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Elon Musk lance Grok, IA générative anti ChatGPT, gavée aux fake news de X (ex Twitter)!

Elon Musk lance Grok, IA générative anti ChatGPT gavée aux fake news de X (ex Twitter)!


Le patron de X (ex-Twitter)a longtemps demandé une sorte de pause à l’égard de l’intelligence artificielle générative pour officiellement en réguler le développement et ses excès. La vérité est différente car le patron de X (ex Twitter) était en retard par rapport à ses concurrents dans ce domaine et souhaitait donc une suspension pour les rattraper. Or aujourd’hui, il lance avec une certaine précipitation son propre modèle d’intelligence artificielle en plus gavé au fake news de X (ex Twitter) !

La régulation est en cours de réflexion aussi bien aux États-Unis qu’en Europe mais pendant ce temps-là, l’intelligence artificielle se développe. Du coup Musk est contraint de lancer avec une certaine précipitation son propre modèle d’IA générative. Le problème, c’est que les données seront surtout issues de X (ex Twitter) où foisonnent les fakes news.

On pourrait avoir des surprises assez extravagantes en interrogeant désormais le modèle d’intelligence artificielle d’Elon Musk.a révélé ce samedi le premier modèle d’intelligence artificielle générative de sa compagnie xAI. Baptisé Grok, ce ChatGPT muskien aura la particularité d’adorer les sarcasmes et d’utiliser les contenus issus du réseau social… alors que ce dernier se distingue depuis le rachat par le milliardaire comme un vivier inépuisable de fake news.

Médias : Le faux débat des «Fake news»

 

Médias : Le  faux débat des  «Fake news» 

 

 

Un débat particulièrement confus car on ne sait pas quel est le champ d’application (informations générales, informations personnelles, nature de faits ou interprétations etc.). Tout cela renvoie en outre un concept d’objectivité ou de vérité qui est particulièrement subjectif. Selon un sondage Odoxa Dentsu Consulting»  pourtant 88% soutiendraient  la loi de novembre 2018 visant à lutter contre leur propagation en période électorale et plus généralement les Français seraient de plus en plus nombreux à considérer que l’intox est une question importante (50 %). Ce problème est toutefois complètement ingérable car l’intox est pratiquée partout. En premier, lors des campagnes électorales et pour  à peu près tous les candidats. La plupart des promesses relèvent  en effet de l’intox et mériteraient d’être sanctionnées quand elles ne sont pas suivies d’effet. Une perspective illusoire évidemment car c’est ce qui caractérise le système politique et même les fondements de notre démocratie. Comment en effet être élu sans promesses dont beaucoup constituent des illusions. En dehors des périodes électorales, le pouvoir lui-même ne cesse de diffuser de fausses  informations par exemple sur les perspectives de croissance, sur le budget, sur l’efficacité des institutions, sur le chômage, et sur nombre de questions socio économiques. Il y a aussi les médias pour la  plupart dans les mains des financiers qui ne cessent d’intoxiquer l’opinion avec des analyses très orientées, approximatives voire manipulatrices. De toute manière, cette loi applicable pendant les périodes électorales est impossible à mettre en œuvre.  Pour 81% des personnes interrogées, cette loi «est une bonne chose.» Le rejet est toutefois important chez les personnes s’informant via les réseaux sociaux et les blogs: pour 33% d’entre eux, cette loi «est une mauvaise chose car elle risque de porter atteinte à la liberté d’expression.» «Le gouvernement pourra se satisfaire de voir l’une de ses lois plébiscitée par l’ensemble du spectre politique», note Gaël Sliman, président d’Odoxa. «Non seulement cette loi enchante les sympathisants LREM (95%), mais elle est aussi approuvée par plus des trois quarts des sympathisants de gauche (84% des PS et 77% des Insoumis) comme de droite (75% des LR et 73% des RN).» En réalité la problématique posée de l’intox est elle-même une manipulation car elle renvoie au concept d’objectivité et de vérité. Deux concepts tout à fait relatifs. Le problème c’est que les uns et les autres ne parlent pas de la même intoxication !

Le faux débat des «Fake news»

Le  faux débat des  «Fake news» 

Un débat particulièrement confus car on ne sait pas quel est le champ d’application (informations générales, informations personnelles, nature de faits ou interprétations etc.). Tout cela renvoie en outre un concept d’objectivité ou de vérité qui est particulièrement subjectif. Selon un sondage Odoxa Dentsu Consulting»  pourtant 88% soutiendraient  la loi de novembre 2018 visant à lutter contre leur propagation en période électorale et plus généralement les Français seraient de plus en plus nombreux à considérer que l’intox est une question importante (50 %). Ce problème est toutefois complètement ingérable car l’intox est pratiquée partout. En premier, lors des campagnes électorales et pour  à peu près tous les candidats. La plupart des promesses relèvent  en effet de l’intox et mériteraient d’être sanctionnées quand elles ne sont pas suivies d’effet. Une perspective illusoire évidemment car c’est ce qui caractérise le système politique et même les fondements de notre démocratie. Comment en effet être élu sans promesses dont beaucoup constituent des illusions. En dehors des périodes électorales, le pouvoir lui-même ne cesse de diffuser de fausses  informations par exemple sur les perspectives de croissance, sur le budget, sur l’efficacité des institutions, sur le chômage, et sur nombre de questions socio économiques. Il y a aussi les médias pour la  plupart dans les mains des financiers qui ne cessent d’intoxiquer l’opinion avec des analyses très orientées, approximatives voire manipulatrices. De toute manière, cette loi applicable pendant les périodes électorales est impossible à mettre en œuvre.  Pour 81% des personnes interrogées, cette loi «est une bonne chose.» Le rejet est toutefois important chez les personnes s’informant via les réseaux sociaux et les blogs: pour 33% d’entre eux, cette loi «est une mauvaise chose car elle risque de porter atteinte à la liberté d’expression.» «Le gouvernement pourra se satisfaire de voir l’une de ses lois plébiscitée par l’ensemble du spectre politique», note Gaël Sliman, président d’Odoxa. «Non seulement cette loi enchante les sympathisants LREM (95%), mais elle est aussi approuvée par plus des trois quarts des sympathisants de gauche (84% des PS et 77% des Insoumis) comme de droite (75% des LR et 73% des RN).» En réalité la problématique posée de l’intox est elle-même une manipulation car elle renvoie au concept d’objectivité et de vérité. Deux concepts tout à fait relatifs. Le problème c’est que les uns et les autres ne parlent pas de la même intoxication !

Lois controversées anti-fake news : inutiles et dangereuses

Lois controversées anti-fake news : inutiles et dangereuses

Adoption le 20 novembre des lois Fake news. Des lois pour empêcher la diffusion de fausses nouvelles en période électorale. Encore un texte inutile et dangereux. Inutile car il existe déjà un arsenal juridique pour sanctionner les auteurs de tels faits. Dangereux car toute la question est de savoir ce qui est faux et ce ne l’est pas. Ce qui est faux à un moment donné faute d’éléments de preuve peut se révéler vrai avec le temps et inversement. En outre la véracité en politique est un concept très approximatif. Exemple le financement de la campagne de Macron par les milieux économiques. Macron a bénéficié de ristourne jusqu’à 90% pour la location des salles de réunions de la campagne ; ristourne ou financement occulte ? On pourrait trouver des exemples concernant des partis non majoritaires.   “L’objet n’est pas de sanctionner l’auteur mais d’endiguer la propagation” en période électorale, avait  déclaré la ministre de la Culture, Françoise Nyssen, à propos de ce texte demandé par Emmanuel Macron lors de ses vœux à la presse en janvier. Une déclaration quine change rien sur la complexifier à qualifier de faux ou de vraies une information. En outre dangereuse.  “Ce texte ne crée aucune interdiction nouvelle” mais il vise à “mieux faire respecter les règles existantes en les adaptant aux nouvelles réalités caractérisées par le poids croissant des réseaux sociaux, la viralité de l’information et le développement du sponsoring”, Si ce texte ne change rien pourquoi l’adopter ? Deuxièmement Macron largemenet soutenu par les milieux financiers  aurait intérêt à faire profil bas sur cette question. Le premier texte a été voté par 183 voix contre 111, avec l’appui de la majorité LREM-MoDem. Le second a été approuvé par 347 voix contre 204. Droite et gauche ont voté contre ou se sont abstenues, dénonçant des lois « inutiles » et pointant « un risque » notamment pour la liberté d’expression. Des associations et syndicats de journalistes s’étaient aussi élevés contre ces textes, craignant notamment un premier pas vers une possible « censure ».

 

La loi fake news : floue, dangereuse et inutile

La loi fake news : floue, dangereuse et inutile

 

 

 

La loi dite s’est fake news suscite actuellement la plus grande fusion. D’une manière générale, on la considère comme particulièrement floue, dangereuse et inutile. Floue parce qu’il est particulièrement impossible de caractériser ce qui est faux par rapport à ce qui serait vrai. La vérité en matière d’information politique notamment est souvent relative. En outre, le temps ce charge de réguler le concept de vérité. Un événement peut paraître faux à un moment donné peut ultérieurement devenir vrais et inversement. Le recours à la justice via le  juge des référés dans un délai de 48 heures paraît complètement irréaliste. Certaines informations en effet demandent des  vérifications approfondies qui exigent parfois des jours, des semaines voire des mois. Exemple le financement de certaines campagnes électorales par l’étranger. Cette loi est dangereuse car c’est un texte de circonstance qui s’appuie essentiellement sur la fausse information d’un compte de Macon à l’étranger. Or les dispositions législatives ne manquent pas pour lutter contre les choses information. Le dispositif a même été régulièrement complété. Une  loi de circonstance car  la loi ne s’appliquera qu’aux fausses informations qui sont  »de nature à altérer le scrutin », puisqu’elle ne concerne que les périodes électorales.  La loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse apporte déjà des mesures pour contrôler ce qu’elle nomme les « fausses nouvelles ». L’article 27 condamne « la publication, la diffusion ou la reproduction, par quelque moyen que ce soit, de nouvelles fausses, de pièces fabriquées, falsifiées ou mensongèrement attribuées à des tiers ». La loi précise également que « porter atteinte à l’honneur ou à la considération » d’une personne relève de la diffamation.  Selon Basile Ader   le vice-bâtonnier de Paris, « on a une loi très ancienne qui a été régulièrement corrigée, on y a ajouté des incriminations. Elle fait ses preuves. » Et de conclure, cinglant : « C’est pour moi, vraiment, une loi de circonstance. (…) Au mieux, c’est une loi inutile. »

Macron : une loi contre les « fake news » !!!

Macron : une loi contre les « fake news » !!!

Les fake news sont evidemmenet condamnables lorsqu’elles sont utilisées de manière consciente afin délibérement de nuire. Pour autant, on voit mal comment la loi voulue par Macron pourrait réguler le paysage audiovisuel concernant cet aspect. En effet,  la frontière entre vraie et fausse nouvelle est parfois très ténue. Il y a des faits objectifs mais d’autres qui le sont moins et qui relèvent  simplement d’analyse différentes notamment dans le domaine politique.Dans les dictatures,  sont considérées comme truquées les informations qui déplaisent au pouvoir. . Mais dans les démocraties on ne peut pratiquer cette régulation de coup de masse. En outre, une information qui peut paraître discutable à  un moment donné peut se révéler vraie avec le temps. On ne peut évaluer seulement les faits bruts, il faut les resituer dans leur contexte et la pertinence du contexte est souvent sujet à discussion. En outre dans les sociétés démocratiques, il existe suffisamment de médias pour contredire et d’une certaine façon combattre les informations non fondées.  Du coup,  la loi qu’envisage Macron pour réprimer les fausses nouvelles laisse pour le moins dubitatif.  Le chef de l‘Etat a fait cette annonce lors de ses vœux à la presse, à L‘Elysée, durant lesquels il a également confirmé son intention de réformer le service public de l‘audiovisuel et, plus généralement, théorisé ses relations avec les journalistes. “Si nous voulons protéger les démocraties libérales, nous devons savoir être forts et avoir des règles claires”, a-t-il déclaré pour justifier sa volonté de lutter contre les “fake news”, surtout pendant les campagnes électorales. “Les plates-formes se verront ainsi imposer des obligations de transparence accrue sur tous les contenus sponsorisés, afin de rendre publique l‘identité des annonceurs et de ceux qui les contrôlent, mais aussi de limiter les montants consacrés à ces contenus”, a-t-il précisé. “En cas de propagation d‘une fausse nouvelle, il sera possible de saisir le juge à travers une nouvelle action en référé permettant le cas échéant de supprimer le contenu mis en cause, de déréférencer le site, de fermer le compte utilisateur concerné, voire de bloquer l‘accès au site internet”, a encore déclaré Emmanuel Macron. Ces mesures seront contenues dans un projet de loi à venir “prochainement”. Le chef de l‘Etat n‘a donné aucun exemple mais, en mai dernier, il avait pris pour cible Russia Today et Sputnik, deux médias financés par le pouvoir russe, qu‘il avait alors accusés d‘agir en “organes d‘influence” répandant des “contre-vérités infamantes”.




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