Archive pour le Tag 'officiellement'

Attal officiellement patron des députés Renaissance

 Attal officiellement patron  des députés Renaissance

Gabriel Attal a officiellement été élu patron des députés renaissance. Une vraie victoire politique pour le premier ministre et contre l’avis du président qui préférait une direction collégiale tirant sur la droite pour séduire les députés ex- républicains. C’est aussi une défaite de Darmanin  qui avait aussi pour ambition de s’appuyer sur la présidence des députés renaissance dans la perspective de 2027. C’est surtout le divorce complet entre Macron et Attal.
Macon qui a piqué une grosse colère en reprochant à Attal de poursuivre des intérêts personnels alors que lui-même avait poignardé Hollande de la même manière. Comme l’indique l’ancien responsable de députés en marche Gilles Legendre : la macronie, c ‘est bien fini

Seul candidat en lice pour présider le groupe, le premier ministre a été élu par 84 voix sur les 98 députés inscrits du parti Renaissance.

Gabriel Attal a obtenu 84 voix sur les 98 députés inscrits à ce scrutin interne. 7 ont voté blanc et 7 autres se sont abstenus.

Finlande: officiellement membre de l’OTAN

Finlande: officiellement membre de l’OTAN

« La zone d’influence russe se réduit très fortement », explique Cyril Coulet, chercheur spécialiste des pays nordiques, mardi 4 avril sur franceinfo, alors que la Finlande est devenue le 31e membre de l’Otan, après trois décennies de non-alignement militaire. De son côté, Moscou dénonce une « atteinte » à sa sécurité et a promis des « contre-mesures ».

Ce n’est pas rien cette arrivée de la Finlande, jusqu’ici la Russie avait peu de frontières avec des pays membres de l’Otan…

Cyril Coulet. Pendant la Guerre froide, on avait un petit bout du territoire norvégien et la frontière avec la Turquie. Là, la Finlande ajoute plus de 1 300 kilomètres de frontière commune entre l’Otan et la Russie. Par ailleurs, elle vient quasiment fermer l’espace de la mer Baltique, ce qui n’est pas non plus un enjeu mineur pour la Russie. La zone d’influence russe se réduit très fortement. L’enclave de Kaliningrad se retrouve encore plus isolée et les pays Baltes se retrouvent confortés dans leur situation stratégique par rapport à la Russie. Donc il y a un basculement qui n’est pas neutre pour la Russie, puisqu’elle voit son influence dans la région du Nord et ses possibilités d’action se réduire.

Le fait qu’il n’y ait pas de « zone tampon » entre les pays de l’Otan et la Russie constitue-t-il un risque pour la communauté internationale ?

La Russie a démontré, en proposant le statut de « neutralité » à l’Ukraine en février 2022, juste avant son invasion, que le statut de neutralité n’offrait pas forcément de garantie de sécurité. Ni d’un point de vue individuel, pour le pays qui en est porteur, ni forcément d’un point de vue collectif, puisque cela ne conduit, en définitive, qu’à avoir une zone de non-présence, de non-stationnement de forces militaires et d’absence d’engagement à un moment où on voit que la sécurité collective portée par l’ONU est fortement remise en question.

Existe-t-il une meilleure garantie de sécurité lorsqu’on appartient à l’Otan ?

Ces garanties de sécurité existaient déjà au sein de l’Union européenne. Néanmoins, la garantie apportée par les États-Unis, notamment le parapluie nucléaire américain, semble offrir quelques garanties supplémentaires par rapport au simple parapluie nucléaire que la France aurait pu offrir à ses partenaires de l’Union européenne.

Symboliquement, cette entrée de la Finlande dans l’Otan est aussi très forte parce que, depuis la création de l’URSS, ces deux pays, la Finlande et la Russie, n’ont jamais eu des relations très cordiales…

La Finlande a une histoire très compliquée avec la Russie puisqu’elle a été détachée de la Suède pour être rattachée de force à la Russie après les guerres napoléoniennes. Elle a essayé de s’en détacher en 1917, au prix d’une guerre civile qui a été sanglante. Ce n’est que depuis la fin de la Guerre froide que la Finlande cherche à tout prix à s’ancrer à l’Ouest, en étant l’élève modèle de l’Union européenne. La guerre en Ukraine lui a offert l’opportunité de pouvoir rejoindre l’Alliance atlantique, qui était sans doute l’objectif de la diplomatie finlandaise ses trente dernières années. La Finlande a toujours vécu dans la menace russe, donc ce n’est pas un argument susceptible de venir impressionner les Finlandais d’une part. D’autre part, aujourd’hui, la menace russe est difficile à mettre à exécution puisque toutes les forces sont concentrées sur l’Ukraine. On n’imagine pas, à court ou moyen terme, la Russie être en capacité de mobiliser de nouvelles forces pour pouvoir les stationner auprès de la frontière finlandaise.

Covid Chine: « officiellement » au moins 60.000 morts en un mois

Covid Chine: « officiellement »  au moins 60.000 morts en un mois

 

La Chine annonce . «Un total de 59.938 morts a été recensé entre le 8 décembre 2022 et le 12 janvier 2023», a indiqué devant la presse une responsable des autorités sanitaires. En fait , le bilan pourrait être presque  10 fois plus important. Ce bilan ne tient pas compte des décès enregistrés en dehors des structures médicales qui sont complètement débordées .

Début décembre, après trois années de restrictions sanitaires parmi les plus draconiennes au monde, la Chine a brutalement levé l’essentiel de ses mesures contre le Covid, déclenchant ainsi une importante vague épidémique, mettant à mal le système de santé chinois. Pourtant, alors que les files d’attente s’allongent devant les funérariums, notamment celui de la capitale, les autorités chinoises tentent de minimiser le nombre de morts. Selon la société britannique d’analyse médicale, Airfinity, la Chine enregistrerait en réalité 20.000 décès par jour.

Il devrait atteindre 25.000 à 30 000 morts  quotidiens fin janvier, après le passage du pic épidémique, estimé le 13 janvier.

Pékin a revu en décembre sa méthodologie pour la comptabilité des morts du Covid. Seules les personnes décédées directement d’une insuffisance respiratoire liée au coronavirus sont désormais intégrées dans les statistiques. Ce changement de méthodologie controversé signifie qu’un grand nombre de décès ne sont plus répertoriés comme étant dus au Covid.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a critiqué la semaine dernière cette nouvelle définition chinoise d’un mort du Covid, la jugeant «trop étroite».

L’enjeu n’est pas seulement statistique ou médical mais politique car le président commence à être sérieusement mi en cause.

 

Taïwan : Mélenchon félicité officiellement par la dictature chinoise !

Taïwan : Mélenchon félicité officiellement par la dictature chinoise  !

 

Une nouvelle fois Jean-Luc Mélenchon s’est rangé du côté des dictateurs avec l’affaire de Taiwan puisqu’il a soutenu la position de la Chine. Cette posture de soutien aux dictatures est constante chez Mélenchon, elle vaut pour la Chine mais aussi pour Poutine , les dictatures et autres autocraties d’Amérique du Sud.

Une position qui a quand même du mal à être avalée par les autres sensibilités de la NUPES notamment les écologistes et les socialistes

Le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, s’est rapidement démarqué de ses alliés au sein de la Nupes. Tout en critiquant l’initiative de Nancy Pelosi, qu’il a qualifiée de « discutable » sur Twitter, il a relevé que « la volonté des Taïwanais de vivre en démocratie ne l’est pas ».

La critique a été plus vive encore du côté de Julien Bayou : « Mélenchon parlait de “provocation” quand l’Ukraine démocrate se défendait au Donbass face à la Russie autoritaire. Et parle de “provocation” de Taïwan quand… ce pays agit librement face à la Chine. Un pays démocrate, c’est forcément une “provocation” pour une dictature », a considéré, lui aussi sur Twitter, le secrétaire national d’Europe Ecologie-Les Verts (EELV).

Dans la foulée, le parti a dénoncé les manœuvres militaires de la Chine à Taïwan. « EELV condamne l’intimidation militaire de la Chine et appelle à la désescalade. Nous apportons notre soutien au peuple taïwanais, à la démocratie taïwanaise », est-il écrit dans un communiqué.

  Yannick Jadot, l’ancien candidat du parti à l’Elysée, a ajouté sa voix au concert des critiques écologistes, en assurant sur Twitter, sans citer son ancien rival, que « le nationalisme chinois est un outil de propagande pour justifier la barbarie ». A ses yeux, « une seule Chine », c’est d’abord « une seule dictature ».

 

Taïwan : Mélenchon remercié officiellement par la dictature chinoise !

Taïwan : Mélenchon remercié officiellement par la dictature chinoise  !

 

Une nouvelle fois Jean-Luc Mélenchon s’est rangé du côté des dictateurs avec l’affaire de Taiwan puisqu’il a soutenu la position de la Chine. Cette posture de soutien aux dictatures est constante chez Mélenchon, elle vaut pour la Chine mais aussi pour Poutine , les dictatures et autres autocraties d’Amérique du Sud.

Une position qui a quand même du mal à être avalée par les autres sensibilités de la NUPES notamment les écologistes et les socialistes

Le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, s’est rapidement démarqué de ses alliés au sein de la Nupes. Tout en critiquant l’initiative de Nancy Pelosi, qu’il a qualifiée de « discutable » sur Twitter, il a relevé que « la volonté des Taïwanais de vivre en démocratie ne l’est pas ».

La critique a été plus vive encore du côté de Julien Bayou : « Mélenchon parlait de “provocation” quand l’Ukraine démocrate se défendait au Donbass face à la Russie autoritaire. Et parle de “provocation” de Taïwan quand… ce pays agit librement face à la Chine. Un pays démocrate, c’est forcément une “provocation” pour une dictature », a considéré, lui aussi sur Twitter, le secrétaire national d’Europe Ecologie-Les Verts (EELV).

Dans la foulée, le parti a dénoncé les manœuvres militaires de la Chine à Taïwan. « EELV condamne l’intimidation militaire de la Chine et appelle à la désescalade. Nous apportons notre soutien au peuple taïwanais, à la démocratie taïwanaise », est-il écrit dans un communiqué.

  Yannick Jadot, l’ancien candidat du parti à l’Elysée, a ajouté sa voix au concert des critiques écologistes, en assurant sur Twitter, sans citer son ancien rival, que « le nationalisme chinois est un outil de propagande pour justifier la barbarie ». A ses yeux, « une seule Chine », c’est d’abord « une seule dictature ».

 

Ukraine et Moldavie officiellement candidats à l’Union européenne

Ukraine et Moldavie officiellement candidats à l’Union européenne

 

Une décision sans doute davantage politique qu’économique. Les dirigeants des Vingt-Sept ont reconnu jeudi à l’Ukraine et à la Moldavie le statut de candidat à l’Union européenne, a annoncé le président du Conseil européen Charles Michel, évoquant un « moment historique », en pleine offensive russe.

Cette décision très attendue par Kiev, prise lors d’un sommet des chefs d’Etat et de gouvernement des pays de l’UE à Bruxelles, marque le début d’un processus long et complexe en vue d’une adhésion.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a salué dans la foulée « un moment unique et historique » après l’attribution à l’Ukraine du statut officiel de candidat à l’Union européenne par les Vingt-Sept, une décision attendue par Kiev en pleine invasion russe.

Manif anti-passe : participation en hausse avec officiellement avec plus de 237.000 participants

Manif anti-passe : participation en hausse avec officiellement avec plus de  237.000 participants 

237.000 personnes se sont rassemblées à travers la France, dont 17.000 à Paris, soit la plus forte mobilisation jusqu’à présent, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur. C’est 33.000 de plus que le 31 juillet, où au moins 204.000 personnes s’étaient rassemblées dont 14.000 à Paris, d’après l’Intérieur.a défilé: des anti comme des pro-vaccins, des gilets jaunes, des adeptes de la mouvance complotiste, des sympathisants d’extrême droite et d’extrême gauche mais aussi différentes professions comme des pompiers et des soignants étaient présents.

L’affluence était particulièrement forte dans les rassemblements organisés dans le Sud-Est, où au moins 47.000 personnes, selon la police, ont défilé. Ils étaient 19.000 à Toulon, près de 10.000 à Nice, 8000 à Montpellier, au moins 6000 à Marseille, selon les premiers chiffres de la police et des préfectures.

Covid : le gouvernement annonce officiellement une quatrième vague

Covid : le gouvernement annonce officiellement une quatrième vague

Le taux de contamination ayant plus que doublé en une semaine, le gouvernement par la voix son porte-parole a reconnu que la France était entrée officiellement dans une quatrième vague sanitaire.

De la même façon,  le variant Delta fait une percée spectaculaire et représente maintenant 80 % des cas. «Nous sommes entrés dans une quatrième vague du virus», a lancé le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal au sortir du Conseil des ministres, ce lundi 19 juillet, expliquant que «la dynamique de l’épidémie est extrêmement forte, avec une vague plus rapide et une pente plus raide que toutes les précédentes».

En une semaine, le taux d’incidence a augmenté «de près de 125%» a-t-il annoncé, tout en révélant que le variant Delta représentait, selon les derniers criblages, 80% des contaminations en France.

Présidentielle 2022 : officiellement candidat, Xavier Bertrand refuse toute primaire

Présidentielle 2022 : officiellement candidat, Xavier Bertrand refuse toute primaire

 

Il est clair que Xavier Bertrand a une carte à jouer face à des républicains complètement écartelés entre d’une part l’envie de désigner un candidat, d’autre part de se rallier à Macron en 2022. Xavier Bertrand dispose déjà d’un potentiel de voix respectable. Il vient de déclarer sa candidature ce qui coupe un peu les pieds à son ancien parti les républicains.

Xavier Bertrand est crédité de 14 à 16% des intentions de vote, selon un sondage Ipsos-Sopra Steria pour Franceinfo et L’Obs. Le président de la région Hauts-de-France arrive en troisième position, derrière Emmanuel Macron et Marine Le Pen qui arrivent largement en tête avec environ 25% des intentions de vote.

Le président de la région Hauts-de-France souffre d’un déficit de notoriété au niveau national : 33% des sondés affirment ne pas le connaître suffisamment pour dire s’il ferait ou non un bon chef d’Etat. Mais il reste tout de même la troisième personnalité la plus présidentiable parmi  celles testées dans le sondage. 29% des personnes interrogées estiment qu’il ferait un bon président de la République mais 38% estiment le contraire. En ce qui concerne Emmanuel Macron, ils sont 38% à affirmer qu’il ferait un bon président, 56% affirment le contraire. Pour ce qui est de Marine Le Pen, 30% des sondés pensent qu’elle serait une bonne présidente, 62% estiment qu’elle serait une mauvaise présidente.

Ce sondage a été réalisé par Ipsos-Sopra Steria, via internet, entre les 27 et 28 janvier 2021 et sur un échantillon de 1000 personnes inscrites sur les listes électorales et constituant un échantillon national représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

 

Dans une longue interview au Point, cette semaine, Xavier Bertrand se déclare officiellement «candidat» à la présidentielle. «Oui je serai candidat. Je suis totalement déterminé. Dans la situation actuelle de la France, j’estime que c’est mon devoir», répond-il en déroulant son projet et sa vision. Si le calendrier peut surprendre, «il est temps, juge un de ses proches, que la politique reprenne ses droits».

Comme il l’avait déjà laissé entendre par le passé, Xavier Bertrand indique clairement qu’il ne participera pas à une primaire organisée par LR car ne «souhaite plus (s)’inscrire dans la logique d’un seul parti».

 

Pour le candidat à la présidentielle, Emmanuel Macron n’a «jamais pris la mesure de ce qu’il arrive» ni de la «France Orange Mécanique» qui s’installe. Un concept que Xavier Bertrand avait déjà utilisé dans Le Figaro dès août 2020 pour expliquer que la sécurité serait, à ses yeux, la grande faillite du quinquennat d’Emmanuel Macron. Dans Le Point, Xavier Bertrand entend durcir la loi en matière de terrorisme pour porter la période de sûreté à 50 ans, plaider pour l’instauration de peines minimales automatiques en cas de condamnation, prôner la révocation du sursis en cas de récidive ou encore demander l’abaissement de la majorité pénale à 15 ans.

 

 

Surtout, pour le candidat à la présidentielle, «l’identité de la France n’est pas négociable». «Je veux que nous soyons fiers d’être Français, de notre histoire, de nos valeurs. Nous devons l’affirmer haut et fort parce que nous avons de bonnes raisons d’être fiers. À ceux qui dénoncent notre modèle, je dis ça suffit !», poursuit-il dans Le Point en s’engageant à «défendre les valeurs de la France». Raison pour laquelle «tout étranger condamné à une peine de prison ferme doit être expulsé automatiquement, aussitôt après l’avoir purgée», précise-t-il.

, Xavier Bertrand entend défendre «l’ordre et la justice». Et face à Emmanuel Macron et Marine Le Pen, le candidat à la présidentielle rappelle ses racines populaires. « Je viens du peuple». «Je n’oublie pas d’où je viens. Agent d’assurances à Flavy-le-Martel, ce n’est pas la même chose que banquier d’affaires à Paris ou héritière !», décrit-il.

Joe Biden officiellement et largement élu

Joe Biden officiellement et largement élu

Biden obtient 306 voix contre 232 pour Trump, et dépasse son adversaire de 7 millions de voix à l’échelle nationale.

 Alors qu’il s’était jusqu’à présent abstenu de polémiquer avec Donald Trump, qui conteste depuis six semaines le résultat de l’élection, Joe Biden a cette fois clairement mis en cause l’attitude du président sortant. Rappelant que Trump avait pu déposer «toutes les plaintes qu’il avait voulu», il a insisté sur le fait qu’«aucune n’avait été reçue». Biden a ajouté qu’il avait remporté la victoire avec la même marge que Trump en 2016, que ce dernier avait qualifiée de «raz-de-marée».

Cependant Trump n’a toujours pas donné signe de son intention de reconnaître sa défaite, même si ses options se réduisent. Alors que la date du 14 décembre avait été mentionnée par l’entourage du président comme la seule élection «officielle», l’un des proches conseillers de la Maison Blanche, Stephen Miller, a suggéré que les contestations pourraient se poursuivre jusqu’à la date de l’investiture. «La seule date mentionnée dans la constitution est le 20 janvier», a-t-il dit dans un entretien à la chaîne Fox News. «Nous avons donc largement le temps pour corriger les erreurs de ce résultat électoral frauduleux et certifier Donald Trump comme le vainqueur de l’élection.»

Politique: Mélenchon officiellement candidat avec 150 000 soutiens bidons

Politique:   Mélenchon officiellement candidat avec 150 000 soutiens bidons

 

La déclaration de candidature de Jean-Luc Mélenchon n’aura guère occupé l’espace médiatique dans la mesure où elle est assez anecdotique. Tout le monde sait depuis longtemps que Mélenchon veut se présenter. D’une certaine manière, il se veut rassembleur mais uniquement sur sa candidature. Une posture hégémonique évidemment mal appréciée par les écolos et autres candidats de gauche. L’intéressé avait mis une fausse condition à la confirmation de sa candidature en exigeant 150 000 soutiens. En fait des soutiens bidons puisque l’intéressé a déjà 2 millions de followers et qu’il suffisait pour être considéré comme soutien d’adresser son adresse mail sans dévoiler son identité !

Une véritable mascarade qui ne grandit pas l’intéressé qui aurait dû exiger au moins 1,5 millions de soutiens et non 150 000 .  En outre une candidature bien mal placée dans le calendrier des préoccupations des Français. Ces derniers s’intéressent en effet très peu à cette perspective électorale pour l’instant. Les principaux sujets d’interrogation concernent en effet la situation sanitaire, la situation de l’emploi et le terrorisme. Autant de sujets qui n’ont pas été traités par Mélenchon qui s’est surtout appesanti sur son nombril.

 

Jean-Luc Mélenchon officiellement candidat avec 150 000 soutiens bidons

Jean-Luc Mélenchon officiellement candidat avec 150 000 soutiens bidons

 

La déclaration de candidature de Jean-Luc Mélenchon n’aura guère occupé l’espace médiatique dans la mesure où elle est assez anecdotique. Tout le monde sait depuis longtemps que Mélenchon veut se présenter. D’une certaine manière, il se veut rassembleur mais uniquement sur sa candidature. Une posture hégémonique évidemment mal appréciée par les écolos et autres candidats de gauche. L’intéressé avait mis une fausse condition à la confirmation de sa candidature en exigeant 150 000 soutiens. En fait des soutiens bidons puisque l’intéressé a déjà 2 millions de followers et qu’il suffisait pour être considéré comme soutien d’adresser son adresse mail sans dévoiler son identité !

Une véritable mascarade qui ne grandit pas l’intéressé qui aurait dû exiger au moins 1,5 millions de soutiens et non 150 000 .  En outre une candidature bien mal placée dans le calendrier des préoccupations des Français. Ces derniers s’intéressent en effet très peu à cette perspective électorale pour l’instant. Les principaux sujets d’interrogation concernent en effet la situation sanitaire, la situation de l’emploi et le terrorisme. Autant de sujets qui n’ont pas été traités par Mélenchon qui s’est surtout appesanti sur son nombril.

 

Croissance Japon: le pays officiellement en récession

Croissance Japon: le pays officiellement en récession

 

Si le pays a relativement bien géré la crise sanitaire par compte, l’économie, elle, subit les conséquences des très graves perturbations chinoises. L’économie japonaise est entrée en récession, avec un deuxième trimestre de contraction d’affilée du produit intérieur brut entre janvier et mars, alors que la crise du coronavirus commençait à frapper, selon des données publiées lundi par le gouvernement.

Le PIB a reculé de 0,9% au premier trimestre 2020 par rapport au quatrième trimestre 2019, où il s’était déjà contracté de 1,9% (contre -1,8% annoncé lors d’une précédente estimation début mars).

Réforme des retraites : bientôt enterrée officiellement

 

Englué dans l’impopularité bien avant la crise sanitaire, le gouvernement envisage d’enterrer officiellement sa grande réforme concernant les retraites. Le problème est moins technique que politique. La majorité n’a jamais réussi à persuader l’opinion publique de la pertinence de sa réforme. En outre, son impopularité est récurrente. Même le Coron virus n’a pas donné l’occasion au gouvernement et à macr en particulier de remonter dans les sondages d’opinion. Avec Corona virus , le gouvernement se heurte au même problème qu’avant la crise sanitaire : il n’est pas cru.

Du coup la déclaration de Gilles Legendre président du groupe la république en marche sonne comme un aveu:   »"la réforme des retraites a montré à quel point notre démocratie sociale est épuisée ». « Entre deux réformes utiles, il faudra toujours choisir celle qui rassemble les Français. Si elle empêche le pacte républicain de se conclure, la réforme des retraites devra être mise de côté », affirme-t-il. En fait ce sont les principales réformes que le pouvoir devrait abandonner tellement son impopularité est grande et tellement même à l’occasion d’une crise sanitaire qui devrait favoriser l’unité nationale il se trouve toujours autant marginalisé dans l’opinion.

Pour le numéro un des députés de la majorité, il faut « une réinvention de nos modèles, français, européens, mondiaux, mais résister aux vieilles lunes, comme l’acte de décès de la mondialisation », prévient-il. Autant dire que Gilles Legendre propose de jeter aux orties la stratégie conduite jusqu’à là.

Il estime que l’après-crise sanitaire « pourrait s’inscrire dans un nouveau ‘pacte républicain’ », qui « reposerait sur trois piliers : le redémarrage de l’économie, de nouvelles solidarités et protections, et la transition écologique ».

« L’urgence juge-t-il, ce sera la réparation, mais elle s’accompagnera d’une refondation radicale: nous devrons revoir nos équilibres politiques pour rassembler les Français et aussi changer notre manière d’associer ces derniers à l’action publique ». « L’hôpital – c’est acté – bénéficiera d’un plan d’investissement massif. Mais ce n’est pas qu’affaire d’argent. Nous devons poursuivre la réforme déjà engagée de notre système de santé », ajoute-t-il, souhaitant aussi ne pas abandonner la « loi sur la dépendance », qui « illustrerait parfaitement les nouvelles solidarités ».

Burkina : Compaoré officiellement accusé du meurtre de Sankara

Burkina : Compaoré officiellement accusé du meurtre de Sankara

 

Ce que tout le monde ou presque savait au Burkina a pris une tournure officielle  avec la mise en accusation de Compaoré pour le meurtre de l’ancien président Sankara alors considéré comme le Che africain. L’heure est aux règlements de comptes car Compaoré  à bénéficier d’une grande bienveillance en Afrique durant les 27 ans qu’il a occupés pouvoir. Il a même été considéré comme un sage notamment dans le conflit ivoirien. Le Burkina Faso a émis un mandat d’arrêt international à l’encontre du dirigeant déchu, Blaise Compaoré, pour l’assassinat de l’ancien président Thomas Sankara il y a près de 30 ans, ont annoncé lundi à Reuters des sources judiciaires. Le problème c’est que cette affaire risque de diviser encore davantage une population déjà très éclatée et qui se trouve de plus en plus sous la menace de dèche. Et ce n’est pas la présence de la force française arcane rassure, elle est même de plus en plus contestée.

L’assassinat du dirigeant populaire en 1987 est l’un des assassins les plus infâmes de la période agitée qui a suivi l’indépendance de l’Afrique, et le gouvernement intérimaire du Burkina Faso s’est engagé à le résoudre.

Un corps soupçonné d’être celui de Sankara a été exhumé plus tôt cette année et une autopsie a révélé qu’il était criblé de balles, renforçant ainsi les affirmations selon lesquelles il aurait été exécuté lors du coup d’État de 1987 qui avait porté Compaoré au pouvoir.

Compaoré lui-même a été chassé du pouvoir en octobre dernier par une foule s’opposant à sa tentative de changer la constitution du pays d’Afrique de l’Ouest et de prolonger son règne de 27 ans. Il s’est enfui en Côte d’Ivoire voisine, où il serait maintenant basé.

« Je confirme qu’un mandat d’arrêt international a été émis par le juge d’instruction contre (l’ex) président Blaise Compaoré », a déclaré à Reuters Prosper Farama, avocat de la famille de Sankara. Il a déclaré que les accusations étaient entre autres du meurtre et de la complicité d’assassinat.

Deux autres sources judiciaires qui ont requis l’anonymat ont confirmé le mandat, qui aurait été émis le 4 décembre. Un porte-parole du gouvernement burkinabé n’était pas disponible pour commenter.

Bruno Kone, porte-parole du gouvernement ivoirien, a déclaré: «Le gouvernement n’a pas été averti. Nous n’avons rien d’officiel et aucun commentaire à faire.  »

Les accusations contre Compaoré constituent une étape majeure dans cette affaire, les autorités par intérim se préparant à passer le pouvoir à l’ancien Premier ministre Roch Marc Kabore, vainqueur de l’élection présidentielle de novembre.

Sankara a pris le pouvoir lors d’un coup d’État en 1983 et a poursuivi une philosophie du marxisme et du panafricanisme qui l’a conduit à s’appeler «Che Guevara en Afrique». De nombreux intellectuels africains le considèrent comme un visionnaire.

Au moins 10 autres personnes ont déjà été accusées de meurtre. Parmi eux, le général Gilbert Diendere, qui a dirigé un coup d’Etat manqué en septembre.

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