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Nouveaux réacteurs nucléaires possibles (Macron)

Nouveaux réacteurs nucléaires possibles (Macron)

Hulot aura une occasion supplémentaire de manger son chapeau et son mix énergétique après la déclaration de Macron concernant le développement de nouveaux réacteurs.  – Emmanuel Macron n‘a pas exclu mardi la construction de nouveaux réacteurs nucléaires en France, estimant qu‘il n‘y avait pas de tabou sur cette question. En position délicate, le ministre de l’environnement n’aura sans doute pas l’occasion de réagir. Cela confirme à  l’évidence le caractère illusoire du fameux mix énergétique mis au point par le précédent gouvernement notamment Ségolène Royal. Non seulement on va conserver la quasi-totalité du parc nucléaire, Fessenheim excepté et encore,  mais on va accroître sa capacité avec l’EPR de Flamanville et de nouveaux réacteurs. Si Macron considère que la mise en place de nouveaux réacteurs est possible c’est évidemment pour préparer l’opinion à cette éventualité assez probable bien entendu dans le même temps, on va continuer de développer les énergies renouvelables mais ce développement sera bien insuffisant pour compenser la réduction de 25 % de la part du nucléaire (50 % de production au lieu de 75 actuellement). En outre si certaines énergies renouvelables présentent  un réel intérêt énergétique et économique d’autres se révèlent à la fois ruineuses et inefficaces comme les éoliennes terrestres par exemple. Enfin cela confirme que l’objectif de la France pour les émissions polluantes notamment de carbone repose essentiellement sur le maintien voir la croissance du nucléaire. Une énergie qui est pas spécialement propres mais dont on ne peut se passer encore qu’en 2040 2050. “J‘attends d‘abord les délais finalisés pour (l‘EPR de) Flamanville et aussi d‘avoir les analyses de l‘autorité de sûreté nucléaire, c‘est dans ce contexte-là (…) qu‘il conviendra de mettre en œuvre une stratégie pour le groupe EDF”, a dit le chef de l‘Etat lors d‘une rencontre avec des journalistes à Paris. Dans cette stratégie, “aucune option ne doit être aujourd‘hui a priori exclue”, a-t-il dit. “Il n‘y a pas de tabou sur le sujet et donc je n‘exclus pas l‘option (d‘ouverture de nouveaux réacteurs) mais je ne suis pas en situation – compte tenu en particulier de ce que l‘Autorité de sûreté nucléaire (ASN) peut nous dire à ce stade – de vous dire si ce sera à court terme, à moyen terme, à long terme ou si c‘est à exclure”. Une perspective à mettre en lien avec les engagements internationaux pris par la France en matière de réduction des émissions de CO2 et d‘en “finir avec les centrales thermiques et charbon”.

France et Chine : nouveaux « leaders » mondiaux

France et Chine : nouveaux   »leaders » mondiaux

 

La France et la Chine ont revendiqué leur nouveau rôle de leader mondiaux face aux différents défis économiques, environnementaux ou encore politiques qui affectent le monde.  Certes la puissance de la France n’est pas comparable à celle de la Chine pratiquement devenue première puissance mondiale mais Macron est parvenu à occuper l’espace européen. Il parle tout autant pour la France que pour l’Europe en raison de la faiblesse de la politique étrangère de l’union européenne et aussi de ce manque actuel de leader. On sait en effet que les Britanniques depuis le Brexit  se sont mis en retrait de toute problématique internationale et que Merkel craint encore de ne pouvoir constituer un gouvernement donc de rester première ministre en  Allemagne. Cette relative absence de l’Allemagne ne durera certainement pas mais la politique étrangère allemande n’a jamais été la priorité de ce pays. Il y a donc un espace que sait parfaitement occupé Macon qui veut d’abord obtenir le soutien de Pékin dans sa lutte pour le climat et contre l’avis de Trump. Ensuite sur le plan politique,  il est probable que la Chine s’engagera davantage que dans le passé ; elle aussi avait tendance à privilégier ses seuls intérêts économiques. Macron pour les Chinois apparaît l’interlocuteur idéal fait de son pragmatisme et de toute façon quoi qu’il arrive la Chine demeurera un leader mondial. Il en va autrement pour Macron il devra réussir ses réformes en France et aussi engager un processus d’intégration européenne afin de muscler économiquement et politiquement le continent “Les facteurs d‘instabilité dans le monde sont de plus en plus palpables”, a dit le président chinois, Xi Jinping, lors d‘une déclaration à la presse avec son homologue Emmanuel Macron, à Pékin. La Chine et la France ont dans ce contexte “une mission historique”, a-t-il ajouté. “Nous avons décidé conjointement de rester étroitement en contact, de renforcer les échanges à haut niveau et de continuer ensemble à jouer un rôle de leaders sur les tendances internationales.” Xi Jinping a dans ce domaine exprimé tous les espoirs placés dans sa visite en Chine par Emmanuel Macron, qui juge que l‘attitude du président américain, Donald Trump, et la force des régimes autoritaires bouleversent les équilibres mondiaux. “Nous avons décidé de renforcer tous azimuts la coopération internationale, de respecter le cadre et les principes de la charte des Nations unies, de préserver ensemble le multilatéralisme, d‘améliorer la gouvernance de la planète, de faire face ensemble aux défis”, a ainsi dit le président chinois, citant le dérèglement climatique et le terrorisme. Le président chinois n‘est pas resté sourd aux appels d‘Emmanuel Macron à rééquilibrer les échanges commerciaux, évoquant les impératifs de “respect mutuel” et de “concurrence loyale”, et il s‘est dit optimiste quant à l’évolution à venir des relations entre la Chine et l‘Union européenne.

Telecom Italia: nouveaux bâtons dans les roues pour Vivendi

Telecom Italia: nouveaux bâtons dans les roues pour Vivendi

 

 

Décidément l’affaire STX maintenant réglée laissera des traces dans les relations entre la France et l’Italie. L’Italie n’a guère apprécié les difficultés et les obstacles créés par le gouvernement français pour empêcher le repreneur italien de devenir majoritaire chez STX. Cela d’autant plus que les investissements français en Italie sont autrement plus importants que les investissements italiens en France. Le ministre italien de l‘Industrie, Carlo Calenda, a dit lundi qu‘il voyait des arguments en faveur du recours par le gouvernement à des prérogatives spéciales (“golden power”) sur Sparkle, filiale de câbles sous-marins de Telecom Italia (TIM). Le gouvernement va examiner s‘il y a des fondements à l‘application de ces prérogatives sur Sparkle, a-t-il dit. Rome a lancé une procédure auprès de Telecom Italia au motif que son principal actionnaire Vivendi, qui détient 24% de son capital, aurait omis de notifier son contrôle de fait de l‘opérateur télécoms, considéré comme un actif stratégique.  Dans un article précédent, nous évoquions les risques de représailles italiennes vis-à-vis des investissements de Vivendi en Italie. Il fallait évidemment s’attendre à des mesures de rétorsion italienne suite à la décision de française de freiner la  prise de capital majoritaire de l’Italie sur STX (chantier naval. il convient en effet de tenir compte des prises de participation financière réciproques dans les deux pays. Au cours des cinq dernières années la France a pris des participations financières d’environ 35 milliards en Italie, inversement les investissements financiers italiens en France ont été  limités à 3 milliards. Du coup, le gouvernement italien met des bâtons dans les roues à Vivendi qui est en train de prendre le contrôle de Telecom Italia puis sans doute de Mediaset.  Vivendi est le premier actionnaire de Telecom Italia avec une participation de 24% dans son capital et détient également 29,9% des droits de vote de Mediaset, ce qui en fait le deuxième actionnaire du groupe de télévision derrière la famille de l’ex-président du Conseil Silvio Berlusconi.  Si l‘enquête conclut que le groupe français contrôle TIM, le gouvernement peut considérer que les conditions sont réunies pour lui permettre d‘exercer des pouvoirs spéciaux. Ceux-ci l‘autoriseraient à imposer une amende, à poser des conditions à Vivendi, voire à opposer son veto à des décisions qu‘il percevrait comme une menace contre les intérêts nationaux.

Google : nouveaux téléphones

Google : nouveaux téléphones

 

Pour répliquer à ses concurrents notamment Apple Amazon Google va sortir de nouveaux produits notamment des Smartphones de deuxième génération assistés en particulier d’assistants vocaux. Parmi les nouveautés présentés par le géant électronique figurent également un ordinateur portable (“Pixelbook”), des mini-écouteurs sans fil ou encore de petites caméras de type GoPro. Ces nouveaux produits “illustrent parfaitement notre stratégie de redéfinition du matériel de l‘intérieur”, a déclaré Rick Osterloh, directeur général de la division produits chez Google. Le Smartphone Pixel 2 sera disponible en deux tailles à partir du 19 octobre, le premier prix pour le modèle de base étant de 649 dollars (552 euros) et celui pour la version plus haut de gamme de 849 dollars. La gamme Pixel ne bénéficie ni de la reconnaissance de marque des iPhone d‘Apple et des Galaxy de Samsung ni de la part de marché de ces deux géants du secteur. Mais le premier Pixel, dont la commercialisation a commencé il y a un an, avait été apprécié pour son appareil photo intégré et pour la qualité de ses logiciels. Les analystes pensent que Google a déjà écoulé quelque deux millions d‘unités de son smartphone, ce qui permet au groupe d‘afficher un niveau de revenus non liés à la publicité record. Google, qui avait fait son entrée dans les smartphones avec le rachat de Motorola Mobility pour 12,5 milliards de dollars il y a cinq ans, a dit que sa division “autres” revenus, qui regroupe les ventes produits et celles de services de stockage en ligne, a représenté quelque 12% du chiffre d‘affaires total du dernier trimestre en date.

Nouveaux risques de bulle financière en Chine

Nouveaux risques de bulle financière en Chine considère le FMI.

 

Selon la BRI, banque des règlements internationaux,  la «différence entre le ratio crédit / PIB de la Chine et sa tendance à long terme» a atteint 30,1% au premier trimestre 2016. Cet indicateur est destiné à mesurer «la surchauffe financière et les potentielles difficultés financières». Son niveau, le plus élevé jamais atteint pour ce pays, est préoccupant: au-delà de 10% la BRI estime qu’un pays fait face à un risque bancaire. Il est nettement supérieur à ceux qui avaient été atteints aux États-Unis en 2008 avant l’éclatement de la bulle spéculative. D’où, le risque avancé par la BRI d’une crise financière en Chine au cours des trois prochaines années. Précisons aussi que ce chiffre avait grimpé jusqu’à 35,7% en Thaïlande en 1997 et à près de 88% en 2009 en Irlande, deux pays qui ont été touchés de plein fouet par ce type de tempête. La croissance au premier semestre 2017 a dépassé les attentes des économistes, mais surtout grâce aux retombées de l’envolée de l’immobilier. Dans certaines grandes villes, les prix ont augmenté de plus de 30 % en 2016, faisant les affaires des grands promoteurs. « Si on regarde la structure de l’endettement en Chine, il y a du progrès : les nouvelles dettes accumulées cette année l’ont surtout été par les promoteurs et par les ménages. Avant, elles étaient le fait d’entreprises qui ne survivent que grâce au crédit », analyse Hao Hong, directeur de la recherche à la Bank of Communications International. Des entreprises improductives qui ont capté 14 % des prêts distribués à l’industrie en 2016, contre 4 % en 2011. : Selon le FMI, en effet, « le principal coût [de la croissance actuelle], c’est un accroissement plus important de l’endettement privé et public », un phénomène « souvent associé à des crises financières ». Le réveil pourrait arriver vite : « L’immobilier commence à ralentir, les investissements baissent. La situation pourrait être bien pire à partir de mi-2018 », estime Hao Hong. En Chine les bulles succèdent aux bulles ;  après la bulle immobilière, c’est la bulle de l’endettement des entreprises qui menace.  L’endettement des entreprises chinoises augmenterait encore de 77% sur les cinq prochaines années pour atteindre 28.800 milliards de dollars.  , Moody’s et Fitch s’inquiètent de la dette galopante, publique et privée, et pointent une « hausse prévisible des créances douteuses ». Pour empêcher l’éclatement de cette bulle la banque centrale ne cesse d’injecter de nouvelles liquidités.  L’économie chinoise, d’une certaine manière, ne cesse d’accumuler les bulles. Elle a d’abord généré une bulle de crédit absolument immense, inédite dans l’histoire économique, y compris aux Etats-Unis avant les subprimes », soulignait  Pierre Sabatier, PDG de PrimeView, sur BFM Business. Au départ, les fonds de ces crédits « ont servi à investir, non pas dans les actions, mais dans tout le reste. Par exemple dans le résidentiel », continue Pierre Sabatier. « Il y a aussi eu une bulle globale entraînée par les surcapacités de production. L’une des conséquences de la transition économique (moins d’importation mais davantage de consommation) a été d’injecter beaucoup de liquidités dans l’économie, qui elle-même, a eu tendance à créer des bulles boursières». Les risques sont importants pour la Chine mais auraient des conséquences sur l’ensemble du système bancaire mondial compte tenu son engagement en Chine.

 

85% des emplois seront nouveaux en 2030

85% des emplois seront nouveaux en 2030

 

D’après des experts de l’«Institut pour le Futur» basé à Palo Alto, 85% des emplois en 2030 n’existent même pas encore aujourd’hui. De quoi relancer le débat complexe relatif au contenu du travail et à ses modalités d’exécution. Dès lors,  il semble bien difficile de spéculer sur ce qui restera comme  emplois. Cette étude rejoint d’autres qui estiment que plus de la moitié des produits fabriqués et vendus d’ici 15 à 20 ans sont aujourd’hui inconnus. Un seul exemple pour s’en persuader, la révolution extraordinaire de la consommation des biens support de l’information et de la télécommunication. Il y a une trentaine d’années personne n’imaginait que les ordinateurs, Smart forme et autres technologies de l’information envahiraient  les foyers mêmes dans les pays les moins développés. De la même manière bien difficile d’imaginer quelle place pour apprendre demain la télémédecine, le télétravail ou encore le télé apprentissage. Ce sont de nombreux métiers qui vont être concernés par cette  transformation progressive, impactés par le numérique et la robotisation, qui sera plus efficace que l’homme, même pour de nombreuses tâches intellectuelles. Selon les experts participants, nous entrons en effet dans la seconde phase du développement numérique. Après la première étape, qui est la simple imitation de la pensée logique, les prochaines années verront l’avènement d’une véritable intelligence cognitive, capable d’imaginer des solutions, d’interpréter des données, même imparfaites, comme le font les humains actuellement. La troisième phase, selon l’étude, sera tout bonnement l’apparition de l’«être humain virtuel», pour après 2030 néanmoins. Ce qui est donc en jeu, pour l’homme, c’est donc de se recentrer sur ce qu’il peut (encore) faire mieux que la machine. L’étude fait sur ce point un constat important: «la capacité à acquérir un nouveau savoir vaudra plus que le savoir déjà appris». On ne perfectionnera plus son art dans un métier, mais on perfectionnera sa capacité à être rapidement satisfaisant dans de nouveaux métiers. Selon un sondage réalisé par Dell auprès de 4000 décideurs de haut rang autour du monde: d’après lui, près de la moitié d’entre eux ne savent à quoi ressemblera leur industrie d’ici trois ans. Conséquence de cette incertitude, 45% d’entre eux craignent d’être «obsolètes» d’ici trois à cinq ans. Si ces décideurs se sentent menacés, qu’en est-il alors pour un simple employé du tertiaire, dont les responsabilités sont moins fortes et impliquent moins d’analyse ? Toutes ces interrogations doivent donc rendre très prudent sur le futur des emplois à la fois sur leur volume, leur contenu et leur modalité d’exécution.

De nouveaux ministres Républicains pour fracturer la droite

De nouveaux ministres Républicains pour fracturer la droite

 

Macron entend faire exploser le système politique et les partis politiques qui le composent. Il a évidemment réussi avec le parti socialiste non seulement réduit à pas grand-chose mais maintenant condamné à disparaître. Certes la Refondation socialiste est toujours possible mais pour Hamon et les frondeurs l’espace des gauchistes est déjà occupé par les insoumis. Du coup certains anciens socialistes de la gauche radicale pourraient rejoindre Mélenchon. D’autres pourraient essayer de sauver la vieille maison socialiste autour de Hamon, Aubry ou encore Hidalgo, Philippetti et Belkacem. Mais cette vieille maison ne représentera pas grand-chose en termes d’audience. C’est un peu la même problématique pour les sociaux libéraux socialistes. Le terrain qu’ils entendent occuper est déjà largement pris par Macron et son mouvement en marche.  ce qui est certain c’est que ces deux tendances sont devenues complètement incompatibles. Deux groupes parlementaires d’origine socialiste pourraient coexister dans la nouvelle assemblée. Il pourrait en être de même du côté des républicains surtout si Macon réussit une nouvelle manœuvre pour débaucher de nouveaux  responsables de la droite  et en faire des ministres et secrétaires d’État. Il suffirait qu’il recrute  encore trois ou quatre députés des républicains pour encourager la aussi la scission et la création de deux groupes parlementaires non seulement à l’Assemblée nationale mais aussi au Sénat. Chez les républicains aussi les deux grandes tendances deviennent de plus en plus difficilement conciliables. La réalité c’est que certains sont proches de Macron et d’autres proches du Front National. Il y a d’un côté les souverainistes étatistes et de l’autre les libéraux européens.  Il y a les « constructifs », ceux qui veulent accorder la confiance à Edouard Philippe et soutenir la politique d’Emmanuel Macron. On retrouve là des personnalités comme les députés Thierry Solère, Franck Riester, Pierre-Yves Bournazel et le sénateur Jean-Pierre Raffarin. Ce camp « macroncompatible » veut donner sa chance à la nouvelle majorité et soutenir certains de ses projets, telle la réforme du Code du travail. Il y a les tenants d’une ligne « dure » qui ne veulent pas se voir « dilués » dans la majorité présidentielle et qui souhaitent s’opposer au gouvernement et ne voteront pas la confiance à Edouard Philippe, lui-même issu des rangs LR. = – le remaniement attendu du gouvernement pourrait être une bonne occasion pour Emmanuel Macron de « séduire » de nouvelles personnalités LR -, et de faire éclater la droite.

 

Climat : de nouveaux objectifs pour la France

Climat : de nouveaux objectifs pour la France

 

Le ministre de la Transition écologique, Nicolas Hulot, présentera dans deux semaines au conseil des ministres un plan d’action sur cinq ansa annoncé mercredi le porte-parole du gouvernement. Sera ensuite fixé « dans le mois qui vient (…) un calendrier précis de mesures qui nous engageront au moins pour les cinq années qui viennent, avec des actions de court terme, de moyen terme et de long terme », a ajouté Christophe Castaner lors du compte rendu du conseil des ministres. Emmanuel Macron a souligné lors du conseil des ministres que la lutte contre le changement climatique et le terrorisme devaient être des priorités du quinquennat, a-t-il poursuivi. Le chef de l’Etat veut « que ce sujet ne nous quitte jamais » et « faire de la France un exemple » grâce à ce plan d’action, a dit Christophe Castaner. Emmanuel Macron a engagé, dès l’annonce jeudi de la décision du président Donald Trump d’extraire les Etats-Unis de l’Accord de Paris, une offensive diplomatique pour sauver cet accord signé par 195 pays en décembre 2015 après d’âpres négociations. « L’ambition du président de la République et de Nicolas Hulot est d’aller plus loin que les objectifs que nous nous étions fixés dans le cadre de la négociation de l’Accord de Paris », a-t-il précisé. Ce texte, qualifié d’historique, fixe le cadre d’engagements politiques, économiques et financiers visant à contenir la hausse de la température moyenne de la planète « nettement en dessous de 2°C » en 2100 par rapport aux niveaux pré-industriels. Au niveau national, la France a fixé en 2015 comme objectifs de réduire de 40% les émissions de gaz à effet de serre en 2030 par rapport à 1990, de porter la part des énergies renouvelables à plus de 30% de la consommation énergétique finale d’énergie en 2030 et de baisser à 50% la part du nucléaire dans la production d’électricité à horizon 2025.

Encore de nouveaux ralliements socialistes dangereux pour Macron

Encore de nouveaux ralliements socialistes dangereux pour  Macron

 

 

Danger de nouveaux ralliements socialistes en faveur de Macon. Des proches de Hollande seraient prêts de lancer un appel en faveur de Macon notamment le Foll, en divergence profonde avec le candidat Hamon. La question est quand ? Certains, dont Stéphane le Foll, voulait le faire avant le premier tour, mais du côté d’Emmanuel Macron, on supplie d’attendre, les proches de François Hollande se déclarant ne faisant pas toujours du bien au candidat d’En Marche. La vérité c’est que les soutiens du camp hollandais à Macron constituent aujourd’hui plutôt handicap tellement est discrédité le parti socialiste. Mais aussi le gouvernement. Le pire serait évidemment que François Hollande annonce sa préférence pour son ancien ministre de l’économie avant le deuxième tour. Le risque serait évidemment de faire perdre Macron car la parole de Hollande n’est plus, depuis longtemps, audible. Les ralliements des proches de François Hollande visent sans doute autant à soutenir le candidat d’en marche qu’à sauver ce qui peut l’être du parti socialiste notamment lors  des législatives. Du coup les ralliements sont sans doute davantage handicap pour Macon qu’un atout. De fait, cela dépend d’où ces soutiens viennent, puisque cela fait beaucoup en provenance de la Hollandie, ce qui commence à stresser et énerver le candidat Macron. À chaque fois qu’il en a l’occasion, il parle de la rupture avec François Hollande et explique qu’il n’a plus rien à voir avec ce monsieur, parce qu’il faut rééquilibrer le système. Il attend aussi de grandes déclarations en provenance de la droite, mais elles mettent beaucoup plus de temps à venir. L’ancien ministre Thierry Breton s’est déclaré en faveur de Macron, mais cela n’est toujours qu’un second couteau de plus. Il préférerait des grosses prises du côté des chiraquiens comme celle de Jean Louis Debré. On touche à la question très sensible et jamais exprimée au cœur de ce système qu’est le candidat Macron, c’est la difficulté qu’ont ses soutiens à lui faire admettre la nécessité de passer des accords politiques, tout en envoyant des signaux à une partie de la gauche, au centre et à droite. Il y a un envers du décor, où l’on tente de lui faire comprendre difficilement, qu’il n’aura pas de majorité avec ses simples marcheurs. C’est la raison pour laquelle François Bayrou a dit qu’il n’y aurait pas de parti unique En Marche. Il fallait adresser ce message à Macron, qui est occupé à repousser les avances de Borloo et de Valls, avec lesquels il ne veut avoir aucune relation. On sent le danger au sein d’En Marche, danger qui implique de passer des accords politiques.

Sondage nouveaux votants : seulement 8% pour François Fillon

Sondage nouveaux votants : seulement 8% pour  François Fillon

 Selon  un enquête Cevipof diffusée par le JDD, parmi les primo-votants, certains d’aller voter, Marine Le Pen obtiendrait 29% des voix, Emmanuel Macron 27%, tandis que Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon en récolteraient chacun 15%. À la différence de leurs aînés, les primo-votants écartent d’entrée de jeu la candidature de François Fillon (8%). Les choix de vote recoupent des fractures sociales et culturelles au sein de la jeunesse. Le vote frontiste enregistre des écarts importants entre la jeunesse étudiante (24%) et la jeunesse au travail (44%). Reste une ligne de partage assez nette selon le genre. Alors que 34% des jeunes hommes pourraient voter pour la candidate frontiste les jeunes femmes ne sont plus que 25 % dans les mêmes dispositions. Benoît Hamon attire un peu plus les étudiants que les actifs (22% contre 16%). Quant à Emmanuel Macron, pour l’instant il rassemble davantage et capte les voix de primo-votants venant de tous les horizons. . Les jeunes primo-inscrits sur les listes électorales qui pourront voter pour la première fois à une élection présidentielle en 2017 représentent 3,3 millions de nouveaux électeurs potentiels, soit 7,4 % de l’ensemble du corps électoral. Ils abordent l’élection présidentielle dans un climat de profonde déception envers l’exécutif. François Hollande avait fait de la jeunesse le cœur de cible de sa campagne. Cinq ans plus tard, les deux tiers des jeunes (66 %) considèrent que la situation du pays s’est « dégradée » depuis l’arrivée au pouvoir de François Hollande (69% de l’ensemble des Français - . L’ensemble des chiffres mentionnés dans cet article provient de l’analyse de la vague 12, mi-mars 2017. Bien qu’assez largement intéressés par l’élection présidentielle (73%), les primo-votants ne manifestent pas de réels signes de mobilisation pour la campagne telle qu’elle se déroule. Tout se passe comme si celle-ci ne déclenchait pas un désir de participation particulier. Le sismographe de l’intention de participer reste assez plat sur la durée, et semble s’infléchir à l’approche de la présidentielle : 54% déclaraient être certains d’aller voter lors de la vague 8 de l’ENEF 2017 en novembre 2016, 56% en janvier lors de la vague 9, et 51 % le sont en vague 12, soit au début du mois de mars 2017. Chez leurs aînés, l’intention de participer se situe entre 10 et 15 points en moyenne au-dessus (66% mi-mars), mais on observe une même tendance à la démobilisation (- 2 points en deux semaines). Les primo-votants tentés par l’abstention au premier tour expriment en majorité une abstention de nature politique. Ils mettent en avant leur insatisfaction envers l’offre électorale (48%) et une volonté de « manifester leur mécontentement » (31%). Un petit tiers (31%) exprime un doute sur la capacité de l’élection à changer réellement les choses. Devant les choix à faire pour le premier tour, leur perplexité, à l’instar de celle des Français, est assez largement partagée. Même parmi ceux qui se disent certains d’aller voter, une moitié (48 %) reconnaît pouvoir encore changer d’avis. Et ce sont les étudiants qui se montrent en la matière plus indécis que les jeunes actifs (54% contre 44%).

Les nouveaux compteurs électriques surestiment la consommation

Les nouveaux  compteurs électriques surestiment la consommation

 

Un article de la Tribune met en cause les nouveaux compteurs électriques dits  intelligents qui  faussent la mesure de la consommation.  Les mesures effectuées par certains compteurs peuvent donner des résultats complètement faussés - près de six fois supérieurs à la consommation réelle -, selon une étude publiée le 3 mars dans la revue scientifique IEEE Electromagnetic Compatibily Magazine. Menée par l’université de Twente (Pays-Bas) en collaboration avec l’université d’Amsterdam des sciences appliquées, l’étude a connecté neuf compteurs intelligents, construits entre 2004 et 2014, à un tableau électrique afin qu’ils mesurent la consommation de différents appareils. Au terme de l’expérimentation, cinq des neufs compteurs testés affichaient des données bien plus élevées que la consommation réelle - un écart allant jusqu’à 582% a été constaté – tandis que deux autres compteurs étaient nettement en deçà de la réalité – environ 30% – , comme le raconte un article publié sur le site de l’université de Twente. La principale raison de cet écart est due aux nouvelles technologies en matière d’éclairage domestique. Les nouvelles ampoules à basse consommation et LED altèrent en effet la forme « parfaite » du courant électrique, qui devient plus difficilement mesurable. Ainsi, les compteurs utilisant l’effet Hall, qui  »produit une tension à l’image exacte du courant sortant », ont sous-estimé la consommation réelle. A contrario, ceux utilisant l’enroulement de Rogowski, qui mesure le courant alternatif, l’ont surestimée. « Les compteurs électriques que nous avons testé répondent à tous les critères légaux et sont certifiés. Cependant, ces critères n’ont pas suffisamment tenu compte des dispositifs de commutation modernes », déplore Frank Leferink, professeur de Compatibilité électromagnétique à l’université de Twente, cité dans l’article. Si ce problème peut sembler technique et lointain, il concerne en fait de très nombreux ménages. En France, les compteurs Linky utilisent le même principe de comptage  - l’effet Hall – que certains des compteurs testés par l’université de Twente et qui avaient, au cours de l’étude, sous-estimé la consommation électrique réelle.

Macron : deux nouveaux soutiens Avec Cavada et Lepage, attention aux crocodiles !

Macron : deux nouveaux soutiens Avec Cavada et Lepage, attention aux crocodiles !

 

 

Comme c’était prévisible certains responsables politiques au vu des sondages vont rejoindre Macron. Macro qui avait déjà enregistré mardi le ralliement de l’économiste très renommé, Jean Pisani-Ferry.  Aujourd’hui Jean-Marie Cavada et Corinne ont décidé aussi de le soutenir. Il y aura vraisemblablement bien d’autres soutiens pour Macron pour conforter sa dynamique dans la perspective de 2017.  Reste qu’on peut s’interroger sur le ralliement de certains crocodiles de la politique notamment des nomades qui ont traversé plusieurs formations et qui sont en mal existentiel. Macron serait bien avisé d’accepter évidemment ses soutiens mais en conservant dans son équipe les jeunes actuels qui l’entourent ainsi que les experts. En effet les vieux crocodiles risquent de polluer sa stratégie de renouveau en même temps que ses orientations. Les deux derniers recrutements ne manquent pas d’interroger sur leur intérêt réel aussi bien pour le renouvellement du personnel politique que pour leur apport sur le fond ou leur charisme. Les deux Derniers en date: ceux de la patronne de Cap21/Le Rassemblement citoyen Corinne Lepage et du président de Génération citoyen Jean-Marie Cavada, révélés par Le Point quelques heures seulement avant le premier débat télévisé de la primaire socialiste. Contacté pour confirmer cette information, l’entourage de l’ancien ministre de l’Économie restait injoignable ce jeudi en fin d’après-midi.  Cofondatreurs d’une «Primaire des Français» censée désigner un candidat issu de la société civile à la présidentielle, l’ancienne ministre et le député européen semblent avoir revu leurs plans et décidé de revenir dans le sérail politique. Idem pour le communicant Claude Posternak, qui s’était associé à leur projet, mais aurait lui aussi, selon Le Lab d’Europe 1, choisi de rejoindre le navire d’En Marche!Mercredi, déjà, ce sont le président de France Stratégie Jean Pisani-Ferry, l’ex-journaliste Laurence Haïm, et l’ancien sondeur Denis Delmas, qui avaient rallié l’ancien banquier d’affaires.

Armée française : les nouveaux fusils seront allemands !

  • Armée française : les nouveaux fusils seront allemands
  • Encore une victoire de l’industrie allemande sur l’industrie française (qui a disparu). La France ne dispose plus aujourd’hui d’entreprises d’une taille suffisante spécialisées dans les armes de petits ou gros calibres pour répondre à la commande de l’armée française. Depuis les années 70, le fusil d’assaut est fabriqué par la Manufacture d’armes de Saint-Etienne (Famas), tombée dans le giron du groupe Giat industries en 1989. Lequel n’a pas souhaité alors poursuivre cette activité et a fermé l’usine en 2001 ainsi que celle du Mans qui confectionnait les munitions du Famas.  Les nouveaux fusils de l’armée française seront allemands, le fabricant sera Heckler & Koch (HK) avec son fusil d’assaut HK 416, selon une information révélée par « Les Echos » et qui a été confirmée à « La Tribune ». Le fabricant allemand remporte donc un marché de 100.000 fusils d’assaut au calibre 5,56 mm OTAN (contre 90.000 prévus) destinés aux trois armées, dont 70.000 pour l’armée de terre et 10.000 dédiés à l’opération Sentinelle. Il équipera également le commandement des opérations spéciales (COS). Le choix de la direction générale de l’armement (DGA) devrait faire grincer les dents dans la classe politique française.  Heckler & Koch (HK), qui aurait fait un effort sur le prix, a gagné la compétition haut la main face au belge FN Herstal, qui proposait le Scar, l’italien Beretta (ARX 160), le suisse Swiss Arms, ex-SIG Arms (MCX) et, enfin, le croate, HS Produkt (VHS-2), qui avaient été invités par la DGA à participer à la compétition. FN Herstal qui a déposé un recours, aurait peu de chance d’aboutir. Une fois le recours débouté, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, devrait annoncer le vainqueur de cette compétition dans les semaines  qui viennent. Le HK 416 a fait forte impression bouclant les évaluations jugées éprouvantes pour les armes sans demander d’essais supplémentaires contrairement aux autres fusils d’assaut. Ces évaluations portaient sur des cycles de vie complets. « Le HK 416 a été supérieur aux autres fusils d’assaut. C’est la rolls des fusils d’assaut et la meilleure arme du monde. Il va équiper les soldats de l’armée française », se réjouit-on au sein du ministère.
    • (Avec Reuters)

Croissance Chine : le tassement confirmé montre de nouveaux signes de faiblesse

Croissance Chine : le tassement confirmé montre de nouveaux signes de faiblesse

Bien qu’il soit toujours difficile d’analyser les statistiques très politiques de la Chine on ne peut que constater un tassement de la croissance du fait notamment de l’évolution des ‘investissements, de  la production industrielle et des les ventes au détail en dessous des prévisions en avril le ralentissement des exportations mais aussi des importations montrent d’une part que la Chine connaît des difficultés mais révèle aussi l’atonie de la croissance mondiale pour les premiers mois de l’année. Officiellement la croissance de la production industrielle a atteint 6,0% en rythme annuel le mois dernier selon les statistiques officielles publiées samedi, alors que les économistes attendaient en moyenne un chiffre de 6,5%, après +6,8% en mars. Les investissements en actifs fixes ont eux progressé de 10,5% sur janvier-avril par rapport aux quatre premiers mois de l’an dernier, alors que le marché tablait sur une progression de 10,9%. Ils marquent eux aussi un ralentissement puisque sur janvier-mars, leur hausse avait été de 10,7%.Les investissements des entreprises privées continuent en outre de ralentir, avec une croissance tombée à 5,2% sur janvier-avril, contre +5,7% sur janvier-mars. « Il apparaît que tous les moteurs ont soudainement perdu de leur élan et que la dynamique de croissance s’est elle aussi essoufflée », a commenté Zhou Hao, économiste de Commerzbank à Singapour, dans une note. « Au bout du compte, il faut reconnaître que la Chine est toujours en difficulté. » Plusieurs sources ont rapporté à Reuters que l’autorité de tutelle du secteur bancaire chinois avait envoyé une directive urgente aux établissements de crédit pour leur demander de supprimer les blocages qui freinent les prêts aux entreprises privées. Les banques ont en effet fortement réduit les nouveaux prêts en avril, à 555,6 milliards de yuans (75,2 milliards d’euros) contre 1.370 milliards en mars, selon les statistiques publiées vendredi. Le Bureau national de la statistique a déclaré samedi que « puisque le montant total des investissements privés est relativement élevé, son ralentissement continu pourrait freiner une croissance stable, ce qui nécessite un degré élevé d’attention ». Parallèlement, la croissance des ventes au détail – qui regroupe à la fois les achats privés et publics – a ralenti à 10,1% sur un an en avril, contre +10,5% attendu. Ainsi, alors que les indicateurs économiques de mars avaient ravivé l’espoir d’une reprise de la croissance chinoise après un an de doutes, ceux d’avril risquent fort de relancer le débat sur la capacité des autorités à soutenir la croissance de la deuxième économie mondiale. Les chiffres publiés samedi s’ajoutent en effet à ceux, déjà moins bons qu’attendu, des exportations et des importations et aux résultats peu encourageants des enquêtes mensuelles auprès des directeurs d’achats, qui suggèrent une faiblesse persistante de la conjoncture.

(Avec Reuters)

La loi Travail : 50 000 emplois nouveaux

La loi Travail : 50 000 emplois nouveaux

 

L’Institut Rexecode évalue à 50 000 emplois nouveaux l’effet de la loi travail ;  en fait, une évaluation très approximative comme chaque fois qu’il s’agit de mesurer les conséquences du ne disposition socio-économique ;  pour une raison méthodologique simple,  c’est qu’on ne peut pas comparer à une période référence. Deuxième difficulté,  c’est qu’il est difficile de distinguer les emplois nouveaux créés et les anciens emplois maintenus. Enfin compte tenu du taux  croissance prévisible (autour de 1,5 %) en 2016 au moins 50 000 emplois nouveaux sont attendus. Du coup cette évaluation de Rexecode  prend un certain caractère politique à la veille de la discussion du projet de loi travail à l’assemblée nationale. Pour autant la flexibilité de la nouvelle loi combinée avec la décentralisation du débat social au plan de l’entreprise est forcément de nature à faciliter la création d’emplois mais combien ? Là est la question. Dans une étude publiée lundi à la veille du début de l’examen du texte par les députés, il juge en outre que la clarification des critères du licenciement économique devrait contribuer à accroître la part des contrats à durée indéterminée (CDI) dans les embauches. « Le renforcement de la négociation au niveau de l’entreprise sur la durée du travail et sur les majorations des heures supplémentaires est susceptible d’entraîner un surcroît d’au moins 50.000 emplois et vraisemblablement nettement plus », écrivent les économistes de l’institut, qui est proche des entreprises. Mais les accords dits de « préservation ou développement de l’emploi », s’ils ouvrent une piste nouvelle, n’auront qu’un impact limité dans la mesure où ils ne prévoient pas la possibilité d’une baisse de salaires en cas de mauvaise conjoncture. Alors qu’en Allemagne, le recours prononcé au chômage partiel en 2009 a permis d’adapter les salaires dans les entreprises en contrepartie d’un maintien de l’emploi, COE-Rexecode estime que la rigidité salariale a coûté 300.000 emplois à la France de 2008 à 2015. S’agissant des CDI, il en attend avec le texte de loi tel qu’il est présenté jusqu’ici un flux de plus de 300.000 par an, pour l’essentiel par effet de substitution à des contrats courts.

(Avec Reuters)

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