Archive pour le Tag 'obsolètes'

Élection présidentielle : des programmes déjà largement obsolètes

Élection présidentielle : des programmes déjà largement obsolètes

 

Il n’est guère étonnant que les Français ne se passionnent pas pour les élections présidentielles. La plupart estiment  d’ailleurs que cette échéance ne changera pas grand-chose. Cela sans doute en référence à des programmes qui sont largement obsolètes.

D’abord personne n’avait prévu la situation de guerre en Ukraine et ses conséquences. Il y aura nécessairement une très grosse remise en cause de la politique énergétique de sa nature, de son utilisation et de ses origines. Du coup,  les utopies des énergies alternatives se trouvent renvoyés au calendes grecques En tout cas à leur utilisation pertinente. L’Europe longtemps soumise aux contraintes des écolos allemands et autres pays du nord s’est laissée complètement embourbée dans une politique énergétique hypothéquant largement l’indépendance économique européenne.

La seconde raison du caractère obsolète des programmes est la résurgence de l’inflation. Une inflation générée par la reprise économique mais aussi par des facteurs plus structurels comme la recomposition progressive des processus de production et de répulsion. L’indépendance économique aura un coût et la relocalisation ne sera pas gratuite. La dérive de l’inflation va remettre en cause tous les scénarios économiques. Bien sûr on pourra toujours imputer la responsabilité à la guerre en Ukraine. La vérité c’est que cette inflation va largement amputer le pouvoir d’achat des consommateurs et en même temps la consommation et la croissance.

De fait, il y  ira moins de fruits de croissance à distribuer et il faudra en outre commencer à amortir les dettes accumulées pendant la crise[. Le contraire de ce que propose la plupart des programmes qui arrosent en promesses financières les différents catégories socio professionnelles.

Tous les programmes ont à peu près en commun y compris le programme de Macron de ne pas proposer de bouclage financier sauf d’hypothétiques économies dans l’appareil d’État toujours promises mais jamais réalisées depuis des dizaines et des dizaines d’années.

À cela va s’ajouter également la contrainte supplémentaire des règles environnementales qui vont également modifier le coup d’accès aux produits et aux prestations ne serait-ce qu’à partir de la fameuse taxe carbone qui risque en outre d’impacter la compétitivité européenne.

La non pris en compte de ces différents enjeux pourrait bien se traduire par une crise sociale tellement est important le fossé entre les promesses électorales et les réalités sociaux économiques.

Présidentielle : avec l’Ukraine, «tous les programmes obsolètes»

Présidentielle : avec l’Ukraine, «tous les programmes  obsolètes»

 

Pour une fois, François Hollande n’a sans doute pas tort d’affirmer qu’avec la crise de l’Ukraine tous les programmes électoraux en vue des présidentielles sont obsolètes.

Plusieurs facteurs explicatifs doivent être pris en compte. Il y a d’abord cette inflation structurelle qui menace maintenant très sérieusement la consommation et derrière la croissance. Une évolution antérieure à la crise de l’Ukraine qui ne comporte pas simplement des dimensions conjoncturelles mais des dimensions également structurelles liées à la recomposition du processus de production et de distribution sans parler de la prise en compte des dimensions environnementales.

Un autre facteur dominant doit être intégré à savoir les risques de crise géopolitique qui pourrait étendre l’intensité et le champ géographique de la guerre menée par la Russie. Là aussi c’est durablement que les échanges internationaux se trouvaient bouleversés et les prix des principales matières premières poussées encore davantage vers le haut.

Le dernier élément central est celui de la dette et du financement. Aucun des programmes ne prend en compte la dérive du budget et le gonflement de la dette. Pas davantage le programme de macro que celui des autres. Lesquels sont à peu près tous fondés sur d’hypothétiques économies qui ne sont jamais évaluées et précisées.

«On sait très bien que cela sera beaucoup plus difficile économiquement, on sait que l’on va avoir une inflation beaucoup plus forte, des taux d’intérêt qui vont revenir, une dette publique considérable», ajoute l’ex-président de la République qui au passage, réfute les accusations contre Emmanuel Macron d’une campagne escamotée. «Personne n’avait imaginé en fixant ces dates d’élection que ce serait dans un contexte comme celui-là. C’est vrai que les débats, les réunions ne peuvent pas se faire comme il était imaginé. Mais les sujets qui sont posés sont suffisamment graves pour que ça élève le niveau d’une campagne présidentielle», expose l’ex-président socialiste,.

Soldes ratées et obsolètes

  • Soldes ratées et obsolètes
  • Pour les commerçants indépendants, le chiffre d’affaires n’a grimpé que de 4,5 % par rapport à la première quinzaine de soldes de 2020.
  • «La dynamique n’est jamais revenue, estime la profession. La clientèle est totalement perdue avec des dates qui changent sans cesse et des ventes privées et promotions qui se multiplient. La deuxième démarque ne change rien. Il n’y a aucun sursaut prévisible d’ici la fin le 27 juillet.» La profession  proposera à la rentrée au gouvernement des pistes pour relancer un modèle des soldes «totalement obsolète».

Les tablettes bientôt obsolètes ?

Les tablettes bientôt obsolètes ?

 

 

Ce devait être la nouvelle grande révolution annoncée par Apple or on se demande aujourd’hui si les tablettes ne deviendront pas bientôt obsolètes. Le marché des tablettes dans son ensemble recule (-12% en 2015). La faute à la concurrence des smartphones dont les écrans sont de plus en plus grands et qui viennent empiéter sur les plates-bandes des tablettes. En 2012, la taille d’écran moyenne en France pour les smartphones était de 3,7 pouces, elle est montée à 4,4 pouces en 2014 et a atteint les 5 en 2015. Des smartphones qui cannibalisent mais aussi des appareils qu’on remplace moins souvent. La tablette a fait en quelque sorte « le plein » depuis 5 ans puisque près de 60% des foyers français en possèdent une selon une étude de la Fevad. Or à la différence du smartphone, une tablette a une durée de vie plus longue et se change moins souvent (elle reste à la maison et s’use moins). Désormais la tablette est sur un marché de renouvellement qui ne génère plus de croissance. Les cycles se raccourcissent de plus en plus vite dans la « tech ». Cinq ans seulement après la sortie du premier iPad d’Apple, le marché des tablettes est clairement à la peine. Pour la première fois de leur courte histoire, les ventes de tablettes ont reculé l’an dernier. Selon le cabinet d’études IDC, la baisse a atteint 10,1 % en 2015, avec 206,8 millions d’unités écoulées dans le monde. Sur le dernier trimestre, et malgré les fêtes de Noël, les ventes ont même chuté de 13,7 %. Par contre se développent  les tablettes hybrides entre ordinateurs et tablettes classiques Les ventes de tablettes hybrides ont plus que doublé l’an dernier avec 16,9 millions d’unités écoulées, selon IDC (dont 2 millions pour l’iPad Pro, lancé en novembre 2015).  « L’une des raisons du succès de ces produits vient justement du fait qu’ils peuvent aisément remplacer un PC », estime Jitesh Ubrani. L’analyste s’attend à une poursuite de la croissance pour ce segment de marché, avec l’arrivée de nouveaux acteurs et de nouveaux modèles à des prix plus abordables que les modèles actuels. Les « 2-en-1 » pourraient même permettre d’enrayer le déclin du marché des tablettes dès 2016, et relancer la croissance pour les années suivantes.

Vœux présidentiels : convenus, inutiles, obsolètes

Vœux présidentiels : convenus,  inutiles, obsolètes

 

Une tradition cette cérémonie des vœux présidentiels, souvent pour ne dire, que des banalités :  la crise, ça va aller mieux, demain on rase gratis. Quelle curieuse démocratie où le président se prend pour un monarque sur fond de palais  de la monarchie républicaine. De quoi sourire ou plutôt pleurer ; Ils se sont mis à plusieurs experts en com. pour pondre cette allocution historique. Le port était royal, le propos rapide, assuré, presque martial ; Là ou aurait pu se contenter de dire simplement « bonne année », même sans conviction. Finalement à peu près le même exercice depuis des années, un exercice évidemment décalé par rapport aux réalités et au ressenti des français. Pour résumer, l’année n’a pas été facile mais l’avenir sera plus rose et je suis là ! Une discipline que s’imposent chaque année nos présidents et pourtant tellement obsolète. Mélenchon qui na pas toujours tort dans sa critique de la gouvernance « hollandaise » (mais qui n’a pas toujours raison dans ses propositions programmatiques) a bien résumé la situation dans un tweet » Hollande a parlé, les huitres baillent, à table ! »




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