Archive pour le Tag 'olympique'

Politique : les  » Insoumis  » tentent de réinstaller la chienlit

Politique : mécontent de la trêve olympique les  » Insoumis  » tentent de réinstaller la chienlit

Visiblement le parti de Mélenchon n’a pas apprécié la trêve olympique qu’il dénonce d’ailleurs dans une tribune allant même jusqu’à demander la destitution du président de la république. Une destitution en l’état du rapport de force à la fois impossible politiquement et juridiquement. Les « Insoumis » réclament la nomination de la candidate du nouveau Front populaire tout en sachant qu’elle ne pourra être retenue faute de majorité même relative suffisante. Le véritable objectif est de créer et d’entretenir un climat délétère dans le pays, de favoriser le chaos notamment social et économique aux fins de discréditer un peu plus un pouvoir qui il est vrai apparaît particulièrement usé.

Cette demande de destination destitution est évidemment encore une manœuvre à usage médiatique d’une part parce que les « Insoumis » ne souhaitent pas assumer la responsabilité du pouvoir au gouvernement,  d’autre part parce que la seule préoccupation de Mélenchon est de préparer l’élection présidentielle. La justification de cette démarche s’appuie sur la voix supérieure du peuple. Or le problème c’est qu’aucune majorité ne s’est dégagée en France où trois blocs complètement incompatibles s’affrontent : la gauche, le centre et d’extrême droite. Cette situation est inextricable et va durer au moins un an : délai juridique nécessaire pour à nouveau dissoudre l’Assemblée nationale.

On espère évidemment que les « Insoumis » ne sortiront pas le drapeau du Venezuela à l’Assemblée nationale pour illustrer leur attachement au principe supérieur de la voix du peuple !

Politique : mécontent de la trêve olympique les  » Insoumis  » tentent de réinstaller la chienlit

Politique : mécontent de la trêve olympique les  » Insoumis  » tentent de réinstaller la chienlit

Visiblement le parti de Mélenchon n’a pas apprécié la trêve olympique qu’il dénonce d’ailleurs dans une tribune allant même jusqu’à demander la destitution du président de la république. Une destitution en l’état du rapport de force à la fois impossible politiquement et juridiquement. Les « Insoumis » réclament la nomination de la candidate du nouveau Front populaire tout en sachant qu’elle ne pourra être retenue faute de majorité même relative suffisante. Le véritable objectif est de créer et d’entretenir un climat délétère dans le pays, de favoriser le chaos notamment social et économique aux fins de discréditer un peu plus un pouvoir qui il est vrai apparaît particulièrement usé.

Cette demande de destination destitution est évidemment encore une manœuvre à usage médiatique d’une part parce que les « Insoumis » ne souhaitent pas assumer la responsabilité du pouvoir au gouvernement,  d’autre part parce que la seule préoccupation de Mélenchon est de préparer l’élection présidentielle. La justification de cette démarche s’appuie sur la voix supérieure du peuple. Or le problème c’est qu’aucune majorité ne s’est dégagée en France où trois blocs complètement incompatibles s’affrontent : la gauche, le centre et d’extrême droite. Cette situation est inextricable et va durer au moins un an : délai juridique nécessaire pour à nouveau dissoudre l’Assemblée nationale.

On espère évidemment que les « Insoumis » ne sortiront pas le drapeau du Venezuela à l’Assemblée nationale pour illustrer leur attachement au principe supérieur de la voix du peuple !

Pour une complémentarité EPS et culture olympique ?

 Pour une complémentarité EPS et culture olympique ?

Maxime Scotti, professeur d’éducation physique et sportive, rappelle dans une tribune au « Monde » que si sport et EPS sont en mesure de participer à améliorer la place du sport et de l’activité physique dans notre société, il reste nécessaire de les distinguer.

Tribune. 

 

Les récentes interventions du ministre de l’éducation Jean-Michel Blanquer vantant les mérites du sport à l’école dans les réussites sportives aux Jeux olympiques de Tokyo ont provoqué de vives réactions de la part des sportifs. Certains, à l’instar du basketteur Evan Fournier, affirmant qu’ils ne devaient rien à l’école, et d’autres au contraire, comme Martin Fourcade, défendant l’école dans l’accompagnement sportif qu’elle leur avait apporté. Il semble donc important aujourd’hui de faire un point sur les finalités du sport à l’école.

Qu’y a-t-il de si différent entre le badminton pratiqué en éducation physique et sportive (EPS) et celui des Jeux olympiques ? La distinction semble pourtant importante. Combien d’élèves ont entendu dire « je ne suis pas prof de sport, je suis professeur d’EPS » ?

La culture sportive est bien ancrée chez les enseignants d’EPS, dont la plupart sont issus du milieu sportif et de l’entraînement. Chacun s’étant engagé dans la filière Sciences et techniques des ­activités physiques et sportives (Staps) par amour du sport, ils ont été formés à une multitude d’activités faisant d’eux des sportifs polyvalents et des pédagogues capables d’adapter leur enseignement pour répondre à des problématiques locales. « Profs de sport » ils le sont, tout autant que « profs d’EPS ». Car ce qui compte, c’est ce qu’ils font vivre à leurs élèves au quotidien par l’utilisation des activités physiques, sportives et artistiques, olympiques ou non.

L’éducation physique et sportive n’a pas pour enjeu de former des champions. Elle répond à des problématiques du moment (la santé, l’écologie, etc.) tout en faisant vivre des expériences marquantes, collectives et communes à des millions d’élèves qui leur permettent de comprendre pourquoi un arbitre siffle une faute, d’être impressionnés face à une figure de gymnastique, ou de comprendre la valeur collective de la victoire même lorsqu’il s’agit d’un sport individuel.

 

Si l’EPS peut se vanter d’une chose, ce n’est peut-être pas de la formation d’une élite sportive, mais de tous ces pratiquants et supporteurs lucides et cultivés prêts à supporter leur nation. Chacun ayant eu une expérience singulière dans ces activités.Il est étonnant d’apprendre que l’objectif « 30 minutes d’activité physique quotidienne à l’école primaire » est une nouveauté, alors que les programmes du primaire prévoient trois heures d’EPS par semaine soit quarante-cinq minutes par jour. Plus ambitieux encore que les nouveaux objectifs fixés.

La France, championne olympique des impôts

 La France, championne olympique  des impôts

 

 

La France peine souvent à obtenir des médailles lors des JO sportifs. Pour améliorer notre performance, il suffirait d’ajouter une discipline olympique supplémentaire à savoir les impôts. La France serait sûre d’obtenir une récompense et sans doute la médaille d’or. En fait aujourd’hui, la France est deuxième pays, parmi les nations développées de l’OCDE, à avoir les prélèvements obligatoires les plus élevés, derrière le Danemark.  Impôts, taxes et cotisations sociales payés par les ménages et les entreprises ont absorbé l’an passé 45,3 % de la richesse nationale, selon l’étude annuelle de l’OCDE publiée jeudi. Il faudrait intégrer l’endettement et le taux de dépenses (deux éléments qui alimentent le niveau de prélèvements obligatoires), soit 56% du PIB. La plus grande partie de la richesse nationale est donc affectée aux dépenses publiques et contrairement à ce que dit Macron notamment pour la fiscalité locale il ne s’agit pas de savoir si l’impôt est bon ou mauvais et de faire du bricolage fiscal pour prendre aux uns et redonner aux autres mais de s’attaquer au niveau de cette fiscalité. Avec un tel taux de dépenses publiques on plombe évidemment à la fois la compétitivité et la consommation des ménages. La pression fiscale  a été de 45,9 % au Danemark amis  le royaume nordique affichait, lui, un déficit public très limité en 2016, à 0,6 % du PIB en 2016, tandis que Paris était à 3,4 %. La France cumule donc la particularité d’avoir des impôts très lourds et un solde public très négatif, ce qui lui vaut d’être, encore jusqu’au printemps prochain, sous procédure de déficit excessif à Bruxelles… L’impôt sur le revenu est comparativement peu élevé en France: ce sont surtout les cotisations sociales qui expliquent le haut niveau des prélèvements. Paris se distingue depuis longtemps par une fiscalité conséquente. Ainsi, en 1965, le taux de pression fiscale sur PIB était de 33,6 % en France, contre 24,8 % en moyenne dans l’OCDE. Depuis, les impôts et cotisations ont augmenté partout, mais plus rapidement en France, si bien que l’écart s’est un peu accru (le taux de pression fiscale moyen de l’OCDE a été de 34,3 % en 2016). Toujours selon l’OCDE, les prélèvements français sont encore proches de leur record historique, à 45,5 % du PIB, atteint en 2014. On comprend dès lors pourquoi les Français, après avoir manifesté leur «ras-le-bol» fiscal sous François Hollande, restent encore allergiques à toute hausse d’impôt. Pourtant, l’actuelle majorité ne prévoit pas de diminution massive. La suppression de la taxe d’habitation, la transformation de l’ISF ou la baisse de l’impôt sur les sociétés seront en partie compensées par la hausse de la fiscalité écologique. Résultat, le taux de prélèvement obligatoire, selon les calculs de Bercy, sera encore de 43,6 % en 2022.

Foot -Olympique de Marseille : plus de 60 millions détournés par la Mafia ?

Foot Olympique de Marseille : plus de 60 millions détournés par la Mafia ?

 

 

D’après le canard enchaîné plus de 60 millions aurait été détourné notamment à l’occasion du transfert des joueurs. Des dessous-de-table qui ont bénéficié de nombreux intermédiaires compris à des membres de la mafia. Cette affaire révèle une fois de plus que le football est bien malade du fric. À l’occasion du montant complètement déraisonnable des transferts nombre d’intermédiaires en profitent pour se gaver. Des transferts déraisonnables auxquelles s’ajoutent des rémunérations complètement folles qui mettent les clubs en difficulté financière sans parler du coût excessive des places qui interdisent l’entrée à nombre de spectateurs modestes. On objectera que la situation n’est pas seulement française qu’elle concerne pratiquement tout le foot mondial et de son point de vue ce ne sont pas les affaires de la FIFA normalement en charge de la régulation du sport le plus populaire qui peuvent rassurer sur les perspectives d’assainissement d’une activité sportive complètement pourrie par le fric. On peut évidemment aimer le foot, le sport en général (enfer c’est encore mieux sans pour autant cautionner les dérives financières. Pour l’OM le dossier indique que ces montants associés à des joueurs indiquent des sommes « destinées à la rétribution occulte de leurs agents » ou ont été versées illégalement lors d’une « renégociation ou la prolongation de contrat ». Dans le cadre de cette enquête tentaculaire, le juge Guillaume Cotelle a déjà convoqué Jean-Claude Dassier, qui a été mis en examen pour « abus de biens sociaux, blanchiment en bande organisée, association de malfaiteurs, faux et usage de faux », et Vincent Labrune.   Selon le tableau publié par le Canard Enchaîné, une vingtaine de joueurs sont concernés. Que ce soit à travers leur transfert ou leur prolongation de contrat, l’institution OM a été victime de sommes gonflées afin de contenter tous les gourmands. Mais la palme semble être attribuée à André-Pierre Gignac. Le natif de l’Étang de Berre a pour particularité d’avoir eu pour premier agent Christophe d’Amico, un patron de boite de nuit à Marseille. À l’occasion de l’explosion du joueur à Lorient, son avenir aurait commencé à intéresser plusieurs membres du « milieu » marseillais, à en croire le journal. Au point de provoquer une réunion entre plusieurs gros bonnets du milieu corso-marseillais. Ces derniers, qui « collaboreraient » avec des agents sous licence officielle, graviteraient autour du monde du football et de ses millions.  Le plus gros préjudice concerne l’image du club. Les innombrables affaires plombent un peu plus la réputation d’un club à vendre. Depuis l’annonce de la vente du club, les articles sur les écoutes de Didier Deschamps et Jean-Pierre Bernès ont déjà montré le climat délétère permanent qui entoure le club. De plus en plus, l’éventuel futur repreneur semble devoir composer avec des obligations qui n’auront rien de classiques. Souvent balayée d’un revers sous le tapis de la légende urbaine, l’influence du milieu est de plus en plus mise en évidence par des enquêtes judiciaires. La police judiciaire de Marseille et l’Office central de lutte contre le crime organisé (OCLCO) sont particulièrement attentifs au club, tant les ramifications avec des grands noms du crime corse et marseillais deviennent palpables et lisibles. À terme, si les dirigeants phocéens ainsi que sans doute d’anciens joueurs, devraient être entendus par la justice, les retombées pour le club seront surtout désastreuses

 

(Avec (RTL)

Jeux olympiques : pour quoi faire ?

Jeux olympiques : pour quoi faire ?

Alors que le pays se débat dans de déficits abyssaux, les responsables politiques se laissent entrainer dans la fuite en avant des jeux olympiques ; des jeux pour faire oublier le reste. Des jeux forcément coûteux et dont les retombées économiques sont très aléatoires pour ne pas dire ruineux. Jusque là en effet la plupart des évaluations des jeux passés ont été effectués par le comité olympique pas spécialement objectif pour mesurer les effets d’un tel événement. La France propose pour la première fois des jeux low- cost à 4 milliards pour 2024 ! une somme qui comme tous les grands projets est sous évaluée. Il faudrait aujourd’hui compter sans doute 10 milliards 2015 et dans dix ans peut-être 15 milliards. Un économiste du sport estime que les évaluations économiques sont toutes plus ou moins fantaisistes. Il est pratiquement impossible d’évaluer les effets directs et indirects ( exemple effets sur l’urbanisme, aménagement du territoire ou même sur le tourisme).. En général, les sommes réellement investies dépassent largement les prévisions. Londres aurait ainsi déboursé entre 12 et 15 milliards d’euros pour ses Jeux, soit trois à quatre fois plus que prévu. Et quand le comité olympique, organisateur de l’événement, est endetté, c’est à la ville de régler l’ardoise. L’exemple le plus frappant reste les JO de Montréal. Les habitants de la ville ont fini de rembourser la dette en 2006, trente ans après les Jeux (via une taxe sur le tabac). Autre exemple, les Jeux d’Athènes en 2004 auraient pesé pour « 2% à 3% sur la dette extérieure de la Grèce« , d’après Jacques Rogge, l’ancien président du CIO. De fait, « l’organisation des Jeux olympiques est l’événements mondial le plus risqué sur le plan financier« ; d’après une étude publiée par deux chercheurs de l’Université d’Oxford. Pour pouvoir décrocher l’organisation des JO, les villes candidates ont tendance à largement sous-estimer leurs dépenses et gonfler leurs recettes. Et au final, elle se retrouvent avec une immense dette à régler. En économie, cela s’appelle « la malédiction du vainqueur« . La réussite économique des Jeux est donc aussi une question de communication… et tout dépend de ce qu’il faut prendre en compte dans le calcul des bénéfices. Un an après les JO de Londres, le gouvernement britannique se réjouissait déjà d’avoir généré quelque 11 milliards d’euros de retombées économiques. Sauf que ce chiffre est contesté par de nombreux chercheurs, estimant notamment que les investissements étrangers pris en compte dans le calcul auraient de toute façon eu lieu.




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