Archive pour le Tag 'on'

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Rugby -victoire française contre les blacks . On a oublié la victoire des féminines ?

Rugby -victoire française contre les blacks . On a oublié la victoire des féminines ?

La victoire de l’équipe masculine a été saluée justement dans tous les médias. Une victoire significative et historique par son ampleur. A deux ans de la Coupe du monde, l’équipe de France réalise un énorme exploit en battant les All blacks 40 à 25, plus grosse victoire de l’Histoire face aux Neo Z ! Les Bleus ont fait tomber les ogres néo zélandais en leur passant 5 essais et en les réduisant (presque) au silence tout le match. Ils terminent leur Tournée automnale avec 3 victoires en autant de rencontres, les Blacks connaissent leur 2e défaite d’affilée face à des nations de l’Hémisphère Nord !

Mais les mêmes médias, pourtant parfois sensibles aux déviations sociétales du wokisme ont presque tous oubliés que la victoire de l’équipe féminine était aussi méritoire. En effet,  leur victoire la semaine dernière à Pau, les Bleues ont signé un bis repetita plein de maîtrise à Castres, pour battre la Nouvelle-Zélande (29-7). Les Tricolores ont inscrit quatre essais aux Black Ferns.

Il faudrait que les journalistes prennent enfin conscience que le rugby et le sport en général n’est pas qu’une affaire de mecs ! Et nul besoin des théories fumeuses wokisme américain pour revendiquer cette égalité.

Réforme des retraites : «quand on tombera les masques» (Macron)

Réforme des retraites : «quand on tombera les masques» (Macron)

 

 

Une expression sans doute un peu malheureuse de M acron qui en fait opère un recul sur son attention de réformer les retraites et déclare «on va faire ça quand on tombera les masques, si je puis dire».

 

Il s’agit bien entendu seulement des masques utilisés dans le cadre de l’actuelle crise sanitaire !

«Ne vous faites pas de la bile avec tout ça», a-t-il insisté, «il faut qu’on soit intelligent collectivement» pour «trouver le bon système pour sauver nos retraites.» «Si on se dit les choses en vérité, on vit de plus en plus longtemps, on étudie de plus en plus longtemps. Et qui est-ce qui finance les retraites ? C’est les gens qui travaillent. Comment on va faire pour avoir les mêmes retraites ?», a-t-il insisté. «Il faut trouver le bon système pour garder les retraites» mais «pas demander des choses impossibles aux gens qui travaillent», a-t-il conclu.

Bref, la réforme des retraites est renvoyée aux calendes électorales et cela d’autant plus qu’on s’est aperçu un peu tardivement que la suppression des régimes spéciaux ne produirait d’effet  financier bénéfique significatif que d’ici 30 40 ans.

Foot FRANCE BOSNIE : « on s’est emmerdé pendant 90 minutes » (Larqué)

Foot FRANCE BOSNIE : « on s’est emmerdé pendant 90 minutes » (Larqué)

 

Un propos qui résume sans doute le sentiment de beaucoup d’observateurs, velui de Jean-Michel Larqué qui a livré une analyse très dure à l’égard des Bleus et de Didier Deschamps.

. « Je me suis emmerdé pendant 90 minutes, a lâché Captain Larqué ce jeudi dans Rothen s’enflamme. Il n’y a aucun enthousiasme dans cette équipe, il y a un ressort qui s’est cassé. Il n’y a rien du tout! Ça ne te provoque rien, aucun poil qui se dresse. On a passé 90 minutes à s’embêter. »

 

Drogue : après le policier tué, on attend une réponse pénale à la hauteur

Drogue : après le policier tué, on attend une réponse pénale à la hauteur

Ces évênements « sont de plus en plus communs à différents endroits en France. Vous avez des points de deal qui se structurent et qui augmentent. On voit que les individus sont armés et malheureusement il en découle le décès d’un jeune papa »,  a expliqué sur franceinfo Claude Simonetti, représentant d’Unité-SGP-FO dans le département du Vaucluse, après la mort mercredi 5 avril d’un policier tué lors d’une intervention anti-drogue à Avignon.

Gérald Darmanin se rend mercredi soir à Avignon. « On attend toujours des renforts, une prise en compte du problème policier qui est de plus en plus un métier à part, Claude Simonetti, Il faudra des réponses pénales si cet individu est interpellé. J’espère que ça ne sera pas très léger comme on peut le voir par moment, on attend vraiment une réponse pénale forte. »

Coronavirus : on se dirige tout droit vers 50 000 contaminations par jour et au moins 500 morts

  • Coronavirus : on se dirige tout droit vers 50 000 contaminations par jour et au moins 500 morts

 

  • inutile de tourner autour du pot, la France -comme d’ailleurs d’autres pays- connaitune troisième vague au développement exponentiel du fait des variants. On se rappelle que le président de la république avait fixé à 5000 la limite supérieure des contaminations pour envisager une libération des contraintes. En fait aujourd’hui,  on est proche des 35 000 et on se dirige tout droit vers les 50 000.
  •  Les mêmes tendances à la hausse se manifestent concernant le dramatique problème des réanimations un hôpital et vis-à-vis des décès. Courant avril on atteindra sans doute les 500 morts par jour et la France dépassera au total très largement les 100 000 morts depuis le début de l’épidémie.
  • En clair se reposera en avril la question d’un vrai confinement et non cette espèce de plan bidon ni déconfinement, ni reconfinement qui ne ressemble à rien et n’est pas de nature à stopper la diffusion de la pandémie.
  •  
  • 5.792 nouveaux cas de Covid-19 ont été décelés en 24 heures, selon les chiffres publiés ce lundi, contre 30.581 la veille et 6471 lundi dernier. Le nombre de cas comptabilisés en France s’élève désormais à 4.298.395. Le taux de positivité des tests s’élève, lui, à 8%.

Les patients actuellement en réanimation sont au nombre de 4548 contre 4406 la veille. Le chiffre le plus élevé depuis fin novembre. Quant aux nouvelles admissions dans ces services, elles sont de 471. Au total, les hôpitaux français comptaient lundi 26.488 malades du Covid-19, dont 1902 arrivés sur les dernières 24 heures. 344 personnes sont mortes à l’hôpital en 24 heures portant le bilan à 92.648 morts depuis le début de la pandémie.

Reconfinement: on attend quoi ?

Reconfinement: on attend quoi ?

 

 

Tous les indicateurs sont au rouge aussi bien concernant le nombre de contaminés, que le nombre d’hospitalisations, celui des personnes en soins intensifs et celui des morts. Et pourtant on attend, un peu comme Godot !

 

La vérité c’est que le pouvoir central à la trouille immense de voir une partie de l’opinion se retourner contre une mesure de confinement. Alors vraisemblablement, il ne va pas décider de confinement général qui serait pourtant nécessaire pour une période,  parallèlement à une multiplication des tests et à un vrai plan massif de vaccination.

 

La vérité c’est que nous sommes déjà en campagne électorale d’une part pour les départementales  et régionales  toutes proches  mais tout autant pour les présidentielles où  le verrou républicain est en train de sauter et de mettre en péril le succès de Macron.

 

On est prêt déclare le transparent Premier ministre face à la situation de plus en plus désastreuse en région parisienne qu’on ne peut reconfiner….. parce que c’est la capitale ! Alors vraisemblablement le pouvoir central va se défausser sur des élus locaux qui ne sont pourtant plus guère compétents que les autorité scientifiques et politiques centrales et qui eux aussi sont victimes de clientélisme.

 

Le pouvoir semble paralysé d’une part par l’échec total de sa politique sanitaire tout autant que par les réactions négatives à une perspective de confinement. Notons d’ailleurs que le président de la république si prolifique d’ habitude se tait maintenant depuis plusieurs semaines. Un mutisme et une paralysie mortifère.

Reconfinement: on attend quoi ?

Reconfinement: on attend quoi ?

 

 

Tous les indicateurs sont au rouge aussi bien concernant le nombre de contaminés, que le nombre d’hospitalisations, celui des personnes en soins intensifs et celui des morts. Et pourtant on attend, un peu comme Godot !

 

La vérité c’est que le pouvoir central à la trouille immense de voir une partie de l’opinion se retourner contre une mesure de confinement. Alors vraisemblablement, il ne va pas décider de confinement général qui serait pourtant nécessaire pour une période,  parallèlement à une multiplication des tests et à un vrai plan massif de vaccination.

 

La vérité c’est que nous sommes déjà en campagne électorale d’une part pour les départementales  et régionales  toutes proches  mais tout autant pour les présidentielles où  le verrou républicain est en train de sauter et de mettre en péril le succès de Macron.

 

On est prêt déclare le transparent Premier ministre face à la situation de plus en plus désastreuse en région parisienne qu’on ne peut reconfiner….. parce que c’est la capitale ! Alors vraisemblablement le pouvoir central va se défausser sur des élus locaux qui ne sont pourtant plus guère compétents que les autorité scientifiques et politiques centrales et qui eux aussi sont victimes de clientélisme.

 

Le pouvoir semble paralysé d’une part par l’échec total de sa politique sanitaire tout autant que par les réactions négatives à une perspective de confinement. Notons d’ailleurs que le président de la république si prolifique d’ habitude se tait maintenant depuis plusieurs semaines. Un mutisme et une paralysie mortifère.

Réforme des retraites : on verra plus tard ( Elisabeth Borne)

Réforme des retraites : on verra plus tard ( Elisabeth Borne)

 

La ministre du travail, qui ne s’éloigne pas d’une iota du discours officiel présidentiel, affirme que la réforme des retraites est forcément nécessaire mais qu’on verra plus tard. Plus tard, c’est sans doute renvoyer aux calendes grecques tout cas aux calendes présidentielles car le sujet est évidemment explosif.

 

En attendant il faut déjà faire avaler la réforme de l’assurance-chômage contestée par tous les syndicats. «Aujourd’hui, la priorité c’est de gérer la crise et d’en sortir. C’est une réforme nécessaire mais elle doit se faire dans le dialogue social. Pour cela, il faut que le contexte ait évolué», déclare la ministre dans un entretien au Parisien mis en ligne ce mardi soir. «Je ne sais pas de quoi seront faits les prochains mois. On verra en fonction de l’évolution de la situation.

 

À ce stade, il n’y a pas de rencontre à ce sujet prévu dans l’agenda social», ajoute-t-elle.

Élisabeth Borne, qui a présenté ce mardi les arbitrages de l’exécutif pour adapter la réforme de l’assurance-chômage à la crise, entend mener à partir d’avril une réflexion sur la gouvernance de l’Unédic, . En clair il faut faire aussi avaler une couleuvre et passer de la gestion paritaire à une gestion étatique. Ce qui ne constitue pas vraiment une garantie de gestion .

Gouvernement Algérie: on change sans changer !

  • Gouvernement Algérie: on change sans changer !

 

  • Devant les risques de résurgence du Hirak en Algérie le président Tebboune  semblait avoir pris trois mesures radicales : le changement de gouvernement, la libération des prisonniers d’opinion et de nouvelles élections.
  • Pour ce qui concerne d’éventuelles conséquences des élections, il faudra bien évidemment attendre. Par contre comme souvent en Algérie, le président vient de changer un gouvernement qui ne change rien mais simplement redistribue les cartes entre à peu près les mêmes. Témoin le premier Ministre qui reste à son poste  ainsi que les détenteurs des ministères régaliens, selon la liste publiée par la présidence de la République.
  • Sont partants le ministre de l’Energie, Abdelamadjid Attar, chargé d’une rente pétrolière sur le déclin, et son collègue de l’Industrie, Ferhat Aït Ali, qui paie sa gestion du dossier de la relance de l’industrie automobile. Les ministres des Ressources en eau, du Tourisme, de l’Environnement et des Travaux publics quittent également le gouvernement. Comme d’habitude le président se retrouve coincé entre les vieilles forces du FLN et de l’armée.
  • À noter en France des manifestations de protestation contre l’immobilisme en Algérie.

On peut encore s’endetter : Nicolas Bouzou, dit Tintin

On peut encore s’endetter : Nicolas Bouzou, dit Tintin

 

Nicolas Bouzou, dit Tintin, multiplie le présentiel sur tous les médias pour raconter des banalités autant que des contrevérités et affirme avec l’autosuffisance qui le caractérise que la France peut encore s’endetter. Et de sortir comme d’habitude son  argumentaire truffé de propos de bistrot « On aura une reprise de l’économie quand on aura une amélioration de la situation sanitaire ».

 

Nicolas Bouzou  ou c’est un peu le Tintin des économistes ;sur le fond, c’est un soutien indéfectible du libéralisme échevelé et pour bien en persuader les patrons , il aime à le rappeler souvent. L’avantage autant que la faiblesse de l’intéressé ,c’est de s’exprimer sur tout y compris sur des sujets sur lesquels il ne connaît pas grand-chose. Ainsi dernièrement il s’est fait ramasser par un grand chef cuisinier à propos de l’insuffisance de soutien au secteur.

 

Bouzou  sans doute n’avait pas assez relu les notes de ses collaborateurs sur le fonds de solidarité. Le problème c’est que ce fonds  ne soutient qu’à hauteur de 20 % du chiffre d’affaire s les activités totalement paralysées et apportent seulement 1500 € aux entreprises non totalement paralysées mais affectées. On voit mal comment le soutien financier de ce fonds de solidarité serait susceptible de couvrir les charges fixes structurellement énormes du fait de la volatilité de la demande dans la restauration..

 

La technique de Nicolas Bouzou ,dit Tintin ,est bien connue,  sur la forme il joue le contestataire éclairé avec des fausse colères surjouées mais sur le fond il soutient toujours le pouvoir politique ou économique qui lui assure son carnet de commandes d’études.

 

Par exemple quand Nicolas Bouzou n’apprécie pas les attaques européennes vis-à-vis des laboratoires pharmaceutiques après les retards de livraison : « Quand je vois-le je est récurrent chez lui- la présidente de la Commission européenne », Ursula von der Leyen, « accabler les laboratoires pharmaceutiques je trouve cela assez malvenu parce que les laboratoires pharmaceutiques, qu’il s’agisse d’ailleurs de vieux laboratoires ou de start-up, les biotechs, ce sont eux qui en un an nous permettent d’entrevoir la sortie de la crise.  » Ça ne mange pas de pain d’attaquer des cibles lointaines  ! Par contre en France il est plus prudent avec le pouvoir économique et politique par exemple quand il affirme- on se demande pourquoi ce genre de confidences–qu’il aime Sarkozy ! Pas étonnant il a en permanence le même mouvement d’épaule. Quant au sujet proprement dit de l’endettement que peut poursuivre sans dommage la France, Bouzou ou se contente de reprendre simplement les propos–du moment- du gouvernement. Dont il ne peut s’empêcher de répéter sans cesse qu’il est un confident et un conseiller !

Covid : Et maintenant on manque de seringues !

Covid : Et maintenant on manque de seringues !

 

Non seulement on  manques de vaccins et comme dirait le ministre de la santé de primo infections. Expression sans doute pour qualifier tout autant la première phase que surtout son absence du fait de la quasi fermeture de la plupart des centres de vaccination.

Maintenant on manque aussi de seringues suffisamment longues et suffisamment fines pour extraire le précieux liquide des laboratoires. Autorisée ce mois-ci par le régulateur sanitaire européen, l’extraction de six doses dans chaque flacon du laboratoire américain au lieu de cinq nécessite l’utilisation d’une aiguille à la fois suffisamment fine pour minimiser les pertes et suffisamment longue pour permettre l’injection du vaccin dans le muscle deltoïde du receveur.

L’hôpital de Cannes, dans lequel Laurent Fignon travaille, a reçu de Santé Publique France des aiguilles trop courtes, a dit le médecin, qui a dû s’appuyer sur l’ingéniosité des pharmaciens de son établissement et sur la solidarité d’autres hôpitaux pour optimiser les flacons et vacciner selon le protocole du laboratoire.

La Commission européenne fait d’ailleurs pression sur Pfizer et son partenaire pour obtenir davantage de seringues dites à espace mort faible qui limitent les

À Cannes, Laurent Fignon prévient que l’extraction de six doses ne pourra pas durer si les médecins ne disposent pas du matériel adapté.

“Certains pays ont été correctement équipés dès le départ, ça n’a pas été le cas ici en France,” dit-il.

Le ministère français de la Santé, qui a reconnu que l’extraction de la sixième dose était difficile et requérait un équipement spécifique, a indiqué qu’il était en train de travailler à améliorer l’approvisionnement. Bref on encore pris trois mois de retard qui s’ajoute à l’imprévision quantitatif des commandes passées au cours de l’été et aux retards de fourniture des laboratoires du vaccin lui-même.

On attend quoi pour fermer les frontières ?

On attend quoi pour fermer les frontières ?

La Belgique exceptée, la plupart des pays tourne autour du pot pour réduire la mobilité internationale. Ici ou là, on exige des certificats de tests qui ne sont guère pertinents tellement il est facile de s’en procurer même sans contrôle réel. La mesure véritablement efficace serait la fermeture des frontières pendant une période donnée sauf pour des déplacements vraiment essentiels. Au lieu de cela au nom de la liberté de circulation le virus se promène avec les voyageurs et traverse tranquillement les frontières.

Le contrôle aux frontières?«C’est ridicule», estimées en avril 2017 le candidat Macron, avec ironie: «On va mettre un planton à chaque mètre carré de la frontière que nous avons avec tous les pays membres de l’Union européenne?» En moins de quatre ans, le président s’est résolu à changer de discours, bousculé par deux événements successifs. Un changement toutefois partiel puisqu’on se contente de vérifier si les passagers ont été testés. La présence de certificats de tests va être maintenant généralisée au plan européen.

 

Mais cela ne remettra pas en cause les principes de mobilité entre les pays de l’union européenne. Or on sait bien que certains pays européens sont particulièrement laxistes en matière de respect des règles.

Vaccination: « On a perdu beaucoup de temps » (appels de médecins)

Vaccination: « On a perdu beaucoup de temps » (appels de médecins)

Une trentaine de médecins signent une tribune dans Le Parisien mardi, afin de réclamer que la vaccination contre le Covid-19 soit décrétée grande cause nationale. Ces professionnels de santé interpellent en effet le gouvernement sur le démarrage de la campagne de vaccination jugée trop lente en France, et qui n’a selon eux aucune justification médicale, ni scientifique. 

Parmi les signataires, le docteur et chroniqueur pour Europe 1, Jimmy Mohamed. Dans cette tribune, les médecins font en effet plusieurs propositions concernant la stratégie de vaccination du pays. Car comme l’explique Jimmy Mohamed, rien ne justifie de retarder son déploiement à grande échelle.

« Se débrouiller pour avoir des vaccins quoi qu’il en coûte »

« La vaccination est une course contre la montre. On l’a débutée en vaccinant les plus fragiles, les personnes dans les Ehpad, dont on sait qu’elles représentent un tiers des décès. Mais ça veut aussi dire qu’il y a deux tiers des décès hors Ehpad. Et il faut protéger les gens en commençant par protéger les soignants et vacciner tous les volontaires, sans mettre de limite d’âge ou de comorbidité. Et ensuite, vacciner les personnes de plus de 65 ans qui sont volontaires.

On est bloqué par l’Union Européenne, mais on pourrait s’inspirer d’autres pays comme Israël par exemple, qui a fait en sorte d’en acheter suffisamment. Il faudrait activer certains réseaux et se débrouiller pour avoir des vaccins quoi qu’il en coûte, comme l’avait dit le président. Et encore une fois c’est une course contre la montre. On a perdu beaucoup de temps et le variant anglais est présent sur le territoire, Martin Hirsch le disait.

 

 

SKI à Noël : on pourra descendre mais pas remonter !

SKI : on pourra descendre mais pas remonter !

 

C’est sans doute la décision la plus incompréhensible avec celles concernant les restaurateurs. urant les fêtes de Noël, les skieurs pourront descendre à loisir les pistes, par contre ils ne pourront pas remonter puisque les remontées mécaniques seront immobilisées.. Une décision jugée « totalement incompréhensible » et qui suscite la colère des élus de la montagne et des professionnels du secteur, qui évoquent « 20 à 30% de baisse d’activité » sur l’ensemble de la saison. « C’est une aberration, car c’est une activité de plein air ! », a réagi auprès de l’AFP Alexandre Maulin, président de Domaine Skiable français (DSF), qui regroupe les opérateurs des remontées mécaniques des 250 stations de ski françaises. D’autant, souligne-t-il, que « les demandes d’annulations s’il n’est pas possible de faire du ski sont gigantesques : 85 à 90% des gens qui viennent à la montagne font du ski ».

SKI: on pourra descendre mais pas remonter !

SKI: on pourra descendre mais pas remonter !

 

C’est sans doute la décision la plus incompréhensible avec celles concernant les restaurateurs. urant les fêtes de Noël, les skieurs pourront descendre à loisir les pistes, par contre ils ne pourront pas remonter puisque les remontées mécaniques seront immobilisées.. Une décision jugée « totalement incompréhensible » et qui suscite la colère des élus de la montagne et des professionnels du secteur, qui évoquent « 20 à 30% de baisse d’activité » sur l’ensemble de la saison. « C’est une aberration, car c’est une activité de plein air ! », a réagi auprès de l’AFP Alexandre Maulin, président de Domaine Skiable français (DSF), qui regroupe les opérateurs des remontées mécaniques des 250 stations de ski françaises. D’autant, souligne-t-il, que « les demandes d’annulations s’il n’est pas possible de faire du ski sont gigantesques : 85 à 90% des gens qui viennent à la montagne font du ski ».

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