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De nouvelles conflictualités mondiales secrètes, invisibles et déstabilisatrices

De nouvelles conflictualités mondiales secrètes, invisibles et déstabilisatrices

 

 

Le directeur de l’Institut français des relations internationales (Ifri) invite l’Europe à actualiser son logiciel géopolitique et géoéconomique et à consentir des efforts dans le domaine de la défense, notamment du renseignement. Il publie Guerres invisibles. Nos prochains défis géopolitiques (Éditions Tallandier).

 

La pandémie sanitaire récente dont on ignore encore l’origine démontre en tout cas qu’il est possible de paralyser une partie de l’activité mondiale et de menacer la santé de millions voire 2 milliards d’individus. Certains experts imaginent par exemple déjà une pandémie numérique qui viendrait paralyser une grande partie de l’économie . Autant de questions que se posent Thomas Gomart interrogé dans le Figaro :.

 

Qu’appelez-vous les guerres invisibles?

Thomas GOMART.- Les militaires n’ont pas le monopole de la guerre. Ce titre traduit l’enchevêtrement des conflits économiques, militaires et technologiques. Guerres invisibles est une tentative de réponse à La Guerre hors limites, un ouvrage publié en 1999 par deux officiers chinois qui listaient 24 types de guerres différentes, allant de la guerre environnementale à la guerre médiatique. Les Européens n’ont voulu voir dans la mondialisation qu’une intensification des flux et une interpénétration des sociétés au détriment de la conflictualité.

 

 

 

Quels sont les prochains défis géopolitiques du siècle ?

La pandémie mondiale a modifié les équilibres entre Asie et Occident et scellé la rupture entre la Chine et les États-Unis, accentuant le basculement du monde vers l’Est. Sur cet échiquier polarisé, deux lignes de fracture convergent : la dégradation environnementale et la propagation technologique où se jouent désormais les principales rivalités stratégiques et économiques.

 

Dans cet essai captivant, Thomas Gomart décrit les grands mouvements qui se déroulent sous nos yeux : le retour d’une compétition agressive des puissances, une accentuation des inégalités et des échanges débridés. Il met également en lumière les mécanismes invisibles qui transforment notre planète en profondeur : marchés financiers, paradis fiscaux, mafias, incubateurs technologiques, plateformes numériques, multinationales, services de renseignement…

Pour nous aider à mieux comprendre le monde qui surgit, il analyse enfin pour chaque sujet les « intentions cachées » des États-Unis, de la Chine et de l’Europe, et réfléchit au rôle que la France pourrait jouer dans ces nouvelles « guerres invisibles ».

 

Thomas GomartGuerres invisibles – Nos prochains défis géopolitiques, Paris, Éditions Tallandier, 317 pages.

Vaccination MACRON: nouvelles contradictions

Vaccination MACRON: nouvelles contradictions

Deux contradictions principales sont apparues lors de l’intervention mardi de Macron sur TF1. D’abord il promet que tous les Français pourront être vaccinés d’ici la fin de  l’été et dans le même temps il réduit le calendrier ne prévoyant plus que 8 millions de vaccinations d’ici fin mars.

 

Et comme pour s’expliquer par avance, il déclare

« ce n’est pas la campagne de vaccination qui permettra de répondre à la pression sur les hôpitaux et les réanimations ». 

Le raisonnement n’est pas faux; toutefois, le chef de l’État se trouve en nouveau en contradiction sur sa décision de non confinement. Il constate en effet la dégradation de la situation qui s’appuie sur effectivement des chiffres objectifs. Pour autant, le président choisit l’immobilisme pendant une période qui pourrait durer 8 à 15 jours. En effet les chiffres étant têtus, il  faudra bien d’une manière ou d’une autre décider d’un reconfirment pour tenter de faire face à l’évolution exponentielle de la pandémie.

En réalité, les éléments sur lesquels se fonde la non décision de Macon ne sont pas sanitaires mais plutôt politiques. Le président craint surtout des réactions négatives dans l’opinion publique avec la perspective d’un reconfinement  qui de toute façon sera incontournable d’ici  la fin du mois de février.

En attendant d’une certaine façon, le président renvoie la responsabilité aux Français eux-mêmes. « J’ai confiance dans notre capacité à nous mobiliser. Nous avons une part de la réponse dans nos mains, dans notre responsabilité individuelle et collective », a répété le chef de l’État, avant d’appeler les Français à « lui faire confiance ».

« J’essayerai de prendre à chaque étape les décisions les plus adaptées pour tenir ensemble tous ces objectifs pour notre pays », a-t-il conclu. Sans doute pour préparer aussi l’opinion un nouveau revirement dans les semaines qui viennent.

Inventer de nouvelles solutions pour l’emploi

Inventer de nouvelles solutions pour l’emploi

Les consultantes en ressources humaines Marie Bouny et Marine Roussannes détaillent, dans une tribune au « Monde », les alternatives aux plans sociaux qui se profilent massivement à l’horizon des entreprises.

Tribune. Après l’activité partielle, le chômage de masse ? Pour éviter le recours au plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) – autrement dit aux licenciements –, les entreprises disposent aujourd’hui de nombreux outils qui permettent de répondre à des crises conjoncturelles ou à des évolutions structurelles. Choisir les dispositifs adaptés à chaque situation suppose de s’appuyer sur un dialogue social fort et transparent. Tous les acteurs de l’entreprise ont à y gagner.

Actuellement, les entreprises des secteurs les plus exposés à la crise ont placé la quasi-totalité de leurs salariés en activité partielle. Une respiration artificielle qui ne peut être que temporaire. Comment les entreprises vont-elles survivre au choc de son arrêt ?

La reprise d’activité sera réduite dans certains secteurs, et les entreprises qui n’avaient pas su se réorganiser au cours des dernières années auront du mal à retrouver leur niveau de performance antérieur. Pour d’autres, une partie des difficultés conjoncturelles pourraient devenir structurelles.

Solution de facilité

Certains observateurs craignent une multiplication des PSE, qui accroîtrait un chômage déjà en hausse de 10 % depuis le début de la crise. Cela semble être la solution de facilité : les entreprises savent qu’elles peuvent l’imposer, même sans signature d’un accord, et atteindre leurs objectifs de réorganisation dans un délai précis. Mais c’est aussi le choix le plus radical, car il implique des départs contraints, et aussi le plus onéreux pour les entreprises.

D’autres dispositifs peuvent être mobilisés, comme l’accord de performance collective (APC) et l’activité partielle de longue durée (APLD)

Face à une crise inédite, l’Etat a su prendre ses responsabilités. En 2020, le coût de l’activité partielle pour l’Etat et l’Unédic devrait atteindre 29 milliards d’euros, selon l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE). Le « quoi qu’il en coûte » est un lourd investissement que la collectivité devra assumer tôt ou tard. Les entreprises doivent aussi jouer leur rôle. Certaines prennent conscience que le PSE n’est pas la seule solution. En accroissant son chômage, le pays ne pourra pas se redresser et les entreprises en pâtiront inévitablement. Et quand la croissance reviendra, les compétences perdues manqueront.

Lire la chronique : Dominique Méda : « Territoire zéro chômeur : pour la généralisation d’un dispositif d’utilité sociale »

Beaucoup d’autres outils existent et peuvent être combinés pour répondre à des enjeux souvent multiples dans une même entreprise.

Pour éviter les départs contraints du PSE, on peut bien sûr choisir des dispositifs de départs volontaires, comme le plan de départs volontaires (PDV) ou la rupture conventionnelle collective (RCC) créée récemment. Ou encore, si le calendrier le permet, la gestion des emplois et des parcours professionnels (GEPP), qui favorise les mobilités et les reconversions professionnelles.

Nouvelles technologies Ordinateur quantique : Pour quand ?

Nouvelles technologies

Ordinateur quantique : Pour quand ?

Passer de l’ordinateur classique à l’ordinateur quantique , c’est se donner une puissance de calcul dont il est difficile de prendre l’ampleur. Un peu comme si on comparaît le boulier à l’ordinateur actuel. Les champs d’application du calcul quantique concerneraient énormément  de domaines par exemple la médecine, la logistique, la finance, l’intelligence artificielle ou la traduction des langues.

 

« Dans un entretien de vulgarisation avec Etienne KleinThierry Breton schématise le fonctionnement d’un calcul quantique comme un avis de recherche : si l’on cherche dans une salle de mille personnes quelqu’un mesurant plus de 1,80 m et parlant anglais, il compare l’informatique classique à l’interrogation de chaque participant un par un en posant les questions « Mesurez-vous plus de 1,80 m ? » et « Parlez-vous anglais ? » et en notant les numéros de ceux qui répondent « oui » aux deux questions, ce qui va prendre un certain temps. En calcul quantique, tout se passe comme si on lançait un appel général : « Les personnes mesurant plus de 1,80 m et parlant anglais peuvent-elles lever la main ? » et on a la réponse quasi instantanément. Thierry Breton parle de calcul holistique et non plus séquentiel. Reste à mettre au point des langages traitant globalement un ensemble de valeurs possibles comme une seule. Pour le moment, Atos travaille sur une sorte d’assembleur approprié, nommé AQAL (Atos Quantum Assembly Language). Le nom d’ »assembleur » peut induire en erreur, puisqu’il s’agit d’un langage de description de traitements qui est au contraire indépendant de la machine utilisée (contrairement à un assembleur au sens classique, donc) à condition qu’elle respecte quelques grandes lignes d’une sorte de machine virtuelle. » (Wikipédia)

Un pas important pourrait avoir été franchi ces jours-ci. Un mois après avoir fait fuiter l’information par erreur, Google a annoncé mercredi avoir atteint la suprématie quantique. Dans un communiqué publié le 23 octobre, la firme de Mountain View prétend avoir « démontré sa capacité à calculer en quelques secondes ce qui prendrait des milliers d’années aux supercalculateurs les plus grands et avancés, atteignant ainsi une étape majeure connue comme la suprématie quantique« .

Mais il y a loin la théorie à la réalité d’après un papier du Monde

« . Dompter les lois de la physique à l’échelle de l’infiniment petit pour créer un appareil avec une puissance de calcul sans équivalent avec les machines actuelles capable de résoudre les problèmes les plus complexes. Après l’espace dans les années 50, la communauté scientifique et technologique s’emploie aujourd’hui à conquérir une nouvelle frontière, celle de l’informatique quantique, un horizon de plus en plus convoité depuis les années 80.

Aux avant-postes de cette course technologique mondiale, on retrouve les Etats-Unis et la Chine, dont les grands industriels investissent massivement en R&D pour ne pas rester à quai de la révolution annoncée. Côté américain, Google, IBM et Microsoft sont convaincus de pouvoir réaliser des calculs quantiques totalement inaccessibles aux ordinateurs traditionnels dans les prochaines années.

Un pas important pourrait avoir été franchi ces jours-ci. Un mois après avoir fait fuiter l’information par erreur, Google a annoncé mercredi avoir atteint la suprématie quantique. Dans un communiqué publié le 23 octobre, la firme de Mountain View prétend avoir « démontré sa capacité à calculer en quelques secondes ce qui prendrait des milliers d’années aux supercalculateurs les plus grands et avancés, atteignant ainsi une étape majeure connue comme la suprématie quantique« .

La suprématie quantique est un concept né dans les années 80. Elle désigne le moment où est démontrée la supériorité d’un ordinateur quantique sur un ordinateur classique sur une tâche particulière. Les ingénieurs de Google, aidés par la Nasa et le laboratoire national d’Oak Ridge, affirment avoir réussi à créer un processeur capable de réaliser un calcul en 200 secondes quand le plus avancé des ordinateurs actuels aurait besoin de 10.000 ans. »

Coronavirus France : 4.000 nouvelles contaminations lundi

Coronavirus France : 4.000 nouvelles contaminations lundi

Des chiffres à prendre avec des pincettes comte tenu de la fermeture de nombre de laboratoires le dimanche. Les prélèvements effectués le lundi seront le plus souvent connus mardi. Le nombre de patients atteints du COVID-19 actuellement hospitalisés s’élève à 24.995 et 2.666 se trouvent en réanimation, ce qui fait respectivement 182 de plus et huit de moins que dimanche. Sur ce total, 1.258 ont été admis au cours des 24 dernières heures et 245 ont été placés en réanimation.

Trois cent soixante-dix-huit décès supplémentaires ont par ailleurs été recensés, ce qui porte le bilan français à 65.415 morts depuis le début de l’épidémie.

Nouvelles taxes américaines sur l’union européenne

Nouvelles taxes américaines sur l’union européenne

 

Il y a maintenant plus de 15 ans que les États-Unis et l’Europe s’affrontent à propos des subventions qui seraient accordées à Boeing et à Airbus. L’organisation mondiale du commerce a été saisie à plusieurs reprises et a autorisé dernièrement l’union européenne a augmenté ses droits de douane en compensation des avantages reçus par Bouygues.

Mais dans une dernière réaction l’administration Trump va imposer des droits de douane supplémentaires sur des produits européens, trois semaines avant la transition présidentielle, estimant que l’Union européenne a prélevé trop de taxes sur des produits américains dans le cadre du litige entre Boeing et Airbus.

Cette nouvelle offensive vise des produits français et allemands, des pièces détachées aéronautiques, vins non pétillants et cognacs, qui se verront appliquer des droits de douane plus élevés pour traverser l’Atlantique, selon un communiqué publié mercredi 30 décembre au soir par le représentant américain au Commerce (USTR), qui ne précise toutefois ni leur montant ni quand ils s’appliqueront.

Par ailleurs, déplore Washington, «l’UE a fait un autre choix qui a injustement augmenté le montant» des droits de douane prélevés, en excluant de son calcul le Royaume-Uni, et estime que «l’UE doit prendre des mesures pour compenser cette injustice».

 

La réaction américaine s’explique aussi par le projet de taxe (taxe en vigueur notamment en France) décidée par certains pays de l’union européenne sur les grands du numérique américains.

Coronavirus: 20.262 nouvelles contaminations vendredi

Coronavirus: 20.262 nouvelles contaminations vendredi

 

20.262 nouveaux cas de contamination par le coronavirus en 24 heures, pour un total de 2.547.771 personnes contaminées depuis le début de l’épidémie, selon les données publiées vendredi par le ministère de la Santé.

Avec 159 décès supplémentaires dans les hôpitaux, le bilan de l’épidémie en France s’établit désormais à 62.427 morts. Les hôpitaux français traitent 24.392 patients atteints du COVID-19, soit 247 de moins que jeudi. Le nombre de patients traités en réanimation recule à 2.625, soit 27 de moins que la veille.

«Sécurité globale» : encore de nouvelles manifs les 16 et 30 janvier

«Sécurité globale» : encore de nouvelles manifs les  16 et 30 janvier

La coordination des organisations d’extrême-gauche appelle «à de nouvelles marches des libertés, samedi 16 janvier, partout en France, avant un grand rassemblement, samedi 30 janvier, à Paris», ajoute-t-elle. Elle a organisé plusieurs manifestations ces dernières semaines, dont une le 28 novembre qui a rassemblé selon elle 500.000 personnes (133.000 selon le ministère de l’Intérieur).

Elle exige toujours le retrait de l’article 24 de la proposition de loi «Sécurité globale», le plus controversé, qui pénalise la diffusion malveillante d’images des policiers. Mais aussi des articles 21 et 22 sur l’usage des caméras-piétons et des drones par les forces de l’ordre, et du «nouveau schéma national du maintien de l’ordre» (SNMO), qui limite la couverture médiatique des manifestations.

Coronavirus France : hausse avec 21.000 nouvelles contaminations

Coronavirus France : hausse avec 21.000 nouvelles contaminations

 

Hausse des contaminations avec 21.634 nouveaux cas en 24 heures, pour un total de 2.527.509 personnes contaminées depuis le début de l’épidémie, selon les données publiées jeudi par Santé Publique France (SPF).

Avec 292 décès supplémentaires dans les hôpitaux, le bilan de l’épidémie en France s’établit désormais à 62.268 morts, selon SPF.

Sécurité globale: nouvelles manifestations samedi

Sécurité globale: nouvelles manifestations samedi

La coordination #StopLoiSecuriteGlobale appelle les coordinations locales à poursuivre la mobilisation contre cette loi en organisant des rassemblements sur tout le territoire national sauf à Paris.

Des heurts ont éclaté samedi dernier à Paris en marge de la “Marche des Libertés et des Justices”, qui s’est déroulée entre la porte des Lilas à la place de la République.

La proposition de loi a été adoptée le mois dernier en première lecture à l’Assemblée nationale mais, face à la controverse, la majorité présidentielle a annoncé que l’article 24, qui interdit la diffusion d’images des membres des forces de l’ordre dans l’intention de nuire à leur intégrité “physique ou psychique”, serait entièrement réécrit.

Michelle Bachelet, haute commissaire des Nations unies aux droits de l’homme, a réclamé mercredi le retrait de cet article jugé liberticide par les organisations de défense des droits de l’homme et les syndicats de journalistes.

Biélorussie : Nouvelles manifestations, des centaines d’arrestations

Biélorussie : Nouvelles manifestations, des centaines d’arrestations

Une nouvelle fois comme pratiquement tous les week-ends depuis l’élection truquée du président Alexandre Loukachenko de Biélorussie, des manifestations massives se sont déroulées pour protester contre ce déni de démocratie. Comme d’habitude des centaines de personnes contentent encore été arrêtées.

 

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Rien qu’à Minsk, la police a arrêté plus de 300 personnes accusées d’avoir « violé la loi sur les événements de masse », a déclaré l’agence de presse russe TASS, citant le ministère de l’Intérieur biélorusse.

Le président russe Vladimir Poutine a exhorté les forces politiques en Biélorussie à tenter de résoudre le conflit par le dialogue tout en déclarant que l’ex-république soviétique, proche alliée de Moscou, faisait face à une ingérence sans précédent de forces extérieures.

Coronavirus Allemagne : forte hausse avec 23.500 nouvelles infections en 24 heures

Coronavirus Allemagne : forte hausse avec 23.500 nouvelles infections en 24 heures

 

 

L’Allemagne a enregistré une très forte hausse des nouvelles infections en 24 heures avec 23 500 cas contre 13.000 dans l’Hexagone, accompagnées de 106 décès supplémentaires. Sur sept jours, le nombre de cas positifs pour 100. 000 habitants (incidence) est de 135 outre-Rhin, contre 96 en France tandis que le taux de reproduction (R) y est supérieur de près d’un demi-point (0,94).

Trois semaines après avoir battu le record de nouvelles infections quotidiennes (23.542 le 13 novembre), le pays continue régulièrement à tutoyer ce chiffre.

De nouvelles relations entre l’union économique et les États-Unis ?

De nouvelles relations entre l’union économique et les États-Unis ?

 

 Depuis lundi,  les 27 représentants des pays qui composent l’Union économique ont engagé une réflexion stratégique sur les champs qui permettraient d’améliorer de façon significative les relations avec les États-Unis. Pour faciliter les futures discussions, on a choisi un champ restreint de thèmes sur lesquels les accords pourraient aboutir. Restera pour plus tard la complexe question des échanges commerciaux et des droits de douane où subsistent de nombreux conflits (aéronautique, produits agricoles, vins, Gafa etc.).

Cinq grands domaines d’action seront ainsi à l’étude : la santé, notamment la lutte contre la pandémie de COVID-19, la relance économique, la lutte contre le changement climatique, la promotion de la paix et de la sécurité, ainsi que la défense de valeurs communes, dont l’attachement aux règles multilatérales.

Il s’agit, selon les responsables, des domaines qui offrent le plus de possibilités de coopération avec le président élu Joe Biden, après quatre années difficiles avec Trump.

Les dirigeants européens devraient discuter de la future relation transatlantique lors du prochain sommet européen organisé les 10 et 11 décembre.

Charles Michel, le président du Conseil européen, a invité Joe Biden à un sommet en présentiel organisé au cours du premier semestre 2021, et à un sommet virtuel, probablement peu après sa prise de fonction.

Coronavirus : relative stabilité, 198 décès et 9.784 nouvelles contaminations en 24 heures

Coronavirus : relative stabilité, 198 décès et 9.784 nouvelles contaminations en 24 heures

 

198 morts à l’hôpital en 24 heures, contre 213 samedi, soit une tendance stable loin des pics récents.

Le nombre d’hospitalisations liées au Covid-19 est stable, avec 28.284 individus concernés (contre 28.139 samedi et 28.620 vendredi), après un pic de plus de 33.000 patients le 16 novembre. Les hôpitaux comptent désormais 3744 patients en réanimation (contre 3765 samedi et 3871 vendredi), avec 102 nouvelles admissions sur 24 heures (122 samedi).

Un peu moins de 10.000 (9784) nouveaux cas de contamination ont été enregistrés dans les dernières 24 heures, loin des pics à 60.000 cas de début novembre. Le taux de positivité (proportion du nombre de personnes positives par rapport au nombre total de personnes testées), recule encore un peu, à 11,1% (11,4% samedi, 11,7% vendredi, 12,2% jeudi et 13% mercredi).

BCE: de nouvelles mesures pour l’économie

BCE: de nouvelles mesures pour l’économie

La  banque centrale européenne prépare sans doute les esprits à une politique encore plus accommodante qui passerait notamment par un accroissement du volume d’actifs ou un prolongement de la maturité des emprunts. Bref, il s’agirait de créer encore davantage de liquidités. La BCE constate en effet que la reprise espérée au cours de l’été est loin d’être au rendez-vous du quatrième trimestre. Pire, la récession devrait affecter l’union européenne au quatrième trimestre.

Les très mauvais résultats pourraient créer une dynamique très négative avec une longue liste de plans de licenciement, de perte de l’emploi et de dégradation consécutive des comptes sociaux. Une situation de nature à peser sur le moral des consommateurs qui constituent dans nombre de pays le moteur de la croissance. Bref le contraire du cercle vertueux.-

Les membres du Conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE) se sont donc accordés lors de leur réunion de fin octobre sur le constat qu’ils ne pouvaient pas s’autoriser la moindre complaisance face à la deuxième vague de la pandémie de coronavirus, préparant ainsi le terrain à de nouvelles mesures de soutien, montre le compte rendu publié jeudi.

La BCE avait déçu les marchés en mars pendant la première vague pandémique, les investisseurs jugeant trop timide sa réaction initiale à la crise.

“Tout signe de complaisance, même par inadvertance, pourrait être nuisible dans les circonstances actuelles”, explique le compte rendu des débats. “Des risques nets sur la croissance du PIB ont émergé pour le quatrième trimestre.”

La BCE a laissé sa politique monétaire inchangée le 29 octobre tout en ouvrant la voie à de nouvelles mesures de soutien au crédit et à l’économie en décembre.

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