Archive pour le Tag 'nul'

Groupe Attal : Un programme nul

Groupe Attal : Un programme nul

En pleine période de vacances,  le groupe ensemble de Gabriel Attal s’est fendu d’un programme d’action…… pour les Français. Un programme sans vraie consistance ni réelle orientation pour tenter de plaire un peu à droite et un peu à gauche et viser ainsi une majorité au moins relative.
Un programme d’une grande indigence qui propose des mesures curieuses par exemple en matière de fiscalité l’affectation de l’impôt sur le revenu sur une grande mission de l’État. Une horreur pour Bercy ! L’affectation d’un impôt constituant la négation même de gestion rigoureuse d’un budget. La seule affectation qui serait cohérente consisterait à orienter une partie des ressources vers la réduction de la dette.

Autre mesure tout aussi ridicule, le projet d’un référendum annuel. Pourquoi annuel ? Et sur quoi ? Une mesure qui aurait pu être avancée par le Front National. À la fois démagogique et populiste.

«Ce n’est pas un programme mais un document « zéro, » qui vise à engager les discussions en vue de construire une coalition», précise un député participant qui tente vainement de justifier la faiblesse du document. Bref pas vraiment un texte d’action mais de racolage visant la recherche de l’introuvable majorité. Le document lui-même insiste sur le fait qu’il s’agit d’une «base de dialogue».

Débat télévisé Le Pen-Macron: match nul

Débat télévisé  Le Pen-Macron: match nul

 

 

 

La tonalité est à peu près la même dans la plupart des grands médias détenus par les financiers qui soutiennent Macron. Pour ces médias, Macron est encore le vainqueur du débat même si Marine Le Pen a fait aussi une bonne prestation. Macron qui s’est comporté comme d’habitude en professeur et Marine Le Pen  qui a démontré qu’elle était maintenant une bonne élève.

 

Très peu s’interrogent  cependant sur l’évaluation globale en regard des enjeux. En effet même si la discussion n’était pas inintéressante et relativement apaisée rapport à d’autres, les intéressés sont passés à côté du sujet et des enjeux. On a plutôt davantage assisté un duel d’épiciers  qu’à une confrontation entre candidats à la présidence de la république.

Avec sans doute la complicité des journalistes, le débat a porté  en effet sur des détails qui ne relèvent pas vraiment de la compétence d’un chef de l’État. Pour un peu on aurait été jusqu’au centime pour les futures augmentations promises concernant le pouvoir d’achat et jusqu’à l’unité pour les effectifs également promis dans les différents champs régaliens.

On aurait aimé évidemment que chaque candidat consacre beaucoup plus de temps à l’analyse des enjeux de long terme, aux forces mais aussi aux faiblesses de la France et qu’il propose une vision globale cohérente pour l’avenir.

Les médias et la télévision en particulier sont  largement responsables de cette approche superficielle des problématiques nationales et internationales. Il y a toujours le chronomètre qui impose de répondre en quelques secondes à une question fondamentale et qui appelle nécessairement une réponse superficielle.

Comme la plupart des autres grands médias détenus par les financiers, les journalistes estiment que Marine Le Pen  a fait une bonne prestation tant sur le plan technique que rhétorique mais que le professeur r, toujours aussi professoral a gagné le duel.

La vérité sans doute ,c’est que ce match s’est traduit par un résultat nul d’abord et surtout parce qu’il n’était pas à la hauteur des enjeux présidentiels. Deuxièmement parce que les deux candidats sont laissés piégés par ce débat d’épiciers composé pour l’essentiel de promesses type auberge espagnole pour tout et pour tous qui évidemment ne seront pas tenus tant pour des questions politiques( le débat fumeux entre référendum et révision de la constitution) que pour des questions financières car aucun programme n’est réellement financé ni celui de Macon, ni celui de Le Pen.

Débat Le Pen-Macron: match nul

 Débat Le Pen-Macron: match nul

 

 

 

La tonalité est à peu près la même dans la plupart des grands médias détenus par les financiers qui soutiennent Macron. Pour ces médias, Macron est encore le vainqueur du débat même si Marine Le Pen a fait aussi une bonne prestation. Macron qui s’est comporté comme d’habitude en professeur et Marine Le Pen  qui a démontré qu’elle était maintenant une très bonne élève.

 

Très peu s’interrogent  cependant sur l’évaluation globale en regard des enjeux. En effet même si la discussion n’était pas inintéressante et relativement apaisée rapport à d’autres, les intéressés sont passés à côté du sujet et des enjeux. On a plutôt davantage assisté un duel d’épiciers  qu’à une confrontation entre candidats à la présidence de la république.

Avec sans doute la complicité des journalistes, le débat a porté  en effet sur des détails qui ne relèvent pas vraiment de la compétence d’un chef de l’État. Pour un peu on aurait été jusqu’au centime pour les futures augmentations promises concernant le pouvoir d’achat et jusqu’à l’unité pour les effectifs également promis dans les différents champs régaliens.

On aurait aimé évidemment que chaque candidat consacre beaucoup plus de temps à l’analyse des enjeux de long terme, aux forces mais aussi aux faiblesses de la France et qu’il propose une vision globale cohérente pour l’avenir.

Les médias et la télévision en particulier sont  largement responsablesde cette approche superficielle des problématiques nationales et internationales. Il y a toujours le chronomètre qui impose de répondre en quelques secondes à une question fondamentale et qui appelle nécessairement une réponse superficielle.

Comme la plupart des autres grands médias détenus par les financiers, les journalistes estiment que Marine Le Pen  a fait une bonne prestation tant sur le plan technique que rhétorique mais que le professeur r, toujours aussi professoral a gagné le duel.

La vérité sans doute ,c’est que ce match s’est traduit par un résultat nul d’abord et surtout parce qu’il n’était pas à la hauteur des enjeux présidentiels. Deuxièmement parce que les deux candidats sont laissés piégés par ce débat d’épiciers composé pour l’essentiel de promesses type auberge espagnole pour tout et pour tous qui évidemment ne seront pas tenus tant pour des questions politiques( le débat fumeux entre référendum et révision de la constitution) que pour des questions financières car aucun programme n’est réellement financé ni celui de Macon, ni celui de Le Pen.

Présidentielle : effet  » primaire populaire » nul à gauche

Présidentielle : effet  » primaire populaire » nul  à gauche

 Selon un sondage Ifop-Fiducial 2022 publié quotidiennement pour nos confrères de Paris Match, LCI et Sud Radio, le chef de l’État domine le premier tour avec 24 % des intentions de vote.

À droite, Marine Le Pen ne semble pas fragilisée par les départs et les polémiques autour du Rassemblement national et se stabilise à 17,5 % des intentions de vote. Valérie Pécresse (16 %) perd 0,5 point, quand d’Éric Zemmour gagne 0,5 point (14 %). À gauche, tout le monde est stable par rapport à la vague précédente : Jean-Luc Mélenchon (9,5 %), Yannick Jadot (5 %), Christiane Taubira (4 %), Anne Hidalgo (3,5 %) et Fabien Roussel (3,5 %). Ainsi, la victoire de Christiane Taubira à la primaire populaire ne semble avoir eu aucun effet sur les intentions de vote sur les candidats du spectre de gauche.

Foot France Ukraine : encore un match vraiment nul (1–1)

Foot France Ukraine : encore un match vraiment nul (1–1) 

 

 

Une nouvelle fois l’équipe de France a montré un visage sans âme, sans dynamisme et sans créativité. Bref le visage habituel des matchs de l’entraîneur Déchamp qui  semble ne plus du tout maîtriser son sujet. Encore une fois, les Bleus concèdent le nul face à une Ukraine limitée (1-1). Encore un match insipide. Malheureusement il faudra sans doute attendre des résultats encore plus pitoyables pour que la fédération procède enfin au changement d’un entraîneur qui a fait son temps.

« Dedans avec les miens, dehors en citoyen »: le slogan nul !

« Dedans avec les miens, dehors en citoyen »: le slogan nul !

 

Vraiment difficile de faire plus nul avec un tel slogan pour compenser le vide de Jean Castex qui a présenté lundi soir à ses ministres la nouvelle campagne de communication gouvernementale pour lutter contre l’épidémie de Covid. »

Vraiment difficile de faire plus nul avec le slogan : « dedans avec les miens, dehors en citoyen ». On suppose qu’ils se sont mis à plusieurs pour accoucher de cette sorte de message publicitaire à moins qu’il n’ait sollicité encore les deux bureaux d’études qui se gavent de la pandémie en faisant semblant d’éclairer le gouvernement sur la meilleure stratégie.

 

En fait il s’agit d’une réponse au grand vide à nouveau laissé par la conférence de presse tenue par Castex à laquelle personne n’a rien compris. L’interrogation demeure : la France a-t-elle décidé un reconduit reconfinement  non ? Le pire c’est que l’Élysée a interdit à Matignon et au ministre de la santé d’employer le mot de reconfinement. Un mot détesté par un Macron branché en permanence sur les sondages et sur les états d’âme des Français vis-à-vis de sa popularité actuellement en berne.

 

Dedans avec les miens? C’est-à-dire «Je ne reçois pas chez moi», «Je ne me rends pas chez les autres», «Je télétravaille sauf impossibilité», «J’aère régulièrement mon logement» et «Je ne sors plus après 19h00, sauf pour mon travail ou une urgence, et avec une attestation», est-il énuméré dans ce premier pilier. Dehors en citoyen? Soit «Je peux sortir jusqu’à 19h00 pour des motifs autorisés: travailler, me promener, faire des courses, accompagner mes enfants à l’école, sortir mon animal de compagnie ou aller chez le médecin».

Mais, rappelle la campagne, «Au-delà de 10 km, je dois avoir une attestation justifiant le motif de mon déplacement» et «Je ne quitte pas la région ou mon département sauf motif impérieux ou professionnel, justifié par attestation». «Je porte le masque et je rappelle les distances» et si «Je peux retrouver des amis dehors», c’est «à six maximum en respectant les gestes barrière», met en garde le gouvernement. Et «si je ne suis pas seul ou si je ne suis pas avec les personnes de mon foyer», attention: «J’évite de manger ou de boire».

Jacques Chirac: bilan économique nul

Jacques Chirac: bilan économique nul

 

On se souvient que Chirac a gagné la bataille électorale de 95 en promettant mettre fin à la «la fracture sociale». Une promesse enterrée dès sa prise de fonction. Tout cela a d’ailleurs très mal commencé avec les grands conflits de 95. Des réformes étaient sans doute nécessaires mais Juppé les a conduites un peu à la manière de Macron, sabre au clair,  sans discernement et sans concertation. Sur le dossier essentiel à savoir la bataille de l’emploi Chirac a totalement échoué comme d’ailleurs la plupart de ses prédécesseurs et de ses successeurs. «Notre bataille principale a un nom: la lutte contre le chômage», martelait  Jacques Chirac à la tribune, face à ses militants, lors d’un meeting de campagne. La France est enferrée, depuis le milieu des années 70, dans un chômage devenu structurel. En 1995, il est élevé: 9,60%.

En 2004, Chirac, face à Patrick Poivre d’Arvor, admet que le chômage n’a pas vraiment baissé: «c’est évidemment un remords permanent».

De même, les inégalités ont augmenté au fil des mandats de Jacques Chirac, en dépit de ses promesses de 1995. Le moral des classes moyennes, qui n’ont pas vraiment bénéficié des réformes fiscales, évolue lui aussi à la baisse.

La présidence de Jacques Chirac s’ouvre sur un coup manqué pour réformer en profondeur l’économie. Le premier gouvernement Juppé veut étendre à la fonction publique les mesures Balladur, adoptées deux ans plus tôt, pour réformer les retraites. Le gouvernement annonce sans ambages sa volonté de supprimer les régimes spéciaux de retraites et de réformer la sécurité sociale. Ce «plan Juppé», peu explicité pendant la campagne présidentielle, est mal compris et déclenche un vaste mouvement de grève. En novembre-décembre, la contestation va paralyser la France. Au plus fort de la mobilisation, le 12 décembre, on compte deux millions de grévistes. Le gouvernement est poussé à rétropédaler: la réforme est retirée en décembre, et la perte de confiance va durer. L’l’échec est tellement patent échec est tellement patent que Jacques Chirac est contraint de dissoudre l’assemblée nationale est de rendre le pouvoir aux socialistes

.L’échec est tellement patent que Jacques Chirac est contraint de dissoudre l’assemblée nationale et de repasser le pouvoir au parti socialiste qui évidemment ne fera pas mieux. Chirac promet aussi des baisses d’impôts, la relance de la croissance et la diminution des déficits. Rien de tout cela ne sera réalisé au lieu d’une croissance de 3 % on atteindra au mieux 2,3 % en 2004. La baisse des impôts aura surtout pour essai d’accentuer les inégalités, profitant d’abord aux ménages ayant le plus de ressources, selon une étude de l’Institut des politiques publiques, un organisme dépendant de PSE-École d’économie de Paris et du Crest (Centre de recherche du groupe des écoles nationales d’économie et de statistique). La dette publique elle continue d’augmenter pour atteindre 64 % fins 2006. Pas étonnant pour peser sur le chômage on a créé presque 1 million d’emplois entre 95 et 2007. On objectera à juste titre que les successeurs de Chirac pour l’instant n’ont guère fait mieux. Le temps est la nostalgie, il n’est donc pas anormal qu’on considère maintenant que Chirac a été un bon président, en tout cas pas plus mauvais que  les autres.

Foot : Strasbourg-Guingamp : un vrai match nul !

Foot : Strasbourg-Guingamp : un vrai match nul !

Beaucoup d’observateurs avisés s’étonnent de la faiblesse récurrente des clubs français dans les grandes compétitions européennes. Parmi les facteurs explicatifs, il faut sans doute prendre en compte e niveau du  championnat français. Une nouvelle preuve a encore été fournie lors de la finale de la coupe de la ligue où s’affrontaient Strasbourg et Guingamp le 18e du championnat qui n’est même pas certain d’assurer son maintien en Ligue 1 et qui pourtant auraient pu obtenir une place pour les compétitions européennes s’il n’avait pas été battu lors de la séance des penalties. Pour tout dire, le match a été d’une grande médiocrité et c’est le hasard des penalties qui a désigné de vainqueur. Pas vraiment de quoi rehausser le prestige des clubs professionnels français et cette coupe de la ligue déjà peu appréciée. Depuis six ans cette coupe était remportée par le PSG qui domine normalement toutes les compétitions nationales mais malheureusement peine au plan européen. Cette fois deux autres clubs brillaient cette coupe de la ligue. On aurait pu imaginer une rencontre emballante alors que la plupart du temps le spectacle a été décevant il serait sans doute temps d’ouvrir un grand débat sur la question structurelle du niveau du football français.

CICE : effet nul sur l’emploi ?

CICE : effet nul sur l’emploi ?

L’institut des politiques publiques considère que les effets de  la transformation du crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE) en allègement de cotisations sociales pérennes sont douteux en matière d’emploi. Pourtant on se souvient qu’une étude du trésor indiquait que La transformation du CICE pourrait créer 100 000 emplois en trois ans et augmenterait le PIB de 0,2 %. Une évaluation, comme tout exercice de ce genre, très approximative. La raison essentielle est qu’on ne disposera pas d’une période de référence dans la même conjoncture. Il est clair que cette étude du Trésor est une demande du gouvernement qui cherche à donner une légitimité à la transformation du CICE en mesure permanente. D’un point de vue très théorique il est clair que la réduction des charges des entreprises a des conséquences sur la gestion et les résultats. Le nouveau CICE pérennisé va améliorer la situation des trésoreries, des résultats et de l’endettement. Reste à savoir si une partie de cette amélioration sera consacrée à l’embauche. Rien n’est certain car tout dépendra aussi de la demande et du pouvoir d’achat notamment des ménages qui représentent 60 % du PIB. Or il est vraisemblable que pour les trois prochaines années le niveau de l’activité générale sera marqué par un certain tassement. Pas sûr dans ces conditions que l’allégement des charges par ailleurs nécessaire soit mis au service du développement de l’emploi. L’’Institut des politiques publiques considère que les effets de cette transformation sur la compétitivité et l’emploi restent très incertains voire dangereux pour les équilibres financiers  La dépense publique pourrait s’accroître de 20 milliards d’euros, passant de 22 à 42 milliards d’euros avant de retomber à 24 milliards d’euros en 2020.  »La transformation du CICE en réductions de cotisations sociales se traduit en 2019 par un quasi doublement du coût budgétaire, avec d’un côté la créance de CICE au titre des années précédentes et de l’autre la dépense fiscale due à la réduction des cotisations sociales équivalentes pour les salaires de 2019″, expliquent les auteurs. Les effets sur l’emploi seraient faibles d’après l’institut des politiques publiques par contre ses effets seraient importants pour la recomposition de la trésorerie et des marges. Les investissements seraient peu impactés. De toute manière, ces différentes études sont sujettes à caution pour la raison déjà évoquée à savoir l’absence d’une période de référence permettant des comparaisons pertinentes. Pour l’emploi, tout dépendra de la croissance mais si cette croissance est favorable il est clair que l’amélioration de la situation financière des entreprises peut constituer un encouragement à l’embauche.

France face au Japon : un vrai match nul, la honte

France face au Japon : un vrai match nul, la honte

 

 

Inutile de tourner autour du pot, le match de rugby contre le Japon signe l’acte de décès des bleus en tant que grande nation du rugby. On avait honte à regarder ce match avec des Japonais beaucoup plus mobiles, beaucoup plus inventifs, plus déterminées aussi qui ont failli battre les Bleus. Un vrai match nul pour la France. La France qui a voulu copier le rugby de l’hémisphère sud avec des joueurs lourdauds, sans inspiration et sans grande motivation aussi. Tout évidemment est à revoir. La France a abandonné ce qui faisait son originalité sa vitesse et  sa créativité. Le rugby français n’a pas compris que l’ordre du jour était à la vitesse quand nous demis  mettent  des minutes avant de transmettre la balle à un partenaire déjà marqué. Le mal est profond car il n’est n’affecte pas uniquement l’équipe de France mais le championnat caractérisé par un rythme ralenti et où on s’ennuie de plus en plus. De ce point de vue,  le rugby rejoint l’ennui qu’on ressent souvent dans le football lors de certains matchs. Bref le rugby français roupille, il bégaie, il y a il a oublié ce qui faisait les fondamentaux de la France. Les Français passent leur temps à aller s’empaler en vain sur la défense adverse en comptant sur des joueurs de plus en plus lourds mais de plus en plus lents. Or comme le montraient les Japonais l’avenir de rugby appartiendra à la vitesse et à la créativité. À l’envie aussi ! Les Bleus, incapables de dominer les Japonais, se sont ridiculisés. Un match nul 23-23 qui appelle des mesures fortes. Pour enrayer une chute incessante. Quand les joueurs français seront se servir de leurs pieds, de leurs mains, de leur cerveau et courir vite on aura résolu une grande partie du problème. Le XV de France peut tomber plus bas. Toujours plus bas.

Catalogne : après 1-0, match nul, 1 partout

Catalogne : après 1-0, match nul, 1 partout

De toute évidence les catalans opposés à l’indépendance ont largement rééquilibré la balance politique en manifestant à Barcelone ce dimanche. D’un point de vue sportif on pourrait considérer que les indépendantistes menaient  un–zéro à la mi-temps mais que le match a abouti un match nul à la fin de la partie. Du coup,  les indépendantistes auront bien du mal à donner la moindre crédibilité à leur volonté de quitter l’Espagne. Certes les indépendantistes et leurs alliés sont majoritaires dans le gouvernement catalan mais il n’y a sans doute pas plus de 40 % de catalan favorable à l’indépendance. De ce point de vue,  le référendum organisé par les indépendantistes n’est aucunement représentatif de l’opinion. En outre maintenant que certaines banques et entreprises envisagent de transférer leur siège social actuellement à Barcelone, les indépendantistes se trouvent engagés dans une voie sans issue. Madrid de son côté ne fait pas preuve d’une grande intelligence en refusant de dialoguer avec les autorités élues de Catalogne. De ce point de vue, le premier ministre et le roi ont délibérément choisi une posture radicale qui ne favorise pas le dialogue. L’enjeu réel en effet et moi l’indépendance que l’ouverture d’un plus grand champ d’autonomie comme celui qui existe au Pays basque. Des centaines de milliers de partisans de l‘unité de l‘Espagne sont donc descendus dans les rues de Barcelone dimanche, une semaine après le référendum controversé sur l‘indépendance de la Catalogne et ont ainsi rééquilibré le rapport de force. Les manifestants, qui étaient au nombre de 350.000 selon la police, étaient venus de toute l‘Espagne. Ils se sont rassemblés dans le centre de la capitale catalane, agitant des drapeaux espagnols et catalans où l‘on pouvait lire : “La Catalogne c‘est l‘Espagne” et “Ensemble, nous sommes plus forts”. Samedi déjà, des dizaines de milliers de personnes avaient manifesté dans une cinquantaine de villes d‘Espagne pour défendre l‘unité du pays ou réclamer l‘ouverture d‘un dialogue pour désamorcer la crise. Le président de l‘exécutif autonome catalan, Carles Puigdemont, doit prendre la parole mardi devant le Parlement régional. Il pourrait proclamer unilatéralement l‘indépendance de la Catalogne en s‘appuyant sur les résultats du référendum du 1er octobre où le “oui” l‘a largement emporté malgré un faible taux de participation.

Foot PSG Ludogorets : un match nul, vraiment nul, indigne

Foot PSG Ludogorets : un match nul, vraiment nul, indigne

 

 

Après la déroute à Montpellier où le PSG a perdu 3 à 0,  l’équipe parisienne a dû se satisfaire d’un match nul face à une modeste équipe bulgare. Certes on objectera que le PSG a manqué de chance avec innombrables occasions de buts ratés mais il y a de nombreux motifs d’inquiétudes quant à l’avenir de cette équipe. Comme d’habitude le PSG s’est assuré la maîtrise du jeu mais s’est montré incapable de concrétiser pour prendre l’avantage. En cause la malchance mais aussi la maladresse chronique des attaquants l’engagement des parisiens n’était pas au rendez-vous et le match pas vraiment à la hauteur d’une compétition internationale. Une sorte de mauvais match de ligue 1. À noter aussi la très grande fébrilité de la défense aussi de nombreuses défaillances individuelles avec un Thiago Motta le plus souvent absent à la condition physique indigente. Meunier  jouant le plus souvent à contre-courant, Di Maria complètement hors de forme. Bref tout est à revoir dans cette équipe : l’engagement, l’adresse et le repli défensif.  Avec une telle prestation l’avenir du PG est très hypothéqué en ligue des champions mais il n’est guère assuré aussi en ligue 1.

Foot : PSG et OM : un match vraiment nul

Foot : PSG et OM : un match vraiment nul

 

Encore un match vraiment nul de la part du PSG. Un mach nul (0-0) sur le plan du résultat mais nul surtout sur le plan du contenu. Comme d’habitude Paris s’est assuré la maîtrise du ballon mais de manière complètement inefficace. Une possession de balle qui ne sert strictement à rien, soit du fait d’un jeu trop latéral, soit en raison de la maladresse récurrente des attaquants. Le PSG donne  l’impression non pas de livrer des matchs de compétition mais des prestations d’entraînement. Il faut dire qu’en face le jeu de l’OM était pitoyable uniquement axé sur la défense sans aucun tir dans le but adverse pendant toute la partie. De quoi vraiment dégoûter le spectateur d’une ligue 1 déjà insipide. Avec un tel jeu il est probable que Paris n’ira pas loin cette année en coupe d’Europe. Le nouvel entraîneur n’a pas réussi à imprimer sa marque à Paris ;  le jeu du PSG c’est du Blanc mais en pire ! À noter qu’un joueur était hors de forme depuis plusieurs matchs de Di Maria ;  conclusion : le Parc des Princes s’est ennuyé ferme. Le PSG et l’OM se sont séparés sur un match nul et vierge (0-0) d’une tristesse infinie, dimanche soir en clôture de la 10e journée de Ligue 1. Rudi Garcia, pour ses débuts sur le banc phocéen, obtient ainsi un point au parfum de victoire, qui permet à son équipe de grimper à la 11e place, à égalité avec Lyon (13 pts). . Les Parisiens, en dépit d’une outrageuse possession de balle, ont eu un mal fou à se créer des brèches dans la muraille marseillaise. La défense de l’OM a pourtant failli céder dans les dernières minutes. Mais Edinson Cavani, seul face au but, a manqué sa reprise après un centre de Matuidi (83e).  Le buteur uruguayen s’était auparavant créé deux autres opportunités de marquer, à chaque fois de la tête après des coup-francs de Di Maria (34e) et Lucas (83e), là aussi sans succès. Hormis ces rares frissons, le Parc des Princes, pourtant à nouveau bruyant, n’a rien à eu se mettre sous la dent, ou presque.

 

Primaire de la droite à la télé: mach nul

Primaire de la droite à la télé: mach nul

Match nul,  un pronostic qu’il est permis de faire pour le premier débat télévisé concernant la primaire de la droite. Débat qui sera sans doute très suivi en tant que spectacle médiatique, moins pour l’intérêt des propositions que pour le combat de coqs qui va être engagé. Un match nul comme résultat et nul dans son contenu. Pourquoi ?  La première raison c’est que la droite n’est pas préparée à ce genre d’exercice, un exercice qui va à l’encontre même de la culture et même de l’esprit de la constitution. D’une certaine façon la primaire caractérise une récupération par les politiques partis politiques de la présidentielle. Ce que De Gaulle ne voulait pas précisément avec la constitution de la Ve République. Le prétexte de la démocratie cache en faite une opération de cadenassage des présidentielles par les partis classiques. Le match risque d’être nul dans son contenu car les différences idéologiques et les propositions des différents candidats ne sont pas si éloignées que cela. Du coup il faudra se distinguer sur la forme, mettre en avant sa personnalité et détruire le crédit des autres. En outre, de nombreux règlements de comptes interviendront surtout vis-à-vis de Sarkozy qui a humilié trop de ses anciens  amis et collaborateurs. La logique voudrait que la cible numéro un soit Alain Juppé puisque ce dernier est largement en tête des sondages surtout de la part de Sarkozy.  Mais il est vraisemblable que les autres candidats attaqueront surtout l’ancien président de la république pour récupérer ses dépouilles électorales. Sur le fond on ne peut guère s’attendre du fait même du support télévisé format incite forcément au schématisme. Un débat qui cependant sera très suivi autant par intérêt que par voyeurisme : une sorte de télé réalité politique sur le mode Ko Lanta à prétention démocratique.

 

Débat Trump –Clinton : match nul, vraiment nul

Débat Trump –Clinton : match nul, vraiment nul

 

Un débat qui se conclut par un match nul vraiment nul puisque consacré pour l’essentiel à des attaques personnelles. Une vraie caricature de confrontation à la télévision pourtant dans l’une des plus grandes démocraties du monde. C’est tout juste s’il a été possible d’aborder d’autres sujets comme la Syrie,l’immigration, la santé ou l’environnement. De quoi vraiment s’interroger sur le support médiatique que constitue la télévision car inévitablement le spectacle tourne au cirque et les sujets de fond sont traités de manière caricaturale et superficielle. Un débat qui dans la forme pourrait bien inspirer la primaire de la droite en France. Droite où on voit ce multiplier aussi les attaques personnellss. Le format de ces émission sert peu la cause démocratique. . Le récent débat avec Juppé sur France 2 a démontré à cet égard les limites de l’exercice. La faute aussi aux animateurs et aux intervenants qui visiblement n’étaient pas à la hauteur ce jour-là. Pendant plus de 90 minutes, Hillary Clinton et Donald Trump se sont donc écharpés à l’université Washington de Saint-Louis, dans le Missouri, lors du deuxième débat télévisé. Et c’est le républicain qui lancé les hostilités pour tenter de sauver sa campagne, en attaquant Bill Clinton sur ses frasques sexuelles. Chose rare dans l’histoire politique américaine, Donald Trump a même promis d’envoyer sa rivale en prison s’il était élu à la Maison-Blanche. Dans la tourmente après la divulgation par le Washington Post d’une vidéo dans laquelle on le voir tenir des propos obscènes à l’endroit des femmes, le magnat de l’immobilier a opté pour un affrontement personnel. « Je n’en suis pas fier, je me suis excusé auprès de ma famille et des Américains », a-t-il lancé en évoquant la vidéo. Mais il a aussitôt rebondi sur les frasques supposées de Bill Clinton, « bien pires« , selon lui. Le républicain affirme en effet que l’ancien président avait « abusé des femmes ». Durant ce débat d’une extrême violence, toutes les polémiques ont été évoquées. Affaire des e-mails d’Hillary Clinton, drame de Benghazi ou gaffe de la démocrate sur les électeurs « pitoyables » de Trump.  »Si je gagne, je vais donner l’ordre à mon ministre de la Justice de nommer un procureur spécial pour faire la lumière sur votre situation, parce qu’il n’y a jamais eu autant de mensonges, autant de choses cachées« , a-t-il lancé.  Hillary Clinton ne s’est pas non plus privée d’user de critiques personnelles. La démocrate est bien évidemment revenue sur la vidéo dans laquelle son rival tient des propos machistes, mais également sur son mépris envers les minorités. Pour preuve, son altercation avec les parents du soldat Khan, un musulman tué en Irak. On a tout juste effleuré quelques questions essentielles comme la Syrie, la santé ou encore l’environnement et encore avec une brutalité très théâtrale.

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