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Valls : non aux nouvelles demandes du MEDEF

Valls : non aux nouvelles demandes du MEDEF

 

On le sait Hollande et Valls n’ont guère apprécié les nouvelles demande du MEDEF relatives au SMIC, aux 35 heures ou encore à la remise en cause des CDI. En outre pour rallier les voix des frondeurs il fallait prendre une posture d’autorité vis-à-vis du patronat même si Valls a reconnu que ce sont les entreprises qui créent la richesse et donc l’emploi. C’est donc un non ferme opposé à la baisse du salaire minimum, un non au nouveau modèle social réclamé par Gattaz, un non à la flexibilité du contrat de travail. Le Premier ministre a aussi mis en demeure les branches professionnelles d’engager enfin les discussions du pacte de responsabilité. Pour enfoncer le clou et se dégager de son image libérale, Valls a même adressé un carton jaune au ministre du travail.   »Les demandeurs d’emploi ne doivent pas être stigmatisés. Personne n’aspire à devenir chômeur, ni à le rester », a-t-il plaidé. Assurant gouverner au nom de l’efficacité et non de l’idéologie, le premier ministre s’est démarqué du Medef en rejetant leurs propositions parues dans la presse. « Réformer, ce n’est pas casser. Réformer, ce n’est pas régresser. Et comme je l’ai déjà dit, il n’y aura pas de remise en cause des 35 heures ni de la durée légale du travail », a-t-il martelé, refusant toute réduction du Smic ou encore la suppression du CDI. Et pour gauchir un peu plus sa posture Valls a généreusement lâché une prime exceptionnelle pour les retraités à moins de 1200 euros par mois (à défaut de augmentation prévue puis annulée !), soit 40 euros !

 

Indépendance de l’Ecosse : le non majoritaire ?

Indépendance de l’Ecosse : le non  majoritaire ?

Les partisans du non à l’indépendance écossaise l’emporteraient avec 54% des voix contre 46% pour les indépendantistes, selon un sondage publié samedi et réalisé pour le camp du maintien de l’Ecosse au sein du Royaume-Uni. L’enquête a été réalisée par l’institut Survation, dont le précédent sondage donnait déjà le camp du « non » en tête mais avec une avance plus réduite (53% contre 47%). Le ton s’est parallèlement durci entre les partisans du « Yes » et ceux du « No » à l’indépendance. L’Ordre d’Orange, fondé en 1795 pour protéger les intérêts de la communauté protestante en Irlande, participait à ce rassemblement. Ses dirigeants expliquent qu’ils se sentent tenus de manifester aux côtés de leurs « frères écossais ». Les manifestants, qui ont défilé aux sons d’orchestres de flûtes et de tambours, estiment que les indépendantistes menacent leur culture et leur histoire. Mais, après 307 ans d’union avec l’Angleterre, la campagne tourne surtout autour de l’avenir de l’économie écossaise en cas de victoire des indépendantistes. Samedi, le vice-président du Parti nationaliste écossais (SNP), Jim Sillars, a annoncé que des entreprises comme les banques ou la compagnie pétrolière BP qui ont exprimé leurs craintes en cas de victoire du « oui » pourraient être exposées à des mesures de rétorsion.   »Avec ce référendum, il est question de pouvoir. Par conséquent, lorsque nous aurons une majorité de ‘Oui’, nous nous en servirons pour réclamer des comptes à BP et aux banques », a-t-il dit dans les médias écossais. Le camp nationaliste accuse le Premier ministre britannique David Cameron d’avoir orchestré dans ces derniers jours avant le scrutin une campagne d’intimidation impliquant le patronat britannique sur le thème des incertitudes économiques et financières d’une Ecosse indépendante. Mais les propos de Sillars vont bien plus loin que les dénonciations portées par le chef du SNP, Alex Salmond. « BP, dans une Ecosse indépendante, devra apprendre la signification du mot nationalisation, partielle ou totale », a-t-il ajouté, avant de préciser sur l’antenne de la BBC qu’il avait bien brandi la menace d’une nationalisation mais pour attirer l’attention des médias sans pour autant qu’un tel projet soit sur la table.

Thévenoud ne payait pas non plus son loyer depuis 3 ans ! Et alors ?

Thévenoud  ne payait pas non plus son loyer depuis 3 ans ! Et alors ?

 

C’est évidemment de l’acharnement médiatique contre ce pauvre Thévenoud qui ne payait pas ses impôts depuis 3 ans mais qui ne payait pas non plus sn loyer depuis la même date. Est-ce une raison pour le mettre au banc de de la société des élus en l’accablant  ainsi , dautant qu’il a été le pourfendeuer de la fraude fiscale, le procureur de la rigueur, l’accsateur  de cahuzac? De toute manière sur le banc des députés il y restera, même sas étiquette PS. Ce sera toujours une voix de plus pour un gouvernement à la recherche de sa majorité. Finalemenet une combine qui arrange le PS et Thévenoud qui ne veut pas se retrouver sans boulot. Enfin presque puisqu’il avait auusi créé une société qu’il avait auusi oublié de déclarer dans sa déclaration d’intérêt. Il dit qu’il manifeste une phobie à légard des papiers, on se demande ce qu’i fait à l’assemblée qui ne produit que de la paperasse ! Après ses problèmes fiscaux et l’annonce de son départ du Parti socialiste, les révélations sur l’ancien ministre Thomas Thévenoud se multiplient donc. Selon Le Canard Enchaîné, il reconnaît ne pas avoir payé ses loyers pendant trois ans. Le propriétaire l’a d’ailleurs dénoncé auprès du ministère de l’Intérieur la semaine dernière. Rappelons que Thomas Thévenoud occupait un appartement dans le Vème arrondissement de Paris. Le propriétaire des lieux l’avait déjà menacé d’expulsion. L’ex-ministre s’est justifié en déclarant qu’il souffrait d’une « phobie administrative ».

 

2017 : Non à une candidature de Hollande pour 85% des Français

2017 : Non à une candidature de Hollande pour 85% des Français

 

Petit a petit tous les sondages tendent vers les mêmes chiffres,  Hollande a tout au plus 15% de partisans chez les Français, Un rejet global de sa politique actuelle et maintenant surtout le souhait ne plus le revoir en 2017. Une situation historique ; Autant de Français estiment d’ailleurs qu’il sera dans l’incapacité de se représenter. Selon un sondage IFOP-JDD, 85% des Français ne souhaitent pas que le Président postule à un second mandat. Ce qui constituerait une première (excepté le cas de Georges Pompidou) dans l’histoire de la Ve République. Même les sympathisants socialistes (65%) ne souhaitent pas que François Hollande se représente. Le pronostic est plus serré. Il reste minoritaire puisque 55% des personnes pensent qu’il ne sera pas candidat en 2017. Seulement 16% jugent qu’il sera « certainement » sur la ligne de départ de la prochaine présidentielle. Que peut faire François Hollande après la folle semaine? Plus de trois Français sur dix Français lui conseillent de ne « rien » faire et d’attendre la fin de son mandat. Cela ressemble à de la résignation. La carte du remaniement n’est plus réclamée que par 11% des Français. Il faut dire que le gouvernement de Manuel Valls est en place depuis cinq mois et a déjà subi des replâtrages. La vraie surprise c’est la tentation de la dissolution qui passe en moins de trois mois de 17 à 23%. Avec sans surprise des pics au FN (46%) et à l’UMP (31%). Au rayon des reproches faits au Président, ce sont les promesses non tenues qui arrivent en tête (33%). Vient ensuite la façon dont François Hollande incarne la fonction présidentielle (24%) et le manque de résultats de la politique économique (19%).

 

Oui à la dissolution + non à la cohabitation= départ de Hollande

Oui à la dissolution + non à la cohabitation= départ de Hollande

 

C’est l’équation incontournable de l’UMP et qui débouche sur une crise de régime. En fait désormais les grands leaders de droite et du centre réclament  la dissolution qui nécessairement interviendra avant 2017 mais ils ne veulent pas tomber dans le piège de la cohabitation qui serait susceptible de les décrédibiliser et de réhabiliter  la candidature de Hollande pour 2017. Dans ces conditions, le refus de cohabiter impose nécessairement le départ de Hollande. Une hypothèse d’ailleurs vraisemblable car le pays ne pourra supporter encore trois ans ce président incompétent, contradictoire et désinvolte. Ou alors on aura 500 00 chômeurs de plus. De toute manière la France est déjà engagée dans cette crise de régime tellement les organisations politiques sont discréditées. Il ne s’agira pas seulement d’un changement d’une personne  à la tête de l’Etat mais une refondation d’un système oligarchique et à une remise en cause d’une élite complément coupée des réalités économiques et sociales. Elite, qui ne connaît rien mais  en plus méprisante ;  qui pense avoir seule raison avec ses petits marquis des cabinets qui ne sont là que pour accéder plus rapidement aux plus hautes fonctions dans le privé comme dans le public.  Des  énarques en particulier qui dirigent l’administration (ce qui leur seule vocation) mais aussi si l’économie et la politique. Le pire c’est que cette culture énarchique fondé sur des  élucubrations scientistes a gagné presque toues les milieux de réflexion et de décision. Tout le monde doit parler ce langage confus, contradictoire, verbeux y compris dans les milieux patronaux, les médias, les milieux d’expertise. Voir à cet égard la confusion complète relative au concept d’austérité et à la politique qu’elle peut sous-tendre. En partant  Hollande aura peut-être été utile à la France pour enfin que le pays prenne conscience de la nécessité de mesures radicales pour sortir le pays du déclin qui affecte le système politique mais auusi l’ensemble de la société.

Croissance : Merkel dit non à Hollande

Croissance : Merkel dit non à Hollande

 

 

Refus net de Merkel vis-à-vis de la proposition de Hollande concernant la croissance. En clair Hollande est renvoyé dans ses baskets, et sans ménagement comme habitude, par l’Allemagne. Merkel a raison, les causes des difficultés françaises se trouvent en France et non en Allemane mais à l’inverse l’Allemagne devrait être attentive à la fragilité de la petite reprise en Europe et son économie pourrait être affectée par une baisse de la demande dans la zone euro. D’où sans doute la nécessité de revoir le calendrier d’une austérité qui ne peut mener qu’à la déflation. Notons d’ailleurs que la croissance  production industrielle de l’Allemagne s’est nettement tassée en juin. Lundi, dans les colonnes du Monde, François Hollande appelait l’Allemagne à « un soutien plus ferme à la croissance ». Le chef de l’Etat, à l’image de Manuel Valls trois jours plus tôt, estimait que Berlin rendrait « service à la France et à l’Europe » en privilégiant la relance de l’économie par l’investissement. Si Angela Merkel n’a pas souhaité répondre à cette injonction, une porte-parole du gouvernement allemand s’en est chargée lors de sa conférence de presse hebdomadaire, mercredi : « Les déclarations très générales en provenance de Paris ne fournissent aucune raison pour de quelconques corrections dans la politique économique » du gouvernement allemand, a déclaré Christiane Wirtz, interrogée par des journalistes. « L’Allemagne est déjà une locomotive importante, la plus importante même pour la conjoncture de la zone euro », a encore justifié la porte-parole. Autrement dit, Berlin donne déjà beaucoup, c’est désormais à ses partenaires, et en premier lieu à Paris, de faire des efforts. Cette position s’esquissait déjà mercredi matin dans la presse allemande, dont certains articles citaient des « sources » proches de l’exécutif de leur pays. Dans son éditorial, le quotidien de centre gauche Süddeutsche Zeitung a ainsi estimé que le président français attendait à tort « le salut de l’extérieur ». »Le danger d’une aide de l’extérieur est qu’elle ne masque que temporairement l’arriéré de réformes à l’intérieur », poursuivait le journal, résumant assez bien le sentiment allemand. Le quotidien conservateur Die Welt, souvent critique à l’égard de François Hollande, a réagi de façon encore plus dure, voyant dans l’article du Monde « un document étonnant car il s’agit finalement de l’aveu du président français que sa politique économique a échoué ». Sur fond de crise en zone euro, l’Allemagne s’est souvent vu reprocher de ne pas en faire assez pour stimuler la croissance chez elle, et par ricochet chez ses partenaires, alors qu’elle les soumettait à de rudes exigences de discipline financière. Le gouvernement actuel d’Angela Merkel, qui associe conservateurs et sociaux-démocrates, a promis des investissements dans les infrastructures et l’éducation, et mis sur les rails un salaire minimum généralisé en Allemagne, qui pourrait dynamiser un peu la demande intérieure.

 

Non à la réforme territoriale : retenez –moi où je fais un malheur (Baylet- MRG)

Non à la réforme territoriale : retenez –moi où je fais un malheur (Baylet- MRG)

Baylet le président des radicaux de gauche (associés au gouvernement) a poussé un grand cri mais peu l’ont entendu. En clair, il a menacé le gouvernement en faisant démissionner les ministres MRG. Une occasion sans doute pour le grand public d’appendre qu’il y avait des ministres radicaux de l’équipe de Valls : Girardin, Braillard et Pinel. Des noms presque inconnus ! De toute manière, il ya longtemps que le MRG n’aurait plus d’existence sans le PS et tout ce finira par un arrangement. En fait Baylet conteste surtout la future suppression des départements. Une suppression qui n’est pas pour demain. Pour autant Baylet n’a pas complètement tort d’attirer l’attention sur la désertification de nombre de départements ruraux ; mais ce ne sont pas forcément le maintien des conseils génaux qui sont la solution. « Notre désaccord est grave et profond. » Dans un entretien accordé au Nouvel Observateur à paraitre jeudi, Jean-Michel Baylet, le président du Parti radical de gauche (PRG), fait part de toute sa détermination. A l’origine de son mécontentement : la réforme territoriale, que l’Assemblée nationale a adopté le 18 juillet dernier. Le sénateur du Tarn-et-Garonne estime que le texte a été étudié « dans la précipitation et en dehors de toute concertation utile et réelle », excluant des débats « les fonctionnaires territoriaux et les populations ». L’ancien candidat à la primaire socialiste menace le gouvernement. S’il n’est pas entendu, il précise que la ministre du Logement Sylvia Pinel, ainsi que les deux Secrétaire d’Etat Annick Girardin et Thierry Braillard, tous membres du PRG, démissionneront de leur poste. « Sur le fond, nous comprenons la nécessité de la réforme, mais nous disons qu’il faut la faire sur des critères objectifs et sérieux », poursuit Jean-Michel Baylet, qui s’étonne de voir la région Midi-Pyrénées fusionner avec le Languedoc-Roussillon, « deux immenses régions », alors qu’on « ne rattache pas la petite région des Pays-de-la-Loire à la Bretagne pour des raisons d’amitié personnelle avec le président de la République ». Une attaque à peine déguisée à l’encontre du Breton Jean-Yves Le Drian et du Nantais Jean-Marc Ayrault, qui ont manœuvré en coulisses. Le président du PRG demande par ailleurs le maintien du conseil général dans les départements ruraux, « une collectivité de proximité indispensable pour les services et l’aménagement du territoire », en l’absence de grande métropole. Tous les conseils généraux doivent pourtant être supprimés à l’horizon 2020. « Si nous ne sommes pas entendus, si nous arrivons à un point de rupture, alors là, oui, nous prendrons nos responsabilités et nous partirons du gouvernement. Nous en avons voté le principe lors de notre dernier comité directeur », précise Jean-Michel Baylet. Au début du mois de juillet, les radicaux avaient déjà menacé de quitter le gouvernement sans avancées significatives sur le sujet. Les sénateurs avaient alors déposé une motion référendaire afin que la réforme territoriale soit soumise au suffrage universel. L’adoption du texte devant l’Assemblée n’avait pourtant pas été suivie des faits. « Je ne veux pas me conduire comme les Verts qui ne cessaient de menacer de sortir de la majorité gouvernementale », se défend pourtant Jean-Michel Baylet dans cet entretien.

 

Royal dit non au projet d’autoroute dans l’Ouest

Royal dit non au projet  d’autoroute dans l’Ouest

 

Ségolène Royal n’est pas favorable à la construction d’une autoroute de 60 km entre Fontenay-le-Compte (Vendée) et Rochefort (Charente-Maritime). Une obstruction liée, selon la ministre, à la protection de l’environnement mais également aux difficultés de financement de l’autoroute. Son coût est estimé à 900 millions d’euros, dont 137,5 millions d’euros pris en charge par l’État. L’autoroute A831, a-t-elle rappelé, doit traverser le Marais poitevin, qui a retrouvé en 2014 le label de Parc naturel régional, perdu en 1996. Le projet avait reçu en 2011 le feu vert de l’ancien Premier ministre François Fillon. « Je ne transmettrai pas le dossier de consultation technique aux entreprises », en vue d’un appel d’offres, a-t-elle déclaré samedi 26 juillet à l’AFP, confirmant des propos tenus au quotidien Sud Ouest. Pour être mené à bien, ce projet doit obtenir le feu vert du ministère de l’Écologie. « L’enquête d’utilité publique date de dix ans. Il faudrait refaire l’ensemble des études », a-t-elle déclaré. « Par ailleurs, elle a été classée dans les équipements non prioritaires. l’État ne cofinancera pas ces infrastructures ».  »J’appelle au sens des responsabilités », a-t-elle déclaré à l’attention d’élus locaux favorables au projet et notamment de Dominique Bussereau, président UMP du Conseil général de Charente-Maritime, en évoquant l’impact d’un tel projet sur les finances locales. Selon Ségolène Royal, dans la hiérarchie des projets, le département a d’abord besoin d’électrifier deux voies de train, d’améliorer la desserte du port de la Rochelle notamment. Une solution est en outre possible en améliorant la route nationale qui passe par Marans, au nord du département.  Jacques Auxiette, président socialiste de la Région des Pays-de-la-Loire, s’est pour sa part étonné de cette décision :  »La déclaration de Madame Royal intervient de façon totalement improvisée tandis que les services de l’État, mais aussi ceux des collectivités locales, travaillent en étroite collaboration depuis des semaines à la finalisation du projet », a-t-il expliqué.  »J’ai rencontré Michel Sapin pour examiner les conditions de financement des travaux de l’autoroute dont la construction créera de l’emploi, et dont la mise en service apportera de l’activité dans le Sud de la Vendée ». Selon lui, comme d’après Dominique Bussereau, qui s’est exprimé dans Sud Ouest, le coût réel du projet reste à évaluer et le contournement du Marais poitevin était déjà pris en compte. De son côté, Bruno Retailleau, sénateur (UMP) et président du Conseil général de Vendée, a accusé « Ségolène Royal de mentir et de mépriser le peuple dont elle tire pourtant, en tant qu’élue, sa seule légitimité ». Dénonçant en la ministre de l’Ecologie, « l’archétype d’une caste politicienne (…) que les Français rejettent », l’élu en appelle à Manuel Valls qui « ne peut pas tolérer de voir son autorité ainsi bafouée ». Le président du Conseil général de Vendée considère que « cette affaire est un couac de plus pour le gouvernement, mais surtout un véritable boulet qu’il va traîner pendant des mois ».  »Ce qui est en jeu, c’est l’intérêt général », assure l’élu qui promet: « si le gouvernement ne lance pas avant la rentrée l’appel d’offres (pour cet autoroute), il peut s’attendre à une véritable guerre de tranchées ».

Le Sénat dit non à la réforme territoriale

Le Sénat dit non à  la réforme territoriale

En supprimant l’article 1 de la réforme le sénat a exprimé son opposition. Le Sénat a en effet  rejeté vendredi l’article clé de la réforme territoriale qui propose de réduire le nombre des régions en les ramenant de 22 à 14. Les sénateurs ont adopté par 177 voix contre 153 un amendement du groupe Front de gauche qui supprime le premier article du projet de loi contesté par l’opposition de droite et une partie de la gauche. Le Front de gauche, les radicaux de gauche ainsi l’UMP ont voté cet amendement; tandis que le groupe PS, les écologistes et une partie de l’UDI (centriste) ont voté contre. Le président du groupe socialiste du Sénat, Didier Guillaume, a « déploré » la suppression de cet article, accusant le Sénat de « refuser de se saisir » de cette réforme. « La droite a mis le Sénat hors-jeu sur la réforme territoriale. C’est pourtant l’essence même de cette assemblée de se prononcer sur une telle réforme », affirme-t-il dans un communiqué. « C’est dommage pour le Sénat, c’est un gâchis pour la France qui a besoin de cette réforme », ajoute le « patron » des sénateurs PS. Le Sénat qui est majoritairement hostile à cette réforme multiplie les obstacles pour l’examen de ce texte que sa commission spéciale avait rejeté.

 

UMP : Non à Sarkozy (Xavier Bertrand)

UMP : Non à Sarkozy (Xavier Bertrand)

C’est pas gagné pour Sarkozy, de plus en plus de leader de l’UMP ne veulent pas le voir revenir à l’UMP, cette fois c’est Xavier Bertrand (lui auusi candidat à la candidature pour 2017). Refus catégorique de Xavier Bertrand pour le retour  de Sarkozy dans une interview au JDD : « La présidence de l’UMP pourrait, si l’ex-Président se présente, se transformer en primaire à la place de la primaire… Vouloir conduire l’UMP n’est pas la même chose que vouloir conduire la France. J’ai toujours été persuadé que personne ne remettrait en cause le principe de la primaire, car c’est un principe démocratique. Nos adhérents l’ont voulu et voté. Tout le monde peut constater qu’il n’y a pas d’homme providentiel aujourd’hui à droite. Personne n’est incontestable. Il faut donc que notre famille politique évolue et épouse une certaine modernité dans le choix de ceux qui doivent porter un projet pour la France. La primaire est un moyen efficace de choisir sans contestation possible de légitimité notre candidat, de mobiliser nos électeurs bien au-delà de nos adhérents et de confronter des idées et des projets. Personne ne devrait en avoir peur. Sarkozy veut « tout changer ». Est-ce crédible après cinq ans à la tête de la France? Lui ne changera donc jamais! Tout changer, la rupture, c’était déjà la promesse de 2007. Et c’est parce que cette promesse n’a pas été tenue que nous avons perdu en 2012. ».

Régions : réforme bâclée et non démocratique

Régions :  réforme bâclée et non démocratique

 

Hollande veut absolument cette  réforme des régions qui seront t au nombre de 14 ; en fait il s’agira d’une fausse réforme, d’abord il n’est pas certain d’obtenir une majorité sur cette seule question, d’autre part il ne peut toucher aux départements sans les 3 /5 ème au parlement. Du coup ce sera un coup d’épée dans l’eau ou presque puisque l’essentiel des dépenses est effectué par les départements (le double des départements). Hollande pourrait faire une vraie réforme mais avec un référendum, ce qu’i ne veut absolument pas car il serait certain de la perdre. En conclusion ce sera une réforme bâclée et non démocratique.  François Hollande avait promis, au lendemain des élections européennes, d’accélérer la réforme territoriale, qui doit conduire à la réduction du nombre de régions. D’après Le journal du Dimanche (JDD) daté du 1er juin, le chef de l’Etat aurait étudié, samedi 31 mai, un scénario d’une France à douze « super-régions », au lieu des 22 actuelles, prélude à un découpage qui sera proposé dans un projet de loi attendu pour la mi-juin. En fait compte tenu de certaines resistances notamment de l’ouest, le nombre est passé à 14. La v raie réforme , celle qui consisterai t à fusionner régions et départements n’aura pas lieu et les économies attendue ( entre 12 et 25 millirds) tout à faat hypothétiques. Comme souvenet avec Hollande on débouche donc sur une réformette, au demeurant anti démocratique puisque décidée en quelques semines sans aucune concertation, ni des régions, encore moins des populations. Le monarque républicain décide seul espérant mais en vain une remontée d’une popularité . Seulemenet 3% des électeurs souhaitant actuellemenet qu’il se représente en 2017 et vraisemblablement uen large majorité souhaitrait son départ dès maiantenant.

Régions : une réforme bâclée et non démocratique

Régions : une réforme bâclée et non démocratique

 

Hollande veut absolument annoncer la réforme des régions qui seraient au nombre dune douzaine ; en fait il s’agira d’une fausse réforme, d’abord il n’est pas certain d’obtenir une majorité sur cette seule question, d’autre part il ne peut toucher aux départements sans les 3 /5 ème au parlement. Du coup ce sera un coup d’épée dans l’eau ou presque puisque l’essentiel des dépenses est effectué par les départements (le double des départements). Hollande pourrait faire une vraie réforme mais avec un référendum, ce qu’i ne veut absolument pas car il serait certain de la perdre. En conclusion ce sera une réforme bâclée et non démocratique.  François Hollande avait promis, au lendemain des élections européennes, d’accélérer la réforme territoriale, qui doit conduire à la réduction du nombre de régions. D’après Le journal du Dimanche (JDD) daté du 1er juin, le chef de l’Etat aurait étudié, samedi 31 mai, un scénario d’une France à douze « super-régions », au lieu des 22 actuelles, prélude à un découpage qui sera proposé dans un projet de loi attendu pour la mi-juin. Selon nos informations, les derniers arbitrages sur cette réforme seront pris lundi, au cours d’un rendez-vous entre le président et le ministre de l’intérieur Bernard Cazeneuve. François Hollande déjeunera ensuite avec le premier ministre Manuel Valls pour évoquer la question. L’annonce officielle de la réforme territoriale voulue par le chef de l’Etat sera faite le lendemain dans plusieurs titres de la presse quotidienne régionale, sous forme de tribune ou d’interview. François Hollande devrait aussi y évoquer la limitation du nombre des régions, le cas des intercommunalités et la suppression des conseils généraux. Dans un nouveau dessin de la carte de France, étudié, d’après le JDD, par le président samedi après-midi « avec Manuel Valls, après une ultime réunion des ministres à Matignon dans la matinée sur la réforme territoriale », les régions sont rassemblées par deux. Une exception : l’Est, où un mariage Champagne-Ardennes, Lorraine et Alsace est envisagé. L’Ile-de-France, la région Provence-Alpes-Côte-d’Azur et la Corse ne subiraient pas de changement, en raison de leur importante « densité de population ».

 

 

Une autre Europe : Merkel dit non à Hollande

Une autre Europe : Merkel dit non  à Hollande

 

 

Pour Merkel, Hollande c’est fini, donc pas question de lui faire la moindre concession. Hollande lors de la rencontre entre les chefs d’Etats européens voulait à nouveau réorienter l’Europe mais Merkel a dit non. Et la BCE (la voix de Merkel) vient de confirmer cette position en réaffirmant que seule l’austérité permettrait de développer croissance et emploi. Désormais Hollande rejeté en France l’est auusi en Europe, il compte beaucoup moi ns que l’Italie qui a trouvé une président qui fait ce qu’il dit et qui gagne aux élections, moins que l’Espagne qui se redresse. Il n’y aura donc aucune nouvelle initiative de l’Europe en matière économique, cela d’autant plus que les institutions européennes sont affaiblies avec la montée de l’euroscepticisme. Pire il est vraisemblable que l’accord de libre échange entre les Etats-Unis et l’Europe sera adopté.  Pour la chancelière, il n’y a pas de raison de changer de politique.  Pourtant, dans son allocution lundi soir, François Hollande a une nouvelle fois plaidé pour une «réorientation de l’Europe». Il l’avait déjà promis durant sa campagne présidentielle, sans parvenir, une fois élu, à modifier en profondeur le cours des politiques de l‘Union européenne. Angela Merkel n’avait, elle, consenti qu’à colorer son discours en y ajoutant des références à la croissance et à l’emploi. Mais il n’était pas question pour elle de changer de point de vue sur les instruments pour y parvenir: assainissement des comptes publics et réformes structurelles. Mardi soir à Bruxelles, pour la rencontre informelle des chefs d’État et de gouvernement de l’UE, elle ne devait pas atténuer ses positions. La capacité du gouvernement français à redresser la situation économique du pays suscite toujours autant d’inquiétude outre-Rhin. L’Allemagne considère avoir déjà accepté beaucoup de concessions et attend des résultats. Berlin a ainsi refusé d’appuyer la réflexion de la France sur le rythme de réduction du déficit, et a clairement repoussé tout débat sur le niveau de l’euro. Mardi, le ministre des Finances Wolfgang Schäuble l’a redit: «Nous devons continuer nos efforts, nous devons nous assurer que nous ne nous cachons pas derrière la politique monétaire.» Dans les cercles du pouvoir, certains considèrent déjà que François Hollande a perdu la présidentielle de 2017 et qu’il faut préparer l’avenir. Pour autant, il n’est pas question de geler toute initiative. «Ici, on a l’impression que les deux premières années du quinquennat ont été plus ou moins perdues, poursuit Claire Demesmay. Or le gouvernement allemand a aussi le sentiment que la situation est désormais urgente et qu’il n’est pas possible d’attendre trois ans.» Berlin ne veut pas se passer de Paris aussi longtemps. Au sein du gouvernement, on sait aussi qu’il faut relativiser les résultats des élections européennes, qui ne sont pas transposables sur une élection nationale.

 

Pharmaciens : rémunérés désormais sur le nombre de médicaments et non sur le prix

Pharmaciens : rémunérés désormais sir le nombre de médicaments et non sur le prix

 

Aujourd’hui, les pharmaciens vendent 2,5 milliards de boîtes de médicaments par an et ils perçoivent 5,3 milliards d’euros de marge calculée sur le prix des médicaments prescrits, explique Philippe Gaertner, président de la FSPF. En 2016, pour des ventes identiques, les pharmaciens recevront toujours 5,3 milliards d’euros «mais 2,5 milliards d’euros proviendront des honoraires de dispensation». L’accord, qui prévoit 0,80 centime d’honoraires de dispensation par boîte en 2015 et un euro en 2016, augmente les sommes perçues sur les médicaments les moins chers et l’abaisse sur les plus chers. Par exemple, une boîte achetée 1,50 euro au fabricant dégagera un honoraire de 1 euro, soit un montant beaucoup plus élevé que la marge actuelle. À l’inverse, un traitement acheté 100 euros au fabricant rapportera 11,91 euros de marge et 1 euro d’honoraires, soit un total de 12,91 euros contre 14,22 euros aujourd’hui. Cette étape «historique» vise à «détacher la rémunération des officines du prix des médicaments», explique Philippe Gaertner. Elle devrait être suivie, à terme, d’un nouvel accord permettant de dissocier les émoluments des officines du volume de médicaments délivrés. L’accord signé mercredi inclut par ailleurs une autre avancée. Sur le modèle du suivi des patients prenant des anticoagulants oraux AVK, mis en place fin 2013, ils pourront être payés pour suivre les patients souffrant de maladies chroniques et gagner 40 euros par an et par patient pour les pathologies concernées.

 

Jérôme Kerviel : bientôt la prison, non la pendaison !

Jérôme Kerviel : bientôt la prison, non la pendaison !

 

La justice ne lâche pas Kerviel qui doit aller en prison pour ses crimes financiers. La prison non, c’est la pendaison en place publique qu’il faut appliquer à celui qui à lui seul est responsable des désastres financiers de toutes les banques françaises. La preuve en dépit des milliards évaporés (la BCE a dû prêter 1000 milliards d’euros aux banques européennes), aucun dirigeant de banques françaises n’a été inquiété. Kerviel est donc bien coupable et le seul si on se réfère à l’inaltérable indépendance de la justice. Pendant ce temps des procès politico –financiers trainent depuis des années et finiront en eau de boudin (surtout avec l’alternance politique). Certes kerviel n’est pas innocent mais lui faire payer seul la facture c’est offrir en pâture au peuple un pauvre type qui a surtout le malheur de n’être ni énarque, no polytechnicien. Le co-président du Parti de Gauche, Jean-Luc Mélenchon, tout comme un sénateur communiste avant lui, s’est notamment porté au secours de Jérôme Kerviel, menacé d’incarcération. « Nous réclamons que toute la lumière soit faite : Kerviel est innocent », a affirmé Jean-Luc Mélenchon dans un communiqué, ce jeudi 15 mai. De son côté, le sénateur communiste Eric Bocquet a écrit à François Hollande pour lui dire qu’il lui paraît « injustifié » que l’ancien trader de la Société Générale soit incarcéré avant que « toutes ces questions » n’aient « trouvé une réponse ». Jérôme Kerviel doit franchir samedi 17 mai la frontière italo-française à Menton, où pourrait se terminer sa marche entamée à Rome car l’ancien trader a été convoqué au commissariat de cette ville des Alpes-Maritimes, préalable à son incarcération. « Pourquoi ne pas attendre (le) nouveau procès avant de s’en prendre à nouveau à Kerviel ? Qu’est-ce qui justifie l’empressement du parquet ? », a questionné l’eurodéputé Jean-Luc Mélenchon. Le 19 mars, la Cour de cassation a validé la condamnation de Jérôme Kerviel à cinq ans de prison dont trois ferme, mais annulé les dommages et intérêts de 4,91 milliards d’euros équivalents à la perte déclarée par la Société générale. Un nouveau procès doit donc se tenir devant la cour d’appel de Versailles. Selon Jean-Luc Mélenchon, le fait que la Cour de cassation ait annulé la condamnation de Kerviel à verser des dommages et intérêts est « la preuve que les accusations de la Société Générale contre Jérôme Kerviel ne tenaient pas ».

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