Archive pour le Tag 'Olivier'

Olivier Véran, un reclassement pas très esthétique

Olivier Véran, un reclassement pas très esthétique

Peut-être parce que les rémunérations de députés sont insuffisantes, Olivier Ferrand ancien ministre de la santé va parallèlement faire de la médecine esthétique au moins un jour par semaine. De quoi sans doute arrondir les fins de mois mais  un peu en contradiction d’une part avec l’éthique de la médecine, d’autre part avec la crise des effectifs des praticiens. 

 

Pour le docteur Jérôme Marty : « On a cru que c’était le Gorafi (site d’actualité parodique) quand on a vu ça. Honnêtement, on n’y a pas cru », a expliqué le président du syndicat Union française pour une médecine libre.

Avant de tacler: « Quand on connaît la crise sanitaire que l’on vit avec des patients qui mettent des mois et des mois pour obtenir des spécialistes, que ces choses-là sont les conséquences des politiques qu’a menées monsieur Véran, on a quand même le courage de rester dans son métier. »

« Le symbole est terrible », a jugé ce jeudi sur BFMTV le cardiologue Olivier Milleron, membre du collectif inter-hôpitaux. « C’est un ministre de la Santé, au cœur du Covid, qui a demandé aux soignants de faire des sacrifices [...] Il part dans le privé pour faire de la médecine lucrative.”

« C’est 15% de la population adulte française qui a recours à des soins de médecine esthétique et c’est quelque chose qui ne doit pas être dénigré », a également argué l’Isérois auprès de l’AFP ce mardi. Et d’évoquer ces « Français qui souffrent », que ce soit en raison d’une « cicatrice sur le visage », d’un « vieillissement accéléré lié à la ménopause » ou d’une « calvitie précoce » !!!

 

Obsèques–Olivier Dussopt chargé des restes du macronisme !

Obsèques–Olivier Dussopt chargé des restes du macronisme !

En prévision sans doute de la fin probable du macronisme, le chef de l’État a choisi Olivier Dussopt pour gérer les restes de « Renaissance. » Un parti qui évidemment n’a jamais eu de consistance et va disparaître avec Macron. Le pire c’est que Macron confie la gestion du décès à un responsable qui n’a guère manifesté de grandes compétences encore moins de charisme et qui a navigué à peu près dans tous les courants du parti socialiste et de Macron.

Le  transfuge du Parti socialiste, qui a rallié le camp présidentiel en 2017, n’en conserve pas moins l’estime du chef de l’État. Ce bon soldat a mené les réformes de l’assurance-chômage, de Pôle emploi et surtout la douloureuse bataille des retraites l’an dernier. Emmanuel Macron a une nouvelle mission à lui confier, cette fois à Renaissance, où Olivier Dussopt prend du galon, comme l’avait révélé Politico. Déjà secrétaire général délégué aux fédérations, il devient officiellement secrétaire général exécutif, une nomination que le bureau exécutif du parti devait avaliser jeudi soir, en même temps que la désignation de Valérie Hayer comme tête de liste pour les élections européennes.

Notons que si Macon a choisi une cloche pour gérer ce qui restera du partie Renaissance c’est que sans doute le président n’a pas éliminé l’hypothèse de ce représenter un jour et de reprendre la tête de son parti. Il n’aurait sans doute pas confié son parti à une personnalité de poids.

Immobilier- Crise du logement : « Pas de solution miracle » pour Olivier Sichel, (CDC-Banque des territoires)

Immobilier- Crise du logement : « Pas de solution miracle » pour Olivier Sichel, (CDC-Banque des territoires)


Directeur général de la Banque des territoires au sein de la Caisse des Dépôts depuis son lancement en 2018, Olivier Sichel estime dans une interview à la tribune qu’il n’y a pas de miracle à attendre face à la crise du logement.

Effectivement il n’y a sans doute pas de miracle à attendre de la crise du logement comme l’indique le patron de la banque des territoires du fait de trois facteurs explicatifs dominants à savoir d’une part le manque de solvabilité des acquéreurs potentiels, la complexité réglementaire et la folie du prix du foncier en zone urbaine.

Interview

Sur le logement, les conclusions du conseil national de la refondation viennent d’être reportées alors qu’elles sont très attendues. Ne va-t-on pas assister, tôt ou tard, à des « gilets jaunes » de l’habitat ?

Lors du premier confinement, nous avons volé au secours du logement. La Banque des territoires et CDC Habitat avaient lancé un appel à manifestation d’intérêt visant à produire 40.000 logements neufs. A l’époque, les promoteurs avaient salué cette décision. Aujourd’hui, face au retour des difficultés dans le logement, la CDC envisage à nouveau une telle intervention.

Sauf que cela ne répond pas aux problèmes structurels…

La crise est effectivement bien plus grave et reste extrêmement compliquée à résoudre. Il y a une crise de l’offre, entre la raréfaction du foncier, l’inflation des coûts de construction et les contraintes liées à l’objectif zéro artificialisation nette (ZAN) des sols. Les maires font face à toutes ces difficultés, et ont du mal à délivrer des permis. Nous essayons de les accompagner, mais il n’existe pas de solution miracle.

Ne faut-il pas encadrer les prix du foncier, comme le recommandait déjà le député Lagleize en 2019, la commission Rebsamen en 2021 et le soulignent au moins deux rapports du CNR Logement ?

Je n’ai pas d’avis là-dessus, d’autant qu’il existe aussi une crise de la demande. Avec la remontée des taux, se pose un double problème de solvabilité des ménages et d’offres de prêt qui ne passent plus.

Une crise incompatible avec votre modèle de finance patiente et utile ?

En cinq ans, nous avons créé un écosystème financier très original qui a placé la proximité au cœur de la valeur. Nous sommes au plus proche du terrain pour coller au mieux aux situations locales et s’adapter à leurs spécificités.

Récemment, le directeur général de la CDC Éric Lombard, qui vient d’être renouvelé par le chef de l’Etat et les parlementaires, vous a demandé de conduire le projet « Vision groupe ». Qu’est-ce que cela veut dire, précisément ?

Le cœur de notre ambition, c’est la transformation écologique, la cohésion sociale et territoriale ainsi que la souveraineté économique. « Vision Groupe » c’est la vision collective que nous portons avec l’ensemble des filiales du groupe pour répondre chacun dans nos missions respectives à ces grands enjeux de société.

Du côté de la Banque des territoires, cela signifie que nous n’intervenons pas trop dans les métropoles, sauf dans les quartiers politique de la ville, mais que nous travaillons dans les villes moyennes et les petites villes – 16.000 dans le programme « Petites villes de demain ». Chacune rencontre des difficultés différentes. A Honfleur, 5ème ville touristique de France qui accueille chaque année 4 millions de touristes, le maire se demande où garer les cars et s’il faut refaire la circulation. A Joigny, grand brûlé de la désindustrialisation, les départs successifs d’un régiment, d’un tribunal et d’un centre des finances publiques, ont mis les problèmes bout à bout, mais heureusement, nous sommes là pour les résoudre !

Pour finir, pourquoi la Caisse des dépôts qui est déjà présente dans les Ephad publics a-t-elle décidé d’entrer au capital du nouvel Orpea ?

Nous avons 8 milliards d’encours sur les Ehpad publics car c’est une activité essentielle pour la cohésion sociale qui a besoin d’un capital patient. Nous sommes entrés dans Orpéa dans l’intérêt des 270.000 résidents dans une entreprise en situation financière extrêmement grave. Notre population vieillit. Aussi venir au secours du leader du secteur nous a paru une bonne idée, ne serait-ce que pour l’attractivité des métiers et le maintien des compétences. Nous voulons, en effet, en faire un nouveau référentiel de pratique.

Sauf que la rentabilité va baisser pour les actionnaires…

Effectivement, nous ne pouvons pas maintenir un taux de rentabilité de 26%. C’était sans doute trop.

De combien sera-t-il demain ?

La nouvelle cible a été fixée par le management à 20%. C’est nécessaire et raisonnable pour que le nouvel Orpea se développe et puisse investir. De même, nous allons abaisser progressivement le taux de détention de l’immobilier actuellement de 45% pour recentrer la société sur son métier : l’exploitation des EHpad.

Aux côtés de CNP, participation stratégique du groupe, pourquoi êtes-vous allés chercher la Maif et la Mascf ?

En faisant entrer la MACSF, la mutuelle des aides-soignants, nous voulons repartir d’une belle façon en adressant un message aux salariés qui ont souffert dans cette affaire.

Quitte à vous mettre à dos les petits actionnaires ?

Les administrateurs judiciaires font actuellement le tour des parties prenantes : les banques, les créanciers, l’Etat, l’Urssaf et les actionnaires… Soit dit en passant, même si ces derniers votent contre ce nouvel actionnariat, la restructuration se fera quand même, en raison des nouvelles règles des faillites dans le cadre de la directive européenne transposée dans la loi Pacte.

N’est-ce pas une nationalisation forcée ou du moins qui ne dit pas son mot ?

C’est un peu excessif de dire cela. A la fin du sauvetage, le groupe composé de la CDC, la CNP et de Maif et MACSF ne détiendra que 50,5% des parts du nouvel Orpea. Sauf à considérer que le mutualisme est public, nous restons donc dans l’univers du privé avec un capital en partie public.

Politique-Olivier Véran : l’archétype du pitre politicard

Politique-Olivier Véran : l’archétype du pitre politicard

Il y a souvent dans les gouvernements un personnage assez clownesque; cette fois avec Macron, c’est Olivier Véran qui tient le rôle. Avec un certain culot en plus, il dit tout et n’importe quoi. Évidemment on retiendra surtout sa lamentable gestion du covid quand il contestait l’intérêt du masque. Une attitude criminelle qui a favorisé la montée du nombre d’infectés et de morts. Maintenant le voilà dans le rôle du père fouettard vis-à-vis des syndicats rendus responsables de toutes les catastrophes de la France.

Olivier Véran qui a mangé à peu près à tous les râteliers politiques, le parti socialiste d’abord ensuite le soutien à Sarkozy puis à Macron s’est fait une spécialité du mensonge outrancier. Faut-il rappeler ses déclarations invraisemblables concernant l’inutilité des masques ou encore l’ampleur contestée du Covid alors qu’il était ministre de la santé.

Cette fois, il rend responsable les syndicats de tous les péchés de la terre. Ils seraient même responsables de la catastrophe écologique qui menace le pays. Pourquoi pas aussi de la guerre en Ukraine ou comme l’indique Laurent Berger ( CFDT) de la défaite de la coupe de l’équipe de France en finale coupe du monde.

Ce personnage n’a aucune déontologie, il ne cesse de mentir. Ainsi récemment il a été pris dans les mailles de ses propres mensonges en déclarant qu’il y aurait 1,8 millions de bénéficiaires d’un minimum de retraite de 1200 € par mois. Vérification faite, le ministre du travail a été obligé d’admettre que la mesure ne concernerait que 10 000 à 20 000 bénéficiaires

De toute évidence Olivier Véran n’a pas sa place dans un gouvernement, c’est une sorte de Pinocchio qui s’agite en permanence espérant peut-être un jour devenir premier ministre. Faute de compétences et d’éthique, sa place serait mieux dans un cirque que dans un gouvernement. Notons que la cour de justice de la république dans sa grande bonté l’a exempté de toute responsabilité par rapport aux énormités dont il a été responsable lors de la crise Covid .

Olivier Véran : le mensonge permanent du clown du gouvernement

Olivier véran : le mensonge permanent du clown du gouvernement

Il y a souvent dans les gouvernements un gouvernement assez clownesque, cette fois avec Macron c’est Olivier Véran qui tient le rôle. Avec un certain culot en plus, il dit tout et n’importe quoi. Évidemment on retiendra surtout sa lamentable gestion du covid quand il contestait l’intérêt du masque. Une attitude criminelle qui a favorisé la montée du nombre d’infectés et de mort. Maintenant le voilà dans le rôle du père fouettard vis-à-vis des syndicats rendus responsables de toutes les catastrophes de la France.

Olivier Véran qui a mangé à peu près à tous les râteliers politiques, le parti socialiste d’abord ensuite le soutien à Sarkozy puis à Macron s’est fait une spécialité du mensonge outrancier. Faut-il rappeler ses déclarations invraisemblables concernant l’inutilité des masques ou encore l’ampleur contestée du Covid alors qu’il était ministre de la santé..

Récemment, il a déclaré que la manifestation du 20 février ne serait pas importante. Elle a dépassé tous les records !. Cette fois, il rend responsable les syndicats de tous les péchés de la terre. Il serait même responsable de la catastrophe écologique qui menace le pays. Pourquoi pas aussi de la guerre en Ukraine ou comme l’indique Laurent Berger ( CFDT) de la défaite de la coupe de l’équipe de France en finale coupe du monde.

Ce personnage n’a aucune déontologie, il ne cesse de mentir. Ainsi récemment il a été pris dans les mailles de ses propres mensonges en déclarant qu’il y aurait 1,8 millions de bénéficiaires d’un minimum de retraite de 1200 € par mois. Vérification faite, le ministre du travail a été obligé d’admettre que la mesure ne concernerait que 10 000 à 20 000 bénéficiaires

De toute évidence Olivier Véran n’a pas sa place dans un gouvernement, c’est une sorte de Pinocchio qui s’agite en permanence espérant peut-être un jour devenir premier ministre. Faute de compétences et d’éthique, sa place serait mieux dans un cirque que dans un gouvernement. Notons que la cour de justice de la république dans sa grande bonté l’a exempté de toute responsabilité par rapport aux énormités dont il a été responsable lors de la crise Covid .

Politique: Olivier Dussopt, favoritisme ou corruption ?

Politique: Olivier Dussopt, favoritisme ou corruption ?

Pour l’instant, le ministre du travail est soupçonné de favoritisme du fait qu’il a traité directement un gros marché sans passer par l’appel d’offres. Les faits ne sont pas qualifiés de corruption pour autant outre le fait que Dussopt ait reçu les cadeaux, il a aussi été aidé financièrement pour sa propagande politique. Une propagande qui lui a permis d’être élu, puis de devenir ministre. La justice en la circonstance fait preuve d’une nuance sémantique assez douteuse dans la qualification des faits!

Bien que l’affaire soit déjà ancienne (2017), elle tombe vraiment mal pour le ministre du travail ety le gouvernement confronté à une gestion pour le moins erratique de la réforme des retraites. La justice retient contre le ministre du travail une infraction de favoritisme pour avoir reçu deux œuvres d’art représentant plusieurs milliers d’euros de la part de la société qui s’apprêtait à signer un contrat pour la distribution d’eau avec la mairie dont il était le maire. Mais le ministre du travail considère qu’un cadeau ne saurait constituer un fait de corruption !

Notons que c’est aussi en 2017 que poussé sans doute par de nouvelles convictions, le ministre du travail fraîchement élu sur une liste du parti socialiste comme député a rejoint en 24 heures le camp de Macron. Curieux chez un responsable qui jusque-là avait slalomé entre les courants socialistes en se montrant particulièrement radical contre la régression sociale notamment aux côtés de Martine Aubry.

Sans doute l’illustration de ce qu’est une partie du monde politique. À savoir pour beaucoup: des professionnels qui entretiennent des relations assez ésotériques avec l’intérêt général au profit de leur déroulement de carrière.

Olivier Dussopt, ancien socialiste relativement radical se montre maintenant l’un des plus tranchant pour condamner tout ce qui s’oppose à la réforme des retraites.

C’est sans doute cette trahison du parti socialiste qui a surtout profité à Olivier Dussopt qui par ailleurs ne se caractérise pas par une grande compétence et un grand charisme mais plutôt par des propos assez confus et zézayants . Mais un portefeuille ministériel vaut bien une conversion politique, d’ailleurs toujours provisoire !

Le parquet national financier (PNF) a donc retenu l’infraction de «favoritisme» pour un futur procès à l’encontre d’Olivier Dussopt qui portera sur un marché public conclu à la fin des années 2000 avec un groupe de traitement de l’eau, un coup dur pour le ministre en première ligne sur la réforme des retraites.
Peu après la publication d’un article vendredi soir de Mediapart sur le sujet, le ministre du Travail a indiqué à l’AFP que le PNF avait retenu l’infraction de «favoritisme» dans une enquête qui concernait initialement deux œuvres d’art reçues en cadeau en 2017.

D’après Mediapart, la perquisition réalisée chez le ministre par les enquêteurs financiers de l’Oclciff (Office central de lutte contre les infractions financières et fiscales) a mis à jour «des échanges entre Olivier Dussopt et (la Saur) semblant laisser peu de doute sur l’existence d’un arrangement autour d’un marché public daté de 2009-2010», au moment où il était député et maire d’Annonay (Ardèche). Interrogé, le PNF s’est refusé à tout commentaire.

Le PNF avait récemment transmis des éléments de son enquête aux avocats du ministre, une phase dite de «contradictoire», pour qu’ils répondent sur les charges que le ministère public envisageait de retenir. À l’issue de cette phase, le PNF a adressé une «note de synthèse» le 23 janvier aux avocats d’Olivier Dussopt, d’après celui-ci. Il ne reste plus au PNF qu’à formaliser la tenue d’un procès avec l’envoi de citations à comparaître. Selon Mediapart, la Saur pourrait comparaître pour recel de favoritisme.

Mais il y a fort à parier que dans sa grande sagesse, la justice aura à coeur d’ enterrer ce dossier comme bien d’autres; par exemple les conditions de financement de la campagne de Macron.

Politique: Pour Olivier Dussopt, un cadeau, ce n’est pas de la corruption

Politique: Pour Olivier Dussopt, un cadeau, ce n’est pas de la corruption

Bien que l’affaire soit déjà ancienne (2017), elle tombe vraiment mal pour le ministre du travail confronté à une gestion pour le moins erratique de la réforme des retraites. La justice retient contre le ministre du travail une infraction de favoritisme pour avoir reçu deux œuvres d’art représentant plusieurs milliers d’euros de la part de la société qui s’apprêtait à signer un contrat pour la distribution d’eau avec la mairie dont il était le maire. Mais le ministre du travail considère qu’un cadeau ne saurait constituer un fait de corruption !

Notons que c’est aussi en 2017 que poussé sans doute par de nouvelles convictions, le ministre du travail fraîchement élu sur une liste du parti socialiste comme député a rejoint en 24 heures le camp de Macron. Curieux chez un responsable qui jusque-là avait slalomé entre les courants socialistes en se montrant particulièrement radical contre la régression sociale notamment aux côtés de Martine Aubry.

Sans doute l’illustration de ce qu’est une partie du monde politique. À savoir pour beaucoup: des professionnels qui entretiennent des relations assez ésotériques avec l’intérêt général au profit de leur déroulement de carrière.

Olivier Dussopt, ancien socialiste relativement radical se montre maintenant l’un des plus tranchant pour condamner tout ce qui s’oppose à la réforme des retraites.

C’est sans doute cette trahison du parti socialiste qui a surtout profité à Olivier Dussopt qui par ailleurs ne se caractérise pas par une grande compétence et un grand charisme mais plutôt par des propos assez confus et zézayants . Mais un portefeuille ministériel vaut bien une conversion politique, d’ailleurs toujours provisoire !

Le parquet national financier (PNF) a donc retenu l’infraction de «favoritisme» pour un futur procès à l’encontre d’Olivier Dussopt qui portera sur un marché public conclu à la fin des années 2000 avec un groupe de traitement de l’eau, un coup dur pour le ministre en première ligne sur la réforme des retraites.
Peu après la publication d’un article vendredi soir de Mediapart sur le sujet, le ministre du Travail a indiqué à l’AFP que le PNF avait retenu l’infraction de «favoritisme» dans une enquête qui concernait initialement deux œuvres d’art reçues en cadeau en 2017.

D’après Mediapart, la perquisition réalisée chez le ministre par les enquêteurs financiers de l’Oclciff (Office central de lutte contre les infractions financières et fiscales) a mis à jour «des échanges entre Olivier Dussopt et (la Saur) semblant laisser peu de doute sur l’existence d’un arrangement autour d’un marché public daté de 2009-2010», au moment où il était député et maire d’Annonay (Ardèche). Interrogé, le PNF s’est refusé à tout commentaire.

Le PNF avait récemment transmis des éléments de son enquête aux avocats du ministre, une phase dite de «contradictoire», pour qu’ils répondent sur les charges que le ministère public envisageait de retenir. À l’issue de cette phase, le PNF a adressé une «note de synthèse» le 23 janvier aux avocats d’Olivier Dussopt, d’après celui-ci. Il ne reste plus au PNF qu’à formaliser la tenue d’un procès avec l’envoi de citations à comparaître. Selon Mediapart, la Saur pourrait comparaître pour recel de favoritisme.

Mais il y a fort à parier que dans sa grande sagesse, la justice aura à coeur d’ enterrer ce dossier comme bien d’autres; par exemple les conditions de financement de la campagne de Macron.

Expulsions OQTF: Olivier Véran ment, comme pour les masques

Expulsions OQTF: Olivier Véran ment, comme pour les masques

Olivier Véran continu de mentir avec un aplomb insoutenable en affirmant que l’objectif de reconduire à la frontière 100 % des OQTF. À peu près le même culot que pour les masques : le mensonge permanent pour philosophie. Tous les chiffres qu’il affirme sont complètement faux et reporter l’inaction du gouvernement sur la responsabilité étrangère relève de l’hypocrisie.

Le porte-parole du gouvernement Olivier Véran a maintenu dimanche l’objectif d’exécuter la totalité des obligations de quitter le territoire français (OQTF), une semaine après le meurtre atroce de Lola, 12 ans. Evoquée en octobre 2019 par Emmanuel Macron dans un entretien à Valeurs actuelle, cette promesse a été maintes fois rappelée par la droite et l’extrême droite ces derniers jours. Mais
«Nous voulons vraiment atteindre cet objectif total», a assuré Olivier Véran interrogé par CNews-Europe1-Les Échos. Le porte-parole a précisé que le taux d’exécution des OQTF «est remonté très nettement cette année». «On a fait du fois 20 par exemple cette année par rapport à l’année dernière sur les expulsions d’Algériens», a-t-il remarqué.

«Quel est le blocage ? il ne vient pas de notre capacité à expulser des gens qui n’ont plus leur place sur le territoire national, le blocage, il vient de la capacité de faire accepter par les pays destinataires, les personnes qui relèvent de leur nationalité», a développé Avec aplomb le porte-parole du gouvernement. Faut-il rappeler que c’est le même Olivier véran qui avait affirmé à l’occasion « que les masques n’étaient pas nécessaires » !Et rapidement le contraire ensuite.

Olivier Dussopt, dit la girouette, veut abandonner la social-démocratie !

 

 

Olivier Dussopt, dit la girouette pour être passé en 24 heures de député socialiste à député  macroniste en 2017  propose évidemment  d’abandonner le socialisme et maintenant aussi la social-démocratie. Tout cela pour adhérer au vague « progressisme » de Macron et sans doute un jour pour rejoindre encore plus clairement la droite. Bref, la descente aux enfers pour cette opportuniste représentatif d’anciens responsables du parti socialiste dont le vrai projet politique est le carriérisme. Une tribune en outre d’une grande pauvreté intellectuelle et idéologique. Une tribune qui confond réflexion idéologique et propagande. 

 

TRIBUNE – Dans une tribune au JDD, Olivier Dussopt, ministre du Travail, du Plein emploi et de l’Insertion, président de Territoires et progrès, appelle à « tourner la page » de la social-démocratie pour aller vers le « progressisme ». 

 tribune :

« La recomposition politique de notre pays n’est pas achevée. Après l’onde de choc salutaire provoquée par l’élection d’Emmanuel Macron en 2017, la tectonique des plaques continue de jouer. Mais cette recomposition ne servirait à rien si, au final, elle n’apportait pas une clarification nette. Elle est indispensable à un retour d’intérêt de nos concitoyens pour la vie démocratique. Ils s’en sont massivement éloignés, car trop souvent elle ne leur dit plus rien.

Le camp de ce que l’on nomme rapidement la gauche sociale-démocrate a en matière de clarification un immense travail à mener ; il a toujours été repoussé car c’est tellement plus confortable de vivre sur la rente des vieilles indignations, tellement plus simple – nous venons d’en avoir une illustration éclatante avec l’arrimage à la Nupes – de bâtir des alliances simplement défensives, pour préserver un pré carré, plutôt que d’agir et inventer un avenir meilleur.

L’entêtement à faire du neuf avec de l’ancien est devenu aujourd’hui peine perdue

Pour faire illusion, on n’a cessé d’appeler à « refonder », toujours en bougeant mollement les pièces de la structure, mais sans s’interroger jamais sur les fondations. L’entêtement à faire du neuf avec de l’ancien est devenu aujourd’hui peine perdue. On ne rebâtira pas la social-démocratie ! Pour la simple et bonne raison que les glissements paresseux vers l’extrême gauche, dans un mouvement contre-historique, ont enlevé son sens au mot : il n’a plus de signification et n’indique plus de direction. Il ne fédère plus, et n’est plus porteur d’espoir. La lucidité oblige également à constater qu’il est devenu has been pour les plus jeunes générations.

Alors, fini de se réfugier derrière un conservatisme culturel, un manque d’imagination et de création ! Nous devons proposer autre chose. Clarifier. Je suis de celles et ceux qui pensent qu’il faut tourner une page et se revendiquer pleinement du progressisme. Il y a urgence à parler de progrès pour parler au cœur, car parler de progrès, c’est la manière de parler de demain.

Et avançons dans la clarification. Ce progressisme est par essence pro­européen. Il croit dans l’éducation et la formation tout au long de la vie pour donner sa chance à chacun. Il a confiance en la science. Il a entériné, sans aucun retour possible, les évolutions sociétales, et ne cesse d’en revendiquer de nouvelles. Il croit à l’économie de marché, à la défense et à la promotion du travail. Tout autant qu’il croit à la solidarité, à l’initiative individuelle, au secteur privé et à la puissance publique. Surtout, il est enthousiaste et déterminé face aux immenses transformations technologiques, industrielles, en matière d’infrastructures et d’aménagement de notre territoire que nous allons devoir accomplir en un temps record pour la planète. Il sait aussi, depuis Auguste Comte, que le progrès ne peut se faire sans ordre. En France, cet ordre s’appelle l’ordre républicain.

Le progrès est social, sociétal et scientifique, industriel et humain, éducatif et environnemental. Il met toute la société en mouvement, jamais à marche forcée, mais dans le dialogue, la concertation, l’écoute ; une méthode qui, sous la conduite du président de la République, accompagnera l’évolution de notre système de retraite par répartition. Une évolution qui doit permettre des progrès nouveaux tels que la hausse des petites retraites à 1 100 euros, aussi importante pour la justice sociale que le fut l’instauration du smic. Cette méthode s’appliquera aussi pour la poursuite de l’ambitieuse réforme de la formation professionnelle, engagée depuis 2018, afin de donner à toutes et tous les meilleures opportunités d’accès au marché du travail. C’est aussi cela qui mènera au plein emploi.

Budget: Le déficit public « réduit » à 3%….en 2027 ( Olivier Dussopt)

Budget: Le déficit public « réduit »  à 3%….en 2027 ( Olivier Dussopt)

 

D’après le gouvernement le déficit public serait ramené à 3 % en 2027. Une échéance suffisamment lointaine pour qu’on ait le temps sans doute de le modifier à plusieurs reprises ! Pour 2021 , ce déficit serait ramené autour de 7 % au lieu des 8,2 % prévus. En cause : une croissance plus soutenue que ce qui était attendu, et le redressement des comptes de la sécurité sociale. Pour 2022, on compte sur un déséquilibre de 5 %. 

La croissance, elle, devrait atteindre 6,7% en 2021 si l’on en croit la dernière prévision de l’Insee. C’est plus que ce qu’avait prévu le gouvernement en septembre dernier, puisqu’il tablait alors sur 6,25%, a rappelé Olivier Dussopt. Quant au déficit de la sécurité sociale, de 40  milliards d’euros en 2020, il « redescendrait en 2021 à environ 25  milliards », a-t-il détaillé.

Enfin, le déficit de l’Etat s’élèverait pour sa part à 171 milliards d’euros, soit « près de 34,5 milliards de moins par rapport à nos dernières prévisions », s’est encore félicité le ministre.

« Tous ces mouvements confortent nos prévisions de déficit à 5% en 2022, puis à 3% en 2027 », a-t-il ajouté. Tout en précisant que la remontée des taux d’intérêt ne remet pas en question l’objectif de 5% de déficit pour cette année.

Le déficit public « réduit » à 3%….en 2027 ( Olivier Dussopt)

Le déficit public « réduit »  à 3%….en 2027 ( Olivier Dussopt)

 

D’après le gouvernement le déficit public serait ramené à 3 % en 2027. Une échéance suffisamment lointaine pour qu’on ait le temps sans doute de le modifier à plusieurs reprises ! Pour 2021 , ce déficit serait ramené autour de 7 % au lieu des 8,2 % prévus. En cause : une croissance plus soutenue que ce qui était attendu, et le redressement des comptes de la sécurité sociale. Pour 2022, on compte sur un déséquilibre de 5 %.

La croissance, elle, devrait atteindre 6,7% en 2021 si l’on en croit la dernière prévision de l’Insee. C’est plus que ce qu’avait prévu le gouvernement en septembre dernier, puisqu’il tablait alors sur 6,25%, a rappelé Olivier Dussopt. Quant au déficit de la sécurité sociale, de 40  milliards d’euros en 2020, il « redescendrait en 2021 à environ 25  milliards », a-t-il détaillé.

Enfin, le déficit de l’Etat s’élèverait pour sa part à 171 milliards d’euros, soit « près de 34,5 milliards de moins par rapport à nos dernières prévisions », s’est encore félicité le ministre.

« Tous ces mouvements confortent nos prévisions de déficit à 5% en 2022, puis à 3% en 2027 », a-t-il ajouté. Tout en précisant que la remontée des taux d’intérêt ne remet pas en question l’objectif de 5% de déficit pour cette année.

Covid France : jusqu’à 250.000 cas par jour en janvier ( Olivier Véran)

Covid France : jusqu’à 250.000 cas par jour  en  janvier ( Olivier Véran)

 

 

D’après la plupart des expert,s il faut s’attendre en janvier à des nombres de contaminés jamais atteints jusque-là : jusqu’à plusieurs centaines de milliers par jour. Le ministre de la Santé Olivier Véran a lui-même reconnu qu’on pourrait enregistrer autour de 250 000 cas en janvier 2022. Olivier Véran souligne le que le variant Omicron « est beaucoup plus contagieux que les précédents, et notamment le variant Delta ». « Le nombre de malades contaminés double tous les deux jours, contre douze à quinze jours avec le variant Delta », a-t-il indiqué. Cette montée des contaminations « représente un risque majeur d’absentéisme », a noté le ministre. En fait il s’agit sans doute du principal risque de ce variant qui pourrait en partie paralysée un certain nombre d’activités y comprises essentielles du fait de la multiplication des arrêts maladie. « On voit déjà une hausse très forte et des arrêts de travail  » a déclaré le ministre de la santé

COVID-19: le pic épidémique ou le pic d’incompétence pour Olivier Véran

COVID-19: le pic épidémique ou le pic d’incompétence pour Olivier Véran 

« Il semble que nous ayons atteint un pic épidémique dans notre pays », a déclaré Olivier Véran juste avant que les chiffres officiels ne dévoilent un nouveau record.

Mardi en effet, on  a enregistré +63.405 nouveaux cas confirmés en 24h ,un nouveau record. Soit très au-dessus de la moyenne habituelle de 50 000 contaminés par jour.

 

Cependant le ministre de la santé n’a pas pu promettre que les contaminations, estimées à 50.000 par jour, allaient redescendre, ou si un plateau allait s’établir dans les prochaines semaines.

 

Une nouvelle fois Olivier avérant se trompe lourdement non seulement il va falloir affronter la montée en puissance des malades en traitement dans les hôpitaux mais continuer aussi de faire face à la croissance de la pandémie. Sur la tendance, en effet on pourrait atteindre de l’ordre de 100 000 contaminés par jour d’ici la fin de l’année.

Ce n’est pas de pas le pic épidémique qui a été atteint mais peut-être le pic d’incompétence d’un ministre par ailleurs beaucoup trop bavard.

 

Olivier Dussopt, l’hémiplégique de gauche, soutient encore Macron

Olivier Dussopt, l’hémiplégique de gauche, soutient encore Macron

 

Dans le monde politique les changements de partis et les conversions à différentes idéologies sont assez habituelles. Elles peuvent être rapides ou lentes selon les individus et les circonstances. Olivier Dussopt, lui, est un exemple des conversions ultrarapides. En effet élu en 2017 sur les listes du parti socialiste, sitôt les résultats connus, il a rejoint Macron. Ce qui lui a valu d’être nommé ministre. Cette fois encore Olivier Dussopt critique ses anciens amis de gauche et appelle à rejoindre macro y compris les nombres déçus.- Témoin cette interview dans le Figaro :

Ferez-vous partie d’Ensemble citoyens!, la bannière que la majorité lance lundi en vue de 2022?

Olivier DUSSOPT. - Avec Richard Ferrand nous avons beaucoup échangé. Territoires de progrès a une identité particulière. C’est un parti politique « pleinement » à gauche et dans le dépassement. Si certains de nos adhérents sont à la fois membres de LREM et de TDP, nous comptons aussi des femmes et des hommes de gauche qui ne sont pas, ou ne sont plus Marcheurs. Ils veulent à la fois se retrouver dans une démarche de sociaux-démocrates progressistes, tout en soutenant la majorité. Leur

volonté est de l’élargir pour permettre à Emmanuel Macron d’être réélu s’il devait être candidat.

Olivier Dussopt, dit l’anguille , à la tête de la « goche » macronienne

Olivier Dussopt, dit l’anguille , à la tête de la « goche » macronienne

 

 

Jean-Yves le Drian, dit le saumon rose pour sa capacité à naviguer dans des courants contraires et Olivier Dussopt dit l’anguille ont créé le parti de « goche » « territoire de progrès » ). Olivier Dussopt, le ministre du budget a la particularité d’avoir été présenté aux élections de 2017 par les socialistes et immédiatement après son élection d’avoir rejoint Macron. Une belle souplesse d’échine politique qui le fait appeler l’anguille. Son compère Jean-Yves le Drian étant surnommé le saumon rose pour les mêmes raisons.

 

les adhérents on compte bien sur Jean-Yves le Drian (Affaires étrangères), qui avait fondé le parti début 2020, ou Florence Parly (Défense). , Ou encore Emmanuelle Wargon, TdP veut porter «une nouvelle ambition pour la social-démocratie, qui se situe clairement dans la majorité présidentielle, mais qui aura ses propres objets, ses propres combats au sein de cette majorité».

 

On sait que parallèlement Édouard Philippe a créé son propre parti : « Horizons » justement pour tenter de mettre la main sur la république en marche. C’est aussi l’objectif des socialistes recyclés de territoires de progrès.

 

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