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Grèce : non à un délai pour le FMI, l’intox continue

Grèce : non à un délai pour le FMI, l’intox continue

 

Nouvelle intox cette fois du coté du FMI pour faire pression sur la Grèce mais aussi sur l’Europe. Lagarde répète bêtement ce que disent les tecnos du FMI ( comme elle répétait bêtement les communiqués de Bercy quand elle était ministre des finances ou pire accordait bêtement 400 millions à Tapie cette fois sur recommandation de tapie). Tout cela est de l’intox pure et la négociation va encore durer des semaines, voire des mois ou des années.  Le Fonds monétaire international (FMI) a privé jeudi la Grèce de tout espoir d’éviter un défaut à la fin du mois si elle ne lui rembourse pas 1,6 milliard d’euros, entretenant une guerre des nerfs avec un gouvernement grec qui maintient son discours de fermeté face aux exigences des créanciers. Les ministres des Finances de la zone euro étaient réunis à Luxembourg pour une réunion qui n’a que brièvement été présentée comme celle de la dernière chance, la Grèce ayant affirmé qu’elle n’entendait pas y discuter de nouvelles propositions. Pour le ministre des Finances irlandais, Michael Noonan, il reviendra au sommet des chefs d’Etat et de gouvernement européens de la semaine prochaine de lever définitivement, si possible, l’hypothèque d’un défaut grec. Le président de l’Eurogroupe, Jeroen Dijssebloem, a dit pour sa part que l’Eurogroupe n’avait pas discuté de la proposition de la Grèce d’une restructuration de sa dette parce qu’il voulait au préalable une mise en oeuvre des réformes promises.   »Nous n’avons pas discuté de cette proposition parce que l’ordre logique des choses est d’obtenir d’abord un accord sur les termes de l’accord en matière de mesures budgétaires, de réformes, etc., avant de regarder vers l’avenir », a-t-il dit. Le blocage de la situation a des conséquences concrètes en Grèce où les déposants ont retiré deux milliards d’euros sur les trois premiers jours de la semaine, soit environ 1,5% du montant total des comptes bancaires du pays, qui s’élevait à 133,6 milliards d’euros fin avril, selon des sources. Athènes a en outre fait état d’une chute de 24% des recettes fiscales en mai, même si le pays a dégagé un excédent primaire, soit avant service de la dette, sur la période janvier-mai. Christine Lagarde, la directrice générale du FMI, a bloqué toute échappatoire en déclarant que la Grèce sera en situation de défaut vis-à-vis du Fonds le 1er juillet si elle ne parvient pas à s’acquitter du remboursement dû le 30 juin.

Non à un duel Hollande-Sarkozy en 2017( sondage)

Non à un duel Hollande-Sarkozy en 2017( sondage)

La changement d’emballage de l’UMP ( les républicain) pas plus que le vote majoritaire pour la motion Cambadélis ne changeront grand chose à l’avis des Français. Ils ne veulent pas d’un duel Sarkozy-Hollande en 2017. Pourtant c’est ce qui se prépare avec Hollande qui se dispense lui même de l’épreuve des primaires à gauche et Sarko qui a monté sa nouvelle boutique uniquement pour obtenir l’ investiture à droite (et qui a permis qu’on siffle Juppé lors de la première réunion «  les républicains »,preuve sans doute de la solidité de l’union et des convictions communes !). Si l’on ajoute à cela que l’arbitre pourrait être Marine Lepen, il y a de quoi être vraiment déprimé.  En effet, 72% des sondés ne souhaitent pas le voir se lancer dans la campagne d’après un sondage mené par Odoxa pour le Parisien/ Aujourd’hui en France publié ce 30 mai, jour du Congrès organisé par le principal parti de d’opposition. Ils sont encore plus nombreux (77%) à rejeter une éventuelle candidature de François Hollande. Chez les sympathisants de droite, le score est plus serré avec 50% contre, 49% pour et 1% qui ne se prononcent pas. Au sein de ce qui s’appelait encore l’UMP au moment du sondage, en revanche, l’ex-président rassemble davantage puisqu’ils sont 66% à se dire favorable à une candidature de Nicolas Sarkozy et 31% à s’y opposer. Le doute plane encore sur le favori des militants de droite avant les primaires qui doivent désigner le candidat officiel pour la présidentielle. En revanche, le nouveau nom du parti remporte un large succès chez les militants UMP. A la veille du congrès du 30 mai, le vote en faveur de ce changement l’a emporté avec plus de 80% des voix au sein des rangs de l’UMP. Juridiquement, les opposants à l’utilisation de ce nom auraient encore des armes. Toutes couleurs confondues, les Français se montrent bien plus dubitatifs sur ce changement de nom. Près de 8 sondés sur 10 estiment que cela ne permettra pas de « donner un nouveau départ » à l’UMP. Coté gauche 75% sont opposés à une  candidature Hollande. Qui n’en tiendra pas compte et qui se considère déjà comme le candidat «  normal » du PS et de la gauche. Conclusion les français ne veulent ni des uns, ni des autres mais ils les auront quand même grâce aux vertus de la démocratie des appareils ! Décidément les principes de la 5éme république sont bien morts, il est temps de passer à autre chose.

Valls à Marseille : opération arrosage électoral…..non, métropolisation

Valls à Marseille : opération arrosage électoral…..non métropolisation

Un petit supplément pour les dotations de Marseille et ses environs dans le cadre di contrat de plan de 1.6 milliards. Valls distribue les subventions d’une région taraudée par la montée de la droite et de l’extrême droite . En fait on fera uen grande métropole avec Marseille, Aix d’autres communes, la deuxième ville de France. C’est la mode de la métropolisation ! Pourquoi pas aussi une seule ville pour toute la région PACA ? On ne parvient déjà pas à gérer Marseille ( sur le plan économique ou sur le plan sécuritaire) mais on agrandit encore. Pourquoi ? Pour avoir davantage de subventions, d’électeurs donc encore de subventions. Et finalement pour aboutir à des villes ingérables dans tous les domaines !  Le Premier ministre Manuel Valls a donc  réaffirmé vendredi l’engagement du gouvernement en faveur de la métropole Aix-Marseille-Provence et de la deuxième ville de France où, selon lui, « plus qu’ailleurs, l’Etat doit incarner l’action ». Entouré de neuf ministres, il a présidé en préfecture un comité interministériel pour la future métropole, qui doit voir le jour le 1er janvier 2016 sur un territoire englobant 92 communes et 1,8 million d’habitants. « C’est une première, mais pas un premier pas. Il s’inscrit dans un engagement voulu en 2012 par Jean-Marc Ayrault. » Son prédécesseur à Matignon s’était à l’époque engagé à aider au développement de l’agglomération marseillaise en ciblant la sécurité et la métropole. L’Etat contribue aux investissements de la région grâce au contrat de plan Etat-région à hauteur de 1,6 milliard d’euros. Manuel Valls a souligné que ce contrat financé à parts égales par les deux parties permettrait notamment le financement d’un plan campus à hauteur de 120 millions d’euros, l’engagement de 290 millions d’ici 2020 dans des projets ferrés et routiers à Marseille et de 300 millions d’euros dans le développement économique du grand port maritime de Marseille. « Quand le catalogue est bon pour la ville, je prends », a dit la sénatrice socialiste Samia Ghali, maire de l’un des huit secteurs de la ville. Le Premier ministre a confirmé un « surcroît de dotation de 50 millions par an » pour accompagner les investissements de la future métropole, une « somme ridicule et inadaptée au regard du territoire » selon Nicolas Isnard, le président de l’une des six intercommunalités qui doit être englobée dans la future entité.

 

Présidentielle 2017 :non à Hollande pour 77%

Présidentielle 2017 :non à Hollande pour 77%

 

Curieuse démocratie, il a suffi qu’une  poignée de militants socialistes votent la motion majoritaire pour légitimer la candidature de Hollande en 2017. Pourtant les Français ne veulent pas de cette candidature à 77%. Ils vont comprendre quand les dirigeants socialistes ? La candidature de Hollande relève de l’imposture démocratique puisqu’en même temps il se dispense des primaires ! Si la motion soutenue par le gouvernement a remporté 60% des votes lors du Congrès un Français sur cinq est favorable à une candidature de François Hollande. Si la motion portée par Jean-Christophe Cambadélis est venue valider la ligne du président de la République et de son gouvernement, sa cote de popularité peine toujours à décoller.  77% des Français rejettent une possible candidature de François Hollande à la présidentielle de 2017, selon un sondage Odoxa pour « Le Parisien/iTÉLÉ ». Même les sympathisants de gauche votent majoritairement contre leur chef de file (54%), alors que le pourcentage monte à 90% chez les sympathisants de droite. Des chiffres en léger mieux malgré tout alors qu’ils n’étaient que 15% à appeler de leurs vœux un second mandat présidentiel, contre 21% ce samedi 23 mai. Si les frondeurs ont subi une lourde défaite lors du Congrès du PS, la route est donc encore longue pour François Hollande surtout que les résultats de la motion de Jean-Christophe Cambadélis est à nuancer avec le faible taux de participation des socialistes. Mais le chef d’État ne compte pas baisser les bras alors que pour 58% des Français, ce dernier est déjà en campagne pour 2017. Une situation qu’il avait largement décriée chez son prédécesseur Nicolas Sarkozy, lors d’un meeting au Grand-Quevilly en février 2012 : « Le président candidat et désormais candidat président. Quel bouleversement », rappelle Le Parisien

Migrants : « non aux quotas » ( Valls)

Migrants : « non aux  quotas » ( Valls)

 

Valls dit non aux quotas de migrants décidés par Bruxelles. Une position partagée par de nombreux autres Etats.   qui en général exigent uen lutte plus efficace contre les passeurs. Mais la position de Valls reste ambigüe puisque parallèlement il milite pour uen politique d’asile décidée par les Etats. Visiblement on essaye de satisfaire à la fois les électeurs de gauche et les électeurs de droite. Selon le syndicat de policiers Unité SGP-Force ouvrière, plus d’une centaine de clandestins en provenance de la corne de l’Afrique via l’Italie affluent chaque jour à la gare de Nice. Le député UMP et président du département des Alpes-Maritimes, Eric Ciotti, avait fait état samedi matin dans un communiqué de « près d’un millier de clandestins » interceptés en trois jours à la frontière franco-italienne. « Cette situation (…) impose une réponse européenne et française ferme », a-t-il dit dans un communiqué, invitant Manuel Valls, en déplacement au festival du cinéma de Cannes, à faire un détour pour constater cette situation sur place. Manuel Valls et Bernard Cazeneuve ont assisté au contrôle de trains à la gare de Menton, rencontré des membres de la police des frontières et visité le péage autoroutier de La Turbie. « Une réponse européenne est indispensable », a déclaré à la presse le Premier ministre, selon qui l’UE doit aller plus loin que les décisions prises au conseil européen du 24 avril. « Il faut (…) créer un système européen de garde-frontières », a-t-il dit. « Il faut ensuite lutter sans relâche contre les filières criminelles de passeurs. » Il a de nouveau plaidé pour une coopération renforcée et « volontariste » entre l’UE et les pays d’immigration.    »

 

Louis Gallois : non aux mini-jobs

Louis Gallois : non aux mini-jobs

 

Louis Gallois, le président du Conseil de Surveillance de PSA Peugeot-Citroën, n’a pas tort de critiquer les mini-jobs, en fait de vrais postes de travail mais sous rémunérés comme le réclame certains au  Medef. Par contre il tort car   on doit prendre en compte le poids des charges de toutes natures qui   plombent la compétitivité, la croissance  et donc  l’emploi.     »Il y a une dignité du travail, il doit être rémunéré. Moi je suis contre les ‘mini-jobs’ à l’allemande ou à la britannique », a expliqué Louis Gallois sur France Inter. « Ce qui me pose problème c’est la remise en cause constante du Smic. Quand on est payé au Smic, on n’arrive pas à faire les fins de mois », a souligné l’ancien patron de la SNCF et d’EADS (aujourd’hui Airbus).  « Payer des gens quatre euros de l’heure  et dire ensuite, ce sera à l’Etat ou aux collectivités locales de faire le complément, ce n’est pas ce que je souhaite », a-t-il affirmé. Plus de 2,4 millions de salariés allemands occupaient en 2013 un « mini-job », ces contrats dispensés de charges sociales dont la rémunération est plafonnée à 450 euros par mois. La mise en place sur le marché français de l’emploi d’un dispositif similaire à celui conçu par l’Ancien responsable de Volkswagen Peter Hartz en Allemagne, a régulièrement été évoquée par le Medef ces dernières années dans le cadre d’une refonte du Code du Travail. Le patron des patrons, Pierre Gattaz, a par ailleurs proposé jeudi aux entreprises d’embaucher, à 80% du Smic, des adultes qu’elles formeraient pendant 18 à 24 mois, une rémunération qui devrait être complétée par d’autres dispositifs pour atteindre le salaire minimum. Pour Louis Gallois, le retour d’un « climat favorable à la reprise de l’emploi » passe avant tout par « un véritable dialogue entre les partenaires sociaux », qui pour l’instant ne parviennent pas à s’entendre. « Ce qui me frappe c’est qu’on ne sent pas une véritable confiance entre les partenaires sociaux, or c’est ce qui fait la force de l’Allemagne », selon lui. « Le coût du travail est un élément mais ce qui est décisif pour les chefs d’entreprise, c’est qu’ils aient une perspective de croissance parce qu’il y a des capacités de production inutilisées actuellement », juge Louis Gallois. A cet égard, « la reprise de l’emploi ne sera que progressive, elle sera plus nette en 2016 qu’en 2015″, estime-t-il.

 

Ambassadeur gay au Vatican? Le pape dit encore non

 Vatican:  Le pape dit encore non à l’ambassadeur gay français 

 

C’est le second refus du Vatican concernant le candidat français pour le poste d’ambassadeur au Vatican. Le Canard enchaîné rapporte mercredi que le pape François a reçu le week-end dernier l’ambassadeur homosexuel choisi par la France pour la représenter au Vatican. Le souverain pontife lui a confirmé son refus, mais l’Elysée espère encore une « réponse positive ».  Ce fut une rencontre d’un quart d’heure au Vatican samedi dernier. Le Canard enchaîné rapporte mercredi que le pape François a reçu « très discrètement » Laurent Stefanini, l’ambassadeur choisi par la France pour la représenter au Vatican. Il lui a confirmé son refus d’agréer sa candidature « en raison de son homosexualité assumée », écrit l’hebdomadaire, qui avait révélé la position du Saint-Siège sur cette nomination. Le pape a ainsi expliqué au diplomate, catholique convaincu, « n’avoir rien contre lui mais qu’en revanche il n’avait apprécié ni ‘le mariage pour tous’ ni les méthodes de l’Elysée qui a tenté de lui forcer la main ». Une source proche du dossier a confirmé à l’AFP l’entrevue entre le pape et Laurent Stefanini, sans en préciser la teneur. François Hollande, qui a tenté de maintenir Laurent Stefanini malgré le refus du Vatican, chercherait « un nouveau postulant », conclut le Canard.  »

 

« Non au bonapartisme de Valls » (Taubira)

« Non au bonapartisme de Valls » (Taubira)

 

Elle a raison Taubira de critiquer Valls( même si elle même n’est pas dune particulière souplesse quand il s’agit de la politique judicaire)  Valls, ce Clémenceau d’opérette qui se prend aussi pour Bonaparte. Après sa critique du contenu de la politique qui ne faiat plus rêver les Français, Taubira attaque Valls sur ses méthodes . Il est vrai que son autoritarisme passe de plus en plus mal auprès d’uen grande partie de la majorité. La tonalité colérique de ses propos devient d’ailleurs de plus en plus ridicule. Ou alors le Premier Ministre est très fatigué et ne contrôle plus ses nerfs et sa déception. Encore hier à l’assemblée nationale il a piqué uen nouvelle colère , ses mains tremblaient comme s’il était agité par  l’inquiétude de la descente aux enfers vers impopularité. Les sondages ne cessent  en effet de lui être défavorable et il paye fort logiquement la débâcle du PS aux départementales. Normal il a voulu nationaliser un scrutin à enjeu local et du coup se trouve en première ligne pour assumer la responsabilité de la défaite. Au-delà des résultats catastrophiques de sa politique ce qui est en cause c’est aussi la posture quasi hystérique qu’il prend pour tout et pour rien. «   je ne changerai pas de politique, je ne reculerai pas, je resterai » Autant de déclarations qui commencent à être usées jusqu’à la corde. Son attitude de mépris (d’insulte même, voir se déclarations vis à vis des écolos d’EELV au congrès de la FNSEA) vis-à-vis de certains de sa majorité n’est évidemment pas très compatible avec un débat démocratique serein. C’est clair Valls joue et surjoue pour laisser dans l’opinion une image d’autorité. En creux pour monter que lui à la différence de Hollande,  le mollasson, il sait décider, il sait tenir uen ligne. Tout cela évidemment dans la perspective de 2022 voire même de 217 si Hollande ne parvient pas à redresser sa popularité. Valls est dans uen stratégie de posture. Une posture qui d’ailleurs ne tardera pas à créer un conflit avec Hollande qui au contraire tente d’arrondir les angles avec sa majorité en adoucissant nombre de réformes prévues ( pacte de responsabilité, code du travail, budget). C’est l’opposition entre l’homme qui se veut celui de la réforme et celui qui se veut l’homme de la synthèse et du consensus mou. 

Non à l’accord nucléaire avec l’Iran !! ( Fabius)

Non à l’accord nucléaire avec l’Iran !! ( Fabius)

 

Encore une  belle positon de principe de la France concernant le nucléaire de l’Iran . Fabius a commencé par dénoncer l‘amorce d’accord mais progressivement il adoucit sa position car les américains progressent dans la voie dune solution. L’Europe aussi . Du coup Fabius se fait moins sévère. Une position de principe ( comprendre de salon) finalement assez proche de celle que la France a prise-pour le moment- vis-à-vis de la Syrie. Notons qu’on inquiète moins vis-à-vis d’autres pays qui disposent de larme nucléaire. Qui possède déjà la bombe ? Sept pays possèdent la bombe atomique au vu et au su de la planète. Les plus anciens membres du «club» sont les cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies : États-Unis (environ 1 700 têtes déployées), Russie (environ 1 500), France (moins de 300), Grande-Bretagne (environ 160) et Chine (environ 240). Ces pays sont, qui plus est, signataires du Traité de non-prolifération (TNP), un document qui reconnaît à tous les pays du monde le droit à l’énergie nucléaire civil, et les engage à ne pas disséminer le nucléaire à usage militaire. Deux autres pays, l’Inde et le Pakistan, sont officiellement devenus des puissances nucléaires en procédant à plusieurs essais en 1998. Ces deux frères ennemis ont créé un équilibre de la terreur régional. Ils ne sont pas signataires du TNP. Ils posséderaient une centaine de têtes nucléaires chacun. Israël, qui maintient l’ambiguïté : ni confirmation, ni démenti lorsque le sujet est abordé. Il s’agit, en réalité, d’un secret de polichinelle. L’État juif s’est doté du feu nucléaire dès les années 1960, avec probablement l’aide de la France et des États-Unis. Il possède, selon les estimations, entre 80 et 200 ogives. Enfin vraisemblablement la Corée.

Non à Bachar al Assad ( Valls) !!!!

Non à  Bachar al Assad ( Valls) !!!!

 

 

Toujours le politiquement correct en Syrie. La France ( d’autres aussi) a protesté avec vigueur contre uen éventuelle alliance avec Assad qu’a  envisagé Kerry, le secrétaire d’Etat américain. La France qui ne veut s’allier qu’avec des chefs d’Etat vertueux. Oui mais lesquels dans la région. Une position moralement parfaite mais militairement inefficace car dans la région seule la Syrie possède uen armée capable de s’opposer à l’Etat Islamique. Par ailleurs il y a bien d’autres dictatures  dans le monde avec lesquels la France ( et d’autres) acceptent de s’allier. Bien évidemment au fil des mois la position de la  rance va évoluer mais pour l’instant les droits de l’homme servent à dissimuler notre impuissance. Assad est un assassin, c’est sur mais c’est mieux de s’allier avec la Chine, les émirats, l’Iran, l’Algérie ? « On ne fait de la politique que sur les réalités »  avait dit en son temps De Gaulle. La France a refusé lundi toute « remise en selle » de Bachar al Assad, une option qui équivaudrait selon Paris à faire un « cadeau scandaleux » aux combattants djihadistes de l’Etat islamique qui contrôlent une partie de l’Irak et de la Syrie.  Les déclarations du secrétaire d’Etat américain John Kerry, qui a estimé dimanche que les Etats-Unis devraient « au final » négocier avec « le régime Assad » pour une transition politique, ont ravivé le débat sur l’opportunité de parler avec le président syrien quatre ans après le début du conflit. Prié de dire lundi soir s’il regrettait les propos de John Kerry, le Premier ministre français, Manuel Valls, a répondu: « oui, bien sûr ». Bachar al Assad « est le responsable de dizaines de milliers de morts (…) donc attention », a-t-il dit au Grand Journal de Canal+. « Il n’y aura pas de solution politique, il n’y aura pas de solution pour la Syrie tant que Bachar al Assad restera, et John Kerry le sait. »  Un peu plus tôt dans la journée, à Bruxelles, le chef de la diplomatie Laurent Fabius avait écarté tout changement de ligne à l’égard du régime, indiquant s’être entretenu à ce sujet dans la matinée avec John Kerry. « Il m’a assuré qu’il n’y avait absolument rien de nouveau dans la position américaine sur la Syrie », a-t-il dit à la presse. « Notre politique extérieure par rapport au drame épouvantable qui se passe en Syrie n’a pas changé, elle est dictée à la fois par l’exigence de la paix et par le droit international » a-t-il souligné. Un belle formule mais sans contenu opérationnel.

 

L’Islande dit non à l’Europe

 

L’Islande dit non à l’Europe

. « Les intérêts de l’Islande sont mieux servis en dehors de l’Union européenne », a indiqué le gouvernement islandais . Un gouvernement de gauche avait déposé sa candidature à une époque où une grave crise financière avait ébranlé la confiance des citoyens dans leurs institutions, et suscité l’envie de rejoindre la zone euro au vu de la chute de la valeur de la couronne. Mais une question est toujours en suspens: comment combler le fossé entre Bruxelles et Reykjavik sur les quotas de pêche, pilier de l’économie islandaise. Ce sujet épineux n’a jamais été abordé lors des négociations entre juin 2011 et janvier 2013. Dès son accession au pouvoir en avril 2013, le parti de centre droit avait mis un terme aux discussions. Le Parti du progrès (centriste et agrarien) du Premier ministre Sigmundur David Gunnlaugsson est farouchement opposé à l’Union européenne, tandis que le Parti de l’indépendance (conservateur, proche des milieux d’affaires), plus divisé, a tenté d’imposer l’idée d’un referendum qui n’aura pas lieu. L’Islande a dit vouloir maintenir « des relations et une coopération étroites » avec l’UE, avec laquelle le pays est lié via l’Association européenne de libre-échange (AELE) et la convention de Schengen qui permet la libre circulation des personnes. En 2008 en effet, le système bancaire islandais s’était effondré. Une conséquence des défauts de remboursement d’emprunts immobiliers qui s’étaient multipliés en raison de la crise de l’immobilier. La violence de la crise dans le pays a fait exploser l’inflation, et par là-même les traites des ménages. Le gouvernement actuel avait alors pris la décision d’annuler jusqu’à 24.000 euros de dette de chaque ménage islandais qui avait contracté un emprunt immobilier, soit 80% de la population. Une mesure qui devait coûter jusqu’à 150 milliards de couronnes sur quatre ans, soit plus de 900 millions d’euros.

Pétrole- OPEP : non au schiste

Pétrole- OPEP : non au schiste

Ce n’est pas tellement par préoccupation environnementale que le secrétaire général de l ’OPEP se refuse à envisager de subventionner le pétrole de schiste mais surtout pour contraindre à stopper les investissements dans ce domaine et ainsi pour faire remonter les cours. Avec un pétrole dont les prix sont bas comme actuellement ces investissements ne peuvent être rentable ; ils ne peuvent l’êtrer qu’à partir de 100 dollars. L’OPEP ne doit donc pas réduire sa production pour « subventionner » le schiste, une source d’énergie récente à laquelle l’organisation des pays exportateurs de pétrole impute la chute des cours du brut depuis l’an dernier, a dit son secrétaire général. « Cette source d’énergie est trop chère à produire. On ne peut pas produire à 70, 80 ou 90 dollars; il faut 100 dollars voire plus pour produire, vendre et faire du bénéfice », a dit dimanche Abdullah al-Badri, dans le cadre d’une conférence à Bahreïn. Les prix de l’or noir sont tombés non loin de leurs plus bas niveaux en six ans ces derniers mois, conséquence d’une surabondance de l’offre qui s’explique essentiellement par l’essor de la production de schistes aux Etats-Unis, et par un tassement de la demande mondiale. « L’OPEP ne peut pas subventionner une nouvelle source d’énergie (…) Si nous diminuons (la production) en novembre, nous réduirons en janvier, en décembre, pendant encore quatre à cinq ans peut-être », a ajouté al-Badri. « Le schiste n’est pas un défi pour nous (…) Nous le saluons mais c’est au marché de décider à présent ». Badri a également dit que les producteurs, qu’ils soient membres de l’OPEP ou pas, devaient collaborer pour stabiliser le marché, laissant entendre que l’excédent d’offre pourrait représenter deux millions de barils par jour (bpj). Depuis 2008, l’offre hors-OPEP a augmenté de près de six millions bpj, a-t-il noté, alors que la production de l’OPEP s’est stabilisée autour de 30 millions bpj. Selon Badri, la situation réelle du marché ne sera pas visible avant la fin juin, ajoutant qu’il était hors de doute que le marché s’équilibrerait durant le second semestre 2015.

 

Valls : « non à l’humour de Hollande »

Valls : « non à l’humour de Hollande »

Ce n’est pas l’ humour( ni même la modestie)  qui caractérise Valls dont la tête est largement disproportionnée par rapport à la dimension du personnage. Il n’apprécie pas l’humour de Hoolnde surtout quand ce denier lors de la remise des insignes de l’ordre national du mérite ( drôle de tradition d’ailleurs de distinguer quelqu’un avant qu’il ait prouvé quoi que ce soit !) a suggéré que Valls pourraiat faire uen carrière politique sans être nécessairement président de la république. Entre la raideur autoritariste de Valls et l’humour de bistrot de  Hollande ,il y a un fossé, celui qui sépare le faux dur du mollasson rigolard. Mais  Hollande gagnerait à être plus sérieux et Valls à ne pas s’y prendre.  Les deux hommes s’apprécient : Manuel Valls affirme avoir « beaucoup d’affection » pour François Hollande, avec qui il travaille « en harmonie ». Mais parfois, le Premier ministre n’apprécie pas trop les sorties du chef de l’Etat. Comme le 22 octobre dernier, lorsque le Président lui a remis les insignes de grand-croix de l’ordre national du Mérite. A l’Elysée, à l’adresse de Manuel Valls, François Hollande était revenu sur le parcours de George Clemenceau : « Il n’est pas devenu président de la République, mais on peut réussir aussi son existence sans être président de la République. » Une petite phrase qui n’a pas plu à Manuel Valls. « C’était inutile. Inutile », estime le Premier ministre dans le magazine Le Point. « Ce n’était pas le Président qui parlait, c’était François Hollande, qui ne résiste pas à aller toujours un peu loin. Alors que nous étions dans un moment solennel! », renchérit le locataire de Matignon. Malgré les difficultés, ce dernier n’a pas l’intention de quitter le gouvernement avant 2017. « Je vais jusqu’au bout! », affirme-t-il dans l’hebdomadaire. « Ce qui me frappe et m’angoisse, c’est la gravité du moment. Je ne peux pas partir, je ne peux pas donner le sentiment que je suis dans le calcul. Et puis, j’ai encore de belles années devant moi! », conclut Manuel Valls.

 

Nina Ricci : fraude fiscale ? non, maladresse des avocats d’affaires

Nina Ricci : fraude fiscale ? non,  maladresse des avocats d’affaires

C’est vraiment de la mesquinerie pure et simple, l’héritière de Nina Ricci est convoquée dravant le tribunal  pour une fraude ridicule de 19 millions  d’euros. Sûrement eu erreur de reports de chiffres car une fraude aussi minime  n’est pas à la hauteur de la tricherie potentielle. On espère évidemment la magnanimité de la justice car les faits reprochés ne peuvent être dus qu’à l’incompétence des avocats d’affaires qui n’ont pas su suffisamment solliciter l’ingénierie fiscale et comptable qui permet normalement d’échapper à l’impôt. Les vrais coupable incompétence ce sont eux :  les comptables, les avocats d’affaires, les banques. Surtout pour une somme aussi modeste que représentent  20 millions pour ‘l’héritière de Nina Ricci ? C’est comme pour Liliane Bettencourt l’équivalent de 20 euros pour un smicard. C’est donc une sorte d’inquisition fiscale de la part du bolchévique gouvernement de Hollande et Macron. Il l’avait bien dit en son temps Hollande «  l’ennemi c’est la finance ». Il tient parole notre Chavez français. Encore une peu et il va présenter et se proclamer de gauche en 2017.   Le procès qui s’ouvre aujourd’hui aura une valeur d’exemple: Arlette Ricci, héritière de la maison de couture Nina Ricci, doit être jugée à partir de ce lundi devant le tribunal correctionnel de Paris pour fraude fiscale, sous l’accusation d’avoir dissimulé des fonds sur des comptes en Suisse. La petite-fille de Nina Ricci est accusée d’avoir caché au fisc 18,7 millions d’euros. Son nom figurait sur les désormais célèbres fichiers d’évadés fiscaux présumés de la banque HSBC en Suisse, volés par l’ancien informaticien Hervé Falciani. Parmi les quatre autres prévenus figure sa fille, Marguerite Vignat. Deux sociétés sont également poursuivies dans ce dossier. Arlette Ricci risque jusqu’à dix ans d’emprisonnement pour blanchiment de fraude fiscale. Ce procès débute une semaine après la révélation du scandale «SwissLeaks», qui tire son nom d’une enquête de plusieurs journaux dans plusieurs pays, selon laquelle la filiale suisse de la banque HSBC a aidé certains de ses clients, notamment de riches industriels et des personnalités politiques, à cacher des milliards de dollars pour leur éviter de payer des impôts. Cette enquête a été réalisée sur la base des fichiers dérobés par l’ex-informaticien de HSBC Hervé Falciani. Le journal Le Monde a eu accès en janvier 2014 à des centaines de milliers de données à déchiffrer, contenant des informations sur plus de 106.000 clients originaires d’environ 200 pays de la filiale suisse d’HSBC. Selon le quotidien, entre le 9 novembre 2006 et le 31 mars 2007, quelque 180,6 milliards d’euros ont transité sur des comptes de HSBC à Genève, dissimulés, entre autres, derrière des structures offshore au Panama et dans les îles Vierges britanniques. Une broutille en vérité comparée aux 25 000 milliards placés dans les paradis fiscaux .

Le service civique universel non obligatoire pour tous sur la base de volontariat (SCUNOPTSBV) !!!!!

Le service civique universel non obligatoire pour tous sur la base de volontariat (SCUNOPTSBV) !!!!!

 

Difficile de définir ce machin tellement il est inconsistant et ce n’est pas Hollande qui a permis d’éclairer  ce fameux service dont on ne sait pas à qui il est destiné, pour quoi faire et comment ; Bref, les français voulait à une énorme majorité rétablir le service militaire obligatoire pour restructurer certains marginaux et permettre le brassage social et à la place on leur sort cet ersatz de service national. Sur le site officiel du service civique quelques exemples des missions possibles !

 

« Accompagnement socio éducatif des enfants au sein des structures d’accueil

  Où ?

Finistère (Bretagne)

Quand ?

6 février 2015 (11 mois)

Intervenir auprès du service Accès aux droits qui vise une population en situation de précarité financière

Où ?

Ille-et-Vilaine (Bretagne)

Quand ?

6 février 2015 (9 mois)

Accompagner les habitants dans leur consommation quotidienne

Où ?

Nord (Nord-Pas-de-Calais) »

 

Trois exemples magnifiques qui peuvent témoigner du coté structurant de ce service d’opérette certes socialement éventuellement utile mais pas du tout adaptée pour inculquer discipline, autorité et effort à des populations complètement largués sur le plan social, économique et culturel.  Ces technos qui veulent étendre ce service sont de dangereux angéliques pourquoi pas aussi par exemple «  participait et animer la chorale de la paroisse en milieu rural ». Peu importe presque tous les commentaires sont élogieux, Hollande a incarné la fonction présidentielle. Comprendre  : il a été moins nul que d’ordinaire. Sur le plan économique rien strictement rien et sur le plan de la sécurité et du terrorisme des gadgets : un projet de loi (un de plus), une agence, un comité interministériel. Il manque une chose : une commission ou un groupe de travail  ou une mission à un expert pour enterrer la question.

 

Mais les grands médias sont contents, c’est l’essentiel !

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