Archive pour le Tag 'novembre'

Economie, politique, société: les plus lus 25 novembre 2024

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Economie, politique, société: les plus lus 9 novembre 2024

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ferroviaire: Grève le 21 novembre suite à la liquidation de fret SNCF

Ferroviaire:  Grève le 21 novembre suite à la liquidation de fret SNCF

 
Bruxelles a imposé à la SNCF de transférer au privé la quasi-totalité des trains complets de marchandises. Une décision économiquement et écologiquement incompréhensible et contradictoire. Se pose aussi la question de l’avenir social de la nouvelle société dont les activités marchandises seront réduites comme peau de chagrin. Un aspect que le pouvoir avait oublié de traiter alors que fret SNCF doit disparaître au 1er janvier. De quoi déclencher la colère de syndicats qui ont décidé une première grève Le 21 novembre qui pourrait être suivie en décembre de grèves reconductibles. t reconductible en décembre.

Mobilisation paysanne en vue à partir de novembre

Mobilisation paysanne en vue à partir de novembre

À partir de novembre les organisations paysannes prévoient des mobilisations nationales. En cause évidemment le dossier agricole qui est resté largement en panne avec les élections européennes et législatives aussi de très mauvaises récoltes dans plusieurs secteurs .Sans parler de la signature imminente de l’accord de libre-échange avec les pays du Mercosur (Argentine, Brésil, Uruguay, Bolivie et Paraguay)

Lundi soir, les deux organisations majoritaires, la FNSEA et les Jeunes Agriculteurs (JA), ont acté le principe d’une mobilisation nationale qui pourrait voir ressortir les tracteurs sur les routes. Et ce « dès la mi-novembre », selon Pierrick Horel, le président de JA.

L’exécutif a pourtant pris des mesures d’urgence à la rentrée pour aider les éleveurs et les céréaliers pénalisés par les maladies animales et la pluviométrie surabondante, et a préservé le secteur agricole des coupes claires budgétaires. Mais les syndicats estiment que le compte n’y est toujours pas. Cette fois, c’est aussi la perspective de la signature imminente de l’accord de libre-échange avec les pays du Mercosur (Argentine, Brésil, Uruguay, Bolivie et Paraguay) et des possibles indemnisations pour les éleveurs lésés qui a mis le feu aux poudres.

 

Retraite complémentaire : hausse de 1,7 % en novembre

Retraite complémentaire : hausse de 1,7 % en novembre
Le 4 novembre prochain, les 14 millions de pensionnés affiliés au régime de retraite Agirc-Arrco verront leurs pensions seront e revalorisées, probablement entre 1,5 et 1,7%, soit légèrement moins que l’inflation. Le niveau précis de cette augmentation sera décidé mardi 15 octobre, lors d’un conseil d’administration.

L’augmentation des retraites dépendant du régime général dépendra-elle des débats de l’assemblée nationale avec un possible report au second semestre 2025

 

Trump renonce à se présenter….. en 2028 , ouf !

Trump, 78 ans,  exclut de se représenter en 2028, en cas de défaite en novembre

 

Donald Trump a exclu lors d’une interview diffusée dimanche de se présenter à la présidentielle américaine de 2028, en cas de défaite à l’élection de novembre. En clair, l’intéressé n’exclut donc pas de se représenter en cas de victoire en 2024. En 2028 il aurait alors 82 ans. Justement le principal reproche fait à Biden : la question de l’âge !

 

Notons par ailleurs que conteste toujours par avance les résultats de l’élection de novembre !

 

 

Inflation États-Unis : en baisse avec 2,6 % en novembre

Inflation États-Unis : en baisse avec 2,6 % en novembre

L’inflation a atteint 2,6% sur un an aux Etats-Unis en novembre ( 2.4% dans la zone euro), selon l’indice PCE, privilégié par la Banque centrale américaine (Fed) et publié vendredi par le département du commerce.

La Fed se montre cependant prudente, estimant que la hausse des prix ralentira à 2,4% sur un an fin 2024 mais n’atteindra les 2%, soit l’objectif de l’institution monétaire, qu’en 2026. La dernière réunion de la Fed s’était conclue par des taux maintenus à leur niveau actuel, pour la troisième fois consécutive, soit entre 5,25% et 5,50%. mais avec une possible baisse des taux en 2024.
Les responsables de la Fed anticipent, en effet, majoritairement trois ou quatre baisses l’année prochaine, pour les amener à 4,6% fin 2024, avait-il été annoncé.

La Fed entend ainsi préserver la croissance économique du pays et éviter une récession. D’autant que les pleins effets des hausses de taux mettent du temps à se faire sentir entièrement dans l’économie réelle.

Les consommateurs américains sont eux aussi optimistes quant à l’évolution de l’inflation. Cela a même fait grimper leur niveau de confiance en décembre au plus haut niveau depuis le mois de juillet, après quatre mois consécutifs de baisse, selon l’estimation finale publiée vendredi par l’Université du Michigan.

L’optimisme est plus prudent côté européen. Même si, là aussi, l’inflation poursuit sa décrue et semble également s’être durablement installée sous les 3% : elle s’est ainsi établie en zone euro (les vingt pays à avoir adopté la monnaie unique) à 2,4% en novembre sur un an selon les chiffres définitifs de l’agence de statistiques européenne Eurostat, soit un fort ralentissement de la dynamique des prix puisque cette dernière s’affichait à 2,9% en octobre après 4,3% en septembre et 5,2% en août.

Pour rappel, la BCE s’attend à ce que l’inflation atteigne 2,7% en 2024, 2,1% en 2025 et 1,9% en 2026 dans la zone euro.

Gaza : la conférence humanitaire de Macron le 9 novembre

Gaza : la conférence humanitaire de Macron

On se souvient que l’appel de Macon à la lutte internationale contre le Hamas n’avait rencontré aucun succès. Du coup, le président français avait tenté des démarches diplomatiques auprès d’Israël, de l’autorité palestinienne et de quelques pays arabes. Cette fois, il propose une conférence humanitaire le 9 novembre à Paris. En fait une initiative qui aurait dû être celle de l’ONU qui en la circonstance- mais malheureusement aussi pour d’autres dossiers- se montre particulièrement stérile se contentant de multiplier les communiqués du secrétaire général.

Une conférence où seront exclus l’Iran et Israël et bien entendu aussi le Hamas. Par contre, l’autorité palestinienne sera présente. L’absence d’Israël hypothèque évidemment les résultats humanitaires -et encore davantage la perspective de paix- de cette conférence aux objectifs assez flous.

L’objectif devrait être surtout de rechercher d’améliorer les conditions de vie de la population civile palestinienne à Gaza. Des conditions de vie extrêmes car Gaza manque de tout.
La question est cependant de savoir si les aides des principaux bailleurs et autres organisations internationales invités pourront parvenir. Cela supposerait au moins un couloir humanitaire mais qui ne peut être négocié qu’avec Israël.

« Cette conférence mobilisera les principaux acteurs impliqués dans la réponse humanitaire à Gaza », précise le ministère des Affaires étrangères. « États, principaux bailleurs, organisations internationales et ONG actives à Gaza », comme le CICR, ont été invités, tout comme l’Autorité palestinienne, indique le Quai d’Orsay.

Parmi les chefs d’État invités, ceux des pays du Maghreb, la Jordanie, l’Egypte, mais pas l’Iran, assure le ministère des Affaires étrangères. Il y aura aussi des pays membres de l’Union européenne et des institutions européennes, ainsi que la Norvège ou encore la Suisse. Israël, de son côté, ne sera pas invité car sa présence serait « problématique », mais l’État hébreu a été averti, assure le Quai d’Orsay.

Cette conférence humanitaire vise à estimer les réponses en termes d’aide humanitaire, dans les secteurs de la santé, de l’eau, de l’énergie et de l’alimentation.

Retraites complémentaires : Revalorisation de 4,9 % au 1er novembre

Retraites complémentaires : Revalorisation de 4,9 % au 1er novembre

les retraites complémentaires Agirc-Arrco du privé seront revalorisées à hauteur de 4,9% dès le 1er novembre.

Patrons et syndicats se sont mis d’accord pour cette augmentation. Par contre des divergences sont intervenus au sein des syndicats patronaux sur la ponction d’au moins 1 milliard que va opérer le gouvernement sur les retraites complémentaires au profit du budget de l’État. Officiellement cette ponction vise à contribuer à financer la réforme dite « France travail » nouvelle cathédrale administrative sans doute aussi peu efficace que l’agence de l’emploi.

Covid France 30 novembre 2022 : forte hausse avec 91 814 cas supplémentaires en 24 heures

Covid France 30 novembre 2022 : forte hausse avec 91 814 cas supplémentaires en 24 heures

En France, le dernier bilan fourni par les autorités sanitaires concernant la pandémie de Covid-19, fait état d’au moins 962.687 cas confirmés soit +91.814 en 24h.
On enregistre mardi 29 novembre 2022 : 91 814 cas supplémentaires en 24 heures , 158.859 morts au total, +88 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.354 (0) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 129.505 (+88 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 1,32 le taux d’incidence à 449,33 et la tension hospitalière à 21,3 %. Le taux de positivité est à 0,0 %.
La France compte actuellement 19.061 (+279) personnes hospitalisées et 1.076 (+11) malades en réanimation.

Bilan des régions :

• Ile-de-France : 5.137 (+55) hospitalisées, 310 (+2) en réanimation et +11 décès en 24h
• Grand Est : 1.688 (-2) hospitalisés, 94 (+1) en réanimation et +12 décès en 24h
• Hauts de France : 1.633 (-4) hospitalisés, 85 (-8) en réanimation et +13 décès en 24h
• Auvergne Rhône Alpes : 2.012 (+5) hospitalisés, 120 (-1) en réanimation et +6 décès en 24h
• Provence-Alpes Côte d’Azur : 1.709 (+77) hospitalisé, 99 (+5) en réanimation et +10 décès en 24h
• Bretagne: 581 (-8) hospitalisés, 34 (-3) en réanimation et +4 décès en 24h
• Normandie : 952 (-15) hospitalisés, 27 (0) en réanimation et +3 décès en 24h
• Nouvelle-Aquitaine : 1.430 (+41) hospitalisés, 86 (-2) en réanimation et +7 décès en 24h
• Pays de la Loire : 415 (+34) hospitalisés, 26 (+5) en réanimation et +4 décès en 24h
• Occitanie: 1.334 (+35) hospitalisés, , 75 (+5) en réanimation et +7 décès en 24h
• Centre-Val de Loire : 879 (+24) hospitalisés, 43 (+5) en réanimation et +4 décès en 24h
• Bourgogne-Franche-Comté : 938 (+22) hospitalisés, 59 (+1) en réanimation et +7 décès en 24h

Economie-Croissance France :recul en novembre

Economie-Croissance France :recul en novembre( Standard and Poor’s)

Pour la fin de l’année la France pourrait connaître la récession. Contrairement à l’INSEE, SP (Standard and Poor’s) constate une baisse de la croissance en novembre . L’indice PMI Flash publié mercredi par le cabinet S&P Global a mesuré que l’activité du secteur privé s’est contracté en novembre. L’indice, en première estimation s’est établi à 48,8. Une estimation définitive de l’activité du secteur privé en novembre doit être publiée début décembre.

Toujours est-il que ce chiffre est alarmant puisqu’un indice inférieur à 50 signale une contraction de l’activité économique quand il indique une croissance quand il est supérieur à 50. Selon cette première estimation, le mois de novembre est donc en repli d’1,4 point par rapport au mois d’octobre qui s’affichait à 50,2.

Première contraction de l’économie depuis février 2021

Au mois d’août 2022, le PMI Flash était tombé à 49,8 points en première estimation mais avait finalement été revu à la hausse quelques jours plus tard. Si l’estimation définitive de l’activité du privé s’établit aussi en dessous de 50, il s’agira de la première contraction de l’économie depuis février 2021.

Un indice sous 50, qui rejoint les perspectives de l’Organisation de commerce et de développement économiques (OCDE) de baisse de croissance pour la France. Si l’Hexagone a vu son PIB monter de 6,8% en 2021, l’OCDE projette une croissance de 2,6% en 2022 et de 0,6% en 2023. Alvaro Santos Pereira, économiste à l’OCDE a présenté un scénario qui « n’est pas une récession mondiale, mais un net ralentissement de l’économie mondiale en 2023, ainsi qu’une inflation toujours élevée, mais déclinante dans de nombreux pays ».

Le secteur des services à la peine

C’est le secteur des services qui maintenait jusqu’ici l’indice PMI Flash au dessus de 50 d’après S&P Global. « Bien que le secteur manufacturier français se trouve en zone de contraction depuis le début du deuxième semestre 2022, l’expansion continue du secteur des services avait jusqu’ici soutenu la croissance de l’activité globale », indique l’économiste de S&P Global Joe Hayes, cité dans le communiqué du cabinet.
Malheureusement, « ce soutien essentiel à la croissance économique française semble toutefois toucher à sa fin », ajoute l’économiste. Le secteur des services a lui aussi décroché en novembre d’après les premières estimations du PMI Flash qui montrent que ce secteur s’établit à 49,4 points, soit son niveau le plus faible depuis près de deux ans.

Pourquoi une telle baisse? Selon le S&P Global, qui a interrogé 750 entreprises industrielles et de services, « la baisse de l’activité a principalement résulté de la diminution de la demande » des clients, « certains répondants ayant également évoqué le climat d’incertitude et le manque de visibilité économique ». Une demande qui diminue à l’heure où l’inflation s’établit à 7,1% en octobre sur 1 an et devrait restée durable selon l’OCDE.

Croissance France :recul en novembre

Croissance France :recul en novembre( S&P)

Contrairement à l’INSEE, SP (Standard and Poor’) constate une baisse de la croissance en novembre . L’indice PMI Flash publié mercredi par le cabinet S&P Global a mesuré que l’activité du secteur privé s’est contracté en novembre. L’indice, en première estimation s’est établi à 48,8. Une estimation définitive de l’activité du secteur privé en novembre doit être publiée début décembre.

Toujours est-il que ce chiffre est alarmant puisqu’un indice inférieur à 50 signale une contraction de l’activité économique quand il indique une croissance quand il est supérieur à 50. Selon cette première estimation, le mois de novembre est donc en repli d’1,4 point par rapport au mois d’octobre qui s’affichait à 50,2.

Première contraction de l’économie depuis février 2021

Au mois d’août 2022, le PMI Flash était tombé à 49,8 points en première estimation mais avait finalement été revu à la hausse quelques jours plus tard. Si l’estimation définitive de l’activité du privé s’établit aussi en dessous de 50, il s’agira de la première contraction de l’économie depuis février 2021.

Un indice sous 50, qui rejoint les perspectives de l’Organisation de commerce et de développement économiques (OCDE) de baisse de croissance pour la France. Si l’Hexagone a vu son PIB monter de 6,8% en 2021, l’OCDE projette une croissance de 2,6% en 2022 et de 0,6% en 2023. Alvaro Santos Pereira, économiste à l’OCDE a présenté un scénario qui « n’est pas une récession mondiale, mais un net ralentissement de l’économie mondiale en 2023, ainsi qu’une inflation toujours élevée, mais déclinante dans de nombreux pays ».

Le secteur des services à la peine

C’est le secteur des services qui maintenait jusqu’ici l’indice PMI Flash au dessus de 50 d’après S&P Global. « Bien que le secteur manufacturier français se trouve en zone de contraction depuis le début du deuxième semestre 2022, l’expansion continue du secteur des services avait jusqu’ici soutenu la croissance de l’activité globale », indique l’économiste de S&P Global Joe Hayes, cité dans le communiqué du cabinet.
Malheureusement, « ce soutien essentiel à la croissance économique française semble toutefois toucher à sa fin », ajoute l’économiste. Le secteur des services a lui aussi décroché en novembre d’après les premières estimations du PMI Flash qui montrent que ce secteur s’établit à 49,4 points, soit son niveau le plus faible depuis près de deux ans.

Pourquoi une telle baisse? Selon le S&P Global, qui a interrogé 750 entreprises industrielles et de services, « la baisse de l’activité a principalement résulté de la diminution de la demande » des clients, « certains répondants ayant également évoqué le climat d’incertitude et le manque de visibilité économique ». Une demande qui diminue à l’heure où l’inflation s’établit à 7,1% en octobre sur 1 an et devrait restée durable selon l’OCDE.

Covid France 14 novembre 2022 : risque de reprise

Covid France 14 novembre 2022 : risque de reprise


Avec notamment le retour du froid, Le ministre de la Santé prévient qu’une nouvelle vague épidémique pourrait « tôt ou tard » arriver en France.

François Braun, dans un entretien accordé au Parisien, met en garde face au risque d’une reprise épidémique du Covid-19. S’il évoque une situation épidémique « plutôt calme depuis trois semaines », le ministre de la Santé prévient que « tôt ou tard, une nouvelle vague pourrait arriver ».

« Une personne meurt du Covid toutes les dix minutes en France », ajoute-t-il, rappelant que les règles en matière d’isolement pour les personnes testées positives s’appliquent toujours, de même que la vaccination.

Le ministre se dit à ce propos « pas du tout satisfait du résultat de la campagne d’automne. Avec seulement 10% de vaccinés on est très loin de la cible à atteindre ».

Jusqu’alors, la campagne automnale de rappel peine à décoller. Seuls 39,9% des 60-79 ans et 52,6% des 80 ans et plus parmi les personnes éligibles avaient ainsi reçu un deuxième rappel au 7 novembre, a relevé Santé Publique France.

En semaine 44, au niveau national, le taux d’incidence corrigé a atteint 90 nouveaux cas pour 100 000 habitants (vs 62 en S43) soit une augmentation de +44%. En moyenne, 7 283 cas ont été diagnostiqués par jour.

Ce samedi 13 novembre, 14.646 nouveaux cas de Covid-19 ont été recensés en 24 heures, selon les chiffres de Santé publique France, soit un total de 7.275.149 cas confirmés depuis le début de l’épidémie.

Le taux de positivité des tests s’établit à 3,4%, contre 3,3% la veille.

Le nombre de malades du Covid-19 hospitalisés s’établit à 7.050 (+4 en 24h), dont 1.202 dans les services de réanimation (+20 en 24h).

En 24 heures, 20 personnes ont succombé au Covid à l’hôpital. Le bilan total s’élève à 118.137 morts depuis le début de l’épidémie, dont 91.240 à l’hôpital..

Bilan des régions

Ile-de-France : 5.115 (-63) hospitalisées, 298 (-1) en réanimation et +7 décès en 24h
Grand Est : 1.568 (-38) hospitalisés, 101 (-7) en réanimation et +5 décès en 24h
Hauts de France : 1.544 (0) hospitalisés, 89 (-3) en réanimation et +3 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 1.850 (+34) hospitalisés, 90 (+9) en réanimation et +5 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 1.386 (+24) hospitalisé, 55 (+6) en réanimation et +7 décès en 24h
Bretagne: 586 (-4) hospitalisés, 37 (+4) en réanimation et +1 décès en 24h
Normandie : 1.106 (-5) hospitalisés, 38 (-1) en réanimation et +3 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.323 (-17) hospitalisés, 85 (+1) en réanimation et +2 décès en 24h
Pays de la Loire : 362 (-5) hospitalisés, 17 (-1) en réanimation et +1 décès en 24h
Occitanie: 1.063 (-14) hospitalisés, , 50 (-9) en réanimation et +8 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 868 (+5) hospitalisés, 36 (-2) en réanimation et +3 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 923 (-4) hospitalisés, 48 (-2) en réanimation et +6 décès en 24h

Covid France 13 novembre 2022 : tendance à la hausse

Covid France 13 novembre 2022 : tendance à la hausse

En semaine 44, au niveau national, le taux d’incidence corrigé a atteint 90 nouveaux cas pour 100 000 habitants (vs 62 en S43) soit une augmentation de +44%. En moyenne, 7 283 cas ont été diagnostiqués par jour.
Ce samedi 13 novembre, 14.646 nouveaux cas de Covid-19 ont été recensés en 24 heures, selon les chiffres de Santé publique France, soit un total de 7.275.149 cas confirmés depuis le début de l’épidémie.

Le taux de positivité des tests s’établit à 3,4%, contre 3,3% la veille.

Le nombre de malades du Covid-19 hospitalisés s’établit à 7.050 (+4 en 24h), dont 1.202 dans les services de réanimation (+20 en 24h).

En 24 heures, 20 personnes ont succombé au Covid à l’hôpital. Le bilan total s’élève à 118.137 morts depuis le début de l’épidémie, dont 91.240 à l’hôpital..

Bilan des régions

Ile-de-France : 5.115 (-63) hospitalisées, 298 (-1) en réanimation et +7 décès en 24h
Grand Est : 1.568 (-38) hospitalisés, 101 (-7) en réanimation et +5 décès en 24h
Hauts de France : 1.544 (0) hospitalisés, 89 (-3) en réanimation et +3 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 1.850 (+34) hospitalisés, 90 (+9) en réanimation et +5 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 1.386 (+24) hospitalisé, 55 (+6) en réanimation et +7 décès en 24h
Bretagne: 586 (-4) hospitalisés, 37 (+4) en réanimation et +1 décès en 24h
Normandie : 1.106 (-5) hospitalisés, 38 (-1) en réanimation et +3 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.323 (-17) hospitalisés, 85 (+1) en réanimation et +2 décès en 24h
Pays de la Loire : 362 (-5) hospitalisés, 17 (-1) en réanimation et +1 décès en 24h
Occitanie: 1.063 (-14) hospitalisés, , 50 (-9) en réanimation et +8 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 868 (+5) hospitalisés, 36 (-2) en réanimation et +3 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 923 (-4) hospitalisés, 48 (-2) en réanimation et +6 décès en 24h

Journée d’action CGT du 10 novembre : encore une très faible mobilisation

Journée d’action CGT du 10 novembre : encore une très faible mobilisation

Globalement, la participation à la journée d’action décidée unilatéralement par la CGT le 10 novembre a été encore assez anecdotique. Plusieurs raisons à cela, d’une part une action décidée sans concertation avec les autres organisations syndicales, d’autre part la multiplication de journées qui usent la mobilisation.

Une stratégie qui ne sert pas la cause des salariés quand les organisations syndicales affichent une telle faiblesse. À noter que la participation a surtout concerné des fonctionnaires et assimilés ( secteurs nationalisés).

Selon la CGT, la mobilisation a rassemblé, jeudi, quelque 10.000 personnes dans la capitale, et «plus de 100.000» dans l’Hexagone. Des chiffres bien plus élevés que ceux des autorités : à Paris, les forces de l’ordre ont dénombré 2400 manifestants, contre 300 à Bordeaux, 650 à Lille, un millier à Lyon et 30.400 dans tout le pays. Des chiffres, là aussi, faibles, alors que les autorités s’attendaient à un léger regain du nombre de participants, entre 40.000 et 50.000 manifestants au niveau national, et «moins de 5000 à Paris», selon l’AFP. Le bilan est tout de même en légère hausse par rapport à la mobilisation du 27 octobre, lors des vacances scolaires : ce jour-là, selon la police, les défilés avaient rassemblé 14.000 manifestants en province et 1360 à Paris. La CGT, quant à elle, n’avait pas donné de chiffre.

Cet activisme de nature un peu gauchiste de la CGT s’inscrit dans la perspective du remplacement de Bruno Martinez avec une lutte entre la ligne radicale et la ligne plus modérée

Secrétaire général de Force ouvrière, Frédéric Souillot a récemment fustigé la multiplication des journées de manifestation «saute-mouton», estimant que cette stratégie «non seulement c’est contre-productif, deuxièmement ça fait peu bouger les choses, troisièmement ça use les troupes».Quant aux syndicats réformistes ils considèrent ces actions comme de l’agitation.

123456



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol