Archive pour le Tag 'occident'

Iran et Hamas : déstabiliser le Moyen-Orient et les démocraties en Occident

Iran et Hamas : déstabiliser le Moyen-Orient et les démocraties en Occident

Les pays occidentaux, les observateurs et les médias ont souvent des pudeurs de gazelle pour qualifier les responsables d’un événement tragique comme n Israël. Un manque de lucidité sans doute tout autant qu’un manque de courage.

Comment en effet comprendre la politique suicidaire du Hamas vis-à-vis des palestiniens sans mettre en cause la responsabilité première de l’Iran. Ce pays était d’ailleurs présent lors de la réunion stratégique tenue à Beyrouth pour décider l’opération. D’une certaine manière, les palestiniens du Hamas jouent les idiots utiles et les martyrs en même temps d’une opération qui les dépasse. En effet la barbarie de l’attaque du Hamas sur des civils ne pouvait que provoquer la dure réaction d’Israël. De la même manière ,cette réaction guerrière sur Gaza va provoquer l’indignation et la colère de la rue au Proche-Orient. L’objectif pour l’Iran et aussi de déstabiliser les pouvoirs des pays visés pour leur substituer des républiques islamiques. Mais l’Iran a aussi des objectifs en Occident pour susciter aussi la colère de musulmans extrémistes voire pour les inciter indirectement à commettre des actes de sauvagerie.

L’Iran se conduit à l’extérieur comme à l’intérieur de ses frontières; En dictature sanglante notamment vis-à-vis des femmes et de toutes les oppositions. La grande différence avec l’Occident ,c’est que au nom d’une pseudo religion, la vie ne compte pas en Iran. La vie ne compte pas à l’intérieur des frontières et pas davantage à l’extérieur.

D’une certaine manière, l’Iran a repris le rôle de daesh souvent avec le soutien implicite d’autres dictatures comme la Russie voire la complicité de la Chine. Deux pays qui ne considèrent pas le Hamas comme une organisation terroriste.

Les palestiniens seront les premières victimes de cette stratégie mortifère et les Israéliens ensuite. À moins que l’Occident se réveille enfin pour comprendre les facteurs explicatifs de la politique iranienne et au-delà pour affaiblir d’abord ce régime et contribuer à l’abattre.

Guerre Hamas–Israël -objectif de l’Iran: déstabiliser le Moyen-Orient et les démocraties en Occident

Guerre Hamas–Israël -objectif de l’Iran: déstabiliser le Moyen-Orient et les démocraties en Occident

Les pays occidentaux, les observateurs et les médias ont souvent des pudeurs de gazelle pour qualifier les responsables d’un événement tragique comme n Israël. Un manque de lucidité sans doute tout autant qu’un manque de courage.

Comment en effet comprendre la politique suicidaire du Hamas vis-à-vis des palestiniens sans mettre en cause la responsabilité première de l’Iran. Ce pays était d’ailleurs présent lors de la réunion stratégique tenue à Beyrouth pour décider l’opération. D’une certaine manière, les palestiniens du Hamas jouent les idiots utiles et les martyrs en même temps d’une opération qui les dépasse. En effet la barbarie de l’attaque du Hamas sur des civils ne pouvait que provoquer la dure réaction d’Israël. De la même manière ,cette réaction guerrière sur Gaza va provoquer l’indignation et la colère de la rue au Proche-Orient. L’objectif pour l’Iran et aussi de déstabiliser les pouvoirs des pays visés pour leur substituer des républiques islamiques. Mais l’Iran a aussi des objectifs en Occident pour susciter aussi la colère de musulmans extrémistes voire pour les inciter indirectement à commettre des actes de sauvagerie.

L’Iran se conduit à l’extérieur comme à l’intérieur de ses frontières; En dictature sanglante notamment vis-à-vis des femmes et de toutes les oppositions. La grande différence avec l’Occident ,c’est que au nom d’une pseudo religion, la vie ne compte pas en Iran. La vie ne compte pas à l’intérieur des frontières et pas davantage à l’extérieur.

D’une certaine manière, l’Iran a repris le rôle de daesh souvent avec le soutien implicite d’autres dictatures comme la Russie voire la complicité de la Chine. Deux pays qui ne considèrent pas le Hamas comme une organisation terroriste.

Les palestiniens seront les premières victimes de cette stratégie mortifère et les Israéliens ensuite. À moins que l’Occident se réveille enfin pour comprendre les facteurs explicatifs de la politique iranienne et au-delà pour affaiblir d’abord ce régime et contribuer à l’abattre.

Apocalypse en Occident : les prédictions du courtisan fou Dmitri Medvedev

Apocalypse en Occident : les prédictions du courtisan Dmitri Medvedev

Medvedev qui un temps avait assuré l’intérim de président de la Russie avant de retransmettre le pouvoir à Poutine s’est fait une spécialité de noircir les perspectives pour l’Occident. Il faut dire qu’il en rajoute comme courtisan particulièrement zélé car Poutine s’est toujours méfié de lui. D’abord quand Medvedev a manifesté des velléités de se représenter comme président russe ensuite quand il a fait évoluer un peu le pays vers une conception un peu plus libérale. Du coup, pour se crédibiliser à nouveaux auprès de Poutine, il en rajoute des tonnes et prévoit l’effondrement de l’Occident
et la guerre civile aux États-Unis.Comme d’habitude il s’agit de la rhétorique soviétique qui consiste à dire tout, n’importe quoi et le contraire. Ou la conversion de l’ancien libéral modéré en suppôt zélé du dictateur également fou.
Une maladie qui semble contagieuse chez les oligarques russes.

Extrait des prévisions dans le Figaro

Medvedev commence par affirmer que le prix du pétrole atteindra 150 dollars le baril et que le prix du gaz dépassera 5000 dollars pour 1000 mètres cubes, soutient que le Royaume-Uni rejoindra de nouveau l’Union européenne, laquelle devrait s’effondrer après ce retour. L’ancien président va jusqu’à redessiner les contours de l’Europe et assure que la Pologne et la Hongrie occuperont les régions occidentales de l’ancienne Ukraine. Il n’hésite pas à évoquer la création d’un quatrième Reich qui «englobera le territoire de l’Allemagne et de ses satellites, à savoir la Pologne, les États baltes, la Tchéquie, la Slovaquie, la République de Kiev et d’autres parias».

Medvedev ne s’arrête pas là et soutient que la guerre éclatera entre la France et l’Allemagne menant à la division de l’Europe. La Pologne sera divisée et l’Irlande du Nord se séparera du Royaume-Uni pour rejoindre la République d’Irlande. Les États-Unis ne seront pas en reste puisqu’une guerre civile mènera, dans l’esprit de Medvedev, à l’indépendance du Texas et de la Californie. Après ce conflit fratricide, ce sera à Elon Musk, élu président des États-Unis selon Medvedev, de recoller les morceaux. L’Asie deviendra alors le refuge des grands marchés boursiers et des activités financières qui quitteront les États-Unis. L’euro et le dollar cesseront, eux, de circuler en tant que réserve mondiale après l’effondrement du système de gestion monétaire de Bretton Woods.

L’ancien président russe termine ses prédictions délirantes par souhaiter de «joyeuses fêtes à tout le monde, aux amis anglo-saxons et à leurs joyeux porcelets grognant». Depuis l’invasion de l’Ukraine, le 24 février dernier, Medvedev, pourtant réputé pour être un modéré, s’est transformé en faucon, multipliant les sorties haineuses envers Kiev et les Occidentaux. Il n’a pas hésité depuis à décrire le conflit en termes apocalyptiques et religieux, qualifiant les Ukrainiens de «cafards» dans un langage que Kiev qualifie ouvertement de génocidaire.

Dmitri Medvedev est accusé par la fondation anticorruption de l’opposant politique Alexeï Navalny d’avoir monté un système de pots-de-vin dans son intérêt et d’avoir détourné plus d’un milliard de dollars par ce biais. Ces accusations sont reprises dans le documentaire Ne l’appelez pas Dimon (2017) — qui est vu plus de 33 millions de fois jusqu’en janvier 2020 — et auraient pesé sur sa carrière politique40.
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Russie: Éliminer définitivement les oligarques en occident

Russie: Éliminer définitivement les oligarques en occident

 

 

 

Jean-Philippe Delsol, directeur du think tank libéral Institut de recherches économiques et fiscales, salue dans une tribune au « Monde » l’action prise depuis le début du conflit ukrainien contre les grandes fortunes russes. Politique qu’il faudra poursuivre, selon lui.

 

 

L’invasion de l’Ukraine par la Russie a suscité, dès 2014, des mesures de rétorsion européennes tendant à affaiblir l’agresseur. Ces dispositions ont été renforcées considérablement depuis février 2022, notamment par le gel de tous les fonds et les ressources économiques appartenant, directement ou indirectement, à des personnes considérées comme responsables d’actions compromettant ou menaçant l’intégrité territoriale, la souveraineté et l’indépendance de l’Ukraine.

En France, s’appuyant sur ces dispositions européennes et sur le chapitre VII de la charte des Nations unies, un article L. 562-3 du code monétaire et financier, adopté le 6 novembre 2020, a permis au ministre chargé de l’économie de procéder, pour des périodes de six mois, renouvelables éternellement, au gel des fonds et des ressources économiques des oligarques russes proches de Poutine. Mais le fondement juridique de ces textes est très fragile.

 

L’ONU n’a édicté aucune sanction qui s’impose à ses membres, car il aurait fallu que la décision vienne du Conseil de sécurité, où la Russie a le droit de veto. Quoi qu’il en soit, la saisie des biens des oligarques n’est pas possible à défaut de jugement préalable et de motif légalement reconnu. On ne punit pas des personnes pour leur simple amitié, réelle ou supposée, avec un Poutine quelconque. Il ne s’agit donc que de mesures provisoires, de gel, qui peuvent être contestées et remises en cause, comme en témoignent les deux ordonnances successives des 18 et 28 mars, rendues par le juge des référés du tribunal judiciaire de Lorient, pour annuler les sanctions de gel d’un navire de commerce russe.

Mais ces mesures ont le mérite de faire peser des menaces substantielles sur l’environnement de l’agresseur. En outre, peut-être même en Russie, elles sont un signal que peut apprécier l’opinion : elle sait que ces oligarques, sauf exception, ont bâti leur fortune de manière peu recommandable.

Lors de la libération du joug soviétique, les pays de l’empire soviétique n’ont pas perdu leurs habitudes de concussion et de corruption que le communisme avait propagées dans toute la société. Dès le début des années 1990 furent organisées des attributions d’actions de sociétés privatisées au profit de la population. Quelques rapaces des milieux économiques proches du pouvoir s’en emparèrent rapidement pour des bouchées de pain. Puis furent mis en place des programmes « prêts contre actions » par lesquels quelques banquiers prêtèrent de l’argent au gouvernement russe en prenant en garantie des paquets d’actions de sociétés qui devaient leur revenir à vil prix si, un an plus tard, le prêt n’était pas remboursé. Et, bien entendu, ils n’étaient quasiment jamais remboursés ! Ces programmes furent développés dans le cadre d’enchères biaisées qui profitèrent à quelques étrangers et à de nombreux aventuriers locaux n’ayant peur de rien pour s’enrichir sans vergogne par des moyens douteux, quand ils n’étaient pas criminels.

Chine- Occident : deux conceptions irréconciliables du monde

Chine- Occident : deux conceptions irréconciliables du monde

Pékin ne voit pas la guerre en Ukraine comme le signal d’un réveil de l’Union européenne, mais comme une preuve supplémentaire de son déclin, analyse Frédéric Lemaître, correspondant du « Monde » à Pékin, dans sa chronique.

 

Chronique.

 

Le doux commerce est supposé rapprocher les peuples. L’Allemagne a même fait de ce postulat un pilier de sa politique étrangère. Pourtant la Chine démontre l’inverse. Jamais l’empire du Milieu n’a autant commercé avec l’Occident et notamment avec l’Europe. Pourtant, jamais elle n’en a paru aussi éloignée. Sur fond de guerre en Ukraine, le sommet Chine-Union européenne (UE) qui se tient le 1er avril devrait en apporter la confirmation.

Pour l’Occident, Vladimir Poutine est le seul responsable de la guerre en Ukraine puisqu’il a envahi un Etat indépendant qui ne menaçait aucunement la Russie. Pour la Chine, ce sont les Etats-Unis qui sont à l’origine du conflit. Non seulement ils n’ont pas sabordé l’OTAN, qui n’avait plus de raison d’être après la dissolution du pacte de Varsovie, mais ils ont élargi celle-ci en permettant aux pays limitrophes de la Russie d’y adhérer.

A l’Ouest, les peuples ont le droit de choisir leur destin. L’Ukraine a donc le droit de souhaiter adhérer à l’Union européenne voire à l’OTAN, quelles que soient les réponses apportées à cette demande. Pour la Chine, les Ukrainiens sont manipulés par les Etats-Unis. Ils ne comptent pas et n’ont même pas à participer à un éventuel dialogue sur la « sécurité en Europe » que la Chine appelle de ses vœux et qui devrait réunir, « sur un pied d’égalité », les Etats-Unis, l’OTAN et la Russie. Quid de la participation de l’UE à une réflexion sur son destin ? Si l’on se fie aux communiqués officiels, Xi Jinping la mentionne lorsqu’il envisage l’avenir avec Emmanuel Macron et Olaf Scholz mais pas lorsqu’il téléphone à Joe Biden. Vue de Pékin, la question est secondaire.

Ce relatif désintérêt pour l’UE explique sans doute les erreurs de jugement de la Chine. En 2021, celle-ci n’avait apparemment pas réalisé qu’en sanctionnant des élus au Parlement européen, elle tuait dans l’œuf toute ratification de l’accord sur les investissements conclu fin décembre 2020 auquel elle tient tant. Les Chinois expliquaient alors que la motion du Parlement européen visant à geler ce projet d’accord avait été adoptée « probablement sous la pression des Etats-Unis » et que l’Union européenne devrait « ratifier l’accord au premier semestre 2022, lorsque la France prendra la présidence tournante du Conseil de l’UE ». Manifestement, les Chinois n’ont pas intégré toutes les subtilités de l’équilibre des pouvoirs au sein des institutions de l’Union européenne.

Plus généralement, pour les Européens, la guerre en Ukraine est en train de provoquer le réveil de l’UE. Celle-ci devrait en sortir renforcée. Pour la Chine, l’Union européenne sortira affaiblie de cette « crise ukrainienne » en raison des sanctions qui vont peser sur sa croissance et de sa dépendance accrue à l’égard de Washington en matière de sécurité. Selon Pékin, c’est d’ailleurs parce que les Etats-Unis font le même raisonnement qu’ils ont « accroché une clochette au tigre » russe en élargissant l’OTAN.

Société -Occident : un suicide civilisationnel (Pascal Bruckner)

Société -Occident : un suicide civilisationnel (Pascal Bruckner)

Pascal Bruckner estime dans Le Figaro que le pire ennemi de l’Occident, c’est l’Occident lui-même (extrait)


Il y a vingt ans les tours jumelles du World Trade Center s’effondraient à New York, et avec elles, nombre d’illusions intellectuelles. Le rêve d’une paix perpétuelle, d’une mondialisation heureuse et d’une convergence démocratique laissait place au retour du tragique. Vingt ans plus tard, les talibans sont de nouveau maîtres de l’Afghanistan, des régimes autoritaires s’assument et l’islamisme triomphe en plusieurs points du globe. L’Occident a-t-il encore un avenir? L’auteur de Situation de la France* s’inquiète de voir triompher sans partage le dogme qu’il n’existe pas de peuples aux différences culturelles profondes, mais seulement des individus titulaires de droits. Pour sa part, l’auteur du Sanglot de l’homme blanc**, favorable à l’intervention en Irak en 2003 avant de modifier sa position, déplore le sentiment de culpabilité maladive de l’Occident qui conduit au suicide civilisationnel.

VACCINS: l’aumône de l’Occident pour l’Afrique

VACCINS: l’aumône de l’Occident pour l’Afrique

 

Les pays développés de l’Europe et des États-Unis n’ont pas honte d’annoncer qu’ils vont attribuer environ 13 millions de dollars de vaccins à l’Afrique qui compte 1 200 000 000 d’habitants.

 

On voit mal comment ce don insignifiant pourrait compléter une politique de vaccination qui n’existe pas dans nombre de pays africains faute de moyens. Pire dans certains pays africains, on  tente de se soigner avec une herbe miraculeuse de Madagascar vantée par le chef de l’État malgache lui-même. Une énorme escroquerie évidemment.

Dès lors compte tenu de la mesquinerie de l’Europe et  des États-Uni,s il ne faut pas être surpris que la vaccination constitue l’arme diplomatique stratégique pour des pays comme la Russie ou la Chine qui sont en train de mettre la main l’Afrique.

Emmanuel Macron a plaidé jeudi dans le Financial Times pour que les pays riches envoient 3 à 5% de leurs doses disponibles à l’Afrique « très vite ». Il a précisé sa proposition ce vendredi à la Conférence de Munich, à laquelle participaient notamment le président américain Joe Biden et la chancelière allemande Angela Merkel, en suggérant de commencer par l’envoi immédiat de 13 millions de doses.

La plupart des pays africains restent à l’écart du mouvement. En Afrique, seuls quelques pays ont démarré. Or les pays riches ont commandé d’énormes quantités de doses sans savoir si ces vaccins seraient efficaces et vu le nombre de projets qui ont abouti, ils se retrouveront avec des centaines de millions de doses excédentaires.

La montée des djihadistes fous venant de l’occident

La montée des djihadistes fous venant de l’occident

Ils ont maintenant des meilleurs ces djihadistes occidentaux venus de partout de Grande-Bretagne, de France, de Belgique, de toute l’Europe, de l’Australie, des Etats Unis y compris. D’autres viennent du Pakistan, de l’Afghanistan, d’Asie de  l’Indonésie notamment. Ces jeunes musulmans sont pour la plupart des paumés, des frustrés auusi beaucoup d’anciens voyous convertis à l’islam radical dans les prisons et/ou  des petits trafiquants de drogue des banlieues. Ces nouveaux convertis pour la plupart viennent renforcer les rangs de l’Etat islamistes mais représentent auusi une menace pour leurs pays d’origine lors de leur retour car  ils ont aussi pour mission de réaliser de attentats. Ce n’es t pas par hasard que les djihadistes ont sans doute chois un britannique pour égorger une journaliste américain.  Trahi par son accent très britannique aux premières secondes de son intervention dans la vidéo de la mort de James Foley, le bourreau du journaliste serait anglais. La rumeur qui enfle depuis deux jours semble se confirmer. Tout d’abord, parce que David Cameron, le Premier ministre britannique, a écourté ses vacances pour diriger une réunion d’urgence à ce sujet. « Il paraît de plus en plus probable qu’il s’agisse d’un ressortissant britannique », a-t-il déclaré mercredi. Ensuite, parce que le Guardian a publié mercredi soir des révélations au sujet du djihadiste, s’appuyant sur le témoignage d’un ancien otage en Syrie. A en croire le quotidien, l’homme tout de noir vêtu qui se tient aux côtés de James Foley avant de mettre fin à ses jours serait un certain « John ». Il ferait partie d’un groupe de trois djihadistes originaires du Royaume-Uni – tous acquis à la cause de l’Etat islamique (EI) – qui détiendrait des otages occidentaux dans la région de Raqqa en Syrie. « John » aurait même été à la tête de négociations avec les Occidentaux il y a six mois, au moment de la libération de plusieurs otages, parmi lesquels deux journalistes espagnols. Selon le New York Times, le groupe armé avait demandé une rançon de « plusieurs millions de dollars » aux Etats-Unis, et le refus américain serait à l’origine du meurtre de James Foley. Un ancien captif de ce groupe djihadiste a par ailleurs confié que le tueur en question était « intelligent, instruit, et un croyant fervent ». Le Guardian ajoute que les trois djihadistes britanniques étaient surnommés « les Beatles » par certains otages, en raison de leur nationalité. Le FBI, le MI-5 et Scotland Yard’s tenteraient toujours d’identifier formellement ces personnes.




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