Archive pour le Tag 'nul'

Foot. Encore un pénible match nul pour l’OL

Foot. Encore un pénible match nul pour l’OL

 

La mauvaise série continue pour l’OL dans le championnat de ligue 1 pour la 18e journée ; Longtemps dominés et sans inspiration, les Lyonnais ont concédé un match nul à domicile face au TFC (0-0).

Lyon et Toulouse se sont séparés sur un nul (0-0), samedi au Groupama stadium, au terme d’un match de la 18e journée de Ligue 1 peu intense que les Toulousains auraient pu gagner face à des Lyonnais qui n’ont pas eu la réaction attendue après le camouflet reçu en Coupe à Bourgoin-Jallieu.

 

Rugby XV : Toulouse doit se satisfaire d’un nul face à Lyon méritant

Rugby XV : Toulouse doit se satisfaire d’un nulle face à Lyon méritant

Finalement un match nul  pour Toulouse 17 -17 face à Lyon très méritant .

Foot OM: Seulement un nul face à Lille

OM:  Seulement un nul face à Lille

L’OM a été tenu en échec par le Losc (1-1) ce samedi, lors de la 15e journée de Ligue 1. Au classement, l’OM reste deuxième mais est sous la menace de Monaco, en déplacement à Reims et qui dû aussi se contenter aussi d’un match nul (1-1).

 

 

Foot PSG: encore un match nul

Foot PSG: encore un match nul

 

Encore une déconvenue pour le PSG cette fois dans le championnat de France face au modeste club d’Auxerre. Et comme d’habitude c’est l’inefficacité de l’attaque qui est en cause aussi  la bonne prestation du gardien adverse.

PSG-Nantes: Encore un match « nul »

PSG-Nantes: Encore un match « nul »

PSG- Seulement un match nul contre Nantes ;pas de rédemption pour le PSG après la déconvenue contre le Bayern de Munich ( 1-0 pour le Bayern ). Comme souvent le PSG est stérile, il domine mais ne marque pas oubliant même de tirer devant les buts.  13 tirs, plus de 80% de possession  Mais un jeu ennuyeux et surtout inefficace. Encore un ou deux matchs de ce type et la crise n’est pas un grand pas le PSG. Nantes menacé de relégation repart heureux avec ce match nul inespéré

 

Foot – France–Israël : un match nul….. vraiment nul (0-0)

 

 

Jusque-là la France offrez sous la baguette de l’entraîneur Deschamps un spectacle le plus souvent ennuyeux mais au moins la France gagnait. Cette fois la France cumule la médiocrité du contenu et du résultat. Le match France Israël s’est terminé sur un match nul, vraiment nul avec une absence totale d’intensité, d’imagination et même d’implication. Comme si les internationaux de l’équipe pensée à autre chose.

Certes le contexte très politique de cette rencontre ne peut être ignoré mais il ne saurait être responsable de la médiocrité générale d’une équipe de France dont il faudra bien poser et le plus tôt possible la question de l’entraîneur qui lui aussi semble sans imagination est très fatigué.

 

Groupe Attal : Un programme nul

Groupe Attal : Un programme nul

En pleine période de vacances,  le groupe ensemble de Gabriel Attal s’est fendu d’un programme d’action…… pour les Français. Un programme sans vraie consistance ni réelle orientation pour tenter de plaire un peu à droite et un peu à gauche et viser ainsi une majorité au moins relative.
Un programme d’une grande indigence qui propose des mesures curieuses par exemple en matière de fiscalité l’affectation de l’impôt sur le revenu sur une grande mission de l’État. Une horreur pour Bercy ! L’affectation d’un impôt constituant la négation même de gestion rigoureuse d’un budget. La seule affectation qui serait cohérente consisterait à orienter une partie des ressources vers la réduction de la dette.

Autre mesure tout aussi ridicule, le projet d’un référendum annuel. Pourquoi annuel ? Et sur quoi ? Une mesure qui aurait pu être avancée par le Front National. À la fois démagogique et populiste.

«Ce n’est pas un programme mais un document « zéro, » qui vise à engager les discussions en vue de construire une coalition», précise un député participant qui tente vainement de justifier la faiblesse du document. Bref pas vraiment un texte d’action mais de racolage visant la recherche de l’introuvable majorité. Le document lui-même insiste sur le fait qu’il s’agit d’une «base de dialogue».

Débat télévisé Le Pen-Macron: match nul

Débat télévisé  Le Pen-Macron: match nul

 

 

 

La tonalité est à peu près la même dans la plupart des grands médias détenus par les financiers qui soutiennent Macron. Pour ces médias, Macron est encore le vainqueur du débat même si Marine Le Pen a fait aussi une bonne prestation. Macron qui s’est comporté comme d’habitude en professeur et Marine Le Pen  qui a démontré qu’elle était maintenant une bonne élève.

 

Très peu s’interrogent  cependant sur l’évaluation globale en regard des enjeux. En effet même si la discussion n’était pas inintéressante et relativement apaisée rapport à d’autres, les intéressés sont passés à côté du sujet et des enjeux. On a plutôt davantage assisté un duel d’épiciers  qu’à une confrontation entre candidats à la présidence de la république.

Avec sans doute la complicité des journalistes, le débat a porté  en effet sur des détails qui ne relèvent pas vraiment de la compétence d’un chef de l’État. Pour un peu on aurait été jusqu’au centime pour les futures augmentations promises concernant le pouvoir d’achat et jusqu’à l’unité pour les effectifs également promis dans les différents champs régaliens.

On aurait aimé évidemment que chaque candidat consacre beaucoup plus de temps à l’analyse des enjeux de long terme, aux forces mais aussi aux faiblesses de la France et qu’il propose une vision globale cohérente pour l’avenir.

Les médias et la télévision en particulier sont  largement responsables de cette approche superficielle des problématiques nationales et internationales. Il y a toujours le chronomètre qui impose de répondre en quelques secondes à une question fondamentale et qui appelle nécessairement une réponse superficielle.

Comme la plupart des autres grands médias détenus par les financiers, les journalistes estiment que Marine Le Pen  a fait une bonne prestation tant sur le plan technique que rhétorique mais que le professeur r, toujours aussi professoral a gagné le duel.

La vérité sans doute ,c’est que ce match s’est traduit par un résultat nul d’abord et surtout parce qu’il n’était pas à la hauteur des enjeux présidentiels. Deuxièmement parce que les deux candidats sont laissés piégés par ce débat d’épiciers composé pour l’essentiel de promesses type auberge espagnole pour tout et pour tous qui évidemment ne seront pas tenus tant pour des questions politiques( le débat fumeux entre référendum et révision de la constitution) que pour des questions financières car aucun programme n’est réellement financé ni celui de Macon, ni celui de Le Pen.

Débat Le Pen-Macron: match nul

 Débat Le Pen-Macron: match nul

 

 

 

La tonalité est à peu près la même dans la plupart des grands médias détenus par les financiers qui soutiennent Macron. Pour ces médias, Macron est encore le vainqueur du débat même si Marine Le Pen a fait aussi une bonne prestation. Macron qui s’est comporté comme d’habitude en professeur et Marine Le Pen  qui a démontré qu’elle était maintenant une très bonne élève.

 

Très peu s’interrogent  cependant sur l’évaluation globale en regard des enjeux. En effet même si la discussion n’était pas inintéressante et relativement apaisée rapport à d’autres, les intéressés sont passés à côté du sujet et des enjeux. On a plutôt davantage assisté un duel d’épiciers  qu’à une confrontation entre candidats à la présidence de la république.

Avec sans doute la complicité des journalistes, le débat a porté  en effet sur des détails qui ne relèvent pas vraiment de la compétence d’un chef de l’État. Pour un peu on aurait été jusqu’au centime pour les futures augmentations promises concernant le pouvoir d’achat et jusqu’à l’unité pour les effectifs également promis dans les différents champs régaliens.

On aurait aimé évidemment que chaque candidat consacre beaucoup plus de temps à l’analyse des enjeux de long terme, aux forces mais aussi aux faiblesses de la France et qu’il propose une vision globale cohérente pour l’avenir.

Les médias et la télévision en particulier sont  largement responsablesde cette approche superficielle des problématiques nationales et internationales. Il y a toujours le chronomètre qui impose de répondre en quelques secondes à une question fondamentale et qui appelle nécessairement une réponse superficielle.

Comme la plupart des autres grands médias détenus par les financiers, les journalistes estiment que Marine Le Pen  a fait une bonne prestation tant sur le plan technique que rhétorique mais que le professeur r, toujours aussi professoral a gagné le duel.

La vérité sans doute ,c’est que ce match s’est traduit par un résultat nul d’abord et surtout parce qu’il n’était pas à la hauteur des enjeux présidentiels. Deuxièmement parce que les deux candidats sont laissés piégés par ce débat d’épiciers composé pour l’essentiel de promesses type auberge espagnole pour tout et pour tous qui évidemment ne seront pas tenus tant pour des questions politiques( le débat fumeux entre référendum et révision de la constitution) que pour des questions financières car aucun programme n’est réellement financé ni celui de Macon, ni celui de Le Pen.

Présidentielle : effet  » primaire populaire » nul à gauche

Présidentielle : effet  » primaire populaire » nul  à gauche

 Selon un sondage Ifop-Fiducial 2022 publié quotidiennement pour nos confrères de Paris Match, LCI et Sud Radio, le chef de l’État domine le premier tour avec 24 % des intentions de vote.

À droite, Marine Le Pen ne semble pas fragilisée par les départs et les polémiques autour du Rassemblement national et se stabilise à 17,5 % des intentions de vote. Valérie Pécresse (16 %) perd 0,5 point, quand d’Éric Zemmour gagne 0,5 point (14 %). À gauche, tout le monde est stable par rapport à la vague précédente : Jean-Luc Mélenchon (9,5 %), Yannick Jadot (5 %), Christiane Taubira (4 %), Anne Hidalgo (3,5 %) et Fabien Roussel (3,5 %). Ainsi, la victoire de Christiane Taubira à la primaire populaire ne semble avoir eu aucun effet sur les intentions de vote sur les candidats du spectre de gauche.

Foot France Ukraine : encore un match vraiment nul (1–1)

Foot France Ukraine : encore un match vraiment nul (1–1) 

 

 

Une nouvelle fois l’équipe de France a montré un visage sans âme, sans dynamisme et sans créativité. Bref le visage habituel des matchs de l’entraîneur Déchamp qui  semble ne plus du tout maîtriser son sujet. Encore une fois, les Bleus concèdent le nul face à une Ukraine limitée (1-1). Encore un match insipide. Malheureusement il faudra sans doute attendre des résultats encore plus pitoyables pour que la fédération procède enfin au changement d’un entraîneur qui a fait son temps.

« Dedans avec les miens, dehors en citoyen »: le slogan nul !

« Dedans avec les miens, dehors en citoyen »: le slogan nul !

 

Vraiment difficile de faire plus nul avec un tel slogan pour compenser le vide de Jean Castex qui a présenté lundi soir à ses ministres la nouvelle campagne de communication gouvernementale pour lutter contre l’épidémie de Covid. »

Vraiment difficile de faire plus nul avec le slogan : « dedans avec les miens, dehors en citoyen ». On suppose qu’ils se sont mis à plusieurs pour accoucher de cette sorte de message publicitaire à moins qu’il n’ait sollicité encore les deux bureaux d’études qui se gavent de la pandémie en faisant semblant d’éclairer le gouvernement sur la meilleure stratégie.

 

En fait il s’agit d’une réponse au grand vide à nouveau laissé par la conférence de presse tenue par Castex à laquelle personne n’a rien compris. L’interrogation demeure : la France a-t-elle décidé un reconduit reconfinement  non ? Le pire c’est que l’Élysée a interdit à Matignon et au ministre de la santé d’employer le mot de reconfinement. Un mot détesté par un Macron branché en permanence sur les sondages et sur les états d’âme des Français vis-à-vis de sa popularité actuellement en berne.

 

Dedans avec les miens? C’est-à-dire «Je ne reçois pas chez moi», «Je ne me rends pas chez les autres», «Je télétravaille sauf impossibilité», «J’aère régulièrement mon logement» et «Je ne sors plus après 19h00, sauf pour mon travail ou une urgence, et avec une attestation», est-il énuméré dans ce premier pilier. Dehors en citoyen? Soit «Je peux sortir jusqu’à 19h00 pour des motifs autorisés: travailler, me promener, faire des courses, accompagner mes enfants à l’école, sortir mon animal de compagnie ou aller chez le médecin».

Mais, rappelle la campagne, «Au-delà de 10 km, je dois avoir une attestation justifiant le motif de mon déplacement» et «Je ne quitte pas la région ou mon département sauf motif impérieux ou professionnel, justifié par attestation». «Je porte le masque et je rappelle les distances» et si «Je peux retrouver des amis dehors», c’est «à six maximum en respectant les gestes barrière», met en garde le gouvernement. Et «si je ne suis pas seul ou si je ne suis pas avec les personnes de mon foyer», attention: «J’évite de manger ou de boire».

Jacques Chirac: bilan économique nul

Jacques Chirac: bilan économique nul

 

On se souvient que Chirac a gagné la bataille électorale de 95 en promettant mettre fin à la «la fracture sociale». Une promesse enterrée dès sa prise de fonction. Tout cela a d’ailleurs très mal commencé avec les grands conflits de 95. Des réformes étaient sans doute nécessaires mais Juppé les a conduites un peu à la manière de Macron, sabre au clair,  sans discernement et sans concertation. Sur le dossier essentiel à savoir la bataille de l’emploi Chirac a totalement échoué comme d’ailleurs la plupart de ses prédécesseurs et de ses successeurs. «Notre bataille principale a un nom: la lutte contre le chômage», martelait  Jacques Chirac à la tribune, face à ses militants, lors d’un meeting de campagne. La France est enferrée, depuis le milieu des années 70, dans un chômage devenu structurel. En 1995, il est élevé: 9,60%.

En 2004, Chirac, face à Patrick Poivre d’Arvor, admet que le chômage n’a pas vraiment baissé: «c’est évidemment un remords permanent».

De même, les inégalités ont augmenté au fil des mandats de Jacques Chirac, en dépit de ses promesses de 1995. Le moral des classes moyennes, qui n’ont pas vraiment bénéficié des réformes fiscales, évolue lui aussi à la baisse.

La présidence de Jacques Chirac s’ouvre sur un coup manqué pour réformer en profondeur l’économie. Le premier gouvernement Juppé veut étendre à la fonction publique les mesures Balladur, adoptées deux ans plus tôt, pour réformer les retraites. Le gouvernement annonce sans ambages sa volonté de supprimer les régimes spéciaux de retraites et de réformer la sécurité sociale. Ce «plan Juppé», peu explicité pendant la campagne présidentielle, est mal compris et déclenche un vaste mouvement de grève. En novembre-décembre, la contestation va paralyser la France. Au plus fort de la mobilisation, le 12 décembre, on compte deux millions de grévistes. Le gouvernement est poussé à rétropédaler: la réforme est retirée en décembre, et la perte de confiance va durer. L’l’échec est tellement patent échec est tellement patent que Jacques Chirac est contraint de dissoudre l’assemblée nationale est de rendre le pouvoir aux socialistes

.L’échec est tellement patent que Jacques Chirac est contraint de dissoudre l’assemblée nationale et de repasser le pouvoir au parti socialiste qui évidemment ne fera pas mieux. Chirac promet aussi des baisses d’impôts, la relance de la croissance et la diminution des déficits. Rien de tout cela ne sera réalisé au lieu d’une croissance de 3 % on atteindra au mieux 2,3 % en 2004. La baisse des impôts aura surtout pour essai d’accentuer les inégalités, profitant d’abord aux ménages ayant le plus de ressources, selon une étude de l’Institut des politiques publiques, un organisme dépendant de PSE-École d’économie de Paris et du Crest (Centre de recherche du groupe des écoles nationales d’économie et de statistique). La dette publique elle continue d’augmenter pour atteindre 64 % fins 2006. Pas étonnant pour peser sur le chômage on a créé presque 1 million d’emplois entre 95 et 2007. On objectera à juste titre que les successeurs de Chirac pour l’instant n’ont guère fait mieux. Le temps est la nostalgie, il n’est donc pas anormal qu’on considère maintenant que Chirac a été un bon président, en tout cas pas plus mauvais que  les autres.

Foot : Strasbourg-Guingamp : un vrai match nul !

Foot : Strasbourg-Guingamp : un vrai match nul !

Beaucoup d’observateurs avisés s’étonnent de la faiblesse récurrente des clubs français dans les grandes compétitions européennes. Parmi les facteurs explicatifs, il faut sans doute prendre en compte e niveau du  championnat français. Une nouvelle preuve a encore été fournie lors de la finale de la coupe de la ligue où s’affrontaient Strasbourg et Guingamp le 18e du championnat qui n’est même pas certain d’assurer son maintien en Ligue 1 et qui pourtant auraient pu obtenir une place pour les compétitions européennes s’il n’avait pas été battu lors de la séance des penalties. Pour tout dire, le match a été d’une grande médiocrité et c’est le hasard des penalties qui a désigné de vainqueur. Pas vraiment de quoi rehausser le prestige des clubs professionnels français et cette coupe de la ligue déjà peu appréciée. Depuis six ans cette coupe était remportée par le PSG qui domine normalement toutes les compétitions nationales mais malheureusement peine au plan européen. Cette fois deux autres clubs brillaient cette coupe de la ligue. On aurait pu imaginer une rencontre emballante alors que la plupart du temps le spectacle a été décevant il serait sans doute temps d’ouvrir un grand débat sur la question structurelle du niveau du football français.

CICE : effet nul sur l’emploi ?

CICE : effet nul sur l’emploi ?

L’institut des politiques publiques considère que les effets de  la transformation du crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE) en allègement de cotisations sociales pérennes sont douteux en matière d’emploi. Pourtant on se souvient qu’une étude du trésor indiquait que La transformation du CICE pourrait créer 100 000 emplois en trois ans et augmenterait le PIB de 0,2 %. Une évaluation, comme tout exercice de ce genre, très approximative. La raison essentielle est qu’on ne disposera pas d’une période de référence dans la même conjoncture. Il est clair que cette étude du Trésor est une demande du gouvernement qui cherche à donner une légitimité à la transformation du CICE en mesure permanente. D’un point de vue très théorique il est clair que la réduction des charges des entreprises a des conséquences sur la gestion et les résultats. Le nouveau CICE pérennisé va améliorer la situation des trésoreries, des résultats et de l’endettement. Reste à savoir si une partie de cette amélioration sera consacrée à l’embauche. Rien n’est certain car tout dépendra aussi de la demande et du pouvoir d’achat notamment des ménages qui représentent 60 % du PIB. Or il est vraisemblable que pour les trois prochaines années le niveau de l’activité générale sera marqué par un certain tassement. Pas sûr dans ces conditions que l’allégement des charges par ailleurs nécessaire soit mis au service du développement de l’emploi. L’’Institut des politiques publiques considère que les effets de cette transformation sur la compétitivité et l’emploi restent très incertains voire dangereux pour les équilibres financiers  La dépense publique pourrait s’accroître de 20 milliards d’euros, passant de 22 à 42 milliards d’euros avant de retomber à 24 milliards d’euros en 2020.  »La transformation du CICE en réductions de cotisations sociales se traduit en 2019 par un quasi doublement du coût budgétaire, avec d’un côté la créance de CICE au titre des années précédentes et de l’autre la dépense fiscale due à la réduction des cotisations sociales équivalentes pour les salaires de 2019″, expliquent les auteurs. Les effets sur l’emploi seraient faibles d’après l’institut des politiques publiques par contre ses effets seraient importants pour la recomposition de la trésorerie et des marges. Les investissements seraient peu impactés. De toute manière, ces différentes études sont sujettes à caution pour la raison déjà évoquée à savoir l’absence d’une période de référence permettant des comparaisons pertinentes. Pour l’emploi, tout dépendra de la croissance mais si cette croissance est favorable il est clair que l’amélioration de la situation financière des entreprises peut constituer un encouragement à l’embauche.

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