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Automobile: le marché replonge en octobre

Automobile: le marché replonge en octobre

 

Il y aura peut-être une petite croissance du marché autos en 2014 mais ce n’est pas certain avec cette rechute d’octobre. En cause évidemment la prudence des ménages qui majoritairement préfèrent décaler dans le temps leurs achats d’équipements (et attendent de meilleurs prix), aussi la pluie d’impôts et   de dépenses contraintes depuis septembre. A noter une meilleure résistance des marques française grâce surtout aux nouveaux modèles. Le marché automobile français a rechuté en octobre, les ventes de voitures neuves se repliant de 3,8% et décevant les espoirs d’un effet « Mondial de l’automobile« , selon les statistiques publiées lundi 3 novembre par le comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA).  Les groupes automobiles français limitent les dégâts, puisque les ventes de PSA Peugeot-Citroën se sont contractées de 2,2%, tandis que celles de Renault n’ont baissé que de 0,4% grâce à Dacia qui reste dans le vert, a précisé le comité (Renault -2,1%, Dacia +6,8%). Au total, 160.162 voitures particulières neuves ont été immatriculées en octobre 2014, contre 166.495 en octobre 2013 sur le même nombre de jours ouvrables. Sur les dix premiers mois de l’année, la croissance du marché français reste toutefois positive par rapport à la même période de 2013: +1,4%, selon le CCFA.  Les marques étrangères accusent globalement un recul de 6,5%. En septembre, avec 151.101 immatriculations, le marché automobile français était pourtant en hausse de 6,3% et de 1,5% à nombre de jours ouvrables comparables par rapport à septembre 2013.

Petites retraites : pas d’augmentation au 1er octobre

Petites retraites : pas d’augmentation au 1er octobre

 

La non revalorisation de petites retraites étaient parait-il dues à des motifs techniques maintenant elle este justifiées par des raiosn économiques ! En effet Les pensions de retraite inférieures à 1.200 euros ne seront pas revalorisées au 1er octobre en raison de « la très faible inflation », annonce vendredi le ministère des Affaires sociales. « Le mécanisme de revalorisation, appliqué comme prévu, conduit (…) mécaniquement à une stabilité des pensions inférieures à 1.200 euros (+0,5% d’une part, -0.5% d’autre part) », précise le ministère dans un communiqué. Les retraités au « minimum vieillesse » bénéficieront en revanche « d’un coup de pouce en octobre prochain ». Le minimum vieillesse est actuellement fixé à 792 euros par mois. Le gouvernement avait annoncé en avril dernier le gel des retraites jusqu’en octobre 2015, dans le cadre de son plan de 50 milliards d’économies. Le Premier ministre, Manuel Valls, s’était engagé par la suite à épargner les retraités touchant moins de 1.200 euros sous la pression des députés de la majorité. La CFDT déclare dans un communiqué déplorer cette non revalorisation et réclame « un geste significatif en direction des retraités les plus modestes ». « Ce n’est pas un recul », a assuré la ministre des Affaires sociales, Marisol Touraine, sur RTL. « Qu’est-ce qui s’est passé? Il n’y a pas beaucoup d’inflation et donc les règles que nous appliquons chaque année de la même manière pour revaloriser les retraites aboutissent à ce que cette revalorisation soit égale à 0″, a-t-elle expliqué. « C’est cela qui est en train de se passer, le gouvernement n’est pas revenu en arrière », a-t-elle souligné.

 

Croissance France : baisse de la production industrielle en octobre

Croissance France : baisse de la production industrielle en octobre

La production industrielle de la France s’est contractée de 0,3% en octobre après un recul révisé à 0,3% en septembre, selon des données publiées mardi par l’Insee. L’indice de la production de l’industrie manufacturière a dans le même temps augmenté de 0,4% après une baisse révisée à 0,5% en septembre. Dix-sept économistes interrogés par Reuters attendaient en moyenne une production industrielle d’octobre en hausse de 0,1%, leurs prévisions s’échelonnant entre -0,3% et +0,8%. Les données du mois de septembre avaient auparavant été annoncées à -0,5% pour la production industrielle et -0,7% pour la production manufacturière. Sur trois mois, la production a été stable dans l’industrie manufacturière et a reculé de 0,6% dans l’ensemble de l’industrie. La production a augmenté sur cette période de 2,6% dans les matériels de transport. Elle a baissé dans les autres produits industriels (-0,2%) et dans les équipements électriques, électroniques, informatiques, machines (-0,2%). La production a reculé fortement dans la cokéfaction et raffinage (-14,3%). L’Insee ajoute que la production manufacturière des trois derniers mois est inférieure au niveau des mêmes trois derniers mois de l’année précédente (-1,1%). Sur le seul mois d’octobre, la production a diminué de 3,4% dans les « industries extractives, énergie, eau » et augmenté de 0,5% dans les « autres produits industriels ». L’Insee souligne que l’augmentation est plus accentuée dans les « équipements électriques, électroniques, informatiques, machines » (+1,2%) et dans les « matériels de transport » (+1,0%), tandis qu’elle a diminué de 12,5% dans la cokéfaction et le raffinage.

Chômage : augmentation en octobre

Chômage : augmentation  en octobre

Avec les mêmes chiffres, les titres varient: augmentation ou diminution ! En fait globalement le chômage augmente de 0.8% en octobre mais le gouvernement va centrer sa com.sur  la seule catégorie A. François Hollande aura finalement bien fait de jeter le trouble sur l’inversion de la courbe du chômage ce jeudi matin. Le président de la République avait dit qu’il prendrait « tout le temps nécessaire«  pour arriver à cette inversion. Les chiffres du mois d’octobre lui donnent finalement vite raison : -0,6% demandeurs d’emplois de catégorie A par rapport à septembre. C’est la première fois que le taux baisse depuis avril 2011 (à part le bug SFR d’août). « L’inversion de la courbe du chômage se dessine » (ministère du Travail) Le nombre de demandeurs d’emplois en catégorie A s’établit en octobre à 3.275.000 en France. C’est 0,6% de moins par rapport à septembre, soit -20.500 personnes. En septembre, il avait augmenté de 1,9% et 6% sur un an. Si le chômage baisse dans la catégorie de référence, la catégorie A, c’est que le chômage des jeunes baisse, comme le souligne le communiqué du ministère du Travail : -2,3% au mois d’octobre, -4.5% au total depuis avril, « le signe de l’amélioration du marché du travail, et le résultat de la politique déterminée du gouvernement en faveur de l’emploi des jeunes« .  Depuis le mois d’avril, 25.000 jeunes ont retrouvé un emploi, notamment grâce aux emplois aidés, financés par l’Etat. 85.000 emplois d’avenir ont par exemple été crées. Ils s’adressent aux moins de 25 ans très peu qualifiés. Les chiffres d’octobre concernant les chômeurs qui travaillent un peu sont en revanche inquiétants. Les demandeurs d’emplois de la catégorie B sont 1.607.800, soit 3,7% de plus qu’en septembre (+8,7% sur un an), et ceux de la catégorie C augmentent de 4,0% (+8,5% sur un an). Si on prend l’ensemble des catégories A, B et C, le nombre de chômeurs augmente de 0,8% en octobre.

Consommation : nouvelle baisse

Consommation : nouvelle baisse

La baisse de la consommation en octobre augure mal de la croissance pour le quatrième trimestre, la récession est toute proche. La consommation des ménages français en biens a reculé de 0,2% en volume en octobre par rapport au mois précédent après être restée stable en septembre (+0,1% en première estimation), selon les données publiées vendredi par l’Insee. Treize économistes interrogés par Reuters attendaient en moyenne un recul de 0,1% le mois dernier, leurs prévisions s’échelonnant entre -0,8% et +0,2%. En octobre, la hausse des achats en biens durables ne compense pas le fort recul des dépenses en tabac, précise l’Insee dans un communiqué. Après une baisse en septembre (-0,4%), les dépenses en biens durables rebondissent en octobre (+0,5%). La hausse des dépenses en automobiles (+0,7%, après -1,9%) n’est pas compensée par le repli des achats en équipement du logement (-0,4%, après +1,5%). Après deux mois consécutifs de baisse (-0,1% en août et en septembre), la consommation en produits alimentaires continue de reculer en octobre (-0,6 %). Cette baisse résulte principalement d’une chute des dépenses en tabac, liée à une hausse des prix à compter du 1er octobre 2012, relève l’Insee.  La consommation de textile-cuir augmente en octobre (+0,5%, après une stabilité en septembre). Après une légère hausse en septembre (+0,1 %), la consommation des ménages en énergie se replie en octobre (-0,5%).

 

Accélération du chômage en octobre, +500 000 attendus en 2013

Accélération du chômage en octobre, +500 000 attendus en 2013

Le chômage a connu une accélération en octobre ; sur la tendance de l’ ordre 500 000 chômeurs sont attendus en 2013 ; 18e mois de progression consécutive pour atteindre son plus haut niveau depuis 14 ans et demi. Les travailleurs les plus âgés ont été les plus touchés, les plus jeunes étant un peu plus épargnés que les autres. Les inscriptions pour licenciements économiques ont fortement progressé, tout comme celles pour fin de mission d’intérim. « Cette poursuite de la dégradation, continue depuis 18 mois et inscrite dans une tendance lourde depuis 2008, était prévisible. Elle risque de se poursuivre encore », écrit le ministère du Travail dans un communiqué. « Il faut du temps, dans le contexte que nous connaissons, pour freiner puis inverser cette trajectoire. » Le ministre du Travail, Michel Sapin, confirme dans ce communiqué l’objectif du gouvernement d’inverser la courbe du chômage d’ici fin 2013. Le nombre de demandeurs d’emploi en catégorie A (ceux n’ayant exercé aucune activité) a augmenté de 45.400 (+1,5%) en octobre en France métropolitaine, pour atteindre 3.103.300, son niveau le plus élevé depuis avril 1998. Sur un an, la progression en catégorie A est de 10,6%.En tenant compte des personnes exerçant une activité réduite (catégories B et C), le nombre de demandeurs d’emploi a progressé de 1,6%, soit 71.500 personnes de plus, pour atteindre 4.587.000 (+9,4% sur un an). Avec les départements d’Outre-mer, le nombre de demandeurs d’emploi en catégories A, B et C est de 4.870.800.

Chômage : encore de mauvais chiffres en octobre et ça va continuer

Chômage : encore de mauvais chiffres en octobre et ça va continuer

 

Sapin est au moins lucide, comme Hollande :  « les chiffres du chômage ne vont pas s’améliorer ». On s’en doutait évidemmenet puisque la croissance est absente. Les chiffres du chômage pour octobre qui seront publiés cette semaine seront mauvais et montreront une 18e augmentation mensuelle consécutive de ce chiffre déjà au plus haut depuis 1999, a déclaré le ministre du Travail Michel Sapin dimanche. Il a confirmé les déclarations de François Hollande qui ne prévoit pas de baisse du chômage avant un an. Hollande et Sapin jouent aux prévisionnistes faute de pouvoir peser sur  la tendance En fait il faudra compter de l’ordre de 500 000 chômeurs de plus en 2013. « Lorsque la machine est lancée depuis 17 mois, elle ne s’arrête pas du jour au lendemain, elle continue à produire du chômage », a dit Michel Sapin sur RMC et BFM TV. « Je peux vous dire que les chiffres seront mauvais, il y aura plus de chômeurs constatés et ça va être comme ça pendant plusieurs mois », a-t-il ajouté. En septembre, le nombre de demandeurs d’emploi en catégorie A (ceux n’ayant exercé aucune activité) a augmenté de 46.900 (+1,6%) en France métropolitaine pour s’établir à 3.057.900, son niveau le plus élevé depuis plus de 13 ans.

Embauches : -2.4% en octobre ; chômage en hausse

Embauches : -2.4% en octobre ; chômage en hausse

 

La hausse du chômage avait atteint un record depuis 209 avec -1.6% (environ 50 000 chômeurs en plus), compte tenu de la baisse des embauches, la croissance du chômage pourrait être encore plus forte en octobre (de l’ordre de 2%).  Pour les contrats de plus d’un mois, les embauches ont reculé de 2,4% le mois dernier selon l%). ‘Acoss.  Les perspectives restent sombres sur le marché de l’emploi. Le mois dernier, le nombre d’embauches a reculé de 2,4% par rapport à l’an dernier selon les données CVS-CJO du dernier baromètre Acoss-Ursaff publié ce mercredi. Sur trois mois, ces déclarations reculent de 0,8%. Ces chiffres correspondent à tous les secteurs de l’économie, hors intérim. Dans l’intérim, la « baisse semble s’accentuer » en septembre, note l’organisme. Il recule de 2,9% sur trois mois et de 8,7% sur un an. Plus généralement, dans le secteur privé, les effectifs ont baissé de 0,1% au deuxième trimestre par rapport à l’an dernier.

 

Automobiles Europe : recul de 5% en octobre ; -7.3% sur dix mois

Automobiles Europe : recul de 5% en octobre ; -7.3% sur dix mois

Les immatriculations de voitures neuves en Europe ont reculé de 4,8% à 959.412 unités en octobre, treizième mois de repli consécutif, a annoncé vendredi dans un communiqué l’Association des constructeurs automobile européens (ACEA). Sur les dix premiers mois de l’année, les ventes ont baissé de 7,3% à 10.327.276 unités, selon l’ACEA. Octobre marque tout de même une amélioration par rapport aux trois mois précédents, où la chute dépassait à chaque fois les 7%. Dans le détail en octobre, les ventes ont reculé de 7,8% en France, de 12,4% en Italie et plongé de 21,7% en Espagne, tandis qu’elles demeuraient quasi stables (+0,5%) en Allemagne. En revanche, elles ont augmenté de 12,1% au Royaume-Uni. La tendance est comparable sur l’ensemble des dix premiers mois, le Royaume-Uni étant le seul gros marché dans le vert (+5%). L’Allemagne recule légèrement (-1,6%), beaucoup moins que l’Espagne (-11,9%), la France (-13,3%), et l’Italie (-19,7%), selon l’AECA, dont les statistiques englobent l’ensemble des Etats membres de l’UE, sauf Malte. Au niveau des groupes, Volkswagen (VW, Audi, Seat, Skoda…) reste le numéro un incontesté en Europe avec 244.595 voitures écoulées en octobre (+1,6%) et profite des déboires de ses concurrents pour augmenter sa part de marché, qui atteint 25,5%. PSA est deuxième avec moitié moins de véhicules vendus (118.143 voitures, -5,1%), mais maintient sa part de marché (12,3%). L’autre français, Renault, a enregistré une nette déconvenue, ses ventes fondant de 21,6% à 84.783 unités, pour une part de marché de 8,8%. Suivent les américains Ford, avec 72.330 voitures vendues, en recul de 8,3%, et General Motors (Opel Vauxhall et Chevrolet), avec 68.481 véhicules vendus, en recul de 14,3%. Fiat a vendu 63.256 voitures (-5,6%), Toyota 38.442 (+1,1%) et Nissan 32.197 (+0,2%). Champions allemands du haut de gamme avec Audi (groupe VW), BMW et Daimler ont connu des sorts opposés. Le munichois BMW a vu ses ventes reculer de 1,7% à 61.107 voitures tandis que son rival de Stuttgart, constructeur des Mercedes-Benz, écoulait 2,7% de voitures en plus (51.330).

 

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