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Politique- Retraites–Élisabeth Borne à la télé : « encore une intervention pour les nuls  » ( CFDT)

Politique- Retraites–Élisabeth Borne à la télé : « encore une intervention pour les nuls  » ( CFDT)

Le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger n’a guère été tendre quant à l’intervention de la première ministre jeudi sur France 2. Le leader de la CFDT a en effet considéré qu’il s’agissait d’une nouvelle intervention pour les nuls. « On a l’impression de revivre la conférence de presse du 10 janvier. En fait la conférence de presse qui présentait la réforme des retraites pour les nuls. Il y a rien de bougé. On a le sentiment qu’entre temps, il n’y a pas eu un mouvement social de grande ampleur qui ne s’était pas produit depuis les années 90″.

Il faut dire qu’Élisabeth Borne s’est montrée comme à son habitude, une technocrate assez pâle s’efforçant de montrer avec des chiffres la légitimité comptable de la réforme. En réalité, rien de nouveau car la première ministre n’avait rien d’autre à offrir que le texte initial du gouvernement. Certains dans la majorité considèrent que le mécontentement des Français provient d’une insuffisance de pédagogie. Or les Français ont bien compris les enjeux et les modalités. Ils ont bien compris les efforts injustes qu’on leur demandait, ils ont bien compris l’inefficacité de cette réforme. Il ne s’agit donc pas d’un problème de communication mais d’une opposition radicale à une réforme insuffisante, bâclée et non réellement discutée avec les partenaires sociaux. Pour preuve d’ailleurs l’attitude du Medef favorable des lèvres à la réforme mais surtout qui ne veut pas entendre parler d’ »index » mesurant la part des séniors dans l’entreprise.

Face à une opposition grandissante à sa réforme des retraites, Élisabeth Borne s’est expliquée jeudi soir sur France 2 sur le sens de son projet qu’elle n’a pas qualifié de « juste » comme elle le disait jusqu’ici. Et pour cause : le gouvernement a été critiqué pour avoir utilisé ce vocable au moment de la présentation du projet alors qu’il subsistera des disparités de durées de cotisations et que ceux qui ont commencé à travailler plus jeunes devront contribuer plus longtemps au système. La situation de certaines femmes a aussi été soulignée.

Elisabeth Borne a plutôt insisté sur l’« effort » demandé pour convaincre les Français. Alors que la pression de la rue est forte et qu’une majorité à l’Assemblée nationale sur le texte n’est pas acquise, la Première ministre a déclaré qu’elle « n’envisage pas l’hypothèse » d’un recours au 49.3 pour faire adopter sa réforme qui repousse notamment l’âge de départ de 62 à 64 ans.
Elisabeth Borne a redit le côté « indispensable » de la réforme « pour sauver le système de retraites », même si « ça n’est pas simple de demander aux Français de travailler progressivement plus longtemps ».
Concernant le travail de seniors, aspect crucial de la réforme, Elisabeth Borne s’est dite favorable à des « sanctions » contre les entreprises qui ont de « mauvaises pratiques » en matière d’emploi des seniors. Au sujet de l’index d’emploi des seniors que le gouvernement veut mettre en place, Elisabeth Brtne « pense qu’on peut aller plus loin (…) en disant que les entreprises dont l’index montre qu’elles n’ont pas des bonnes pratiques à l’égard des seniors, doivent mettre en oeuvre un plan d’action qui évidemment sera négocié dans l’entreprise ». « Et si elles ne le font pas, ou s’il n’y a pas d’effets pour corriger les mauvaises pratiques, alors il pourrait y avoir des sanctions », a-t-elle ajouté. Une première est bien vague à laquelle s’oppose totalement le Medef qui ne veut même pas le temps de parler d’index.

Retraites–Élisabeth Borne à la télé : « encore une intervention pour les nuls  » (CFDT)


Retraites–Élisabeth Borne à la télé : « encore une intervention pour les nuls  » ( CFDT)


Le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger n’a guère été tendre quant à l’intervention de la première ministre hier sur France 2. Le leader de la CFDT a en effet considéré qu’il s’agissait d’une nouvelle intervention pour les nuls. « On a l’impression de revivre la conférence de presse du 10 janvier. En fait la conférence de presse qui présentait la réforme des retraites pour les nuls. Il y a rien de bougé. On a le sentiment qu’entre temps, il n’y a pas eu un mouvement social de grande ampleur qui ne s’était pas produit depuis les années 90″.

Il faut dire qu’Élisabeth Borne s’est montrée comme à son habitude, une technocrate assez pâle s’efforçant de montrer avec des chiffres la légitimité comptable de la réforme. En réalité, rien de nouveau car la première ministre n’avait rien d’autre à offrir que le texte initial du gouvernement. Certains dans la majorité considèrent que le mécontentement des Français provient d’une insuffisance de pédagogie. Or les Français ont bien compris les enjeux et les modalités. Ils ont bien compris les efforts injustes qu’on leur demandait, ils ont bien compris l’inefficacité de cette réforme. Il ne s’agit donc pas d’un problème de communication mais d’une opposition radicale à une réforme insuffisante, bâclée et non réellement discutée avec les partenaires sociaux. Pour preuve d’ailleurs l’attitude du Medef favorable des lèvres à la réforme mais surtout qui ne veut pas entendre parler d’ »index » mesurant la part des séniors dans l’entreprise.

Face à une opposition grandissante à sa réforme des retraites, Élisabeth Borne s’est expliquée jeudi soir sur France 2 sur le sens de son projet qu’elle n’a pas qualifié de « juste » comme elle le disait jusqu’ici. Et pour cause : le gouvernement a été critiqué pour avoir utilisé ce vocable au moment de la présentation du projet alors qu’il subsistera des disparités de durées de cotisations et que ceux qui ont commencé à travailler plus jeunes devront contribuer plus longtemps au système. La situation de certaines femmes a aussi été soulignée.

Elisabeth Borne a plutôt insisté sur l’« effort » demandé pour convaincre les Français. Alors que la pression de la rue est forte et qu’une majorité à l’Assemblée nationale sur le texte n’est pas acquise, la Première ministre a déclaré qu’elle « n’envisage pas l’hypothèse » d’un recours au 49.3 pour faire adopter sa réforme qui repousse notamment l’âge de départ de 62 à 64 ans.
Elisabeth Borne a redit le côté « indispensable » de la réforme « pour sauver le système de retraites », même si « ça n’est pas simple de demander aux Français de travailler progressivement plus longtemps ».
Concernant le travail de seniors, aspect crucial de la réforme, Elisabeth Borne s’est dite favorable à des « sanctions » contre les entreprises qui ont de « mauvaises pratiques » en matière d’emploi des seniors. Au sujet de l’index d’emploi des seniors que le gouvernement veut mettre en place, Elisabeth Brtne « pense qu’on peut aller plus loin (…) en disant que les entreprises dont l’index montre qu’elles n’ont pas des bonnes pratiques à l’égard des seniors, doivent mettre en oeuvre un plan d’action qui évidemment sera négocié dans l’entreprise ». « Et si elles ne le font pas, ou s’il n’y a pas d’effets pour corriger les mauvaises pratiques, alors il pourrait y avoir des sanctions », a-t-elle ajouté. Une première est bien vague à laquelle s’oppose totalement le Medef qui ne veut même pas le temps de parler d’index.

Vœux de Macron : Globalement assez nuls pour l’opposition

Vœux de Macron : Globalement assez nuls pour l’opposition

Globalement, l’opinion s’est montrée assez indifférente à l’égard de vœux très peu suivis de macron. L’opposition, elle s’est montrée assez sévère considérant ce propos assez nuls manquant de consistance, de cohérence et de vision.

À droite, le président des Républicains Éric Ciotti a fustigé un «sixième exercice de vœux pieux, toujours démentis par l’impuissance, l’inaction et le manque de courage». Le chef de file des sénateurs LR, Bruno Retailleau, a lui vu «un président déconnecté des préoccupations des Français et de solutions à y apporter».

Pour Europe Écologie-Les Verts. Emmanuel Macron «nous a semblé totalement déconnecté, tant de l’histoire de notre pays que de la vie des Français», a jugé la nouvelle secrétaire nationale du parti écologiste, Marine Tondelier.

«Numéro d’autosatisfaction d’un président obligé d’en appeler à l’unité des Français …. tellement sa politique nous divise et nous fait mal. Nous ne laisserons pas passer une réforme des retraites qui nous obligera à travailler plus longtemps dès 2023 !», a pris date le secrétaire national du Parti communiste Fabien Roussel.

«Nous serons mobilisées !», a renchéri la porte-parole du PS, Gabrielle Siry. «Rendez-vous dans la rue et dans les grèves», a promis le candidat du NPA, Philippe Poutou.

Jean-Luc Mélenchon, lui, a préféré manier l’ironie. «Au bout de cinq ans de vœux de Macron je crois qu’ils portent la poisse. 16 degrés à Paris le 31 décembre. Ça va chauffer en janvier ! Bonne année», écrit sur Twitter le leader de La France insoumise.

Pour le vice-président du Rassemblement national Sébastien Chenu, le chef de l’État a confirmé qu’une réforme serait engagée et appliquée en 2023, sans en préciser les contours. Le gouvernement doit la présenter le 10 janvier. Pour le reste, le président a «évité le principal»: «la dette, le pouvoir d’achat et l’insécurité», a jugé le député du Nord.

Si les hauts fonctionnaires sont nuls pourquoi les embaucher ?

Si les hauts fonctionnaires sont nuls pourquoi les embaucher ?

 

Matthieu Aron et Caroline Michel-Aguirre pose la question dans l’Opinion  : «On fait comme si les hauts fonctionnaires étaient nuls. Mais alors, pourquoi continuer à les embaucher? Les rapports de l’Inspection des finances, de l’IGAS, de la Cour des comptes sont-ils voués à rester lettre morte?»

 

Créée en novembre 2021 au Sénat, la Commission d’enquête sur « l’influence des cabinets de conseil sur la conduite des politiques publiques » auditionne ce mercredi les responsables de la SNCF, d’EDF et de La Poste après avoir entendu les dirigeants de plusieurs structures comme McKinsey ou le Boston Consulting Group. Le livre-enquête Les Infiltrés dénonce la montée en puissance des consultants au cœur du pouvoir qui, selon ses auteurs, dépossède l’administration de compétences essentielles.

Les cabinets de conseil, tels McKinsey, Boston Consulting Group ou Bain, sont dans le collimateur depuis la crise sanitaire. Quel a été le montant de leurs interventions ?

Matthieu Aron et Caroline Michel-Aguirre : L’enveloppe globale s’élève à 24,6 millions pour les seuls dix-huit premiers mois de la crise, soit 47 contrats signés avec 7 entreprises de consulting. McKinsey a perçu la plus grosse part (10,7 millions). Dès mars 2020, la problématique des masques était au cœur de ces demandes avec l’évaluation des stocks, les questions de logistique, à raison d’un contrat toutes les deux ou trois semaines. Ont suivi des marchés sur les tests, l’approvisionnement en réactifs, puis sur la stratégie vaccinale.

En 2015, la Cour des comptes estimait le coût du recours aux cabinets de conseil à environ 150 millions d’euros par an entre 2011 et 2013. Vous évoquez aujourd’hui une fourchette globale dix à vingt fois supérieure : entre 1,5 et 3 milliards d’euros. Comment êtes-vous arrivés à un tel montant ?

M. A. :La ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, Amélie de Montchalin, reconnaît elle-même que l’Etat ne sait pas combien il dépense. Cela pose un vrai problème. Notre estimation repose sur les données des organisations professionnelles qui évoquent une fourchette entre 730 et 820 millions d’euros pour 2019. Les dépenses suivant une trajectoire ascendante, nous sommes probablement très largement au-dessus

La popularité des personnalités politiques : le classement des nuls

La popularité des personnalités politiques : le classement des nuls

 

On ne peut pas dire que la France fasse preuve de beaucoup de d’originalité en matière de popularité des responsables politiques.

 L’ex-Premier ministre domine toujours le classement des personnalités politiques (54 %, +3), tandis que Nicolas Hulot reprend sa deuxième place (46 %, +1) à Roselyne Bachelot qui se classe 3e (44 %, -3). Plus loin, Nicolas Sarkozy (33 %, +2), Bruno Le Maire (32 %, =), Olivier Véran (30 %, -2) occupent la suite du classement. A nouveau testée ce mois-ci, Marion Maréchal et se classe 7e (29 %, elle gagne 3 points depuis novembre 2020), juste devant Marine Le Pen (27 %, +3). Michel Barnier , testé pour la première fois ce mois-ci, occupe la 9e place avec 27 % d’image positive (27 % d’image négative et 46 % ne se prononcent pas). Nicolas Dupont-Aignan (22 %) et Rachida Dati (22 %) progressent également de 3 points.

Gérard Larcher, après avoir connu une baisse de 6 points le mois dernier, enregistre la plus forte augmentation de janvier (18 %, +5). Gabriel Attal (17 %, +3) connaît une amélioration de sa popularité depuis septembre 2020 : il gagne 15 points de notoriété, repartis de manière quasi-égale entre image positive (+7) et image négative (+8).

Ne manque plus que le célèbre député Jean Lassalle ou Arlette Laguiller pour compléter le tableau.

Pourquoi les députés En marche sont-ils aussi nuls ?

Pourquoi  les députés En marche sont-ils aussi nuls ?

 

L‘inconsistance, le manque d’expérience et de compétences de la quasi-totalité des députés En marche se vérifient chaque jour notamment lors leurs prestations  dans les médias. Visiblement, ces députés ne sont pas prêts à soutenir la comparaison avec leurs interlocuteurs dans les débats télévisés. Première observation, ils connaissent très mal les dossiers et se contentent  de répéter comme des perroquets les éléments de langage du type:  retraite universelle ,un euro égal un euro, système à points. Plus récemment » la réforme systémique est indispensable indissociable de la réforme paramétrique ». Aucun député ne se distingue vraiment de cette masse macroniste  composée pour l’essentiel d’arrivistes et de courtisans. Souvent de très jeunes gens frais émoulus d’instituts politiques qui n’apprennent  rien et surtout pas les réalités socio-économiques. On fera observer qu’il y a aussi quelques vieux crocodiles de la politique venus du parti des républicains ou des socialistes mais qui dans cette affaire particulière de la retraite évitent  de trop s’impliquer sachant qu’il y a surtout des coups à prendre compte tenu des contradictions du gouvernement. Pour preuve Macron a éprouvé bien des difficultés à trouver un remplaçant à Delevoye  et a dû se rabattre sur un député ancien DRH d’ Auchan sans véritable expérience politique et qui avait l’habitude de gérer les relations sociales à la hache. Il s’est surtout mis en évidence chez Auchan par la multiplication des plans de licenciement. Bref comme la plupart de ses collègues députés, surtout un arriviste sans réel vision politique  autre que sa propre carrière. Faut-il rappeler cet incident significatif de sa personnalité quand il a voulu licencier une déléguée CFDT quand il était responsable des ressources humaines dans le magasin Auchan de Béthune, dans le Pas-de-Calais. Une caissière, qui est par ailleurs à l’époque déléguée syndicale CFDT, offre à une cliente un pain au chocolat qui était trop cuit. Immédiatement mise à pied, elle est placée en garde à vue pour vol. « Cela a été d’une violence sans nom », témoigne sur franceinfo Guy Laplatine, à l’époque délégué régional pour la CFDT. 

« Cela a fini par s’arranger et notre collègue a été réintégrée », poursuit Guy Laplatine. « C’est une erreur de jeunesse, après, il s’est calmé », assure-t-il. De son côté, Laurent Pietraszewski assume :  »Mon rôle a été d’examiner des éléments objectifs. Après avoir sollicité l’inspection du travail, j’ai pris cette décision. La collaboratrice ne l’a pas contesté aux prud’hommes », explique-t-il dans le journal L’Humanité. Le problème global des députés de la république en marche c’est qu’ils n’ont aucune légitimité politique. Ils ont profité de la vague Macron pour se faire élire là où de toute manière une chèvre aurait aussi été portée  par la vague macroniste. . En plus sans doute par mimétisme beaucoup reprennent cette posture de Macron qui combine la condescendance et le mépris. Il y a quelque chose de surréaliste à voir ces jeunes députés tenter d’expliquer des problématiques socio économiques qu’ils ne connaissent pas et donner des leçons d’intérêt général quand pour l’essentiel, ils  ne pensent  qu’à leur intérêt particulier.

 

Mais cette nullité des députés en marche n’est sans doute pas dû ai hasard . Elle correspond au caractère théocratique de la gestion du pouvoir de Macron. Lui seul s’estime qualifié pour décider. C’est aussi avec condescendance qu’il considère la plupart de ses collaborateurs. À dessein, il a choisi d’écarter toutes les personnalités politiques ayant réellement une certaine épaisseur et une certaine expérience. Voir par exemple avec quelle violence en public il a humilié Borloo et son excellent rapport sur les banlieues. En cause, le fait que Borloo représentait  évidemment un possible concurrent en 2022. Il est clair qu’on ne peut prétendre à des responsabilités politiques nationales sans avoir un passé une politique et une expérience socio-économique réelle. En général pour  former  un responsable national de parti, d’association ou de syndicat, il faut compter au moins une dizaine d’années. Là en quelques mois ont émergé les adeptes du macronisme dont  les compétences se limitent à répéter de manière malhabile et sans talent le discours du patron. Dans aucune organisation économique, politique sociale on ne peut devenir responsable national aussi vite que l’ont été les députés de Macron. Le même reproche peut être fait  à Macron, sorti de nulle part. On ne peut devenir président de la république à 39 ans sans le moindre passé politique, social voir même économique ( on peut même s’interroger sur la nature des fonctions réelles de Macron dans la banque). De la même manière qu’on peut s’interroger sur l’origine des fonds qui ont permis à Macron de financer sa campagne. (Une instruction judiciaire est en cours mais elle risque de durer longtemps !)

UE-nominations : on cherche des nuls pour faire l’unanimité

UE-nominations : on cherche des nuls pour faire l’unanimité

Les candidatures de deux ténors ont été balayées, celles de Manfred Weber, l’allemand,  et celle du -démocrate néerlandais Frans Timmermans qui semblaient pourtant  faire consensus. En faite le choix des nominations à la tête de l’Europe résulte d’un savant équilibre entre eux les intérêts de chaque pays, les tendances politiques et les personnalités. Par exemple comme la France ne veut pas d’un président de commission allemand, il faut bien se rabattre sur un responsable ni allemand ni français. (L’Allemagne ne veut pas non plus d’un Français comme président  de commission) Et ceci vaut pour d’autres postes. D’une façon générale,  on aura donc tendance à choisir des seconds couteaux sans grande personnalité afin qu’il puisse être toujours contrôlés par les Etats. C’est de cette façon que Juncker, la marionnette, avait été choisi. Et le bilan de ce dernier est assez catastrophique puisque sous sa présidence la cohésion de l’Europe s’est beaucoup affaiblie. Paradoxalement c’est peut-être la banque centrale européenne qui aura fait preuve de plus de personnalité avec Draghi, pourtant assez critiqué lors de sa nomination. Pour surmonter toutes ces contradictions, l’Europe pourrait bien se satisfaire de candidats venant par exemple de Malte ! En tout cas de pays ne pesant pas trop lourd dans l’Europe et de candidats assez transparents. Tout cela découle évidemment du mode d’élection des Européens choisis par pays.

Lettre de Macron : une lettre nulle pour les nuls

Lettre de Macron : une lettre nulle   pour les nuls

 

Il faudra sans doute plusieurs jours « aux experts »  des grands médias pour analyser un texte complètement réducteur qui par ailleurs rend bien compte du niveau de formation des énarques. La problématique aussi bien socio-économique que démocratique est des plus simplistes voire même caricaturale. Bref une sorte de lettre nulle  pour les nuls. Ne parlons pas évidemment des conditions d’organisation de ce débat qui sont scandaleuses puisqu’aucun cadre sérieux n’est prévu. Chacun pouvant prendre l’initiative d’organiser la discussion. On se demande sur quelle problématique, sur quelle introduction et avec quelle capacité de synthèse. Bref on renvoie la responsabilité surtout aux maires de base qui pour la plupart ne sont pas formées à ce type d’exercice et plus compétents pour décider du curage des fossés, de l’édification d’équipements inutiles et de  l’embauche de fonctionnaires dans des structures de plus en plus incontrôlable. Pourtant les maires sont les élus qui seraient les plus appréciés mais dans une marée de telle incompétence politique générale la performance n’a guère de signification. Évidemment on aurait souhaité une lettre déjà beaucoup plus courte se limitant aux attentes. Une lettre qui aurait pu être complétée dans des annexes avec une problématisation un peu pertinente sur chaque thème. Au lieu d’un -bla-bla général qu’on peut entendre dans tous les bistrots et autres grands médias. Cette lettre démontre à l’évidence le niveau politique général du pays y compris au niveau le plus élevé. Bref on reste dans le verbiage approximatif non quantifié et qualitativement très médiocre. De quoi peut-être satisfaire les fidèles de bistrot après trois tournées d’apéritif mais sûrement pas des citoyens plus sobres et plus lucides du XXIe siècle.

 

La république relance la formation des imams, la laïcité des nuls !

La république  relance la formation des imams, la laïcité des nuls !

Degré  zéro de la politique, degré zéro de la pensée, degré zéro de réalités socio culturelles, résultat la république va former les imams ! Michel Onfray, le philosophe,  a bien eu raison de traiter  Valls de « crétin ». . le gouvernement de Valls , soucieux de lutter contre la radicalisation de certains jeunes et de limiter les interventions étrangères dans la deuxième religion de France, a annoncé qu’il encouragerait la multiplication des  formations civiques d’un an, subventionnées par l’Etat à hauteur de 15.000 euros par étudiant. A Strasbourg Le Premier ministre avait déjà  plaidé pour la   formations des imams., « c’est un passage qui doit devenir incontournable, je devrais presque dire obligatoire », pour les aumôniers ou les imams formés à l’étranger. En revanche, « il faut être très clair », insiste le chef du gouvernement : L’Etat ne s’occupera pas de théologie. Il n’y aura pas de loi, il n’y aura pas de décret, pas de circulaire pour dire ce que doit être l’islam. Il n’y aura pas de tutelle, pas de privilège particulier. Jamais l’Etat ne prendra le contrôle d’une religion, d’un culte », assure Manuel Valls. une déclaration qui rectifie un peu  celle de Cazeneuve qui avait déclaré que l’Etat « doit contribuer  à élaborer uen théologie compatible avec les valeurs de la république ». Drôle de charabia en vérité, aussi bien de Cazeneuve que de Valls. l’Etat laïc n’a pas à se préoccuper de la formation des clercs.  il y a une confusion entre la sphère privée ( la croyance personnelle ) et la sphère publique ( lois qui déterminent le vivre ensemble comme ont aujourd’hui). Première observation , l’Etat  laïc n’a pas à s’immiscer dans l’intime croyance des individus, ni  dans la religion mais à fixer l’environnement juridique qui s’impose à tous religieux ou pas. A cet égard li faut observer que nombre d’imams sont étrangers ( nettement plus de la moitié). Certains viennent ici  simplement parce qu’ils ne pourraient se comporter de la même manière  dans leur propre pays  . La France compte, aujourd’hui, environ 1 800 imams en activité. Seulement un tiers sont rémunérés. Pour le moment, les milieux musulmans ont axé leurs efforts financiers sur la construction de lieux de culte. Pour pallier ce manque de moyens, le recours à des imams étrangers payés perdure. La moitié des imams salariés viennent d’Algérie (120), de Turquie (150) et du Maroc (30) pour un séjour en France qui n’excède généralement pas quatre ans.. La république n’a pas à former ces imams ( pas plus que les clercs des autres religions.  La seule obligation pour l’Etat est de s’assurer que ces imams respectent les valeurs traduites dans les lois de la république. En cas d’infraction incitant notamment à la violence ce doit être le retour dans le pays d’origine. Pour les Imams d’origine étrangère disposant de la double nationalité ce devrait être la déchéance de la nationalité ( approuvée par 81% des français). Le reste est littérature et basses manœuvres politiciennes pour masquer l’absence de volonté de s’attaquer à ceux qui diffusent  cette violence , et encouragent  le crime et le terrorisme. Il y a une curieuse inversion des champs de responsabilité quand l’Etat s’investit dans la formation religieuse  mais qu’à l’inverse  il manifeste un pathétique laxisme à l’égard des obligations  de la république.( obligations et droits  de la constitution et des  lois) . Or c’est précisément cette  contradiction et cet angélisme qui permettent  au FN de progresser. En niant le réel, les responsables politiques offrent uen opportunité extraordinaire de discréditer leur propre politique, en niant le réel ils permettent surtout de donner une  crédibilité au tout aussi  virtuel programme extrémiste. La faute notamment à cette oligarchie coupée depuis longtemps des réalités socio culturelles. La contrepartie de cette intransigeance vis-à-vis du respect de la loi,’c’est la nécessité d’assurer pour tous le libre exercice de la religion et de protéger notamment de la même manière tous les lieux de culte, mosquées comprises. Il serait urgent que la république forme intellectuellement, ( aussi socialement et économiquement) les responsables politiques, Premier ministre compris, c’est plus urgent que la formation des imams ! 

Tweets : le classement des nuls, Hollande, 18e leader mondial

Tweets : le classement des nuls, Hollande, 18e leader mondial

C’est le classement des nuls , celui des responsables politiques qui utilisent Tweeter ; une manière de s’exprimer en 140 caractères maxi, soit 3 à 4 lignes ce qui est bien suffisant pour rendre compte la pauvreté de la pensée politique ambiante. C’est mode, jeune en plus ;  Pour les services de com. Il faut sacrifier à cette  nouvelle modalité d’expression mais où justement la pensée est réduite à sa plus simple expression. Le jour où il faudra faire des clips musicaux, les politiques  n’hésiteront pas à chanter sil le faut et même montrer leur cul à défaut d’exposer le produit de leur cerveaux. . Hollande  est loin d’être le dirigeant le plus populaire au monde pour tweeter  : il se classe 18e du classement du JDD. Radioscopie du compte de François Hollande.  Entre Barack Obama et François Hollande, il y a près de 55 millions de comptes Twitter d’écart. Dans notre classement des dirigeants internationaux les plus suivis, le président français n’est que 18e, avec plus de 900.000 abonnés. Une timide performance pour le chef de la cinquième (à moins que ce ne soit déjà la sixième) puissance mondiale. Il est devancé par des personnalités moins en vue de la scène internationale, comme l’Indonésien Joko Widodo (9e) ou le Péruvien Ollanta Humala (15e). De plus, François Hollande n’est que la quatrième personnalité européenne, derrière l’Italien Matteo Renzi (14e), le Russe Vladimir Poutine (16e) et le Britannique David Cameron (17e).

 

#RepasDeFamille du gouvernement : ou le net pour les nuls !

#RepasDeFamille du gouvernement : ou le net pour les nuls !

 

Les services de com. de l’Elysée viennent de découvrir les vertus du net, du coup ils ont simplement transposée l’argumentation habituelle sur le support du web. Pour schématiser un poil d’humour dans les questions posées mais pas du tout dans les réponses, le même bla-bla énarchique indigeste qui ne répond pas à la question. D’une certaine manière c’est le questionnaire inversé. Le gouvernement vient avec ses réponses fermées et on tente d’y plaquer une question teintée d’ouverture démocratique. En fait tout le contraire de la philosophie du net qui a notamment pour objet d’ouvrir la démocratie, d’élargir les problématiques, de confronter les points de vue, bref de contribuer au débat et à l’ouverture d’esprit. Bref,  du pur Hollande relooké sur support davantage contemporain malheureusement Hollande pourrait revêtit un emballage ou un costume plus moderne qu’il le porterait tout auusi mal. C’est le « net » gouvernemental pour les nuls !  D’autant que peu nombreux sont ceux qui ont consacré du temps à la politique au cours de ces repas traditionnels de famille. Encore une erreur de calendrier.  Une bonne vingtaine de thèmes abordés par le gouvernement dans ce site qui se veut humoristique et une réponse aux critiques sur la politique gouvernementale. En fait un jeu qui traduit bien l’idée que se font les services de communication des citoyens : le niveau cours préparatoire ! Avec en plus de la réponse aux critiques très peu pertinentes, approximatives voire fausses. (Voir l’exemple sur les impôts). En fait plutôt un argumentaire mode propagande pour les militants du PS.  Les querelles politiques à table devraient se terminer avec le « bingo »,  jeu pensé par le gouvernement. Surtout pour les sympathisants socialistes à court d’arguments à qui l’État veut faire passer de bonnes fêtes. Il se présente sous la forme de questions et de réponses toutes exemple sur le chômage, réponse : , « le toute la « politique est dédiée à la lutte contre le chômage : la baisse des cotisations et de la fiscalité des entreprises pour qu’elles puissent embaucher, les dispositifs ciblés sur les jeunes et les seniors… » Ou encore sur   »Les impôts n’arrêtent pas d’augmenter« , avec la réponse : « C’est faux. Il y a eu une augmentation depuis 2010. Mais les choses ont changé. En septembre, l’impôt sur le revenu d’un ménage imposé sur cinq a baissé. Cette année et l’année prochaine, ce sont en tout 9 millions de ménages qui bénéficieront d’une baisse de leur impôt sur le revenu. » Bref une opération com. pas vraiment réussie et dont les réponses sont largement contredites par l’idée négative que se font les Français de la politique du gouvernement. Un jeu sans doute destiné aux demeurés qui ne comprennent rien !

 

 

 

Les jeunes Français nuls en économie

Les jeunes Français nuls en économie

 

Encore une évaluation internationale qui démontre le délabrement de l’enseignement en France. Selon un classement de l’OCDE qui a évalué leurs compétences, les collégiens français n’ont pas la moyenne en culture financière. Il leur était demandé de décrypter une offre de crédit ou de lire un cours de la bourse. Les Français de 15 ans sont 80% à avoir un compte en banque et 67% à gagner de l’argent, mais ils n’ont pas la moyenne en « culture financière ». Pour évaluer les compétences des adolescents dans ce domaine, l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a soumis à une enquête 29.000 élèves dans 18 pays, sur le modèle de ce qu’elle fait pour l’enquête Pisa. Résultat, les jeunes Français affichent un score de 486, alors que la moyenne des pays évalués est à 500. L’évaluation a été faite en 2012 à partir d’un questionnaire écrit. Les 1.068 Français interrogés devaient par exemple faire la différence entre une facture à régler et une facture déjà payée, lire un cours de bourse pour choisir à quel moment acheter des actions… Le test était complété par des évaluations en mathématiques et en compréhension écrite, ainsi que par des questions plus personnelles sur l’environnement familial ou l’expérience de l’argent. Pour l’OCDE, les résultats des Français en matière financière  « semblent indiquer que les compétences de base acquises à l’école ne donnent pas aux jeunes les outils nécessaires pour obtenir de bons résultats à l’évaluation de leur culture financière« . L’organisation note qu’en France, un élève sur cinq n’atteint pas une « compétence de base » en matière financière, et, au mieux, peut « faire la différence entre besoins et souhaits » ou « sait à quoi servent les documents financiers courants tels qu’une facture« . Les élèves les mieux classés sont les jeunes Chinois vivant à Shanghai (603 points), les Belges de langue flamande (541 ponts), les Estoniens, les Australiens et les Tchèques. Les lanternes rouges sont la Colombie (379 points) et l’Italie (466 points). L’Espagne et ses 484 points n’est pas très loin de la France. Pour expliquer le classement, la direction des affaires financières et des entreprises à l’OCDE avance des « aspects peut-être culturels, liés au fait qu’on ne parle pas facilement d’argent en famille » dans les pays latins. A l’inverse, les bonnes performances des pays d’Europe de l’Est pourraient être liées, toujours seront l’OCDE, au caractère « plus égalitaire » de ces sociétés ainsi qu’aux efforts faits après la chute des régimes communistes « pour intégrer les jeunes générations au système économique et financier« .

 

Personnalités, classement des plus nuls : Morano, Copé, Ribéry, Diam’s, Trierweiler et les autres

Personnalités, classement des plus nuls   : Morano, Copé, Ribéry, Diam’s, Trierweiler et les autres

Nadine Morano, Jean-François Copé, Ségolène Royal, Benjamin Castaldi, Franck Ribéry, Diam’s ou Valérie Trierweiler sont en tête des personnalités qui agacent les Français, selon une étude Harris Interactive réalisée à la demande de VSD et publiée mercredi. Selon cette étude, réalisée pour la 3ème année consécutive et qui interroge les Français sur les personnalités, médiatisées, susceptibles de les agacer dans différents domaines, les politiques arrivent en tête. « Parmi les dix-huit hommes et femmes politiques testés dans cette étude, dix agacent plus d’un répondant sur deux, ce qui conduit à un « taux d’agacement » moyen de 52% dans cette catégorie, souligne Harris Interactive. Jean-François Copé arrive largement en tête avec un taux de 81% d’agacement (+ 24), suivi de Nadine Morano (68%) et Ségolène Royal (63%, – 5). Chez les animateurs de télévision, Benjamin Castaldi (61%, -5 points) et Nikos Aliagas (48%, -1 point) conservent leur score élevé. Jean-Marc Morandini fait son entrée dans le baromètre avec un score de 45%. En moyenne, les animateurs de télévision agacent un tiers de la population de plus de 18 ans. La première femme, Audrey Pulvar, arrive en cinquième position, agaçant quatre Français sur dix. Parmi les sportifs, les Français désignent principalement comme source d’agacement les footballeurs, au premier rang desquels pour la troisième année consécutive, Franck Ribéry (69%, stable). Il devance Nicolas Anelka (60%) et Karim Benzema (49%, +14 points). Les représentants d’autres disciplines suscitent moins d’agacement : tous sports confondus, la moyenne se situe autour de 32%. Enfin, parmi « les personnalités des arts et du spectacle », trois personnalités obtiennent un score d’agacement supérieur à 50% contre une seule l’année dernière : la rappeuse Diam’s, qui s’est illustrée par la sortie de son autobiographie (58%), devant la Première dame Valérie Trierweiler (57%) et l’écrivain et philosophe Bernard-Henri Lévy (54%).

 

Foot-coupe d’Europe : les bleus comme l’économie, faibles et démotivés

Foot-coupe d’Europe : les bleus comme l’économie,  faibles et démotivés

 

Finalement il y a une certaine cohérence entre la situation économique de la France et les résultats de l’équipe de foot :   la faiblesse et la démotivation. Face à l’Espagne, la prestation tricolore a été un peu meilleure mais évidemment très en dessous  des ibériques; dans l’ensemble de l’Euro, les bleus n’ont guère été convaincants ; comme l’économie désabusés et fragiles. Problème structurel pour l’économie qui joue avec des chaussures de plomb (la fiscalité notamment qui plombe la compétitivité). Problème aussi structurel avec les bleus individuellement doués mais collectivement nuls. Un peu comme les français, des enfants trop gâtés allergiques aux sursauts qu’exigeraient les situations. En plus un mauvais management ; il ne faut pas dire la vérité, on les brosse dans le sens du poil. Faute d’analyse pertinente pas d’espoir de redressement. Il faudrait des leaders, des catalyseurs quand il n’y a que des individualités. La question de l’entraineur est taboue. Pourtant le concept d’entraineuer de l’équipe nationale est désuet ; Il n’y a pas d’entraineur mais seulement un sélectionneur. Les bleus n’ont rien à apprendre sur le plan technique, physique voire tactique. L’entraineur n’est là que pour sélectionner et motiver surtout quand il s’agit de joueurs aussi immatures intellectuellement. Grande différence avec 1998 ; les bleus aujourd’hui à quelques exceptions près sont incultes et psychologiquement fragiles ; c’est d’un psy et d’un meneur d’hommes dont ils ont besoin ; pas même capables de chanter l’hymne national ; il faudra leur donner des cours de chant ! Trop payés, c’est évident mais ils ne sont pas les seuls dans le foot. Blanc est gentil, il manque lui aussi de conviction, de détermination, de capacité d’emprise sur son groupe. Ce n’est pas forcément le passé de joueur qui fait l’entraineur (voir Guy Roux par exemple), c’est sa capacité à dominer psychologiquement, à motiver à véritablement « entrainer » et à se dépasser. Encore un fois les compétences individuelles ne sont pas en cause puisque la plupart des joueurs évoluent dans les meilleurs clubs d’Europe et  réussissent. Mais chez les bleus, il manque une poigne, un dynamiteur, un catalyseur : Comme pour l’économie,  on ménage les intérêts individuels et corporatistes, on va faire de la rigueur mais sans le dire, on saupoudre mais pas de véritable remise en cause, de vraie direction, de réelle mobilisation. Ce n’est pas d’un   »président  » dont a besoin le foot ou la France mais d’un manager qui donne la direction et sait mobiliser les énergies. La prochaine compétition de l’Euro, » c’est maintenant ! « Ça  commence avec le sommet de cette semaine ; faute de décision significative, c’est cette fois toute l’Europe qui va dans le mur et qui sera éliminée.




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