Archive pour le Tag 'nouvel'

Cessez-le-feu à Gaza: Nouvel échec des États-Unis

 Cessez-le-feu à Gaza: Nouvel échec des États-Unis

 

En dépit du 10e voyage du secrétaire d’État Anthony Blinken   au Moyen-Orient et des efforts conjoints de l’Égypte et du Qatar, les discussions sur la perspective d’une trêve à Gaza ont encore échoué.

Derrière cet échec, il y a sans doute l’instrumentalisation du conflit par l’Iran qui maintient ainsi des foyers de guerre sans se compromettre à Gaza- mais aussi au Liban -et surtout sans risque de subir une lourde défaite de la part d’Israël. 

Le chef de la diplomatie américaine et les médiateurs égyptiens et qataris ont placé leurs espoirs dans le plan de compromis proposé par les Etats-Unis visant à réduire les divergences entre les deux parties à la guerre qui dure depuis dix mois, après que les négociations ont été interrompues la semaine dernière sans qu’aucune avancée n’ait été réalisée.

 

SNCF : Un nouvel appel à la grève de Sud rail

SNCF : Un nouvel appel à la grève de Sud rail

 

Il est clair que la grève constitue une liberté démocratique mais la meilleur moyen de tuer ce droit c’est d’en user de manière excessive et anarchique. Justement ce que pratique le syndicat Sud rail à la SNCF qui fonde sa stratégie uniquement sur la radicalité. L’objectif n’est d’ailleurs pas forcément d’obtenir satisfaction mais de faire des mécontents au service de la grande cause révolutionnaire illusoire comme le modèle Chinois, Cubain ou encore Vénézuélien. Et pour cela il faut encourager toutes les grèves fussent-elles illégitimes comme celle des contrôleurs, corporatistes et irresponsables.

 

Il est clair que la multiplication des grèves dans l’entreprise non seulement va tuer la SNCF elle-même ( en encourageant notamment la concurrence et la sous-traitance) mais aussi les effectifs de cheminots.

SUD-Rail appelle donc  les employés de la SNCF aux guichets et à la centrale téléphonique à faire grève pour leurs conditions de travail mercredi, jour d’ouverture des réservations de la saison d’été, a annoncé lundi le troisième syndicat de la compagnie. «Le 13 mars, les cheminotes et cheminots, qui travaillent dans les gares et les centres 3635 (dénommés Relation client à distance), vont cesser le travail pour lancer un ultime signal d’alarme à la direction SNCF», a affirmé l’organisation syndicale dans un communiqué.

Sud-Rail, qui a obtenu près de 19% des voix aux dernières élections professionnelles, derrière la CGT-Cheminots et Unsa ferroviaire, a répété lundi que «la mobilisation du 13 mars n’est qu’une première étape» et prévenu que la direction de la SNCF aurait «besoin de ces agents pendant les Jeux olympiques», l’appelant à «négocier réellement».

 

Loi immigration : nouvel échec de Macron

Loi immigration : nouvel échec de Macron

Finalement la loi immigration votée au Parlement a été largement censurée par le conseil constitutionnel officiellement pour des questions de forme mais surtout en raison de la problématique politique caractérisée par les contradictions du pouvoir et de ses différentes composantes d’opposition. Le conseil constitutionnel a refusé d’arbitrer entre les camps mais dans l’opération, il ne s’est guère grandi en même temps. Bref une belle tambouille politique et juridique et cela d’autant plus qu’on aurait pu durcir la politique d’immigration avec les textes existants mais à condition de les appliquer. Exemple il y a de l’ordre 250 000 clandestins nouveaux par an et seulement 20 000 sont renvoyés dans leur pays chaque année.

Les Sages, qui planchaient sur le texte depuis plus d’un mois après avoir été saisis par Emmanuel Macron fin décembre, ont décidé de censurer plusieurs mesures. Parmi elles, le durcissement de l’accès aux prestations sociales et le délit de « séjour irrégulier » pour les étrangers, l’instauration de quotas migratoires fixés par le Parlement, la « caution retour » pour les étudiants étrangers. Ont aussi été censurés les mesures de restriction du regroupement familial et plusieurs mesures restreignant le droit du sol.

Trois autres articles sont censurés partiellement ou totalement sur le fond, dont l’instauration de quotas migratoires fixés par le Parlement.

Violences et Société: Un nouvel antisémitisme ?

Violences et Société: Un nouvel antisémitisme ?

Depuis les attaques du Hamas sur des civils israéliens le 7 octobre et les représailles massives d’Israël à Gaza, des événements graves et une hausse de l’antisémitisme en France ont conduit à des prises de position politique ou médiatique, tandis que de nombreux débats émaillent les discussions pour savoir ce qui est antisémite ou non. Parmi les artistes engagés sur ce sujet, l’illustrateur Joann Sfar a publié une série de posts Instagram afin d’exprimer son ressenti. La chercheuse Solveig Hennebert s’est appuyée sur certains de ses dessins afin d’expliciter un certain nombre d’éléments constitutifs de l’antisémitisme. Si certains faits ont surgi en lien avec le contexte, ils doivent aussi être analysés dans l’histoire longue de l’antisémitisme, sans prétention à l’exhaustivité.

Par Solveig Hennebert
Doctorante, Université Lumière Lyon 2 dans The Conversation

Les dernières semaines ont vu une hausse des actes antisémites en France : 1 518 ont été recensés entre le 7 octobre et le 15 novembre. Depuis le début des années 2000, les chiffres oscillent entre 400 et 1 000 par an habituellement, mais il est courant d’observer des pics de propos ou violence antisémites selon les actualités nationales ou internationales. Face à ces actes antisémites, les personnes juives ou – assimilées – ont souvent exprimé un sentiment d’abandon lors de cérémonies commémoratives ou encore dans les entretiens que j’ai réalisés au cours de mon enquête de terrain de thèse.

J’utilise à dessein la formulation « personnes juives ou assimilées » que j’ai forgée dans le cadre de mes recherches. Cela permet d’inclure les personnes qui se définissent comme juives par religion, par culture, par rapport à leur histoire familiale ; tout autant que celles qui ne se considèrent pas comme juives, mais subissent l’antisémitisme malgré tout, du fait de représentations discriminantes liées au nom de famille, à l’apparence physique, etc.

L’antisémitisme renvoie à la haine contre les personnes juives envisagées comme appartenant à une « race ». Cette conceptualisation remonte entre autres au XVe siècle avec les premiers statuts de pureté de sang dans la péninsule ibérique. Avant (sans que cela ait totalement disparu), les persécutions étaient plutôt liées à de la l’antijudaïsme, c’est-à-dire que les personnes étaient visées en tant que membres d’une religion et non d’une supposée race.

Le recensement des crimes et délits est source de nombreuses interrogations méthodologiques, mais les chiffres restent malgré tout des indicateurs à prendre en compte. Les données sont collectées de la même manière à toutes les périodes, et indiquent donc quoi qu’il en soit une hausse drastique.

Des événements nationaux ou internationaux sont parfois identifiés comme le déclencheur d’une « nouvelle » vague d’attaques antisémites, et souvent associés au conflit israélo-palestinien. Cependant, des recherches scientifiques ont montré que les perceptions antisémites sont également en hausse lors d’événements centrés sur la France, comme ce fut le cas en 1999, au moment des débats sur l’indemnisation des spoliations subies par les Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale.

Il convient de garder en tête que si analytiquement le contexte peut avoir du sens, il faut prendre en compte ce qu’il y a de structurel dans l’antisémitisme tel qu’il s’exprime en France.

La présence du Rassemblement national et plus largement de l’extrême droite au rassemblement contre l’antisémitisme du 12 novembre a causé de nombreux débats, certains allant même jusqu’à parler de « recomposition du champ politique ». À l’inverse, des organisations se sont mobilisées pour rappeler les liens du RN avec les idéologies antisémites.

L’antisémitisme tel qu’il s’est exprimé ces dernières semaines s’inscrit dans une histoire longue avec des références au nazisme, un ancrage à l’extrême droite, et repose sur des mythes et des préjugés séculaires. En effet, de nombreux préjugés antisémites sont hérités de la l’antijudaïsme chrétien :

« les Juifs ont de l’argent »

« les Juifs contrôlent le monde »

« les Juifs contrôlent les médias »

« les Juifs sont des tueurs d’enfants »…

L’ensemble de ces mythes qui sont formulés ainsi ou réappropriés selon des tournures différentes sont à comprendre dans une généalogie historique.

Un nouvel antisémitisme ?

Ces dernières années nous assistons à des discours sur ce qui est présenté comme « un nouvel antisémitisme ». Celui-ci serait le fait des populations musulmanes – ou assimilées – et aurait des spécificités liées à l’islam.

Cependant, des enquêtes scientifiques montrent que ce sont toujours en partie les mêmes mythes issus de l’Europe chrétienne qui sont mobilisés dans les discours antisémites.

Les stéréotypes principaux sont ceux qui renvoient à l’argent et au pouvoir notamment. Par ailleurs, le rejet des Juifs va souvent de pair avec des visions négatives d’autres minorités.

Ainsi l’expression « nouvel antisémitisme », ne semble pas appropriée puisque ce sont les mêmes préjugés qui reviennent. Même si des évolutions sont perceptibles, il est nécessaire encore une fois de penser les préjugés dans une histoire longue.

La question du silence de certains vis-à-vis des événements n’a pas manqué de soulever aussi celle de l’antisémitisme à gauche. Le sujet ne cesse d’être discuté depuis le 7 octobre, même si ce débat est présent depuis de nombreuses années. Les différentes personnalités politiques de gauche accusées se défendent de tous préjugés à l’encontre des Juifs. Un argument souvent mobilisé est de renvoyer à la tradition antisémite de l’extrême droite. S’il est vrai que les électeurs du Rassemblement national ont des préjugés antisémites particulièrement élévés, ceux des électeurs de La France Insoumise sont également supérieurs à la moyenne, rapporte Nonna Mayer dans Le Monde. Ce sont par ailleurs notamment les mythes séculaires du rapport des Juifs à l’argent et au pouvoir qui persistent, y compris à l’extrême gauche…

Société: Un nouvel antisémitisme ?

Société: Un nouvel antisémitisme ?

Depuis les attaques du Hamas sur des civils israéliens le 7 octobre et les représailles massives d’Israël à Gaza, des événements graves et une hausse de l’antisémitisme en France ont conduit à des prises de position politique ou médiatique, tandis que de nombreux débats émaillent les discussions pour savoir ce qui est antisémite ou non. Parmi les artistes engagés sur ce sujet, l’illustrateur Joann Sfar a publié une série de posts Instagram afin d’exprimer son ressenti. La chercheuse Solveig Hennebert s’est appuyée sur certains de ses dessins afin d’expliciter un certain nombre d’éléments constitutifs de l’antisémitisme. Si certains faits ont surgi en lien avec le contexte, ils doivent aussi être analysés dans l’histoire longue de l’antisémitisme, sans prétention à l’exhaustivité.

Par Solveig Hennebert
Doctorante, Université Lumière Lyon 2 dans The Conversation

Les dernières semaines ont vu une hausse des actes antisémites en France : 1 518 ont été recensés entre le 7 octobre et le 15 novembre. Depuis le début des années 2000, les chiffres oscillent entre 400 et 1 000 par an habituellement, mais il est courant d’observer des pics de propos ou violence antisémites selon les actualités nationales ou internationales. Face à ces actes antisémites, les personnes juives ou – assimilées – ont souvent exprimé un sentiment d’abandon lors de cérémonies commémoratives ou encore dans les entretiens que j’ai réalisés au cours de mon enquête de terrain de thèse.

J’utilise à dessein la formulation « personnes juives ou assimilées » que j’ai forgée dans le cadre de mes recherches. Cela permet d’inclure les personnes qui se définissent comme juives par religion, par culture, par rapport à leur histoire familiale ; tout autant que celles qui ne se considèrent pas comme juives, mais subissent l’antisémitisme malgré tout, du fait de représentations discriminantes liées au nom de famille, à l’apparence physique, etc.

L’antisémitisme renvoie à la haine contre les personnes juives envisagées comme appartenant à une « race ». Cette conceptualisation remonte entre autres au XVe siècle avec les premiers statuts de pureté de sang dans la péninsule ibérique. Avant (sans que cela ait totalement disparu), les persécutions étaient plutôt liées à de la l’antijudaïsme, c’est-à-dire que les personnes étaient visées en tant que membres d’une religion et non d’une supposée race.

Le recensement des crimes et délits est source de nombreuses interrogations méthodologiques, mais les chiffres restent malgré tout des indicateurs à prendre en compte. Les données sont collectées de la même manière à toutes les périodes, et indiquent donc quoi qu’il en soit une hausse drastique.

Des événements nationaux ou internationaux sont parfois identifiés comme le déclencheur d’une « nouvelle » vague d’attaques antisémites, et souvent associés au conflit israélo-palestinien. Cependant, des recherches scientifiques ont montré que les perceptions antisémites sont également en hausse lors d’événements centrés sur la France, comme ce fut le cas en 1999, au moment des débats sur l’indemnisation des spoliations subies par les Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale.

Il convient de garder en tête que si analytiquement le contexte peut avoir du sens, il faut prendre en compte ce qu’il y a de structurel dans l’antisémitisme tel qu’il s’exprime en France.

La présence du Rassemblement national et plus largement de l’extrême droite au rassemblement contre l’antisémitisme du 12 novembre a causé de nombreux débats, certains allant même jusqu’à parler de « recomposition du champ politique ». À l’inverse, des organisations se sont mobilisées pour rappeler les liens du RN avec les idéologies antisémites.

L’antisémitisme tel qu’il s’est exprimé ces dernières semaines s’inscrit dans une histoire longue avec des références au nazisme, un ancrage à l’extrême droite, et repose sur des mythes et des préjugés séculaires. En effet, de nombreux préjugés antisémites sont hérités de la l’antijudaïsme chrétien :

« les Juifs ont de l’argent »

« les Juifs contrôlent le monde »

« les Juifs contrôlent les médias »

« les Juifs sont des tueurs d’enfants »…

L’ensemble de ces mythes qui sont formulés ainsi ou réappropriés selon des tournures différentes sont à comprendre dans une généalogie historique.

Un nouvel antisémitisme ?

Ces dernières années nous assistons à des discours sur ce qui est présenté comme « un nouvel antisémitisme ». Celui-ci serait le fait des populations musulmanes – ou assimilées – et aurait des spécificités liées à l’islam.

Cependant, des enquêtes scientifiques montrent que ce sont toujours en partie les mêmes mythes issus de l’Europe chrétienne qui sont mobilisés dans les discours antisémites.

Les stéréotypes principaux sont ceux qui renvoient à l’argent et au pouvoir notamment. Par ailleurs, le rejet des Juifs va souvent de pair avec des visions négatives d’autres minorités.

Ainsi l’expression « nouvel antisémitisme », ne semble pas appropriée puisque ce sont les mêmes préjugés qui reviennent. Même si des évolutions sont perceptibles, il est nécessaire encore une fois de penser les préjugés dans une histoire longue.

La question du silence de certains vis-à-vis des événements n’a pas manqué de soulever aussi celle de l’antisémitisme à gauche. Le sujet ne cesse d’être discuté depuis le 7 octobre, même si ce débat est présent depuis de nombreuses années. Les différentes personnalités politiques de gauche accusées se défendent de tous préjugés à l’encontre des Juifs. Un argument souvent mobilisé est de renvoyer à la tradition antisémite de l’extrême droite. S’il est vrai que les électeurs du Rassemblement national ont des préjugés antisémites particulièrement élévés, ceux des électeurs de La France Insoumise sont également supérieurs à la moyenne, rapporte Nonna Mayer dans Le Monde. Ce sont par ailleurs notamment les mythes séculaires du rapport des Juifs à l’argent et au pouvoir qui persistent, y compris à l’extrême gauche…

Un nouvel antisémitisme ?

Un nouvel antisémitisme ?

Depuis les attaques du Hamas sur des civils israéliens le 7 octobre et les représailles massives d’Israël à Gaza, des événements graves et une hausse de l’antisémitisme en France ont conduit à des prises de position politique ou médiatique, tandis que de nombreux débats émaillent les discussions pour savoir ce qui est antisémite ou non. Parmi les artistes engagés sur ce sujet, l’illustrateur Joann Sfar a publié une série de posts Instagram afin d’exprimer son ressenti. La chercheuse Solveig Hennebert s’est appuyée sur certains de ses dessins afin d’expliciter un certain nombre d’éléments constitutifs de l’antisémitisme. Si certains faits ont surgi en lien avec le contexte, ils doivent aussi être analysés dans l’histoire longue de l’antisémitisme, sans prétention à l’exhaustivité.

Par Solveig Hennebert
Doctorante, Université Lumière Lyon 2 dans The Conversation

Les dernières semaines ont vu une hausse des actes antisémites en France : 1 518 ont été recensés entre le 7 octobre et le 15 novembre. Depuis le début des années 2000, les chiffres oscillent entre 400 et 1 000 par an habituellement, mais il est courant d’observer des pics de propos ou violence antisémites selon les actualités nationales ou internationales. Face à ces actes antisémites, les personnes juives ou – assimilées – ont souvent exprimé un sentiment d’abandon lors de cérémonies commémoratives ou encore dans les entretiens que j’ai réalisés au cours de mon enquête de terrain de thèse.

J’utilise à dessein la formulation « personnes juives ou assimilées » que j’ai forgée dans le cadre de mes recherches. Cela permet d’inclure les personnes qui se définissent comme juives par religion, par culture, par rapport à leur histoire familiale ; tout autant que celles qui ne se considèrent pas comme juives, mais subissent l’antisémitisme malgré tout, du fait de représentations discriminantes liées au nom de famille, à l’apparence physique, etc.

L’antisémitisme renvoie à la haine contre les personnes juives envisagées comme appartenant à une « race ». Cette conceptualisation remonte entre autres au XVe siècle avec les premiers statuts de pureté de sang dans la péninsule ibérique. Avant (sans que cela ait totalement disparu), les persécutions étaient plutôt liées à de la l’antijudaïsme, c’est-à-dire que les personnes étaient visées en tant que membres d’une religion et non d’une supposée race.

Le recensement des crimes et délits est source de nombreuses interrogations méthodologiques, mais les chiffres restent malgré tout des indicateurs à prendre en compte. Les données sont collectées de la même manière à toutes les périodes, et indiquent donc quoi qu’il en soit une hausse drastique.

Des événements nationaux ou internationaux sont parfois identifiés comme le déclencheur d’une « nouvelle » vague d’attaques antisémites, et souvent associés au conflit israélo-palestinien. Cependant, des recherches scientifiques ont montré que les perceptions antisémites sont également en hausse lors d’événements centrés sur la France, comme ce fut le cas en 1999, au moment des débats sur l’indemnisation des spoliations subies par les Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale.

Il convient de garder en tête que si analytiquement le contexte peut avoir du sens, il faut prendre en compte ce qu’il y a de structurel dans l’antisémitisme tel qu’il s’exprime en France.

La présence du Rassemblement national et plus largement de l’extrême droite au rassemblement contre l’antisémitisme du 12 novembre a causé de nombreux débats, certains allant même jusqu’à parler de « recomposition du champ politique ». À l’inverse, des organisations se sont mobilisées pour rappeler les liens du RN avec les idéologies antisémites.

L’antisémitisme tel qu’il s’est exprimé ces dernières semaines s’inscrit dans une histoire longue avec des références au nazisme, un ancrage à l’extrême droite, et repose sur des mythes et des préjugés séculaires. En effet, de nombreux préjugés antisémites sont hérités de la l’antijudaïsme chrétien :

« les Juifs ont de l’argent »

« les Juifs contrôlent le monde »

« les Juifs contrôlent les médias »

« les Juifs sont des tueurs d’enfants »…

L’ensemble de ces mythes qui sont formulés ainsi ou réappropriés selon des tournures différentes sont à comprendre dans une généalogie historique.

Un nouvel antisémitisme ?

Ces dernières années nous assistons à des discours sur ce qui est présenté comme « un nouvel antisémitisme ». Celui-ci serait le fait des populations musulmanes – ou assimilées – et aurait des spécificités liées à l’islam.

Cependant, des enquêtes scientifiques montrent que ce sont toujours en partie les mêmes mythes issus de l’Europe chrétienne qui sont mobilisés dans les discours antisémites.

Les stéréotypes principaux sont ceux qui renvoient à l’argent et au pouvoir notamment. Par ailleurs, le rejet des Juifs va souvent de pair avec des visions négatives d’autres minorités.

Ainsi l’expression « nouvel antisémitisme », ne semble pas appropriée puisque ce sont les mêmes préjugés qui reviennent. Même si des évolutions sont perceptibles, il est nécessaire encore une fois de penser les préjugés dans une histoire longue.

La question du silence de certains vis-à-vis des événements n’a pas manqué de soulever aussi celle de l’antisémitisme à gauche. Le sujet ne cesse d’être discuté depuis le 7 octobre, même si ce débat est présent depuis de nombreuses années. Les différentes personnalités politiques de gauche accusées se défendent de tous préjugés à l’encontre des Juifs. Un argument souvent mobilisé est de renvoyer à la tradition antisémite de l’extrême droite. S’il est vrai que les électeurs du Rassemblement national ont des préjugés antisémites particulièrement élévés, ceux des électeurs de La France Insoumise sont également supérieurs à la moyenne, rapporte Nonna Mayer dans Le Monde. Ce sont par ailleurs notamment les mythes séculaires du rapport des Juifs à l’argent et au pouvoir qui persistent, y compris à l’extrême gauche…

SpaceX explose, nouvel ennui pour Elon Musk

SpaceX explose, nouvel ennui pour Elon Musk


L’explosion de la fusée du groupe possédé par Hélène masque constitue un ennui qui vient s’ajouter aux autres. Cette explosion remet sans doute en cause la perspective d’utiliser cette fusée par la NASA leur des retours de mission sur la Lune.La fusée géante de 120 mètres de haut s’est arrachée du sol ce samedi dans l’extrême sud du Texas, aux Etats-Unis. Après avoir réussi leur séparation, les deux étages de l’engin ont explosé. Or, ce deuxième vol d’essai de Starship était très scruté par la Nasa, qui compte sur ce vaisseau pour ses missions de retour sur la Lune, dans le cadre de sa mission Artemis 3 programmée en 2025.

Le patron du réseau tweet, appelé aujourd’hui X, par ailleurs est accusé par la présidence américaine de servir la cause antisémite afin de gonfler les consultations et les recettes d’une plate-forme en recul.

Enfin le milliardaire anarchiste proche de Trump n’a pas réussi encore à convaincre concernant les résultats financiers deL’explosion de la fusée du groupe possédé par Hélène masque constitue un ennui qui vient s’ajouter aux autres. Cette explosion remet sans doute en cause la perspective d’utiliser cette fusée par la NASA leur des retours de mission sur la Lune. Son activité de construction de voitures électriques en Chine (bien entendu) .

Pour l’entreprise, l’explosion de prototypes est moins problématique en matière d’image qu’elle le serait pour la Nasa et ses fonds publics, selon les experts. Enchaîner les tests selon un processus d’itération rapide lui permet ainsi d’accélérer le développement de ses engins.

Le développement de Starship, la fusée qui a explosé, ne semble malgré tout pas assez fiable pour coller aux plans de l’agence spatiale américaine, qui a passé contrat avec SpaceX. Une version modifiée de l’engin doit servir d’alunisseur afin de déposer, pour la première fois depuis 1972, des astronautes sur la surface lunaire. Cette mission, nommée Artémis 3, est officiellement prévue en 2025. Une date qui semble de fait de plus en plus irréaliste.

Au-delà de ce nouvel imprévu pour la reconquête de la Lune, des associations s’inquiètent de l’impact environnemental de cette initiative. Plusieurs d’entre elles poursuivent ainsi la FAA en justice, accusée d’avoir mal évalué l’impact environnemental de la nouvelle fusée. « Nous craignons que ce deuxième lancement crée une fois de plus des dommages environnementaux importants », a déclaré à l’AFP Jared Margolis, avocat pour l’ONG Center for Biological Diversity.

Foot- Et encore un nouvel entraîneur pour l’OM

Foot- Et encore un nouvel entraîneur pour l’OM

Comme le PSG, l’OM fait une grande consommation d’entraîneurs. Chaque année ou presque les résultats n’étant pas à la hauteur des ambitions, on fait porter le chapeau sur l’entraîneur. Et pour satisfaire les supporters on procède au remplacement. Ainsi on aura vu défiler par exemple au PSG les plus grands entraîneurs de la planète sans que cela change grand-chose au résultat.
Il en est également de même à l’OM où les résultats sont loin d’être à la hauteur du standing du club.

Les entraîneurs portent évidemment une responsabilité car ce sont eux qui désignent les titulaires, définissent la tactique et manage le groupe. Par contre, ce sont rarement eux qui décident du recrutement qui lui obéit le plus souvent à des motifs financiers et où a des motifs sportifs douteux.

Il y a quelque chose qui ne tourne pas rond dans le football français capable de faire émerger les meilleurs joueurs du monde mais incapable d’accéder au rang de clubs majeurs en Europe.

Quand ils jouent à l’étranger, les Français concernés, autour de 1500 joueurs, se montrent très performants. Par contre, dans les clubs français, ils donnent assez souvent l’impression d’être endormis. Il manque sans doute en France cette culture club et cette rigueur chères aux clubs britanniques, espagnols, italiens ou encore allemands.

L’Olympique de Marseille a donc encore changé d’entraîneur et officialisé la nomination de Gennaro Gattuso au poste d’entraîneur. Le champion du monde italien devient le quatrième coach choisi par Pablo Longoria depuis que ce dernier exerce la présidence du club phocéen.

L’ADN circulant : nouvel outil pour le diagnostic des cancers

L’ADN circulant : nouvel outil pour le diagnostic des cancers

L’ADN est, normalement, confortablement niché dans un noyau au cœur de nos cellules. Par contre, quand celles-ci viennent à mourir, toute cette organisation se désagrège peu à peu. Notre matériel génétique n’échappe pas à cette débandade cellulaire. Alors que le noyau se dégrade, l’ADN se fragmente et ses morceaux se retrouvent libres. L’ADN peut ainsi se retrouver dans la circulation sanguine : ces fragments constituent ce qu’on appelle l’« ADN circulant », ou ADNc. Longtemps ignoré ou sous-estimé, il est désormais de plus en plus scruté par les spécialistes qui lui découvrent de nombreux intérêts. Une simple prise de sang (« biopsie liquide ») suffit en effet aux médecins pour le recueillir et l’étudier – un millilitre de plasma permet de le récolter par milliers voire par millions !

par Audrey Rousseau
Professeur en Anatomie Pathologique – Médecin enseignant-chercheur au CHU d’Angers, Université d’Angers

dans The Conversation

Et après ? Chez les sujets sains, l’ADNc est surtout relargué par les cellules du sang (les globules blancs, par exemple) qui arrivent en fin de vie. Par contre, chez les sujets atteints de cancer, il va en partie être d’origine tumorale. Or, comme la molécule d’ADN entière, il code des informations génétiques : certes très parcellaires, mais néanmoins précieuses pour le diagnostic.

Depuis le développement de techniques particulièrement sensibles pour le détecter, l’ADNc est devenu un allié précieux des chercheurs et des oncologues !

Infographie schématisant la récupération d’ADNc : prise de sang, composition du sang et présence d’ADN cancéreux
Une simple prise de sang peut permettre de détecter de l’ADN circulant provenant de cellules cancéreuses. Meletios Verras/Shutterstock
Un marqueur du cancer facile à détecter
Le plus souvent, un diagnostic de cancer est posé suite à l’apparition de symptômes ou à la découverte d’une masse au scanner. Une biopsie (ou exérèse) de la tumeur n’est pas toujours possible, et c’est là que ce type d’analyse entre en scène.

Les biologistes peuvent séquencer le texte génétique (lire les lettres) porté par ce fragment d’ADN : cela leur permet de repérer les mutations présentes et, parfois, d’identifier le cancer dont il est issu. Ils peuvent ainsi caractériser plus précisément la tumeur et déterminer le pronostic de la maladie.

Parfois également, le cancer associé à cet ADNc n’est pas connu (chez un patient jusqu’alors en bonne santé) ou est bien caché (cancer dit « occulte ») : cette caractérisation peut aider les médecins à trouver la tumeur d’origine.

Ces informations sont aussi utiles pour choisir les traitements les plus adaptés. Chaque type de cancer présente en effet des vulnérabilités spécifiques, qui le rendent sensible à certains médicaments plutôt qu’à d’autres.
Mais ce n’est pas tout. Chez les patients ayant un antécédent de cancer ou particulièrement à risque d’en développer un, l’analyse de l’ADNc peut aider à dépister la maladie avant l’apparition de symptômes.

De plus, son étude au cours du suivi d’un cancer chez un patient déjà diagnostiqué est utile à plusieurs niveaux. Avec une simple prise de sang, rapide et aisée à réaliser lors d’une consultation, l’oncologue peut :

Évaluer l’efficacité des traitements : la quantité d’ADNc associé à la tumeur diminue dans le sang quand celle-ci régresse ; si son taux reste stable, c’est que le traitement ne marche pas. S’il devient indétectable, c’est que le patient est en rémission.

Assurer un suivi plus simple des patients, sans avoir à répéter les scanners (qui délivrent des rayons X toxiques sur le long cours) et les biopsies de la tumeur ou de ses métastases. Les biopsies tissulaires sont invasives et présentent un risque d’hémorragie, d’infection… notamment en cas de tumeur des organes profonds. L’oncologue peut suivre l’évolution de la maladie de façon plus régulière tout en étant moins invasif. Point important, surtout chez l’enfant.

Guetter une éventuelle rechute. La réapparition de l’ADNc est synonyme de récidive, qu’il est ainsi possible de diagnostiquer précocement, avant même l’apparition d’une tumeur détectable cliniquement ou par imagerie – le scanner n’est pas très performant pour détecter des micrométastases (< 3 mm).

Détecter toutes les anomalies génétiques de la tumeur. Contrairement à l’ADN obtenu via une biopsie, qui ne va concerner qu’un petit fragment de la tumeur, ici c’est l’ADN issu de toutes les cellules cancéreuses, où qu’elles soient, qui peut être analysé. L’ADNc porte de ce fait les anomalies génétiques du cancer et de toutes ses métastases.

Suivre l’évolution des mutations. Ce point est particulièrement crucial car, sous la pression des traitements (chimiothérapie, radiothérapie), qui créent un environnement toxique pour la tumeur, les anomalies présentes dans l’ADN des cellules cancéreuses évoluent : de nouvelles mutations apparaissent qui leur permettent parfois d’acquérir de nouvelles capacités et de résister. Identifier ces mutations de résistance est nécessaire pour adapter les chimiothérapies.

Mieux comprendre la maladie sur le plan génétique. Ce qui est important pour faire avancer la recherche et contribuer au développement de traitements innovants, plus efficaces.

Les scientifiques analysent aussi – grâce à des techniques qui sont encore du domaine de la recherche – des modifications à la surface de l’ADNc qui servent à réguler l’expression des gènes présents, dont certains sont des accélérateurs de la croissance tumorale.

L’ADNc peut également être recueilli dans des liquides autres que le plasma, tels que les urines où il est efficace pour le diagnostic de cancers de la vessie, du rein ou de la prostate mais aussi de cancers non urologiques. Et le recueil des urines est encore plus aisé que celui du plasma !

Chez les patients présentant une tumeur du cerveau, il peut être détecté dans le liquide céphalo-rachidien – liquide baignant le cerveau et la moelle épinière. Il y est présent en plus grandes quantités que dans le sang, mais le prélèvement y est complexe et nécessite une ponction dans le dos (entre deux vertèbres).

Enfin, ces précieuses molécules ne sont pas utiles uniquement dans les cancers. Elles ont également prouvé leur efficacité dans le dépistage de la trisomie 21 au cours de la grossesse. L’ADNc du fœtus peut être recueilli dans le sang maternel, sans besoin donc de pratiquer une amniocentèse – cette ponction de liquide amniotique qui est à la fois invasive pour le fœtus et redoutée par les futures mamans…

Des usages, donc, en plein développement et qui vont encore se multiplier ! Au grand intérêt des chercheurs, et au bénéfice des patients.

Niger: Nouvel échec de la France

Niger: Nouvel échec de la France


Après le Mali et le Burkina Faso, le putsch nigérien invite à s’interroger sur le succès des coopérations militaires françaises, qui, concrètement, reviennent à former des putschistes, estime, dans une tribune au « Monde », le politiste Marc-Antoine Pérouse de Montclos.

Le 9 mars 2017, Jean-Yves Le Drian, alors ministre de la défense, vantait les mérites de l’opération « Barkhane » et de ses partenaires africains pour lutter contre les groupes terroristes au Sahel. « La France, déclarait-il dans Paris Match, a formé plus de 20 000 soldats et chaque jour, nos coups communs affaiblissent l’ennemi (…) Ces opérations menées par l’armée française avec les armées nationales montrent d’excellents résultats. »

Six ans plus tard, le coup de force au Niger pose cependant question. Dernier en date d’une longue série qui a démarré en 2020 au Mali et qui s’est poursuivie en Guinée puis au Burkina Faso, il invite plutôt à s’interroger sur les prétendus succès de coopérations militaires qui, concrètement, reviennent à former des putschistes alors que les insurgés continuent de gagner du terrain.

La France, il est vrai, n’est pas seule en cause. Outre l’Union européenne, les Etats-Unis ont par exemple fourni des formations aux militaires qui ont pris le pouvoir au Mali (Amadou Haya Sanogo en 2012 et Assimi Goïta en 2021), en Guinée (Mamadi Doumbouya en 2021) et au Burkina Faso (Paul-Henri Damiba et Ibrahim Traoré en 2022). A Bamako, Assimi Goïta et Lassine Togola, commandant par intérim du bataillon autonome des forces spéciales, récemment sanctionné par Washington, avaient ainsi participé en 2019 et 2020 à l’exercice « Flintlock » que les Américains organisent chaque année pour renforcer les capacités opérationnelles et antiterroristes de leurs alliés en Afrique.

Côté français, le renversement du président nigérien Mohamed Bazoum, élu en 2021, a cependant des conséquences plus profondes. En effet, il ne met pas seulement en évidence l’ineptie de coopérations militaires que les parlementaires, à quelques exceptions près, n’ont jamais eu le courage de confronter sérieusement, de crainte d’être aussitôt accusés de gauchisme ou de laxisme à l’égard de la menace terroriste. A plus long terme, le coup de force au Niger démontre aussi les limites stratégiques d’une puissance moyenne qui n’en a pas fini de purger son passé colonial.

Politique et Mbappé : Macron, Nouvel entraîneur du PSG ?

Politique et Mbappé : Macron, Nouvel entraîneur du PSG ?


En France on va bientôt pouvoir faire des économie significative de toutes les institutions inutiles puisque le président de la république rend inutile toute intermédiation entre les citoyens et le pouvoir. En politique on sait que Macon joue tous les rôles, celui de président mais aussi celui de Premier ministre, de ministre et même de directeurs d’administration. Il rend aussi obsolète l’Assemblée nationale auquel il retire le droit de voter. N’en parlons pas des institutions représentatives qu’il piétine au motif qu’elles sont utilement remplacées par des » Conseils de Refondation bidon ».

Macon s’intéresse aussi bien sur à l’économie et au domaine social et pour cela chaque jour il distribue un chèque à telle ou telle catégorie.

Plus surprenant Macron vient de s’investir dans le sport et annonce qu’il va tout faire pour faire rester Mbappé au PSG. Certains objecteront que ce n’est pas le rôle d’un président de la république mais c’est faire l’impasse sur la posture exceptionnelle de ce président au four et au moulin qui considère tous ses collaborateurs première ministre comprise comme des incompétents.

Du coup les rumeurs vont bon train sur l’entraîneur du PSG et son éventuel remplacement par le président de la république.

Il est vrai que Macon est en délicatesse avec les sondages de popularité qui le maintienne entre 25 et 30 pour cent de partisans. Tandis que 70 % rejettent sa politique tout autant que sa personnalité.

Macron s’occupe donc de tout ce qui préoccupe les Français histoire de récupérer un peu de crédit auprès de l’opinion. On pourra bientôt envisager que la météo soit présentée désormais par le président de la république. C’est en effet une question centrale à la veille des congés annuels.

Avec les mouvements erratiques de la température et les inquiétudes concernant la sécheresse. Macron aurait sans doute beaucoup à dire et peut-être même à faire. Par exemple en dégageant une enveloppe exceptionnelle pour permettre aux Français d’acheter un éventail. Macron a donc aussi à l’hypothèse d’un départ de Kylian Mbappé du Paris Saint-Germain. Le président de la République a confirmé qu’il allait tenter de convaincre l’attaquant de rester en France.

« [Vous savez s'il reste Kylian?] Je n’ai pas de scoop mais je vais essayer de pousser pour », a répondu le président de la République à son interlocuteur. Bien sûr, Emmanuel Macron n’a pris aucun engagement ni dévoilé sa méthode mais sa réponse confirme l’importance du cas Mbappé pour le foot et le sport français.

Politique et sport : Macron, Nouvel entraîneur du PSG ?

Politique et sport : Macron, Nouvel entraîneur du PSG ?


En France on va bientôt pouvoir faire des économie significative de toutes les institutions inutiles puisque le président de la république rend inutile toute intermédiation entre les citoyens et le pouvoir. En politique on sait que Macon joue tous les rôles, celui de président mais aussi celui de Premier ministre, de ministre et même de directeurs d’administration. Il rend aussi obsolète l’Assemblée nationale auquel il retire le droit de voter. N’en parlons pas des institutions représentatives qu’il piétine au motif qu’elles sont utilement remplacées par des » Conseils de Refondation bidon ».

Macon s’intéresse aussi bien sur à l’économie et au domaine social et pour cela chaque jour il distribue un chèque à telle ou telle catégorie.

Plus surprenant Macon vient de s’investir dans le sport et annonce qu’il va tout faire pour faire rester Mbappé au PSG. Certains objecteront que ce n’est pas le rôle d’un président de la république mais c’est faire l’impasse sur la posture exceptionnelle de ce président au four et au moulin qui considère tous ses collaborateurs première ministre comprise comme des incompétents.

Du coup les rumeurs vont bon train sur l’entraîneur du PSG et son éventuel remplacement par le président de la république.

Il est vrai que Macon est en délicatesse avec les sondages de popularité qui le maintienne entre 25 et 30 pour cent de partisans. Tandis que 70 % rejettent sa politique tout autant que sa personnalité.

Macron s’occupe donc de tout ce qui préoccupe les Français histoire de récupérer un peu de crédit auprès de l’opinion. On pourra bientôt envisager que la météo soit présentée désormais par le président de la république. C’est en effet une question centrale à la veille des congés annuels.

Avec les mouvements erratiques de la température et les inquiétudes concernant la sécheresse. Macron aurait sans doute beaucoup à dire et peut-être même à faire. Par exemple en dégageant une enveloppe exceptionnelle pour permettre aux Français d’acheter un éventail. Macron a donc aussi à l’hypothèse d’un départ de Kylian Mbappé du Paris Saint-Germain. Le président de la République a confirmé qu’il allait tenter de convaincre l’attaquant de rester en France.

« [Vous savez s'il reste Kylian?] Je n’ai pas de scoop mais je vais essayer de pousser pour », a répondu le président de la République à son interlocuteur. Bien sûr, Emmanuel Macron n’a pris aucun engagement ni dévoilé sa méthode mais sa réponse confirme l’importance du cas Mbappé pour le foot et le sport français.

Foot-Macron, Nouvel entraîneur du PSG ?

Foot-Macron, Nouvel entraîneur du PSG ?


En France on va bientôt pouvoir faire des économie significative de toutes les institutions inutiles puisque le président de la république rend inutile toute intermédiation entre les citoyens et le pouvoir. En politique on sait que Macon joue tous les rôles, celui de président mais aussi celui de Premier ministre, de ministre et même de directeurs d’administration. Il rend aussi obsolète l’Assemblée nationale auquel il retire le droit de voter. N’en parlons pas des institutions représentatives qu’il piétine au motif qu’elles sont utilement remplacées par des conseils de Refondation bidon.

Macon s’intéresse aussi bien sur à l’économie et au domaine social et pour cela chaque jour il distribue un chèque à telle ou telle catégorie.

Plus surprenant Macon vient de s’investir dans le sport et annonce qu’il va tout faire pour faire rester Mbappé au PSG. Certains objecteront que ce n’est pas le rôle d’un président de la république mais c’est faire l’impasse sur la posture exceptionnelle de ce président au four et au moulin qui considère tous ses collaborateurs première ministre comprise comme des incompétents.

Du coup les rumeurs vont bon train sur l’entraîneur du PSG et son éventuel remplacement par le président de la république.

Il est vrai que Macon est en délicatesse avec les sondages de popularité qui le maintienne entre 25 et 30 pour cent de partisans. Tandis que 70 % rejettent sa politique tout autant que sa personnalité.

Macon s’occupe donc de tout ce qui préoccupe les Français histoire de récupérer un peu de crédit auprès de l’opinion. On pourra bientôt envisager que la météo soit présentée désormais par le président de la république. C’est en effet une question centrale à la veille des congés annuels.

Avec les mouvements erratiques de la température et les inquiétudes concernant la sécheresse. Macron aurait sans doute beaucoup à dire et peut-être même à faire. Par exemple en dégageant une enveloppe exceptionnelle pour permettre aux Français d’acheter un éventail. Macron a donc aussi à l’hypothèse d’un départ de Kylian Mbappé du Paris Saint-Germain. Le président de la République a confirmé qu’il allait tenter de convaincre l’attaquant de rester en France.

« [Vous savez s'il reste Kylian?] Je n’ai pas de scoop mais je vais essayer de pousser pour », a répondu le président de la République à son interlocuteur. Bien sûr, Emmanuel Macron n’a pris aucun engagement ni dévoilé sa méthode mais sa réponse confirme l’importance du cas Mbappé pour le foot et le sport français.

Un nouvel accès direct aux kinés

Un nouvel accès direct aux kinés


Les Français pourront, sous certaines conditions, consulter des kinésithérapeutes sans passer par leurs médecins traitants.

Les parlementaires ont définitivement adopté, mercredi, une proposition de loi pour accéder directement à certaines infirmières, kinésithérapeutes et orthophonistes. Ce texte, porté par la députée Renaissance Stéphanie Rist, a pour objectif de désembouteiller les cabinets des généralistes et lutter contre les déserts médicaux. Il doit notamment permettre aux Français, sous certaines conditions, de consulter des kinésithérapeutes sans passer par leurs médecins traitants.

Face à la protestation des médecins, l’ambition initiale de la proposition de loi a été en partie réduite. Ainsi, l’accès direct aux kinésithérapeutes sera limité à ceux exerçant dans des structures comme les maisons de santé pluriprofessionnelles, en coordination avec des médecins. Les soignants simplement inscrits dans le cadre plus souple des Communautés professionnelles territoriales de santé (CPTS) en seront exclus. « Il faut aller plus loin si nous voulons vraiment déverrouiller le système », commente auprès du JDD, Pascale Mathieu, présidente du conseil national de l’ordre des kinésithérapeutes.

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Manifestation CGT : un nouvel échec après celui de Mélenchon

Manifestation CGT : un nouvel échec après celui de Mélenchon

C’est à peine s’il est rendu compte de la journée de grève interprofessionnelle de la CGT dans les médias tellement la participation a été médiocre. Pas étonnant cette manifestation a été organisé dans la précipitation par la CGT sans concertation avec les autres syndicats. Du coup s’est surtout retrouvé les organisations ultra gauche globalement assez marginales.L’objectif de cette manifestation visait à souligner la nécessité d’augmentation du pouvoir d’achat. Un objectif largement partagé dans l’opinion compte tenu de la dérive de l’inflation. Il s’agissait aussi de soutenir la grève CGT dans le secteur du carburant. Or le moins qu’on puisse dire c’est que les Français sont très partagés sur cette grève très minoritaire dans les raffineries et les dépôts d’essence.

Selon un nouveau sondage « Opinion en direct » réalisé par l’institut Elabe pour BFMTV et diffusé ce mardi. 49% des Français désapprouvent ce mouvement contre 39% qui le soutiennent.

Concernant la grève dans les raffineries, 48% des Français se déclarent hostiles ou en opposition au mouvement des salariés de Total, une hausse de 8% en près d’une semaine. Cela s’explique en partie par l’accord trouvé entre la CFDT et la direction du groupe pétrolier.

71% des personnes interrogées estiment que « les salariés ont déjà obtenu une augmentation suffisante de la part de la direction de Total, [et qu'ils] devraient arrêter la mobilisation », contre 28%. Résultat, une nette majorité des Français est favorable à la réquisition des salariés en grève pour rétablir l’approvisionnement des stations essence (60%, +9%).

Les Français n’ont pas mieux apprécié la marche de Mélenchon contre la vie chère. Une action considérée comme entretenant la confusion entre la responsabilité politique et la responsabilité syndicale. En effet Mélenchon parlait clairement de la convergence des luttes sociales voir même du prélude à une situation révolutionnaire. Or la préoccupation des salariés est toute autre, elle concerne de manière prioritaire le pouvoir d’achat.

Quant à la manifestation d’hier la CGT a encore voulu se faire plus grosse que le bœuf. Et cette grève compte tenu de son échec constitue davantage une grève éteignoire qu’une plate-forme de lancement de grève générale.

Bref un nouveau fiasco des stratégies ultra gauche. Et n’en parlons pas des grèves reconductibles envisagées par Sud à la SNCF. Une entreprise déjà minée par une situation conflictuelle récurrente et une situation financière dramatique.

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