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Foot : Monaco déjà out pour la ligue des champions

Foot : Monaco déjà out pour la ligue des champions

Une preuve supplémentaire de la très grande faiblesse du foot français avec l’élimination de Monaco pour la qualification en ligue des champions. Monaco jouera donc la deuxième division européenne c’est-à-dire la ligue Europa. C’est d’ailleurs le lot de la plupart des clubs français qui en général ne dépassent pas décembre en ligue des champions. Sauf évidemment pour le PSG seul club à soutenir une comparaison internationale.

Il y a un vrai problème pour le niveau du foot français sans doute lié au management des clubs et aux entraîneurs. Une situation curieuse parce que les jeunes joueurs français sont particulièrement appréciés à l’étranger, ce qui n’est pas le cas des entraîneurs dont très peu réussissent au plan international. Pire le championnat semble condamné à recruter des entraîneurs étrangers.

Monaco a donc concédé mercredi le match nul sur la pelouse du Shakhtar Donetsk (2-2), après s’être incliné 0-1 la semaine dernière au stade Louis-II en barrage de Ligue des champions.

Foot-Coupe européenne : Monaco déjà out ?

Foot-Coupe européenne : Monaco déjà out ?

 

Monaco susceptibl sd’être éliminé déjà pour la compétition européenne. Une habitude en France, la plupart des clubs sont déjà sur la touche en décembre, PSG  excepté bien sûr . La preuve de la faiblesse habituelle du football français. Le Shakhtar Donetsk a en effet dominé ce match aller des barrages de la Ligue des champions, mardi 17 août, pour s’imposer 1-0. Avec cette défaite, le club de la principauté se complique la tâche avant le barrage retour de la Ligue des champions, mercredi 25 août.

SONDAGE RÉGIONALES Île-de-France: Pécresse largement en tête, la gauche out

SONDAGE RÉGIONALES Île-de-France:  Pécresse largement en tête, la gauche out

Créditée de 33 % des intentions de vote aux régionales, la présidente sortante de la Région Île-de-France, Valérie Pécresse, compte 17 points d’avance sur le Rassemblement national, en deuxième position, selon un sondage de l’Ifop pour le JDD et Sud Radio.

 

. Avec 33% des intentions de vote, l’ancienne membre des ­Républicains (LR), à moins d’un mois du premier tour des régionales, le 20 juin, sème ses poursuivants. Le ­Rassemblement national (RN) et La République en marche (LREM) n’atteignent pas la moitié de son score, respectivement mesurés à 16 et 15 %. Quant aux listes de gauche, elles risquent la disqualification pour le second tour : celle d’Europe Écologie-Les Verts (EELV) est à 11 % ; les deux autres, le Parti  socialiste (PS) et La France insoumise, (LFI) à 10 %, le seuil minimal pour exister au-delà du premier round.

La situation est bien plus désespérante pour la gauche, qui paie sa division. L’équilibre entre les trois listes n’augure rien de bon : ni Clémentine Autain (LFI), ni Julien Bayou, ni Audrey Pulvar (PS) ne capte un vote utile qui viserait à sanctionner Pécresse. Faute de dynamique en faveur de l’une des listes et à l’approche du seuil critique des 10%, l’électorat de gauche pourrait condamner tout ou partie de ces listes à l’élimination.

SONDAGE 2022 : toujours le duo Macron et Le Pen mais cette dernière en tête . La gauche out.

SONDAGE 2022 : toujours le duo Macron et Le Pen mais cette dernière en tête . La gauche out.

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Selon, l’enquête IFOP-Fiducial réalisée pour le JDD et Sud Radio*  Macron arrivait en tête dans la majorité des configurations de premier tour ; ce n’est plus le cas .

 

En moyenne selon les scénarios premiers tour Marine Le Pen tiendrait 25 %, Emmanuel macro 24 % Xavier Bertrand 16 %. Les autres candidats sont plus loin Jean-Luc Mélenchon à 11 % Anne Hidalgo a 7 % Yannick Jadot a 700 du poignant à 5 % et Fabien Roussel à 2,5 %.

 

Jamais l’électorat de la présidente du RN, évalué entre 25% et 27%, n’a été si éloigné de celui du fondateur d’En marche. « Le match Macron-Le Pen est aussi un duel sociodémographique, diagnostique Dabi. Il y a deux France qui se superposent sans aucune zone de frottement. » Contrairement au passé, où l’on trouvait toujours des cadres supérieurs pour voter à gauche ou des ouvriers à droite.

Alors que les catégories d’âge les plus acquises à Macron restent les 18-24 ans (27%) et les plus de 65 ans (3 %), celles qui votent le plus Le Pen sont les 25-34 ans (35%) et les 50-65 ans (33%). « C’est dans ces générations charnières que Marine Le Pen atteint ses scores les plus élevés : celle de l’insertion, touchée de plein fouet par la crise et en recherche de stage ou de travail, mais aussi celle d’avant la retraite, qui se fait licencier, qui épargne le moins chaque mois et qui est confrontée à la dépendance des proches », note Dabi.

Plus classiquement, Le Pen demeure en position de force chez les employés (42%) et ouvriers (45%) ainsi que dans la population faiblement diplômée (36% chez les titulaires d’un CAP ou d’un BEP, 34% chez les bacheliers). Tout le contraire de Macron. À noter : la candidate d’extrême droite, comme aux élections européennes de 2019, semble en passe de remporter la bataille du salariat (elle en recueille 30%, soit 9 points d’avance sur le chef de l’État), et même celle du secteur public (29%, soit 6 points d’avance). Mais si sa dynamique semble forte, elle s’arrête aux portes de l’Élysée : avec 46% des suffrages, elle perdrait le second tour contre Macron (54%). Ce qui interdit toujours à la candidate d’extrême droite, malgré ses bons scores, de revendiquer le statut de favorite.

Si le scrutin avait lieu aujourd’hui, la droite subirait son deuxième « 21 avril » d’affilée : aucun de ses représentants ne se qualifierait pour la finale. Ni Xavier Bertrand (16%), ni Valérie Pécresse (11%), encore moins Laurent Wauquiez (7%) ou Bruno Retailleau (6%). Le président de la Région Hauts-de-France a pourtant des raisons d’espérer : après sa déclaration de candidature à la présidentielle, il rebondit de 2 points par rapport au précédent sondage Ifop (pour Marianne, en mars) et creuse l’écart à droite, alors que la partie, à l’automne, semblait beaucoup plus serrée.

Si sa stratégie visant à ratisser à gauche ne fonctionne pas (4% des sympathisants seulement voteraient pour lui), pas plus que ses appels du pied à l’électorat populaire (10%), qui reste à conquérir, il attire 53% des électeurs de François Fillon en 2017 et 17% de ceux de Macron. Et obtient un bon résultat chez les personnes âgées (27%), loin devant ses concurrents de droite. Pas encore au second tour, donc, mais en passe de réussir son pari tactique : tuer dans l’œuf, en se déclarant si tôt, la primaire de la droite.

Même constat pour la gauche : à ce stade, elle ne qualifierait personne pour le second tour. Son meilleur prétendant actuel, Jean-Luc Mélenchon, même dans la plus favorable des configurations, n’obtient que 13,5% (il a atteint 19,58% en 2017), et vogue plutôt entre 10 et 11%. « L’espace politique et le potentiel électoral de la gauche n’ont jamais été aussi faibles sous la Ve République : entre 26 et 28% », note Dabi.

Quant aux autres représentants de ce camp, aucun d’eux ne perce. Anne Hidalgo, qui avance ­pourtant vers une candidature depuis l’automne, stagne à 7%. Yannick Jadot, en dépit de son récent appel au ­rassemblement, plafonne à 6%. L’ex-socialiste Arnaud ­Montebourg, qui a manifesté des velléités de retour, ne dépasse pas les 5%. Enfin, le maire de Grenoble, Éric Piolle, candidat préféré des écologistes, atterrit au niveau du score d’Eva Joly en 2012 (2%)… Nulle dynamique, donc. Plus cruel encore : en cas d’union du PS, du PCF et d’EELV, le champion de la gauche, qu’il s’agisse d’Hidalgo ou de Jadot, rassemblerait à peine 9 à 10% des suffrages.

 

Second tour : Macron toujours devant

Vainqueur au second tour à 54 % : c’est un point de plus pour le chef de l’état que dans le dernier sondage Ifop (pour Marianne) en mars. En plein débat sur la volonté des électeurs de gauche de faire barrage au RN, 51 % des sympathisants Insoumis et 84 % de ceux du PS voteraient Macron. Il récupérerait 59 % de ceux qui avaient voté Mélenchon en 2017 et 88 % de ceux qui avaient opté pour Hamon. Le Pen serait certes battue avec 46 %, mais Frédéric Dabi le rappelle : « Jamais, à un an du vote, un candidat frontiste n’a obtenu un tel score.

 

Sondage Ifop-Fiducial pour le JDD et Sud Radio, réalisé par questionnaire autoadministré en ligne du 2 au 8 avril 2021, auprès d’un échantillon de 1.730 personnes inscrites sur les listes électorales, extrait d’un échantillon de 2.003 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La marge d’erreur des résultats d’ensemble s’établit, selon le score visé, entre plus ou moins 1,0 et 2,2 points.

Élection présidentielle : Marine Le Pen devant Macron, la gauche out !

Élection présidentielle : Marine Le Pen devant Macron, la gauche out !

Selon un sondage Harris Interactive publié ce dimanche, Marine Le Pen, devancerait d’une courte tête le président sortant Emmanuel Macron au premier tour de l’élection présidentielle, si le scrutin avait lieu ce dimanche, selon un sondage Harris Interactive.

À 15 mois de la présidentielle, Emmanuel Macron rallierait 23 à 24% des suffrages au premier tour, en fonction des différents candidats potentiels à droite et à gauche, selon cette enquête commandée par le cabinet CommStrat et le quotidien L’Opinion. Marine Le Pen engrangerait, elle, 26 à 27% des votes, là aussi selon les différentes hypothèses de candidatures à droite et à gauche.

En 2017, Emmanuel Macron avait recueilli 24% des voix au premier tour, contre 21,3% à Marine Le Pen. Il l’avait emporté au second tour avec 66,1% des suffrages contre 33,9% à la présidente du Rassemblement national. À 15 mois de la présidentielle, le couple Macron/Le Pen continue de dominer le rapport de force et relègue les autres candidats putatifs loin derrière.

À droite, une candidature de Xavier Bertrand recueillerait 16% des intentions de votes exprimées, Valérie Pécresse 14%, quelle que soit la personnalité soutenue par le Parti socialiste qui leur serait opposée. À gauche, une candidature d’Anne Hidalgo recueillerait 6 ou 7% des voix, selon qu’elle serait opposée respectivement à Xavier Bertrand ou à Valérie Pécresse. Tandis qu’Arnaud Montebourg est crédité de 5% des suffrages dans toutes les configurations.

Ces scores attribués aux candidats socialistes les placent derrière la candidature de Jean-Luc Mélenchon, qui recueille 10% ou 11% des intentions de vote. Mais aussi derrière celle de l’écologiste Yannick Jadot, l’écart étant plus réduit face à Anne Hidalgo (1 point d’écart, soit 7 à 8%) et plus marqué face à Arnaud Montebourg (4 à 5 points d’écart, soit 9 à 10%).

Le sondage a été réalisé en ligne les 19 et 20 janvier auprès d’un échantillon représentatif de 1.403 personnes, dont 976 inscrites sur les listes électorales, selon la méthode des quotas. Marge d’erreur de 1,4 à 3,1 points. Les intentions de vote ne constituent pas une prévision de résultat, elles donnent une indication des rapports de force au jour de la réalisation du sondage.

2017 : Sarkozy out !…. Comme Hollande .

2017 : Sarkozy out !…. Comme Hollande

Sondage après sondage Juppé devient le grand favori pour 2017. Nicolas Sarkozy, comme Hollande d’ailleurs, ne parvient pas à décoller des 20 % d’opinions favorables. Pas étonnant si Sarkozy- comme Hollande- hésite encore à déclarer officiellement sa candidature. Tous les sondages démontrent que François Hollande est rejeté dans l’opinion par environ 80 % des personnes. On peut émettre l’hypothèse vraisemblable que sauf événement imprévisible toujours possible (terrorisme, crack financier, crise géopolitique etc.). Sarkozy comme Hollande seront contraints de renoncer à se présenter en 2017. Selon une  étude réalisée pour Orange et iTELE, 48% des sympathisants de droite jugent que le maire de Bordeaux serait le meilleur candidat LR à la présidentielle, contre 20% pour Nicolas Sarkozy et 11% pour François Fillon et Bruno Le Maire. Alain Juppé devance également nettement l’ancien président chez les seuls sympathisants LR (43% contre 30%). Ils estiment majoritairement que, dans la perspective de la présidentielle, Alain Juppé serait davantage capable que Nicolas Sarkozy de rassembler les Français (64% contre 34%), de faire gagner la droite (58% contre 38%) et in fine, d’améliorer la situation de la France (62% contre 36%), souligne BVA. Le capital image de l’ancien Premier ministre de Jacques Chirac est également nettement plus fort dans l’opinion publique : 63% des Français déclarent avoir une bonne opinion de lui, contre 35% qui en ont une mauvaise, alors que Nicolas Sarkozy ne recueille que 26% de jugements positifs (contre 73% de négatifs). Et 83% des sympathisants LR ont une bonne image d’Alain Juppé contre 72% pour Nicolas Sarkozy, qui est aussi devancé par Bruno Le Maire (79%) et fait jeu égal avec François Fillon (71%).

Sondage popularité : Hollande s’écroule, déjà out pour 2017 ?

Sondage popularité :  Hollande s’écroule, déjà out pour 2017 ?

Pendant  deux mois Hollande a légèrement remonté la pente mais il replonge et cette fois la chute est lourde. En cause évidemment l’absence totale de résultat sur le  chômage contrairement à toutes ses annonces (contrairement aussi aux prévisions de nombre d’instituts qui continuent eux aussi d’utiliser la méthode Coué). On en vient même à gauche à douter de l’efficacité du pacte de responsabilité . Bref l’échec total de la politique économique qui se traduit par un enlisement dans la croissance molle et les déficits qui vont avec. Faute de résultats économique Hollande politise ses interventions et se lance dans une  hasardeuse et prématurée campagne pour 2017. Sa dernière visite chez Fralib ( 27 emplois sauvés sur 182 et pour combien de temps même si on souhaite évidemment que le sauvetage réussisse) ) témoigne de l’impuissance totale des pouvoirs publics et du caractère dérisoire de l’intervention politique même au plus haut niveau. Alors que l’enjeu c’est de trouver un emploi pour des millions de chômeurs. Sur les questions sociétales, ce n’est pas mieux, des gadgets qui s’ajoutent aux autres gadgets comme l’insignifiante réforme des collèges.  Mais les français ne sont pas dupes François Hollande dévisse donc  dans le baromètre CSA pour « Les Echos » et Radio Classique. Le chef de l’Etat rechute de 6 points sur un mois. Moins d’un Français sur quatre (23%) a désormais « confiance » en lui pour « affronter efficacement les principaux problèmes qui se posent au pays ». C’est la baisse la plus forte enregistrée par le président depuis juin 2002 (il avait perdu 7 points le premier mois du quinquennat). Et la première fois depuis les attentats du mois de janvier qu’il retombe sous la barre des 25%. Le coup est rude. Il l’est aussi – dans une moindre mesure – pour Manuel Valls, dont la cote de confiance recule de 3 points, à 35%. Le couple exécutif pâtit d’abord de l’annonce par le ministère du Travail, lundi, d’un bond spectaculaire du chômage au mois d’avril, en dépit des signes de reprise économique. « Le chiffre ravive le souvenir de la promesse non tenue sur l’inversion de la courbe du chômage et entretient le doute sur l’efficacité et même sur le bien-fondé de la politique économique menée », analyse Yves-Marie Cann, directeur en charge de l’opinion de CSA. Dans ce contexte, le discours de François Hollande au Panthéon, décrit par son entourage comme un moment important, n’a rien changé. Au contraire, le sentiment qu’il a donné, aux Antilles puis de son meeting à Carcassonne , de partir déjà en campagne, semble avoir contribué à dégrader sa cote. S’y ajoute l’impact négatif, pour l’heure, de la réforme du collège . Un réforme qui a fait grincer des dents jusque dans la majorité, a été critiquée par une large proportion de Français mais sur laquelle le président s’est « fortement exposé », rappelle Yves-Marie Cann. Najat Vallaud-Belkacem, la ministre de l’Education, voit sa cote de popularité s’affaisser de 6 points en un mois à 34 %. C’est le recul le plus fort des membres du gouvernement testés, tous étant à la baisse ce mois-ci . Elle perd 4 points chez les sympathisants de gauche, 8 chez ceux du PS, 19 points parmi les jeunes et 15 chez les seuls étudiants. De la même manière, François Hollande recule surtout chez les jeunes et dans les classes populaires. Le chef de l’Etat, qui a pourtant multiplié les appels du pied à leur attention ces dernières semaines, perd 9 points en un mois chez les moins de 25 ans, 10 chez les 25-34 ans. Il recule de 7 points chez les ouvriers et 4 chez les employés, alors qu’il reste stable chez les cadres et professions libérales. Plus « inquiétant », selon CSA, il reperd du terrain dans le noyau dur de son électorat. Il régresse de 4 points (à 65 %) chez les sympathisants socialistes. Et, surtout, de 8 points (à 54 %) parmi ses électeurs du premier tour de la présidentielle 2012. Chez ceux du second, la défiance l’emporte à nouveau, à 47 %. Au point que maintenant les électeurs de gauche réclament des primaires pour désigner Valls à la place d’un Hollande qui paraît désormais out pour 2017.

Déficit commercial : nettement dans le rouge en août

Déficit commercial : nettement dans le rouge en août

En dépit de la baisse des importations, la balance commerciale est encore nettement dans le rouge. Les importations baissent sous l’effet d’une consommation des ménages atone mais les exports régressent  du fait de la diminution de la demande externe et du manque de compétitivité de l’économie française.  Le déficit commercial de la France s’est creusé à 5,78 milliards d’euros en août du fait d’un net recul des exportations, tombées à leur plus bas depuis près de trois ans, selon les statistiques CVS/CJO publiées jeudi par les Douanes. Il se compare à un déficit de juillet revu en légère baisse à 5,53 milliards d’euros, alors qu’il avait été annoncé à 5,54 milliards en première estimation. Le déficit cumulé sur les huit premiers mois de l’année s’élève à 40,3 milliards d’euros contre 41,1 milliards un an plus tôt. Pour le mois d’août, les Douanes font état d’un recul de 0,6% des importations, à 41,4 milliards d’euros. Dans le même temps, les exportations ont diminué de 1,3% par rapport à juillet, à 35,6 milliards d’euros, soit leur plus bas niveau depuis septembre 2011. Le déficit des seuls produits manufacturés s’est élevé à 4,2 milliards contre 3,8 milliards en juillet. Les ventes d’Airbus (13 appareils) ont représenté 1,19 milliard d’euros sur le mois contre 1,99 milliard en juillet (25 appareils). « Au nouveau recul des livraisons aéronautiques s’ajoute un retrait des ventes pour la chimie, le pétrole raffiné, le blé et les équipements industriels », soulignent les douanes dans un communiqué. Par zones géographiques, le déficit avec les pays hors Europe s’est creusé à 4,0 milliards (-3,65 milliards un mois plus tôt). Celui avec les autres pays de l’Union européenne est resté quasi stable à 3,49 milliards contre 3,47 milliards. Avec la seule zone euro, il a diminué à 3,69 milliards contre 3,93 milliards.

 

Sondage : Cameron out ! 9%

Sondage : Cameron out  ! 9%

Le parti britannique anti-européen UKIP atteint un record de 17% d’opinions favorables en Grande-Bretagne alors que le parti conservateur du Premier ministre David Cameron continue de régresser derrière le parti travailliste, selon les résultats d’un sondage publié dimanche par l’Independent on Sunday et le Sunday Mirror. Selon cette enquête réalisée par l’institut ComRes, la cote du parti travailliste s’établit à 37%, loin devant le parti conservateur au pouvoir crédité de 28% et ses alliés libéraux-démocrates au gouvernement qui recueillent seulement 9% d’opinions favorables. David Cameron a affirmé début mars ne pas vouloir prendre de « virage à droite » après le camouflet infligé par la formation anti-européenne et anti-immigration UKIP à son parti, relégué en troisième position lors d’une législative partielle à Eastleigh (sud). Il s’est cependant engagé mi-janvier, sous la pression des eurosceptiques, à organiser d’ici la fin 2017 un référendum sur le maintien du Royaume-Uni dans l’UE s’il remportait les prochaines élections législatives.

 

Sondage-Marseille-municipales : Gaudin et Tapie out !

Sondage-Marseille-municipales : Gaudin et Tapie out  !

Selon un sondage Ifop paru dans le Journal du Dimanche, le maire UMP sortant de Marseille, Jean-Claude Gaudin, serait battu par la gauche quel que soit le candidat socialiste (Marie-Arlette Carlotti 27%, Samia Ghali 25%, Eugène Caselli et Patrick Mennucci 24%). Autre information de taille : Bernard Tapie, qu’un autre sondage donnait le vent en poupe, ne recueillerait que 13% des voix, très loin derrière l’UMP, loin derrière le PS et même devancé par le FN.

 

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