Archive pour le Tag 'Norvège ?'

Terres rares : un énorme gisement en Norvège

Terres rares : un énorme gisement en Norvège

L’enjeu des terres rares et très stratégique pour le développement des nouvelles technologies et l’approvisionnement dépendait jusque-là de la Chine qui veut fermer le robinet pour conserver sa maîtrise économique et  technique. Du coup ,  en Europe on cherche des alternatives avec de nouveaux gisements aussi le recyclage. La découverte d’un gisement énorme en Norvège constitue évidemment un élément essentiel dans cette problématique même s’il faudra 10 à 15 ans pour rendre l’exploitation opérationnelle.

Un groupe minier qui dit avoir découvert en Norvège le plus grand gisement d’Europe. Selon Rare Earths Norway, le gisement Fensfeltet, au sud du pays recèlerait 8,8 millions de tonnes de ces éléments.

« Il s’agit du plus grand gisement connu d’éléments de terres rares dans notre partie du monde, et il pourrait devenir un élément de base important pour la production des matières premières critiques absolument cruciales pour la transition verte », s’était félicité à l’époque le PDG du groupe public LKAB, Jan Moström, dans un communiqué.
Reste que la mise en service de cette mine n’est pas pour tout de suite. « Un long chemin » reste à parcourir avant une mise en exploitation, a prévenu LKAB. Le PDG a ainsi indiqué : « Nous prévoyons qu’il faudra plusieurs années pour étudier le gisement et les conditions d’une exploitation rentable et durable ».

Covid Norvège : vaccination aussi pour les enfants de 12- 15 ans

Covid Norvège : vaccination aussi pour les enfants de 12 – 15 ans

 

Comme dans d’autres pays la vaccination des enfants est engagée en Norvège.

La Norvège a de nouveau différé jeudi la levée totale de ses restrictions sanitaires, sur fond de nombre record de nouveaux cas de Covid-19 ces derniers jours, et a étendu l’offre de vaccins aux 12-15 ans.

 

Captage et le stockage du CO2: un investissement d’1,6 milliards d’euros de la Norvège dans un procédé douteux

Captage et le stockage du CO2: un investissement d’1,6 milliards d’euros de la Norvège dans un procédé douteux

 

La technique du captage et stockage du CO2 est utilisée depuis des décennies, principalement en Amérique du Nord. Lors de la production et du traitement du gaz naturel par exemple, le CO2, gaz associé, est séparé pour obtenir un gaz de plus haut pouvoir calorifique. Cette technique est utile aussi dans l’extraction du pétrole: l’injection sous pression de CO2 dans le gisement permet d’améliorer le taux de récupération du pétrole.

Les procédés de séparation du CO2 dans des centrales électriques sont déjà testés dans des installations pilotes; l’utilisation commerciale d’un système CSC complet est en revanche encore à venir. Car les coûts et la consommation d’énergie sont encore très élevés, et les risques en relation avec l’ensemble du procédé, du captage au transport et au stockage à long terme, doivent encore être éclaircis et minimisés.

Le gouvernement norvégien a indiqué ce lundi vouloir investir 16,8 milliards de couronnes (1,6 milliard d’euros) dans le captage et stockage de carbone (abrégé CSC en français ou CCS en anglais pour « Carbon capture and storage« ), une technologie jugée prometteuse pour le climat mais extrêmement coûteuse.

L’annonce survient le jour même où le groupe Extinction Rebellion menait une action à Oslo pour protester contre la politique pétrolière de la Norvège, plus gros producteur d’hydrocarbures d’Europe de l’Ouest.

Baptisé « Longship » du nom des bateaux vikings, « c’est le plus grand projet climatique jamais réalisé dans l’industrie norvégienne », a déclaré la ministre du Pétrole et de l’Énergie, Tina Bru, en présentant un Livre Blanc sur le CCS.

Le gouvernement dit vouloir financer prioritairement la réalisation d’un projet de captage et stockage de CO2 sur une usine de ciment à Brevik, dans le sud du pays.

La Norvège le « pays le plus heureux du monde », la France 31e

La Norvège le « pays le plus heureux du monde », la France 31e

La Norvège. En tête World Happiness Report 2017, un classement du bonheur -et créé par le  »Réseau des solutions pour le développement durable » (SDSN), un programme mondial lancé par l’Organisation des Nations Unies (ONU) en avril 2012. La Norvège est suivie dans l’ordre par le Danemark (2e), l’Islande (3e), la Suisse (4e), la Finlande (5e), les Pays-Bas (6e), le Canada (7e), la Nouvelle-Zélande (8e), l’Australie (9e) et la Suède (10e). Les Etats-Unis se classent 14e, l’Allemagne 16e, le Royaume-Uni 19e et la France 31e. La queue du peloton des 155 pays étudiés est formée de pays d’Afrique sub-saharienne, Soudan du Sud, Liberia, Guinée, Togo, Rwanda, Tanzanie, Burundi et République centrafricaine, qui ferme la marche. S’y ajoutent la Syrie et le Yémen, dévastés par la guerre civile. « Les pays heureux sont ceux qui jouissent d’un équilibre sain entre la prospérité, mesurée de manière conventionnelle, et le capital social, qui signifie un degré de confiance élevé dans une société, des inégalités faibles et la confiance dans le gouvernement », a expliqué à Reuters Jeffrey Sachs, directeur du SDSN et conseiller spécial du nouveau secrétaire général de l’ONU, António Guterres. L’objectif de ce cinquième rapport annuel est de fournir un outil supplémentaire aux gouvernements, aux milieux d’affaires et à la société civile pour améliorer le bien-être de leurs pays, dit-il. Le classement est établi en fonction de six facteurs: produit intérieur brut par habitant, espérance de vie en bonne santé, liberté, générosité, aide sociale et perception de la corruption dans le gouvernement ou les affaires.

(Avec Reuters)

Interdiction de l’essence et du diesel en 2025 en Norvège ?

Interdiction de l’essence et du diesel en 2025 en Norvège ? 

C’est ce qu’annonce un journal norvégien Dagens Næringsliv. En fait rien n’est vraiment encore décidé surtout concernant la date. Cependant le développement des voitures électriques est tout à fait impressionnant puisque en 2015 25 % de voitures vendues étaient électriques. Succès permis par la suppression de toutes taxes sur les véhicules électriques alors que la fiscalité représente environ 50 % du prix pour un véhicule à moteur thermique. Il est clair que l’avenir du véhicule électrique dépend pour une très grande part de l’évolution de la fiscalité en Norvège comme en France ou ailleurs. Pour autant certains Etats, comme la France par exemple, ne sont pas prêts à abandonner cette manne que représente la fiscalité sur les véhicules automobiles. En outre l’industrie automobile représente une activité très importante dans nombre d’économies et il n’est pas étonnant qu’on hésite à opérer une mutation du thermique vers l’électrique dans la mesure où les véhicules électriques seraient susceptibles d’avoir une durée de vie égale au double de celui d’un véhicule à traction thermique. Jusqu’à maintenant, la Norvège a favorisé les ventes de véhicules électriques à coups de généreuses subventions. Mais ce gros producteur de pétrole pourrait changer de méthode. Dans 10 ans, les Norvégiens seront-ils contraints de ne rouler qu’à l’électrique? La Norvège est aujourd’hui, de loin, le pays préféré de Tesla. Elon Musk n’hésite jamais à louer la politique favorable aux voitures électriques de cet État qui doit sa fortune à ses réserves de pétrole. Vendredi 3 juin, le patron du constructeur automobile californien s’est donc empressé de rendre hommage à Oslo sur Twitter après avoir lu un article d’un journal norvégien, le Dagens Næringsliv sur un projet du gouvernement. On y apprenait que la vente de voitures à moteur thermique (essence, diesel ou gaz) serait bannie dès 2025. Pour Tesla, comme pour tous les constructeurs qui disposent de voitures électriques dans leur catalogue, la nouvelle avait de quoi donner le sourire. Au regard de la population de ce pays, les ventes du constructeur californien y atteignent déjà des niveaux impressionnants. En 2015, comme en 2014, plus de 4.000 Model S neuves y ont été immatriculées. Un succès qui, pour le moment, tient avant tout aux très généreuses subventions qu’accorde l’État aux acquéreurs de véhicules électriques. Ces derniers sont exonérés de TVA et des autres taxes qui renchérissent de 50% le prix des automobiles à moteur thermique. En mars dernier, un tiers des voitures vendues étaient des voitures électriques. Mais le temps de la carotte est de toute évidence révolu, l’objectif fixé par le gouvernement -50.000 voitures électriques vendues grâce à ces subventions- ayant été atteint. . Les écologistes, pionniers sur le sujet, prônent eux d’attendre 2030 pour délaisser définitivement les moteurs thermiques. D’autre part, selon Ola Elvestuel, membre du parlement et président de la commission écologie et énergie, l’annonce du Dagens Næringsliv serait « trompeuse ». « Le gouvernement veut effectivement éliminer les émissions polluantes, mais il n’a pas encore évoqué l’interdiction des ventes de véhicules à moteur thermique », a-t-il indiqué sans pour autant démentir catégoriquement les affirmations que le Dagens Næringsliv a publié en Une.

 

(Avec BFM)




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