Archive pour le Tag 'octobre'

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Code du travail: attendre début octobre (CFDT)

Code du travail: attendre début octobre (CFDT)

 

 

Le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, a demandé dimanche au gouvernement d’attendre « fin septembre-début octobre » pour réformer le code du travail par ordonnances, « le temps de la concertation nécessaire ». Souhaitant aller vite, l’Elysée a précisé cette semaine vouloir une ratification des ordonnances « d’ici la fin de l’été », soit avant le 21 septembre. « Il ne faut pas passer des ordonnances en août (…) on peut être rapide sans être précipité », a déclaré Laurent Berger, invité du Grand Jury RTL/LCI/Le Figaro. « Il faut aller vers fin septembre-début octobre pour qu’on ait le temps de discuter du fond des sujets » et notamment « ce qui doit être traité » dans le code du travail, la branche ou l’entreprise, a-t-il ajouté. Sur cette question, la CFDT estime que « le code du travail doit garantir un socle important de droits », auxquels aucun accord de branche ou d’entreprise ne peut déroger, parmi lesquels « le salaire minimum » et « la sécurité au travail ». Ensuite, les branches professionnelles doivent déterminer les « classifications, les déroulements de carrière », a-t-il ajouté en estimant que « l’organisation du travail, la responsabilité sociale, les conditions de travail » devaient se négocier au niveau de l’entreprise. Mais « cette négociation doit être menée avec des représentants des organisations syndicales ». « Un référendum sans être passé par un accord, non », a-t-il prévenu alors qu’Emmanuel Macron a promis, pendant sa campagne, le référendum d’entreprise à l’initiative de l’employeur. Le numéro un de la CFDT, qui sera reçu lundi par le Premier ministre, entend à cette occasion « lui apporter un gros dossier avec un tas de propositions » sur « tous les sujets y compris la question européenne, la protection sociale, l’outre-mer ». Il a cité la création d’une « assurance chômage européenne ». La CFDT viendra aussi avec des « contrepropositions » sur les projets auxquels le syndicat est hostile, comme la barémisation des indemnités prud’homales pour licenciements abusifs. L’objectif est que « si des projets devaient se mettre en place, ce soit le moins difficile possible pour les travailleurs sur ces sujets là », a expliqué M. Berger.

Croissance-production industrielle octobre : toujours en recul

Croissance-production industrielle octobre : toujours en recul

 

 

 

En dépit d’une petite embellie concernant la croissance le secteur industriel ne cesse de reculer, c’est encore le cas en octobre. Sur un an la production industrielle aura diminué de 0, 8 % et  0,5 % pour la production manufacturière La production industrielle de la France s’est en effet  à nouveau repliée le mois dernier après sa chute de septembre, se contractant de 0,2%, sous le coup notamment d’un net recul dans l’agroalimentaire, la métallurgie et la chimie, selon les données publiées vendredi par l’Insee. La seule production manufacturière a elle aussi accusé une baisse le mois dernier, de 0,6%, après avoir également reculé de 1,1% en septembre. L’institut a dans le même temps révisé en baisse l’évolution de la production industrielle et de la production manufacturière de septembre. Ces deux indicateurs, initialement annoncés à -1,1%, ont été revu à -1,4%. Le recul du mois d’octobre est dû en bonne partie à la chute de la production dans l’agroalimentaire (-2,3% après +0,7%) et dans les « autres industries », qui enregistrent un recul de 1,3% après avoir cédé 1,0% en septembre. La production s’est également fortement repliée dans la métallurgie en octobre, une baisse de 3,6% faisant suite à un bond de 4,2% en septembre. La production dans le secteur de la chimie a continué de décroître, baissant de 3,0% après avoir cédé 0,9% en septembre. A rebours de la tendance, la production a renoué avec une croissance positive dans les industries extractives (+2,5% après -1,0%), dans les biens d’équipements (+2,2% après -4,7%) et dans les matériels de transport (+1,1% après -2,2%).

Croissance – consommation : hausse en octobre

Croissance – consommation : hausse en octobre

Enfin une bonne nouvelle pour la croissance avec cette augmentation de la consommation en octobre de 0.9%. , En effet la consommation des ménages représente environ 55 % du PIB. Cette hausse cependant est à  relativiser  car elle fait p suite à un recul. En outre la hausse de la consommation a été limitée à 0,2 % au troisième trimestre.  Les dépenses de consommation des ménages français en biens ont rebondi de 0,9% en octobre après avoir reculé de 0,4% en septembre, a annoncé mardi l’Insee dans un communiqué. Cette hausse s’explique en particulier par la reprise des dépenses en énergie, ainsi que des achats en équipement du logement et en habillement, explique l’institut statistique. L’Insee a par ailleurs révisé l’évolution des dépenses de consommation pour le mois de septembre, à -0,4% contre -0,2% annoncés auparavant. En octobre, la consommation d’énergie a nettement rebondi, de 3,6% après avoir baissé de 1,8% le mois précédent, du fait « de températures relativement fraîches pour un mois d’octobre, après un climat doux pour la saison en septembre ».Les achats en biens fabriqués se sont de leur côté repris, enregistrant une hausse de 0,7% après -0,3% en septembre. Parmi eux, ceux d’équipement du logement ont rebondi de 2,5% « après trois mois consécutifs de baisse ».  Les dépenses en habillement ont aussi enregistré une hausse, de 2,1% après -1,8% en septembre. Les achats d’automobiles ont en revanche reculé de 1%, après avoir connu une progression de 0,3% le mois précédent. La consommation de produits alimentaires est pour sa part restée quasi stable (-0,1% après +0,2%).

Chômage : en baisse en octobre ?

Chômage : en baisse en octobre ?

Le chômage aurait diminué d’environ 10 000 en octobre mais s’il s’agit uniquement de la catégorie A (ceux  qui n’ont aucun emploi) tandis que la tendance augmente sur un an pour ceux  qui ont des emplois très réduits. Un chiffre du chômage donc à relativiser surtout quand on le rapporte à l’ensemble de la population des intéressés, c’est-à-dire environ 5,5 millions. Cela d’autant plus que nombre d’anciens chômeurs ont été reclassés dans des stages de formation dont certains ne sont guère qualifiants ; il faut aussi intégrer les emplois aidés qui seront supprimés à terme. Pas vraiment de quoi chanter victoire pour le gouvernement et pas de quoi invoquer la fameuse inversion de la courbe du chômage. En effet entre 2012 et 2017 sous le gouvernement Hollande le chômage aura augmenté d’environ 500 000 personnes. Le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A (sans aucune activité) aurait donc  reculé de 0,3% le mois dernier pour s’établir à 3.478.800, soit 11.700 de moins qu’à fin septembre. Ce chiffre, très volatil ces derniers mois, fait suite à un recul d’une ampleur sans précédent en septembre, qui avait permis de franchir à la baisse le seuil des 3,5 millions d’inscrits pour la première fois depuis janvier 2015.  »La baisse du chômage est clairement engagée », indique le Premier ministre Manuel Valls dans un communiqué. « Ces résultats confortent donc la tendance favorable qui se dessine depuis plusieurs mois », relève de son côté la ministre du Travail Myriam El Khomri, également dans un communiqué. Au plus bas depuis octobre 2014, le chiffre dévoilé jeudi reste cependant supérieur de 630.100 à celui relevé en mai 2012, au moment de l’arrivée au pouvoir de François Hollande, qui a fait de la baisse du chômage une condition pour briguer un nouveau mandat. Cette statistique devrait également être commentée dans la soirée lors du débat opposant les deux candidats à l’investiture présidentielle de la droite, François Fillon et Alain Juppé. En ajoutant les catégories B et C (personnes exerçant une activité réduite), le nombre d’inscrits à Pôle Emploi a diminué de 0,4%, soit 19.400 personnes de moins en un mois, à 5.460.800 (5.760.600 en incluant les départements d’Outre-mer, également en baisse de 0,4% sur un mois). Sur un an, le nombre de demandeurs de catégorie A recule de 2,8% tandis que le total des inscrits dans les catégories A, B et C progresse de 0,4%. Depuis le début de l’année, les effectifs de la catégorie A ont reflué de 101.700 et le cumul des inscrits dans les catégories A, B et C a diminué de 43.000. Le nombre d’inscrits en catégorie D – qui regroupe les demandeurs d’emploi non tenus de rechercher un emploi, en raison par exemple d’une formation ou d’une maladie – a reculé de 0,2% sur un mois, soit 500 personnes de moins, pour un total de 50.000. Les effectifs de cette catégorie sont notamment alimentés par le plan de 500.000 formations supplémentaires pour les demandeurs d’emploi annoncé par François Hollande mi-janvier. Ils affichent un bond de 16,7% sur un an, avec 50.000 inscrits supplémentaires depuis janvier. Le nombre d’inscrits dans cette catégorie « reste toutefois stable depuis trois mois en raison de l’augmentation concomitante du nombre de sorties de formation », souligne la ministre du Travail dans son communiqué. La baisse du nombre de demandeurs d’emploi en catégorie A en octobre est due pour l’essentiel aux moins de 25 ans, avec un recul de 1,5% du nombre d’inscrits, à 483.600. Sur le mois, le nombre d’inscrits a également diminué de 0,4% chez les 25-49 ans mais il a progressé de 0,4% chez les 50 ans ou plus. La tendance sur un an est comparable, avec un recul de 8,2% pour les jeunes, une baisse de 3,3% chez les 25-49 ans et une hausse de 1,6% chez les seniors. Le nombre de chômeurs inscrits depuis plus d’un an à Pôle emploi, considérés comme chômeurs de longue durée, est resté stable en octobre, à 2,42 millions et il décroît de 0,9% par rapport à octobre 2015. Le taux de chômage selon les critères du Bureau international du travail (BIT), qui permet les comparaisons internationales, est reparti en légère hausse au troisième trimestre, alors qu’il était orienté à la baisse depuis l’automne 2015. Au troisième trimestre, il a progressé de 0,1 point pour s’établir à 9,7% de la population active en France métropolitaine et à 10,0% en incluant les départements d’Outre-mer (+0,1 point également).

Automobile Etats-Unis : baisse en octobre

Automobile Etats-Unis : baisse en octobre

Les ventes de voitures qui ont diminué de 4% en France en ont également baissé de 6% en octobre aux Etats-Unis, selon une estimation publiée mardi, l’augmentation des remises commerciales n’ayant pas suffi à empêcher un recul par rapport au niveau de ventes record enregistré l’an dernier à la même époque. Les ventes du mois dernier s’élèvent à 17,9 millions d’unités en données annualisées et corrigées des variations saisonnières, selon la publication spécialisée WardsAuto, qui se base sur une estimation pour Ford, dont les chiffres mensuels de ventes seront connus plus tard dans la semaine. Numéro deux du marché aux Etats-Unis avec une part de marché d’environ 15%, Ford a reporté la publication de ses chiffres mensuels de ventes après un incendie lundi à son siège de Dearborn (Michigan). Les analystes s’attendent à ce que le groupe accuse une baisse de 9% à 11% de ses ventes sur un an, contrepartie d’un recours mesuré aux remises sur les prix de vente. Les ventes de General Motors ont diminué de 1,7%, un recul moins marqué qu’attendu grâce au succès des pick-up et des SUV du groupe. Les conditions économiques restent cependant favorables et les constructeurs ne s’attendent qu’à un léger recul par rapport aux ventes record de l’an dernier, a déclaré Judy Wheeler, vice-présidente des ventes de la marque Nissan. Les ventes de Nissan ont diminué de 2,2% le mois dernier mais celles de ses SUV et pick-up ont progressé de 13%.Fiat Chrysler Automobiles a vu les siennes chuter de 10% par rapport à octobre 2015, en raison notamment d’une baisse de 7% de celles de sa marque Jeep, et même de 23% pour le seul modèle Cherokee. Toyota, numéro trois des ventes sur le marché américain, a accusé le mois dernier un recul de ses ventes de 8,7%. Honda, a fait état pour sa part d’une baisse de 4,4%.La comparaison avec les ventes d’octobre 2015 est défavorable car le mois qui vient de s’achever comptait deux jours de vente de moins. Mais même en prenant en compte ce facteur, le marché aurait probablement accusé un repli sans le recours à d’importantes remises, estiment des analystes. Le site internet spécialisé TrueCar estime que ces remises ont bondi de près de 16% en octobre par rapport au même mois de l’an dernier, à environ 3.600 dollars (3.250 euros) par véhicule vendu.

  • (Reuters)

Automobile France : baisse en octobre

Automobile France : baisse en octobre

Le secteur automobile en France considérée comme un indicateur avancé de la conjoncture enregistre une baisse assez significative en octobre confirmant ainsi le tassement de l’économie. Eneffet  Les immatriculations de voitures neuves en France ont diminué de 4% en octobre en données brutes par rapport au même mois de 2015, a annoncé mardi le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA).Il s’est immatriculé 155.202 voitures particulières neuves le mois dernier, qui a compté un jour de moins qu’octobre 2015.Sur dix mois, la hausse du marché automobile français est de 4,7% en données brutes, avec 1.657.652 immatriculations, précise le CCFA. L’organisme maintient sa prévision d’une croissance « dans les +5% » pour le marché automobile français en 2016, année au cours de laquelle la France va à nouveau franchir la barre des deux millions de voitures immatriculées, a indiqué sur BFM Business François Roudier, directeur de la communication du CCFA. « On a des ventes qui sont en général assez mauvaises en octobre. On a aussi un effet ‘nouveau modèle’ qui a joué à plein sur les commandes », a-t-il commenté. « On voit qu’on a un trou d’air entre les anciens modèles et les nouveaux. » Les immatriculations du groupe Renault reculent de 9,2%, avec une baisse de 12,2% pour la marque Renault mais une hausse de 3,7% pour la marque low cost Dacia. Celles du groupe PSA affichent une baisse de 5,8%, avec un repli de 4,2% pour la marque Peugeot, de 5,6% pour la marque Citroën et de 26% pour la marque DS. Le secteur automobile comme l’ensemble de l’économie son d semble donc mal partie en octobre puisque l’indicateur Markit prévoit un ralentissement de l’activité privée.   L’expansion de l’activité du secteur privé en France a légèrement ralenti en octobre selon l’indice PMI publié lundi par le cabinet Markit. L’indice flash composite de l’ensemble de l’activité s’établit à 52,2 points, contre 52,7 points en septembre, indique Markit dans un communiqué. L’activité est considérée en expansion lorsque l’indice se situe au-dessus de la barre des 50 points, et en contraction lorsqu’il est en dessous.

Croissance France : recul du privé en octobre

Croissance France : recul du privé en octobre

 
L’économie du dernier trimestre 2016 semble mal démarrer si l’on s’en tient à l’indice Markit qui prévoit un recul de l’activité privée en octobre par rapport à septembre. Le gouvernement tablait  sur une croissance de 1,5 % en 2016 et en 2017 pour revenir dans les clous européens l’année prochaine, avec un déficit public sous la barre fatidique des 3 % du PIB, malgré les nouvelles dépenses et les baisses d’impôt annoncées par l’exécutif. Cette prévision était toutefois contredite par celle celle du FMI (1,2 %) et de l’OCDE, 1,3 %. Or la-croissance-au- du secteur privé en France a légèrement ralenti en octobre, la croissance dans le secteur manufacturier ne parvenant pas à compenser le ralentissement dans celui des services, selon l’indice PMI publié lundi par le cabinet Markit. L’indice flash composite de l’ensemble de l’activité s’établit à 52,2 points, contre 52,7 points en septembre, indique Markit dans un communiqué.

Inflation zone euro : 0,1% sur un an en octobre

Inflation zone euro : 0,1% sur un an en octobre

Le quasi absence d’inflation dans la zone euro témoigne évidemment de la faiblesse de la demande et d’une croissance atone, en tout cas d’une croissance insuffisante pour apporter une contribution significative et positive au problème de l’emploi. Certes on pourra objecter que cette quasi-absence d’inflation est à imputer à la baisse des matières premières et en particulier à celle du pétrole. Pour autant si on élimine le prix de l’énergie, l’inflation reste encore très faible. Les prix à la consommation dans la zone euro ont en effet augmenté de 0,1% en rythme annuel en octobre, a annoncé lundi Eurostat, révisant en légère hausse cet indicateur, donné inchangé en première estimation.  Cette révision s’explique principalement par l’évolution des prix des fruits et légumes frais.  En septembre, les prix avaient reculé de 0,1%. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne une stagnation des prix en octobre sur un an.  Hors énergie et produits alimentaires non transformés, les prix ont augmenté de 1,0% par rapport à octobre 2014, après +0,8% en septembre. Sur un mois, l’inflation dite « de base », très surveillée par la Banque centrale européenne (BCE), est de 0,2%. Malgré la révision de l’inflation globale et l’accélération de l’inflation de base, l’évolution des prix dans la zone euro reste très loin de l’objectif d’un taux légèrement inférieur à 2% que s’est fixé la Banque centrale européenne (BCE). Les prix de l’énergie ont chuté de 8,5% sur un an le mois dernier, une baisse qui s’atténue légèrement puisqu’elle était de 8,9% en septembre.

Sécurité routière : nombre de morts encore en hausse en octobre

Sécurité routière : nombre de morts encore en hausse en octobre

 

Une hausse qui s’explique de manière conjoncturelle par l’accident du car. Mais structurellement l’insécurité concernant le nombre de morts progresse sur un an. De toute évidence c’est la politique de sécurité routière qui est en cause notamment l’incapacité qu’il y a à identifier les facteurs explicatifs de la progression constatée. Il faudra bien un jour ou l’autre la création  d’un véritable service public de la sécurité routière, services, spécialisée dans l’analyse des risques, leur gestion, les contrôles et les sanctions. Une tâche celle-là vraiment régalienne et qui ne saurait être transférée au privé comme cela est envisagé pour les deux autoroutes. On risque en effet de substituer à l’actuelle politique du chiffre la politique du profit. Le nombre de morts sur les routes a donc augmenté de 7,2% en octobre, avec 372 personnes tuées, en raison de l’accident de car meurtrier de Puisseguin en Gironde qui a coûté la vie à 43 personnes le 23 octobre, a annoncé mercredi la Sécurité routière. Cette augmentation de 25 morts par rapport à octobre 2014 porte à 2% la tendance à la hausse de la mortalité routière sur les dix premiers mois de 2015, comparé à la même période de l’année précédente.

200 000 migrants en octobre et l’Europe attend !

200 000 migrants en octobre et l’Europe attend !

 

Après de laborieuses négociations, on a prévu l’accueil de 160 000 migrants sur deux ans au sein de l’union européenne quand il faut compter sur 1 millions d’arrivants en 2015 ; 20 000 migrants, rien que pour le mois d’octobre ; Pour autant, l’Europe est pratiquement absente dans le règlement du conflit en Syrie d’où viennent la plupart des migrants. Les Etats qui mènent la danse pour la négociation sont la Russie, les Etats-Unis, l’Arabie saoudite et l’Iran (des pays qui accueillent très peu de migrants). Et pour cause l’Europe n’a aucune politique étrangère commune, encore moins une politique de défense. De ce point de vue c’est la faillite totale de l’union européenne. Pourtant impliquée dans la déstabilisation de la région (la Grande Bretagne en Irak, la France en Lybie notamment).  Le nombre de migrants entrés en Europe a donc égalé celui qui a été enregistré sur l’ensemble de l’année 2014, a annoncé lundi l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés (HCR). Selon le HCR, 218.394 migrants et réfugiés sont entrés le mois dernier en Europe, un chiffre comparable aux 219.000 comptabilisés sur toute l’année 2014. En septembre, ils sont 172.843 à être arrivés en Europe, dit l’agence onusienne. « C’est le total le plus élevé jamais comptabilisé sur un seul mois et presque le même que celui de 2014″, a dit Adrian Edwards, porte-parole du HCR.

La semaine catastrophique de Hollande (feuilleton humoristique-18 octobre 2015)

La semaine catastrophique de Hollande (feuilleton humoristique-18 octobre2015)

Sale temps pour le Roy, François de Tulle, Normal Premier. La température s’est brusquement rafraichie dans le royaume. A peine 20% de soutien des sujets de plus en plus sceptiques dans le dernier sondage. Et le Chambellan Valls de Vienne qui plonge aussi avec le monarque. Du coup, le chambellan décide de jouer la carte internationale en  allant se balader à l’étranger et près du front ; il confirme que la France va continuer de bombarder les infidèles de l’Etat islamique et sans distinction des nationalités. En clair dans le cadre de la simplification des procédures administratives, il ne sera plus nécessaire de montrer sa carte d’identité avant de recevoir une bombe. Peu de chances d’ailleurs car en dépit des déclarations guerrières de Hollande, la France n’a réalisé  que deux frappes en un mois. A ce rythme,  on s’installe dans une nouvelle guerre de cent ans. Pendant ce temps là,  le Tsar Poutine bombarde tout ce qui bouge en Syrie, surtout les opposants à Bachar. Évidemment faute de réplique infranationale cordonnée, les migrants affluent toujours mais  sont promenés de Hongrie, en Croatie et en Slovénie. Il faut dire qu’à l’humanisme béat de l’Europe a succédé le réalisme hypocrite : on accueille toujours les migrants mais en leur interdisant de franchir les frontières. Des frontières dont le contrôle sera renforcé partout, ainsi en a décidé dans sa grande sagesse la réunion des chefs d’Etat européens. On va même demander aux turcs de développer le tourisme migratoire de longue durée moyennant finances de la commission européenne. Objectif : retenir les migrant le plus longtemps possible ; encore un effort et on va financer l’Etat islamique pour qu’ils retiennent les syriens chez eux. Des syriens toujours auusi indélicats et qui ne veulent pas venir en France auto proclamée terre d’asile ; pourtant les extrémiste ne cessent  de vocifèrer » : la France est envahie » ! En fait elle l’ est déjà mais par les crétins  mais ceux-là pas question de les refouler en Patagonie : ils sont français. La princesse Ségolène par exemple qui affirme que le plan d’Air France n’est plus nécessaire et qu’il faut nommer un médiateur. Ce que contredit le Chambellan Valls mais qui met quand même un copain à lui (son conseiller) comme DRH ; Sil dirige auusi bien Air France que la France, tout est à craindre. Faute de succès à l’intérieur le monarque de France peut se réjouir des malheurs de l’impératrice de Prusse, Angela,  en prise avec le truquage de Volkswagen. Cette dernière a décidé qu’il fallait rapatrier 8.5millions de véhicules. Problème : on ne sait pas pour quoi faire ! On peut effectivement enlever  le logiciel truqué mais respecter les normes c’est un problème que  ne sait pas résoudre actuellement le premier constructeur mondial. A moins de brider les moteurs et la vitesse. Comme on envisage à Paris : à 30kms heure ou mieux à 10 kms heure. En tout cas, c’est grâce à cet argument environnemental que Hollande et son chambellan ont brusquement décidé d’augmenter le gaz oïl en France.  Par contre les pensions, elles, vont être diminuées car les régimes sont dans le rouge. On partira à 63, puis 65 ans avant sans doute 70 ou 80 ans lors du 28 ème plan de réforme des retraites. Ségolène, pour faciliter  la transition énergétique,  a déjà prévu une prime pour motoriser électriquement les déambulateurs des travailleurs âgés. Pour arrondir les angles  de la grogne sociale, le monarque a dégainé  l’arme atomique : une grand conférence sociale ou on ne traitera pas du chômage, du financement de la protection sociale ou des conditions de travail mais de bricoles pour amuser la galerie médiatique. Il faut bien faire rire un peu ce peuple dont le moral n’a jamais été aussi si bas. Même le ténébreux prince noir Sarko s’y met pourtant Pas évident de faire l’humoriste et de faire du stand-up ! Témoin  cette phrase prononcée à Limoges par Sarkozy : « Je voudrais leur dire qu’on a reçu le coup pied au derrière, mais ce n’est pas parce que vous voulez renverser la table que vous descendez de la voiture dont vous vous abstenez de choisir le chauffeur », a déclaré le président des Républicains. Un phrase en tout cas qui confirme le diagnostic de Berlusconi à propos de Sarko : « Sarkozy « crétin et suffisant  »; à  la décharge de Sarkozy il n’est pas le seul dans ce cas dans la classe politique française. C’est même ce qui la caractérise. La preuve,  les trois principaux candidats aux présidentielles présentent  toutes ces qualités requises. De quoi s’interroger sur les avantages prétendus de la démocratie par rapport à une vraie monarchie non républicaine. Si c’est pour élire un con, autant le faire descendre d’une lignée royale. D’autant qu’en vérité ce pays est ingérable, les sujets imprévisibles. Avant on pouvait combler leur satisfaction avec du pain des et jeux (panem et circenses) mais le pain se fait rare quant aux jeux, ce n’est pas avec le honte des bleus –rouges de honte comme leur maillot- contre les All  blacks qu’on va réconcilier le bas peuple avec le sport distractif.

God save the king

La semaine catastrophique de Hollande (feuilleton humoristique-11 octobre 2015)

  • Le roi François de Tulle, normal Premier, ne ce résout pas à renoncer à la couronne royale en 2017. Pourtant les sondages sont de plus en plus catastrophiques. En outre,  il tire dans sa chute le fougueux et colérique chambellan Valls de Vienne. Valls de Vienne qui se déclare très zen au Japon mais pourtant hystérique en France surtout depuis que le petit prince micron Macron lui dame le pion en matière de popularité. À peine arrivé à la cour, ce parvenu se situe en deuxième position dans le cœur des sujets français, juste derrière le duc d’Aquitaine, Juppé. Mais la querelle feutrée des seconds couteaux ne réjouit pas le duc de Corrèze, roi de France et de Navarre qui s’enfonce dans les sondages. Il est désormais « au niveau du gaz de schiste » vient de déclarer le trublion prince noir Sarko. Lequel n’est pas non plus dans une situation très confortable. Contre ses convictions,  il a du excommunier Nadine Morano et ses visions racistes. Cependant Nadine la « pucelle » (son vrai nom qui a été transformé en « Pugelle »–voir Wikipédia) compte encore des partisans, elle pense  empêcher le prince noir, Sarko, de gagner les primaires des républicains. Aussi elle  a refusé de faire des excuses par écrit à propos des voix célestes qui lui conseillaient de blanchir la race française. Certains moqueurs indélicats ont alors  argumenté ce refus en expliquant que la prolo Nadine ne maîtrisait pas l’écriture. Une fausse explication car Nadine a piqué l’ancien listing des adhérents de l’UMP pour leur adresser des SMS au contenu d’ailleurs toujours aussi approximatif et fumeux. Nadine la pucelle investie d’une mission divine se lâche donc et rejoint (d’assez loin quand même) le clan des philosophes déclinistes qui cultive la nostalgie du passé. Bref beaucoup d’intellos deviennent  aussi réacs et le naufrage de la vieillesse n’épargne personne même ceux qui sont les moins touchés par les ans. En gros, c’est la trouille qui domine. Pas étonnant car la complexité des mutations en cours qui concerne  tous les domaines, économique bien sûr mais aussi social, sociétale, environnemental et culturel sont aussi difficilement compréhensifs pour nos crânes d’œuf un peut dépassés  par les événements. On se demande pour renouveler la sociologie de nos responsables s’il ne conviendrait pas de légaliser l’euthanasie politique comme philosophie. Comme vient de le faire timidement l’assemblée en autorisant l’euthanasie médicalement assistée pour les sujets ordinaires. A défaut euthanasie on pourrait interner les plus atteints comme la princesse Ségolène Royal dont  le délire verbal envahit chaque jour les médias. Ainsi vient-elle mettre son pif dans une question qui ne la concerne pas (comme d’habitude) en proposant des d’étatiser la gestion du conflit Air France. La nomination du médiateur qu’elle propose permettrait certainement d’enterrer les restructurations nécessaires et de renvoyer après 2017 les réformes qui s’imposent. Mais pour le PS l’étatisme : il n’ y a que ça de vrai . Et Ségolène est là pour aider ses copains énarques à trouver un job. Pas évident pour ces énarques de trouver un petit boulot et ça l’est encore moins pour les sujets ordinaires dont le moral n’a jamais été aussi bas. Ils désespèrent de tout,  de l’avenir économique bien sûr, de la capacité du système politique à résoudre leurs problèmes, il doute surtout d’eux-mêmes et d’une certaine manière versent  dans une forme de schizophrénie en soutenant la nécessité d’une société plus libérale mais à condition de ne pas remettre en cause l’existant. Bref le royaume n’a pas la pêche. On attend désespérément une grande victoire sportive  pour redonner un peu de moral aux pays. Malheureusement l’une des idoles du sport français, Platini, vient de se faire prendre les doigts dans le pot de confiture de la FIFA au moment même où il était candidat à la présidence ;  décidément le mauvais sort  tombe sur les français chargés de responsabilités internationales (DSK et ses frasques, Lagarde qui a accordé 400 millions à Tapie,  et maintenant Platini pour une facture de près de 2 millions avec 10 ans de retard !) On devrait cependant lui trouver des excuses car pratiquement tous les membres de la FIFA ont plongé les mains dans les centaines de millions gérés  sans aucun contrôle financier et démocratique. De ce point de vue Platini n’est sans doute pas le plus coupable mais c’est sans doute le plus couillon. S’il avait fait l’ENA (ou Sciences-po) seulement il aurait appris qu’il y a des procédures quasi légales à suivre pour détourner à son profit l’argent public ou encore pour éviter d’avoir à respecter la réglementation en vigueur. Ce que vient de faire par exemple Volkswagen qui n’a pas peur de se foutre de la gueule du monde en accusant quelques boucs émissaires dans l’affaire des tricheries des émissions polluantes d’environ 1 million de véhicules vendus dans le monde entier. De quoi réconforter  les sujets du royaume et leur montrer que les faux-culs n’existent pas seulement qu’en France où notre monarque fait ce qu’il peut, malheureusement il peut peu !

    God Save the King

Gauche syndicale : manif le 8 octobre

Gauche syndicale : manif le 8 octobre

 

Une rituelle  manif de rentrée sociale à été décidée par la gauche syndicale pour le 8 octobre. Une manifestation qui risque cependant d’être peu suivie du fait de l’absence des autres syndicats mais aussi du caractère fourre-tout  des revendications. La CGT, FSU et Solidaires ont en effet appelé jeudi à une journée de mobilisation interprofessionnelle le 8 octobre et invité les autres syndicats et les organisations de jeunesse à travailler sur des initiatives communes lors d’une réunion fin août. Les trois syndicats mettent au premier rang de leurs revendications une augmentation des salaires, des pensions, des minimas sociaux et du point d’indice des fonctionnaires. Ils demandent en outre une réduction du temps de travail, la pérennisation et l’amélioration de la protection sociale et la protection des services publics. « Cédant aux pressions des puissances financières, au Medef, aux injonctions de Bruxelles, le gouvernement déroule une politique qui remet en cause notre modèle social assis sur l’égalité, la justice et la solidarité », dénoncent les trois syndicats dans un communiqué. « Accompagnées par une bataille idéologique inédite, des politiques pour l’emploi se traduisent trop souvent par des mesures de régression sociale qui vont impacter tous les salarié(e)s », ajoutent-ils.

 

« Un krach financier en septembre-octobre »

« Un krach financier en septembre-octobre »

C’est le pronostic de Marc Touati, économiste et président fondateur du cabinet « ACDEFI. Un prévision sans doute excessive ; pour autant le décalage qu’il signale entre les niveaux de la bourse, l’économie réelle et le marché obligataire parait assez pertinent comme la fragilité de la reprise française ( uen croissance par ailleurs sans emploi. (Interview  JDD)

 

Vous faites le constat qu’une crise se produit tous les sept ans…
Depuis 1973, c’est le cas en effet. 1973, c’est le premier choc pétrolier. En 1980, c’est le deuxième choc pétrolier. En 1987, on a le krach boursier. En 1994, il y a un crack obligataire. 2001, c’est le 11 septembre qui fait chuter les marchés. Et en 2008, c’est la chute de Lehman Brothers. La coïncidence est troublante. Quand on voit cette déconnexion entre la réalité boursière, obligataire et la réalité économique, on peut clairement identifier une bulle ces dernières semaines.

Vous prédisez donc un krach cette année sur les marchés boursiers?
Je pense malheureusement qu’on aura en septembre-octobre prochain un krach financier obligataire et boursier. Aujourd’hui, les marchés boursiers ont trop augmenté par rapport à la réalité économique. Tout ça parce que la Banque centrale européenne a mis beaucoup de liquidités sur les marchés. Mais comme nos rouages sont grippés, il n’y a pas assez de croissance pour justifier cette augmentation boursière. Le problème c’est qu’en cas de crise à la rentrée prochaine, l’Europe n’a plus de cartouches dans sa mitraillette. Elle ne pourra plus forcément faire de quantative easing pour relancer la machine.

Pourquoi ne croyez-vous pas à la reprise de la croissance en France?
Il s’agit d’une croissance de rattrapage après la faiblesse des années passées. On a eu un « alignement des planètes » ces derniers mois puisque les prix du pétrole et des matières premières ont baissé, l’euro s’est affaibli par rapport au dollar et les taux d’intérêts sont très faibles. Tout cela a permis de soutenir l’activité. Dernier point : sur les 0.6% de croissance, 0.5 point vient uniquement de la formation de stock. Cela ne reflète pas l’état intrinsèque de l’économie française. La croissance aujourd’hui est artificielle. Comme le pétrole et l’Euro remonte, on risque en plus d’avoir un nouveau ralentissement de la croissance dès les 2e et 3e trimestres. Pour faire redémarrer la croissance, il faut donc des réformes structurelles, il faut baisser les impôts des ménages et des entreprises ainsi que les charges qui pèsent sur le marché du travail. Il faut aussi fluidifier le marché du travail.

 

Chiffres chômage octobre : toujours la cata !

Chiffres chômage octobre : toujours la cata !

 

500 000 chômeurs en plus depuis l’arrivée de Hollande et ça  continue avec les chiffres de Pôle emploi d’octobre. Vendredi a eu lieu la publication des chiffres du chômage pour le mois d’octobre. Le nombre de demandeurs de catégorie A (sans aucun travail) est en hausse de 0,8% ce qui le porte à 3 millions 460 000 personnes. Aucun miracle à attendre, il n’y pratiquement pas de croissance et les entreprises dégraissent faute de carnets de commandes. Il n’y a toujours pas d’inversion de la courbe du pessimisme dans les PME d’après un récent sondage. La situation s’était encore dégradée  partout en septembre  chez les jeunes (+0,4%) et chez les seniors (+1,0%). Sur un an, la conjoncture restait catastrophique chez les 50 ans et plus (+11%). « On a beau faire feu de tout bois ( !!!!), tant qu’une croissance plus forte n’est pas là, il n’y a pas assez de créations d’emplois« , avait admis le ministre du Travail.  Le recul de l’emploi intérimaire, considéré comme un indicateur précurseur des tendances sur le marché de l’emploi, a été confirmé mercredi par le baromètre Prism’emploi avec une baisse de 2,9% en octobre 2014 par rapport à la même période l’an dernier.  L’intérim a été affecté par la chute des effectifs dans le BTP (-20,6%), un secteur lourdement touché par la crise.  Selon l’Insee, le secteur de la construction est le principal frein à la croissance en France, et lui coûtera 0,4 point de produit intérieur brut (PIB) cette année.  L’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) a confirmé mardi la déconvenue de l’exécutif, prévoyant une hausse du chômage jusqu’à la fin de l’année 2015, pour atteindre 10,1% des actifs en métropole, avant de se replier légèrement à 10,0% courant 2016.  L’activité économique « devrait rester molle aux prochains trimestres« , a estimé l’OCDE, expliquant qu’une « faible croissance de la demande entraîne une faiblesse de l’emploi avec un chômage élevé et du sous-emploi« .  L’OCDE a encore révisé à la baisse sa dernière prévision de croissance 2015, à 0,8% contre 0,9% début novembre. De son côté, le gouvernement français compte sur 1% de croissance l’an prochain.  Les emplois subventionnés se sont avérés insuffisants, à ce jour, pour enrayer la hausse du chômage. Depuis l’élection de François Hollande en 2012, plus d’un demi-million de chômeurs supplémentaires ont poussé la porte de Pôle emploi. 

 

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