Archive pour le Tag 'obligatoires'

Vaccinations obligatoires : la Haute autorité pour la santé pour (HAS)

Vaccinations obligatoires : la Haute autorité pour la santé pour (HAS)

La HAS défend le principe de la vaccination obligatoire; L’institution préconise « l’ouverture rapide d’un large débat sur l’élargissement de l’obligation vaccinale ». De quoi conforter les récentes décisions de l’exécutif. Elle préconise « l’ouverture rapide d’un large débat sur l’élargissement de l’obligation vaccinale afin que les pouvoirs publics puissent s’appuyer sur ces discussions pour prendre à temps une décision ciblant, le cas échéant, une population plus large que celle concernée par le présent projet de loi (personnes vulnérables, professionnels en contact avec le public voire population générale). »

Emmanuel Macron a annoncé lundi une série de mesures destinées à rendre obligatoire la vaccination pour tous les personnels soignants et l’élargissement du pass sanitaire à de nombreux lieux et événements à partir du 21 juillet.

 

Vaccins obligatoires : L’Académie de médecine pour

  • Vaccins obligatoires : L’Académie de médecine pour  

L’Académie nationale de médecine  veut rendre le vaccin obligatoire pour de nombreuses professions et de vacciner enfants et adolescents, seul moyen selon elle d’atteindre «une immunité collective suffisante pour contrôler l’épidémie». Déjà évoquée il y a quelques mois, la question de l’obligation vaccinale se heurtait alors à la pénurie de vaccins et aux incertitudes sur leur niveau d’efficacité, mais «avec un taux d’efficacité de 90% à 95% contre les formes graves de Covid, les vaccins actuellement homologués en France (…) remplissent les conditions qui permettent de recourir à l’obligation vaccinale», juge l’institution.

 

Masques: obligatoires: manque de courage et confusion pour les ERP ( établissement recevant du public )

Masques: obligatoires: manque de courage et confusion pour les  ERP ( établissement recevant du public )

 

Une nouvelle fois, ce qui va caractériser l’analyse du discours de Macron, c’est son manque de courage autant que sa confusion. Un manque de courage vis-à-vis du  masque. Et forcément une confusion. Faut-il rappeler qu’au départ ce port du masque a été tellement critiqué par les experts comme par le gouvernement. Aujourd’hui, on envisagerait de le rendre obligatoire mais uniquement dans les espaces publics clos (ERP) . Une espèce de définition particulièrement vague d’abord pour définir ce qui est public ou même parfois qui peut être considéré comme clos ou non, ou en partie. il aurait été tellement plus simple de déclarer que compte tenu d’une pandémie qui ne cesse de se développer partout dans le monde, une deuxième vague est incontournable et que le port du masque doit être obligatoire en dehors du domicile. Macron n’a pas pris cette décision par peur de ses propres contradictions et surtout par peur de mécontenter encore une opinion publique qui lui est de plus en plus hostile.- Emmanuel Macron a donc seulement annoncé mardi que le port du masque allait devenir obligatoire dans tous les lieux publics clos en France face à recrudescence de l’épidémie liée au coronavirus.

Lors d’une interview télévisée à l’occasion de la fête nationale, Emmanuel Macron a dit vouloir permettre à tout Français de se faire tester, même sans prescription médicale.

La France sera prête en cas de nouvelle vague épidémique, a aussi assuré le président de la République.

“Nous sommes en train de tout faire pour éviter une nouvelle vague et de faire une approche différenciée si elle apparaissait”, a-t-il précisé. “Si on ne veut pas de deuxième vague, ça dépend de nous.”

Les autorités ont fait le nécessaire pour que la rentrée des classes se déroule “dans des conditions quasi normales”, a aussi souligné Emmanuel Macron.

Si un vaccin contre le coronavirus était trouvé, “la France sera servie parmi les premiers pays”, a aussi déclaré le chef de l’Etat, alors que le groupe français Sanofi travaille à l’élaboration d’un vaccin contre le virus qui a fait plus de 30.000 morts en France et reste très actif dans le monde.

Coronavirus : Castaner contre les masques obligatoires !

Coronavirus : Castaner contre les masques obligatoires

 

C’est le paradoxe, le ministre de l’intérieur Castaner  veut sanctionner les maires qui ont décidé de rendre obligatoire les masques alors qu’on sait qu’il s’agit de l’une des mesures barrière les plus efficaces. Auditionné ce jeudi matin par la mission d’information de l’Assemblée nationale sur l’épidémie de coronavirus, le ministre de l’Intérieur s’est montré ferme à l’égard des édiles prenant de telles décisions. «J’ai demandé aux préfets de prendre langue avec ces maires pour qu’ils retirent leurs arrêtés pendant toute la période du confinement», a recadré Christophe Castaner face aux députés. Interpellé jeudi à ce sujet par la préfecture de Charente-Maritime, le maire (Les Républicains) de Royan, Patrick Marengo, s’est déjà exécuté. La vérité évidemment c’est que le gouvernement est bien dans la capacité d’assurer la fourniture de masques à tous les Français. C’est donc une stratégie de pénurie par scanner avec de très mauvais arguments.

Pour lui, un tel choix «n’est pas cohérent par rapport à l’exigence qu’implique le confinement» : «ça peut laisser penser qu’on peut sortir», a-t-il expliquéEnsuite, cette règle contrevient à «l’égalité territoriale», «parce que certaines communes peuvent avoir les moyens d’équiper l’ensemble de leur population en masques, quand d’autres ne l’auraient pas», a-t-il expliqué. Estimant au passage que l’utilité sanitaire d’un port du masque par tous «n’est pas médicalement démontrée». Encore évidemment une contre- vérité par ailleurs assez dramatique qui démontre le mensonge du gouvernement et son incapacité à gérer de manière efficace la crise sanitaire

Prélèvements obligatoires : Edouard Philippe ment !

Prélèvements obligatoires :  Edouard Philippe ment !

 

«L’objectif fixé au gouvernement par le président (consiste notamment à) baisser les prélèvements obligatoires – cela a commencé cette année » «  a déclaré Édouard Philippe dimanche en réponse au mouvement des gilets jaunes. Un mensonge évidemment. Macron s’était engagé à réduire les prélèvements obligatoires de 44,5% du PIB à 43,6% d’ici fin 2022, avec une moitié des baisses pour les ménages et l’autre pour les entreprises. Des objectifs qui ne seront pas atteints. À peu près tous les gouvernements ont annoncé une baisse de la fiscalité cependant le taux et le montant des prélèvements obligatoires ne cessent  d’augmenter chaque année. C’était le cas en 2017 ce sera le cas en 2018 aussi en 2019.Pour la France c’est 10 points de plus que la moyenne de l’OCDE.

 

Total des prélèvements obligatoires, en % du PIB, dans quelques pays de l’OCDE,

 

Allemagne 37

Canada 31,9

Danemark 46,6

Espagne 33,8

États-Unis 26,4

France 45,5

Italie 43,3

.

Mexique 17,4

Royaume-Uni 32,5

Suède 43,3

Suisse 27,9

 

Moyenne OCDE 34,3

 

 

En pourcentage du produit intérieur brut (PIB), le taux de prélèvements obligatoires a atteint cette année-là son « point le plus haut », avec 45,3% du PIB. Les cotisations sociales ont pesé pour 37% des prélèvements obligatoires et les impôts pour 63%. Ce taux doit retomber à 45% du PIB en 2018 et à 44,2% du PIB en 2019, en raison des baisses d’impôts décidées par le gouvernement (taxe d’habitation, impôt sur la fortune, flat tax). Malgré tout, la quantité d’impôts et cotisations recouvrés par l’Etat, les collectivités et la sécurité sociale devrait continuer à augmenter, pour atteindre 1.057 milliards d’euros en 2018 et 1.070 milliards en 2019. Cela s’explique par l’ »évolution spontanée » des recettes fiscales, souligne Joël Giraud dans son rapport, destiné à éclairer les parlementaires sur le projet de loi de finances, qui sera débattu à l’Assemblée nationale à partir de lundi. Les rentrées d’impôts augmentent en effet quand l’activité économique croît, la bonne tenue de l’économie stimulant notamment la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) et l’impôt sur le revenu, lié au salaire. Le taux de croissance attendu pour cette année comme pour l’an prochain (1,7% dans les deux cas selon le gouvernement) laisse entrevoir une hausse des recettes fiscales en volume supérieure aux baisses prévues par le gouvernement. Selon les calculs du rapporteur, l’évolution spontanée des recettes devrait ainsi avoisiner les 29,8 milliards en 2018, tandis que les baisses liées aux réformes fiscales de l’exécutif atteindront 10,4 milliards d’euros. En 2019, ces chiffres seront respectivement de 31,9 milliard

 

Baisse des prélèvements obligatoires: du pipeau

 Baisse des prélèvements obligatoires: du pipeau

 

Ce que dit en substance l’IFRAP qui rappelle qu’Emmanuel Macron s’était engagé à réduire les prélèvements obligatoires de 44,5% du PIB à 43,6% d’ici fin 2022, avec une moitié des baisses pour les ménages et l’autre pour les entreprises. Des objectifs qui ne seront pas atteints. À peu près tous les gouvernements ont annoncé une baisse de la fiscalité cependant le taux et le montant des prélèvements obligatoires ne cessent  d’augmenter chaque année. C’était le cas en 2017 ce sera le cas en 2018 aussi en 2019.Pour la France c’est 10 points de plus que la moyenne de l’OCDE.

 

Total des prélèvements obligatoires, en % du PIB, dans quelques pays de l’OCDE,

 

Allemagne 37

Canada 31,9

Danemark 46,6

Espagne 33,8

États-Unis 26,4

France 45,5

Italie 43,3

.

Mexique 17,4

Royaume-Uni 32,5

Suède 43,3

Suisse 27,9

 

Moyenne OCDE 34,3

 

 

En pourcentage du produit intérieur brut (PIB), le taux de prélèvements obligatoires a atteint cette année-là son « point le plus haut », avec 45,3% du PIB. Les cotisations sociales ont pesé pour 37% des prélèvements obligatoires et les impôts pour 63%. Ce taux doit retomber à 45% du PIB en 2018 et à 44,2% du PIB en 2019, en raison des baisses d’impôts décidées par le gouvernement (taxe d’habitation, impôt sur la fortune, flat tax). Malgré tout, la quantité d’impôts et cotisations recouvrés par l’Etat, les collectivités et la sécurité sociale devrait continuer à augmenter, pour atteindre 1.057 milliards d’euros en 2018 et 1.070 milliards en 2019. Cela s’explique par l’ »évolution spontanée » des recettes fiscales, souligne Joël Giraud dans son rapport, destiné à éclairer les parlementaires sur le projet de loi de finances, qui sera débattu à l’Assemblée nationale à partir de lundi. Les rentrées d’impôts augmentent en effet quand l’activité économique croît, la bonne tenue de l’économie stimulant notamment la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) et l’impôt sur le revenu, lié au salaire. Le taux de croissance attendu pour cette année comme pour l’an prochain (1,7% dans les deux cas selon le gouvernement) laisse entrevoir une hausse des recettes fiscales en volume supérieure aux baisses prévues par le gouvernement. Selon les calculs du rapporteur, l’évolution spontanée des recettes devrait ainsi avoisiner les 29,8 milliards en 2018, tandis que les baisses liées aux réformes fiscales de l’exécutif atteindront 10,4 milliards d’euros. En 2019, ces chiffres seront respectivement de 31,9 milliard

35 heures obligatoires pour les fonctionnaires parisiens : une injustice !

35 heures obligatoires pour les  fonctionnaires parisiens : une injustice !

Les fonctionnaires qui travaillent pour le compte de la région vont devoir passer d’un temps de travail de 34 heures à 35 heures (les fonctionnaires de la Ville de Paris ne sont pas concernés). Une injustice est un scandale évidemment. On entend d’ici les protestations de certains syndicats qui vont dénoncer les conditions de travail inhumaines. La vérité c’est que cela ne changera sans doute pas grand-chose à la fois en termes de présence et de productivité mais c’est au moins un affichage pour faire semblant d’exiger des fonctionnaires locaux davantage d’efficacité. On  prévoit également « une baisse globale du nombre de jours et de motifs accordés pour autorisation spéciale d’absence (décès familiaux, mariage, etc.), mais élargit la notion de cercle familial », a précisé Marie-Carole Ciuntu. Selon les syndicats, cela se traduit par la « suppression de 30 jours ». Rappelant que le temps de travail actuel des agents dérogeait à une circulaire du ministère de la Fonction publique de 2017, elle a expliqué que la région avait « simplement voulu à la marge se mettre dans le droit commun de la Fonction publique ». « Nous demandons aux agents du siège de prendre leur part à la diminution des frais de fonctionnement de manière très modérée », a-t-elle aussi précisé. À gauche, le groupe Alternative écologiste et sociale a dénoncé une « démonstration de la casse du service public » et une mesure de « régression sociale », le Front de gauche « une remise en cause de toutes clauses à l’avantage des agents ».

Réfugiés: vers des quotas mais non obligatoires !

Réfugiés: vers des quotas mais non obligatoires !

 

Finalement Hollande a peut-être trouvé le compromis européen qui permettra de sortir de l’impasse actuelle concernant la répartition des réfugiés. Un compromis qui lui ressemble c’est-à-dire très flou. Il s’agirait en fait de déterminer des quotas, une sorte de clé de répartition des réfugiés par pays mais qui ne prendrait pas de caractère obligatoire. C’est-à-dire en fait la négation même du concept de quota. L’Europe pourra ainsi sauver la face sur le plan politique mais concrètement sur le terrain c’est orientation ambigüe ne changera rien. En réalité on s’oriente  vers une situation qui se caractérise par le chacun pour soi et  chaque État décidera du nombre de réfugiés qu’il veut accueillir de la nature et de l’ampleur des contrôles à sa frontière. La France veut cependant que les principaux sujets de tension sur la crise des migrants soient réglés par les ministres de l’Intérieur européens mardi, a déclaré François Hollande dimanche. En l’état des oppositions sur le sujet on ne pourra parvenir qu’un accord bâtard. La question la plus épineuse est celle de savoir si la répartition des 120.000 réfugiés supplémentaires proposée par l’Europe sera obligatoire ou non, certains pays s’opposant farouchement à tout mécanisme contraignant. François Hollande a semblé ne plus faire du caractère obligatoire une question de principe, tout en prévenant que tous les pays européens devraient prendre part à l’effort. « Nous veillerons (…) à ce que le mécanisme soit effectif quelles que soient ses modalités et que les engagements puissent être tenus », a-t-il dit. L’objectif est de régler également au niveau des ministres la question de la construction effective des « hotspots », ces centres d’accueil et de tri des migrants, et leur fonctionnement, ainsi que la façon d’aider la Turquie et les pays du Proche-Orient accueillant des réfugiés.

Pour des détecteurs obligatoires de fumée politique

Pour des détecteurs obligatoires de fumée politique

 

Depuis des semaines on nous bassine avec la date fatidique du 8 mars ( on suppose qu’entendant  les feux d’appartements sont mis en stand-by ?). Une date qu’on semble attendre comme uen éclipse du soleil, un tremblement de terre ou pire la chute d’un énorme météorite sur la France. En plus il n’y en aurait plus en magasin, panique donc, reportages et démonstrations « technique » ( en fait il suffit de deux vis pour la fixation) ; A défaut de vraie information, cela permet de meubler les unes de journaux plutôt maigres en ce moment. Question,  de quoi va-ton parler après le 8 mars ? Une suggestion rendre obligatoire le détecteur de fumée politique au dessus de sa télé. Un marché très important qu’ on peut étendre à tous les moyens de communication audiovisuels  ( tablette, smartphone, portable,  des détecteurs mobiles pour es derniers°)  ; Du coup dès que le propos paraitra approximatif, démagogique ou mensonger une  fumée se dégage aussitôt des appareils. Un appareil qui ne sera pas réutilisable. De ce fait il faudra certainement prévoir des centaines  de détecteurs de fumée politique par ménage De quoi relancer l’économie.  A Bercy on déjà calculé que l ‘incidence de cette mesure qui serait de 0.5% sur le PIB. ( il faut se méfier c’est Sapin qui le dit !). Du coup en même temps, c’est le rééquilibrage des comptes publics qui devient compatible avec les exigences Bruxelles. La croissance relancée, le chômage vraiment inversé, les déficits supprimés, la réélection de Hollande redevient possible voire même indispensable. A moins évidemment que comme en 2012, Hollande ne se laisse tenter par des propos fumeux  du style : « l’ennemi c’est la finance ».




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