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Société–La presse source d’info numéro un ? C’est faux !

SociétéLa presse source d’info numéro un ? C’est faux !

Dans l’Hexagone, une étude avait démontré que la télévision était et de loin le principal vecteur d’information. Une autre étude diffusée par le Figaro aujourd’hui montre cependant la presse serait le support le plus utilisé. Le Figaro serait notamment en tête mais toucherait surtout les lecteurs à fort pouvoir d’achat.

 

Cette nouvelle étude affirme que La presse est considérée à 59 % comme la source d’information la plus fiable, loin devant la radio (19 %), internet (13 %) et la télévision (9 %). Les informations trouvées dans la presse sont également jugées «plus complètes» à 66 % par les dirigeants des entreprises de 500 salariés et plus. Aux yeux de ces décideurs professionnels et foyers aisés, les journaux et les sites d’informations en ligne se positionnent également comme le premier média pour «la confiance dans les messages publicitaires»«34 % des sondés déclarent que la publicité présente dans la presse éclaire leurs choix de consommation, contre 25 % pour la télévision, 17 % pour les réseaux sociaux et 9 % pour la radio», précise Amélie Benisty.

Il est clair que selon les couches sociales, le rapport aux médias et différents. On comprendra que le Figaro puisse être en tête dans le lectorat cadre et assimilés et que la télévision demeure quand même le support le plus populaire pour l’ensemble des Français.

Mathieu Lehot, data journaliste (Le Monde, Mediapart, L’Argus de l’assurance) s’est penché sur les principaux chiffres de diffusion connus de la presse, représentés par ses soins sous forme de graphiques vertigineux.

Une faible crédibilité des médias

D’après le baromètre annuel Kantar la crédibilité des différents médias s’améliore légèrement en 2021 mais reste à des niveaux faibles. La radio, avec 52% des Français qui estiment crédible l’information qui y est racontée, reste le média perçu comme le plus crédible, devant le journal (48%) et la télévision (42%).

Ces trois médias enregistrent une légère hausse de leur crédibilité (+2 points chacun par rapport à 2020). Si cette hausse est modérée, c’est la seconde année consécutive qu’elle intervient pour le journal et la télévision après une forte baisse en 2019 (année qui avait suivi la crise des gilets jaunes). Il semble donc que cette amélioration de la crédibilité se confirme.

Internet reste un moyen d’information jugé peu crédible (28% seulement des Français estiment que les informations qui y sont diffusées sont crédibles), mais sa crédibilité enregistre une importante par rapport à l’année dernière : + 5 points.

Une différence peut cependant s’observer selon la préférence partisane. Ainsi, l’intérêt pour l’actualité et la crédibilité perçue du journal ou de la télévision reculent aux deux extrémités du spectre politique, chez les sympathisants de la France Insoumise (33% considèrent crédible l’information diffusée à la télévision) et du Rassemblement national (27%). A l’inverse, ces éléments progressent chez les sympathisants d’Europe Ecologie les Verts (38%), du PS (52%) ou de la République en Marche (57%). La polarisation politique autour de la question des médias semble donc s’accentuer et témoigne d’un clivage de plus en plus important.

les medias les plus touchés

Les plus touchés sont : Libération qui a perdu 40 % de son lectorat papier (- 19 000 journaux vendus par jour, que ce soit en kiosque ou par abonnement) entre les mois de décembre 2015 et 2019, et Aujourd’hui en France qui a chuté de 38 % (- 48 000 journaux vendus par jour) pour la même période.

Ceux dont on remarque les moins fortes baisses (La Croix et L’Humanité) sont également ceux dont la plus grande partie des ventes se fait par abonnement.

Côté numérique, la presse nationale et celle qui s’adapte le mieux, notamment Le Monde.

En décembre 2019, 65% du lectorat payant du Monde est composé d’abonnés numériques. Le journal du soir avait franchi le cap des 50% au printemps 2018. Des titres comme La Croix (23%) ou L’Humanité (17%) sont en revanche plus en retard.

 

Sur le plan financier, la presse voit ses recettes fondre année après année. Les recettes publicitaires de la presse quotidienne nationale représentent 60 % des revenus (660 M€) en 2000. En 2018, elles ne représentent plus que 34 % des revenus (180 M€)

Pour la presse quotidienne régionale, on constate le même phénomène que pour la presse nationale avec une forte baisse, pour ceux dont la vente se fait le plus en kiosque.

La chute est plus marquée pour le Parisien a perdu 31 % de ses ventes papier en 4 ans, et pour Sud-Ouest qui chute de 21 %.

La presse source d’info numéro un ?

La presse source d’info numéro un ?

Dans l’Hexagone, une étude avait démontré que la télévision était et de loin le principal vecteur d’information. Une autre étude diffusée par le Figaro aujourd’hui montre cependant la presse serait le support le plus utilisé. Le Figaro serait notamment en tête mais toucherait surtout les lecteurs à fort pouvoir d’achat.

 

Cette nouvelle étude affirme que La presse est considérée à 59 % comme la source d’information la plus fiable, loin devant la radio (19 %), internet (13 %) et la télévision (9 %). Les informations trouvées dans la presse sont également jugées «plus complètes» à 66 % par les dirigeants des entreprises de 500 salariés et plus. Aux yeux de ces décideurs professionnels et foyers aisés, les journaux et les sites d’informations en ligne se positionnent également comme le premier média pour «la confiance dans les messages publicitaires»«34 % des sondés déclarent que la publicité présente dans la presse éclaire leurs choix de consommation, contre 25 % pour la télévision, 17 % pour les réseaux sociaux et 9 % pour la radio», précise Amélie Benisty.

Il est clair que selon les couches sociales, le rapport aux médias et différents. On comprendra que le Figaro puisse être en tête dans le lectorat cadre et assimilés et que la télévision demeure quand même le support le plus populaire pour l’ensemble des Français

 

LA DACIA SANDERO : NUMÉRO UN DES VENTES EN EUROPE

LA DACIA SANDERO : NUMÉRO UN DES VENTES EN EUROPE

 

La Sandero voiture la moins chère (mais aussi la plus fiable) devient numéro un des ventes en Europe.

En juillet, on dénombre 20.446 ventes de Dacia Sandero, première du classement, devant les 19.425 unités de la Volkswagen Golf, d’après les données du cabinet Jato. A noter la troisième place de la Toyota Yaris, qui est donc la première voiture produite en France de ces ventes européennes. Seul représentant d’une marque française dans le top 10 de juillet toutes motorisations confondues, le Peugeot 2008 est en effet assemblé en Espagne.

En juillet, la Dacia Sandero a dominé les ventes de voitures neuves en Europe. © Jato

le Peugeot 3008, produit à Sochaux, est à la deuxième place des véhicules hybrides rechargeables les plus vendus en Europe en juillet, derrière le Ford Kuga. En 100% électrique, on retrouve la Renault Zoé, « made in Flins » également à la deuxième position, derrière l’ID.3 de Volkswagen.

Lancée l’an dernier, la dernière génération de Dacia Sandero représente un des meilleurs rapport qualité prix sur le marché du neuf actuellement, avec un tarif de départ à 8890 euros.

 

Le numéro 2 d’Al-Qaïda tué en Iran par des services secrets

  • Le numéro 2 d’Al-Qaïda tué en Iran par des services secrets
  • Le numéro 2 d’Al-Qaïda, Abdullah Ahmed Abdullah, qui figurait sur la liste des terroristes les plus recherchés par la police fédérale américaine (FBI), a été «tué par balle dans les rues de Téhéran par deux assassins à moto», ont confirmé des responsables des renseignements américains L’assassinat, qui aurait été commis par des agents israéliens pour le compte des États-Unis, est survenu le 7 août, jour de l’anniversaire des attentats contre les ambassades des Etats-Unis au Kenya et en Tanzanie en 1998, dans lesquels a été impliqué Abdullah Ahmed Abdullah selon la justice américaine. La police fédérale américaine offrait 10 millions de dollars de récompense pour toute information menant à la capture de ce leader du groupe terroriste Al-Qaïda.

Pékin: oui à l’accord commercial numéro un, non aux critiques démocratiques

Pékin: oui à l’accord commercial numéro un, non aux critiques démocratiques  

 

La Chine s’engage à respecter l’accord commercial numéro un passé avec les États-Unis  ( pour l’accord numéro 2 pour l’instant Trump  a bloqué toute perspective de négociation). En fait,  les Chinois acceptent les contraintes réciproques relatives au commerce entre les deux zones sans doute parce qu’il y va aussi de l’avenir de sa croissance aujourd’hui assez menacée même s’il semble se dessiner un redressement au second trimestre. Au-delà des aspects commerciaux ,  la Chine ne veut tristement rien entendre des mises en garde contre les atteintes à la démocratie dénoncée par les États-Unis ou d’autres. Bref du business même contraint avec les États-Unis ( et autres pays ) oui mais surtout sans la moindre allusion au caractère de dictature du régime chinois. La ligne dure ainsi réaffirmée. On aura encore l’occasion de le vérifier avec cette hypothèse envisagée par les États-Unis de bannir l’entrée du pays à tout membre du parti communiste chinois.

 

La relation entre Pékin et Washington n’a été aussi mauvaise depuis des décennies alors que les deux pays s’opposent sur plusieurs fronts: la gestion de l’épidémie du coronavirus par la Chine, la nouvelle loi de sécurité nationale à Hong Kong, le commerce et les accusations de crimes contre les droits de l’homme à Xinjiang.

En réponse aux questions à propos de l’impact que les sanctions imposées par Washington auraient sur l’accord commercial, Hua a dit aux journalistes lors d’une conférence de presse quotidienne qu’elle espère que l’accord pourra être mis en oeuvre.

“Nous respectons toujours nos engagements, mais nous savons que certains aux Etats-Unis sont en train d’opprimer et de harceler la Chine” a-t-elle dit. “En tant qu’Etat souverain indépendant, la Chine doit répondre aux pratiques de harcèlement menées du côté des Etats-Unis; on doit dire non, on doit donner des réponses et agir en réaction contre ces pratiques”.

“Si les Etats-Unis voient une menace dans tout ce que la Chine fait, alors cela deviendra une prophétie autoréalisatrice”.

Hua a aussi qualifié les accusations portées par Washington de crimes contre les droits de l’homme à l’encontre de la minorité ouïghoure du “plus grand mensonge du siècle”.

L’Allemagne « numéro 1 dans l’hydrogène ?

L’Allemagne « numéro 1 dans l’hydrogène ?

 

Il est clair que l’Allemagne n’est pas particulièrement en avance en matière de motorisation purement électrique; ce pourquoi ;elle envisagée des accords avec des chinois « Pour des raisons de compétitivité et surtout pour atteindre » ses « objectifs climatiques », l’Allemagne veut devenir « numéro 1″ dans l’hydrogène durable, a affirmé le ministre de l’Économie Peter Altmaier, lors d’une conférence de presse mercredi, à l’issue de l’adoption de ce programme en conseil des ministres.

Ce gaz, surtout utilisé aujourd’hui dans certaines industries comme la chimie ou l’acier, permet de stocker de l’électricité, quelle que soit son origine.

Dans son programme, le gouvernement allemand ne compte développer que l’hydrogène « vert », c’est-à-dire issu d’énergies décarbonées, selon lui.

L’hydrogène peut aussi servir de carburant dans les véhicules électriques équipés de piles à combustibles, suscitant de nombreux espoirs en termes de transition écologique dans les transports.

L’Allemagne prévoit une enveloppe globale de 9 milliards d’euros, dont 7 milliards pour développer le marché intérieur et 2 milliards visant à conclure des « partenariats internationaux ».

Elle fait partie de l’immense plan de relance de 700 milliards d’euros annoncé par Berlin la semaine dernière, pour relancer son économie sinistrée par les effets des mesures de restriction prises contre la pandémie de coronavirus dans le pays. la voiture à hydrogène reste une voiture électrique, à la différence qu’elle produit elle-même son énergie là où une voiture électrique classique a besoin de la stocker, avec tous les inconvénients que cela suppose : poids des batteries, temps de charge, autonomie… sans parler des métaux rares nécessaires à la production des batteries (cobalt, lithium, palladium…), qui ne cessent de battre des records sur les marchés des matières premières et dont l’exploitation n’est pas un modèle pour la protection de l’environnement.

Avec la technologie à hydrogène, les constructeurs s’affranchissent de ces contraintes. Sur la Toyota Mirai (la première du genre), l’autonomie peut atteindre 550 km et le temps de charge, environ 5 minutes De plus, les voitures à hydrogène n’émettent rien d’autre que de la vapeur d’eau. On dit même que les gouttelettes d’eau qui coulent du pot d’échappement (parce qu’il y en a un) sont potables. En outre, l’eau est une ressource naturelle extrêmement abondante, même si les conditions de production d’hydrogène posent de nombreuses questions environnementales

D’ailleurs, Toyota a tout misé sur l’hydrogène. Le constructeur automobile japonais a toujours considéré que la technologie à hydrogène n’était que l’étape suivante de la voiture 100 % électrique, et qu’il valait mieux se concentrer dessus plutôt que de se perdre sur la voiture à batteries, qui convainc peu et dépend des infrastructures installées (les bornes de recharge). Comme Hyundai, le constructeur s’est déjà positionné avec des modèles à hydrogène, là où tous les autres constructeurs du monde se sont concentrés sur la voiture électrique à batteries. Y compris les français, dont Renault, l’un des pionniers avec sa gamme de Zoé, Twizy et autres utilitaires légers à batteries électriques.

Le numéro un mondial de l’énergie en Chine

Le numéro un mondial de l’énergie en Chine

Ce géant, le National Energy Investment Group, est né d’une fusion, annoncée lundi par le gouvernement chinois, entre le principal producteur national de charbon, Shenhua, et l’électricien China Guodian. Les actifs du nouveau National Energy Investment Group dépasseront, selon l’estimation de Bloomberg, les 1800 milliards de yuans, soit 228 milliards d’euros. Le gouvernement de Pékin poursuit son effort de rationalisation du pléthorique secteur public, sur lequel s’est entièrement édifiée l’industrialisation de la Chine communiste, mais qui compte aujourd’hui nombre d’entreprises faiblement productives et lourdement endettées. Cette réorganisation devrait permettre à Pékin de poursuivre sa politique de réduction de capacités de production de charbon. Engagée dans la lutte contre le réchauffement climatique, la Chine a déjà interrompu la construction de dizaines de nouvelles centrales électriques au charbon cette année afin de sabrer les colossales surcapacités de production dans le secteur. La réforme des entreprises publiques se heurte à des freins, parfois venus des autorités régionales, comptables de la stabilité sociale, assurée par ces très gros employeurs. La Chine vient de lancer un fonds de 750 millions de dollars qui aidera financièrement les entreprises publiques qui mènent des réformes via des partenariats avec le secteur privé, indiquait l’agence Reuters lundi.

Automobiles Renault-Nissan numéro un mondial

Automobiles Renault-Nissan numéro un mondial

Selon le classement de Jato Dynamics, l’alliance Renault-Nissan a dépassé le géant allemand lors du 1er trimestre 2017 et talonne Toyota. Carlos Ghosn est bien parti pour gagner son pari d’entrer dans le Top 3 des constructeurs. L’Alliance Renault-Nissan, qui a vendu 8,53 millions de véhicules l’an dernier (+1%), pèsera avec MMC autour de 9,5 millions, se rapproche ainsi des ténors Toyota et Volkswagen (autour de 10 millions chacun) qui se disputent la première place mondiale et de l’américain GM. Lors du premier trimestre 2017, Renault-Nissan a réussi une remontée impressionnante en doublant à la fois General Motors et Volkswagen et en s’approchant très près du leader mondial qu’est Toyota. C’est ce que révèle Daprès un classement de Jato Dynamics publié par Forbes jeudi 27 avril, Renault pourraiat devenir premeier constructeur mondial.  Sur les trois premiers mois de l’année, le consortium dirigé par Carlos Ghosn a produit 2.658.019 voitures, soit une croissance de 13,1% alors que le géant allemand affiche 2.495.100 véhicules avec une baisse de 0,5%. Toyota reste en tête avec 2.707.251 véhicules, mais sa progression de 7.5% est très inférieure à celle de Renault-Nissan. Comme le note Forbes, l’alliance est le seul constructeur à afficher une progression à deux chiffres. l’alliance Renault, Nissan Mitsubishi pourrait bien devenir numéro un mondial en tout cas talonner sérieusement Toyota.. C’est donc une nouvelle opportunité qu’a saisie Carlos Ghosn de renforcer l’Alliance Renault-Nissan, laquelle contrôle également le premier constructeur auto russe Avtovaz (Lada). Renault détient 43,4% de Nissan, qui détient à son tour 15% (sans droits de vote) de son actionnaire tricolore.

Commerce international : l’Allemagne devient numéro1 mondial avec 300 milliards d’excédents

Commerce international : l’Allemagne devient numéro1 mondial avec 300 milliards d’excédents

L’excédent des comptes courants allemands ( qui incorpore biens services et finances) devrait avoir inscrit un nouveau record en 2016 à 297 milliards de dollars (278 milliards d’euros), dépassant ainsi celui de la Chine pour devenir le plus élevé au monde, a déclaré lundi l’institut d’études économiques munichois Ifo. A comparer au déficit d’environ 4 milliards de la France !  Un tel montant équivaudrait à 8,6% du produit intérieur brut (PIB) et dépasserait donc largement le plafond de 6% recommandé par la Commission européenne. En 2015, l’excédent courant allemand avait représenté 271 milliards de dollars. La Commission européenne et les Etats-Unis appellent depuis longtemps les autorités allemandes à soutenir la demande intérieure et les importations pour favoriser la réduction de l’excédent courant, afin de réduire les déséquilibres mondiaux. Berlin rejette ces critiques en expliquant avoir déjà pris des mesures de soutien à la demande en instaurant en 2015 un salaire minimum national et en acceptant l’an dernier une revalorisation des pensions de retraite. Le gouvernement a en outre augmenté les dépenses publiques consacrées aux réseaux routiers, aux infrastructures numériques ainsi qu’à l’accueil et l’intégration des demandeurs d’asile, sans remettre en cause pour autant l’équilibre budgétaire. L’Ifo estime que l’excédent courant chinois a été ramené à 245 milliards de dollars l’an dernier en raison du ralentissement des exportations. Son estimation de l’excédent allemand est inférieure à sa prévision précédente, qui était de 310 milliards de dollars.

Pokémon Go : sujet mondial numéro 1 sur internet !

Pokémon Go : sujet mondial numéro 1 sur internet !

 

 

 

 

On ne sait pas s’il faut en rire ou s’en inquiéter mais le sujet numéro1 des internautes sur Google est Pokémon Go. La preuve qu’internet n’est pas prioritairement  un outil d’émancipation et d’information mais aussi et peut-être d’abord un support distractif. Pas étonnant que les investissements (et les profits) en matière de jeux vidéos sur le web connaissent   des progressions exponentielles. Le jeu mobile Pokémon Go a en effet été la requête la plus populaire cette année à l’échelle mondiale sur le moteur de recherche en ligne de Google, selon un classement publié aujourd’hui par le groupe internet américain. Il est suivi par l’iPhone 7 d’Apple, sorti en septembre, puis par Donald Trump, qui a remporté l’élection présidentielle américaine en novembre, et par le chanteur Prince, décédé en avril. Donald Trump arrive également en tête du classement des personnalités, devant sa rivale démocrate Hillary Clinton. Pour ce qui est des sujets d’actualité ayant intéressé les internautes, l’élection présidentielle américaine arrive en tête des recherches, suivie par les jeux Olympiques et par le Brexit. Google publie cette liste des tendances mondiales tous les ans, de même que des listes par pays résumant les grands centres d’intérêt des internautes. En France, Pokémon Go était arrivé cette année en deuxième place parmi les sujets d’actualités les plus recherchés, derrière l’Euro de football et devant le Tour de France, les jeux Olympiques et l’élection présidentielle américaine. Sur le réseau social Facebook, qui avait publié sa propre liste début décembre, l’élection présidentielle américaine et la politique brésilienne étaient ressortis comme les sujets les plus discutés cette année à l’échelle de la planète. Pokémon Go pointait en troisième position.

Ghosn futur patron de Mitsubishi et numéro un mondial ?

Ghosn futur  patron de Mitsubishi et numéro un mondial ?

journal Nikkei affirme que l’actuel PDG de Nissan et Renault allait aussi devenir celui de Mitsubishi Motors. Du coup le groupe pourrait devenir numéro un mondial. Grâce au japonais Mitsubishi, le groupe Renault pourrait dépasser la barre des 10 millions de véhicules écoulés chaque année. Lors d’une interview donnée au journal Les Echos dans le cadre du Mondial de l’Automobile de Paris, Carlos Ghosn a déclaré : « Notre future alliance dépasserait les dix millions de voitures au niveau mondial. L’objectif d’intégrer le Top 3 mondial serait atteint. La place de numéro un mondial n’est pas une priorité. Mais sur le fond, c’est tout à fait atteignable… En 2016 et 2017, cela se jouerait à quelques milliers de voitures« .
(Avec AFP)

Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi : bientôt numéro un mondial ?

Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi : bientôt numéro un mondial ?

Dans un article de challenges on apprend la prise de participation de Nissan chez Mitsubishi. Du coup l’alliance Renault, Nissan Mitsubishi pourrait bien devenir numéro un mondial en tout cas talonner sérieusement Volkswagen et Toyota. Carlos Ghosn a en effet annoncé ce jeudi le renforcement de l’Alliance franco-japonaise en prenant 34% de son concurrent japonais Mitsubishi Motors (MMC) en détresse. Et ce, pour 237 milliards de yens (1,9 milliard d’euros). L’opération prévoit que MMC émettra des actions nouvelles destinées à Nissan, qui contrôlera désormais le constructeur, au vu du droit boursier japonais. L’Alliance Renault-Nissan, qui a vendu 8,53 millions de véhicules l’an dernier (+1%), pèsera avec MMC autour de 9,5 millions, se rapprochant ainsi des ténors Toyota et Volkswagen (autour de 10 millions chacun) qui se disputent la première place mondiale et de l’américain GM. « Nous avons toujours dit que nous avions l’ambition d’être dans le Top 3″, a rappelé Carlos Ghosn ce jeudi dans une conférence de presse à Yokohama. C’est donc une nouvelle opportunité qu’a saisie Carlos Ghosn de renforcer l’Alliance Renault-Nissan, laquelle contrôle également le premier constructeur auto russe Avtovaz (Lada). Renault détient 43,4% de Nissan, qui détient à son tour 15% (sans droits de vote) de son actionnaire tricolore. Depuis 2010, l’Alliance est liée à l’allemand Daimler (Mercedes), qui possède 3,1% de Renault et Nissan. Ces deux derniers possèdent à leur tour 1,55% chacun du consortium de Stuttgart. Les deux partenaires resteront bien « séparés », a insisté Carlos Ghosn. Comme Renault et Nissan depuis leur rapprochement en 1999. Nissan pourra toutefois nommer le tiers des membres du conseil d’administration de Mitsubishi Motors, qui serait également présidé par un responsable du partenaire nippon de Renault.  Mitsubishi Heavy Industries, Mitsubishi Corp et Bank of Tokyo-Mitsubishi UFJ, sociétés de la galaxie Mitsubishi qui détenaient 34% du capital de MMC avant la transaction, n’en auront plus que  22%. « Nous envisagions de renforcer notre collaboration depuis un certain temps, et, sur ce, la crise est survenue, accélérant les choses », explique Carlos Ghosn. Les deux firmes japonaises étaient déjà partenaires. MMC fournit ainsi des « midgets » (mini-véhicules fiscalement favorisés dans l’archipel) à Nissan. C’est d’ailleurs ce dernier qui a découvert, sur ces véhicules, le scandale sur la pollution qui a mis le feu aux poudres, plongeant MMC dans une nouvelle crise. Après avoir été au bord du gouffre  au début des années 2000 à cause de rappels non effectués en violation de la législation nippone, MMC s’était allié à Daimler-Chrysler, lequel avait pris une participation de contrôle. Mais, en difficulté lui-même, le consortium germano-américain avait ensuite laissé tomber le japonais, sauvé in extremis par les firmes partenaires de la nébuleuse Mitsubishi. Trop petit, trop spécialisé dans les mini-véhicules et les 4×4, MMC s’était alors associé industriellement à PSA, à qui il a longtemps fourni des modèles électriques (Peugeot Ion, Citroën C-Zéro) et des « SUV » (Peugeot 4007 puis 4008, Citroën C-Crosser puis Aircross). Des négociations s’étaient déroulées au tout début de la décennie pour une alliance capitalistique. Mais, PSA n’avait pas les moyens de prendre une telle participation. Et MMC s’est retrouvé tout seul, parvenant cependant à survivre grâce à des économies sur les investissements. Et puis, le 20 avril dernier, patatras. MMC avouait qu’il avait menti sur les consommations de quatre de ses mini-véhicules vendus au Japon, deux de ces véhicules étant commercialisés sous la marque Nissan.  Cette tricherie a…fait fondre la capitalisation boursière de MMC de 45%! Il est vrai que les analystes estiment le coût d’indemnisation des clients MMC à  800-900 millions d’euros. MMC apportera essentiellement à Nissan son implantation dans le sud-est asiatique (où son compatriote est faible) et son expertise dans les « midgets ». Carlos Ghosn, a précisé que les deux constructeurs partageraient des technologies et pourraient dégager des « milliards » de synergies en coordonnant leurs achats, l’utilisation des sites industriels et en coopérant dans les marchés en croissance. « Tout le monde y gagnera », a assuré le double PDG.

(Challenges)

Un numéro vert pour lutter contre le terrorisme !

Un numéro vert pour lutter contre le terrorisme !

 

 

La tentative d’attentat dans le train Thalys montre bien toutes les limites du plan de lutte contre le terrorisme. Certes la sécurité totale ne pourra jamais exister pour autant on doit pouvoir améliorer le dispositif existant. Par exemple on sait repérer les individus potentiellement dangereux ceux qui font l’objet d’une fiche S mais on est dans l’incapacité de les suivre. Environ 5000 personnes font l’objet d’une fiche S en France . Dans les gares la  sécurité peut grandement être améliorée par exemple en n’autorisant que les voyageurs munis de billets à pénétrer sur les quais (système pratiqué dans le transport aérien). L’acte dans le train Thalys démontre à l’évidence qu’il faut s’appuyer bien avantage sur la vigilance des citoyens pour lutter contre le terrorisme et pas seulement dans les trains. D’une manière générale dans tous les lieux recevant du public.  De ce point de vue une réflexion reste à entreprendre pour les impliquer de manière plus formelle dans le dispositif de sécurité. A égard  l’annonce de la mise en place de numéro vert dans les trains constitue une avancée, cependant bien insuffisante. Notons que dans le  train le personnel n’a aucune formation pour assurer la sécurité en cas d’attaque de type terroriste ou autre. Les mobiliser n’a pour l’instant aucun sens.  Après l’attaque d’un train Thalys vendredi soir par un homme lourdement armé, maîtrisé par plusieurs passagers, Manuel Valls annonce donc que la SNCF va mettre en place « un numéro national de signalement des situations anormales » dans les gares et les trains. La SNCF va par ailleurs « renforcer le nombre et la visibilité des messages de vigilance dans les gares », a indiqué dans un communiqué le Premier ministre, qui s’est entretenu dans la journée avec le président de la SNCF, Guillaume Pépy. Mais pour Christophe Rouget, commandant de police et porte-parole du syndicat des cadres de la sécurité intérieure, si l’on peut installer des portiques et des contrôles à l’entrée des trains internationaux, c’est plus compliqué pour les trains de banlieue et les TER. « On ne peut pas avoir une sécurisation complète du ferroviaire » et « le risque zéro n’existe pas. » « On ne peut pas avoir une sécurisation complète du ferroviaire, pas de risque zéro » – Christophe Rouget avec Rémi Brancato « L’ensemble des agents du groupe ferroviaire sont pleinement mobilisés pour assurer la sûreté de tous les voyageurs. La sécurité dans les transports repose aussi sur la vigilance des citoyens », souligne le communiqué du Premier ministre, cosigné par le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve et le secrétaire d’Etat aux Transports, Alain Vidalies. Le gouvernement a réaffirmé « la pleine mobilisation des services de l’Etat pour assurer la sécurité de tous en tous points du territoire, notamment dans les transports en commun ». De son côté, le sénateur-maire PS d’Alfortville (Val-de-Marne), Luc Carvounas, proche de Manuel Valls, a plaidé samedi sur son compte Twitter pour la mise en place d’une commission d’enquête parlementaire au Sénat « pour proposer de vraies mesures de sécurité aux passagers de la SNCF ».

 

Automobiles : Toyota toujours numéro 1 mondial

Automobiles : Toyota toujours  numéro 1 mondial
Toyota toujours en tête des producteurs automobiles mondiaux, suivi de Volkswagen et de GM. Une position qui tient surtout à la fiabilité de se modèles  plus adaptés que d’autres à tous les environnements climatiques.  Le fabricant de la citadine Yaris et de la voiture hybride Prius, champion du monde depuis 2012, a dépassé son objectif annuel en écoulant 3% d’automobiles de plus qu’en 2013, grâce à l’ensemble de ses marques (Toyota, luxe Lexus, mini-véhicules Daihatsu, poids lourds Hino).   En 2015, il vise toutefois un recul de 1% de ses ventes, à 10,15 millions, un total que Volkswagen a de fortes chances de dépasser. Comme son rival nippon, le groupe allemand a franchi l’an passé la barre des 10 millions (10,14 millions plus exactement) pour la première fois dans l’histoire de l’automobile, et affiche de grandes ambitions, notamment en Chine où il prévoit d’ouvrir de nouveaux sites de production.   Toyota a décidé pour sa part de ne pas construire de nouvelles usines pendant trois ans, jusqu’en mars 2016, dans le but de « renforcer sa compétitivité » plutôt que de se lancer dans une course à la quantité, a expliqué un porte-parole du groupe.

130 000 euros pour rénover l’appartement du numéro1 de la CGT

130 000 euros pour rénover l’appartement du numéro1 de la CGT

 

Selon le Canard Enchaîné à paraître mercredi, les travaux de rénovation de l’appartement de fonction de Thierry Lepaon, numéro un de la CGT, ont coûté 130 000 euros au syndicat.  Une addition qui aurait pu être encore plus élevée si l’on en croit le devis initial dont Le Parisien s’est procuré une copie.  La restauration du logement du responsable syndical était estimée à 150 000 euros avant que, selon l’hebdomadaire, Thierry Lepaon ne renonce à l’installation d’un home cinéma ou d’une cave à vin dans l’appartement situé en banlieue parisienne. Ancien de Moulinex, Thierry Lepaon, élu en mars 2013 à la tête de la confédération, habitait auparavant dans le Calvados, d’où la nécessité pour la centrale de lui trouver un appartement de fonction. Le loyer de cet appartement de 120 mètres carrés situé le long du bois de Vincennes, près de Paris, est de 2.000 euros, selon le Canard Enchainé. De son côté, la CGT a affirmé dans un communiqué que «le Canard enchaîné s’est procuré un devis estimatif portant sur un ensemble de travaux exécutés dans l’appartement occupé par le secrétaire général de la CGT». «Pour la première fois, la CGT a élu un secrétaire général habitant en province. Elle se devait de mettre à sa disposition un logement de fonction en région parisienne entièrement équipé. La Confédération a donc décidé de louer un appartement, proche du siège de la CGT, pour permettre au secrétaire général d’exercer son mandat», souligne le communiqué de la CGT.  Le secrétaire général de la CGT qui a succédé à Bernard Thibault à l’issue d’une longue crise de succession a déjà annoncé qu’il briguerait un deuxième mandat lors du prochain congrès de la confédération en 2016.

 




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