Archive pour le Tag 'nouvelles élections'

Borloo demande de nouvelles élections

Borloo demande de nouvelles élections

 

Le président de l’UDI propose une « dissolution » de l’Assemblée nationale ou un référendum.  « Au point où on en est, au point où en est le gouvernement, je me demande s’il ne faut pas revenir devant le peuple », a affirmé sur BFMTV Jean-Louis Borloo, qui a dit avoir « l’impression que le gouvernement est aujourd’hui un canard sans tête ». Evoquant notamment la « colère sociale », le président de l’UDI a demandé au chef de l’Etat de « réfléchir » à cette proposition. « Ça peut être une dissolution (de l’Assemblée nationale), ça peut être un référendum sur un sujet particulier », a-t-il détaillé. Cette échéance devrait avoir lieu selon lui « avant la fin d’année ».

 

Dissolution assemblée nationale et nouvelles élections ? ( Borloo)

Dissolution assemblée nationale et nouvelles élections ? ( Borloo)

 

Jean-Louis Borloo a confirmé mardi matin sur Europe 1 que selon lui, la perspective d’une dissolution de l’Assemblée nationale était réaliste. « Quand je vois un président désemparé à la télévision, deux jours son Premier ministre qui fait un JDD pour ne rien dire de plus, sauf ajouter un peu plus de confusion sur les retraites… Quand je les vois fonctionner et refuser de revenir sur leurs erreurs, je suis inquiet et il ne me paraît pas exclu qu’on revienne devant le peuple », a argumenté le président de l’UDI. Le député du Nard s’est par ailleurs dit prêt à gouverner. « C’est le centre, l’UDI, avec son allié l’UMP, qui aura à gérer ce pays. L’UDI est prête », a-t-il assuré.

 

UMP: Copé pour de nouvelles élections, en 2050 !

UMP: Copé pour de nouvelles élections, en 2050 !

Copé a trouvé la solution de nouvelles élections mais en 2014 ou 2050. Copé ne lâchera pas à moins d’être acculé. L’enjeu : maitriser l’appareil en vue de 2017. Même  Sarkozy n’est plus écouté et pour les mêmes raisons : ses vues sur 2017. Idem pour Juppé qui en faiat n’avait pas renoncé à se prononcer. Dans l’entourage de l’ex-Premier ministre, certains ont qualifié à chaud d’ »inacceptable » la proposition de M. Copé d’un nouveau vote en 2014.  Mais M. Fillon dans son communiqué veut surtout « se féliciter du consensus autour du principe d’un nouveau vote et de la nécessité de redonner la parole aux adhérents de l’UMP pour sortir notre mouvement de l’impasse ».   »Nous ne nous reconnaissons pas dans le terme inacceptable car ce n’est pas la dialectique de François Fillon, qui a toujours tendu la main », a décrypté un lieutenant de François Fillon, Jérôme Chartier.  En déplacement dans le fief de M. Chartier à l’Abbaye de Royaumont, François Fillon avait déclaré dès la mi-journée que ses équipes se tenaient prêtes à rencontrer « dès lundi » celles de M. Copé.  Vendredi, Nicolas Sarkozy avait mis la pression sur les deux rivaux en leur donnant jusqu’à mardi pour trouver une solution à la crise, faute de quoi il dira « publiquement » qu’ils sont « disqualifiés » pour diriger le parti.  Mardi est la date-butoir pour l’installation à l’Assemblée d’un groupe filloniste dissident, qui concrétiserait la cassure à l’UMP. Groupe baptisé Rassemblement-UMP, fort de 72 membres et apparentés, soit un gros tiers de l’ancien groupe UMP, réduit à 122 députés.  Le camp Fillon maintient la pression mais rappelle que « le Rassemblement-UMP est un groupe à durée déterminée ». « A la minute même où l’accord se fera » sur les conditions d’un nouveau vote pour le présidence de l’UMP « le groupe sera dissous », affirme Jérôme Chartier.  Faute d’accord, les députés devraient notamment décider mardi s’ils changent de places dans l’hémicycle pour se rassembler sous leurs nouvelles couleurs.   »Il est hypocrite de dire que ce groupe parlementaire sera provisoire. S’il est installé, ce sera pour toute la législature », prévient Luc Chatel (pro-Copé), qui souhaite lui aussi un nouveau vote.  L’avocat de l’ancien Premier ministre, Me François Sureau, a affirmé dans le JDD que la plainte en justice de François Fillon sur les conditions de l’élection à la tête de l’UMP « est prête » et qu’il peut « la déposer à tout moment ».  Dans son intervention en Lorraine, M. Copé a aussi souhaité que celle ou celui qui présidera l’UMP en 2016 ne soit pas candidat à la primaire ouverte pour désigner le candidat UMP à l’élection présidentielle de 2017.  Pendant tous ces débats, Hervé Morin se faisait réélire dimanche président du Nouveau centre avec 94,18% des voix. Il était seul en lice. « C’est la solution », ironisait un twitto.

 

71% des français pour de nouvelles élections à l’UMP

71% des français pour de nouvelles élections à l’UMP

De nouvelles élections à l’UMP, la solution voulue par 71% des Français et 67% des sympathisants UMP. Sur les responsabilités de la crise, les personnes interrogées répondent en priorité qu’elles ne savent pas (58 % chez les Français et 44 % à l’UMP). Mais quand elles ont un avis, c’est Jean-François Copé qui est jugé responsable du blocage davantage que François Fillon. « Les sympathisants font payer clairement la crise à Copé. En deux semaines, c’est-à-dire avant et après l’élection, la cote d’avenir de Copé a chuté de 21 points quand celle de Fillon ne baisse que de 4 points », relève Frédéric Dabit, directeur général adjoint de l’Ifop. Les responsables de l’UMP trouveront peut-être un motif de consolation dans ce sondage catastrophique, puisque 40% des Français déclarent ressentir de « l’indifférence » et seulement 21% de « l’inquiétude ». Plus préoccupant par contre, le nombre de sympathisants UMP accablés par le spectacle de leurs dirigeants incapables de trouver une solution à la crise : 44% se disent « déçus », 26% « inquiets » et 17% en colère. L’addition de tous ces mécontents à droite coûtera sûrement très cher à leurs dirigeants le moment venu. Une chose est certaine : l’UMP ne survivrait pas à une seconde semaine de crise.

 




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