Archive pour le Tag 'opposé'

Bruno Le Maire opposé à l’interdiction des chaudières à gaz

Bruno Le Maire opposé à l’interdiction des chaudières à gaz

«Je suis très réservé vis-à-vis des interdictions, j’ai toujours parié sur l’intelligence de nos compatriotes, sur l’accompagnement», s’est justifié l’homme fort du gouvernement. «Je suis opposé à l’interdiction des chaudières à gaz. C’est une mauvaise idée, qui va susciter beaucoup d’inquiétudes chez nos compatriotes les plus modestes», a encore déclaré le ministre de l’économie.

À la place d’une interdiction punitive, Bruno Le Maire privilégierait les «incitations» pour convaincre les ménages de changer d’énergie. Le ministre a ainsi cité l’exemple des aides pour l’achat de véhicules électriques, qui marchent «très bien», selon lui. «On peut obtenir exactement le même résultat, avec des dispositifs incitatifs» qu’avec une interdiction qui pourrait braquer les particuliers. La fiscalité pourrait par exemple être plus avantageuse pour les foyers passant à d’autres moyens de chauffage, et des pénalités, a contrario, pèseraient sur ceux qui le gardent. «On vous laisse le choix, il y a des incitations, il y a aussi des pénalités [...], mais pas d’interdiction», a-t-il conclu.

Le ministre de l’économie opposé à l’interdiction des chaudières à gaz

Le ministre de l’économie opposé à l’interdiction des chaudières à gaz

«Je suis très réservé vis-à-vis des interdictions, j’ai toujours parié sur l’intelligence de nos compatriotes, sur l’accompagnement», s’est justifié l’homme fort du gouvernement. «Je suis opposé à l’interdiction des chaudières à gaz. C’est une mauvaise idée, qui va susciter beaucoup d’inquiétudes chez nos compatriotes les plus modestes», a encore déclaré le ministre de l’économie.

À la place d’une interdiction punitive, Bruno Le Maire privilégierait les «incitations» pour convaincre les ménages de changer d’énergie. Le ministre a ainsi cité l’exemple des aides pour l’achat de véhicules électriques, qui marchent «très bien», selon lui. «On peut obtenir exactement le même résultat, avec des dispositifs incitatifs» qu’avec une interdiction qui pourrait braquer les particuliers. La fiscalité pourrait par exemple être plus avantageuse pour les foyers passant à d’autres moyens de chauffage, et des pénalités, a contrario, pèseraient sur ceux qui le gardent. «On vous laisse le choix, il y a des incitations, il y a aussi des pénalités [...], mais pas d’interdiction», a-t-il conclu.

Le Sénat a très largement condamné le projet de réforme de la police judiciaire voulu par le ministre de l’intérieur Darmanin

Le Sénat a très largement condamné le projet de réforme de la police judiciaire voulu par le ministre de l’intérieur Darmanin

Les parlementaires de la Chambre haute ont jugé le texte inadapté. Ce nouveau coup est d’autant plus rude pour Gérald Darmanin qu’il est venu du sénateur LR Philippe Dominati, le rapporteur spécial des crédits budgétaires de la mission sécurité, d’ordinaire plutôt sur sa ligne. Dans son rapport présenté devant la commission des finances, il dénonce la structure même du projet, qui prévoit de placer tous les services de police d’un département (renseignement, sécurité publique, police aux frontières et PJ) sous l’autorité d’un seul directeur départemental de la police nationale (DDPN), dépendant du préfet.

Le sénat dénonce ainsi le risque d’un « nivellement vers le bas » de la filière PJ, qui intégrerait les services d’investigation de la sécurité publique plombés par un stock énorme d’affaires en souffrance, et un renforcement du poids du préfet dans les enquêtes.

S’il considère « nécessaire de répondre à l’engorgement des services » de la direction centrale de la sécurité publique (DCSP) qui traitent de la criminalité quotidienne, Philippe Dominati prévient qu’il ne faut pas « déshabiller la DCPJ ». Il appelle à de nouvelles modalités « pouvant aller de l’exclusion de la DCPJ du périmètre de la réforme en maintenant son autonomie, à la création d’une filière investigation regroupant les effectifs de la DCPJ et de la DCSP, mais selon une organisation autonome avec des services rattachés directement à une direction centrale ou nationale disposant d’une autorité hiérarchique sur eux ».

Gérald Darmanin attend désormais la publication prochaine des rapports des deux missions d’information de l’Assemblée nationale et du Sénat pour engager la concertation avec les syndicats. Il les recevra « mi-février », selon son ministère. Le ministre de l’intérieur risque cependant de rencontrer une très forte opposition de la part des policiers qui considèrent que les moyens sont inadaptés qualitativement et quantitativement à l’enjeu de sécurité.

Vaccins covid: Macron toujours opposé à une levée des brevets

Vaccins covid: Macron toujours opposé à une levée des brevets

Macron s’est à nouveau opposé de nouveau à l’idée de lever temporairement les brevets sur les vaccins, comme le réclament de nombreuses ONG, syndicats et personnalités ainsi que des pays comme l’Inde ou l’Afrique du Sud, à l’instar de ce qu’a demandé le président sud-africain Cyril Ramaphosa vendredi devant l’OMS.

«Nous entendons beaucoup parler en effet de transfert ou d’absence de propriété intellectuelle. Le sujet, nous le savons aujourd’hui, n’est pas celui-là. C’est celui du transfert de technologie, de la mobilisation des capacités de production. Parce que le goulot d’étranglement est là», a affirmé le président français. «J’appelle les producteurs de vaccins à engager cette démarche», a-t-il ajouté.

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Plan de relance européen. La cour suprême allemande s’y oppose

Plan de relance européen. La cour suprême allemande s’y oppose

Bizarrerie juridique la cour constitutionnelle allemande a toujours le pouvoir de s’opposer à des décisions notamment financières de l’Europe y compris lorsqu’elles sont adoptées par le Parlement d’outre-Rhin.

Il s’agit pour cet organisme très orthodoxe de s’opposer au plan de relance de 750 milliards pourtant adopté par les autorités européennes et allemandes. En fait, il s’agit peut-être non pas d’empêcher un plan de relance qui a reçu la bénédiction de toutes les institutions démocratiques mais peut-être de s’opposer aux velléités dépensières de pays du Sud et de la France. En effet hier macron a lancé l’idée d’un plan supplémentaire pour soutenir l’économie.  

Un appel considéré comme très laxiste par les orthodoxes allemands qui oublient cependant que les liquidités largement distribuées par la banque centrale européenne et par l’union européenne soutiennent la demande des pays européens à l’Allemagne. La cour constitutionnelle allemande critique la globalité du plan de 750 milliards mais surtout la partie qui sera versée sous forme de subventions, à peu près la moitié.

Gonflé Poutine réclame le prix des Mistral et s’oppose à la revente !

Gonflé Poutine réclame le prix des Mistral et s’oppose à la revente !

 

Il est clair  qu’il y a refus de vente de la part de la France à propos des Mistral. Du coup les procédures commerciales internationales peuvent s’appliquer. Mais réclamer à peu près le prix des navires comme indemnité paraît pour le moins excessif. Il faut dire que Hollande pour ne pas trop se fâcher avec Poutine avait promis une  indemnisation voisine de ce que réclame la Russie. Au-delà du règlement du litige commercial, on pourrait peut être prendre en compte que la Russie s’est assise sur le droit international pour envahir l’Ukraine et s’approprier la Crimée ; Un léger détail sans doute sous estimé par Poutine et malheureusement par  Hollande également. En outre Poutine a le culot de s’opposer à la revente de se navires !   La Russie réclame en effet 1,163 milliard d’euros d’indemnisation à la France pour l’annulation du contrat portant sur la livraison de deux porte-hélicoptères Mistral, a-t-on appris vendredi de source russe au fait des négociations. Moscou s’oppose en outre « pour le moment » à ce que les deux navires soient revendus à un pays tiers pour des questions de « sécurité nationale », ont déclaré vendredi d’autres responsables russes. Le journal russe Kommersant a été le premier à rapporter vendredi, en citant des sources militaires russes, que Moscou avait refusé la proposition française d’un remboursement de 785 millions d’euros, conditionnée au feu vert de la Russie à la revente des Mistral à un pays tiers, et réclamait 1,163 milliard d’euros d’indemnisation. Le responsable russe interrogé par Reuters a confirmé ces chiffres. « La somme de 1,163 milliard d’euros est légèrement en-dessous de la valeur du contrat », a-t-il précisé sous le sceau de l’anonymat. Conclue en 2011 sous la présidence de Nicolas Sarkozy, la vente à la Russie de deux bâtiments de projection et de commandement (BPC) est estimée à 1,2 milliard d’euros. Interrogé lui aussi sur des informations du Kommersant, le porte-parole du Kremlin a assuré qu’il ne s’agissait pas d’un sujet de désaccord majeur entre les deux pays. « Le principe est le suivant: soit les bateaux, soit l’argent », a résumé Dmitri Peskov, ajoutant que Vladimir Poutine et François Hollande s’étaient entendus sur ce point lors d’un entretien le mois dernier en Arménie. Ben voyons ! 

 

Hollande opposé au service militaire obligatoire

Hollande opposé au service militaire obligatoire

 

Comme on peut le craindre, le gouvernement risque de prendre des demi-mesures pour lutter contre le terrorisme et au-delà contre l’intégrisme et la violence. En cause sans doute l’insuffisance d’analyse notamment des articulations culturelles, sociales et économiques. Hollande a donc choisi un service civique au rabais qui s’appliquerait à ceux qui le souhaitent. Autrement dit un ersatz de service militaire. On objecte que le coût   de l’ordre de 2 à 3 milliards serait impossible à supporter puisqu’il s’agirait d’incorporer 900 000 jeunes par an. Or pour faire une évaluation pertinente il faudrait prendre en compte les coûts sociaux de la marginalisation de trop nombreux jeunes (coût du chômage, des aides sociales, de la violence, de la délinquance, du trafic de drogue en particulier etc.). Or ce coût est sans doute très supérieur  aux 2 à 3 milliards qu’il faudrait mobiliser pour un nouveau service militaire obligatoire . En Europe, une petite dizaine de pays ont maintenu un service obligatoire qui peut prendre des formes diverses. C’est le cas en Autriche, en Suisse, en Finlande ou encore en Norvège. L’Allemagne, elle, l’a supprimé en 2011.  Les anciens ministres UMP Xavier Bertrand ou François Baroin ont déjà proposé de rétablir un service au nom de la cohésion nationale. Ce dernier suggère ainsi un service de 8 mois rémunéré qui concernerait 250.000 garçons et filles (sur une classe d’âge de totale de 800.000 personnes). Il estime son coût à 4 milliards d’euros par an, à comparer avec les 31 milliards du budget de la Défense.   Dans un rapport au président Sarkozy en 2008, l’ancien ministre de l’Education Luc Ferry estimait, lui, qu’un « service obligatoire et universel », civil ou militaire, coûterait entre 3 et 5 milliards d’euros par an.  Juste avant sa suspension, le service militaire de 10 mois revenait à 1,6 milliard d’euros par an au budget de la Défense, soit 7.800 euros par appelé Son coût avait fortement baissé au cours des années, le nombre d’exemptés était devenu très élevé. En 1996, l’Armée comptait alors 201.500 conscrits sur un effectif total de 573.000 hommes. Aujourd’hui sans appelés, ses effectifs ne sont plus que de 250.000 personnes dont 50.000 civils.  Impossible de revenir en arrière, affirme aujourd’hui Hervé Morin, l’ancien ministre centriste de la Défense du gouvernement Fillon, pourtant hostile à la suspension du service militaire décidée par Jaques Chirac. « La France n’a plus les capacités d’encadrement et d’hébergement qu’elle pouvait avoir en 1996″, assure de son côté Luc Ferry.  De fait, la suspension de la conscription et le passage à une armée professionnelle a contraint la Défense a revoir totalement son organisation. Elle a recruté des spécialistes pour palier la disparition des appelés. Cela a été en particulier le cas au Service de santé des armées (SSA) qui assurait auparavant une partie de son fonctionnement avec près d’un millier d’étudiants en médecine. Elle a également externalisé des tâches, comme la maintenance de certains véhicules ou la surveillance de bâtiments confiées auparavant à des bidasses.   Par ailleurs, aujourd’hui, l’Armée n’a aucun mal à recruter environ 16.000 personnes par an, comme le remarquait en octobre le député PS Jean Launay, rapporteur des crédits de la Défense. Que pourraient faire les militaires de 250.000 à 300.000 nouveaux conscrits ? Elle ne disposerait plus d’assez de sous-officiers pour les encadrer et les former.  D’autant que dans le même temps, la Défense a vendu une partie de son patrimoine immobilier pour abonder son budget. Il n’y aurait plus assez de casernes pour accueillir les appelés. C’est ainsi qu’une dizaine de bases aériennes sur 42 a été fermée. Autre difficulté : rétablir un service militaire obligerait à incorporer aussi bien des filles que des garçons pour respecter le principe d’égalité entre les sexes. Ce qui n’était pas le cas avant 1996. Il faudrait donc prévoir des hébergements adaptés, ce qui renchérirait les coûts. A défaut d’un retour du service militaire obligatoire, François Hollande souhaite développer le service civique. Créé en 2010, ce service consiste en une mission d’intérêt général de 6 à 12 mois dans une collectivité publique ou une association, rémunérée 573 euros par mois. Il concerne aujourd’hui 35.000 jeunes de moins de 26 ans. Pour l’Etat, le coût actuel est de 150 millions d’euros par an.    »Le service civique est une belle idée. Il doit devenir universel. Il sera proposé à tous les jeunes français qui en feront la demande », a-t-il expliqué le 14 janvier sur le Charles-de-Gaulle, réaffirmant ainsi ce qu’il avait évoqué lors des voeux du 31 décembre. Le chef de l’Etat a même fixé comme objectif 150.000 candidats en 2017.  Sauf qu’il paraît bien difficile de trouver 100.000 missions véritablement utiles à proposer aux jeunes. D’autant que le chef de l’Etat prône un service universel mais…. quasiment pas rémunéré ! Avis aux amateurs. Les mauvaises langues pourront également dire que ce service civique constitue une forme déguisée de « traitement social » du chômage des jeunes…et elles n’auront pas tort !

Le président de l’UIMM opposé au putsch de Parisot au Medef

Le  président de l’UIMM opposé au putsch de Parisot au Medef

Parisot qui défend la démocratie participative ne s’embarrasse pas de ce principe pour le Medef. En fait elle tente un véritable putsch au MEDEF en voulant changer les statuts à quelques mois des élections. Pas vraiment une surprise car depuis longtemps le Medef a laissé tomber l’industrie en servant surtout les intérêts du CAC 40 et des services. Un des facteurs d’ailleurs explicatifs (pas le seul évidemment)  de la perte d’importance de l’industrie dans notre pays. Le président de la puissante Fédération patronale de la Métallurgie (UIMM), Frédéric Saint-Geours, s’est dit opposé à une modification des statuts du Medef qui pourrait permettre à sa présidente Laurence Parisot de prolonger son mandat, dans un entretien samedi au Figaro. Elue en 2005 pour un premier mandat de cinq ans puis reconduite en 2010 pour une durée de trois ans, conformément aux statuts actuels de l’organisation patronale, Laurence Parisot doit quitter son poste le 1er juillet.  Mais elle a confirmé le 15 janvier avoir saisi le comité statutaire du Medef pour revoir les règles internes, dans une tentative de modifier les statuts pour se maintenir au-delà de la fin de son mandat.   »Il est normal que des organisations se demandent si leurs statuts sont encore adaptés. Mais il y a un temps pour le faire et il est surprenant que cette question se pose pour le Medef à six mois d’une élection », estime le président de la fédération.   »Je ne suis pas satisfait du démarrage du processus que j’ai découvert par surprise. Cela dit, il est lancé et nous discuterons du fond lorsque le comité statutaire aura rendu un avis », a-t-il ajouté.  M. Saint-Geours indique que lors d’un conseil de l’UIMM jeudi, il a été « convenu qu’une réforme des statuts ne peut s’appliquer qu’à l’avenir ».  Interrogé sur une éventuelle opposition de sa part à ce que Laurence Parisot reste en poste, M. Saint-Geours répond que « ce n’est pas une question de personne ».   »La présidente du Medef a beaucoup oeuvré depuis 2010 pour faire progresser la position des entreprises mais, je le répète, quand on réforme les statuts, c’est pour l’avenir. Cette révision peut même être un élément de la campagne électorale du Medef », précise-t-il.  La Fédération de la Métallurgie doit synthétiser le 6 mars, lors de sa convention annuelle, son « projet pour le Medef, qui sera sa grille de lecture pour échanger avec chaque candidat. Je suis sûr qu’il y aura un candidat soutenu par l’UIMM », souligne son président.

 




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