Archive pour le Tag 'ou pas ?'

Poutine veut mettre les oligarques ou pas

Poutine veut mettre les oligarques ou pas

 

Il est probable que le conflit en Ukraine va te être l’occasion d’un grand nettoyage interne en Russie dans l’administration, dans l’armée mais aussi dans l’économie ou les oligarques régnaient en maître ( avec la complicité de Poutine). Poutine  en effet demande désormais officiellement que les oligarques se prononcent clairement pour la guerre contre l’Ukraine.

« Je ne condamne pas ceux qui ont une villa à Miami ou sur la Côte d’Azur, qui ne peuvent pas se passer de foie gras, d’huîtres ou de la soi-disant liberté des genres. Mais le problème est que beaucoup de ces personnes sont mentalement là-bas et pas ici, avec notre peuple » : c’est en ces termes que Vladimir Poutine a mis en garde, mercredi dernier, les oligarques russes. Le propos est clair, soit vous êtes avec nous, soit le pays vous rejettera, comme il rejettera les « traîtres nationaux » de la « cinquième colonne » sur laquelle compte l’Occident pour « tenter de diviser notre société ».

 

Petroplus: reprise ou pas avec une participation « minoritaire » de l’Etat ?

Petroplus: reprise ou pas avec une participation « minoritaire » de l’Etat ?

Incertitude sur la reprise de Petroplus, il faudrait d’abord retrouver un repreneur, si c’était le cas, L’Etat est prêt à une participation « minoritaire » dans la reprise de la raffinerie Petroplus de Petit-Couronne, a affirmé mardi le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, ajoutant que la piste d’un repreneur libyen restait sérieuse. Le ministre a assuré sur la radio RTL que le gouvernement attendait « plusieurs offres » de candidats à la reprise du site de Seine-Maritime, qui emploie 470 salariés, à quelques heures de l’expiration du délai fixé à mardi 17H00 pour le dépôt des offres auprès de l’administrateur judiciaire.  Au terme lundi soir d’une réunion de conseillers du Premier ministre Jean-Marc Ayrault avec l’intersyndicale de la raffinerie, Matignon a estimé « limitées » les chances de trouver un acheteur.   »Limité n’est pas impossible », a répliqué M. Montebourg, pour qui l’éventuel repreneur « investira certainement aux côtés de l’Etat, car nous sommes disponibles pour accompagner un offreur ».  Selon lui, l’Etat est disposé à participer « de façon minoritaire » dans la reprise, « parce qu’il faut des capitaux très importants pour réinvestir et rendre cette raffinerie performante ».  Le ministre a fixé deux conditions pour la reprise de la raffinerie: « beaucoup d’argent et du pétrole ».  Il souhaite que le repreneur provienne d’un pays producteur de pétrole et n’a pas écarté un groupe libyen. Cette piste a « toujours été sérieuse », a-t-il affirmé.   »Les pays producteurs ont intérêt aujourd’hui, alors que la production reprend (…) qu’ils veulent se repositionner sur le marché européen à chercher des lieux de raffinage à proximité de la distribution », a-t-il affirmé.  La porte-parole du gouvernement Najat Vallaud-Belkacem, a affirmé de son côté mardi que l’exécutif « se prépare à tous les scénarios en attendant la fin des discussions ».   »Attendons donc la fin de la journée pour en savoir plus », a-t-elle déclaré sur France Info, sans écarter une fermeture du site.   »Nous aurons à cœur évidemment de veiller à ce que les salariés, s’il devait y avoir un plan social, puissent être accompagnés vers une transition, une reconversion professionnelle et l’employeur lui-même devra prendre un certain nombre d’engagements en la matière », a-t-elle souligné  Ouvert en 1929, le site de Petit-Couronne est menacé depuis plus d’un an: dans la foulée de l’effrondrement de sa maison mère Petroplus, la raffinerie a déposé son bilan le 24 janvier 2012. Elle a été placée en liquidation judiciaire le 16 octobre, avec poursuite de l’activité pour deux mois.  L’intersyndicale appelle à un rassemblement devant la raffinerie Petroplus de Petit-Couronne mardi midi.

 

France : faillite ou pas ? En tout cas sur le chemin !

France : faillite ou pas ? En tout cas sur le chemin !

 

Juridiquement la France n’est pas en faillite puisqu’elle n’est pas en cessation de paiement et qu’elle comble ses insuffisances de recettes par l’emprunt ; encore 200 milliards seront empruntés en 2013. C’est évidemment beaucoup car la dette atteint 90% du PIB.  Pour résumer ont doit l’équivalent d’une année de richesse nationale. Une dérive qui a commencé en 1974 (21% à l’époque). Il faut évidemment rembourser pour éviter cette faillite mais on ne rembourse que les intérêts et encore. 46 milliards sont ainsi consacrés au remboursement de ces intérêts (première dépense de l’Etat. En cause évidemment la dépense publique excessive par rapport aux recettes fiscales. La dépense publique dépasse 56% du PIB (environ 1000 milliards) et les marges de manouvre sont très faibles puisqu’on ne touchera pas au nombre de fonctionnaires C’est pourtant le problème central car non seulement la masse salariale de ces fonctionnaires pèsent lourdement sur le budget mais aussi nombre de ces fonctionnaires génèrent des dépenses et autres procédures administratives couteuses pour la puissance publique, les entreprises et les français en général.  En question  aussi  le financement des retraites et des dépenses sociales en général (maladie, invalidité, chômage, aides sociales de toutes natures). Plusieurs dizaines de milliards à trouver annuellement qui dépendront  aussi des ressources largement hypothéquées par l’absence de croissance. En l’absence de croissance, le chômage est condamné à progresser, de l’ordre de 1000 chômeurs en plus par jour ; donc moins de cotisations et plus de d’allocations (une vingtaine de milliards de déficit cumulé).  Dernier aspect très inquiétant pour la santé économique et financier, le commerce extérieur avec un déficit de l’ordre de 70 milliards. Une sortie de devise qu’il faut équilibrer par l’emprunt. Surtout un indicateur qui montre que la France a perdu sa compétitivité tant à l’extérieur qu’à linérieuer.la France en faillite ? Sans doute non mais sur une pente qui inévitablement conduira à un relèvement des taux d’intérêts qui viendront encore alourdir la dette (le processus engagé depuis 1974) ; .la recette aujourd’hui, c’est l’impôt mais on atteint aujourd’hui le point de déséquilibre car chaque augmentation de prélèvement obligatoire tue un peu plus la croissance et l’emploi ; bref le cercle vicieux.

 

 

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