Archive pour le Tag 'note'

Moody’s: La France conserve sa note

Moody’s: La France conserve sa note

L’agence de notation américaine Moody’s a décidé de conserver la note Aa3 de la dette souveraine tricolore. . L’Hexagone « bénéficie d’une économie riche et diversifiée et d’une démographie plus favorable que d’autre pays avancés ».

Compte tenu de la décision de l’agence en décembre, ce statu quo n’est pas vraiment une surprise. Pour rappel, le Premier ministre François Bayrou à peine arrivé à Matignon avait subi une dégradation de la note de la France en plein marasme budgétaire. La note de la dette publique française avait été abaissée de « Aa2 » à « Aa3 » (l’équivalent d’un 17/20) en décembre, au vu de la « fragmentation politique » du pays, peu propice selon Moody’s

Notation financière de la France :un sursis, Fitch maintient sa note

Notation financière de la France :un sursis, Fitch maintient sa note

Si Fitch a maintenu, vendredi soir, sa perspective négative, l’agence a jugé que la France conserve une économie «vaste et diversifiée», avec des «institutions fortes et efficaces». Reste à venir l’évaluation de la principale agence de notation Standard Standard & Poor’s.

Le gouvernement est parvenu à faire adopter son projet de loi de finances, redonnant un semblant de stabilité, malgré une trajectoire des comptes publics encore incertaine. Le déficit, espéré à 5,4% du PIB par l’exécutif, reste exposé à de nombreux aléas.

Les regards se tournent désormais vers Standard & Poor’s, qui en février a fait passer son propre «AA-» en perspective négative. Si la situation de la France ne s’arrange pas, l’agence américaine, beaucoup plus suivie, pourrait se monter plus sévère que Fitch lors de sa prochaine notation. La troisième agence, Moody’s, classe la France Aa3, l’équivalent de AA-, mais avec perspective stable.

Nouvelle dégradation de la note de la France par Standard & Poors ?

Nouvelle dégradation de la note de la France par Standard & Poors ?

En dépit des assurances du gouvernement sur le redressement financier qui paraît assez hypothétique au regard notamment du budget de 2024 mais aussi de 2025, il se pourrait que les agences procèdent à un abaissement des notes de la France.

 

 Ce jeudi soir, la France est toujours notée AA- avec une « perspective stable » par S&P. Elle dispose d’un classement équivalent dans les deux autres grandes agences qui doivent toutes deux rendre leur verdict dans les prochaines semaines : AA- « négative » chez Fitch et AA3 « stable »

Notation financière de l’Espagne : relèvement de la note par Fitch

Notation financière de l’Espagne : relèvement de la note par Fitch

Alors que la plupart des agences de notation ont qualifié de négative l’évolution financière de la France, Fitch a contrario remonté à  « positive » la perspective de crédit de l’Espagne

L’agence de notation Fitch a relevé vendredi de « stable » à « positive » sa perspective de crédit pour l’Espagne, saluant des facteurs structurels à même de renforcer le potentiel de croissance et la résilience du pays face aux chocs extérieurs.

Fitch a notamment souligné les tendances positives du marché du travail grâce à une forte migration et des réformes, l’amélioration de la compétitivité et l’absence de déséquilibres macro-financiers.

 

Agences de notation et dette : note maintenue pour Fitch mais avec perspective négative

Agences de notation et dette  : note maintenue pour Fitch mais avec perspective négative

 L’agence de notation Fitch a maintenu vendredi la note de la France à «AA-», mais la place sous perspective négative, ce qui veut dire qu’elle envisage à l’avenir de la dégrader, a-t-elle indiqué dans un communiqué. Lors de sa dernière évaluation des finances françaises en avril – un statu quo -, l’agence américaine avait alerté sur un risque de baisse en cas d’«augmentation importante et persistante de la dette (…) résultant de déficits publics plus élevés que prévu». Or, la France a effectué de brutales révisions de sa prévision de déficit pour 2024, passant de 4,4% fin 2023 à 5,1% en avril pour finalement culminer à 6,1% du PIB.

«Les risques liés à la politique budgétaire se sont accrus depuis notre dernier examen», explique Fitch dans son communiqué. «Le dérapage budgétaire prévu cette année place la France dans une situation plus défavorable, et nous prévoyons désormais des déficits budgétaires plus importants, ce qui entraînera une forte augmentation de la dette publique pour atteindre 118,5 % du PIB d’ici 2028. Nous ne nous attendons pas à ce que le gouvernement respecte ses prévisions révisées de déficit à moyen terme pour ramener le déficit en dessous de 3% du PIB d’ici 2029», explique-t-elle. «Une forte fragmentation politique et un gouvernement minoritaire compliquent la capacité de la France à mettre en œuvre des politiques d’assainissement budgétaire durables», indique l’agence de notation.

Dette: La note financière de la France dégradée ?

Dette: La note financière de la France dégradée ?

Deux raisons militent en faveur d’une dégradation de la nature financière de la France. D’une part le pays ne tient pas ses engagements en matière de réduction de dépenses et donc de déficit budgétaire. Mécaniquement la dette ne fait qu’augmenter faute de de ressources suffisantes la France doit emprunter et emprunter toujours davantage. En plus à des taux moins intéressants que précédemment.
Le deuxième facteur explicatif est celui de l’instabilité politique qui pourrait engendrer une instabilité économique. De quoi jouer sur le niveau de la croissance, l’emploi, le pouvoir d’achat et les ressources fiscales. Le moral des entreprises comme celui des ménages nettement en baisse rend compte à cet égard des inquiétudes pour la fin de l’année 2024 voire au-delà.Après deux dégradations en un an, la première par Fitch en avril 2023 et la deuxième par Standard & Poor’s (S&P) le 31 mai 2024, le risque d’un troisième abaissement de la note française à l’automne a considérablement augmenté depuis le résultat des élections législatives et le flou sur les choix de politique économique qui en découle.

La note financière de la France dégradée ?

La note financière de la France dégradée

Deux raisons militent en faveur d’une dégradation de la nature financière de la France. D’une part le pays ne tient pas ses engagements en matière de réduction de dépenses et donc de déficit budgétaire. Mécaniquement la dette ne fait qu’augmenter faute de de ressources suffisantes la France doit emprunter et emprunter toujours davantage. En plus à des taux moins intéressants que précédemment.Le deuxième facteur explicatif est celui de l’instabilité politique qui pourrait engendrer une instabilité économique. De quoi jouer sur le niveau de la croissance, l’emploi, le pouvoir d’achat et les ressources fiscales. Le moral des entreprises comme celui des ménages nettement en baisse rend compte à cet égard des inquiétudes pour la fin de l’année 2024 voire au-delà.

Après deux dégradations en un an, la première par Fitch en avril 2023 et la deuxième par Standard & Poor’s (S&P) le 31 mai 2024, le risque d’un troisième abaissement de la note française à l’automne a considérablement augmenté depuis le résultat des élections législatives et le flou sur les choix de politique économique qui en découle.

 

Dégradation des Comptes publics : La France sauve sa note…. mais pas son déficit

Dégradation des Comptes publics : La France sauve sa note…. mais pas son déficit
C’est une sorte de victoire à la Pyrrhus pour la France qui réussit à conserver sa note relative à l’état des comptes publics. Cependant les commentaires de ces agences de notation sont très sévères et soulignent la récente dégradation. Le déficit et la dette atteignent en effet des records. La charge de la dette pour les seuls intérêts représentera bientôt autour de 70 milliards soit presque le premier poste du budget. De toute manière, cette note n’aurait pas changé grand-chose dans la mesure où la France pourra toujours rembourser les intérêts mais pas le capital. Une sorte d’assurance pour les prêteurs notamment étrangers nombreux  mais une hypothèque sur les capacités financières du pays.

 

Ces sujets techniques dominent dans un environnement où les investisseurs anticipent des baisses de taux. « La dégradation, évidemment que ce ne serait pas une bonne nouvelle. Mais le plus important, c’est que cela ne devrait pas avoir de conséquence sur les taux auxquels nous nous finançons, dans la mesure où les marchés ont déjà intégré la situation de nos finances publiques », se rassurait-on, ces derniers jours, à Matignon. Sans tension supplémentaire sur les marchés le gouvernement anticipe déjà une explosion de la charge de la dette, qui dépasserait les 70 milliards en 2027.

 

Comptes publics : La France sauve sa note…. mais pas son déficit et sa dette

Comptes publics : La France sauve sa note…. mais pas son déficit
C’est une sorte de victoire à la Pyrrhus pour la France qui réussit à conserver sa note relative à l’état des comptes publics. Cependant les commentaires de ces agences de notation sont très sévères et soulignent la récente dégradation. Le déficit et la dette atteignent en effet des records. La charge de la dette pour les seuls intérêts représentera bientôt autour de 70 milliards soit presque le premier poste du budget. De toute manière, cette note n’aurait pas changé grand-chose dans la mesure où la France pourra toujours rembourser les intérêts mais pas le capital. Une sorte d’assurance pour les prêteurs notamment étrangers nombreux  mais une hypothèque sur les capacités financières du pays

 

Ces sujets techniques dominent dans un environnement où les investisseurs anticipent des baisses de taux. « La dégradation, évidemment que ce ne serait pas une bonne nouvelle. Mais le plus important, c’est que cela ne devrait pas avoir de conséquence sur les taux auxquels nous nous finançons, dans la mesure où les marchés ont déjà intégré la situation de nos finances publiques », se rassurait-on, ces derniers jours, à Matignon. Sans tension supplémentaire sur les marchés le gouvernement anticipe déjà une explosion de la charge de la dette, qui dépasserait les 70 milliards en 2027.

 

Finances publiques: Fitch abaisse la note de la Chine

Finances publiques: Fitch abaisse la note de la Chine

L’agence de notation revoit sa perspective de crédit de la Chine en mettant en avant les risques croissants pour l’horizon des finances publiques de la deuxième économie mondiale. « Les déficits budgétaires importants et l’augmentation de la dette publique au cours des dernières années ont érodé les réserves budgétaires du point de vue de la notation », a averti l’agence.

 

Fitch s’attend à ce que le déficit grimpe cette année à 7,1 % du produit intérieur brut (PIB) du pays, contre 5,8 % en 2023. Ce serait un niveau sans précédent depuis 2020 (8,6 % du PIB), quand les mesures sanitaires mises en place par Pékin face au Covid avaient lourdement grevé l’économie.

L’agence anticipe une croissance économique au ralenti en 2024, à seulement 4,5 % contre 5,2 % l’an dernier. En comparaison, le FMI prévoit une croissance de 5 %, peu ou prou en phase avec les espoirs de Pékin. La Chine n’a pas tardé à réagir et a jugé « regrettable » cette décision

 

Fitch : la note de la Grèce est relevée

Fitch : la note de la Grèce est relevée

La Grèce qui a fait d’énormes efforts de gestion est enfin payée pour sa rigueur avec une réévaluation de sa note par l’agence de notation Fitch. La Grèce sort de la » catégorie spéculative ».

L’agence d’évaluation financière Fitch a relevé vendredi la note de la dette souveraine à long terme de la Grèce, de BB+ à BBB-, plaçant le pays en catégorie dite «d’investissement».

S&P Global Ratings avait déjà sorti la Grèce de la catégorie spéculative en octobre, pour la première fois depuis 2010 et la crise de la dette.

Notation France: note maintenue …..de justesse par Standard & Poor’s

Notation France: note maintenue …..de justesse par SP

La France évite – de justesse- la sanction. la note -ci est maintenue à «AA» mais toujours avec avec perspective négative. Il y a quelque chose de pathétique dans la satisfaction du gouvernement et du ministre de l’économie . Une note très commentée politiquement et qui montre à quel point la France et dépendante désormais du verdict d’institutions internationales. En cause évidemment la dégradation catastrophique des finances notamment de la croissance du déficit et l’envolée de la dette. Cette note a aussi une connotation politique car actuellement les agences de notation ce montre assez bienveillante vis-à-vis des budgets et des dettes des pays. Une plus grande sévérité serait susceptible de faire s’envoler encore les taux d’intérêt et l’inflation, Ce que ne souhaite aucune institutions financières internationales.

Actuellement la dette dépasse les 3000 milliards et génère près de 60 milliards de charges financières. Et d’ici une dizaine d’années sur la tendance on prévoit un endettement à 5000 milliards avec une charge de 100 milliards par an, soit nettement le premier budget de l’État

Le problème, c’est que le budget 2024 et à peine voté par le Parlement apparaît déjà complètement obsolète non seulement à la Cour des Comptes mais aussi par Bruxelles. Le problème de la fiabilité du budget est classique en France. D’un côté on sous-estime les dépenses- voire à cet égard la dérive générale- mais aussi toute une série de chèques attribués à telle ou telle catégorie ou champs d’activité), d’un autre on surestime la croissance.

Les experts considèrent aujourd’hui qu’il sera bien difficile d’atteindre 1 % de croissance et le consensus tourne autour de 0,8 %. Le gouvernement ,lui, retient la perspective de 1,4 %. Une manipulation comptable qui permet de cacher un peu mieux l’ampleur du déficit;

Or les nuages s’accumulent sur les prévisions macroéconomiques du gouvernement. Déjà, entre le printemps et la présentation du projet de loi de finances (PLF), en septembre, Bercy avait de lui-même abaissé sa prévision de croissance pour l’an prochain de 1,6 % à 1,4 %. Malgré cet ajustement, le Haut Conseil des finances publiques de la Cour des comptes l’a jugée « élevée », notamment par rapport au consensus des économistes, qui tourne autour de 0,8 %.

Agence Fitch: Note de la France maintenue …. de justesse

Agence Fitch: Note de la France maintenue …. de justesse

Six mois après avoir rétrogradé la France, L’agence de notation internationale maintient cette note mais de justesse. La note est assortie d’une perspective « stable », ce qui signifie que Fitch n’envisage pas de la modifier pour l’heure.

Fitch a toutefois jugé que les finances publiques françaises, et en particulier le niveau élevé de la dette publique, constituaient un point faible. La note de Fitch est assortie d’une perspective « stable », ce qui signifie que Fitch n’envisage pas de la modifier pour l’heure.

Fitch, qui attribue actuellement à la France la note « AA- », a toutefois jugé que la trajectoire de désendettement était limitée . « Le projet de budget pour 2024 et le programme pluriannuel envisagent seulement une réduction limitée du déficit budgétaire, de 4,9% en 2023 à 4,4% en 2024 », a relevé l’agence de notation.

Fitch s’attend à un déficit public de 4,6% en 2024 en raison d’une « estimation plus faible (que celle du gouvernement, Ndlr) de la croissance » et du « risque que des économies (…) ne soient pas réalisées ». Ainsi, l’agence a revu sa prévision de croissance du produit intérieur brut (PIB) en 2024 à +1,1%, contre +1,3% précédemment, en raison d’une demande plus faible et d’un commerce net légèrement plus faible. Fitch s’attend à ce que la croissance du PIB atteigne 1,7% en 2025, grâce à la reprise de la consommation privée.

Note financière par les agences : pas d’impact sur la dette ?

Note financière par les agences : pas d’impact sur la dette ?

La dégradation des pays par des agences financières type Standard and Poor ou fiche n’aurait aucun impact d’après l’économiste Sylvain Bersinger (Interview dans la tribune)


Le raisonnement développé ici vaut peut-être pour les États-Unis mais sans doute moins pour un pays comme la France dont les fondamentaux économiques sont nettement moins solides NDLR

Intreview

La dégradation de la note de la dette américaine d’AAA à AA+ par Fitch vous paraît-elle logique ?

SYLVAIN BERSINGER – C’est une décision plutôt inattendue. Comme de nombreux analystes, je ne m’y attendais pas. Est-ce pour autant logique ? Je dirais que non. Les arguments de Fitch mettent en avant les blocages entre républicains et démocrates sur le relèvement du plafond de la dette. On peut se demander pourquoi cette dégradation n’est pas intervenue plus tôt, par exemple, il y a une dizaine d’années lorsqu’il y avait déjà des blocages sur le plafond de la dette.

Quels critères justifient cette dégradation ?

Deux éléments ont changé dans le paysage économique par rapport à la dernière décennie. Les ratios de dette publique en fonction du PIB ont explosé aux Etats-Unis et en Europe, et surtout, les affrontements entre républicains et démocrates à Washington vont en s’aggravant. Pour ces raisons, Fitch a peut-être considéré qu’il était pertinent de dégrader la note des Etats-Unis. Cela me paraît malgré tout être une décision au « doigt mouillé », difficile à fonder sur des critères chiffrés. Comment mettre des chiffres sur un climat de tensions politiques ? Le problème n’est, en tout cas, pas économique. De ce point de vue, l’économie américaine va plutôt bien : le chômage est historiquement bas, la croissance se maintient, l’inflation recule.

Quels risques pèsent désormais sur l’économie et les finances des Etats-Unis ?

Le principal risque serait une flambée des taux souverains américains, ce qui reste peu probable et ne se réalise pas pour l’instant. Lorsque l’agence S&P avait dégradé la note des Etats-Unis d’ AAA à AA+ en 2011, rien ne s’était passé sur les taux. Les changements de note n’ont aucun impact sur la dette des grandes économies développées telles que la France ou le Japon. Des pays plus petits en crise peuvent éventuellement en souffrir, comme la Grèce au début des années 2010. Là aussi, la dégradation de la Grèce était peut-être plus une conséquence de la crise politique grecque que sa cause. Les notes ne servent pas à grand-chose si elles n’influent pas sur les taux. En matière d’emprunt public, seules deux questions se posent : les investisseurs consentent-ils à prêter à l’Etat ? Si oui, à quel taux ?

La puissance des Etats-Unis, notamment économique, rend-elle le pays moins moins vulnérable aux notes des agences ?

La théorie voudrait que la dette des Etats-Unis, avec le dollar comme monnaie de réserve, la première armée du monde… soit moins vulnérable aux décisions des agences. Ce « privilège exorbitant », pour paraphraser Valéry Giscard d’Estaing, ne se voit pas dans les faits. Lorsque l’on compare les taux d’emprunt américains aux pays européens, occidentaux comme l’Australie ou le Royaume-Uni, on ne voit pas vraiment de différence.

La dégradation de Fitch peut-elle amener Joe Biden à revoir sa politique de réindustrialisation par des subventions massives ?

Il n’est jamais agréable de subir une dégradation. Pourtant, il n’y a pas de raison que Joe Biden modifie sa politique économique. Une dégradation, ce sont deux économistes qui, après avoir travaillé sérieusement, changent d’avis dans un bureau. Je serais étonné que la première puissance du monde change sa politique en fonction de ça.

Notation financière: Baisse de la note États-Unis

Notation financière: Baisse de la note États-Unis

Fait rare la note financière des Etats-Unis a été abaissée par Fitch en raison de la détérioration constante des normes de gouvernance au cours des 20 dernières années, y compris en matière budgétaire et de dette, malgré l’accord de juin, soutenu par les deux partis, visant à suspendre le plafond de la dette jusqu’en janvier 2025», a déploré Fitch.

La France depuis longtemps a perdu son triple A. Et Fitch 28 avril 2023 a encore dégradé la note financière de la France d’un cran. Celle-ci passant de AA à AA-

La baisse de la note surtout justifiée par les difficultés récurrente à faire sauter le plafond de la dette mais surtout une sanction qui découle
de la «détérioration budgétaire attendue au cours des trois prochaines années», ainsi qu’«une charge de la dette publique élevée et croissante».

En cause comme en France notamment l’augmentation des coûts du régime de retraite et de l’assurance maladie en raison du vieillissement de la population, a encore souligné l’agence de notation.

Les conséquences devraient mécaniquement se faire ressentir sur le niveau des taux et sur l’inflation

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