Archive pour le Tag 'OK'

Climat: Xi Jinping OK pour le sommet de Biden

Climat: Xi Jinping OK pour le sommet de Biden

Le président américain Joe Biden a invité une quarantaine de dirigeants mondiaux à un sommet international sur le climat qui doit se tenir par visioconférence jeudi et vendredi. Chine et États-Unis sont les deux premiers émetteurs de gaz à effet de serre, à l’origine du réchauffement planétaire. Leur entente est donc jugée cruciale pour la réussite des efforts internationaux afin de réduire ces émissions.

Le président chinois Xi Jinping participera au sommet virtuel sur le climat organisé cette semaine par Joe Biden, a annoncé mercredi 21 avril le ministère chinois des Affaires étrangères, alors que les tensions sino-américaines restent fortes. Le chef d’État chinois prononcera en ligne depuis Pékin «un important discours», a indiqué le ministère, quelques jours après l’engagement des deux pays à «coopérer» sur le changement climatique.

GAFA: Le Maire et Yellen: OK pour une mini taxe

Le Maire et Yellen:  OK pour une mini taxe

 

 

Pour ne pas paraître marginalisé  par les principaux décideurs que son notamment les États-Unis et l’Allemagne, Bruno Lemaire le ministre français de l’économie essaye de faire bonne figure en annonçant un entretien avec Janet Yellen,  la responsable du trésor  américain à propos de la taxe Gafa. Bruno Lemaire indique que la discussion va reprendre au sein de l’OCDE. On se souvient que plusieurs Etats ont pris des décisions dans ce domaine cependant l’Europe elle-même a été incapable de se mettre d’accord sur l’objectif.

Du coup la discussion a été renvoyée au sein de l’OCDE mais Trump a rompu la négociation. De toute manière, le renvoi au sein de l’OCDE était l’assurance qu’on ne pourrait déboucher que sur une éventuelle mini taxe GAFA. Les États-Unis sont bien d’accord pour taxer les grands du numérique depuis la nomination de Biden mais pour les taxer aux États-Unis et pas seulement à l’extérieur des frontières.

Conclusion va sûrement adopter le principe d’une mini taxe GAFA. Du coup la taxe française suspendue risque de l’être  définitivement.

Le Parlement français avait  adopté en juillet 2019 une taxe de 3% sur le chiffre d’affaires des géants du numérique. La mesure a fait de la France un pays pionnier en matière d’imposition des « Gafa » (acronyme désignant Google, Amazon, Facebook et Apple) et autres multinationales accusées d’évasion fiscale.

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Elle a rapporté 350 millions d’euros en 2019 . Washington, qui juge cette taxe discriminatoire envers les entreprises américaines, avait riposté en menaçant d’appliquer des droits de douane de 100 % sur certains produits français, notamment les fromages, les produits de beauté et les sacs à main.

Mais en janvier, les deux alliés avaient conclu une trêve pour laisser leur chance aux négociations menées sous l’égide de l’OCDE en vue de créer un impôt mondial sur les multinationales : Paris gelait le prélèvement de sa taxe et Washington s’abstenait de sanctions.

Ces négociations ont cependant échoué en octobre, rendant la trêve caduque.

« Nous avions suspendu la perception de la taxe le temps que la négociation de l’OCDE aboutisse. Cette négociation a échoué, nous percevrons donc une taxe sur les géants du digital en décembre prochain », avait menacé le ministre français de l’Économie, Bruno Le Maire.

Bruno Le Maire, le ministre français de l’Economie, et Janet Yellen, la nouvelle secrétaire américaine au Trésor, sont convenus jeudi lors d’un entretien téléphonique de la nécessité de trouver des solutions multilatérales en matière de taxation des entreprises multinationales, rapporte Bercy.

La taxe française est déjà ridicule puisqu’elle devait rapporter autour de 300 millions pour une évaluation très approximative de 10 milliards de chiffre  d’affaires. Un chiffre évidemment très sous-estimé puisqu’on est difficilement capable d’évaluer l’activité des grands du numérique facturée dans d’autres pays. Sans parler des transferts de charges entre les filiales de ces grandes entreprises pour externaliser les profits dans les pays à faible fiscalité et internaliser à l’inverse les coûts dans les pays à forte fiscalité

“Le ministre a accueilli très positivement l’engagement de la secrétaire d’Etat en faveur d’une participation active des équipes américaines aux discussions sur la fiscalité au sein de l’OCDE, en vue d’un accord international d’ici la fin du semestre”, déclare le ministère de l’Economie dans un communiqué.

Notons que le ministre de l’économie prend le train en marche puisque l’Allemagne sitôt la nomination de Janet yellen  a adressé des félicitations dithyrambiques à l’intéressée histoire de l’amadouer sur les futures taxes qui pourraient peser sur l’union européenne pour le cas où les taxes CAF a seraient trop élevées. Des taxes douanières américaines qui pèseraient à leur sur les exportations allemandes

Trump enfin OK pour une transition du pouvoir

Trump enfin OK pour une transition du pouvoir

 

Il aura fallu attendre plus de deux semaines pour que Trump à demi-mots reconnaissent la victoire de Biden et accepte la transition du pouvoir. En attendant , il s’est enfoncé dans des procédures juridiques pathétiques et a entretenu un climat délétère de division chez les Américains. Il a pris aussi quelques décisions irresponsables tant en matière d’économie qu’en matière de géopolitique.

Bref il a tout fait pour rendre difficile la tâche de Biden. Sous la pression cependant de républicains qui le lâchent les uns après les autres, Donald Trump a fini par ordonner à son administration de commencer la transition avec Joe Biden. Par un message tordu sur son compte Twitter, et sans reconnaître formellement sa défaite, le président américain a « recommandé » à la responsable de l’administration générale des services, Emily Murphy de «faire le nécessaire conformément aux protocoles initiaux», «dans l’intérêt de notre pays ». «J’ai dit à mes équipes de faire de même», a conclu Trump.

Sans élégance ni cérémonie, le président a reconnu dans les faits, à défaut d’y mettre les formes, que son adversaire démocrate pourrait bien être son successeur en janvier prochain. «Notre lutte continue » tout de même écrit Trump, «nous continuons à faire valoir nos droits, et je pense que nous l’emporterons» .

La pression s’était accrue ces derniers jours sur Emily Murphy, un nombre croissant de républicains, d’experts en sécurité nationale et de chefs d’entreprise ayant déclaré qu’il était temps que le processus de transition commence.

Trump OK pour la reprise de TikTok par Oracle

Trump OK pour la reprise de TikTok par Oracle

Le président américain a déclaré aux journalistes accrédités à la Maison Blanche qu’il avait donné sa bénédiction à l’accord entre TikTok, Oracle et Walmart, qui créerait une nouvelle compagnie appelée TikTok Global.

Oracle a annoncé prendre une participation de 12,5% dans TikTok Global.

Oracle et Walmart pourraient détenir à terme une participation de 20% dans la société, selon une source.

TikTok s’est dit “heureux que la proposition de TikTok, Oracle et Walmart résolve les inquiétudes de l’administration américaine liées à la sécurité et règle les questions relatives à l’avenir de TikTok aux États-Unis”.

Le propriétaire de TikTok, la société chinoise ByteDance, souhaite que l’application soit valorisée 60 milliards de dollars dans le cadre de l’accord avec Oracle et Walmart, selon l’agence Bloomberg.

A ce prix, les deux entreprises américaines devraient débourser 12 milliards de dollars pour prendre une participation de 20% dans TikTok Global.

Donald Trump a affirmé que la nouvelle société créerait 25.000 emplois aux États-Unis. “J’ai donné ma bénédiction à l’accord”, a-t-il déclaré.

La Chine doit encore donner son feu vert. En attendant elle a pris des sanctions contre les États-Unis alors que les applications américaines comme Facebook et Twitter sont complètement interdites en Chine

Coronavirus: la Grande Bretagne OK avec Sanofi et GSK

Coronavirus: la Grande Bretagne OK avec Sanofi et GSK

 

 

La Grande-Bretagne s’apprête à signer un accord de 500 millions de livres sterling (624 millions d’euros) avec Sanofi et GlaxoSmithKline pour la livraison de 60 millions de doses de vaccin contre le COVID-19 sur lequel les deux laboratoires travaillent en collaboration, selon le Sunday Times.

Le journal britannique a précisé que la Grande-Bretagne envisageait d’acheter le vaccin si jamais ce dernier montrait des résultats probants lors des essais cliniques qui doivent débuter en septembre.

Un porte-parole du ministère de l’Economie a fait savoir que des discussions étaient en cours avec différentes entreprises mais n’a pas confirmé que Sanofi ou GSK en faisaient partie.

Sanofi, dont la division Pasteur vaccins jouit d’une solide réputation, notamment contre la grippe, travaille actuellement sur deux projets. L’un d’entre eux utilise un adjuvant fabriqué par GSK qui a reçu l’appui financier de la Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA) du département américain de la Santé.

Les laboratoires du monde entier se sont lancés dans une course pour trouver un vaccin sûr et susceptible d’être produit à grande échelle. Moderna et l’Université d’Oxford, en collaboration avec AstraZeneca, ainsi que BioNTech et Pfizer, qui se sont associés, ont fait la “une” des journaux en passant aux essais sur l’homme dès le mois de mars !.

Sanofi et GSK ont tout deux dit qu’ils prioriseraient la qualité par rapport à la rapidité dans la recherche.

L’UE OK pour le report du Brexit

L’UE OK pour le report du Brexit  

 

On pourrait éventuellement trouver assez curieuse cette bienveillance de l’union européenne a l’égard du Royaume-Uni concernant le calendrier du Brexit. Une fois de plus, l’union européenne a décidé d’accorder un délai supplémentaire aux Britanniques mais sans fixer de date précise. Il s’agit  de ne pas donner de grain à moudre à Boris  Johnson. L’objectif de ce dernier était en effet de faire porter le chapeau de la rupture à l’union européenne et d’apparaître comme le grand défenseur nationaliste;  cela pour  favoriser sa posture lors d’élections qu’il souhaite le plus rapidement possible puisqu’il ne dispose pas de majorité parlementaire. Pour l’instant la manœuvre a échoué. L’union économique s’est montrée d’une grande souplesse sur le fond que sur la forme et a renvoyé  en quelque sorte renvoyée la responsabilité sur les Britanniques et Johnson du même. Les contradictions britanniques sont d’un certain point de vue assez surréaliste. Officiellement, le Royaume-Uni demande en effet un report mais Son Premier ministre  écrit officiellement parallèlement à l’union européenne qu’il n’en veut pas. Le royaume uni a adopté l’accord entre l’union économique et Boris Johnson mais l’accord sera gelé tant que les dispositions législatives internes au territoire britannique ne seront pas adoptées. En clair, Boris Johnson a déjà perdu la bataille du calendrier.

Après avoir martelé pendant des semaines qu’il sortirait “coûte que coûte” le Royaume-Uni de l’Union européenne le 31 octobre – la date butoir convenue avec Bruxelles -, Boris Johnson a admis jeudi soir qu’il n’y parviendrait pas en raison du rejet par la Chambre des communes d’un calendrier accéléré d’adoption de la législation nécessaire au retrait (Withdrawal Agreement Bill, WAB).

Mais le Premier ministre britannique a réclamé des élections législatives le 12 décembre afin de sortir de la “paralysie”. De facto des élections hâtives si elles sont approuvées par la chambre des communes contraindraient à un nouveau délai pour la mise en œuvre du break site. Notons par ailleurs qu’il est bien difficile d’hypothéquer qu’elle pourrait être la position politique de la nouvelle chambre des communes vis-à-vis du break site.

Selon un projet de déclaration que Reuters a pu consulter jeudi soir, et dont les ambassadeurs ont discuté vendredi, l’UE accordera un délai à Londres “dans l’optique de permettre la finalisation de la ratification”, une idée résumée par l’expression “flextension”, associant flexibilité et extension.“En conséquence, le retrait pourrait avoir lieu le premier jour du mois suivant l’achèvement de la procédure de ratification, ou le (blanc), en fonction de l’échéance la plus courte”, dit le projet de déclaration.

Un report de trois mois jusqu’au 31 janvier 2020 reste une des hypothèses, mais d’autres dates pourraient être débattues. Le Brexit a déjà été reporté à deux reprises. Programmé initialement pour le 29 mars, il a été repoussé d’abord au 12 avril puis au 31 octobre. Avant de prendre une décision définitive, les Européens attendent cependant de voir comment va évoluer la situation politique outre-Manche.

Pour que des élections législatives aient lieu le 12 décembre, Boris Johnson doit réunir une majorité des deux tiers et s’appuyer sur les élus de l’opposition travailliste. Dans une lettre au chef du Labour Jeremy Corbyn, le Premier ministre conservateur a promis jeudi de donner au Parlement davantage de temps – jusqu’au 6 novembre – pour approuver l’accord qu’il a conclu avec Bruxelles sur le Brexit, tout en réclamant que les élus votent en faveur d’élections.

Mais Jeremy Corbyn dit vouloir connaître la décision de l’UE sur un report avant de donner une consigne de vote. On ignore désormais comment va réagir le chef de l’opposition travailliste en l’absence de date fixée par les Européens. Jeremy Corbyn dit vouloir écarter définitivement le risque d’un Brexit sans accord avant de donner son feu vert à des élections.

“Comme vous le savez, c’est à l’UE de décider de nous donner ou non un report. Pour l’heure, nous devons partir le 31 octobre”, a toutefois rappelé Boris Johnson vendredi qui d’une certaine manière revient sur son affirmation dans à dire que la rupture entre l’union économique le royaume uni devait impérativement intervenir le 31 octobre.

Iran : Trump OK pour un accord !

Iran : Trump OK pour un accord !

Comme d’habitude Trump utilise la dialectique des contradictions sur l’Iran. Tout juste après avoir menacé le pays d’une guerre totale, il propose maintenant une négociation sans préalable. Bref, la même posture caricaturale que sur d’autres sujets majeurs. Et d’ajouter sans vergogne «S’ils veulent qu’on se rencontre, on se rencontrera», a dit le président américain. «Je ne sais pas s’ils sont prêts. J’ai mis fin à l’accord avec l’Iran. C’était un accord ridicule. Je crois qu’ils vont finir par vouloir qu’on se rencontre». Les États-Unis ont décidé en mai de se retirer de l’accord conclu en juillet 2015 limitant le programme nucléaire iranien en échange d’un allègement des sanctions économiques adoptées contre la république islamique. Donald Trump, qui accueillait le président du Conseil italien Giuseppe Conte à la Maison blanche, a été interrogé par la presse sur l’éventualité d’une rencontre avec le président iranien Hassan Rohani.

Discussion avec la Corée du nord : OK pour les Etats-Unis

Discussion avec la Corée du nord : OK pour les Etats-Unis

 

C’est évidemment un tournant diplomatique majeur de la part des États-Unis. En effet jusqu’à maintenant, Trump  avait choisi la même dialectique que le dictateur nord-coréen, à savoir : la guerre totale en tout cas sa menace. Cette stratégie a révélé toutes ses limites car il est clair que concrètement jamais la Chine n’aurait laissé une éventuelle intervention militaire américaine se dérouler aussi près de chez elle. Trump  vient sans doute de comprendre que l’arsenal nucléaire nord-coréen vise essentiellement à conforter la dictature de Kim Jong. L’objectif du dirigeant nord-coréen est d’obtenir un siège voir un strapontin dans le cercle fermé des pays disposant de la dissuasion nucléaire. De son côté,  la Chine est évidemment agacée par les turpitudes de Kim Jong mais ne veut pas non plus à ses frontières un régime qui serait proche des États-Unis. Sans doute la Chine a-t-elle fait pression pour que les États-Unis comprennent les enjeux et facilite la négociation avec Pyongyang. Les États-Unis sont donc prêts à s’asseoir à la table des négociations avec la Corée du Nord «sans condition préalable», a déclaré mardi le chef de la diplomatie américaine Rex Tillerson. «Il n’est pas réaliste de dire «nous allons discuter avec vous seulement si vous venez à la table des négociations prêts à abandonner votre programme» nucléaire, a-t-il dit. «Nous avons dit, du côté diplomatique, que nous sommes prêts à discuter dès que la Corée du Nord voudra discuter», a-t-il expliqué lors d’une conférence devant un centre de réflexion à Washington. «Nous sommes prêts à tenir une première réunion sans condition préalable.» Le chef de la diplomatie américaine a déjà expliqué par le passé que des canaux de communication restaient ouverts avec les autorités de Pyongyang. Cette déclaration lui avait valu un rappel à l’ordre de Donald Trump, qui avait estimé dans un message sur Twitter que son ministre des Affaires étrangères «perdait son temps».

Donald Trump s’était  engagé dans une guerre des déclarations avec le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un allant même jusqu’à menacer, dans un discours devant l’Assemblée générale de l’Onu, de détruire totalement la Corée du Nord. Malgré ces menaces et ces mises en garde, Kim a poursuivi ses programmes balistique et nucléaire, procédant à de nouveaux tirs de missiles à longue portée. Le dirigeant nord-coréen affirme que son pays est désormais une puissance nucléaire et qu’il est en capacité de frapper le territoire américain avec des armes de destruction massive.

Centrale Hinkley Point : OK des Britanniques mais méfiance vis-à-vis des Chinois

Centrale Hinkley Point : OK des Britanniques mais méfiance vis-à-vis des Chinois

 

La Grande-Bretagne se prononce en faveur de la centrale nucléaire mais exige que la France reste actionnaire de cette construction car elle se méfie des Chinois. Et pour cause l’éclatement d’une bulle financière n’est pas à exclure en Chine compte  tenu d’une part de l’endettement généralisé aussi du très net tassement économique. Reste à savoir si EDF sur endettée a les reins assez solides pour assumer les risques d’une construction très coûteuse. La Première ministre britannique Theresa May a bien donné jeudi son feu vert à la construction par EDF d’une centrale nucléaire à Hinkley Point, un projet de 18 milliards de livres sterling (21,2 milliards d’euros) financé en partie par des capitaux chinois. Le gouvernement britannique a précisé dans un communiqué que son aval à la construction de deux réacteurs de type EPR dans le sud-ouest de l’Angleterre était assorti de nouvelles conditions qui lui permettent notamment d’intervenir en cas de vente de la participation de contrôle d’EDF. Les autres termes des accords précédemment signés sont inchangés et EDF détiendra comme prévu 66,5% du projet tandis que le chinois CGN investira 6 milliards de livres pour en acquérir 33,5%. « La principale demande du gouvernement britannique était qu’EDF reste actionnaire du projet pendant toute la durée de construction, c’est-à-dire qu’il ne vende pas aux Chinois », a dit source au fait du dossier. « Ensuite, Londres bénéficiera d’un droit de veto, d’une ‘golden share’, en cas de cession pendant la durée d’exploitation. » Le PDG d’EDF Jean-Bernard Lévy a indiqué que le capital d’Hinkley Point pourrait un jour évoluer mais que l’électricien public français en resterait l’actionnaire de contrôle. « Peut-être un jour, mais ce n’est pas l’ordre du jour, il y aura des évolutions (…) Aujourd’hui, nous ne sommes pas à la recherche d’investisseurs tiers sur le sujet », a-t-il dit lors d’une conférence téléphonique. Le gouvernement britannique a pour sa part évoqué une « action spéciale » dans tous les futurs projets nucléaires, qui imposera son aval à des ventes de participations significatives, estimant ainsi que le nouveau cadre garantira la « sécurité nationale » en cas d’investissements étrangers dans des infrastructures. Londres, qui n’a pas mentionné CGN dans son communiqué, a précisé que le nouveau cadre juridique serait confirmé dans un « échange de lettres » avec EDF, qui « se réjouit » pour sa part du feu vert au projet et confirme l’engagement de « son partenaire de longue date » chinois. Reste que le groupe EDF n’a pas encore apaisé toutes les craintes d’une partie de son conseil d’administration et des analystes financiers sur sa capacité à mener un bien un projet dont il devra aussi supporter le poids sur sa dette. L’agence de notation Moody’s a redit jeudi que le projet Hinkley point, du fait de son ampleur et de sa complexité, était de nature à détériorer le profil de risque à la fois commercial et financier d’EDF. EDF estime le taux de rentabilité prévisionnel (TRI) d’Hinkley Point à environ 9% sur l’ensemble de la durée du projet. Reste de que la rentabilité d’un projet aussi considérable peut-être remise en cause,  comme souvent, en cas de dérive des coûts de construction

(Avec Reuters)

Moscou : OK pour élections en Syrie, mais…

Moscou : OK pour  élections en Syrie

Mais à des conditions qui ne sont pour l’instant pas acceptable ni par les occidentaux, ni parler les opposants syriens à Assad. Le texte russe en huit points, élaboré par Moscou en vue de la seconde session de négociations sur la Syrie en fin de semaine à Vienne, n’exclut pas que Bachar al Assad soit candidat à l’élection présidentielle, bien que son départ soit considéré par les pays occidentaux et arabes comme une condition de la paix. « Le président de la Syrie élu par le peuple aura la fonction de commandant en chef des forces armées, le contrôle des services spéciaux et de la politique étrangère », lit-on dans le document de travail. Le texte russe propose que les Syriens s’entendent sur les étapes du processus de réforme constitutionnelle lors d’une conférence organisée par les Nations unies et précise que ce processus ne doit pas être dirigé par Bachar al Assad, mais par une personnalité faisant consensus. A Moscou, le vice-ministre des Affaires étrangères, Mikhaïl Bogdanov, qui s’est entretenu mardi du dossier syrien avec son homologue iranien Hossein Amir-Abdollahian, a nié l’existence d’un tel document de travail, parlant de « simples idées en vue de prochaines discussions », selon l’agence Tass. Des diplomates occidentaux ont déclaré à Reuters qu’il serait difficile pour les pays hostiles au maintien au pouvoir de Bachar al Assad d’accepter les propositions russes en l’état. « Le document ne convient pas à beaucoup de monde », a dit un diplomate, précisant que les pays en désaccord avec la ligne russe feraient en sorte que ces idées ne constituent pas la base des négociations.

Delon : race blanche, OK avec Morano

 

Delon : race blanche, OK avec Morano

 

Le naufrage de la vieillesse se confirme avec cette nouvelle sortie du Philosophe Delon qui approuve les propos de Morano. La pathologie réactionnaire affecte nombre de vieux du showbiz Delon, Bardot, Sardou,  bien d’autres. Malheureusement une maladie difficile à soigner, transmissible parfois  en plus aux plus jeunes, souvent pas les plus évolués. Comme Morano il y a longtemps qu’il a du lire un livre pour confondre race et pigmentation de la peau. A part TV magazine. Pathétique quand la vieillesse rend crétin à ce point. . Dans une interview accordée à TV Magazine, Alain Delon prend la défense de l’eurodéputée concernant ses propos tenus fin septembre sur la France « pays de race blanche ». « Juste une question: le Kenya est un pays de quelle race? Les gens sont noirs. C’est une polémique ridicule, grotesque, qui n’a aucun sens », estime l’acteur qui s’apprête à fêter ses 80 ans.   Pour lui, l’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy « a des c… de tenir comme elle tient et de dire: ‘Je vous emmerde tous, je dis ce que je pense et je continuerai à le dire’. Chapeau! ».  Egalement interrogé sur le Front National, Alain Delon affirme ne pas être proche de ce parti: « Et, si je l’étais, pourquoi n’en aurais-je pas le droit? L’extrême gauche et Mélenchon, c’est valable, mais l’extrême droite, non? », s’interroge-t-il. « Le Front national représente quand même six millions de personnes. C’est six millions de cons? On a le droit de ne pas aimer, mais on doit le respecter. »  L’acteur ne nie pas en revanche sa proximité avec le fondateur du Front national avec qui il est « ami depuis cinquante ans ». les gens ne savent plus où ils en sont, alors pourquoi pas le Front national… » Et oui, c’est ce qu’ont dans les bistrots auusi !

Sarkozy : OK pour une primaire en 2017

Sarkozy : OK pour  une primaire en  2017

 

 

Pour répondre indirectement à Juppé, Sarkozy a été contraint d’accepter le principe des primaires. Restent à savoir dans quelles conditions elles seront organisées, sans doute aux siennes puisqu’il a jugé nécessaire de prendre la direction de l’UMP. Nicolas Sarkozy a en effet accepté jeudi l’organisation d’une primaire à droite pour l’élection présidentielle de 2017 dans son premier meeting depuis son retour en politique, dans lequel il a esquissé les grandes lignes d’un programme de gouvernement. Devant 2.000 personnes réunies dans un gymnase de Lambersart (Nord), près de Lille, et autant à l’extérieur, l’ancien chef de l’Etat, qui a annoncé la semaine dernière sa volonté de briguer la présidence de l’UMP en novembre, est apparu tel qu’en 2012. Il a d’emblée clarifié sa position sur la primaire présidentielle de 2016 que ses rivaux à droite, les anciens Premiers ministre Alain Juppé et François Fillon, le soupçonnaient de vouloir escamoter. « Il y aura des primaires, qui pourrait de bonne foi douter qu’il en fût autrement ? », a-t-il dit, levant l’ambiguïté qu’il avait jusqu’ici savamment entretenue. S’il est élu à la tête de l’UMP, a-t-il ajouté, il s’efforcera de « mettre fin aux querelles, aux disputes dérisoires qui ont ridiculisé notre famille politique ces deux dernières années » grâce à un « grand rassemblement ». « Nous aurons besoin de l’expérience et du talent qui est grand d’Alain Juppé. Nous aurons besoin de François Fillon avec qui j’ai travaillé pendant cinq années en pleine confiance », a-t-il poursuivi en affichant sa règle : « Tu veux une grande place, tu vas travailler beaucoup. » Il a ébauché les grandes lignes de son programme pour redresser l’économie et restaurer le crédit du politique. « Le nombre de fonctionnaires devra être réduit et il nous faudra sans doute accepter pour l’Etat comme pour les collectivités territoriales que les recrutements dans la fonction publique ne soient pas tous soumis à la règle du statut à vie car ce n’est plus adapté aux exigences du monde moderne », a-t-il expliqué à une salle acquise à sa cause.  Pour Nicolas Sarkozy, un chômeur ne pourra plus percevoir d’allocations s’il refuse un travail et l’octroi du RSA devra être conditionné à « l’exercice d’une activité au service de la communauté », un emprunt aux thèses de Laurent Wauquiez. « Nous devons travailler davantage, les Français peuvent l’entendre et peuvent le comprendre », a-t-il poursuivi en estimant que « vacances, jours fériés et RTT » ne pouvaient plus être, comme actuellement, le « but ultime » des Français. Il s’en est pris aux syndicats « qui sont sortis de leur rôle en appelant comme un seul homme à voter pour le candidat socialiste » en 2012 et dénoncé les étrangers qui ne veulent pas « s’adapter » à la société française. L’ancien président a proposé d’utiliser le référendum, citant les exemples de la réduction, selon lui indispensable, du nombre de parlementaires, et de la réforme territoriale. Il s’est en revanche montré prudent sur le mariage homosexuel, une réforme de la gauche qu’une partie de son électorat veut abroger, promettant un débat. « Nous déciderons sereinement des conséquences à tirer de ce triste épisode, j’entends les propositions tranchées des uns et des autres », a-t-il dit. « Je n’ai nullement l’intention de fermer [le débat] avant même qu’il ait été ouvert. »

 

 

Sarko : OK pour une primaire à l’UMP

Sarko : OK pour une primaire à l’UMP

Nicolas Sarkozy devait s’imposer naturellement comme l’unique candidat. Sauf que le message n’a pas pris. Ni politiquement, ni médiatiquement. Alors les sarkozystes ajustent leur communication. Brice Hortefeux, celui qui ne parle jamais sans l’aval de Nicolas Sarkozy, l’expliquait début juin au Monde :  » Une primaire est utile lorsqu’il y a incertitude. Elle devient inutile lorsqu’un choix s’impose naturellement car elle encourage des combats stériles. » Sous-entendu : Nicolas Sarkozy n’est pas de ce niveau-là. Ultra-sarkozyste et co-fondateur de la Droite forte, Geoffroy Didier, quelques jours plus tôt, était sur la même longueur d’onde : « Tout exercice démocratique est salutaire mais si Nicolas Sarkozy décidait librement de revenir à la politique à l’occasion du Congrès UMP, il s’imposerait naturellement comme le prochain candidat à la présidentielle. Les primaires sont saines par principe mais elles peuvent devenir superflues du fait des circonstances politiques. » Mais leur message n’a pas entraîné une vague de soutien parmi les cadres de l’UMP. Au contraire, Bruno Le Maire s’est lancé dans une campagne pour la présidence du parti. Même le très sarkozyste Christian Estrosi s’est déclaré candidat pour la primaire de 2016, sauf si son ami se présente. Roger Karoutchi, proche de l’ancien chef d’Etat et fervent partisan de la primaire, n’a pas changé d’avis. Les « prises de guerre » de Nicolas Sarkozy comme François Baroin ou Gérald Darmanin continuent de rouler pour leur champion, François Fillon et Xavier Bertrand. Du coup, le message a changé. Invité de RTL dimanche, Brice Hortefeux a dit ne pas être « opposé au principe » d’une primaire. « J’ai souvent exprimé des réserves » mais « jamais d’hostilité ». « Si cela permet d’aider à ce qu’il y ait une candidature » unique « de l’opposition, je pense qu’il ne faut rien écarter », a-t-il déclaré. Il y a trois jours, au Talk du Figaro, Geoffroy Didier assurait que la primaire devait « avoir lieu ». En privé, d’autres sarkozyste encore assurent que leur patron devra passer par cette étape, devenue obligatoire. Reste à convaincre Nicolas Sarkozy lui-même.

 




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