Archive pour le Tag 'nombreux'

Les riches de plus en plus nombreux en France

Les riches de plus en plus nombreux en France

 

 
Finalement on pourrait se réjouir qu’il y ait de plus en plus de riches en France qui compte désormais presque 3 millions de millionnaires. Le problème c’est que parallèlement les inégalités s’accroissent et que certains doivent se contenter de 800 € mensuels pour vivre voire moins. La pauvreté s’accroit en effet  en France, selon le Secours catholique qui note que le niveau de vie médian des pauvres a baissé de 7,6 % en un an, avec 538 euros mensuels (contre 579 en 2021), soit 18 euros par jour pour subvenir à tous ses besoins : logement, alimentation, transport, chauffage, abonnements.

 

Parallèlement, Les millionnaires étaient toujours plus nombreux dans le monde en 2023, selon le dernier rapport publié mercredi par le géant bancaire UBS.  En 2023,  l’Hexagone recensait pas moins de 2.868.031 millionnaires. Le pays se plaçait ainsi en quatrième position, en termes de nombre de personnes dont la fortune dépasse le million de dollars, derrière le Royaume-Uni (3 millions de personnes), la Chine continentale (6 millions) et les États-Unis (près de 22 millions). En outre, ce bilan a progressé de 47.000 individus, par rapport à 2022. Un nombre qui devrait croître de 16% pour la France d’ici 2028, d’après l’étude, soit une progression de 450.000 personnes environ. D’ici cinq ans, cette tendance à la hausse du nombre de millionnaires devrait se poursuivre dans l’ensemble des pays étudiés, à l’exception du Royaume-Uni et des Pays-Bas.

Les États-Unis abritaient ainsi, selon UBS, 38% des millionnaires dans le monde, contre 28% en Europe de l’Ouest et 10% en Chine continentale. Au sommet de la pyramide, 14 personnes disposaient d’une fortune supérieure à 100 milliards de dollars, suivies de 12 personnes dont la richesse s’étalait entre 50 et 100 milliards et 2638 dont la richesse oscillait entre 1 et 50 milliards. Ainsi, le patrimoine des ménages a augmenté de 4,2% au niveau mondial en 2023, effaçant une rare chute en 2022, selon UBS, qui note que la richesse s’est nettement accrue depuis l’an 2000, y compris chez les moins fortunés.

 

IA- Des faux sites plus nombreux que les vrais aux États-Unis

IA- Des faux sites plus nombreux que les vrais aux États-Unis

 

Société-Des riches de plus en plus nombreux dans le monde ….grâce à la spéculation

Société-Des riches de plus en plus nombreux dans le monde ….grâce à la spéculation

 

Grâce notamment à la spéculation boursière ( permise par le déversement sans compter de liquidités des banques centrales pendant le Covid),  il n’y a jamais eu autant de riches et leur fortune n’a jamais été aussi élevée, selon une étude internationale menée par le cabinet de conseil Capgeminii. Le nombre de personnes fortunées dans le monde, définies par Capgemini par les personnes dont l’argent disponible hors résidence principale dépasse le million de dollars, a augmenté sur un an de 5,1%, à 22,8 millions de personnes en 2023, a calculé le cabinet dans son étude intitulée «World Wealth Report».

La progression de ces richesses a surtout été permise par la hausse des places boursières dans le monde : l’indice Nasdaq américain s’est envolé de 43% et le S&P 500 de 24% en 2023, pendant qu’à Paris l’indice CAC 40 a pris 16% et le DAX à Francfort 20%. «Les actions ont bondi conjointement au marché de la tech, alimentées par l’enthousiasme pour l’IA générative et son impact potentiel sur l’économie», relève le cabinet dans l’étude qui a évalué 71 pays et utilise comme méthodologie un système de recensement statistique et une représentation graphique appelée la courbe de Lorenz. En 2022, les personnes les plus riches avaient vu la valeur de leur patrimoine connaître le plus fort recul en dix ans, en raison cette fois d’un repli des cours boursiers.

 

Des riches de plus en plus nombreux ….grâce à la spéculation

Des riches de plus en plus nombreux dans le monde ….grâce à la spéculation

 

Grâce notamment à la spéculation boursière ( permise par le déversement sans compter de liquidités des banques centrales pendant le Covid) il n’y a jamais eu autant de riches et leur fortune n’a jamais été aussi élevée, selon une étude internationale menée par le cabinet de conseil Capgemini publiée ce mercredi. Le nombre de personnes fortunées dans le monde, définies par Capgemini par les personnes dont l’argent disponible hors résidence principale dépasse le million de dollars, a augmenté sur un an de 5,1%, à 22,8 millions de personnes en 2023, a calculé le cabinet dans son étude intitulée «World Wealth Report».

La progression de ces richesses a surtout été permise par la hausse des places boursières dans le monde : l’indice Nasdaq américain s’est envolé de 43% et le S&P 500 de 24% en 2023, pendant qu’à Paris l’indice CAC 40 a pris 16% et le DAX à Francfort 20%. «Les actions ont bondi conjointement au marché de la tech, alimentées par l’enthousiasme pour l’IA générative et son impact potentiel sur l’économie», relève le cabinet dans l’étude qui a évalué 71 pays et utilise comme méthodologie un système de recensement statistique et une représentation graphique appelée la courbe de Lorenz. En 2022, les personnes les plus riches avaient vu la valeur de leur patrimoine connaître le plus fort recul en dix ans, en raison cette fois d’un repli des cours boursiers.

 

Des riches de plus en plus nombreux dans le monde ….grâce à la spéculation

Des riches de plus en plus nombreux dans le monde ….grâce à la spéculation

Grâce notamment à la spéculation boursière ( permise par le déversement sans compter de liquidités des banques centrales pendant le Covid) il n’y a jamais eu autant de riches et leur fortune n’a jamais été aussi élevée, selon une étude internationale menée par le cabinet de conseil Capgemini publiée ce mercredi. Le nombre de personnes fortunées dans le monde, définies par Capgemini par les personnes dont l’argent disponible hors résidence principale dépasse le million de dollars, a augmenté sur un an de 5,1%, à 22,8 millions de personnes en 2023, a calculé le cabinet dans son étude intitulée «World Wealth Report».

La progression de ces richesses a surtout été permise par la hausse des places boursières dans le monde : l’indice Nasdaq américain s’est envolé de 43% et le S&P 500 de 24% en 2023, pendant qu’à Paris l’indice CAC 40 a pris 16% et le DAX à Francfort 20%. «Les actions ont bondi conjointement au marché de la tech, alimentées par l’enthousiasme pour l’IA générative et son impact potentiel sur l’économie», relève le cabinet dans l’étude qui a évalué 71 pays et utilise comme méthodologie un système de recensement statistique et une représentation graphique appelée la courbe de Lorenz. En 2022, les personnes les plus riches avaient vu la valeur de leur patrimoine connaître le plus fort recul en dix ans, en raison cette fois d’un repli des cours boursiers.

 

Des riches moins nombreux mais plus riches

France: Des riches moins nombreux mais plus riches

Près de 5 millions de Français vivraient au-dessus du seuil de richesse, soit 7,4% de la population, selon un rapport. Globalement ils sont moins nombreux mais plus riches.

Dans la 3e édition de son Rapport sur les riches en France, présenté mercredi, l’Observatoire des inégalités fixe la barre à un niveau de vie de 3860 euros par mois pour une personne seule après impôts.

Pour parvenir à ce chiffre, l’observatoire retient le double du niveau de vie médian après impôts et prestations sociales pour une personne seule, qui s’établit à 1930 euros mensuels selon l’Insee.

En France, 4,7 millions de personnes, soit 7,4 % de la population, sont riches si on considère leurs revenus : en dix ans, ils sont devenus moins nombreux, mais sont en revanche « plus riches », selon un rapport d’une association, l’Observatoire des inégalités, publié mercredi. A partir de quels revenus est-on riche en France ? 3 860 euros par mois en 2021 pour une personne seule, impôts déduits, 5 790 euros pour un couple, et 9 650 euros pour une famille avec deux adolescents, estime cet Observatoire, qui a choisi d’utiliser le même critère que l’OCDE et le gouvernement allemand, soit deux fois le revenu médian.

Crise agricole : de nombreux facteurs à prendre en compte pour l’ancienne patronne de la FNSEA

Crise agricole : de nombreux facteurs à prendre en compte pour l’ancienne patronne de la FNSEA

Selon l’ancienne patronne de la FNSEA, la fronde résulte d’une accumulation de mauvaises décisions et concerne toute l’Europe. Interview dans la Tribune

CHRISTIANE LAMBERT – Les éléments déclencheurs, ce sont souvent des décisions nationales, ou des conséquences locales du changement climatique : en Allemagne, des taxes sur le carburant et le machinisme ; en France, des restrictions phytosanitaires particulièrement dures ; en Irlande et aux Pays-Bas, la volonté gouvernementale de réduire les cheptels bovins ; en Italie et en Grèce, les inondations ; en Espagne, la sécheresse… Mais dans l’ensemble de l’Union européenne, depuis le Green Deal [le Pacte vert, proposé par la Commission européenne en 2019], les agriculteurs subissent la « méthode Timmermans » [du nom du premier vice-président de la Commission de l'époque], très descendante et donneuse d’ordres. On assiste à un empilement réglementaire : l’UE a voté une quinzaine de textes qui imposent de nouvelles contraintes aux agriculteurs. Cela vient s’ajouter aux conséquences de la crise sanitaire du Covid et puis de la guerre en Ukraine : les hausses des coûts de production et la perturbation des flux commerciaux, avec des pays comme la Roumanie et la Pologne inondés de blé ukrainien et d’autres, dans l’hémisphère Sud, confrontés à des famines qui engendrent des déplacements des populations vers le Nord. On est face à une déstabilisation complète, et les décideurs européens continuent d’avancer comme si de rien n’était ? L’agriculture est malade, et on continue à lui administrer des obligations supplémentaires ? C’est incompréhensible. La Commission européenne n’écoute pas les agriculteurs. Et c’est à cause de cette accumulation de mauvaises décisions que la colère explose.

Le Green Deal et les textes qui en découlent visent à promouvoir la transition écologique en agriculture. Vous n’en voulez donc pas ?

Nous ne refusons pas cette transition. Mais c’est très difficile de l’engager dans les conditions économiques actuelles, qui réduisent véritablement nos revenus et nous plongent dans l’inconnu face à la fermeture de certains marchés et à l’augmentation des importations. En plus, nous devons pouvoir produire l’alimentation nécessaire pour nourrir les Européens et les pays qui ont besoin de nos produits. Or sept études d’impact effectuées en dehors de l’UE montrent que le Green Deal fera baisser la production agricole européenne. L’Europe va donc devoir importer beaucoup plus de denrées, qui viendront de pays qui ne respectent pas nos standards et qui pèseront sur notre bilan carbone. Les prix payés par les consommateurs augmenteront, les agriculteurs ne tiendront pas face à la baisse de leurs revenus et disparaîtront. Cela affaiblira énormément l’alimentation et l’économie européennes. Nous voulons produire plus, mieux et avec moins d’impact sur l’environnement. Nous ne sommes pas contre les changements, mais pour qu’ils soient progressifs et raisonnés. Et on n’est pas antieuropéens, mais on veut une Europe qui prenne des décisions cohérentes.

Que demandez-vous concrètement ?

Nous insistons pour que toutes les décisions européennes soient fondées sur la science, ainsi que sur des études d’impact vérifiant leur compatibilité avec la souveraineté alimentaire. Elles ne peuvent pas reposer seulement sur des considérations environnementales. Nous demandons aussi l’adoption d’une nouvelle dérogation aux règles de la PAC sur les jachères, qui défendent la possibilité de produire sur 4 % de la surface agricole.

Un moratoire sur l’adoption de nouveaux textes jusqu’aux élections européennes pourrait-il calmer les esprits ?

Oui, bien sûr. Nous voudrions notamment que soit abandonné le règlement, insensé, sur la restauration de la nature, qui prévoit que 10 % des terres agricoles soient non productives. De même pour la directive sur les émissions industrielles, qui inclut l’agriculture et pénalise par exemple les élevages comptant 120 truies, alors qu’en France une exploitation moyenne en compte 200, et 400 en Allemagne ou aux Pays-Bas. Comment peut-on accepter de dire qu’une exploitation familiale dégage des émissions industrielles ?

La semaine prochaine, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, lancera un « dialogue stratégique sur l’avenir de l’agriculture », impliquant l’ensemble des acteurs de l’agroalimentaire. Que comptez-vous lui dire ?

Cette volonté de dialogue est enfin la reconnaissance d’un problème de méthode. Nous allons lui demander d’écouter ceux qui font, et non pas seulement ceux qui parlent. C’est maintenant qu’il faut expliquer à la Commission européenne qu’elle va trop vite pour les agriculteurs. Le commissaire Timmermans a fait beaucoup de mal à l’Europe, mais il est parti, et il représente la minorité aujourd’hui dans son pays [les Pays-Bas]. ■

Nombre d’épargnants : de moins en moins nombreux

Nombre d’épargnants : de moins en moins nombreux

 

Depuis une dizaine d’années le nombre d’épargnants potentiels ne cesse de diminuer. Parallèlement ces dernières années et pas seulement à cause de la crise sanitaire, l’épargne n’a cessé de s’envoler. La baisse du nombre d’épargnants potentiels provient essentiellement de la hausse des dépenses contraintes qui rognent de plus en plus le pouvoir d’achat. La hausse de l’épargne, elle, rend compte des incertitudes des ménages vis-à-vis de l’avenir.

 

A noter que l’épargne des Français est répartie de manière particulièrement inégale. En moyenne, un adulte seul met de côté 4 800 euros par an (données Insee 2017), soit 16 % de son revenu. Mais alors que les 20 % du bas de l’échelle en épargnent 3 % (360 euros), les 20 % les plus riches économisent 16 000 euros, soit presque 30 % de leurs revenus, l’équivalent du revenu annuel des 20 % les plus pauvres !

Ces données minimisent beaucoup les inégalités car elles portent sur des tranches de revenus très larges. Les 20 % les plus pauvres rassemblent à la fois des ménages totalement démunis qui ne font aucunes économies, voire s’endettent, et des familles modestes qui ne dépensent pas la totalité de leurs revenus. Parmi les 20 % les plus aisés, on trouve aussi bien des cadres supérieurs que des grandes fortunes : à partir d’un très haut niveau de revenu, il devient bien difficile de le dépenser entièrement, même en ayant un train de vie très dispendieux.

39% seulement des Français sont capables d’épargner, selon une enquête Ifop pour le Journal du Dimanche.

Une tendance qui s’aggrave depuis plusieurs années. En 2014, ils étaient 44% à s’estimer pouvoir le faire, soit 5 points de plus. Pire, en 2010, 54% déclaraient être en capacité d’épargner, soit 15 points de plus qu’aujourd’hui.

L’étude menée par l’Ifop montre que la capacité d’épargne est corrélée au niveau de vie. Sans surprise, ce sont les catégories aisées qui mettent le plus facilement de côté. Ils sont 71% à réussir à épargner, contre 33% chez les employés (-10 points par rapport à 2014), 23% chez les ouvriers (-15 points par rapport à 2014) et seulement 21% chez les plus pauvres, gagnant moins de 900 euros par mois.

L’effondrement de la capacité des Français à épargner signifie surtout que la France vit un appauvrissement d’une partie de sa population.

* Enquête menée auprès d’un échantillon de 1003 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Interviews réalisées par questionnaire auto-administré en ligne du 19 au 20 octobre 2021.

De nombreux arbres menacés d’extinction

De nombreux arbres menacés d’extinction

 

Environ un tiers d’entre des espèces d’arbres sont menacées d’extinction à travers le monde, selon un rapport  publié mercredi 1er septembre, qui avertit que le changement climatique pourrait mettre à mal des écosystèmes forestiers entiers.

Un total de 142 espèces sont considérées comme disparues et plus de 440 sont sur le point de l’être, avec moins de 50 arbres existant à l’état sauvage dans le monde.

L’exploitation forestière et la déforestation pour faire place à des cultures ou de l’élevage sont de loin les plus grandes menaces pesant sur les arbres.

Le Brésil, qui abrite une large part de la forêt tropicale amazonienne compte le plus d’espèces d’arbres (8 847) et le plus grands nombre menacées (1 788), conséquence de l’agriculture intensive. Mais la plus forte proportion d’espèces menacées se trouvent dans les régions tropicales d’Afrique, en particulier à Madagascar et sur l’île Maurice où 59% et 57% respectivement des espèces sont en danger.

Après l’accord fiscal , d’autres accords sont nécessaires au plan mondial dans de nombreux domaines

 Après l’accord fiscal , d’autres accords sont nécessaires au plan mondial  dans de nombreux domaines

 

 

L’accord de juillet réformant la fiscalité internationale sur les entreprises doit ouvrir la voie à d’autres actions multilatérales sur l’accès aux vaccins, le climat, la sécurité des données ou les normes technologiques, soulignent, dans une tribune au « Monde », Josep Borrell, vice-président de la Commission européenne, et Paolo Gentiloni, commissaire européen à l’économie.(Extrait)

 

Tribune. 

 

Au cours des dernières années, le multilatéralisme a été placé sur la défensive. Dans un contexte mondial devenu plus multipolaire que multilatéral, la concurrence entre Etats semble l’emporter désormais sur la coopération. L’accord mondial, conclu récemment pour réformer la fiscalité internationale sur les entreprises, montre cependant que le multilatéralisme n’est pas mort.

On ne peut toutefois pas dire non plus qu’il se porte bien. Si la mondialisation s’est poursuivie pendant la pandémie de Covid-19, bien que de manière plus inégale qu’auparavant et malgré un sentiment d’isolement accru au sein des populations, les interdépendances sont devenues plus conflictuelles que jamais. Même le « soft power », la « puissance douce », est utilisé désormais comme une arme : les vaccins, les données et les normes technologiques deviennent à leur tour des instruments de concurrence politique.

Démocratie menacée

Le monde devient également moins libre. La démocratie elle-même est menacée, dans le contexte d’une bataille de communication pour déterminer quels systèmes politiques et économiques sont les mieux à même de produire des résultats pour leurs citoyens.

L’Union européenne (UE) continue, pour sa part, de croire en un monde prévisible fondé sur un multilatéralisme basé sur des règles, sur des marchés ouverts, sur des échanges à somme positive et sur la justice sociale et la solidarité, et elle continuera d’œuvrer à sa mise en place.


Nous demeurons convaincus que seule une coopération mondiale permettra de relever les principaux défis auxquels nous sommes confrontés actuellement, qu’il s’agisse de combattre les pandémies ou de lutter contre le changement climatique. L’UE continuera par conséquent de jouer un rôle moteur pour relancer le multilatéralisme afin de montrer à nos citoyens les avantages concrets d’un concept qui peut sembler aride et technocratique.

En effet, l’alternative à une telle action multilatérale, à savoir faire cavalier seul, aurait pour effet un accès réduit aux vaccins, une action climatique insuffisante, des crises sécuritaires qui s’aggravent, une régulation inadéquate de la mondialisation ainsi qu’un accroissement des inégalités à l’échelle mondiale. Aucun pays, même le plus grand, ne peut réussir seul. C’est pour toutes ces raisons que l’Italie, à juste titre, a placé le multilatéralisme au premier rang des priorités du programme de sa présidence actuelle du G20.

 

Cependant, l’UE ne peut pas se contenter de faire valoir ses antécédents en matière de multilatéralisme. L’Europe doit démontrer qu’une action multilatérale peut produire des résultats pour tous si chaque pays s’investit dans cette action. C’est précisément ce que permet le nouvel accord fiscal mondial.

Système BNPL: nombreux vols d’identité constatés en Australie

Système BNPL: nombreux vols d’identité constatés en Australie

Le système BNL qui consiste à acheter tout de suite et à payer plus tard se développe de manière quasi exponentielle un peu partout et notamment en Australie. Reste que parallèlement les risques de vol d’identité augmentent aussi comme cela été constaté en Australie.

L’Australie est un pionnier mondial du financement de détail à l’achat immédiat (BNPL) et abrite plusieurs grands fournisseurs, dont Afterpay Ltd, qui ont connu une forte croissance des transactions, des valorisations élevées et une réglementation souple.

Une forte augmentation des plaintes pour fraude, cependant, a soulevé des questions sur la surveillance douce, que certains analystes considèrent comme un risque sectoriel clé au milieu des appels croissants en faveur d’une plus grande protection des consommateurs sur le marché de 4,3 milliards de dollars.

IDCare, une organisation de soutien aux consommateurs à but non lucratif, a enregistré un nombre record de 1600 rapports d’incidents liés aux produits BNPL en Australie l’année dernière, le double de l’année précédente, selon les données préparées pour Reuters.

Alors que les plaintes pour fraude par carte de crédit représentaient quatre fois ce montant, le rythme de l’augmentation de la fraude à la BNPL représente une énorme performance pour l’alternative de financement de démarrage.

«Ce que cela vous montre vraiment, c’est à quelle vitesse les criminels s’adaptent au marché de la fraude et abusent du système», a déclaré Moises Sanabria, directeur général par intérim d’IDCare.

IDCare est financé par diverses institutions des secteurs public et privé et sert de principal service de soutien aux victimes de vol d’identité en Australie.

Les entreprises de la BNPL prêtent aux acheteurs des fonds instantanés, généralement jusqu’à quelques milliers de dollars, qui peuvent être remboursés en versements sans intérêt.

Comme ils gagnent généralement de l’argent sur les commissions des marchands et les frais de retard, et non sur les paiements d’intérêts, ils contournent la définition juridique des lois sur le crédit et le crédit.

Cela signifie que les fournisseurs de BNPL ne sont pas tenus d’effectuer des vérifications des antécédents sur les nouveaux comptes, contrairement aux sociétés de cartes de crédit, et ne demandent normalement que le nom, l’adresse et la date de naissance d’un demandeur, ce qui en fait une cible de fraude facile.

Le fournisseur BNPL cité dans le plus grand nombre de plaintes au cours des trois dernières années était Zip Co Ltd, mentionné dans 32,9% des engagements clients, selon les données d’IDCare.

Afterpay Ltd, 12e plus grande entreprise d’Australie après une flambée du cours de l’action par 16 en un an, s’est classée troisième sur 17 et a été citée dans 15,9% des plaintes de BNPL.

Les données n’incluaient pas de détails tels que le nombre de plaintes qui ont abouti à l’appel de la police ou des régulateurs. Il n’incluait pas non plus les plaintes adressées à des agences autres qu’IDCare.

Les paiements de relance liés à la pandémie et les vérifications de crédit plus strictes par les prêteurs traditionnels ont contribué en partie à la croissance stellaire de la BNPL en 2020.

Mais les plaintes ont augmenté en tandem, atteignant un sommet au cours des trois mois précédant juin 2020, juste après que l’Australie a libéré des milliards de dollars de paiements de secours en cas de pandémie, selon IDCare.

Un porte-parole de Zip a déclaré que la société avait effectué «des vérifications d’identité et de crédit sur chaque demandeur depuis le premier jour» pour mettre fin au vol d’identité.

Il a déclaré que «les plaintes adressées à IDCare ont augmenté parce que Zip a grandi», ajoutant que ses clients australiens s’étaient multipliés par cinq pour atteindre 2,5 millions en 2020.

Un représentant d’Afterpay a déclaré que la société prend très au sérieux le vol d’identité et utilise des outils tels que l’authentification de second facteur et les limitations de compte lorsqu’une activité inhabituelle est détectée.

Sondage popularité Macron: nouvelle chute de 4 points passée sous silence dans de nombreux médias

Sondage popularité Macron: nouvelle chute de 4 points passée sous silence dans de nombreux médias

 

Sans doute pour ne pas désespérer l’opinion publique vis-à-vis de la crédibilité des réformes en cours notamment de celles des retraites, la plupart des médias ont snobé la  nouvelle chute de 4 points de Macron  dans le  dernier baromètre Ipsos de décembre  publié par Le Point . Édouard Philippe et Emmanuel Macron perdent tous les deux 4 points. Pourtant les médias  avaient largement repris le sondage bidon du JDD du mois dernier qui annonçait une remontée de 1 point de Macron. Une remontée pour le moins suspecte mais qu’on comprend mieux quand on sait que le JDD de Bolloré est l’un  des meilleurs supports de propagande de Macron. Le rédacteur en chef de ce journal ne se prive pas de se déclarer officiellement macroniste et d’intervenir publiquement à ce titre.. Le dernier sondage en date montre cependant une chute de Macron

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Les grèves ont bien  un impact direct sur la popularité des deux têtes de l’exécutif, telle qu’elle a été mesurée par Ipsos pour Le Point le week-end du 14-15 décembre. Le président de la République et le Premier ministre perdent chacun 4  % d’opinons favorables – et 7 et 6  % depuis septembre. La baisse est marquée autant chez les actifs que chez les retraités. Plus préoccupant, elle touche des populations qui sont, naturellement, proches de l’exécutif. La chute est forte chez les habitants des grandes villes notamment à Paris. A noter une perte   de 12 points chez les bacs+2 et plus. C’est le cœur de l’électorat macroniste qui est en train de s’éroder sous le choc de la réalité : une réforme illisible, anxiogène et portée un ministre qui a dû démissionner pour avoir menti sur ses liens avec les assurances et ses revenus.

 

De nombreux villages privés d’Internet et de téléphone

De nombreux villages privés  d’Internet et de téléphone

Suite aux différentes tempêtes qui ont affecté le pays le réseau téléphonique a été encore un peu plus endommagé. Il faut dire que depuis des années déjà pratiquement plus personne n’entretient ce réseau et que nombre de poteaux téléphoniques sont en fait soutenus  par les fils ou des branches d’arbres quand les fils ne sont pas comment et simplement à terre et où coupés. Le problème,  c’est que ce réseau téléphonique par fils suspendus concerne essentiellement les zones rurales. Des zones par ailleurs défavorisé concernant les liaisons par portable avec des zones blanches en tout cas souvent grises. Ainsi on peut recevoir un SMS le lendemain de son envoi. Normalement, c’est l’opérateur Orange qui a reçu la délégation pour entretenir le réseau. Mais depuis des mois et des années pratiquement aucun entretien n’est réalisé car Orange considère que ce réseau profite aussi à ses concurrents qu’il a donc pas intérêt à leur  faciliter  la tâche. Par ailleurs, il est vrai que ce réseau desserre surtout des territoires à faible densité démographique qui n’intéressent pas les opérateurs. Orange envisage même de créer une curieuse filiale qui s’occuperait de cette question d’entretien de l’infrastructure. Sans doute pour la facturer aux autres concurrents. Face au délabrement total du réseau téléphonique classique par fils, les pouvoirs publics sont complètement muets. Il y a pourtant une différence de taille entre l’entretien du réseau électrique dans un état relativement satisfaisant ( même si des améliorations sont aussi nécessaires)  et le réseau téléphonique complètement délabré. On compte peut-être sur les nouvelles technologies pour substituer  un jour la 5G ( puis la 6G) au réseau par fils. Une possibilité technique avec une réserve de taille à savoir que la 5G  n’est pas prête d’être installée dans les territoires ruraux pas plus d’ailleurs que le câble

Automobiles : pas le choix pour de nombreux territoires

Automobiles : pas le choix pour de nombreux territoires

Jean Coldefy, expert en mobilité, explique dan une  tribune au Monde que nombre de Français n’ont pas d’autre choix que d’utiliser leur automobile pour se rendre au travail entre collectivités pour développer les offres de transport collectif.

 

Tribune. Alors que se déroulent du 1er au 3 octobre les « journées de la mobilité », ce sujet émerge de plus en plus au cœur des enjeux des élections municipales dans les grandes villes. Mais, paradoxalement, alors que le pays sort à peine de sa plus grande crise sociale depuis cinquante ans, le message envoyé par la ville-centre est « bannissons la voiture ! ». Affirmer que la suppression de la voiture serait le seul horizon de la politique de mobilité, c’est aller un peu vite en besogne.

 

C’est oublier que la voiture a permis de desserrer la contrainte financière du marché du logement, en allant chercher plus loin ce qui n’était plus disponible à proximité, même si aujourd’hui cette solution a trouvé sa limite : le prix des logements a été multiplié par trois en vingt ans dans les villes-centres et contamine les périphéries de proche en proche. C’est l’inadéquation du marché de l’immobilier avec les besoins et la localisation des emplois qui ont induit une décorrélation entre habitat et emplois avec son lot de pollution et d’émissions de CO2. 80 % des trajets sont réalisés en voiture pour accéder aux agglomérations.

Avec la gentrification au centre et le blocage de l’urbanisation dans les communes de proche périphérie, c’est, in fine, une moindre mixité sociale et un allongement des distances domicile-travail que le jeu des acteurs a induites. Ceux qui prennent leur voiture pour aller travailler tous les jours n’ont, pour la plupart, tout simplement pas le choix. L’absence d’alternatives à la voiture solo depuis les périphéries génère des flux de véhicules saturant les réseaux routiers aux heures de pointe.

Le sentiment d’iniquité est ainsi très fort : les habitants des périphéries et zones rurales à faibles revenus – dont 70 % des dépenses sont contraintes par le logement et l’énergie (enquête Ipsos de 2018 auprès de 11 000 ménages) – reçoivent très mal les leçons d’écologie de ceux qui peuvent utiliser moins souvent la voiture parce qu’ils habitent dans la ville-centre : on ne peut que les comprendre.

Il faut tout de même rappeler que Paris dispose du système de transport en commun le plus dense du monde avec une station de métro tous les 300 mètres : c’est pour cela que les Parisiens utilisent très peu leur voiture, et non pas parce qu’ils auraient un comportement moral plus vertueux que les autres. Les deux tiers du trafic dans Paris et 80 % sur le périphérique ne sont pas le fait d’habitants de Paris (enquête ménage déplacement Ile-de- France)…..»

Les plus de 65 ans plus nombreux que les moins de 20 ans

Les plus de 65 ans plus nombreux que les moins de 20 ans 

A priori, on pourrait considérer que le vieillissement de la population constitue un handicap économique pour le pays. Pas certain toutefois car l’allongement de la durée de vie démontre la bonne santé de la population âgée dont d’ailleurs certains pourraient travailler plus longtemps et ainsi participer à la création de la richesse nationale. En outre, les personnes âgées représentent un secteur économique de plus en plus important, ce qu’on appelle la Silver économie qui va générer de nombreuses activités et de nombreux emplois. Parmi les activités, il y a évidemment des aspects économiques mais aussi sociaux et culturels. A l’horizon 2030, pour la première fois en France, les plus de 65 ans seront plus nombreux que les moins de 20 ans. C’est « une bonne nouvelle », assure Vincent Touzé, économiste à l’OFCE, jeudi sur Europe 1. « S’il y a autant de plus de 65 ans, c’est que les gens vivent plus longtemps. » « C’est effectivement une bonne nouvelle », abonde Romain Gizolme, directeur de l’AD-PA, l’association des directeurs au service des personnes âgées. « Les gens vieillissent plutôt bien et ça, c’est une chance individuelle » mais « c’est aussi une chance collective », poursuit-il. Comme le souligne Vincent Touzé, « on va demander aux personnes de plus de 60 ans de travailler plus longtemps » et cela représente « une force économique nouvelle ». Il ajoute que « le temps libre des retraités se traduit aussi par des besoins économiques nouveaux ». « Si l’enjeu est de mieux accompagner les gens au quotidien, c’est aussi de leur permettre de pouvoir se réaliser, et donc de pouvoir continuer à avoir une vie culturelle, de pouvoir continuer à sortir, etc. Tout cela crée de la richesse », complète pour sa part, Romain Gizolme, tout en ajoutant : « Quand on voit le coût payé pour un mois passé en établissement pour personnes âgées, ça participe de l’économie française. Quand on voit le coût de l’accompagnement à domicile, ça participe de l’économie française. »

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