Archive pour le Tag 'Nouvelle'

Mer Rouge- Houthis : une nouvelle attaque de bateaux

Mer Rouge-Houthis : une nouvelle attaque de bateaux

Nouvelle attaque de guerre de la part des Houthis contre des navires de guerre ; l’occasion d’une vaste propagande à usage du Moyen-Orient et de l’Occident. Avec derrière évidemment l’Iran qui veut saboter un éventuel accord à Gaza.

« La force navale des forces armées yéménites a visé le navire », a déclaré Yahya Saree, porte-parole militaire de l’organisation armée soutenue par l’Iran. Il invoque un acte de solidarité avec les Palestiniens de la bande de Gaza, affirmant que le navire se dirigeait vers Eilat, dans le sud d’Israël.

Les Etats-Unis accusent les houthis d’avoir enlevé des membres d’équipage

Les houthis avaient revendiqué lundi l’attaque survenue la veille contre un autre cargo, le Magic Seas, qui a coulé. L’équipage a pu être secouru.

Politique monétaire : nouvelle baisse des taux de la BCE

Politique monétaire : nouvelle baisse des taux de la BCE

La Banque centrale européenne (BCE) baisse de nouveau son taux directeur ce jeudi, naviguant en pleine incertitude face aux menaces de droits de douane de Donald Trump, et à leurs répercussions sur l’inflation et la croissance de la zone euro.

Le taux de dépôt, principal instrument de référence, a donc été diminué d’un quart de point à 2,0 %. Un niveau que l’institution présidée par Christine Lagarde ne juge plus pénalisant pour l’économie.

Cette septième baisse d’affilée depuis septembre dernier intervient alors que « l’inflation se situe actuellement autour de l’objectif » de 2 % de la BCE, a souligné cette dernière ce jeudi. Les inquiétudes se sont déplacées vers la faiblesse persistante de l’activité économique dans les vingt pays de la zone euro, où l’atonie de la demande pourrait avoir des effets déflationnistes.

Pologne: Karol Nawrocki, président, : une mauvaise nouvelle !

Pologne: Karol Nawrocki, président, : une mauvaise nouvelle !


Quelques jours avant le second tour qu’il allait remporter, Karol Nawrocki près de l’aéroport de Rzeszow-Jasionka, en Pologne, le 27 mai 2025. La CPAC vise à réunir les conservateurs du monde entier et se décrit comme un forum mondial qui rassemble « des dirigeants publics, des élus, des journalistes, des intellectuels et des citoyens attachés à la liberté, à la souveraineté nationale, à la responsabilité individuelle et à la tradition ».


par Adam Simpson
Senior Lecturer, International Studies, University of South Australia dans The Conversation

Le nouveau président, un historien ouvertement nationaliste largement aligné sur Donald Trump, refuse l’entrée de l’Ukraine dans l’UE et l’OTAN, critique Bruxelles sur de nombreux dossiers et est opposé au droit à l’avortement.

C’est peu dire que le résultat du second tour de l’élection présidentielle polonaise a contrarié, en Pologne et partout ailleurs sur le Vieux continent, les tenants du camp pro-européen.

Historien de formation, Karol Nawrocki, connu pour son nationalisme intransigeant et pour son alignement sur Donald Trump, a battu de justesse le maire libéral et pro-UE de Varsovie, Rafal Trzaskowski, avec 50,89 % des suffrages contre 49,11 %.

Le président polonais a peu de pouvoirs exécutifs, mais il peut opposer son veto à l’adoption de nouvelles lois. Cela signifie que les conséquences de la victoire de Nawrocki seront ressenties avec acuité, tant en Pologne que dans le reste de l’Europe.

Nawrocki, qui s’est fait élire en tant qu’indépendant mais qui sera soutenu par le parti conservateur Droit et Justice (PiS), fera sans aucun doute tout son possible pour empêcher le premier ministre libéral Donald Tusk et la coalition formée autour du parti de celui-ci, la Plate-forme civique, de mettre son programme en œuvre.

Le blocage législatif promis à la Pologne pour les prochaines années pourrait bien voir Droit et Justice revenir au gouvernement lors des élections législatives de 2027, et remettre le pays sur la voie anti-démocratiques que le parti avait empruntée lors de son dernier passage au pouvoir, de 2015 à 2023. Durant ces huit années, le PiS avait notamment affaibli l’indépendance du pouvoir judiciaire polonais en prenant le contrôle des nominations aux plus hautes fonctions judiciaires et à la Cour suprême.

Au-delà de la Pologne elle-même, la victoire de Nawrocki a donné un coup de fouet aux forces pro-Donald Trump, antilibérales et anti-UE à travers le continent. C’est une mauvaise nouvelle pour l’UE et pour l’Ukraine.

Pendant la majeure partie de la période qui a suivi la Seconde Guerre mondiale, la Pologne n’a eu qu’une influence limitée au niveau européen. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. L’économie polonaise est en plein essor depuis l’adhésion à l’UE en 2004. Elle consacre près de 5 % de son produit intérieur brut à la défense, soit près du double de ce qu’elle dépensait en 2022, au moment de l’invasion massive de l’Ukraine par la Russie.

La Pologne possède aujourd’hui une plus grande armée que le Royaume-Uni, que la France ou encore que l’Allemagne. Et son PIB par habitant en parité de pouvoir d’achat vient de dépasser celui du Japon.

Ajoutée au Brexit, cette progression a entraîné un déplacement du centre de gravité de l’UE vers l’est, en direction de la Pologne. Puissance militaire et économique montante de 37 millions d’habitants, la Pologne contribuera à façonner l’avenir de l’Europe.

Quel impact sur l’Ukraine ?
L’influence dont la Pologne bénéficie aujourd’hui en Europe est illustrée de façon éclatante par le rôle central qui est le sien dans l’appui de l’UE à l’Ukraine contre la Russie. On l’a encore constaté lors du récent sommet de la « Coalition des volontaires » à Kiev, où Donald Tusk, aux côtés des dirigeants des principales puissances européennes – la France, l’Allemagne et le Royaume-Uni —, s’est engagé à rehausser le niveau de soutien de l’Union à l’Ukraine et à son président Volodymyr Zelensky.

Ce soutien inconditionnel de la Pologne à l’Ukraine est désormais menacé, car Nawrocki a eu des propos très durs à l’encontre des réfugiés ukrainiens arrivés dans son pays et s’oppose à l’intégration de l’Ukraine à l’UE et à l’OTAN.

Pendant sa campagne, Nawrocki a reçu le soutien de l’administration Trump. Lors de la récente Conservative Political Action Conference, tenue en Pologne, Kristi Noem, la secrétaire à la sécurité intérieure des États-Unis, a déclaré :

 « Nous avons chez nous un leader fort, Donald Trump. Mais vous avez la possibilité d’avoir un leader tout aussi fort si vous faites de Karol le leader de votre pays. »

Trump a d’ailleurs accueilli Nawrocki dans le Bureau ovale alors que celui-ci n’était qu’un simple candidat à la présidence. Il s’agit là d’un écart important par rapport au protocole diplomatique standard des États-Unis, qui consiste à ne pas se mêler des élections à l’étranger.

Nawrocki n’est pas aussi favorable à la Russie que la plupart des autres dirigeants internationaux estampillés « MAGA », mais cela est dû en grande partie à la géographie de la Pologne et à l’histoire de ses relations avec la Russie. La Pologne a été envahie à plusieurs reprises par les troupes russes ou soviétiques dans ses plaines orientales. Elle a des frontières communes avec l’Ukraine ainsi qu’avec le Bélarus, État client de la Russie, et avec la Russie elle-même à travers l’enclave fortement militarisée de Kaliningrad, située sur la mer Baltique.

J’ai fait l’expérience de l’impact que peut avoir sur la Pologne la proximité de ces frontières lors d’un terrain en 2023, quand j’ai effectué un voyage en voiture de Varsovie à Vilnius, la capitale lituanienne, en passant par le corridor de Suwalki.

Cette frontière stratégiquement importante entre la Pologne et la Lituanie, longue de 100 kilomètres, relie les États baltes au reste de l’OTAN et de l’UE au sud. Elle est considérée comme un point d’ignition potentiel si la Russie venait à occuper ce corridor afin d’isoler les États baltes.

Du fait de ce contexte géopolitique, les conservateurs nationalistes polonais sont nettement moins pro-russes que ceux de Hongrie ou de Slovaquie. Nawrocki, par exemple, n’est pas favorable à l’arrêt de l’approvisionnement en armes de l’Ukraine.

Il n’en demeure pas moins que son accession à la présidence Nawrocki ne constitue pas une bonne nouvelle pour Kiev. Pendant la campagne, Nawrocki a déclaré que Zelensky « traite mal la Pologne », reprenant ainsi le type de formules que Trump lui-même aime à employer.

L’importance de l’élection s’est traduite par un taux de participation record de près de 73 %.

L’alternative qui se présentait aux électeurs polonais entre Nawrocki et Trzaskowski était extrêmement tranchée.

Trzaskowski souhaitait une libéralisation des lois polonaises sur l’avortement – l’IVG avait de facto été interdite en Pologne sous le gouvernement du PiS – et l’introduction de partenariats civils pour les couples LGBTQ+. Nawrocki s’oppose à de telles mesures et à ces changements et mettra très probablement son veto à toute tentative de loi allant dans ce sens.

Un sondage Ipsos effectué à la sortie des urnes a mis en évidence les divisions sociales qui traversent aujourd’hui le pays.

Comme lors d’autres élections récentes dans le monde, les femmes et les personnes ayant un niveau d’éducation élevé ont majoritairement voté pour le candidat progressiste (Trzaskowski), tandis que la plupart des hommes et des personnes ayant un niveau d’éducation moins élevé ont voté pour le candidat conservateur (Nawrocki).

Après le succès surprise du candidat à la présidence libéral et pro-UE aux élections roumaines il y a quinze jours, les forces pro-UE espéraient un résultat similaire en Pologne. Ces espoirs ont été déçus : les libéraux du continent devront désormais s’engager dans une relation difficile avec ce dirigeant trumpiste de droite qui jouera un rôle majeur au sein d’un pays devenu, à bien des égards, le nouveau cœur battant de l’Europe.

Terrorisme islamique : première attaque contre la nouvelle Syrie

Terrorisme islamique : première attaque contre la nouvelle Syrie

L’ancien chef rebelle Ahmed al-Charaa , nouveau dirigeant de la Syrie, ancien rebelle lui-même est autrefois affilié à Al Qaïda , est victime de la première attaque islamiste. Preuve sans doute que la situation du pays reste assez tendue et complexe.

Ahmed al-Charaa , dont l’organisation Hayat Tahrir al-Cham (HTC) était autrefois affiliée à Al-Qaïda, dirige le pays depuis que les forces de l’opposition ont déferlé sur Damas le 8 décembre, à la suite d’une offensive surprise qui a duré moins de deux semaines.

Or le groupe État islamique (EI) a revendiqué jeudi 28 mai sa première attaque contre les forces des nouvelles autorités syriennes depuis la chute du président Bachar al Assad. Il s’agit de la première attaque revendiquée par l’EI contre le nouveau gouvernement syrien. L’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH) a affirmé qu’une personne avait été tuée et trois membres de la 70e division de l’armée syrienne blessés lorsque leur patrouille a été touchée par une mine terrestre déclenchée à distance mercredi.

Nouvelle-Calédonie : Macron veut une nouvelle rencontre à Paris

Nouvelle-Calédonie : Macron veut une nouvelle rencontre à Paris

<strong>Suite à l’échec des négociations conduites par le ministre Manuel Valls, Macron veut une nouvelle rencontre à Paris

Le président Emmanuel Macron va inviter «les parties prenantes de la Nouvelle-Calédonie» à Paris à partir de la mi-juin, afin de «clarifier les sujets économiques, politiques et institutionnels en vue de parvenir à un accord partagé», après l’échec des récentes négociations, a indiqué mardi l’Élysée. En cause notamment les conditions de vote et les transferts de responsabilité, sans parler du développement économique.

Nissan : nouvelle saignée dans les effectifs

Nissan : nouvelle saignée dans les effectifs

Nissan n’en finit pas de s’enfoncer dans ses problèmes économiques et technologiques. Au total, le constructeur japonais va encore supprimer 19.000 emplois, soit 15 % de sa main-d’œuvre.

Nissan devrait annoncer 10.000 suppressions de postes qui s’ajouteront aux 9000 déjà détaillées en novembre dernier, selon plusieurs médias japonais. Ce total de 19.000 postes réduirait la main-d’œuvre du groupe d’environ 15 %. L’information est tombée à la veille de la publication de résultats annuels catastrophiques. Le constructeur japonais – dont Renault possède toujours 35,71 %, dont 17,5 % en direct, le reste étant placé dans une fiducie – devrait publier ce mardi une perte annuelle record, qui pourrait s’élever à 4,6 milliards d’euros, en raison notamment de dépréciations d’actifs.

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Guerre Ukraine : Nouvelle réunion des alliés à Londres lundi

Guerre Ukraine : Nouvelle réunion des alliés à Londres lundi

Les ministres des Affaires étrangères de plusieurs pays-clés européens se retrouvent lundi à Londres pour des discussions «capitales» sur l’Ukraine, deux jours après l’ultimatum adressé par les alliés de Kiev à Moscou pour accepter un cessez-le-feu.

Ces «discussions capitales» porteront sur «les efforts conjoints afin de renforcer la sécurité européenne et pour une paix juste et durable en Ukraine», a indiqué le Foreign Office dans un communiqué. «Nous devons rester unis, alliés dans la protection de la souveraineté, de la paix et de l’Ukraine», a déclaré M. Lammy, cité dans ce communiqué. Selon lui, les dirigeants européens sont face à un «défi» qui «ne concerne pas seulement l’avenir de l’Ukraine» mais «qui est existentiel pour l’Europe dans son ensemble». Côté français, on entend notamment insister sur «la nécessité de maintenir et d’accroître (la) pression sur la Russie», a indiqué le ministère des Affaires étrangères à l’AFP.

États-Unis : nouvelle purge au Pentagone

États-Unis : nouvelle purge au Pentagone

Officiellement , il s’agit de rationaliser la direction de la défense. En réalité, il s’agit d’une nouvelle purge des plus hauts gradés du pentagone dont beaucoup sont opposés à la politique très changeante de Trump y compris sur l’Ukraine.

Le ministre américain de la Défense Pete Hegseth a donc ordonné lundi une réduction d’au moins 20% du nombre de généraux et amiraux quatre étoiles en exercice, selon un mémo. Depuis son entrée en fonction fin janvier, le gouvernement de Donald Trump affirme vouloir aligner les forces armées sur les priorités politiques du président, limogeant des officiers supérieurs et souhaitant licencier des milliers de travailleurs civils.

Selon la même source, le ministre a également ordonné une réduction de 20% du nombre de hauts gradés au sein de la Garde nationale ou 10% d’autres effectifs au sein de l’armée.

En février, Donald Trump avait brusquement congédié, sans explication, le chef d’état-major Charles Brown, également connu sous le nom de CQ Brown.

La Presse et les démocrates dénoncent une politisation potentielle de l’armée.

Ces différentes mesures de purge pourraient être alimentées par le souci de vengeance d’un secrétaire d’État à la défense écarté bientôt par Trump pour un poste insignifiant à l’ONU.

L’ampleur de ces réformes risque de provoquer une nouvelle pagaille au sein du Pentagone

Société-CGT : une nouvelle journée de grève le 5 juin

Société-CGT : une nouvelle journée de grève le 5 juin

Une nouvelle journée de grève le 5 juin concernant les retraites a été décidée par la CGT. Une sorte de journée finale de la saison syndicale qui sans doute ne réunira pas grand monde et constitue davantage une manifestation éteignoir surtout compte tenu des contradictions entre les organisations syndicales.

En marge de la manifestation du 1er mai, qui a démarré de la place d’Italie à Paris, à 14 heures, Sophie Binet a d’ores et déjà annoncé une nouvelle journée «de manifestations et de grèves» le jeudi 5 juin prochain. La secrétaire générale de la CGT appelle une nouvelle fois à l’abrogation de la réforme des retraites. La journée de mobilisation du 5 juin se tiendra le jour de l’examen d’une proposition de résolution des députés communistes visant à abroger la réforme, qui donnera lieu à un vote à la portée symbolique, lors de la «niche» parlementaire de leur groupe.

CGT : une nouvelle journée de grève le 5 juin

CGT : une nouvelle journée de grève le 5 juin

Une nouvelle journée de grève le 5 juin concernant les retraites a été décidée par la CGT. Une sorte de journée finale de la saison syndicale qui sans doute ne réunira pas grand monde et constitue davantage une manifestation éteignoir surtout compte tenu des contradictions entre les organisations syndicales.

En marge de la manifestation du 1er mai, qui a démarré de la place d’Italie à Paris, à 14 heures, Sophie Binet a d’ores et déjà annoncé une nouvelle journée «de manifestations et de grèves» le jeudi 5 juin prochain. La secrétaire générale de la CGT appelle une nouvelle fois à l’abrogation de la réforme des retraites. La journée de mobilisation du 5 juin se tiendra le jour de l’examen d’une proposition de résolution des députés communistes visant à abroger la réforme, qui donnera lieu à un vote à la portée symbolique, lors de la «niche» parlementaire de leur groupe.

Ukraine : nouvelle attaque de Trump contre Zelensky

Ukraine : nouvelle attaque de Trump contre Zelensky

Nouvelle attaque verbale de Trtump contre le président ukrainien qui confirme ainsi la complicité du président américain avec Poutine.

D’après la Maison-Blanche, « le président américain veut la paix. (…) Mais il faut que les deux belligérants soient volontaires. Malheureusement le président Zelensky semble prendre la mauvaise direction » notamment à propos de la Crimée.

«Il peut avoir la paix ou il peut se battre encore trois ans avant de perdre tout le pays», a déclaré le président américain à propos de son homologue ukrainien. «Nous sommes très proches d’un accord mais cet homme qui n’a pas les cartes en main doit maintenant conclure».

Donald Trump a dit mercredi penser avoir un «accord avec la Russie» pour mettre fin à la guerre en Ukraine, déclarant qu’il fallait désormais obtenir un feu vert du président ukrainien Volodymyr. «Je pense avoir un accord avec la Russie» a déclaré le président américain. «Nous devons parvenir à un accord avec Zelensky (…) mais cela a été jusqu’à présent plus difficile», a-t-il ajouté devant la presse à la Maison Blanche.

En réaction, Volodymyr Zelensky a publié une déclaration de l’administration Trump de 2018 s’opposant à l’annexion de la Crimée par Moscou. Sur Telegram, le président ukrainien a publié un lien vers cette déclaration du 25 juillet 2018 signé par Mike Pompeo, alors chef de la diplomatie américaine, qui stipulait notamment que «les Etats-Unis rejettent la tentative d’annexion de la Crimée par la Russie».

Nouvelle contamination dans l’eau minérale

Nouvelle contamination dans l’eau minérale


L’affaire concerne cette fois uniquement Perrier mais d’une façon générale des études ont montré que les eaux minérales naturelles en réalité étaient traitées pour respecter les normes bactériologiques. De nouvelles contaminations ont donc été détectées dans les bouteilles de l’usine Perrier du Gard, et des « analyses bactériologiques complémentaires » sont en cours à la suite de trois « situations de non-conformité », a annoncé l’ARS Occitanie vendredi soir dans un communiqué.

L’affaire concerne cette fois uniquement Périers mais d’une façon générale des études ont montré que les eaux minérales naturelles en réalité été traitée pour respecter les normes bactériologiques

Selon le communiqué de l’ARS, ce sont au total trois « situations de non-conformité » qui sont actuellement en cours d’étude par l’ARS, avec des « analyses bactériologiques complémentaires ». Il s’agit de « lots produits les 10 et 11 mars (369 palettes) pour lesquels l’exploitant a signalé à l’ARS le 21 mars une suspicion lors de ses analyses de coliformes » (entérobactéries). « Ces lots sont maintenus bloqués en attente des résultats de nouveaux contrôles », précise l’ARS.

C’est le cas également pour un lot de 395 palettes qui ont fait l’objet d’un signalement de non-conformité le 4 avril après constat par l’exploitant d’une non-conformité le 22 mars en raison d’un dysfonctionnement sur l’alimentation des bouchons.

Depuis plusieurs mois, la filiale eaux du géant suisse de l’agroalimentaire Nestlé fait l’objet d’une polémique concernant son usage, par le passé, de traitements de désinfection de ses eaux, non dangereux mais interdits pour les eaux minérales naturelles.

Énergie : l’Académie des sciences contre la nouvelle programmation (PPE)

Énergie : l’Académie des sciences contre la nouvelle programmation (PPE)

L’Académie des sciences démolit la nouvelle programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE3) que le gouvernement s’apprête à entériner par décret. Ce document stratégique, qui fixe la trajectoire énergétique du pays pour 2025-2035, est jugé «peu rigoureux», «incohérent» et déraisonnablement favorable aux énergies renouvelables.

La PPE3 est accusée de surestimer les besoins en électricité de l’Hexagone. alors que la consommation électrique française ne cesse de baisser, passant de 480 TWh, en 2017, à 449 TWh en 2024. Résultat : le scénario proposé créerait «des surcapacités considérables, coûteuses et inutiles», avec un excédent d’offre «dépassant les 100 TWh», s’alarme l’Académie.

L’avis suggère donc au gouvernement de refaire ses calculs, estimant que ce document «n’a pas non plus le niveau de rigueur attendu d’une production des services de l’État».

Autre critique majeure : la place accordée aux renouvelables (EnR), jugée irréaliste. La PPE3 mise en effet sur une augmentation massive du solaire et de l’éolien, dont la production passerait de 73 TWh en 2023 à 254-274 TWh en 2035. Une orientation risquée, selon l’Académie, qui rappelle le caractère «intermittent» et «non pilotable» de ces sources d’énergie, introduisant une «volatilité accrue des prix de l’électricité». «Cette évolution entraînerait des surcapacités considérables, coûteuses et inutiles, générant un excédent d’offre par rapport à la demande dépassant les 100 TWh, et surtout un taux excessif de production d’électricité non pilotable proche de 40%», note l’avis.

À la place, l’Académie défend une «production nucléaire substantielle (360-400 TWh), source d’énergie bas-carbone de stock, à la fois massive et pilotable». Elle plaide également pour le «maintien des objectifs de construction de nouveaux réacteurs EPR». Le débat prévu au Parlement sur la PPE fin avril, comme l’avait annoncé le premier ministre, François Bayrou.

Bourses: nouvelle chutes

Bourses: nouvelle chutes

Les bourses devraient enregistrer ce lundi de nouvelles chutes. C’est déjà le cas ouverture à Tokyo et à Séoul. Ce sera leur aussi sans doute le cas à Wall Street et en France pour le CAC 40.

Les futures sur indices new-yorkais ont ouvert en nette baisse dimanche soir, suggérant que se poursuivrait lundi la lourde chute des principaux indices de Wall Street survenue en fin de semaine dernière à la suite des droits de douane annoncés par l’administration du président américain Donald Trump.

Les investisseurs anticipent une semaine de volatilité, alors que les partenaires commerciaux des Etats-Unis à travers le monde réagissent aux taxes dits « réciproques » décidées par Donald Trump, qui a intensifié la guerre commerciale lancée dans la foulée de son retour à la Maison blanche en janvier.

A leur ouverture dimanche, les futures sur indices indiquaient des reculs d’environ 4% pour le S&P-500, 3,8% pour le Dow Jones et 4,6% pour le Nasdaq.

Dans le sillage de l’allocution de Donald Trump après la clôture à Wall Street mercredi, le S&P-500 a plongé de 10,5% en deux séances – du jamais-vu sur deux journées consécutives depuis mars 2020 -, perdant environ 5.000 milliards de dollars de valeur de marché.

Le S&P-500 a reculé ainsi à plus de 17% de son pic historique du 19 février et se rapproche du territoire de marché baissier (« bear market ») – une correction de l’indice de plus de 20% par rapport à son record de clôture le plus récent.

Nouvelle dégradation de la note de la France par Standard & Poors ?

Nouvelle dégradation de la note de la France par Standard & Poors ?

En dépit des assurances du gouvernement sur le redressement financier qui paraît assez hypothétique au regard notamment du budget de 2024 mais aussi de 2025, il se pourrait que les agences procèdent à un abaissement des notes de la France.

 

 Ce jeudi soir, la France est toujours notée AA- avec une « perspective stable » par S&P. Elle dispose d’un classement équivalent dans les deux autres grandes agences qui doivent toutes deux rendre leur verdict dans les prochaines semaines : AA- « négative » chez Fitch et AA3 « stable »

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