Archive pour le Tag 'Noël'

Revente des cadeaux de Noël : le grand gaspillage

Revente des cadeaux de Noël : le grand gaspillage

D’après un sondage, un tiers des ménages serait prêt à revendre leurs cadeaux de Noël ce qui constitue à la fois le signe d’un grand gaspillage en même temps qu’un signe de pauvreté.

Des cadeaux qui vont perdre évidemment une grande valeur et qui opèrent un transfert entre le donateur, le bénéficiaire et l’acheteur en dernier ressort. Pourquoi dès lors acheter des produits dont on sait presque à l’avance qu’ils seront presque aussitôt revendus ? Le sommet sans doute d’une société de consommation et de gaspillage.

Mais dans beaucoup de cas c’est une contrainte budgétaire qui amène des ménages à revendre leurs cadeaux pour boucher les trous du budget. En ce sens, c’est un indicateur de montée des difficultés financières face à l’inflation.
Ce phénomène affecte particulièrement les familles les moins favorisées

Revente des cadeaux de Noël : signe de gaspillage et de pauvreté signe de gaspillage et de pauvreté

Revente des cadeaux de Noël : signe de gaspillage et de pauvreté signe de gaspillage et de pauvreté

D’après un sondage, un tiers des ménages serait prêt à revendre leurs cadeaux de Noël ce qui constitue à la fois le signe d’un grand gaspillage en même temps qu’un signe de pauvreté.

Des cadeaux qui vont perdre évidemment une grande valeur et qui opèrent un transfert entre le donateur, le bénéficiaire et l’acheteur en dernier ressort. Pourquoi dès lors acheter des produits dont on sait presque à l’avance qu’ils seront presque aussitôt revendus ? Le sommet sans doute d’une société de consommation et de gaspillage.

Mais dans beaucoup de cas c’est une contrainte budgétaire qui amène des ménages à revendre leurs cadeaux pour boucher les trous du budget. En ce sens, c’est un indicateur de montée des difficultés financières face à l’inflation.
Ce phénomène affecte particulièrement les familles les moins favorisées

Isère : entrepôts du Secours populaire cambriolés avant Noël

Isère : entrepôts du Secours populaire cambriolés avant Noël

La sauvagerie n’a pas de limite, on s’attaque même aux dons destinés aux plus pauvres. Les entrepôts de la fédération de l’Isère du Secours populaire ont été cambriolés à Échirolles, en Isère, la nuit du samedi 23 décembre au dimanche 24 décembre, rapporte France Bleu Isère ce dimanche 24 décembre. L’association a porté plainte au commissariat de Grenoble et déplore un préjudice situé entre 300 000 et 400 000 euros.

La totalité des dons et collectes de l’association a été fouillée, des cartons contenant des vêtements, des jouets ou encore de l’électroménager ont été éventrés. Le Secours populaire a estimé un préjudice de 300 000 euros. Le procureur de Grenoble confirme le dépôt de plainte pour « vol par effraction ».

Deux camionnettes flambant neuves ont également été désossées, les moteurs ont disparu, ainsi que les portières arrière. L’association estime cette perte à 110 000 euros, en plus des 300 000 euros de préjudice pour le vol de matériel à donner.

« C’est un carnage. Je n’ai pas les mots », déplore Nabil Chetouf, le secrétaire général du Secours populaire en Isère, auprès de France Bleu Isère.

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Achats de Noël en baisse

Achats de Noël en baisse

Les études d’opinion confirment toutes la tendance : 83% de Français ont déclaré que l’inflation va avoir un impact sur leurs achats des fêtes de fin d’année, selon un sondage réalisé auprès de 1.019 personnes (Toluna Harris Interactive / Fevad).

Près d’un Français sur cinq (17 %) déclare qu’il a envisagé de ne pas fêter Noël cette année en raison de l’augmentation du coût de la vie. Cette proportion atteint 30 % chez les 18-34 ans en France, note l’étude.

Les Français sont plus d’un tiers (34%) à avoir prévu de dépenser moins pour ce Noël par rapport au précédent, selon Plum.

Si les Français prévoient un budget de 823,50 euros cette année en moyenne, ils sont toutefois 31% à être prêts à supprimer le plateau de fromages lors du repas de Noël pour faire des économies, selon cette enquête déclarative en ligne.

Autre astuce, 43 % des Français ont prévu de cuisiner tout le repas de Noël chez eux, tandis que 11 % préfèrent éviter de l’organiser chez eux pour faire des économies, note la société basée à Londres.

Dans le détail, 144,60 euros seront consacrés aux achats en supermarché, selon Plum. C’est dans les rayons que ces tensions se concentrent, là où les hausses des prix ces derniers mois ont été les plus fortes. Les Français ne s’y trompent pas : « Près de sept personnes sur dix (69 %) ont constaté une hausse des prix alimentaires à Noël par rapport à l’année dernière. 77 % déclarent que les prix des produits au supermarché augmentent lors de la période de Noël, tandis que les proportions sont de plus en plus petites », constate le sondage de Plum.

Grève SNCF à Noël : le risque écarté

Grève SNCF à Noël : le risque écarté

Finalement les gauchistes du syndicat Sud rail ont renoncé à porter un nouveau coup à la SNCF avec une perspective de grève à Noël.

La CFDT-Cheminots prévenait dès mardi après-midi que «la perspective d’une grève nationale à la SNCF d’ici à la fin de l’année n’est plus vraiment envisagée», estimant qu’il serait difficile «politiquement» pour SUD-Rail d’organiser une telle grève en solitaire. Les quatre organisations représentatives de la SNCF (Unsa, CFDT, CGT et SUD) devraient signer ensemble un «revendicatif complémentaire commun» début 2024, pour compléter les mesures décidées par la direction au terme des négociations annuelles obligatoires, telle que l’a explicitement envisagé l’intersyndicale. Des consultations internes devront entériner ce projet.

Malgré l’absence de signature de la CGT et de SUD, pourtant majoritaires à eux deux, la SNCF a unilatéralement ratifié l’accord. Le groupe a ainsi acté une augmentation de salaires évaluée à 4,6% en moyenne sur l’année 2024. En plus d’1,8% d’augmentation générale, le groupe ferroviaire devrait verser une prime de partage de la valeur de 400 euros aux près de 140.000 cheminots. La direction s’est engagée en outre à augmenter les bas salaires afin qu’aucun ne tombe sous le niveau d’1,1 fois le SMIC.

Le Secrétaire général adjoint de la CFDT-Cheminots, Sébastien Mariani, a prévenu. «Il est toujours délicat d’organiser un mouvement social lors de ces grands rassemblements familiaux, c’est la meilleure façon de se faire haïr».

SNCF : une grève à Noël ?

SNCF : une grève à Noël ?

Une nouvelle fois, Sud rail et la CGT-cheminots se livrent à un concours de gauchisme pour tuer encore un peu plus une entreprise en grande fragilité et menacée de toutes parts par la privatisation. Des grèves irresponsables qui sans doute ont largement contribué à la suppression du statut du cheminot.

D’après le ministère les salaires pourraient progresser de 17% à plus de 20%, selon les situations, entre 2022 et 2024, au sein du groupe ferroviaire.

Certaines organisations ont d’ailleurs «déjà accepté ces propositions salariales». «Les Français ont le droit aux vacances de Noël [...]. On doit pouvoir passer des vacances de Noël sereines, en famille. [...] Les Français méritent ce repos», souhaité le ministre.

De leur côté les syndicats réformistes l’Unsa ferroviaire et la CFDT Cheminots ont salué «des avancées» pour les travailleurs.

Mais la CGT Cheminots et Sud-Rail envisagent par contre une journée de grève lors des grands départs.

Une nouvelle grève qui pourrait porter un nouveau coup fâcheux à une entreprise qui essaye de redresser laborieusement sa gestion. De quoi rappeler le souvenir douloureux de 2022 .
En 2022, le week-end de Noël avait été fortement marqué par une grève, pénalisant des centaines de milliers de voyageurs. «De manière générale il faut éviter les grèves, à Noël en particulier. Parce qu’on le sait, les Français sont fatigués», estime alors Clément Beaune.

Noël : de plus en plus de cadeaux achetés à crédit !

Noël : de plus en plus de cadeaux achetés à crédit !

Dans une étude réalisée par Toluna et Harris Interactive pour la Fédération de l’e-commerce et de la vente à distance (Fevad), près de 30 % des consommateurs envisage d’acheter des cadeaux de Noël à crédit. Le signe évidemment de la crise économique et de la réduction du pouvoir d’achat.

83% de Français «déclarent que l’inflation aura un impact sur leurs achats des fêtes de fin d’année.

De nombreux produits stars de Noël enregistrent ainsi une forte inflation sur un an, comme le saumon fumé (+13,4%), les marrons et châtaignes (+12,8%), les pains à toast (+16,6%), les Saint-Jacques surgelées (+7,9%) ou encore le foie gras frais (+13,5%), selon les données du panéliste Circana. Les Français vont avoir les yeux rivés sur leur porte-monnaie et ils prévoient de dépenser moins que l’an passé, avec un budget global de 369 euros cette année contre 404 euros en 2022. Sur Internet, les dépenses sont, elles aussi, en baisse, passant de 279 euros l’année dernière, à 229 euros pour 2023.

Près d’un tiers des consommateurs envisage de recourir «à un crédit ou à l’achat fractionné», relève l’étude. population indique même être prête à revendre des présents pour se créer un complément de revenus», détaille l’analyse.

Météo: Beau temps jusqu’à Noël ?

Météo: Beau temps jusqu’à Noël ?

Avec de nouveaux records de chaleur de près de 35° dans certaines villes, on peut se demander légitimement si les saisons ne sont pas fondamentalement changées. De là à prévoir du beau temps jusqu’à Noël, c’est sans doute excessif. Reste qu’on peut sans doute prévoir une absence de grand froid et de neige. Il y a longtemps d’ailleurs que neige et grand froid ont disparu d’une grande partie du territoire pendant l’hiver. Le résultat évidemment du réchauffement climatique. Un réchauffement qui serait lié à l’accroissement considérable des émissions polluantes. De ce point de vue , une vraie politique écologique supposerait vraisemblablement de remettre en cause une grande partie du mode de production et de consommation ce qui ne peut se réaliser que de manière structurelle, c’est-à-dire aussi dans le temps.
On oublie cependant de parler de l’effet de la sur urbanisation génératrice de nombreuses pollutions notamment en termes de températures mais pas seulement.

Au contraire, l’hyper concentration urbaine est à la mode depuis des dizaines d’années ont seulement France mais dans le monde entier avec des métropoles de plus en plus ingérables et au demeurant contradictoire avec le respect de l’environnement.

L’ été persiste donc : après une chaleur déjà historique en septembre, la France a enregistré dimanche 1er octobre des températures inédites pour un mois d’octobre, avant un pic lundi, selon Météo-France. Plus de 30°C sur une large partie du pays, notamment dans le sud-ouest de la France… Le mercure a grimpé dimanche à des niveaux jamais enregistrés pour le dixième mois de l’année, symbole d’un changement climatique qui multiplie les phénomènes extrêmes et tardifs.

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Lundi, une nouvelle poussée du thermomètre est attendue avec 32 à 34 degrés dans le centre et le sud-ouest du pays, et localement 35 à 36 dans le Béarn, et une extension de ces températures élevées à la Bourgogne et au Grand Est.

Grève à Noel à la SNCF : une erreur stratégique ?

Grève à Noel à la SNCF : une erreur stratégique ?

par
Adrian Borbély,Professeur associé en négociation, EM Lyon et Pauline de Becdelièvre
de conférence/ enseignant-chercheur, École Normale Supérieure Paris-Saclay – Université Paris-Saclay dans the conversation

La SNCF se voit contrainte d’annuler plus d’un tiers de ses trains les 23, 24 et 25 décembre à la suite d’un nouveau débrayage d’une partie des contrôleurs, qui réclament « une meilleure reconnaissance des spécificités de leur métier ». Soit des augmentations de salaire et des mesures liées à la gestion de leur carrière. Environ 200 000 personnes ont vu leur train annulé et certaines n’ont pas de solution de repli, les trains restant étant complets, tout comme les cars et les loueurs de voitures.

En dialogue social, peut-être plus que dans toute autre forme de négociation, plane sur les échanges le spectre d’un conflit ouvert. Les syndicats à l’attitude compétitive (parfois taxés de « révolutionnaires » telle la CGT, en contraste avec les syndicats dits « réformistes » comme la CFDT) n’hésitent pas à utiliser leur capacité d’organiser l’arrêt du travail pour tenter d’obtenir ce qu’ils exigent de leur hiérarchie.

Les experts Hubert Landier et Daniel Labbé démontrent bien que, dans certains secteurs vitaux de l’économie (tels que les transports, l’éducation, l’énergie et l’agriculture), les syndicats bénéficient de la plus grande capacité de « nuire », car, en perturbant l’organisation qui les emploie, ils impactent le pays tout entier.

C’est ce dont nous sommes témoins, en France, ces derniers mois : après les raffineries (l’approvisionnement en essence), les hôpitaux (l’accès aux soins), c’est une nouvelle fois, en cette fin d’année, que fleurissent dans les transports les préavis de grève. Selon l’IFRAP, il s’agit d’une tradition récurrente, puisqu’il y a eu des grèves en décembre à la SNCF sur 14 des 20 dernières années (quoiqu’il est rare qu’elles se prolongent jusqu’aux fêtes). Même si nous nous intéressons ici aux stratégies syndicales, il faut rappeler que le conflit social relève de la responsabilité de toutes les parties à la négociation.

À la table des négociations

En négociation, on n’est pas obligé de menacer l’autre partie de conséquences néfastes pour obtenir ce que l’on souhaite. Négocier, ce n’est pas exercer un chantage. Si le chantage fait partie de l’arsenal du négociateur, il n’est pas obligé d’y recourir. Une majorité des organisations publiques et privées ont un dialogue social serein, dans lequel les échanges se font de manière apaisée.

Si nous résumons la pensée du professeur en sciences de gestion Jacques Rojot, l’influence qu’occupe une partie en négociation dépend de sa capacité de construire comme de sa capacité de nuire. On entend par capacité de construire la capacité de proposer des solutions et/ou d’apporter des ressources permettant de répondre aux intérêts de l’autre partie. Par capacité de nuire, il faut comprendre le pouvoir de porter atteinte aux intérêts de l’autre partie en cas d’absence d’accord et ainsi lui mettre la pression pour qu’il se montre conciliant à la table.

La simple évocation de notre capacité de nuire servira de menace visant à se rapprocher d’un accord qui nous serait particulièrement profitable.

Le problème avec la menace en négociation, c’est qu’elle ne peut servir de bluff : il faut être prêt à l’activer. Si on menace de faire grève au plus mauvais moment de l’année, alors si nos revendications ne sont pas entendues, il faudra la déclencher.

Les syndicats en campagne permanente

Pour un syndicat, la capacité de nuire dépend de sa capacité à mobiliser, qui elle-même dépend des revendications avancées, du nombre d’adhérents et de sympathisants et du contexte.

Rappelons qu’en France il n’est pas nécessaire d’être syndiqué pour suivre les consignes syndicales. On note d’ailleurs que la baisse continue du taux de syndicalisation ne s’est pas accompagnée d’un appauvrissement de la capacité de nuire des syndicats, beaucoup d’agents et salariés suivant les consignes syndicales sans adhérer formellement aux syndicats eux-mêmes.

Le chercheur Christian Thuderoz compte trois acteurs dans tout dialogue social : les syndicats, la direction et les salariés. Les syndicats sont en campagne permanente pour gagner en influence et en adhérents parmi les salariés.

Ils doivent donc, et de manière constante, montrer qu’ils ont un impact sur les conditions de travail. Si les contrôleurs SNCF se disent insatisfaits de leur rémunération – via un collectif Facebook -, alors ils doivent porter leurs revendications auprès de la direction. En face, la direction doit tout mettre en œuvre pour avoir un dialogue social de qualité, ce qui s’avère aujourd’hui particulièrement complexe, les ordonnances de 2017 ayant conduit à considérablement limiter les moyens syndicaux.

Un quatrième acteur : l’opinion publique

Dans certains secteurs, le nombre de personnes potentiellement impactées par une grève est si important qu’il se confond avec l’opinion publique. C’est le cas des secteurs-clés de l’économie, à savoir le transport routier et l’agriculture (du fait de leur capacité à bloquer les routes), les écoles (du fait qu’une école fermée, ce sont souvent des parents qui ne peuvent travailler), le transport ferroviaire et le raffinage des carburants.

Dès lors, l’opinion publique devient une « partie prenante non-invitée », c’est-à-dire une partie qui impacte la négociation sans y prendre part. Cet impact se fait par deux mécanismes : le degré d’acceptabilité du mouvement (dans quelle mesure les citoyens soutiennent les grévistes) et l’impact du mouvement sur les personnes (dans quelle mesure le mouvement porte-t-il atteinte aux citoyens dans leur vie quotidienne).

Tels les deux plateaux de la balance, l’opinion publique est ballottée entre soutien et opposition, draguée par les propos publics tenus par le patronat, voire les hommes politiques d’une part, par les syndicats d’autre part. Ainsi, les grèves dans les raffineries à l’automne ont d’abord été massivement soutenues par l’opinion publique, avant que celle-ci ne se retourne, lorsque les pénuries de carburant ont été telles que des secteurs entiers d’emploi se sont trouvés menacés.

Aujourd’hui, même si les Français sont plutôt en désaccord avec la politique sociale du gouvernement (ce qui pourrait les amener à soutenir les revendications des grévistes), les « années Covid » amènent la plupart à placer une grande importance à passer les fêtes 2022 en famille. La grève est donc pour eux un coût bien trop important pour être contrebalancé par les dédommagements et les excuses de l’entreprise.

La menace ultime d’une grève pendant les fêtes a été activée. À court terme, les agents pourraient y gagner (sur leur fiche de paie) et la grève aura coûté des millions d’euros. À plus long terme, les coûts seront potentiellement catastrophiques : désintérêt croissant pour les syndicats (en l’espèce dépassés par un collectif informel né sur Facebook), défiance face à l’action des corps intermédiaires, mauvaise publicité pour la SNCF.

En face, le gain pourrait être récolté par les concurrents de la SNCF (tels que Trenitalia entre Paris et Lyon) qui ne devraient pas manquer d’en profiter pour grignoter les parts de marché de l’opérateur historique.

La revente des cadeaux de Noël : un non-sens économique et culturel

La revente des cadeaux de Noël : un non-sens économique et culturel

La revente des cadeaux de Noël représenterait un marché de presque un demi milliard d’euros. Environ un Français sur deux envisagerait de revendre le traditionnel cadeau qui a perdu tout sens culturel et même économique.

Il est loin le temps les enfants d’après guerre par exemple devaient se satisfaire d’une orange. Un éventuel cadeau pour certains avait alors un sens social. Désormais avec la société de consommation, la plupart des enfants bénéficie de cadeaux permanents avec évidemment ou de dispersion quant à leur valeur. Mais Noël ne constitue plus une date symbolique. Noël a été laïcité et transforme en journée commerciale par les marchands du temple. Une sorte de grande braderie païenne.

Presque la moitié des Français vont donc revendre le traditionnel cadeau placé jadis sur les sabots rangés au pied du sapin.

Selon une étude Kantar pour eBay, près de sept millions de Français vont franchir le cap, soit 500.000 personnes en plus par rapport à l’an passé. Pour une autre étude, réalisée par Ipsos pour Rakuten, ce chiffre grimpe même à un Français sur deux, en hausse de 8 points par rapport à 2021.

«Tout comme l’achat d’objets de seconde ou troisième main pour Noël, revendre ses cadeaux est une manière de protéger le pouvoir d’achat des Français mais également de participer à une économie responsable encourageant la circularité», souligne Sarah Tayeb, directrice générale adjointe d’eBay France.

Une curieuse manière de justifier économiquement et socialement ce phénomène de Noël devenu transformé en fête marchande. Un véritable exemple de ce que sont les gaspillages dans une société de consommation.

On se demande bien pourquoi il faut passer par la médiation d’un cadeau de Noël pour améliorer le pouvoir d’achat.

Grèves SNCF à Noel: pour tuer encore un peu plus l’entreprise

Grèves SNCF à Noel: pour tuer encore un peu plus l’entreprise

SUD-Rail et la CGT menacent encore de faire grève à Noël à la SNCF. La SNCF est pourtant une entreprise qui détient sans doute le record européen voire mondial des grèves. Il est clair que depuis des années et des années , les jusqu’au-boutistes ont décidé de tuer définitivement une entreprise particulièrement malade tant sur le plan économique que financier. Pire, l’action des extrémistes a même réussi à faire sauter le statut créant ainsi des inégalités inadmissibles entre anciens qui en bénéficient encore et nouveaux qui sont soumis aux règles du privé. On fait rarement pire en matière de résultats de l’action syndicale !

Ces extrémistes ont choisi le champ géographique de la SNCF pour s’exercer à la révolution. La gréviculture mine littéralement une entreprise qui perd régulièrement des parts de marché partout. C’est en raison de ses dysfonctionnements et d’un manque de compétitivité chronique que la SNCF a d’abord perdu le transport express, ensuite le transport de messagerie puis pratiquement une grande partie du transport de wagons et trains complets. En transport de personnes, la plupart des petites lignes ont été fermées. Les lignes inter cités sont très menacées. Restent surtout les lignes urbaines et la grande vitesse.

Ces gauchistes accordent peu d’importance d’ailleurs à la satisfaction même de la revendication, l’action compte bien davantage que le résultat ; L’objectif c’est la lutte contre le capitalisme ……dans une entreprise nationalisée de chemins de fer portée à bout de bras par l’État !

Bref, il y a longtemps que certains syndicats se sont transformés en véritables fossoyeurs d’une entreprise qui ne cesse de se ratatiner en même temps que de s’enfoncer dans un endettement incommensurable même en dépit de l’immense aide de l’État.

Les départs en vacances de Noël risquent donc virer au cauchemar pour les clients de la SNCF.

Les syndicats Sud rail et CGT ont maintenu leur préavis de grève pendant Noël mais sans appeler nettement à la grève. Un

SNCF : des grèves à Noel pour tuer encore un peu plus l’entreprise

SNCF : des grèves à Noel pour tuer encore un peu plus l’entreprise

SUD-Rail et la CGT menacent encore de faire grève à Noël à la SNCF. La SNCF est pourtant une entreprise qui détient sans doute le record européen voire mondial des grèves. Il est clair que depuis des années et des années , les jusqu’au-boutistes ont décidé de tuer définitivement une entreprise particulièrement malade tant sur le plan économique que financier. Pire, l’action des extrémistes a même réussi à faire sauter le statut créant ainsi des inégalités inadmissibles entre anciens qui en bénéficient encore et nouveaux qui sont soumis aux règles du privé. On fait rarement pire en matière de résultats de l’action syndicale !

Ces extrémistes ont choisi le champ géographique de la SNCF pour s’exercer à la révolution. La gréviculture mine littéralement une entreprise qui perd régulièrement des parts de marché partout. C’est en raison de ses dysfonctionnements et d’un manque de compétitivité chronique que la SNCF a d’abord perdu le transport express, ensuite le transport de messagerie puis pratiquement une grande partie du transport de wagons et trains complets. En transport de personnes, la plupart des petites lignes ont été fermées. Les lignes inter cités sont très menacées. Restent surtout les lignes urbaines et la grande vitesse.

Ces gauchistes accordent peu d’importance d’ailleurs à la satisfaction même de la revendication, l’action compte bien davantage que le résultat ; L’objectif c’est la lutte contre le capitalisme ……dans une entreprise nationalisée de chemins de fer portée à bout de bras par l’État !

Bref, il y a longtemps que certains syndicats se sont transformés en véritables fossoyeurs d’une entreprise qui ne cesse de se ratatiner en même temps que de s’enfoncer dans un endettement incommensurable même en dépit de l’immense aide de l’État.

Les départs en vacances de Noël risquent donc virer au cauchemar pour les clients de la SNCF.

Les syndicats Sud rail et CGT ont maintenu leur préavis de grève pendant Noël mais sans appeler nettement à la grève. Une attitude particulièrement hypocrite et irresponsable.

SNCF : SUD-Rail, Une grève à Noël pour tuer encore un peu plus entreprise

SNCF : SUD-Rail, Une grève à Noël pour tuer encore un peu plus entreprise

SUD-Rail ,Le syndicat gauchiste, menace encore de de faire grève à Noël à la SNCF. Une entreprise qui détient sans doute le record européen voire mondial des grèves. Il est clair que depuis des années et des années les gauchistes ont décidé de tuer définitivement une entreprise particulièrement malade tant sur le plan économique que financier. Pire,l’action des extrémistes a même réussi à faire sauter le symbole sacré du statut créant ainsi des inégalités inadmissibles entre anciens qui en bénéficient encore et nouveaux qui sont soumis aux règles du privé.

Ces gauchistes en choisi le champ géographique de la SNCF pour s’exercer à la révolution. Ces fils de Robespierre, de Lénine et de Trotsky minent littéralement une entreprise qui perd régulièrement des parts de marché partout. C’est en raison de ses dysfonctionnements et d’un manque de compétitivité chronique que la SNCF a d’abord perdu le transport express, ensuite le transport de messagerie puis pratiquement une grande partie du transport de wagons et trains complets. En transport de personnes, la plupart des petites lignes ont été fermée. Les lignes inter cités sont très menacées. Restent surtout les lignes urbaines et à grande vitesse.

Ces gauchistes accordent peu d’importance d’ailleurs à la satisfaction même de la revendication, l’action compte bien davantage que le résultat ; L’objectif c’est la lutte contre le capitalisme, l’-l’impérialisme, la démocratie représentative et qui sont visés dans une entreprise nationalisée de chemins de fer !

Bref, il y a longtemps que certains syndicats se sont transformés en véritables fossoyeurs d’une entreprise qui ne cesse de se ratatiner en même temps que de s’enfoncer dans un endettement incommensurable même en dépit de l’immense aide de l’État.

Les départs en vacances de Noël risquent donc virer au cauchemar pour les clients de la SNCF. Le syndicat SUD-Rail a donc décidé vendredi de maintenir son appel à la grève des aiguilleurs couvrant le premier week-end des vacances, du 15 au 19 décembre, après une journée de négociation avec la direction de la SNCF qu’il juge infructueuse.

Société: Plus d’un Français sur deux par en vacances à Noël d’après la sous-ministre Olivia Grégoire qui dérape

Société: Plus d’un Français sur deux par en vacances à Noël d’après la sous-ministre Olivia Grégoire qui dérape</strong>

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La sous- ministre des PME Olivia Grégoire dérape complètement en affirmant que «55% des Français ont l’intention de partir en vacances fin décembre», lors d’un point de presse téléphonique. La soue ministre confond totalement les statistiques globales des vacances et celles spécifiques à Noël.

Environ «77% d’entre eux envisagent de rester en France pour les vacances de Noël», selon la ministre, ce qui profite à «tous les territoires français (…) pas uniquement les littoraux ou la montagne». «Selon les premières estimations, le budget moyen pour le séjour d’hiver serait de 371 euros par personne, ce qui est équivalent aux années précédentes».

la différence entre les chiffres de la ministre et la réalité est de taille. 20% des Français partent pour les vacances de Noël. C’est ce qu’affirme l’édition 2018 du Baromètre Mondial Assistance, dans un sondage représentatif*. C’est un chiffre équivalent à celui des cinq années précédentes, à l’exception d’un pic à 26% en 2013. En moyenne, leurs vacances durent sept jours, et un quart des vacanciers partent quelques jours de plus. Selon le sondage, les Français ont nettement réduit leur temps de vacances, comparé aux années précédentes.

ll y a 20 ans, 58 % des Français déclaraient partir en vacances selon le Crédoc. Le taux de départ en vacances a assez peu évolué depuis le début des années 2000, et il a diminué en 2020 en raison de la pandémie de Covid-19

Qui sont les chanceux qui font leurs valises chaque année ? Pour partir, il faut en avoir les moyens. Seuls 37 % des personnes aux revenus inférieurs à 1 285 euros mensuels ont quitté leur domicile, contre 72 % de celles qui disposent de plus de 2 755 euros (données de janvier 2022). Transport, hébergement, activités : les vacances coûtent cher et toute une partie des ménages n’ont pas de moyens suffisants pour partir. Les aides financières aux vacances sont insuffisantes. En outre, les plus aisés bénéficient plus souvent, du fait d’amis ou de leur famille, d’un hébergement gratuit.
Partir dépend aussi du milieu social. 65 % des cadres supérieurs et des professions intermédiaires partent en congé, contre 47 % des ouvriers, selon les données de 2022 du Crédoc. Plus on monte dans l’échelle sociale, plus on a de chances de s’échapper.

Délire: « Plus d’un Français sur deux part en vacances à Noël » d’après la sous-ministre Olivia Grégoire qui dérape<

Délire: « Plus d’un Français sur deux part en vacances à Noël » d’après la sous-ministre Olivia Grégoire qui dérape

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La sous- ministre des PME Olivia Grégoire dérape complètement en affirmant que «55% des Français ont l’intention de partir en vacances fin décembre», lors d’un point de presse téléphonique. La soue ministre confond totalement les statistiques globales des vacances et celles spécifiques à Noël.

Environ «77% d’entre eux envisagent de rester en France pour les vacances de Noël», selon la ministre, ce qui profite à «tous les territoires français (…) pas uniquement les littoraux ou la montagne». «Selon les premières estimations, le budget moyen pour le séjour d’hiver serait de 371 euros par personne, ce qui est équivalent aux années précédentes».

la différence entre les chiffres de la ministre et la réalité est de taille. 20% des Français partent pour les vacances de Noël. C’est ce qu’affirme l’édition 2018 du Baromètre Mondial Assistance, dans un sondage représentatif*. C’est un chiffre équivalent à celui des cinq années précédentes, à l’exception d’un pic à 26% en 2013. En moyenne, leurs vacances durent sept jours, et un quart des vacanciers partent quelques jours de plus. Selon le sondage, les Français ont nettement réduit leur temps de vacances, comparé aux années précédentes.

ll y a 20 ans, 58 % des Français déclaraient partir en vacances selon le Crédoc. Le taux de départ en vacances a assez peu évolué depuis le début des années 2000, et il a diminué en 2020 en raison de la pandémie de Covid-19

Qui sont les chanceux qui font leurs valises chaque année ? Pour partir, il faut en avoir les moyens. Seuls 37 % des personnes aux revenus inférieurs à 1 285 euros mensuels ont quitté leur domicile, contre 72 % de celles qui disposent de plus de 2 755 euros (données de janvier 2022). Transport, hébergement, activités : les vacances coûtent cher et toute une partie des ménages n’ont pas de moyens suffisants pour partir. Les aides financières aux vacances sont insuffisantes. En outre, les plus aisés bénéficient plus souvent, du fait d’amis ou de leur famille, d’un hébergement gratuit.
Partir dépend aussi du milieu social. 65 % des cadres supérieurs et des professions intermédiaires partent en congé, contre 47 % des ouvriers, selon les données de 2022 du Crédoc. Plus on monte dans l’échelle sociale, plus on a de chances de s’échapper.

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