Archive pour le Tag 'Nu'

Macron à la télé: le roi nu mais toujours arrogant

Macron à la télé: le roi nu mais toujours arrogant

Pour résumer, le bla-bla habituel. D’abord une petite leçon juridique (inutile) sur le processus d’élaboration de la loi. Ensuite une explication très vaseuse à propos de la foule populace qu’il compare aux factieux du Capitole aux États-Unis. La rengaine de l’équilibre démographique (on fait quoi pour encourager la natalité ?). Quand même un tout petit mot pour les entreprises qui font trop de profits et qui rachètent leurs actions (ses amis). L’argument de l’opposition dont le conglomérat signifierait déficit. La fausse affirmation que des syndicats n’ont pas proposé de compromis. La reconnaissance de la colère et l’engagement de travaux sur le sens du travail, la reconversion et l’avancement. Bref les éboueurs pourront peut-être à partir de 55 ans pour passer le concours de l’ENA !. L’engagement gratuit vis-à-vis des branches dont les minima conventionnels sont en dessous du SMIC (la patate chaude renvoyée au Medef).

Pas de changement au gouvernement, Borne reste en place et va engager des travaux beaucoup plus réduits il y aura moins de lois, des textes plus courts et pour cause il a du mal à trouver une majorité. Autre affirmation fallacieuse » on a tout dépensé avant » comme si Macron en 6 ans n’avait pas fait sauter le plafond de la dette. « Bref oui il y a des problèmes mais tout va bien et les problèmes viennent surtout du covid, de la guerre et de l’inflation. Une manière de renvoyer en touche sa responsabilité.

Encore une intervention pour rien pour rabâcher toujours les mêmes fallacieux arguments concernant les risques financiers, les risques d’insurrection, les risques populistes. Le cri » le roi nu » résume le mieux l’imposture permanente de Macon, le cri qui dégonfle la baudruche, fait tomber le masque d’un président élu après avoir infiltré la gauche pour mieux se mettre au service des plus riches qui ont financé ses campagne

À la mauvaise foi, s’ajoute aussi pour Macron l’incompétence crasse. Certes il aura réussi à octroyer de nombreux cadeaux aux plus riches mais il aura sans doute plongé le pays dans une crise dont les conséquences se feront sentir pendant des dizaines d’années. Il a largement contribué à brader l’économie et en particulier l’industrie mais aussi l’agriculture.
Il va laisser les finances de la France dans un état lamentable puisque la dette aura augmenté d’environ 25 % durant son mandat (3000 milliards de dettes un record et 50 milliards de charges financières par an).

Le déficit de la balance du commerce, témoigne du déclin économique.(Un déficit supérieur à 150 milliards en 2022). La situation est dramatique dans nombre de champs régaliens ou le rôle de l’État est en jeu comme la santé, l’école, la sécurité, la justice. Jamais la drogue ne s’est répandue à une telle vitesse dans le pays du fait du laxisme de l’État et de l’abandon de nombre de banlieues véritables comptoirs ouverts aux stupéfiants.

Macron a aussi complètement échoué en politique internationale. Il se voyait déjà président de l’Europe et même du monde. En réalité, il est aussi rejeté par nombre de pays. Parmi ces erreurs fondamentales, il faut par exemple citer ses relations douteuses avec Poutine, puis sa tentative de ce rabibocher avec l’Ukraine. Résultat la France est mal vue dans les deux pays ! Même incompétence et même lâcheté en Afrique où la France a dû opérer des reculs honteux notamment au Mali au Burkina faso.
Un président, chef des armées qui n’a même pas fait son service militaire au motif qu’il poursuivaient des étude ce qui en dit long sur ses convictions.

Sur le plan démocratique, Macron se comporte comme un monarque dédaigneux ignorant volontairement les institutions et organisations représentatives y compris le Parlement.

L’histoire retiendra que ce président a plongé le pays de façon durable dans un déclin affectant les champs démocratiques, économiques, sociaux et même sociétaux.

Un président qui n’a plus de légitimité politique , de plus en plus seul comme dans un bunker à l’Élysée qui n’entend rien, n’écoute rien. Un autocrate incompétent et méprisant, dont la France devra se débarrasser rapidement pour ne pas tomber encore plus bas.

Macron à la télé: le roi nu mais toujours arrogant

Macron à la télé: le roi nu mais toujours arrogant

Pour résumer, le bla-bla habituel. D’abord une petite leçon juridique (inutile) sur le processus d’élaboration de la loi. Ensuite une explication très vaseuse à propos de la foule populace qu’il compare aux factieux du Capitole aux États-Unis. La rengaine de l’équilibre démographique (on fait quoi pour encourager la natalité ?). Quand même un tout petit mot pour les entreprises qui font trop de profits et qui rachètent leurs actions (ses amis). L’argument de l’opposition dont le conglomérat signifierait déficit. La fausse affirmation que des syndicats n’ont pas proposé de compromis. La reconnaissance de la colère et l’engagement de travaux sur le sens du travail, la reconversion et l’avancement. Bref les éboueurs pourront peut-être à partir de 55 ans pour passer le concours de l’ENA !. L’engagement gratuit vis-à-vis des branches dont les minima conventionnels sont en dessous du SMIC (la patate chaude renvoyée au Medef).

Pas de changement au gouvernement, Borne reste en place et va engager des travaux beaucoup plus réduits il y aura moins de lois, des textes plus courts et pour cause il a du mal à trouver une majorité. Autre affirmation fallacieuse » on a tout dépensé avant » comme si Macron en 6 ans n’avait pas fait sauter le plafond de la dette. « Bref oui il y a des problèmes mais tout va bien et les problèmes viennent surtout du covid, de la guerre et de l’inflation. Une manière de renvoyer en touche sa responsabilité.

Encore une intervention pour rien pour rabâcher toujours les mêmes fallacieux arguments concernant les risques financiers, les risques d’insurrection, les risques populistes. Le cri » le roi nu » résume le mieux l’imposture permanente de Macon, le cri qui dégonfle la baudruche, fait tomber le masque d’un président élu après avoir infiltré la gauche pour mieux se mettre au service des plus riches qui ont financé ses campagne

À la mauvaise foi, s’ajoute aussi pour Macron l’incompétence crasse. Certes il aura réussi à octroyer de nombreux cadeaux aux plus riches mais il aura sans doute plongé le pays dans une crise dont les conséquences se feront sentir pendant des dizaines d’années. Il a largement contribué à brader l’économie et en particulier l’industrie mais aussi l’agriculture.
Il va laisser les finances de la France dans un état lamentable puisque la dette aura augmenté d’environ 25 % durant son mandat (3000 milliards de dettes un record et 50 milliards de charges financières par an).

Le déficit de la balance du commerce, témoigne du déclin économique.(Un déficit supérieur à 150 milliards en 2022). La situation est dramatique dans nombre de champs régaliens ou le rôle de l’État est en jeu comme la santé, l’école, la sécurité, la justice. Jamais la drogue ne s’est répandue à une telle vitesse dans le pays du fait du laxisme de l’État et de l’abandon de nombre de banlieues véritables comptoirs ouverts aux stupéfiants.

Macron a aussi complètement échoué en politique internationale. Il se voyait déjà président de l’Europe et même du monde. En réalité, il est aussi rejeté par nombre de pays. Parmi ces erreurs fondamentales, il faut par exemple citer ses relations douteuses avec Poutine, puis sa tentative de ce rabibocher avec l’Ukraine. Résultat la France est mal vue dans les deux pays ! Même incompétence et même lâcheté en Afrique où la France a dû opérer des reculs honteux notamment au Mali au Burkina faso.
Un président, chef des armées qui n’a même pas fait son service militaire au motif qu’il poursuivaient des étude ce qui en dit long sur ses convictions.

Sur le plan démocratique, Macron se comporte comme un monarque dédaigneux ignorant volontairement les institutions et organisations représentatives y compris le Parlement.

L’histoire retiendra que ce président a plongé le pays de façon durable dans un déclin affectant les champs démocratiques, économiques, sociaux et même sociétaux.

Un président qui n’a plus de légitimité politique , de plus en plus seul comme dans un bunker à l’Élysée qui n’entend rien, n’écoute rien. Un autocrate incompétent et méprisant, dont la France devra se débarrasser rapidement pour ne pas tomber encore plus bas.

L’inutile SNU intégré au temps scolaire !!!

L’inutile SNU intégré au temps scolaire !!!

Autour de 30 000 jeunes ont participé au service national. Un service national dit obligatoire qui n’a pas grand-chose à voir avec une préparation militaire. Or dans une guerre de haute intensité, il faudrait former les 800 000 jeunes par an . Conclusion, faute de moyens le gouvernement envisage maintenant d’intégrer cette formation ésotérique dans le cadre du temps scolaire. De plus en plus inefficace et ridicule.

2000 jeunes en 2019, une année blanche en 2020 à cause du coronavirus, 15 000 en 2021, 32 000 en 2022… Et bientôt 800 000 ? Ces derniers jours, le sujet du service national universel (SNU) est revenu en force dans l’actualité. Le 26 février, le Snes-FSU, premier syndicat des enseignants du second degré, affirmait que le SNU deviendrait obligatoire pour les élèves de seconde de six départements à partir de janvier 2024, puis dans vingt départements en 2025, avant une «généralisation totale en 2026». Le lendemain, un article de Politis enfonçait le clou en dévoilant un document interne intitulé «Foire aux questions Post annonce SNU obligatoire».

• Il n’en fallait pas plus pour que le bruit d’une généralisation prochaine du SNU se (re)mette à courir. «Il n’y a rien de nouveau, assurent pourtant de concert l’Élysée et le cabinet de Sarah El Haïry, secrétaire d’État chargée de la Jeunesse et du Service national universel. La secrétaire d’État travaille toujours sur deux options.»

L’école française dans le niveau ne cesse de régresser à évidemment autre chose à faire que de gérer l’anecdotique et inutile CNU. Sans doute pas ce qui serait utile pour faire face à Poutine par exemple !

Macron : le roi nu

Macron : le  roi  nu

 

Avec les résultats catastrophiques des législatives , Macron se retrouve presque seul. Cela d’autant plus que certains de ses soutiens historiques comme les sulfureux Ferrand et Castaner transfuges du parti socialiste ont été renvoyés à leurs chères études . De la même manière que certains ministres boutonneux issus pour la plupart d’instituts politiques et sélectionnés sur Internet. Macron a délibérément choisi des seconds voire des troisièmes couteaux pour que n’émerge pas un éventuel concurrent.

Le roi a voulu gouverner seul mais le roi est désormais encore plus nu que précédemment. Une roi nu  dépouillé de ses soutiens historiques mais surtout  du fait de l’absence réelle d’orientation et de la faillite de ce  « en même temps » pseudo idéologie qui permet toutes les confusions.

Il est clair que Macron ne pourra pas résister dans la crise politique, économique et même géostratégique qui s’annonce. Il n’a pas l’expérience ni la résilience pour cela. Et ce n’est pas en choisissant une Première ministre complètement inodore et incolore comme Élisabeth Borne  qu’il parviendra à changer la tendance. Macron a voulu gouverner seul;aujourd’hui; il est plus isolé que jamais. Et son isolement se nourrit surtout de la détestation qu’il génère presque physiquement dans l’opinion publique. Sa seule arme de défense est qu’il n’existe pas de leader crédible dans l’opposition.

Macron : le roi nu !

Macron : le roi nu

 

Avec les résultats catastrophiques des législatives , Macron se retrouve presque seul. Cela d’autant plus que certains de ses soutiens historiques comme les sulfureux Ferrand et Castaner transfuges du parti socialiste ont été renvoyés à leurs chères études . De la même manière que certains ministres boutonneux issus pour la plupart d’instituts politiques et sélectionnés sur Internet. Macron a délibérément choisi des seconds voir des troisièmes couteaux pour que n’émerge pas un éventuel concurrent. Le roi a voulu gouverner seul mais le roi est désormais encore plus nu que précédemment. Une roi nu  dépouillé de ses soutiens historiques mais surtout  du fait de l’absence réelle d’orientation et de la faillite de ce  « en même temps » pseudo idéologie qui permet toutes les confusions.

Il est clair que Macron ne pourra pas résister dans la crise politique, économique et même géostratégique qui s’annonce. Il n’a pas l’expérience ni la résilience pour cela. Et ce n’est pas en choisissant une Première ministre complètement inodore et incolore comme Élisabeth Borne  qu’il parviendra à changer la tendance. Macron a voulu gouverner seul, aujourd’hui il est plus isolé que jamais. Et son isolement se nourrit surtout de la détestation qu’il génère presque physiquement dans l’opinion publique. Sa seule arme de défense est qu’il n’existe pas de leader crédible dans l’opposition.

Macron : le petit roi est nu

Macron : le petit roi est nu

 

Avec les résultats catastrophiques des législatives , Macron se retrouve presque seul. Cela d’autant plus que certains de ses soutiens historiques comme les sulfureux Ferrand et Castaner transfuges du parti socialiste ont été renvoyés à leurs chères études . De la même manière que certains ministres boutonneux issus pour la plupart d’instituts politiques et sélectionnés sur Internet. Macron a délibérément choisi des seconds voir des troisièmes couteaux pour que n’émerge pas un éventuel concurrent. Le roi a voulu gouverner seul mais le roi est désormais encore plus nu que précédemment. Une roi nu  dépouillé de ses soutiens historiques mais surtout  du fait de l’absence réelle d’orientation et de la faillite de ce  « en même temps » pseudo idéologie qui permet toutes les confusions.

Il est clair que Macron ne pourra pas résister dans la crise politique, économique et même géostratégique qui s’annonce. Il n’a pas l’expérience ni la résilience pour cela. Et ce n’est pas en choisissant une Première ministre complètement inodore et incolore comme Élisabeth Borne  qu’il parviendra à changer la tendance. Macron a voulu gouverner seul, aujourd’hui il est plus isolé que jamais. Et son isolement se nourrit surtout de la détestation qu’il génère presque physiquement dans l’opinion publique. Sa seule arme de défense est qu’il n’existe pas de leader crédible dans l’opposition.

«Les critères de la respectabilité médiatique mis à nu» (Mathieu Bock-Côté)

 «Les critères de la respectabilité médiatique mis à nu» (Mathieu Bock-Côté)

 

Le sociologue Mathieu Bock-Côté est un observateur avisé des États-Unis comme de l’Europe, et tout particulièrement de la France, pays cher à son cœur. Chroniqueur au Figaro, auteur de plusieurs essais remarqués, en particulier Le Multiculturalisme comme religion politique (Éditions du Cerf, 2016), Mathieu Bock-Côté bâtit une œuvre consacrée, notamment, à réhabiliter l’idée nationale et le conservatisme. Dans son nouveau livre, en librairie jeudi, L’Empire du politiquement correct (Éditions du Cerf), l’auteur affronte une question capitale: qui s’est arrogé le droit d’affirmer qu’une opinion est acceptable dans l’espace médiatique? Par quels procédés sont exercés la surveillance et le contrôle de la parole dans le débat public? Le Figaro publie, en exclusivité, de larges extraits de cet ouvrage, vaillante défense de la liberté de l’esprit. L’auteur avait déjà dénoncé dans son blog l’hégémonie de la pensée multiculturalisme :

 

« Il y a là un terrible aveu sur le rapport au peuple de l’intelligentsia multiculturaliste. Ses membres sont tellement persuadés que le peuple est traversé par des préjugés xénophobes qu’ils s’imaginent que quelques intellectuels et chroniqueurs ne répétant par le catéchisme officiel suffiront pour déchaîner une tempête xénophobe, pour peu qu’on les entende. On les accuse alors d’avoir «libéré la parole», ce qui consiste à avouer indirectement qu’elle était cadenassée – ils auraient en fait déplacé les frontières du dicible. L’intelligentsia multiculturaliste semble persuadée que quelques individus, avec un pouvoir de persuasion relevant presque de l’hypnose, pourraient conduire le peuple à l’hystérie nationaliste. On devine la suite: il faudrait faire taire ces intellectuels et chroniqueurs. Même s’ils sont peu nombreux, ils sont encore de trop. On cherchera à leur coller des étiquettes infamantes, pour les priver de toute légitimité dans les milieux médiatiques qui définissent les termes de la respectabilité publique. On se désolera de leur présence dans les médias et lorsqu’on parlera d’eux, ce sera à la manière d’exclus qu’il faudrait bien un jour bannir, sauf s’ils en viennent à se repentir d’avoir eu des idées coupables. Ces intellectuels et chroniqueurs ne devraient pas faire entendre publiquement un point de vue suspect du point de vue de l’idéal diversitaire, car ils viendraient troubler la mission pédagogique à l’endroit du commun des mortels que se donne l’intelligentsia, et qui devrait parler d’une seule voix.

D’ailleurs, chaque fois que ces intellectuels et chroniqueurs transgresseront un peu trop ouvertement l’orthodoxie diversitaire, on fera sonner les sirènes de l’intolérance et on dénoncera leur présence dans l’espace public, les médias sociaux facilitant ces lynchages médiatiques. Contre eux, les propos haineux seront permis et encouragés. On dira qu’il y a une grande perméabilité entre leur propos et celui de mouvances radicales qui s’y alimenteraient. On les présentera comme le visage socialement respectable et pour cela encore plus détestable de sentiments effrayants qu’une société devrait normalement refouler pour se civiliser.

Retour au point de départ: si le point de gravité idéologique autour de la question des accommodements raisonnables s’est déplacé vers une perspective diversitaire depuis dix ans, au point où on prend désormais au sérieux une thèse aussi grossière que celle du racisme systémique, c’est que le système médiatique, dans son ensemble, est favorable au multiculturalisme et qu’il parle son langage sans même s’en rendre compte. En fait, ce qui est étrange, c’est que depuis dix ans, une opposition intellectuelle au multiculturalisme a pu se faire entendre médiatiquement : ce n’était pas prévu dans la logique diversitaire, qui est réfractaire à la diversité des points de vue. C’était l’héritage de la crise des accommodements raisonnables: elle avait obligé le parti multiculturaliste à endurer quelques contradicteurs médiatiques. Maintenant, on travaille fort à chasser cette opposition de l’espace public. ». Dans son nouvel ouvrage l’auteur dénonce hégémonie de la pensée unique.

 

Face au mouvement Gilets jaunes : le roi Macron est nu !

Face au  mouvement Gilets jaunes : le roi Macron est nu !

La France se trouve dans une situation un peu surréaliste. D’un côté le gouvernement qualifie les violences de quasi état de guerre mais de l’autre il se tait. Il faut dire que jusqu’alors, à chaque fois qu’il s’est exprimé après les premières manifestations, le propos a été aussitôt oublié ; pire, le soutien de l’opinion publique au mouvement des gilets jaunes s’est encore renforcé. Du coup après les graves incidents de la dernière manifestation, Macron et son gouvernement ont choisi le silence. Pour toute réponse,  il propose de rencontrer les organisations politiques dont précisément les gilets jaunes se méfient. Certes le gouvernement maintenant accepte de rencontrer les gilets jaunes, c’est une avancée puisque pendant longtemps non seulement on a minimisé le mouvement mais on a refusé de recevoir ces couches populaires qui cassent les codes de la politique classique. Il est clair que cette concertation ne va pas servir à grand-chose tant que le gouvernement n’aura pas manifesté son esprit d’ouverture en prenant quelques mesures symboliques sur la  fiscalité et une mesure pour faciliter la hausse du pouvoir d’achat des ménages. Alors pourrait s’engager peut-être une concertation. Peut-être, car la problématique dépasse de loin maintenant la seule question de la  fiscalité sur le carburant. Elle porte globalement sur la politique économique et sociale et sur la démocratie. Face à cette situation, Macon le petit roi est nu. En outre, il est entouré  essentiellement de bras cassés comme de Rugy, Castaner ou Lemaire, sans parler des petits marquis arrivistes étiquetés en marche au Parlement. Le problème c’est que la parole de Macron n’est plus crédible. La crise est évidemment sociale, elle est économique mais elle est devenue politique. Certes l’hypothèse d’un pourrissement des gilets jaunes n’est pas à écarter mais Macron en subira les conséquences  plus tard lors des élections européennes. Aujourd’hui il ne peut guère espérer plus de 15 % à l’occasion de cette échéance. Avec un tel résultat sa légitimité politique sera alors encore reposée. Et son baratin, type oral de l’ENA, qui plaît tellement aux « élites » apparaîtra encore davantage obsolète qu’aujourd’hui. D’une manière ou d’une autre, il devra le moment venu d’abord changer de gouvernement, ensuite sans doute s’il veut se maintenir organiser des élections législatives anticipées. Sinon sa fin de mandat risque d’être pathétique voire dramatique pour lui et le pays. .

 

Gilets jaunes : le roi Macron est nu !

Gilets jaunes : le roi Macron est nu !

La France se trouve dans une situation un peu surréaliste. D’un côté le gouvernement qualifie les violences de quasi état de guerre mais de l’autre il se tait. Il faut dire que jusqu’alors, à chaque fois qu’il s’est exprimé après les premières manifestations, le propos a été aussitôt oublié ; pire, le soutien de l’opinion publique au mouvement des gilets jaunes s’est encore renforcé. Du coup après les graves incidents de ce dimanche dernier, Macron et son gouvernement ont choisi le silence. Pour toute réponse,  il propose de rencontrer les organisations politiques dont précisément les gilets jaunes ce méfient. Certes le gouvernement maintenant accepte de rencontrer les gilets jaunes, c’est une avancée puisque pendant longtemps non seulement on a minimisé le mouvement mais on a refusé de recevoir ces couches populaires qui cassent les codes de la politique classique. Il est clair que cette concertation ne va pas servir à grand-chose tant que le gouvernement n’aura pas manifesté son esprit d’ouverture en prenant quelques mesures symboliques comme la suspension des hausses de fiscalité et une mesure pour faciliter la hausse du pouvoir d’achat des ménages. Alors pourrait s’engager peut-être une concertation. Peut-être, car la problématique dépasse de loin maintenant la seule question de la fiscalité sur le carburant ou même la fiscalité générale. Elle porte globalement sur la politique économique et sociale et sur la démocratie. Face à cette situation Macon le petit roi est nu. En outre il est entouré  essentiellement de bras cassés comme de Rugy, Castaner ou Lemaire, sans parler des petits marquis arrivistes étiquetés en marche au Parlement. Le problème c’est que la parole de Macron n’est plus crédible. La crise est évidemment sociale, elle est économique mais elle est devenue politique. Certes l’hypothèse d’un pourrissement des gilets jaunes n’est pas à écarter mais Macron en subira les conséquences  plus tard lors des élections européennes. Aujourd’hui il ne peut guère espérer plus de 15 % à l’occasion de cette échéance. Avec un tel résultat sa légitimité politique sera alors encore reposée. Et son baratin type oral de l’ENA qui plaît tellement aux « élites » apparaîtra encore davantage obsolète qu’aujourd’hui. D’une manière ou d’une autre il devra le moment venu d’abord changer de gouvernement, ensuite sans doute s’il veut se maintenir organiser des élections législatives anticipées. Sinon sa fin de mandat risque d’être pathétique voire dramatique pour lui et le pays. .

 

Nucléaire : aucun réacteur ne sera pas fermé d’ici 2022

 

 

Contrairement à tout ce qu’a laissé entendre le ministre de l’environnement, de Rugy, aucun des trois scénarios envisagés par l’exécutif ne prévoit de fermer d’autres réacteurs nucléaires que ceux de la centrale de Fessenheim, dont la fermeture est déjà actée, d’ici 2022. Selon un document gouvernemental révélé mardi 20 novembre par l’AFP, Emmanuel Macron et Edouard Philippe vont annoncer entre zéro et six fermetures de réacteurs nucléaires d’ici 2028 dans le cadre de la future programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE). Ce document s’appuie donc sur trois scénarios. Le premier, soutenu par le ministère de la Transition écologique, prévoit six fermetures de réacteurs entre 2022 et 2028, et six de plus d’ici 2035, sur les 58 que compte le parc nucléaire français actuel. Aucun réacteur ne serait fermé entre 2022 et 2028, selon le deuxième scénario, mais 12 le seraient entre 2028 et 2035. Enfin, le troisième, poussé par Bercy, entend fermer 9 réacteurs entre 2028 et 2035 et construire 4 EPR d’ici 2040. L’objectif de 50% d’électricité nucléaire est atteint en 2035 dans les deux premiers cas, mais attend 2040 dans celui de Bercy. Les scénarios prévoient une part de 40% d’électricité renouvelable, atteinte en 2030, 2032 ou 2034 suivant les trois cas. Sollicité par l’AFP sur ces informations, Matignon n’a pas fait de commentaires « sur des scénarios préparatoires à une décision ». Très attendus, les arbitrages finaux d’Edouard Philippe et d’Emmanuel Macron sont désormais imminents : « des annonces seront faites la semaine prochaine », a confirmé Matignon.




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