide, et chaque personne ne peut demander qu’une aide, même si elle dispose de plusieurs véhicules. Ainsi, un foyer ayant une voiture pour deux actifs ne pourra demander qu’une aide. En revanche, «elle peut s’élever à 200 euros pour un couple qui travaille et possède 2 voitures».

Selon Matignon, le montant de 100 euros «représente une remise de l’ordre de 10 centimes par litre» à la pompe, «sur la base des trajets moyens» des Français, soit 12.000 kilomètres sur une année.

Quels véhicules sont concernés ?

Les véhicules doivent être «régulièrement assurés», et ils peuvent être à deux, trois ou quatre roues, thermiques ou électriques, précise le site des impôts. Il est aussi possible de solliciter l’aide pour un véhicule de société ou loué pour une longue durée, ainsi que pour une «utilisation habituelle à des fins professionnelles du véhicule appartenant à un proche».

Aucune condition kilométrique n’est exigée pour recevoir le chèque, mais les véhicules de fonction dont les frais de carburant sont pris en charge par l’employeur ne sont pas concernés, de même que les véhicules agricoles, poids lourds et quadricycles lourds à moteur. Les trottinettes et vélos sont aussi exclus, sans surprise.

Qui ne sera pas éligible ?

L’indemnité carburant s’adresse uniquement aux personnes qui travaillent et exclut ainsi les retraités, parents au foyer et les chômeurs. Pour les demandeurs d’emploi, une aide spécifique est accordée par Pôle Emploi pour rembourser leurs déplacements liés à leur recherche de travail.

Pour recevoir le chèque, il faut se rendre directement sur le site des impôts, à partir de ce lundi 16 janvier à 9h. Un formulaire est mis en ligne sur ce sujet, et vous aurez jusqu’au 28 février pour faire votre demande. Les premiers versements sont attendus fin janvier.

Il faut ensuite renseigner votre numéro fiscal, votre plaque d’immatriculation et remplir une déclaration sur l’honneur indiquant que vous utilisez bien votre voiture pour vous rendre au travail.

 

 

France: La révolte du pain ?

France: La révolte du pain ?

Ce n’est pas la première fois que la question du prix du pain serait à l’origine d’un mouvement social en France notamment. La révolution française elle-même trouve des racines dans la crise du prix du pain.

Le gouvernement prend subitement conscience des hausses tout à fait exceptionnelles de l’énergie pour les boulangers, des hausses multipliées par six à huit.Et qui menacent l’existence de la moitié de la profession. Un bouclier tarifaire a été mis en place mais il est jugé trop complexe et trop peu efficace par la profession. Aussi le gouvernement vient d’autoriser que le paiement des impôts des boulangers soit différé.

Une conséquence directe de la libéralisation du secteur de l’électricité qui a permis à des intermédiaires qui ne produisent et ne distribuent rien d’engranger d’immenses bénéfices du fait de la corrélation entre le prix de l’électricité et du gaz.

L’une des conséquences de cette situation sera d’augmenter de façon assez importante le prix du pain mais en même temps de déplacer le mécontentement vers les consommateurs déjà affectés par une inflation générale

La cheffe du gouvernement souhaite que les petits commerçants, confrontés pour certains à une explosion de leur facture d’énergie depuis le déclenchement de l’offensive militaire russe en Ukraine en février, puissent étaler son paiement sur plusieurs mois. Ce qui nécessite un geste de la part des fournisseurs d’énergie. Ces derniers, qui sont convoqués, ce mardi à 14h30 au ministère de l’Economie, ont d’ailleurs été pointés du doigt par Elisabeth Borne.

« Aujourd’hui, les fournisseurs n’aident pas suffisamment les boulangers et les PME. Je leur demande de faire plus, mieux, et tout de suite », a également insisté le ministre de l’Economie Bruno Le Maire à l’issue d’une réunion à Bercy avec les représentants du secteur de la boulangerie. « Je suis navré de constater que les engagements qui ont été pris » dans une charte signée en octobre par les énergéticiens « ne sont pas respectés, » a déploré le numéro 2 du gouvernement, menaçant de nommer les entreprises fautives si elles ne s’engageaient pas à corriger leur comportement dès la réunion prévue dans l’après-midi.

Si les énergéticiens ne rentrent pas dans le rang, « on peut toujours prélever davantage sur les fournisseurs d’énergie que ce que nous faisons aujourd’hui », a menacé Bruno Le Maire après des mois de débats enflammés autour de sup. Dans le budget pour 2023, le gouvernement a, en effet, mis en place un mécanisme qui doit lui permettre de collecter une partie de la « rente » des énergéticiens et lui rapporter, selon ses estimations, 11 milliards d’euros.

Le gouvernement a également appelé les préfectures à étudier les dossiers de boulangeries fragilisées par la crise de l’énergie « au cas par cas ». « Au global, on prend en charge avec ces différentes aides de l’ordre de 40% de la facture d’électricité », a rappelé Elisabeth Borne en admettant que les aides disponibles ne sont « pas suffisamment connues » des entreprises.

Inflation Europe: Hausse du pain jusqu’à 65 % en Hongrie

Inflation Europe: Hausse du pain jusqu’à 65 % en Hongrie

 

Le prix du pain a augmenté de 18% en un an dans l’ensemble de l’Union européenne, selon des chiffres publiés par Eurostat (en anglais), lundi 19 septembre. En France il pourrait augmenter encore de 20 30 %. Une flambée imputée à la guerre en Ukraine, « qui a considérablement perturbé les marchés mondiaux, car la Russie et l’Ukraine étaient de grands exportateurs de céréales, de blé, de maïs, d’oléagineux (notamment de tournesol) et d’engrais », explique le site de statistiques européennes.

« Une énorme augmentation par rapport à août 2021″, note Eurostat, puisqu’à cette période, « le prix du pain était en moyenne 3% plus élevé qu’en août 2020″. Parmi les pays membres de l’UE, c’est la Hongrie qui subit la plus forte hausse, avec 65% d’inflation en un an.

A titre de comparaison, la France fait partie des pays où cette hausse des prix a été la plus contenue, avec +8% d’inflation en un an. Cependant, les professionnels du secteur restent inquiets. « Ça a pris 20% depuis le début de l’année. Là, on attend encore une augmentation pour la rentrée », déplorait Jean-Yves Boullier, boulanger, au micro de France 2 le 9 août.

Car outre les matières premières, le prix de l’énergie est également en cause. Dominique Anract, boulanger et président de la Confédération nationale de la boulangerie-pâtisserie française (CNBPF), a prévenu, mardi 13 septembre sur RMC, que les prix de la baguette pourraient bondir de 20 à 30% à cause de la facture énergétique.

Les conséquences sont aussi importantes en Afrique qui importe la quasi-totalité du blé.

Le conflit en cours entre la Russie et l’Ukraine, qui a entraîné la perturbation des exportations de blé, a fait grimper les prix de celui-ci de 60 % en Afrique, a déclaré  à Abuja, la capitale nigériane, Akinwunmi Adesina, président de la Banque africaine de développement (BAD).

Lors d’une rencontre avec le président nigérian Muhammadu Buhari, le président de la BAD a averti que le conflit allait créer des problèmes mondiaux, en particulier pour l’Afrique, qui importe un pourcentage énorme de sa nourriture des deux pays.

« Le prix du blé a déjà augmenté d’environ 60 %. Le maïs et d’autres céréales seront également touchés. Il pourrait aussi y avoir une crise des engrais, car il y va y avoir un déficit d’environ 2 millions de tonnes. Et cela affectera la production alimentaire d’environ 20 % », a-t-il ajouté, notant que l’Afrique allait perdre jusqu’à 11 milliards de dollars américains de nourriture.

Par ailleurs, a-t-il indiqué, pour éviter une crise alimentaire sur le continent africain tout en atténuant l’impact du conflit russo-ukrainien, la BAD prévoit également d’aider les agriculteurs africains à cultiver du blé, du maïs, du riz, du sorgho et du soja dans le cadre de ce plan.

 

Société–Consommation de pain : de 1 kg avant 1900 à 100 g par jour aujourd’hui !

Société–Consommation de pain : de 1 kg avant 1900 à 100 g par jour aujourd’hui  !

 

 

Un peu avant 1900 on consommait  pratiquement 1 kg de pain par jour et par habitant. Aujourd’hui, c’est de l’ordre de 100 g !  En cause évidemment les conditions générales de vie relative aux conditions de travail et à l’alimentation. Précédemment, le pain constituait l’aliment de base. Aujourd’hui, il est devenu presque anecdotique et en plus décliné dans des dizaines et des dizaines de formules qui d’ailleurs n’ont plus grand-chose à voir avec le pain traditionnel.( Accessoirement avec des prix 5 à 10 fois plus chers).  Il est loin  le temps du pain de huit livres, de quatre livres ou même de deux livres qui aujourd’hui fait nettement moins de 500 g!

 

Concernant les prix, selon les chiffres de l’Institut national de la statistique et des études économiques, en janvier 2020 une baguette – de 250 grammes donc – coûte 0,88 euro, soit un prix au kilo de 3,52 euros. 20 ans plus tôt, ce prix était de 0,63 euro, soit 2,53 euros par kilo.

 

Selon la dernière étude de la FEB, la Fédération des Entreprises de Boulangeries, si 87% des interrogés déclarent avoir toujours du pain chez eux, ils déclarent en consommer en moyenne 105 grammes par jour en semaine contre 114 grammes en 2015, soit un recul de près de 8%.

Si la quantité moyenne baisse, la quête de qualité progresse. En 2021, les trois critères d’achat du pain sont le goût, la fabrication traditionnelle et la fraîcheur. 65% des Français perçoivent une amélioration de la qualité du pain et les labels rassurent. 96% sont satisfaits du pain qu’ils achètent.

Le pain 100% français est plébiscité par la majorité des personnes interrogées. 52% sont sensibles à l’origine du blé et 73% trouvent important un pain fabriqué à base de blé cultivé en France.

Qui dit pain, dit baguette pour les Français, et ce produit demeure en tête des préférences pour 41% des Français dans sa version « tradition ». La baguette classique arrive juste derrière. Les consommatrices préfèrent quant à elles la baguette aux céréales (22% contre 9% des hommes).

En dehors des baguettes, ce sont le pain complet, le pain de campagne et aux céréales qui remportent la faveur des consommateurs.

Société- Consommation de pain : de 1 kg avant 1900 à 100 g par jour !

Société- Consommation de pain : de 1 kg avant 1900 à 100 g par jour !

 

 

Un peu avant 1900 on consommait  pratiquement 1 kg de pain par jour et par habitant. Aujourd’hui c’est de l’ordre de 100 g !  En cause évidemment les conditions générales de vie relative aux conditions de travail et à l’alimentation. Précédemment, le pain constituait l’aliment de base. Aujourd’hui il est devenu presque anecdotique et en plus décliné dans des dizaines et des dizaines de formules qui d’ailleurs n’ont plus grand-chose à voir avec le pain traditionnel.( Accessoirement avec des prix 5 à 10 fois plus chers).  Il est loin  le temps du pain de huit livres, de quatre livres ou même de deux livres qui aujourd’hui fait nettement moins de 500 g!

 

Concernant les prix, selon les chiffres de l’Institut national de la statistique et des études économiques, en janvier 2020 une baguette – de 250 grammes donc – coûte 0,88 euro, soit un prix au kilo de 3,52 euros. 20 ans plus tôt, ce prix était de 0,63 euro, soit 2,53 euros par kilo.

 

Selon la dernière étude de la FEB, la Fédération des Entreprises de Boulangeries, si 87% des interrogés déclarent avoir toujours du pain chez eux, ils déclarent en consommer en moyenne 105 grammes par jour en semaine contre 114 grammes en 2015, soit un recul de près de 8%.

Si la quantité moyenne baisse, la quête de qualité progresse. En 2021, les trois critères d’achat du pain sont le goût, la fabrication traditionnelle et la fraîcheur. 65% des Français perçoivent une amélioration de la qualité du pain et les labels rassurent. 96% sont satisfaits du pain qu’ils achètent.

Le pain 100% français est plébiscité par la majorité des personnes interrogées. 52% sont sensibles à l’origine du blé et 73% trouvent important un pain fabriqué à base de blé cultivé en France.

Qui dit pain, dit baguette pour les Français, et ce produit demeure en tête des préférences pour 41% des Français dans sa version « tradition ». La baguette classique arrive juste derrière. Les consommatrices préfèrent quant à elles la baguette aux céréales (22% contre 9% des hommes).

En dehors des baguettes, ce sont le pain complet, le pain de campagne et aux céréales qui remportent la faveur des consommateurs.

Consommation de pain : de 1 kg avant 1900 à 100 g par jour !

Consommation de pain : de 1 kg avant 1900 à 100 g par jour !

 

 

Un peu avant 1900 on consommait  pratiquement 1 kg de pain par jour et par habitant. Aujourd’hui c’est de l’ordre de 100 g !  En cause évidemment les conditions générales de vie relative aux conditions de travail et à l’alimentation. Précédemment, le pain constituait l’aliment de base. Aujourd’hui il est devenu presque anecdotique et en plus décliné dans des dizaines et des dizaines de formules qui d’ailleurs n’ont plus grand-chose à voir avec le pain traditionnel.( Accessoirement avec des prix 5 à 10 fois plus chers).  Il est loin  le temps du pain de huit livres, de quatre livres ou même de deux livres qui aujourd’hui fait nettement moins de 500 g!

 

Concernant les prix, selon les chiffres de l’Institut national de la statistique et des études économiques, en janvier 2020 une baguette – de 250 grammes donc – coûte 0,88 euro, soit un prix au kilo de 3,52 euros. 20 ans plus tôt, ce prix était de 0,63 euro, soit 2,53 euros par kilo.

 

Selon la dernière étude de la FEB, la Fédération des Entreprises de Boulangeries, si 87% des interrogés déclarent avoir toujours du pain chez eux, ils déclarent en consommer en moyenne 105 grammes par jour en semaine contre 114 grammes en 2015, soit un recul de près de 8%.

Si la quantité moyenne baisse, la quête de qualité progresse. En 2021, les trois critères d’achat du pain sont le goût, la fabrication traditionnelle et la fraîcheur. 65% des Français perçoivent une amélioration de la qualité du pain et les labels rassurent. 96% sont satisfaits du pain qu’ils achètent.

Le pain 100% français est plébiscité par la majorité des personnes interrogées. 52% sont sensibles à l’origine du blé et 73% trouvent important un pain fabriqué à base de blé cultivé en France.

Qui dit pain, dit baguette pour les Français, et ce produit demeure en tête des préférences pour 41% des Français dans sa version « tradition ». La baguette classique arrive juste derrière. Les consommatrices préfèrent quant à elles la baguette aux céréales (22% contre 9% des hommes).

En dehors des baguettes, ce sont le pain complet, le pain de campagne et aux céréales qui remportent la faveur des consommateurs.

Pietraszewski a voulu licencier une caissière pour un pain au chocolat !

Pietraszewski a voulu licencier une  caissière pour  un pain au chocolat !

L e nouveau « monsieur retraites » du gouvernement n’a pas laissé que de bons souvenirs lorsqu’il était à la direction des ressources humaines du groupe Auchan. En 2002, un incident éclate alors qu’il est responsable des ressources humaines dans le magasin Auchan de Béthune, dans le Pas-de-Calais. Une caissière, qui est par ailleurs à l’époque déléguée syndicale CFDT, offre à une cliente un pain au chocolat qui était trop cuit. Immédiatement mise à pied, elle est placée en garde à vue pour vol. « Cela a été d’une violence sans nom », témoigne sur franceinfo Guy Laplatine, à l’époque délégué régional pour la CFDT.

 

« Cela a fini par s’arranger et notre collègue a été réintégrée », poursuit Guy Laplatine. « C’est une erreur de jeunesse, après, il s’est calmé », assure-t-il. De son côté, Laurent Pietraszewski assume :  »Mon rôle a été d’examiner des éléments objectifs. Après avoir sollicité l’inspection du travail, j’ai pris cette décision. La collaboratrice ne l’a pas contesté aux prud’hommes », explique-t-il dans le journal L’Humanité.

Chargé de remplacer le démissionnaire Jean-Paul Delevoye, rattrapé par une semaine de révélations sur ses activités parallèles et mandats non déclarés, Laurent Pietraszewski va devoir mener à son terme la très contestée réforme des retraites mais il pourrait bien exploser en vol car il n’a ni l’expérience, ni la compétence et peut être ni la probité exigée.( affaire des 72 000 euros reçus très récemment d’Auchan et affaire des licenciements chez Auchan notamment  cette affaire d’une caissière pour un pain au chocolat périmé offert à une cliente°. .

Hausse du prix du pain de 56% depuis 1992

Hausse du prix de du pain de 56% depuis 1992

Difficile de faire des comparaisons de prix car les structure de consommation ont beaucoup évolué et pèsent don de manière différente sur le budget des ménages. Pendant que l’inflation augmentait de 39%  entre 1992 et 2014, le prix de la baguette , lui, a augmenté de 56% et alors que le cours du blé a eu tendance à diminuer. Le prix du pain a donc connu une flambée impressionnante. De 2,23 euros le kilogramme en 1992 (soit 55 centimes la baguette), son prix est passé à 3,48 euros (soit 87 centimes la baguette), soit une hausse de 56%. Cette hausse n’est d’ailleurs que très peu corrélée avec les cours du blé sur le marché. Pour cause, ce composant ne représente que 6 à 10% du coût de la baguette, selon la FDSEA60, la fédération des agriculteurs de l’Oise, contre 45% pour le coût de la main d’œuvre.  La baguette n’est, donc, pas forcément un bon indicateur de l’évolution des prix. L’évolution des tarifs des autres produits alimentaires le confirme un peu plus.  Les produits laitiers ont pour ainsi dire beaucoup moins augmenté. Le litre de lait écrémé est ainsi passé de 59 centimes d’euros à 78 centimes fin 2014, soit une hausse de +32%, moins forte que l’inflation donc. Mieux, les 250 grammes de camembert normand avec 45% de matières grasses sont quasiment au même prix qu’en 1992 (1,54 euros contre 1,66 euros).  La palme revient aux 500 grammes de pâtes supérieurs dont le prix a légèrement baissé par rapport à 1993 (0,77 euros contre 0,79 euros).  A l’inverse le café a connue hausse forte. Les 250 grammes d’Arabica moulu ont presque doublé depuis 1993 (2,95 euros contre 1,64 euros). Il en est de même pour le litre de Sans Plomb 95 (0,79 euros contre 1,54 euros soit +95%).

Du pain, des jeux et du cul

Du pain, des jeux et du cul

 

Depuis l’époque romaine c’est la manière d’endormir le peuple ; eu égard à la crise, le pain se fait rare, alors il faut promouvoir les jeux, les prochains pourraient être olympiques, la maire de paris semble s’être laissée convaincre par les sondages comme le ministre des sports. Au fait on va payer avec quoi ? Avec les bénéfices dégagés par le budget de l’Etat, de la sécu de l’Unedic ? bah non, avec l’emprunt, un trou de plus ou de moins ! En plus voila de quoi relancer la croissance, on fait un trou pour en reboucher un autre.  Et c’est pas pour tout de suite, c’est pour 2024. On a le temps de voir venir. De toute manière Hollande et Valls sont également pour.  « L’intention a été très claire, exprimée par le Président de la République puis par le Premier ministre, a rappelé Patrick Kanner ce matin, sur les ondes d’Europe 1. Le ministre des sports que je suis y est potentiellement favorable. Nous sommes au début d’une démarche avec la remise du rapport,  ce jour. Je le recevrai ce soir pour l’examiner avec Thierry Braillard, le secrétaire d’Etat chargé des sports. ». D’ici cette échéance de 2024 il y a longtemps qu’on aura oublié ceux qui ont pris la décision y compris   le ministre des sports d’autant qu’on ignore déjà son nom ; même Hollande sera rangé dans les placards del’ histoire. Oui mais on sera peut-être un peu plus  en déficit avec ces jeux ?. Bof il faut bien occuper le peuple. Pendant quelques semaines on a réussi à meubler  son esprit avec DSK et ses  affaires de cul ; Du croustillants, du glauque, de quoi remplir les unes de médias un peu faignasses qui rechignent à approfondir un peu l’actualité. Malheureusement la Saga finit en eau de boudin. Aucun chef d’inculpation ne tient, mais la justice a eu droit à quelques semaines de gloire médiatique. Des juges d’instruction sont sortis pour un moment de leur mortel incognito. Certes les histoires de DSK sont plus que glauques mais elles ne justifiant ce déferlement médiatique et judicaire. Sauf à se dire qu’effectivement , une événement chassant l’autre, cela permet d’occuper l’esprit du bon peuple et d’oublier le chômage et impôts.

Collectivités locales : pain sec et fiscalité en hausse

Collectivités locales : pain sec et fiscalité en hausse

« J’aime les maires » a déclaré en substance Valls au congrès des maires de France. Mais il a cependant confirmé la cure d’austérité pour les collectivités locales. Du coup ce sera pain sec mais aussi mécaniquement augmentation de la fiscalité locale pour ces collectivités. Valls a  confirmé l’objectif de 50 milliards d’euros d’économies à réaliser « en trois ans ». « Tous les acteurs publics sont concernés. Je sais l’effort qui est demandé aux communes. Personne, et surtout pas moi, ne songe à le sous-estimer », a déclaré Manuel Valls, confirmant par-là la baisse de 11 milliards d’euros des dotations aux collectivités territoriales sur la période 2015-1017, alors que les élus locaux réclament une baisse moins forte de ces concours de l’État. Auparavant, le nouveau président de l’Association des maires de France (AMF), François Baroin, avait réclamé la réunion « en urgence » d’une « conférence » sur les finances locales et sur les économies à faire dans les collectivités. Selon lui, baisser les dotations de 11 milliards est « une marche trop haute, inatteignable ». « Nous n’accepterons pas le transfert de l’impopularité fiscale! », a déclaré le sénateur-maire UMP de Troyes. « Les préoccupations des élus sont bien arrivées jusqu’à la rue de Varenne », a assuré plus tard le Premier ministre. En faiat les collectivités vont entre dans une phase d’amaigrissement qui s’ajoutant à des situations financières catastrophique vont sans doute dès 2015 faire grimper sérieusement a fiscalité locale. D’autant que les élections sont maintenant derrière nous….

 

Hollande faute de pain … des jeux olympiques

Hollande faute de pain … des jeux olympiques

 

Hollande n’a guère brillé en matière d’innovation programmatique lors de son intervention télévisée. En fait il n’a rien annoncé sinon -au débotté- un nouveau contrat aidé pour les plus de 60 ans parce qu’il ne savait pas quoi répondre à cette chômeuse. Il a surtout annoncé qu’il était favorable à organisation des jeux olympique en 2024. En fait des jeux… faute de pain. Panem et circenses , c’était la thérapeutique des empereurs sous la Rome antique pour calmer la colère du peuple. Mais cette fois il faudra se contenter des jeux. Et encore pas certain car Hidalgo, la Maire de Paris, consciente des difficultés financière hésite à se lancer dans une telle aventure. D’autant qu’elle pourrait avoir des compte à rendre aux parisiens alors que Hollande aura depuis longtemps disparu de la circulation politique. Des jeux pour amuser la galerie et redonner le moral défaillant d’une population qui ne croit plus dans ses institutions et ses responsables. D’une certaine manière,  Hollande n’a pas tort. Depuis les 35 heures les Français dispose de grands temps libres, la civilisation des loisirs s’est imposée…. en même temps que celle du chômage. Faute d’occupation festive, c’est la dépression. Pas étonnant que les Français soient les plus grands consommateurs d’antidépresseurs ….mais aussi de vin. À défaut du  réenchantement promis par Hollande , les Français ont besoin d’enivrement pour teinter leur vision en rose. Puisque l’heure est au national populisme on pourrait, comme les romains, organiser des jeux olympiques purement nationaux ; On serait au moins certain que les athlètes français gagneraient des médailles. Et pour couronner le tout, le chef de l’Etat lui même pourrait participer à ces jeux, comme Néron qui se distinguait dans l’épreuve de poésie. Une discipline à rétablir. Il faudrait toutefois éviter de faire concourir Fleur Pellerin, ministre de la culture qui n’a pas été capable de citer un seul livre de Modiano ( Hollande de ce point de vue n’est pas  très affutée dans ce domaine). Pour quoi pas une épreuve humour potache dans laquelle il excelle ? Oui , vite des jeux ;  non à la «  déploration », à la déprime, aux lamentations ; oui à la fête et à l’optimisme. La France est un pays exceptionnel que le monde entier envie (Hollande Dixit.)

Le pain Copé chocolat pour 2017

Le pain Copé chocolat pour 2017

 

Copé a reçu un pain, pas en chocolat, mais de Juppé ; Son coup d’Etat sur l’UPM se sera terminé par un énorme fiasco et une mascarade. Juppé ne remettra certainement pas les clés de l’UMP à Copé pas même à Fillon. Pour 2017, Copé a en tout cas largement hypothéqué ses chances. On peut être sûr que Juppé va remettre de l’ordre dans la maison qu’il connaît bien. Pour ne pas faire perdre complètement la face  aux intéressés, il est probable qu’il n’y aura pas de président à l’UMP pour longtemps (il mettra en place une commission et une nouvelle procédure) mais une direction collégiale ou seront écartés les extrémistes arrivistes type Rachida Dati ou Morano dont les propos outranciers ont largement porté atteinte à la crédibilité de l’UMP. Copé a voulu copier Sarkozy mais sans le tallent et avec le ridicule en plus (les pains au chocolat). Pour 2017, pour Copé c’est chocolat.

La baguette anti-crise, moins chère mais moins lourde !

 

La baguette anti-crise, moins chère mais moins lourde !

 

Un boulanger comme le gouvernement qui cherche des solutions à la crise et qui en trouve. La baguette anti-crise, il suffisait d’y penser ! Un boulanger de Saint-Amé, dans les Vosges, l’a faite… Elle est un peu plus légère en poids. Son prix, lui, s’affiche à « seulement » 67 centimes. Les clients apprécient. Le pain est aussi long qu’une baguette « classique », mais il est plus léger en pâte qu’une baguette. Il coûte moins cher à produire, car il nécessite un temps de cuisson moins long, et semble apprécié des clients qui gaspillent moins de pain.  David Nurdin, le boulanger, calcule que sa baguette peut faire économiser jusqu’à 10 euros par mois, ce qui entre en ligne de compte pour les plus modestes. Tiens une idée, si au lieu de prendre une baguette anti-crise on prenait tout simplement une demi-baguette. Au fait c’est combien une baguette. D’après l’INSEE en moyenne le prix du kg de pain est actuellement en moyenne de 3.47 euros, donc une baguette (poids usuel 200 grammes) devrait être en moyenne de 0.75 et à 150 grammes de 0.57, la demi baguette (100 grammes) à  0.36. Il y a une arnaque quelque part !

 

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