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Pétition « sauvons nos églises  » : du pipeau (NKM)

Pétition « sauvons nos églises  » : du pipeau (NKM)

C’est en substance que que pense NKM qui tacle Sarkozy pour sa propension à pendre position sur des pseudos sujets mais qui tarde par contre à s’exprimer sur des thèmes majeurs. Vice-présidente du parti Les Républicains, Nathalie Kosciusko-Morizet, a signifié ce vendredi qu’elle ne partageait pas, une nouvelle fois, l’avis du président de son parti, Nicolas Sarkozy. L’ancien président de la République a signé jeudi 9 juillet une pétition lancée par l’hebdomadaire conservateur Valeurs Actuelles visant à « sauver » les églises françaises, même désaffectées, d’une transformation en mosquées. Il figurait même parmi les trente premiers signataires aux côtés notamment du chef d’entreprise Charles Beigbeder, l’ancienne secrétaire d’État de la Jeunesse Jeannette Bougrab, l’homme politique Philippe de Villiers ou encore Éric Zemmour. Interrogée sur France Info, NKM a affirmé vendredi 10 juillet qu’elle « ne signerai pas cette pétition » parce qu’elle « trouve qu’on essaye d’exciter sur un sujet qui n’existe pas vraiment ». « Ce n’est pas mieux quand une église devient une boîte de nuit ou un restaurant », tempère-t-elle. Alain Juppé et François Fillon ont également signifié qu’ils ne signeraient pas ce texte.

 

Baisser les impôts de 100 milliards ( NKM)

Baisser les impôts de 100 milliards ( NKM)

 

C’est la proposition de NKM dans une  interview au Figaro. On ne sait pas si c’est une intention, une proposition à usage interne de l’UMP  ou une  vraie orientation, mais en tout cas c’est évidemment une  nécessité. Le choc indispensable et premier pour redresser le pays dont l’ attractivité a été plombée par la fiscalité. Reste à savoir si ce sera la programme de Sarkozy car cela suppose d’accepter un déficit budgétaire important pendant encore un temps.  

La majorité veut accélérer sur le prélèvement à la source de l’impôt. Y êtes-vous favorable ?

Le principe du prélèvement à la source est séduisant et ce n’est pas pour rien que ce sujet est le serpent de mer de la politique fiscale. J’y suis favorable à deux conditions : que cela ne fasse pas peser de contrainte supplémentaire sur les entreprises et que cela ne soit pas un préalable à une fusion entre l’impôt sur le revenu et la CSG qui se traduirait par toujours plus de progressivité de l’impôt. C’est-à-dire finalement un alourdissement de la fiscalité sur les classes moyennes. En ressortant ce sujet de ses cartons, la gauche cherche surtout à détourner l’attention du débat essentiel à mes yeux : celui du niveau de l’impôt.

Que proposez-vous ?

L’impôt ne doit pas être la résultante de décisions sur tous les autres paramètres. Il mérite une réflexion en soi. Notre haut niveau de prélèvements obligatoires n’est pas une fatalité. Trop, c’est trop ! Il y a maintenant urgence à baisser massivement les impôts. D’abord parce que le poids de la fiscalité pousse les jeunes talents à envisager leur avenir hors de France. Ensuite, parce que les entreprises sont confrontées à une très faible profitabilité et accusent un très fort retard en matière d’investissement, ce qui met notre appareil productif en péril. La divergence fiscale entre la France et l’Allemagne ne peut pas durer : l’écart de prélèvements pesant sur le secteur productif est chaque année de 120 milliards d’euros. Il faut impérativement se débarrasser de ce boulet.

 

Concrètement, comment comptez-vous faire?

Je propose de baisser les impôts sur le travail et le capital de 100 milliards d’euros dès 2017. Pour les deux-tiers, cette baisse doit se faire sur le travail, via surtout une baisse des cotisations patronales et sur la fiscalité pesant sur l’investissement, par exemple une accélération de l’amortissement. On le voit bien aujourd’hui : l’investissement est le moteur manquant de la reprise. Concernant les baisses d’impôt sur le capital, je ne préconise pas de supprimer l’ISF, compte tenu de sa charge symbolique, mais de baisser très fortement le taux supérieur, qui à 1,5% est quasiment confiscatoire, en le ramenant à moins de 0,5%. Il faut aussi déplafonner la faculté de payer son ISF par l’investissement dans les PME et les ETI. Plutôt que de les faire fuir, on doit encourager les capitalistes à financer l’investissement productif et l’emploi.

 

100 milliards, c’est considérable… Vous souhaitez donc laisser filer les déficits ?

Pas du tout ! En parallèle à la baisse des impôts, il faut baisser d’autant les dépenses publiques par de grandes réformes structurelles. Mais comme celles-ci prendront du temps à produire leurs effets, il faudra effectivement assumer un déficit plus important pendant quelques années. Non pas un déficit keynésien motivé par un soutien à la demande. Il ne s’agit pas de jouer les cigales ! Mais un déficit productif qui fournira les moyens de sa résorption. En fait, je propose de faire descendre les impôts par l’ascenseur, et les dépenses par l’escalier. On peut nous reprocher lors du dernier quinquennat d’avoir disjoint les choses, en commençant par la loi de soutien au pouvoir d’achat [la loi Tepa, NDLR], et en repoussant les réformes structurelles comme la TVA sociale en fin de mandat. Mais si la France attend d’avoir assaini ses finances publiques avant de baisser les impôts, elle risque de mourir guérie.

 

Mais la France a signé des engagements européens…

Qu’on ne tiendra jamais si on ne baisse pas d’abord les impôts. Il ne s’agit pas de négocier les fins de mois avec Bruxelles, comme on le fait depuis des années, mais de s’engager dès le début du quinquennat dans une trajectoire de réformes structurelles et de baisse d’impôts. D’autres pays l’ont fait avant nous, comme les Etats-Unis sous Kennedy ou Reagan, le Royaume-Uni sous Thatcher ou plus récemment avec David Cameron. Alors, oui, le déficit se creuse momentanément mais le pays se réforme dans le même temps. Personne ne peut croire que la seule austérité permettra de relancer la croissance et l’emploi. L’Europe a besoin d’une France forte.

 

Où trouvez-vous les 100 milliards de baisse de dépense ?

Il va falloir entamer une vaste réforme des retraites en relevant l’âge légal à 65 ans puis en instaurant un régime de retraite par points. Des économies sont également possibles sur les collectivités territoriales qui n’ont cessé d’augmenter leurs effectifs ces dernières années pendant que l’Etat se serrait la ceinture, notamment du temps de la « RGPP » de Nicolas Sarkozy. Il faut aussi lutter contre la fraude sur tous les fronts, mais avoir le courage de dire que cette lutte relève bien plus d’une question de justice que d’équilibre des finances publiques : les montants ne sont pas à la hauteur du problème. Le déficit de l’assurance-chômage tient d’abord au fait qu’il y a trop de chômeurs en France. Par ailleurs, une partie des baisses d’impôts pour les entreprises devra être financée par une véritable TVA sociale.

Abrogation loi santé : NKM, comme l’UMP pas claire

Abrogation loi santé : NKM, comme l’UMP pas claire

Difficile en ce moment de connaître vraiment les positions de l’UMP. Une UMP critique mais qui ne donne guère d’éclairage sur ses propositions exemple sur le mariage pour tous, sur les 35 heures, et là sur la loi santé. En fait NKM rentre dans le rang, c’est à dire dans le brouillard sarkosiste  qui recouvre  libéraux,  étatistes et fachos. On objectera que les contradictions à gauche ne sosnt pas moindres mais cela ne saurait constituer uen excuse pour u parti qui vraisemblablement reprendra le pouvoir prochainement.  Nathalie Kosciusko-Morizet est souvent présentée comme étant l’électron libre, et même l’enfant terrible de l’UMP. Cette fois-ci, elle apparaît plus « assagie. Elle était dans la ligne du parti. Elle a défendu le ‘ni-ni’ dont on sait qu’elle n’était pas pour. Elle a fait son métier de vice-présidente, mais il manquait le grain de folie », estime Alexis Brézet. La liberté d’expression de Nathalie Kosciusko-Morizet, y compris sur son propre parti, son légendaire et ont parfois fait des ravages Éric Revel en arrive à se demander si ce n’est pas la raison pour laquelle Nicolas Sarkozy a préféré la nommer vice-présidente de l’UMP et donner un autre rôle à Laurent Wauquiez. « La liberté d’expression de Nathalie Kosciusko-Morizet, y compris sur son propre parti, est légendaire et a parfois fait des ravages. En faisant cela, le président du parti l’a installé dans un pré extrêmement borduré duquel elle ne peut pas sortir », explique-t-il. NKM a fait le job mais ne répond pas à la question l’abrogation de la loi. Concernant le projet de la Santé de Marisol Touraine, la députée demande son retrait. Avec cette réaction, Nathalie Kosciusko-Morizet « fait le job », selon Alexis Brézet. Cependant, il est étonné de ne pas avoir eu de réponse concernant l’abrogation de cette loi. « Elle fait une pirouette. Elle est dans l’opposition, donc dans son rôle, mais elle oublie qu’à une autre époque c’était compliqué de répondre aux médecins quand la droite était au pouvoir », souligne Éric Revel.

NKM à Sarkozy: « Je n’aime pas les fascistes»

NKM à Sarkozy: « Je n’aime pas les fascistes»

« Je n’aime pas les fascistes » aurait dit NKM à Sarkozy à propos de Guillaume Peltier (Droite forte). Dans son édition à paraître mercredi 10 décembre, l’hebdomadaire satirique relate une conversation électrique entre le nouveau patron de l’UMP et sa numéro 2. La scène se passe au sortir des obsèques de l’ancien ministre centriste Jacques Barrot. Une cérémonie au cours de laquelle l’ancien chef de l’État aurait été irrité, selon Le Canard, par l’attention portée par la famille du défunt à Alain Juppé, son rival pour l’investiture UMP en vue de 2017. C’est donc un Nicolas Sarkozy passablement énervé qui ouvre la réunion en demandant quelle place accorder au cofondateur de la Droite forte Guillaume Peltier dans le nouvel organigramme de l’UMP. La réponse de NKM ne se fait pas attendre : « Mais, Nicolas, nous en avons discuté ensemble pendant 72 heures et nous avons passé un accord : Peltier ne fera pas partie du dispositif ». Une fin de non-recevoir qui fait sortir Nicolas Sarkozy de ses gonds. « Tu commences à m’emmerder ! », lâche-t-il à son ancienne porte-parole, qui ne s’en laisse pas compter. « Dans ce cas, je préfère m’en aller ». Il faut l’intervention de Brice Hortefeux pour ramener le calme. Le président de l’UMP demande alors à NKM la raison de ses griefs envers Guillaume Peltier. La réponse est sans appel : « Je n’aime pas les fascistes ». Une vive altercation qui en appelle peut-être d’autre, tant elle illustre le grand écart idéologique à l’œuvre au sommet de l’UMP depuis la nomination de NKM et Laurent Wauquiez en numéros 2 et 3 du parti conservateur. Figure de la droite modérée, NKM avait également peu goûté l’appel à la faire battre lancé par Guillaume Peltier, proche de Brice Hortefeux et Patrick Buisson, pendant la primaire UMP pour les municipales à Paris. Cela dit, selon Le Figaro, un ténor qui a assisté à cette passe d’armes affirme que la vice-présidente du parti n’a « prononcé à aucun moment le qualificatif de fasciste ». Surtout, elle aurait fini par accepter que Guillaume Peltier assume des responsabilités au sein du nouvel organigramme de l’UMP.  Si son nom ne figure pas dans la liste des quatre nouveaux secrétaires nationaux dits « fonctionnels » et des dix-huit secrétaires nationaux « thématiques » annoncée ce mardi soir par l’UMP, il devrait compléter, avec Geoffroy Didier, l’équipe des quatre secrétaires nationaux en charge des cadres du parti, des « nouveaux talents », des Français de l’étranger et des élus locaux, indique encore Le Figaro.

 

NKM à Copé : « T’es une merde »

NKM à Copé : « T’es une merde »

 

NKM dans une intreview au Point dit clairement ce qu’elle pense de Copé » t’es une merde » Assumant son caractère « d’emmerdeuse » que lui attribuait Jacques Chirac, NKM est également revenue sur ses relations tendues avec Jean-François Copé. Elle raconte notamment comment l’ancien président de l’UMP a tenté de la remplacer comme candidate pour la mairie de la capitale lorsque le père de cette dernière a subit un AVC. « Il m’est arrivé de l’appeler et de lui témoigner mon mépris », explique-t-elle avant d’ajouter sèchement qu’elle le lui avait signifié d’un : « t’es une merde! ». Tacle sur Bygmalion. Cet entretien a également été l’occasion pour Nathalie Kosciusko-Morizet de préciser sa pensée concernant l’affaire Bygmalion. « Je n’ai jamais fait confiance à ces gens-là. Contrairement à tous les autres, je n’ai jamais été cliente de Bygmalion. Copé, je l’ai obligé à dégager en réclamant l’organisation d’un congrès », explique celle qui déclare ne pas souhaiter se présenter à la présidence de l’UMP.

 

L’UMP à vendre (NKM)

L’UMP à vendre (NKM)

 

Finalement il faut tout bazarder à l’UMP, le siège, le nom, les anciens dirigeants sans doute d’après Nathalie Kosciusko-Morizet La présidente du groupe UMP au Conseil de Paris, Nathalie Kosciusko-Morizet dit souhaiter un changement de nom et la vente du siège de l’UMP, dans une interview au Parisien/Aujourd’hui en France publié ce mardi, avant un bureau politique à haut risque. »L’UMP d’aujourd’hui a déçu. Le congrès de l’automne doit être celui de la refondation », déclare l’ancienne porte-parole de la campagne de Nicolas Sarkozy. « Je suis favorable à des actes symboliques forts comme le changement de nom de l’UMP. Je souhaite aussi que l’on vende notre siège, rue de Vaugirard. Il est froid, glacial, à présent il rappelle de mauvais souvenirs, et nous avons de toute façon besoin d’argent ». La députée de l’Essonne appelle également à « retrouver l’ADN de l’UMP, c’est à dire privilégier l’alliance entre la droite et le centre pour une alternative majoritaire et une alternative gagnante ». « Nous n’avons plus le droit à l’erreur », martèle NKM. « Il faut tourner la page et ne pas laisser l’UMP aux mains de ceux qui l’ont abîmée ». L’UMP, déstabilisée par le scandale de l’affaire Bygmalion et en proie à une véritable guerre des chefs, doit tâcher de panser ses blessures, lors d’un bureau politique à haut risque aujourd’hui qui doit fixer la date du prochain congrès et désigner une direction intérimaire. Derrière les divergences politico-juridiques entre sarkosyste, copéistes, fillonistes, juppéistes ou non-alignés autour de la future direction du mouvement, se profile le véritable enjeu de la bataille : le nom du candidat UMP à la présidentielle de 2017.

Juppé, Fillon, Wauquiez ,Baroin, NKM : tirs aux pigeons de Lavrilleux

Juppé, Fillon, Wauquiez ,Baroin, NKM : tirs aux pigeons de Lavrilleux

 

L’ancien directeur adjoint de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2012 et proche de Jean-François Copé, Jérôme Lavrilleux règle ses comptes avec les ténors de l’UMP selon des propos rapportés par lepoint.fr. Le tout nouveau député européen, qui a affirmé que des meetings de la campagne présidentielle ont été indûment facturés par la société Bygmalion à l’UMP et non aux comptes du candidat Sarkozy, pointe la responsabilité de l’ancien chef de cabinet de Nicolas Sarkozy à l’Élysée, Guillaume Lambert, qui a aussi dirigé la campagne présidentielle de 2012. « Personne n’a eu le courage de dire stop à Sarkozy », explique-t-il dans Le Point à paraître jeudi. « Je ne le voyais que lors des meetings. Le reste du temps, c’est Lambert qui passait commande. » Alors que Jean-François Copé a été poussé à la démission de la présidence de l’UMP par l’affaire Bygmalion, M. Lavrilleux, qui a été son directeur de cabinet, tire à boulets rouges sur la plupart des dirigeants du parti. « Le problème dans ce milieu, c’est qu’il y a des gens morts de l’intérieur : Baroin, Juppé. Copé ne l’est pas », assène-t-il. L’ancien Premier ministre, François Fillon, grand rival de Jean-François Copé, « est complexé de l’intérieur, il est dans l’auto-émasculation tout en ayant besoin de prouver sa virilité ». Laurent « Wauquiez, c’est une raclure », Nathalie Kosciusko-Morizet, « NKM, ce n’est pas une belle personne », selon les dires de Jérôme Lavrilleux, qui se montre un peu plus amène avec une autre des étoiles montantes du parti, Bruno Le Maire, « très sympa et vivant, alors qu’il a l’air d’un poisson froid ». Enfin, Nicolas « Sarkozy, c’est le plus vivant de tous, mais à quoi ça sert ? », ajoute-t-il au moment où l’ancien président paraît déterminé à replonger dans l’arène politique. Mercredi soir, Lavrilleux a démenti sur BFMTV avoir accordé un entretien à l’hebdomadaire: « Je n’ai pas donné d’interview au Point ». Le site internet du Point admet qu’il « ne s’est pas prêté au jeu de l’interview questions-réponses », mais qu’il s’est toutefois « (beaucoup) livré » à une journaliste de l’hebdomadaire et qu’il a « accepté que l’on dessine un portrait de lui ».

Sondage municipales : NKM battue à Paris

Sondage municipales  : NKM  battue à  Paris

Le 14e,  un arrondissement à ne surtout pas perdre pour NKM, si elle veut être élue maire de Paris. Mais dans le 14e, où elle est tête de liste, la candidate de l’UMP serait encore en retard sur sa rivale PS, selon un sondage CSA réalisé pour BFMTV, Le Figaro, Orange et Ricoh et publié jeudi. Nathalie Kosciusko-Morizet ne recueille que 46% d’intentions de vote au second tour, contre 54% pour la socialiste Carine Petit. L’étude précise que l’écart se resserre légèrement puisqu’il y a six semaines, NKM était créditée de 45%, Carine Petit de 55%, d’après un précédent sondage CSA. Lors du premier tour le 23 mars, Carine Petit, qui brigue la succession du maire PS sortant Pascal Cherki, avait recueilli 37,89% des voix, devançant de près de cinq points la candidate de l’UMP (33,10%) dans le 14e arrondissement. La candidate EELV qui s’est classée troisième (8,78%) a fusionné sa liste avec celle de la socialiste. Nathalie Kosciusko-Morizet, de son côté, s’est entendue avec la dissidente Marie-Claude Carrère-Gée (5,74%) qu’elle accueille sur sa liste. Le sondage CSA souligne qu’outre les électeurs écolos, ceux ayant voté au premier tour pour la liste du Parti de gauche (5,24% au premier tour) devraient très bien se reporter sur la liste PS au second tour (à hauteur de 85%). Mais l’institut CSA évoque également des « reports non négligeables des listes conduites par Marie-Claire Carrère-Gée (dissidente UMP) et Nicolas Mansier (divers) ». Le « potentiel de participation » serait de 60%, selon le sondage, soit un niveau presque identique à la participation au premier tour (60,9%). En outre, 68% des électeurs potentiels de la gauche se disent tout à fait certains d’aller voter, contre 58% de ceux de la droite, précise dans cette étude Yves-Marie Cann, directeur en charge de l’opinion à CSA. Enfin, 92% des personnes interrogées seraient « sûres » de leur choix. Une défaite dans cet arrondissement clé pour NKM rendrait quasiment impossible sa conquête de la ville. Le 14e envoie en effet 10 élus au Conseil de Paris, où il faut au minimum 82 conseillers pour avoir la majorité. Malgré une victoire de l’UMP dans les 12e (10 conseillers), 9e (4 conseillers), 5e (4 conseillers) et 4e (2 conseillers) – autres arrondissements stratégiques – les socialistes resteraient majoritaires. Nathalie Kosciusko-Morizet n’a donc d’autres choix que de donner tort à ce sondage.

Municipales Paris : NKM devant Hidalgo quand même favorite

Municipales Paris : NKM devant Hidalgo quand même favorite

 

Nathalie Kosciusko-Morizet se félicite du résultat du premier tour à Paris. La candidate UMP-MoDem-UDI est arrivée en tête dimanche soir dans la capitale avec 35,64% des voix, devançant sa concurrente, la socialiste Anne Hidalgo (34,40%).  Le « peuple de Paris« , « libre et rebelle« , a « fait mentir tous les pronostics » en plaçant les listes UMP/UDI/MoDem en tête dès le premier tour des municipales à Paris, a déclaré dimanche soir Nathalie Kosciusko-Morizet. « Désormais, plus que jamais, l’alternance est possible, le changement est possible, il est tout proche« , a-t-elle poursuivi.  Candidate dans le 14e arrondissement, NKM n’a toutefois pas réussi à convaincre dans ce bastion de la gauche. Elle y arrive en deuxième position, quatre points derrière la candidate socialiste Carine Petit.  Un score plus serré que sa rivale Anne Hidalgo, qui dans le 15e est en ballottage. Créditée de 29,10% des voix, elle est largement devancée par le candidat UMP, le député-maire Philippe Goujon (48,56%).  Mais la candidate socialiste à la mairie de Paris garde néanmoins de grandes chances de l’emporter au second tour. Notamment en raison d’un important réservoir de voix dans plusieurs arrondissements clefs de la capitale, comme le 12e et le 14e justement. Le bon score des Verts et de la liste portée par Christophe Najdovski (8,86%) devrait profiter à l’adjointe de Bertrand Delanoë. Le score du Front national reste à peu de chose près identique à ses scores habituels dans la capitale. Le candidat du parti frontiste, Wallerand de Saint-Just, fait 6,26% des voix, loin des 10% qu’il s’était fixé, mais plus que les 5,7% de 2008. Interrogé sur les consignes de vote que donnerait son parti, il a déclaré que « la balle est dans le camp » de Nathalie Kosciusko-Morizet.

 

Sondage municipales Paris : Hidalgo 53%, NKM 47%

Sondage municipales Paris : Hidalgo 53%, NKM 47%

Le dernier sondage portant sur la capitale avant le premier tour des élections municipales, dimanche 23 mars, confirme la tendance des dernières semaines. Selon une enquête BVA pour RTL et Le Parisien, Anne Hidalgo  l’emporterait au premier comme au second tour devant son adversaire UMP, Nathalie Kosciusko-Morizet. Au premier tour, la liste Parti socialiste-Parti communiste-Parti radical de gauche emmenée par Anne Hidalgo est créditée de 37% des voix contre 35% à celle de NKM sur l’ensemble de Paris. Suivent ensuite la liste d’Europe-Écologie les Verts de Christophe Nadjovski (8%), celle du Front national de Wallerrand de Saint-Just (7%) puis celle du Parti de gauche de Danielle Simonnet (6%). Au second tour, la candidate socialiste l’emporterait assez largement devant la tête de liste UMP. L’adjointe de Bertrand Delanoë totaliserait, là encore, 53% des voix contre 47% à NKM.

NKM et Hidalgo battues à Paris

NKM et Hidalgo battues à Paris

L’enquête Ifop-Fiducial, réalisée cette semaine pour le Journal du dimanche et Sud Radio, révèle qu’aucune des deux têtes de liste ne sort gagnante localement. Dans le 14e, la liste conduite par NKM est battue par celle de la socialiste Carine Petit, pourtant peu connue. Ce n’est pas de très bon augure pour gagner Paris, car il s’agit d’un arrondissement clé, sans lequel l’UMP ne peut espérer reconquérir la capitale. Dans le 15e, où l’enjeu est moindre pour la gauche, la première adjointe de Bertrand Delanoë résiste, dans un contexte national difficile. Mais elle n’est pas en mesure d’inquiéter le député-maire sortant, Philippe Goujon, responsable de la fédération UMP de Paris. Même en cas de triangulaire avec le Front national, l’UMP l’emporte… mais avec un résultat beaucoup plus serré, qui laisse la porte ouverte à d’éventuelles surprises si la campagne se durcit.C’est un autre enseignement de ce sondage : l’ombre du Front national continue de grossir sur la capitale. Le parti de Marine Le Pen ne dépasse pas encore la barre des 10% (dans ces deux arrondissements sondés), seuil qui permet de maintenir une liste au second tour. Mais il s’en rapproche. Les écologistes de Christophe Najdovski (EELV) tirent leur épingle du jeu, notamment dans le 14e, malgré un début de campagne jugé timide. Les listes mélenchonistes, elles, ne percent pas, ou peu. Quant aux dissidentes de droite, elle se font laminer dans les deux sondages. 

 

Sondage Paris : NKM remonte

Paris : NKM remonte

L’issue du match qui oppose à Anne Hidalgo semble de plus en plus incertaine. L’écart entre les deux candidates à la mairie de Paris continue de se resserrer, selon notre sondage Ifop-Fiducial-Le Journal du Dimanche. Certes, la première adjointe de Delanoë fait toujours la course en tête au deuxième tour (52,5%), mais son avance sur sa rivale de l’UMP (47,5%) devient de moins en moins nette. Avant l’été, huit points les séparaient. Une bonne nouvelle pour NKM même si la percée du FN au premier tour (8%) complique sa tâche. Parachuté depuis la Picardie, le trésorier du parti de Marine Le Pen, Wallerand de Saint-Just, gagne trois points par rapport à notre sondage de juin dernier. Et s’impose ainsi comme la troisième force politique dans la capitale alors qu’il y a deux moins encore, ses adversaires écologistes, du MoDem et du Front de gauche le devançaient.

 

Le retour de Sarkozy contrarie les ambitions de NKM (et des autres)

Le retour de Sarkozy contrarie les ambitions de NKM (et des autres)

 

 

Curieuse réaction de NKM à l’éventuel retour de Sarkozy, en fait la crainte pour elle (et les autres notamment les quadragénaires)  de voir ses ambitions contrariées. « Non, je ne crois pas que cette réunion signe un retour en politique », a déclaré l’ex-porte-parole de M. Sarkozy pendant la campagne présidentielle.  Selon elle, « la décision éventuelle de revenir doit être une décision très personnelle, c’est une décision qu’il ne faut en aucune manière se laisser imposer par des événements extérieurs quels qu’ils soient ». « Et donc, je ne suis pas sûre qu’on doive faire un lien », a-t-elle ajouté.   »Nicolas Sarkozy n’a pas dit +je reviens en politique+, il a dit +cette décision inédite (du Conseil constitutionnel de confirmer le rejet du compte de campagne, NDLR) pose un problème pour ma famille politique et je suis avec elle à ce moment-là+, ça n’est pas la même chose ».  L’ancien président « s’implique pour sa famille politique, ne la laisse pas tomber », a aussi fait valoir l’ancienne ministre, députée de l’Essonne.  Elle a estimé que le fait – prévu par la réglementation des campagnes électorales – que des dépenses engagées avant la déclaration de candidature doivent figurer au compte de campagne, posait « un problème de principe », dans la mesure où, s’agissant de Nicolas Sarkozy, elles « préparaient sa candidature ».   »Si le sortant ne peut pas être candidat à sa succession, ça va concerner beaucoup de gens en France et à Paris », a-t-elle soutenu.  Le code électoral prévoit que le compte de campagne doit retracer « l’ensemble des dépenses engagées ou effectuées en vue de l’élection (…) dans l’année précédant le mois de l’élection ». Autrement dit, à partir d’avril 2011 s’agissant de l’élection présidentielle 2012.

 

Sondage -Municipales Paris : NKM menace Hidalgo, en cause le mécontentement général

Sondage -Municipales Paris : NKM menace Hidalgo, en cause le mécontentement général

 

 

Une surprise la remontée de NKM liée sans doute au contexte local mais aussi au mécontentement des couches moyennes en général vis-à-vis da la politique économique du gouvernement. Anne Hidalgo (PS) arriverait en tête au premier tour des municipales à Paris si l’élection avait lieu dimanche avec 37% des voix, devant Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP, 35%), qui progresse de 7 points depuis janvier, selon un sondage Ifop-Fiducial pour le JDD à paraître dimanche.  A la question « pour laquelle des listes suivantes y aurait-il le plus de chances que vous votiez? », une liste conduite par la première adjointe au maire sortant Bertrand Delanoë est première avec 37% des suffrages, un point de moins par rapport à un sondage identique effectué en janvier.  Une liste conduite par Nathalie Kosciusko-Morizet obtiendrait 35% des voix, contre 28% en janvier. Tous les autres concurrents sont loin derrière.  Au deuxième tour, la candidate socialiste l’emporterait haut la main, par 54% des voix contre 46% à sa rivale (56% contre 44% en janvier).  A la question de savoir si Nathalie Kosciusko-Morizet sort « renforcée, affaiblie ou ni renforcée, ni affaiblie de cette primaire », 28% jugent « renforcée », 18% « affaiblie », et 54% ni l’un ni l’autre.  Sondage réalisé du 5 au 7 juin auprès d’un échantillon de 855 personnes inscrites sur les listes électorales, extrait d’un échantillon de 1.006 personnes, représentatif de la population de la ville de Paris âgée de 18 ans et plus.   »La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession de l’interviewé(e)) après stratification par arrondissement » souligne l’étude.

 

Rachida Dati : un soutien à NKM ; pour la plomber ?

Rachida Dati : un soutien à NKM ; pour la plomber ?

« Je l’ai dit à Nathalie. Si on est ensemble, on gagnera Paris. Si on reste divisée nous perdrons. »Invitée de RTL, Rachida Dati a assuré Nathalie Kosciusko-Morizet de son soutien pour les primaires UMP en vue des municipales 2014 dans la capitale. « Je ferai campagne pour elle », a-t-elle expliqué face à Jean-Michel Aphatie. Interrogée sur les raisons de son retrait, annoncé mardi, la maire du VIIe arrondissement a expliqué que NKM avait été choisie par « les médias » et les « apparatchiks » de l’UMP. « Les médias l’ont choisi sans même la moindre présentation d’un projet », avant d’ajouter : « Ils ne se sont pas intéressés au mien ». Pour Rachida Dati, Paris est « gagnable » en 2014, mais sous certaines conditions. Selon elle, la campagne de l’UMP doit démarrer dès maintenant, Anne Hidalgo étant déjà sur le terrain pour le Parti socialiste. « Qu’on désigne NKM, et qu’on aille faire campagne », déclare l’ex-ministre. D’après elle, Nathalie Kosciusko-Morizet doit désormais faire un « geste politique fort », « en allant se présenter, s’implanter dans un arrondissement capital à notre victoire ». L’élue propose le XIIe arrondissement, aux mains du PS depuis 2001. Ce soutien affiché n’a pas empêché Rachida Dati de glisser quelques piques à destination de son ancienne rivale. Questionnée sur l’avenir de NKM en cas de victoire à l’élection municipale de 2014, l’ex-garde des Sceaux a espéré qu’elle ne quitterait pas son fauteuil de maire pour se présenter aux présidentielles. « Si elle est élue, elle ne va quand même pas laisser tomber ses électeurs une deuxième fois », a-t-elle déclaré, en référence au départ de Nathalie Kosciusko-Morizet de Longjumeau, son ancien fief électoral. L’ombre de Nicolas Sarkozy plane-t-elle sur les primaires parisiennes ? « Il ne m’a pas demandé de me retirer », rétorque Rachida Dati. « Lui, n’a jamais trouvé que ces primaires étaient une bonne idée. » Questionné sur l’implication de l’ancien président, elle a expliqué qu’il s’intéressait simplement à la politique, « c’est normal, c’est dans son ADN ». « C’est le meilleur d’entre nous », a-t-elle poursuivi, interrogée sur une possible candidature de l’ancien chef de l’État à l’élection de 2017. Rachida Dati célébrera des mariages homosexuels dans sa mairie du VIIe arrondissement. « Je suis républicaine », a-t-elle affirmé. « Je respecte la loi quand elle est votée », regrettant toutefois que la France soit « divisée et à terre » du fait de l’adoption du projet de loi. Interrogée sur la prestation de Christiane Taubira, en première ligne sur le mariage pour tous, l’ex-garde des Sceaux décrit « une militante, une femme qui a des convictions, du talent ». Elle regrette cependant les « envolées lyriques » de la ministre : « l’Assemblée nationale, c’est pas la Comédie Française », a-t-elle ironisé.

 

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