Archive pour le Tag 'Nupes'

Revenir à la NUPES ? Sans doute, mais sans les « insoumis » !

Revenir à la NUPES ? Sans doute, mais sans les « insoumis » !

 

La tête de liste LFI aux européennes, Qui constate que salissent ne cesse de s’enfoncer dans les profondeurs au point de ne réaliser qu’environ la moitié des voix de Glucksmann croient encore à la reconstitution de la NUPES. Certes une alliance de gauche va sans doute ce reconstituer au-delà des européennes mais ce sera sans le leadership des insoumis voir en leur absence. Des » insoumis » qui finalement ont négligé les questions européennes pour se consacrer aux protestations internationales notamment à la question palestinienne. Sans parler de leur positionnement ambigu vis-à-vis du conflit ukrainien.

On a un peu de difficulté à comprendre et encore davantage à adhérer au point de vue de la tête de liste aux élections européennes (intervenants Le Figaro).

 Qu’est-ce qui vous distingue aujourd’hui des autres formations de gauche ?

MANON AUBRY. – Nous sommes les seuls à porter le programme de la Nupes. J’aurais aimé qu’on mène campagne tous ensemble sur ce programme-là. Force est de constater que certains ont préféré lui tourner le dos. La deuxième différence, c’est notre constance et notre cohérence dans notre opposition aux traités de libre-échange et notre opposition aux règles d’austérité budgétaires dictées par l’Europe, qui sacrifient nos services publics.

Défendez-vous toujours la désobéissance à certains traités européens ?

Notre ambition écologique et sociale prime sur tout le reste, quitte à assumer effectivement de désobéir à certaines règles européennes. Par exemple, lorsque la Commission impose une privatisation des activités de transports de marchandises de la SNCF. Même chose sur les nouvelles règles d’austérité budgétaire …

Politique : La NUPES est morte (Mélenchon)

Politique :La NUPES est morte (Mélenchon)

Celui qui a obtenu le score méritoire de plus de 22 % aux dernières présidentielles est bien contraint d’accepter le déclin de son audience. En effet son parti, les » insoumis », dans les sondages ne recueille plus que 6 % et se retrouve même derrière le parti socialiste à 9 %. Mélenchon considère donc que la NUPES morte. En réalité ce sont aussi « les insoumis « qui sont en voie d’extinction et qui vont être renvoyés au statut d’une organisation extrémiste très marginale .

À l’occasion d’une réunion publique à Rochefort (Charente-Maritime), Jean-Luc Mélenchon a estimé ce jeudi qu’ »il n’y a plus de Nupes », renvoyant une nouvelle fois la responsabilité d’une fin de l’alliance aux autres partis de gauche, dont il dénonce les « gamineries » et « enfantillages ».

« J’admets que ce qu’on a construit est déjà détruit », a déclaré le triple candidat à la présidentielle. Tout en prétendant ne pas connaître le motif selon lequel cette coalition formée aux dernières législatives serait terminée. Une façon de mettre en cause ses partenaires d’hier.

L’insoumis ne les épargne pas et vise plus particulièrement les socialistes. Allié le plus solide de LFI au sein de la Nupes pendant plusieurs mois, ils ont finalement voté un « moratoire » sur leur participation à l’intergroupe de l’alliance, après fortes tensions notamment autour de la guerre entre le Hamas et Israël.

Au passage, Olivier Faure avait dénoncé plus largement « la méthode Mélenchon », et appelé à un « fonctionnement démocratique » de la Nupes. En pointant également plusieurs désaccords successifs, que ce soit sur la stratégie à mener lors de la réforme des retraites ou les émeutes de cet été.

La NUPES est morte (Mélenchon)

La NUPES est morte (Mélenchon)

Celui qui a obtenu le score méritoire de plus de 22 % aux dernières présidentielles et bien contraints d’accepter le déclin de son audience. En effet son parti, les insoumis, dans les sondages ne recueille plus que 6 % et se retrouve même derrière le parti socialiste à 9 %. Mélenchon considère donc que la NUPES morte. En réalité ce sont aussi les insoumis qui sont en voie d’extinction et qui vont être renvoyé au statut d’une organisation extrémiste très marginale .

À l’occasion d’une réunion publique à Rochefort (Charente-Maritime), Jean-Luc Mélenchon a estimé ce jeudi qu’ »il n’y a plus de Nupes », renvoyant une nouvelle fois la responsabilité d’une fin de l’alliance aux autres partis de gauche, dont il dénonce les « gamineries » et « enfantillages ».

« J’admets que ce qu’on a construit est déjà détruit », a déclaré le triple candidat à la présidentielle. Tout en prétendant ne pas connaître le motif selon lequel cette coalition formée aux dernières législatives serait terminée. Une façon de mettre en cause ses partenaires d’hier.

L’insoumis ne les épargne pas et vise plus particulièrement les socialistes. Allié le plus solide de LFI au sein de la Nupes pendant plusieurs mois, ils ont finalement voté un « moratoire » sur leur participation à l’intergroupe de l’alliance, après fortes tensions notamment autour de la guerre entre le Hamas et Israël.

Au passage, Olivier Faure avait dénoncé plus largement « la méthode Mélenchon », et appelé à un « fonctionnement démocratique » de la Nupes. En pointant également plusieurs désaccords successifs, que ce soit sur la stratégie à mener lors de la réforme des retraites ou les émeutes de cet été.

Partis politiques : la fin de la NUPES, des Insoumis et de Mélenchon ?

Partis politiques : la fin de la NUPES, des Insoumis et de Mélenchon

Le gauchisme effréné du parti de Mélenchon aura entraîné non seulement l’affaiblissement considérable de son image mais aussi celle de son parti, les « Insoumis » et aura aussi favorisé la fin de l’alliance de la NUPES. Aujourd’hui à gauche, tout le monde reprend son autonomie. Les écologistes, le parti socialiste, le parti radical socialiste, le parti communiste et de fait aussi les « Insoumis » bientôt réduits à une petite organisation d’extrême gauche marginale.

La chute est terrible pour le parti de Mélenchon. Ce dernier avait failli se qualifier pour les élections présidentielles. Il a obtenu près de 22 % des suffrages des électeurs, ce qui n’est pas rien. Aujourd’hui les meilleurs sondages lui attribuent pour les élections européennes un maximum de 6 % des voix. Derrière même le parti socialiste, à 9 %. Pourtant un parti qui ne brille pas non plus pour sa clairvoyance et son dynamisme ; qui est aussi très divisé.

Comment en deux ans peut-on passer d’un soutien de 22 % des Français à 6 % ? Tout simplement en s’éloignant progressivement de tous les principes républicains traditionnels de la gauche. En soutenant comme les gauchistes tout ce qui bouge : la révolte les quartiers, le racisme et maintenant le Hamas. Certes le discours est un peu policé- pas toujours d’ailleurs chez certains excités des Insoumis qui de toute évidence non pas leur place au Parlement–mais en arriver à soutenir les violences des terroristes palestinien ou encore objectivement Poutine discrédite le parti des Insoumis quant à son appartenance à une organisation républicaine.

La subtilité sémantique qui consiste pour les Insoumis à considérer les atrocités du Hamas comme des crimes de guerre et non des crimes contre l’humanité dissimule en plus une certaine lâcheté politique.

Il y aura peut-être une autre alliance de gauche mais certainement pas celle fondée en faità partir d’une idéologie clairement gauchiste et communiste. Une idéologie qui mène tout droit vers la dictature. L’idéologie communiste teintée de gauchisme est en effet consubstantielle à la privation des libertés individuelles et collectives. À la privation tout simplement de la démocratie.

D’une certaine manière, par contrecoup les Insoumis et tous les extrémistes y compris chez les écolos auront largement servi les intérêts de l’extrême droite. Par leur positionnement irréaliste, irresponsable et choquant, il donne du crédit à l’autre extrême.

Rien n’est irréversible en politique mais si la gauche a un avenir en 2027 ou plus tard elle devra procéder à son aggiornamento, à sa révolution culturelle et à ses fondements idéologiques pour reconquérir adhérents et électeurs.

Politique : la fin de la NUPES, des Insoumis et de Mélenchon

Politique : la fin de la NUPES, des Insoumis et de Mélenchon

Le gauchisme effréné du parti de Mélenchon aura entraîné non seulement l’affaiblissement considérable de son image mais aussi celle de son parti, les « Insoumis » et aura aussi favorisé la fin de l’alliance de la NUPES. Aujourd’hui à gauche, tout le monde reprend son autonomie. Les écologistes, le parti socialiste, le parti radical socialiste, le parti communiste et de fait aussi les « Insoumis » bientôt réduits à une petite organisation d’extrême gauche marginale.

La chute est terrible pour le parti de Mélenchon. Ce dernier avait failli se qualifier pour les élections présidentielles. Il a obtenu près de 22 % des suffrages des électeurs, ce qui n’est pas rien. Aujourd’hui les meilleurs sondages lui attribuent pour les élections européennes un maximum de 6 % des voix. Derrière même le parti socialiste, à 9 %. Pourtant un parti qui ne brille pas non plus pour sa clairvoyance et son dynamisme ; qui est aussi très divisé.

Comment en deux ans peut-on passer d’un soutien de 22 % des Français à 6 % ? Tout simplement en s’éloignant progressivement de tous les principes républicains traditionnels de la gauche. En soutenant comme les gauchistes tout ce qui bouge : la révolte les quartiers, le racisme et maintenant le Hamas. Certes le discours est un peu policé- pas toujours d’ailleurs chez certains excités des Insoumis qui de toute évidence non pas leur place au Parlement–mais en arriver à soutenir les violences des terroristes palestinien ou encore objectivement Poutine discrédite le parti des Insoumis quant à son appartenance à une organisation républicaine.

La subtilité sémantique qui consiste pour les Insoumis à considérer les atrocités du Hamas comme des crimes de guerre et non des crimes contre l’humanité dissimule en plus une certaine lâcheté politique.

Il y aura peut-être une autre alliance de gauche mais certainement pas celle fondée en faità partir d’une idéologie clairement gauchiste et communiste. Une idéologie qui mène tout droit vers la dictature. L’idéologie communiste teintée de gauchisme est en effet consubstantielle à la privation des libertés individuelles et collectives. À la privation tout simplement de la démocratie.

D’une certaine manière, par contrecoup les Insoumis et tous les extrémistes y compris chez les écolos auront largement servi les intérêts de l’extrême droite. Par leur positionnement irréaliste, irresponsable et choquant, il donne du crédit à l’autre extrême.

Rien n’est irréversible en politique mais si la gauche a un avenir en 2027 ou plus tard elle devra procéder à son aggiornamento, à sa révolution culturelle et à ses fondements idéologiques pour reconquérir adhérents et électeurs.

Politique–divorce du parti communiste avec la NUPES

Politique–divorce du parti communiste avec la NUPES

Le divorce est pratiquement consommé entre le parti communiste et d’alliance de gauche NUPES. Invité mercredi soir de RTL, le secrétaire national du PCF a vilipendé les «dirigeants (insoumis) qui ont pris des positions en total décalage avec les valeurs de la gauche.»

Il faut dire que les prises de position ambiguës du parti mélenchoniste sur le conflit au Proche-Orient et à l’égard du Hamas l’ont isolé dans la classe politique et la Nupes. Invitée de RTL mercredi soir, le secrétaire national du PCF Fabien Roussel a indiqué que son parti «avait définitivement rompu avec LFI». «Nous avons fait voter une déclaration en Conseil national, votée à 93%, qui a fait le constat que la Nupes était une impasse et qu’il est urgent de reconstruire une union, un rassemblement de la gauche capable de gouverner demain», a ainsi proposé l’ancien candidat à la présidentielle.

Outre les oppositions entre le parti communiste et le parti des Insoumis, il faut y ajouter le conflit permanent entre la personnalité de Fabien Roussel et de Mélenchon. Ce dernier traitant par le mépris un parti communiste qu’il estime condamné tandis que Fabien Roussel au contraire à bien l’ambition de grignoter l’audience du parti de Mélenchon pour prendre sa place politiquement.

Fin de la NUPES aussi pour le PS ?

Fin de la NUPES aussi pour le PS ?

C’est mardi soir que se décidera ou non la fin de la collaboration du parti socialiste avec le parti de Mélenchon dans le cadre de la Nupes.

En fait, les reproches sont de plusieurs natures. Les socialistes comme d’ailleurs les communistes voire les écologistes reprochent l’hégémonie de LFI sur l’alliance. Ils considèrent en général que l’environnement politique s’est modifié et que cette mise en tutelle de la gauche par Mélenchon n’est plus justifiée en l’état des rapports de force. Le parti socialiste comme d’ailleurs les autres membres de la gauche espèrent une redistribution des cartes en leur faveur. En clair ils espèrent surtout un affaiblissement des Insoumis.

Le schisme pourrait aussi être justifié par la fuite en avant depuis plusieurs mois de certains leaders de LFI mais de Jean-Luc Mélenchon en particulier qui sur tous les terrains pratique la fuite en avant gauchiste.

Le Parti socialiste réunira ce mardi soir son conseil national afin de discuter d’une éventuelle sortie de l’alliance de gauche Nupes en raison des positions de La France insoumise sur le Hamas, a-t-on appris dimanche auprès du parti.

Il devait avoir lieu samedi, mais le premier secrétaire Olivier Faure avait finalement décidé de le reporter, « compte tenu du contexte dramatique lié à l’assassinat » d’un enseignant par un ancien élève radicalisé, vendredi à Arras.

Ce conseil national, qui réunira environ 300 cadres du parti, se tiendra à partir de 19h30.

Tous les opposants internes à Olivier Faure, hostiles à la Nupes, se sont exprimés pour réclamer la sortie du PS de cette coalition, largement dominée par LFI.

C’est notamment le cas de la présidente de la région Occitanie, Carole Delga, qui parle de « faillite morale », la maire de Paris Anne Hidalgo, qui évoque « une mésalliance », ou encore le maire de Rouen et rival interne d’Olivier Faure, Nicolas Mayer-Rossignol, qui en fait « une question de principe ».

Mais Olivier Faure, fervent défenseur de l’union de gauche, n’entend pas laisser la Nupes à Jean-Luc Mélenchon.

Après avoir jugé dans Libération que le positionnement de LFI sur la guerre entre Israël et le Hamas aurait « des conséquences lourdes » sur l’avenir de l’alliance, il souhaite que la Nupes puisse être rééquilibrée, dénonçant « la méthode Mélenchon », qui « ne cherche jamais le centre de gravité du rassemblement de la gauche » mais vise la radicalisations des positions.

La pression s’accentue aussi depuis que le PCF a semblé lui aussi faire un pas vers la sortie de la coalition, après avoir voté dimanche, lors de son propre conseil national, une résolution actant que la Nupes était devenue « une impasse » et appelant à « un nouveau type d’union » de la gauche.

Nupes : le PCF pour «une nouvelle» alliance à gauche

Nupes : le PCF pour «une nouvelle» alliance à gauche

La rupture du parti communiste français avec la Nupes est maintenant officielle depuis que près les communistes ont voté ce dimanche une résolution appelant à repenser le «rassemblement de la gauche et des écologistes». Il est vrai que le torchon brûlait déjà depuis des mois entre Mélenchon pratiquant la fuite en avant gauchiste et Fabien Roussel au contraire se recentrant comme pour se tenir prêt à assurer ses responsabilités dans une alliance de gouvernement.

Les menaces étaient jusque-là restées verbales. Mais voilà que Fabien Roussel et les siens ont joint la parole aux actes, en faisant ce week-end un premier pas en dehors de l’alliance. «La Nupes telle, qu’elle a été constituée pour les élections législatives, sous la volonté hégémonie de LFI, est devenue une impasse», peut-on lire dans un texte adopté à près de 93% par le Conseil national du parti ce dimanche.

En refusant de qualifier de «terroriste» le Hamas, les Insoumis ont sans doute précipité la fin du chapitre. C’est en tout cas ce que laissent entendre les communistes, qui ne retiennent plus leurs coups contre les troupes de Jean-Luc Mélenchon. «Le refus récent de qualifier d’actes terroristes les atrocités commises par le Hamas, délibérément à l’encontre de civils, affaiblit les rassemblements nécessaires pour la paix au Proche-Orient et la lutte contre les crimes de guerre de l’armée israélienne», écrivent-ils.

D’autant que les militants de Fabien Roussel gardent la dent dure contre leurs partenaires Insoumis, dont les «insultes de dirigeants, comparant la direction du PCF à des collaborationnistes nazis (…) ont indigné largement».

À lire aussiIsraël-Hamas : les Français condamnent largement la position de LFI et invitent les autres partis de gauche à quitter la Nupes

Face à ces désaccords qui enlisent l’alliance, la direction du parti appelle donc à bâtir un nouveau «front populaire (…) qui soit utile, respectueux de nos différences et de toutes les forces vives de notre société». Avant de lancer un appel à «toutes les forces disponibles, aux citoyens, aux associatifs, aux syndicalistes, aux socialistes, écologistes et insoumis, aux radicaux et aux républicains de gauche qui partagent cette ambition pour le progrès social, pour la justice et pour la paix.»

Politique-Élections européennes : un éclatement durable de la NUPES ?

Politique-Élections européennes : un éclatement durable de la NUPES ?

Il se confirme que les partis membres de la NUPES, c’est-à-dire les Insoumis, le parti socialiste, et le parti communiste présenteront leurs propres listes aux élections européennes. La question est de savoir s’il s’agit d’une division temporaire ou d’un fait politique plus structurel. Il est vraisemblable que l’ancienne union dite NUPES va définitivement éclater.

En cause des résultats très défavorables pour le parti des Insoumis prévisibles aux Européennes qui va changer les rapports de force et rendra désormais impossible la maîtrise des Insoumis sur la NUPES.

Dans un entretien à Libération, le patron du PS Olivier Faure a défendu jeudi 24 août le principe d’une candidature autonome de son parti aux élections de juin 2024. Souhaitée par les troupes de La France insoumise de Jean-Luc Mélenchon, l’idée d’une liste commune de la Nupes a une nouvelle fois été repoussée par le leader socialiste, à l’unisson d’EELV et du PCF.

Le responsable du parti socialiste nourrit toutes les contrées contradictions sur la ligne du parti puisqu’il affirme qu’en vue de la présidentielle de 2027, il fera ire « tout ce qui est en [son] pouvoir pour maintenir le cap du rassemblement de la gauche et des écologistes ». « C’est un impératif si nous voulons gouverner demain. Le rassemblement pour 2027 n’est pas une option mais une obligation », martèle-t-il. Mais sans doute un rassemblement qui ne se fera pas autour des « Insoumis ».

Élections européennes : un éclatement durable de la NUPES ?

Élections européennes : un éclatement durable de la NUPES ?

Il se confirme que les partis membres de la NUPES, c’est-à-dire les Insoumis, le parti socialiste, et le parti communiste présenteront leurs propres listes aux élections européennes. La question est de savoir s’il s’agit d’une division temporaire ou d’un fait politique plus structurel. Il est vraisemblable que l’ancienne union dite NUPES va définitivement éclater.

En cause des résultats très défavorables pour le parti des Insoumis prévisibles aux Européennes qui va changer les rapports de force et rendra désormais impossible la maîtrise des Insoumis sur la NUPES.

Dans un entretien à Libération, le patron du PS Olivier Faure a défendu jeudi 24 août le principe d’une candidature autonome de son parti aux élections de juin 2024. Souhaitée par les troupes de La France insoumise de Jean-Luc Mélenchon, l’idée d’une liste commune de la Nupes a une nouvelle fois été repoussée par le leader socialiste, à l’unisson d’EELV et du PCF.

Le responsable du parti socialiste nourrit toutes les contrées contradictions sur la ligne du parti puisqu’il affirme qu’en vue de la présidentielle de 2027, il fera ire « tout ce qui est en [son] pouvoir pour maintenir le cap du rassemblement de la gauche et des écologistes ». « C’est un impératif si nous voulons gouverner demain. Le rassemblement pour 2027 n’est pas une option mais une obligation », martèle-t-il. Mais sans doute un rassemblement qui ne se fera pas autour des « Insoumis ».

Politique-: mort probable de la NUPES

Politique-: mort probable de la NUPES


Le Parti socialiste a annoncé, mercredi 5 juillet, avoir trouvé un accord pour le scrutin de septembre avec Europe Ecologie-Les Verts (EELV), qui doit encore le valider jeudi. Après un premier pas en vue de listes communes conclu mi-juin entre le PS et le Parti communiste français (PCF), se dessine ainsi une alliance des gauches sans La France insoumise. Les « insoumis » ont accusé les trois partis, mercredi, d’ »enterrer la Nupes pour les sénatoriales ».

L’alliance promet d’être « historique », se réjouit le secrétaire général du PS, Pierre Jouvet, après que les socialistes ont validé à l’unanimité leur accord avec EELV portant sur 14 départements, soit près d’un tiers des départements concernés en septembre, après l’accord avec le PCF portant sur 15 départements. « La raison l’a emporté, une certaine idée du socialisme et de l’union de la gauche, aussi », se félicite le premier secrétaire délégué du PS, Nicolas Mayer-Rossignol, très critique de la Nupes, la coalition de gauche à l’Assemblée nationale.

La France insoumise, dominante à l’Assemblée avec 75 députés sur les 150 de la Nupes, risque donc de n’avoir aucun sénateur. « Après s’être réunies plusieurs fois sans jamais convier les représentants de La France insoumise, les trois composantes représentées au Sénat se sont accordées pour évincer les insoumis », dénonce LFI.

Les relations entre les « insoumis » et leurs partenaires n’étaient pas au beau fixe depuis plusieurs semaines, s’aggravant même à l’occasion des émeutes dans les banlieues.

Politique : Pas de sénateurs pour les insoumis et mort probable de la NUPES

Politique : Pas de sénateurs pour les insoumis et mort probable de la NUPES


Le Parti socialiste a annoncé, mercredi 5 juillet, avoir trouvé un accord pour le scrutin de septembre avec Europe Ecologie-Les Verts (EELV), qui doit encore le valider jeudi. Après un premier pas en vue de listes communes conclu mi-juin entre le PS et le Parti communiste français (PCF), se dessine ainsi une alliance des gauches sans La France insoumise. Les « insoumis » ont accusé les trois partis, mercredi, d’ »enterrer la Nupes pour les sénatoriales ».

L’alliance promet d’être « historique », se réjouit le secrétaire général du PS, Pierre Jouvet, après que les socialistes ont validé à l’unanimité leur accord avec EELV portant sur 14 départements, soit près d’un tiers des départements concernés en septembre, après l’accord avec le PCF portant sur 15 départements. « La raison l’a emporté, une certaine idée du socialisme et de l’union de la gauche, aussi », se félicite le premier secrétaire délégué du PS, Nicolas Mayer-Rossignol, très critique de la Nupes, la coalition de gauche à l’Assemblée nationale.

La France insoumise, dominante à l’Assemblée avec 75 députés sur les 150 de la Nupes, risque donc de n’avoir aucun sénateur. « Après s’être réunies plusieurs fois sans jamais convier les représentants de La France insoumise, les trois composantes représentées au Sénat se sont accordées pour évincer les insoumis », dénonce LFI.

Les relations entre les « insoumis » et leurs partenaires n’étaient pas au beau fixe depuis plusieurs semaines, s’aggravant même à l’occasion des émeutes dans les banlieues.

Pas de sénateurs pour les insoumis et mort probable de la NUPES

Pas de sénateurs pour les insoumis et mort probable de la NUPES


Le Parti socialiste a annoncé, mercredi 5 juillet, avoir trouvé un accord pour le scrutin de septembre avec Europe Ecologie-Les Verts (EELV), qui doit encore le valider jeudi. Après un premier pas en vue de listes communes conclu mi-juin entre le PS et le Parti communiste français (PCF), se dessine ainsi une alliance des gauches sans La France insoumise. Les « insoumis » ont accusé les trois partis, mercredi, d’ »enterrer la Nupes pour les sénatoriales ».

L’alliance promet d’être « historique », se réjouit le secrétaire général du PS, Pierre Jouvet, après que les socialistes ont validé à l’unanimité leur accord avec EELV portant sur 14 départements, soit près d’un tiers des départements concernés en septembre, après l’accord avec le PCF portant sur 15 départements. « La raison l’a emporté, une certaine idée du socialisme et de l’union de la gauche, aussi », se félicite le premier secrétaire délégué du PS, Nicolas Mayer-Rossignol, très critique de la Nupes, la coalition de gauche à l’Assemblée nationale.

La France insoumise, dominante à l’Assemblée avec 75 députés sur les 150 de la Nupes, risque donc de n’avoir aucun sénateur. « Après s’être réunies plusieurs fois sans jamais convier les représentants de La France insoumise, les trois composantes représentées au Sénat se sont accordées pour évincer les insoumis », dénonce LFI.

Les relations entre les « insoumis » et leurs partenaires n’étaient pas au beau fixe depuis plusieurs semaines, s’aggravant même à l’occasion des émeutes dans les banlieues.

Fin de la Nupes aux Européennes ?

Fin de la Nupes aux Européennes ?


Mélenchon a déclaré que ce pourrait être la fin de l’ONU paisse si chaque famille la constituant présenter des listes séparées aux élections européennes.

Pourtant le leader de la Nupes sait bien qu’il y a une grande différence entre des européennes à un tour et des présidentielles à deux tours.
Les opposants à une liste unique ne manquent pas de souligner que les mêmes sondages prédisent que quatre listes de gauche séparées enverraient au final plus d’eurodéputés qu’une liste unique, même si aucune ne pourrait briguer la pôle position. «Je suis d’accord pour une candidature commune en 2027», a toutefois répété Marine Tondelier cette semaine.

Quant à savoir s’il excluait «totalement» de se présenter à la prochaine présidentielle, Jean-Luc Mélenchon, trois fois candidat et qui a fini troisième en 2022, a répondu «personne ne peut dire ça. En toutes circonstances, je jouerai un rôle». Une manière de ne pas vraiment répondre car l’environnement politique pourrait changer d’ici là avec notamment un candidat crédible à gauche n’appartement pas à la NUPES .

Politique- LFI et Nupes : Un risque d’explosion

Politique- LFI et Nupes : Un risque d’explosion

« Nous, membres de la France insoumise et de la Nupes demandons l’exclusion d’Adrien Quatennens », peut-on lire dans une tribune de militants de LFI mais aussi de la NUPES. Inutile de tourner autour du pot, ce sont certains militants exclus de la direction de LFI et des écologistes radicaux d((écologie les Verts qui sont à la manœuvre.

Pourtant en adhérant à la Nupes, ces militants auraient dû savoir qu’ils adhéraient en même temps au centralisme démocratique habituel des organisations procommunistes. Et Mélenchon n’a jamais caché sa sensibilité de ce point de vue. Témoin la manière dont il a imposé aussi le nouveau patron de LFI et les autres dirigeants non pas élus mais choisis en fonction de leurs « compétences particulières ».

« Nous demandons une démocratie interne plus juste où les représentants seront nommés et légitimés par les militant-e-s et non pas essentiellement par le cercle restreint par le bureau national », écrivent-ils encore.La formulation de démocratie plus juste pose question. Il n’y a pas en effet de démocratie plus ou moins juste mais une démocratie ou une dictature. Quand on est dans un parti pro communiste, il faut en accepter le principe et les modalités.

« Appliquez vos promesses, agissez: oui, le privé est politique, aucun agresseur n’a sa place dans nos partis, nos organisations, nos institutions, dans nos hémicycles », exhortent les signataires.
Suspendu pour quatre mois de son groupe à l’Assemblée nationale dans la foulée de sa condamnation, début décembre, à quatre mois de prison avec sursis pour des « violences » sur son épouse, le député du Nord s’était déclaré victime d’un « lynchage médiatique » et a refusé de démissionner.

Ce qui est en cause dans ces protestations c’est la future existence non seulement de LFI mais aussi de la Nupes dans certains adhérents naïfs et ou hypocrites constatent aujourd’hui le caractère autoritaire forcément antidémocratique.

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