Archive pour le Tag 'optimistes'

Perspectives Elections européennes 2024 : les Européen optimistes sauf les Français

Perspectives Elections européennes 2024 : les Européen optimistes sauf les Français

Un nouveau sondage qui révèle l’extrême pessimisme des Français comparés à celui des autres pays de l’Europe. Un sondage qui sans doute caractérise le mécontentement relatif à l’union européenne mais sans doute tout autant et même davantage le mécontentement pour les questions purement hexagonales. Dans la perspective des élections européennes de 2024, tous les Européens sont majoritairement optimistes… sauf les Français. L’Eurobaromètre, publié régulièrement par les institutions européennes, se base sur 26 523 entretiens réalisés entre le 25 septembre et le 19 octobre auprès d’une population européenne âgée de 15 ans et plus dans les 27 Etats membres. Dans le détail, les Danois et les Irlandais sont les plus confiants, avec 83% de « très » ou « plutôt » optimistes. Cette proportion est de 58% pour les Allemands, 55% pour les Hongrois. Elle tombe sous la barre des 50% dans un seul pays, la France, où les sondés ne sont que 46% à se dire optimistes, dépassés par les pessimistes (49%).

Sur l’ensemble des 27 pays de l’UE toutefois, 48% des sondés estiment que « les choses vont dans la mauvaise direction » dans l’UE (contre 33% l’inverse). Mais 61% des personnes interrogées considèrent que l’adhésion de leur pays à l’UE est une bonne chose – une proportion à peu près stable par rapport à septembre 2018. Et quelque 70% des Européens estiment que les actions de l’UE ont « un impact sur leur vie quotidienne ». Un peu plus de la moitié (53%) pense que l’invasion russe de l’Ukraine doit être l’occasion d’accélérer l’élargissement de l’UE.

2022-Sondage moral des Français: 17 % seulement optimistes

2022-Sondage moral des Français: 17 % seulement optimistes

D’après une étude Odoxa BackBone Consulting pour Le Figaro révèle que Seulement 17 % des Français optimistes pour l’année qui vient.

59% des Français anticipent une année 2022 identique à celle qui vient de s’écouler, selon une étude Odoxa BackBone-Consulting pour Le Figaro. 23% d’entre eux craignent même que les prochains mois soient pires. Seuls 17% pensent que l’année qui commence sera meilleure. Un ressenti qui monte à 24% chez les sympathisants LR et RN.
 Sur le registre sanitaire, les Français ne sont pas plus confiants : 85% ne prévoient pas une année sous le signe d’une fin de la pandémie. L’institut relève même une certaine «lassitude» et une «fatigue» face à la situation. Dans cette configuration, six citoyens sur dix considèrent que le pays devrait connaître un vaste mouvement social dans les prochains mois comme celui des «gilets jaunes». 49% d’entre eux prévoient de surcroît une crise économique.

Enfin, sur le plan politique et électoral, une majorité de Français (53%) prédisent une réélection d’Emmanuel Macron, moins d’un tiers (28%) une victoire de Valérie Pécresse, et à peine plus de deux sur dix (22%) celle d’un des deux impétrants de la droite nationaliste – Éric Zemmour ou Marine Le Pen.

Le président de la République sera d’ailleurs, pour 30% des Français, la personnalité politique de 2022. Suivent la présidente de la région francilienne (19%) et Éric Zemmour (17%). Preuve que l’incertitude règne, le scénario d’un duel Macron-Le Pen n’est plus aussi évident qu’auparavant. Avec l’arrivée sur la ligne de départ de Valérie Pécresse, venant talonner Emmanuel Macron dans les sondages depuis sa désignation par LR début décembre, et d’Éric Zemmour qui fait de même avec Marine Le Pen, l’accession au second tour devrait se jouer sur la partie droite de l’échiquier politique.

 La campagne devrait sans aucun doute aborder les préoccupations majeures des électeurs. À savoir, le pouvoir d’achat et la santé (ex aequo à 54%) et l’insécurité (37%). Lesquels se situent devant l’immigration (32%) et l’emploi (29%). Si la priorité sanitaire est avancée en premier par les sympathisants LREM et PS, la lutte contre immigration est celle qui recueille le plus d’adhésions à LR et au RN.

Sondage moral des Français pour 2022: 17 % seulement optimistes

Sondage moral des Français pour 2022: 17 % seulement optimistes

D’après une étude Odoxa BackBone Consulting pour Le Figaro révèle que Seulement 17 % des Français optimistes pour l’année qui vient.

59% des Français anticipent une année 2022 identique à celle qui vient de s’écouler, selon une étude Odoxa BackBone-Consulting pour Le Figaro. 23% d’entre eux craignent même que les prochains mois soient pires. Seuls 17% pensent que l’année qui commence sera meilleure. Un ressenti qui monte à 24% chez les sympathisants LR et RN.

Sur le registre sanitaire, les Français ne sont pas plus confiants : 85% ne prévoient pas une année sous le signe d’une fin de la pandémie. L’institut relève même une certaine «lassitude» et une «fatigue» face à la situation. Dans cette configuration, six citoyens sur dix considèrent que le pays devrait connaître un vaste mouvement social dans les prochains mois comme celui des «gilets jaunes». 49% d’entre eux prévoient de surcroît une crise économique.

Enfin, sur le plan politique et électoral, une majorité de Français (53%) prédisent une réélection d’Emmanuel Macron, moins d’un tiers (28%) une victoire de Valérie Pécresse, et à peine plus de deux sur dix (22%) celle d’un des deux impétrants de la droite nationaliste – Éric Zemmour ou Marine Le Pen.

Le président de la République sera d’ailleurs, pour 30% des Français, la personnalité politique de 2022. Suivent la présidente de la région francilienne (19%) et Éric Zemmour (17%). Preuve que l’incertitude règne, le scénario d’un duel Macron-Le Pen n’est plus aussi évident qu’auparavant. Avec l’arrivée sur la ligne de départ de Valérie Pécresse, venant talonner Emmanuel Macron dans les sondages depuis sa désignation par LR début décembre, et d’Éric Zemmour qui fait de même avec Marine Le Pen, l’accession au second tour devrait se jouer sur la partie droite de l’échiquier politique.

 La campagne devrait sans aucun doute aborder les préoccupations majeures des électeurs. À savoir, le pouvoir d’achat et la santé (ex aequo à 54%) et l’insécurité (37%). Lesquels se situent devant l’immigration (32%) et l’emploi (29%). Si la priorité sanitaire est avancée en premier par les sympathisants LREM et PS, la lutte contre immigration est celle qui recueille le plus d’adhésions à LR et au RN.

Sondage déconfinement : 6 Français sur 10 optimistes

  • Sondage déconfinement : 6 Français sur 10 optimistes
  • . Les Français se disent d’abord soulagés (46%) et joyeux (36%) devant cette nouvelle étape de la sortie des restrictions, franchie mercredi, selon le dernier sondage Odoxa-Backbone Consulting * pour Le Figaro et France Info. L’inquiétude (29%) ou l’indifférence (17%) sont les sentiments les moins partagés.
  • Face à la perspective de la levée progressive des contraintes, l’opinion publique se montre aussi optimiste : six Français sur dix (59%) pensent que le pays va réussir son déconfinement, après plus d’un an d’épidémie de Covid-19. Ils sont autant à croire en la vaccination de tous les volontaires d’ici la fin de l’été, promesse d’Emmanuel Macron. Une volte-face en à peine un mois : en avril, seule une minorité de Français (36%) jugeait ce projet réaliste.
  • Un doute subsiste toutefois dans la population : une minorité de citoyens (44%) estime que notre pays amorce une sortie durable de la crise sanitaire.
  • échantillon de 1.005 Français représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marge d’erreur : 1,4 à 3,1 points de plus ou de moins.

 

Écologie : les Français davantage optimistes

Écologie : les Français davantage optimistes

D’après le sondage l’IFOP pour la Tribune les Français sont moins pessimistes à propos de la problématique climatique. Cette tendance confirme, selon Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’IFOP, « le tournant écologique de l’opinion publique » dont la première préoccupation est devenue la lutte contre le dérèglement climatique.

Le sondage montre la très forte notoriété de la COP21 connue par 85% des Français et précisément par 42% d’entre eux. Certes, les Français, par scepticisme ou réalisme, estiment encore, à 65%, que cet accord a été surtout « de façade » et n’a permis de réduire qu’à la marge les émissions de CO2, ce qui est stricte vérité. Mais c’est 10 points en dessous de leur réponse à la même question il y a un an, où 75% des Français n’y croyaient pas.

Sur les moyens mis en oeuvre pour la transition écologique, les Français estiment à 57% que l’accord de Paris a eu un impact positif sur le développement des énergies renouvelables, et 35% pensent que cela a effectivement permis de commencer de réduire les émissions de gaz à effet de serre. Mieux, une courte majorité de 55% pense aussi que l’objectif, contraignant, de l’accord prévoyant de « contenir d’ici à 2100 le réchauffement climatique nettement en-dessous de 2°C par rapport aux niveaux pré-industriels » est « réalisable ».

 

Les Français pensent que la mesure la plus efficace concerne le comportement des consommateurs et des citoyens pour 63 %. Les Français réclame aussi une réglementation plus contraignante pour protéger les forêts et en troisième position, 6 sur 10 demandent plus d’aides financières pour rénover les logements (sans doute ont-ils entendu parler de l’arrivée prochaine de Ma Prime Renov’…). 6 Français sur 10 citent la nécessité de développer la part des énergies renouvelables dans le mix.

La question de la place de la voiture en ville et de l’instauration de zones à faibles émissions est aussi prise en compte majoritairement comme indispensable ou importante

Sondage pouvoir d’achat : 23% seulement optimistes

Sondage  pouvoir d’achat : 23% seulement optimistes

Selon un sondage Harris interactive, globalement, près d’un Français  sur deux (47%) se dit « optimiste » pour l’année à venir, soit une chute de 12 points par rapport à la même enquête il y a un an, contre 51% (+13) de  »pessimistes ». Le pouvoir d’achat (73%, +9) devient la première priorité attribuée au gouvernement pour 2019, devant la lutte contre le terrorisme (71%, stable) et contre le chômage (70%, +1). Mais c’est aussi l’un des domaines dans lesquels les Français se montrent le moins « optimistes » pour l’année à venir (23%).

La confiance dans le gouvernement pour mener différentes réformes est également limitée : 33% lui font ainsi confiance pour « agir dans le bon sens «en ce qui concerne la réforme des institutions, 32% pour la réforme de l’assurance maladie et 29% pour celle des retraites. Deux Français sur trois (67%) pensent enfin que le gouvernement doit « avant tout aider le pouvoir d’achat des Français », quitte à ne pas maîtriser l’endettement et le déficit de la France.

Enquête réalisée en ligne du 27 au 28 décembre auprès de 1 967 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marge d’erreur de 1 à 2,3 points.

 

Moral des industriels français: optimistes sur l’investissement en 2018

Moral des  industriels français:  optimistes sur l’investissement en 2018

 

Encore une bonne nouvelle pour l’économie avec la hausse du moral des industriels concernant les investissements qui représentent environ un quart des investissements productifs en France. Les industriels français anticipent désormais une hausse de 4% des investissements cette année par rapport à 2017, après une progression revue en baisse à 2%, contre 4% précédemment, sur l’année écoulée, selon l’enquête trimestrielle de l’Insee publiée mardi. A titre de comparaison, dans la précédente édition de cette enquête, publiée en novembre, ils anticipaient une stabilité de leurs investissements cette année et évoquaient une hausse de 4% en valeur l’an dernier. Il s’agit dans les deux cas de révisions conformes à celles constatées habituellement en janvier, souligne l’Insee. Pour 2018, la révision à la hausse par rapport aux premières prévisions de l’automne dernier se manifeste dans tous les secteurs, en particulier dans la fabrication des biens d’équipement, dont les investissements sont attendus en hausse de 18% cette année (+10% dans l’enquête de novembre). Dans les autres secteurs, la révision à la hausse des prévisions d’investissements reste significative, bien que de moindre ampleur, qu’il s’agisse de l’agroalimentaire (stabilité attendue, contre un recul de 5% précédemment), de la fabrication de matériel de transport (-7% prévu, contre -11% auparavant) ou des autres industries (+6% attendu contre +2% précédemment). Les résultats de cette enquête mettent également en évidence que les industriels sont plus nombreux à anticiper une hausse plutôt qu’une baisse de leurs investissements au premier semestre 2018.

 

Moral Industrie : patrons optimistes

Moral Industrie : patrons  optimistes

 

Selon l’enquête d’opinion de la Banque de France  réalisée auprès des chefs d’entreprise, la production industrielle a fortement accéléré en décembre. Tous les secteurs sont concernés et en particulier l’automobile, les équipements électriques et les produits pharmaceutiques. Du côté des carnets de commande, le solde d’opinion ne cesse de se redresser depuis décembre 2015.  »Les livraisons et les prises de commandes, y compris étrangères, s’accroissent vivement. » Le taux d’utilisation de capacité des productions a progressé de 0,7 point par rapport à novembre pour s’inscrire à 81,7%, le niveau le plus haut depuis mai 2008. Pour le mois de janvier, les industriels s’attendent à une nouvelle hausse de leur production en janvier mais à un rythme moins prononcé. Les résultats de la Banque de France confirment ceux de l’Insee qui n’a pas encore publié de résultats pour décembre mais vient de confirmer une tendance favorable sur plusieurs mois. Si les économistes de l’institut de statistiques français ont noté que la production manufacturière s’était repliée en novembre, ils soulignent également que sur un an cette production est en forte hausse (+4,4 %). Elle est particulièrement dynamique dans les matériels de transport (+9%) et les biens d’équipement (+5,3%).

2018 : 59% des Français optimistes

2018 : 59% des Français optimistes

D’après un sondage d’ Harris Interactive, pour RTL et M6, le niveau d’optimisme des Français pour l’année 2018 atteint 59% (contre 38% pour le niveau de pessimisme). Au lendemain d’une année 2017 jugée positive, ce niveau d’optimisme confirme sa hausse continue depuis décembre 2011, passant de 44% à 59% (+15 points en six ans). Dans le détail, les femmes sont plus positives que les hommes (61% contre 57%) pour 2018. Trois quarts des moins de 35 ans affichent un bel optimisme en ce début d’année, contre 51% des 50 ans et plus. Le taux d’optimisme varie aussi suivant des critères sociodémographiques. Ainsi, 65% des CSP+ se déclarent optimistes, quand ils sont 53% à être dans le même état d’esprit chez les inactifs. La région Île-de-France compte 64% d’euphoriques contre 58% pour la province. Sans surprise, les Français, dont les convictions sont proches de celles défendues par La République En Marche, sont les plus optimistes (83%). Cela représente deux fois plus que les sympathisants Front national (42%). Le taux d’optimisme atteint 54% chez les sympathisants de La France insoumise et 61% chez leurs homologues des Républicains et du Parti socialiste. 2018 est une année de défis pour Emmanuel Macron et sa majorité. Interrogés sur les domaines d’actions prioritaires, les Français placent en tête de leur classement la lutte contre le terrorisme (71%). Elle devance la bataille contre le chômage (69%), dont les premiers résultats sont attendus « dans deux ans » par le chef de l’État, et la défense du système social (santé, retraites) (65%). L’éducation, la lutte contre l’insécurité et le pouvoir d’achat suivent avec 64%. En revanche, la place de la France dans l’Europe n’est jugée prioritaire que par 23% des Français, bien qu’ils se montrent optimistes sur la question à 51%. La culture (21%) et le droit de vote des étrangers (8%) ferment la marche de ce classement. En matière d’immigration enfin, Emmanuel Macron a repris à son compte la célèbre déclaration de Michel RocardLors de ses vœux du 31 décembre, il a répété que « nous ne pouvons accueillir tout le monde et nous ne pouvons le faire sans qu’il y ait des règles. » Les Français sont majoritaires à être en phase avec cette réflexion. D’une manière générale, un citoyen sur deux donne sa préférence à une politique de moindre accueil des immigrés sur le territoire national, contre 11% souhaitant voir cet accueil accru et 34% optant pour le statu quo. Ceci est particulièrement le cas concernant les immigrés économiques, malades ou souhaitant retrouver leur famille.

 

Moral des patrons : optimistes mais attentistes sur l’emploi

Moral des patrons : optimistes mais attentistes sur l’emploi

 

 

 

Les patrons sont plus confiants, même si on constate  un léger tassement ; c’est évidemment uen bonne nouvelle car une partie non négligeable de la croissance repose sur une vision plus optimiste des perspectives économiques. Pour autant cette évolution de l’état d’esprit ne se traduit pas encore en volonté nette d’embaucher. D’une certaine manière, dans ce domaine, les patrons sont attentistes. Ils attendent la concrétisation dans les textes et dans la pratique des orientations du nouveau gouvernement et en particulier des précisions concernant le budget 2018. D’après l’enquête d’Opinion Way pour CCI France/La Tribune/ Europe 1, les 604 dirigeants d’entreprises restent optimistes en juin. Certes, après le pic de confiance observé en mai, l’indicateur s’effrite un peu, de quatre points, pour s’élever à 112. Néanmoins, l’optimisme reste le premier qualificatif employé par les chefs d’entreprise pour caractériser leur situation (39%), devant la confiance (36%). «  Ces deux qualificatifs caractérisent plus particulièrement les chefs d’entreprise de 10 salariés ou plus (respectivement 52% et 58%)  », Précise l’étude. Confiants et optimistes, les chefs d’entreprise sont toujours plus nombreux à estimer que la situation actuelle est correctement orientée (32%, + 5 points). Ils se montrent confiants pour l’avenir de leur entreprise dans les douze prochains mois (69%), notamment les chefs d’entreprises de 10 salariés ou plus (94%). «   Cet enthousiasme en constante progression est à mettre en perspective avec la satisfaction à l’égard du nouveau Président de la République. Près de deux mois après l’élection d’Emmanuel Macron, les trois quarts des dirigeants d’entreprise (75%) se montrent satisfaits de son action, notamment ceux évoluant dans le secteur du commerce (82%) et étant à la tête d’entreprises de 10 salariés ou plus (85%)  », Note l’enquête. Cependant cet optimisme ne semble pas assez fort pour faire progresser les embauches. Ainsi, seuls 6% des chefs d’entreprises – une proportion stable par rapport à mai – entend recruter. Seul point positif, ils ne sont plus que 2%, contre 4% en mai, à anticiper des suppressions de postes.

Les optimistes pour Macron, les pessimistes pour les extrêmes

  • Les optimistes  pour Macron, les pessimistes  pour les extrêmes

 

 

 

 

Les clivages en France sont sans doute moins politiques que sociaux. D’après une étude  réalisée avant le premier tour des présidentielles d’ Ipsos / Sopra Steria,  il ressort que ce sont surtout les couches aisées et optimistes qui se sont prononcées pour Macron  tandis que les déclassés affichaient  leur pessimisme en votant pour les extrêmes.  Marine Le Pen arrive nettement en tête chez les ouvriers (37%), devant Jean-Luc Mélenchon (24%). Les retraités, rétifs au programme du représentant de la France insoumise (12%), préfèrent François Fillon (36%) et les cadres optent pour Emmanuel Macron (33%), qui réalise son plus mauvais score chez les ouvriers (12%). La candidate du Front national et le représentant de la France insoumise sont les deux candidats les plus soutenus par les chômeurs, mais cette fois Jean-Luc Mélenchon devance Marine Le Pen (36% contre 21%). Elle obtient un meilleur score chez les salariés, du privé (26%) comme du public (27%). Emmanuel Macron, boudé par les chômeurs (14%), fait son meilleur score chez les Français à leur compte (24%)… qui placent Jean-Luc Mélenchon au même niveau (24%). Les Français qui ont le sentiment que leur profession est sur le déclin optent plus pour Marine Le Pen (30%). En revanche, la sensation de travailler dans un secteur en expansion va de pair avec le vote Macron (27%). Le niveau de revenu aussi a un impact sur le bulletin glissé dans l’urne. Plus il augmente, plus le vote pour les extrêmes reflue. Emmanuel Macron convainc 32% des ménages au revenu mensuel supérieur à 3000 euros, tandis qu’il obtient 14% parmi ceux qui disposent de moins de 1250 euros par mois. Le vote Fillon suit la même évolution. Les foyers les plus défavorisés leur préfèrent largement Jean-Luc Mélenchon (25%) et surtout Marine Le Pen (32%). La tendance s’accentue encore si l’on considère les foyers où l’on éprouve la sensation que les fins de mois sont difficiles. La candidate du Front national obtient la préférence de 43% des ménages où elles sont même «très difficiles», loin devant Jean-Luc Mélenchon (22%). Les Français se sentant plus à l’aise financièrement optent davantage pour François Fillon (25%) et, encore plus, pour Emmanuel Macron (32%).

Perspectives croissance : des patrons pas très optimistes

Perspectives croissance  : des patrons pas très optimistes

 

Des perspectives de croissance moins favorables en 2016, des effectifs maintenus, une érosion des investissements et de la Recherche & Développement, une baisse de moral, c’est ce qui ressort des réponses de 269 dirigeants d’entreprises interrogées pour la 16ème édition du baromètre des Scale-Up réalisé par CroissancePlus, réseau d’entrepreneurs, et Astorg Partners, gérant de fonds LBO. L’avis de ces entreprises, qui ont réalisé au minimum 2 millions d’euros de chiffres d’affaires en 2015, est indispensable pour mesurer les grands indicateurs , concernant leurs activités, leurs investissements, le recrutement, les financements et le niveau de confiance.

• Croissance

Sur les six premiers mois de l’année 2016, l’activité des entreprises est conforme aux objectifs pour 47% des entrepreneurs interrogés, inférieure aux objectifs pour 31% et supérieure aux objectifs pour 22%.

Comme en 2015, c’est la stratégie commerciale qui demeure le principal levier de croissance (42% – 1 point depuis novembre 2015). Vient ensuite le positionnement sur de nouveaux marchés (30%, +4 points), puis le recrutement de compétences (29%).

Pour les six prochains mois, 48% des personnes interrogées pensent que l’activité de leur entreprise sera en hausse tandis que 40% l’imaginent stable et 10% en baisse.

• Emploi

Côté emploi, 37% des entreprises ont embauché au cours des six derniers mois (-3 points), 49% ont maintenu leurs objectifs et 14% les ont réduits. Dans les six prochains mois, 63% des patrons interrogés comptent maintenir leurs effectifs, 32% souhaitent les augmenter et 5% les diminuer. Parmi ceux qui veulent embaucher, 25% souhaitent 1 à 9 personnes en plus et 7% au moins 10 personnes dans les six mois qui arrivent. Mais pour ces entrepreneurs, la mesure encourageante pour atteindre ces objectifs est d’alléger la fiscalité (84%), de baisser le coût du travail (75%), de donner plus de liberté dans l’organisation du travail (62%) donner plus d’importance à la négociation au niveau de l’entreprise (62%). Autant de mesures qui font penser que la loi travail, telle qu’elle avait été écrite initialement, aurait permis des avancées significatives pour les entrepreneurs.

• Investissements

L’équipement et l’appareil productif (machines) (40%) ainsi que la communication et la commercialisation (29%) ou la formation du personnel (26%) sont les domaines dans lesquels les patrons prévoient d’augmenter leurs investissements dans les six prochains mois. Encore une fois, la mesure qui leur permettrait d’investir davantage est un allègement de la fiscalité (89%), puis l’accès au financement bancaire des marchés (67%) et la création d’un crédit d’impôt numérique pour aider les entreprises dans leur digitalisation (53%).

• Innovation

La plupart des entreprises n’investissent pas (41%) en Recherche & Développement. 34% d’entre elles investissent 1 à 5 % de leur chiffre d’affaires (CA). A peine 5% investissent plus de 20% de leur CA. En moyenne, 5,5% du CA est investi en innovation en mai et juin 2016.

•Confiance

En ce qui concerne les perspectives du premier semestre 2016, les entreprises sont plutôt confiantes pour elles-mêmes (83%), pour leur secteur d’activité (67%). En revanche, elles sont sceptiques sur l’économie française (72%), sur l’économie européenne (61%) tout comme sur l’économie mondiale (56%). Et elles ne font plutôt pas confiance au gouvernement…

 

• Opinions politiques

D’ailleurs, s’il fallait voter pour un candidat socialiste les patrons éliraient d’abord Emmanuel Macron (41%), Manuel Valls (8%), François Hollande ou Martine Aubry (3%), puis Arnaud Montebourg (1%). 35% des personnes interrogées ne veulent aucune de ces personnalités et 9% ne se prononcent pas. Pour les candidats de droite, c’est Alain Juppé qui passe en première position (18%), puis François Fillon (15%), Nicolas Sarkozy (11%), Bruno Le Maire (10%), Xavier Bertrand (3%), Nathalie Kosciusko-Morizet (3%). 31% des patrons ne veulent aucune de ces personnalités et 9% ne se prononcent pas. Les entrepreneurs se positionnent peu ou alors, le candidat qui parviendra à offrir un avenir plus radieux aux entreprises n’existe pas (encore).

 

‘(Croissance plus)

Perspectives économiques : des patrons pas très optimistes

Perspectives économiques : des patrons pas très optimistes

 

Des perspectives de croissance moins favorables en 2016, des effectifs maintenus, une érosion des investissements et de la Recherche & Développement, une baisse de moral, c’est ce qui ressort des réponses de 269 dirigeants d’entreprises interrogées pour la 16ème édition du baromètre des Scale-Up réalisé par CroissancePlus, réseau d’entrepreneurs, et Astorg Partners, gérant de fonds LBO, du 23 mai au 17 juin 2016. L’avis de ces entreprises, qui ont réalisé au minimum 2 millions d’euros de chiffres d’affaires en 2015, est indispensable pour mesurer les grands indicateurs , concernant leurs activités, leurs investissements, le recrutement, les financements et le niveau de confiance.

• Croissance

Sur les six premiers mois de l’année 2016, l’activité des entreprises est conforme aux objectifs pour 47% des entrepreneurs interrogés, inférieure aux objectifs pour 31% et supérieure aux objectifs pour 22%.

Comme en 2015, c’est la stratégie commerciale qui demeure le principale levier de croissance (42% – 1 point depuis novembre 2015). Vient ensuite le positionnement sur de nouveaux marchés (30%, +4 points), puis le recrutement de compétences (29%).

Pour les six prochains mois, 48% des personnes interrogées pensent que l’activité de leur entreprise sera en hausse tandis que 40% l’imaginent stable et 10% en baisse.

• Emploi

Côté emploi, 37% des entreprises ont embauché au cours des six derniers mois (-3 points), 49% ont maintenu leurs objectifs et 14% les ont réduits. Dans les six prochains mois, 63% des patrons interrogés comptent maintenir leurs effectifs, 32% souhaitent les augmenter et 5% les diminuer. Parmi ceux qui veulent embaucher, 25% souhaitent 1 à 9 personnes en plus et 7% au moins 10 personnes dans les six mois qui arrivent. Mais pour ces entrepreneurs, la mesure encourageante pour atteindre ces objectifs est d’alléger la fiscalité (84%), de baisser le coût du travail (75%), de donner plus de liberté dans l’organisation du travail (62%) donner plus d’importance à la négociation au niveau de l’entreprise (62%). Autant de mesures qui font penser que la loi travail, telle qu’elle avait été écrite initialement, aurait permis des avancées significatives pour les entrepreneurs.

• Investissements

L’équipement et l’appareil productif (machines) (40%) ainsi que la communication et la commercialisation (29%) ou la formation du personnel (26%) sont les domaines dans lesquels les patrons prévoient d’augmenter leurs investissements dans les six prochains mois. Encore une fois, la mesure qui leur permettrait d’investir davantage est un allègement de la fiscalité (89%), puis l’accès au financement bancaire des marchés (67%) et la création d’un crédit d’impôt numérique pour aider les entreprises dans leur digitalisation (53%).

• Innovation

La plupart des entreprises n’investissent pas (41%) en Recherche & Développement. 34% d’entre elles investissent 1 à 5 % de leur chiffre d’affaires (CA). A peine 5% investissent plus de 20% de leur CA. En moyenne, 5,5% du CA est investi en innovation en mai et juin 2016.

•Confiance

En ce qui concerne les perspectives du premier semestre 2016, les entreprises sont plutôt confiantes pour elles-mêmes (83%), pour leur secteur d’activité (67%). En revanche, elles sont sceptiques sur l’économie française (72%), sur l’économie européenne (61%) tout comme sur l’économie mondiale (56%). Et elles ne font plutôt pas confiance au gouvernement…

 

• Opinions politiques

D’ailleurs, s’il fallait voter pour un candidat socialiste les patrons éliraient d’abord Emmanuel Macron (41%), Manuel Valls (8%), François Hollande ou Martine Aubry (3%), puis Arnaud Montebourg (1%). 35% des personnes interrogées ne veulent aucune de ces personnalités et 9% ne se prononcent pas. Pour les candidats de droite, c’est Alain Juppé qui passe en première position (18%), puis François Fillon (15%), Nicolas Sarkozy (11%), Bruno Le Maire (10%), Xavier Bertrand (3%), Nathalie Kosciusko-Morizet (3%). 31% des patrons ne veulent aucune de ces personnalités et 9% ne se prononcent pas. Les entrepreneurs se positionnent peu ou alors, le candidat qui parviendra à offrir un avenir plus radieux aux entreprises n’existe pas (encore).

 

‘(Croissance plus)

 

Sondage : les moins de 35 ans sont contre la loi travail mais cependant plus optimistes que leurs aînés

Sondage : les moins de 35 ans sont contre la loi travail mais cependant plus optimistes que leurs aînés

 

Un sondage assez contradictoire sur l’idée que se font les jeunes de 35 ans d’eux-mêmes  même et de la loi travail.  Sondage aussi tout au soleil contrasté de l’image qu’ont les Français de la jeunesse. Les Français de moins de 35 ans sont plus nombreux que leurs aînés à se déclarer « opposés » à la loi Travail, selon un sondage du Parisien. Si l’ensemble des Français se déclarent à 71% « plutôt opposés à la loi El Khomri et 28% « plutôt favorables » (1% ne se prononcent pas), les 18-34 ans se disent à 78% « plutôt opposés », selon cette enquête Odoxa.  Les moins de 35 ans sont 54% à se dire « optimistes » pour leur avenir et 45% « pessimistes », contre respectivement 46 et 53% pour l’ensemble des tranches d’âge, selon ce sondage consacré à la jeunesse. Les Français dans leur ensemble disent avoir une bonne image des jeunes, à 71%. Les plus nombreux à porter un regard positif sont les sympathisants de gauche (79%) tandis que les plus sévères sont ceux du Front national (seulement 56% à avoir une bonne image). Il n’en reste pas moins que le regard des personnes interrogées –y compris les personnes de moins de 35 ans– est assez critique: elles jugent certes les jeunes « créatifs » (73%) et « enthousiastes » (61%). Mais 67% des Français les qualifient également d’ »individualistes », « coupés des réalités » (60%), « immatures » (59%), et ni « courageux ou faisant des efforts » (55%) ni « respectueux » (68%). Des pourcentages en augmentation par rapport à un sondage similaire réalisée il y a cinq ans. Et les jeunes eux-mêmes ne sont qu’à peine plus cléments que leurs aînés dans le regard qu’ils portent sur eux-mêmes, précise Le Parisien.

Sondage confiance : les riches plus optimistes

Sondage confiance : les riches plus optimistes

 

Pas étonnant que les plus riches ( disons ceux qui ont des salaires décents) soient plus optimistes que les autres car jamais les inégalités n’ont été aussi importantes, en France comme dans le monde. Reste qu’un récent sondage montre que plus de 70% des Français ne sont pas optimistes.   »Depuis ces dernières semaines, êtes-vous plutôt plus confiant ou plutôt moins confiant concernant l’avenir de la situation économique en France? » Tous les mois, l’institut Odoxa pose cette même question pour BFM Business, Challenges et Aviva Assurances. Un bon moyen pour mesurer l’évolution du moral des Français. Et en juin 2015, il s’améliore… très légèrement. 29% des Français se disent plutôt plus confiants (contre 26% en mai) alors que 71% (contre 73% en mai) affirment l’être moins. Mais derrière cette moyenne pas très enthousiasmante se cache une différence majeure influençant le regard que portent les Français sur la capacité de leur pays à rebondir ou non sur le plan économique. Mieux on gagne sa vie, moins on est pessimiste pour soi (c’est une évidence), mais aussi pour la France. Ainsi, parmi les personnes interrogées qui gagnent au moins 3.500 euros par mois, 39% se disent confiants en l’avenir alors qu’ils ne sont que 24% parmi ceux qui doivent se contenter d’une rémunération inférieure à 1.500 euros par mois.  Les préférences partisanes jouent également un rôle important. 54% des sympathisants de gauche se disent ainsi plutôt confiants dans l’avenir économique du pays. Ce qui inspire cette conclusion à Gaël Sliman, le président d’Odoxa : « En résumé, si l’on est « riche» et de gauche on a toutes les chances d’avoir un bon moral économique. Il ne reste plus qu’à redonner confiance aux autres. »…  (BFM)

 

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