Archive pour le Tag 'New-York'

Coronavirus États-Unis : en recul dans l’Etat de New York

Coronavirus États-Unis : en recul dans l’Etat de New York

 

Le nombre de décès dus au coronavirus enregistrés dans l’Etat de New York s’est élevé à 437 au cours de la journée de vendredi, contre 422 la veille, a annoncé samedi le gouverneur Andrew Cuomo.

Le nombre de patients hospitalisés quotidiennement pour le COVID-19 a quant à lui diminué à environ 1.100, contre 1.300 précédemment, et le nombre total d’hospitalisations pour la maladie est retombé à son niveau d’il y a trois semaines, a ajouté Andrew Cuomo.

Coronavirus : Nouvelle de la bourse chute à New York

Coronavirus : Nouvelle de la bourse chute à New York

Nouvelle journée de plongeon pour les bourses notamment à New York. En cause les conséquences possibles d’une pandémie. Une crise sanitaire qui pourrait générer même en crise économique.

Alors que les nouveaux cas ont baissé en Chine, la multiplication du nombre de personnes contaminées hors de Chine, notamment en Europe, au Moyen-Orient et en Corée du Sud amène les investisseurs à se replier vers les actifs moins risqués.

 “L’énorme bond du nombre de cas au cours du week-end dans d’autres pays amène à réévaluer les objectifs de croissance de 2020. Si le virus continue de se propager, nous pourrions avoir rapidement une baisse des bénéfices et des perspectives de croissance pour 2020”, a écrit Ryan Detrick, chargé de stratégie chez LPL Financial.

 Ainsi hier , l’indice Dow Jones a cédé 879,44 points, soit 3,15%, à 27.081,36.

Le S&P-500, plus large, a encore perdu 97,68 points, soit 3,03%, à 3.128,21. Le Nasdaq Composite a reculé de son côté de 255,67 points (-2,77%) à 8.965,61 points. Sur quatre séances cumulées, il s’agit du plus fort recul en pourcentage depuis décembre 2018 pour les trois grands indices de Wall Street.

Plongeon  des  marchés mondiaux : pourquoi ?

 Il y a plusieurs facteurs qui ont favorisé le plongeon des marchés financiers  mondiaux. D’abord évidemment, l’épidémie du virus chinois qui ne cesse de prendre de l’ampleur et qui menace donc la santé. La propagation de la maladie risque de rendre les consommateurs plus prudents et plus attentifs en matière d’achat. La première conséquence serait donc une baisse de la consommation des ménages.

 La seconde raison tient à la désorganisation des chaînes d’approvisionnement et de distribution. C’est maintenant qu’on va prendre la mesure de l’importance de la Chine dans les processus de production et de distribution. Nombre de productions de produits manufacturés sont en effet élaborées en totalité en partie en Chine et dans les pays asiatiques. Pour l’instant,  les stocks ont partiellement comblé les ruptures d’approvisionnement mais on est proche du  point  critique.

 Encore plus fondamental est l’interrogation des décideurs sur la pertinence géographique de l’organisation d’une production de plus en plus internationale. Certes, toutes les productions des pays développés ne seront sans doute pas rapatriées dans leur pays d’origine. Une partie cependant pourrait l’être mais surtout, on pourrait assister à une restructuration profonde de l’aire des délocalisations

 

Le dernier facteur défavorable aux bourses découle du fait que les cotations sont montées au zénith et que de toute manière un fait ou un autre peut mettre à tout moment le niveau des actions en péril. Ces actions ont en effet atteint des niveaux complètement incohérents et irresponsables. Beaucoup seront donc incités à prendre maintenant leur bénéfice aggravant encore la baisse. Les Bourses européennes ont donc chuté lundi, l’aggravation soudaine de l’épidémie de coronavirus en dehors de la Chine alimentant les craintes d’un impact plus important que prévu sur l’économie mondiale.

 

“Quand la population réagit en ne voyageant plus, en n’allant plus au restaurant ou en cessant d’aller faire des courses, cela à un impact immédiat sur l’économie”, observe Randy Frederick, vice-président chez Charles Schwab à Austin, Texas.

Les prix du PETROLE ont également poursuivi leur repli.

Le baril de brut léger américain West Texas Intermediate (WTI) perd 3,07% à 49,85 dollars tandis que le baril de Brent finit la journée sur une perte de 2,75% à $54,75 le baril.

 

 

Etats-Unis : Une croissance moins rapide, une « nouvelle norme » !! (FED,New York))

Etats-Unis : Une croissance moins rapide,  une « nouvelle norme » !!  (FED,New York))

 

 

Le moins que l’on puisse dire c’est que les Américains sont pragmatiques mais en même temps assez approximatif. Ainsi John Williams  préside de la Fed de New York a-t-il déclaré que la prévision de croissance de l’économie américaine autour de 2 % constitués la nouvelle norme. Qu’on devait en conséquence adapter la politique monétaire, comment ? Ça dépend a répondu l’expert ! John Williams  confond d’abord le concept de norme et de tendance. En effet l’hypothèse d’une croissance de 2 % aux États-Unis constitue une tendance. Une norme c’est autre chose. C’est notamment un autre contenu de croissance caractérisé en particulier par un phénomène déconsommation, une réduction des échanges internationaux et une dématérialisation de l’économie. Les Américains en général ne sont pas des philosophes ni même des théoriciens de l’économie (sauf quelques grands experts) ; par contre, ils savent s’adapter à tous les contextes. Une grande différence avec l’Europe qui se caractérise par une grande capacité à théoriser mais par une capacité d’action très médiocre. En outre les Américains recherchent toujours à positiver. Ainsi le président de la Fed de New York a-t-il indiqué qu’une croissance économique moins rapide aux Etats-Unis n’est pas “matière à inquiétude” mais plutôt une “nouvelle norme” à laquelle il faut s’attendre, a dit mercredi le président de la Fed de New York, soulignant que les responsables monétaires américains sont à l’aise avec les niveaux actuels des taux d’intérêt. John Williams, qui s’exprimait devant l’Economic Club de New York, a légèrement abaissé la prévision de croissance de l’économie américaine à environ 2%, la chute des marchés financiers en fin d’année dernière affectant maintenant les dépenses des ménages et des entreprises. Le résultat “aussi bon soit-il” serait juste au niveau de la croissance potentielle de l’économie américaine, ce qui justifie le niveau actuel des taux d’intérêt, qui sont “neutres”, c’est à dire à un niveau qui ne pénalise ni ne stimule l’activité économique. L’affaiblissement de la croissance économique en Chine et en Europe justifie l’orientation prudente de la Fed sur les taux. “Avec un marché du travail solide, une croissance modérée et aucun signe de pressions inflationnistes significatives, le scénario de base est assez favorable”, a poursuivi Williams, membre votant du comité de politique monétaire de la Fed, selon le texte de son intervention. “Quelle sera la réponse de la Fed? Ma réponse en bref est : cela dépend!”

Bourses : actions en baisse comme à New York ?

Bourses : actions en baisse comme à New York ?

 

La question se pose de l’évolution des placements des actions  dans les prochains jours  et les  bourses mondiales pourraient suivre New York qui termine dans le rouge pour les actions. En cause la hausse des obligations sur fond de crainte de l’inflation alimentée par l’augmentation des matières premières et des salaires.  Du coup les investisseurs pourraient être tentés d’arbitrer leurs placements en faveur des obligations au détriment des actions surtout avec les inquiétudes géopolitiques concernant en particulier l’Ira et les droits de douane. La Bourse de New York en tout cas a abandonné ses gains en cours de séance pour finir dans le rouge lundi, pénalisée par les valeurs de la santé et les craintes des investisseurs de voir les coûts des entreprises grimper, sur fond de hausse des cours du pétrole. Le Standard & Poor’s 500, plus large, a reculé de 21,86 points, soit 0,82%, à 2.648,05. De son côté, le Nasdaq Composite, à forte composante technologique, a cédé 53,53 points, soit 0,75% à 7.066,27, Apple perdant plus de 1,8%.

Le pétrole : encore en hausse à New York

Le pétrole : encore en hausse à New York

Conséquence sans doute d’une reprise de la croissance au plan mondial, le pétrole semble s’inscrire dans une tendance haussière. Une hausse à relativiser puisque  le baril dépasse seulement 54 $ mais qui est  à mettre en rapport avec la du dollar. Conclusion, il faut s’attendre à des hausses  du carburant en France en particulier.  Le prix du baril de pétrole new-yorkais a légèrement progressé lundi pour terminer à son plus haut niveau depuis février, soutenu par la perspective d’une prolongation de l’accord engageant plusieurs grands producteurs d’or noir à réduire leurs extractions. Le baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en décembre, référence américaine du brut, a gagné 25 cents pour clôturer à 54,15 dollars sur le New York Mercantile Exchange.

Pétrole : hausse à New York

Pétrole : hausse à New York

 

A la  clôture du Nymex, le Brent prenait 1,07 dollar, soit 1,8% à 60,36 dollars, son plus haut niveau depuis juillet 2015. Le secrétaire général de l’OPEP, Mohammad Barkindo, a déclaré aujourd’hui que l’Arabie saoudite et la Russie s’étaient toutes les deux prononcées pour une prolongation de neuf mois de l’accord de plafonnement de la production mondiale de pétrole. L’Organisation des pays exportateurs de pétrole et 10 autres pays dont la Russie se sont entendus pour réduire depuis le 1er janvier dernier leur production globale de 1,8 million de barils par jour. Cet accord est censé expirer en mars prochain. Son objectif est de réduire les stocks mondiaux de pétrole afin de désengorger le marché et de soutenir les cours. « Si l’OPEP et leurs pays partenaires peuvent se mettre d’accord sur une prolongation des réductions sur la totalité de 2018, alors nous pensons que le marché restera légèrement excédentaire jusqu’en 2019″, estime Jefferies. Une telle décision pourrait être prise lors de la réunion de l’OPEP le 30 novembre à Vienne. Les tensions dans le Kurdistan irakien participent également à la hausse des cours de l’or noir. Le groupe de services pétroliers Baker Hughes a par ailleurs fait état d’une baisse du nombre de forages pétroliers en octobre aux Etats-Unis en octobre, pour le troisième mois d’affilée. Si un point de forage a été ouvert la semaine au 27 octobre, ce qui porte leur total à 737, sur ce seul mois, 13 d’entre eux ont été fermés.

Le pétrole en nette baisse à New York

 Le pétrole en nette baisse à New York

 

 

Le pétrole sous le seuil des 50 dollars à New York, les investisseurs se plaçant en retrait alors qu’une nouvelle tempête, baptisée Nate, s’approchait des côtes américaines du Golfe du Mexique. Le baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en novembre, référence américaine du brut, a reculé de 1,50 dollar, soit 2,95%, pour clôturer à 49,29 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex). Les cours avaient été soutenus au cours des dernières séances par les signes de rapprochement entre la Russie et l’Arabie saoudite, les deux figures de proue d’un accord engageant l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et d’autres gros pourvoyeurs d’hydrocarbures à limiter leur production. Le but est de restreindre l’offre d’or noir sur le marché mondial et ainsi tenter de redresser les prix. Les dirigeants russes et saoudiens ont suggéré qu’ils étaient prêts à étendre cet accord. Mais pour Bart Melek de TD Securities, « le marché s’est peut-être un peu trop emballé, rien n’est encore signé et beaucoup de choses peuvent encore changer » avant la prochaine réunion officielle de l’Opep qui aura lieu fin novembre à Vienne. Les investisseurs penchent par ailleurs selon lui pour la prudence à l’approche de Nate. Cette tempête tropicale devrait se renforcer et se transformer en ouragan au cours du week-end lorsqu’elle traversera le Golfe du Mexique, où des plates-formes pétrolières et gazières ont été évacuées, avant d’atteindre le sud des Etats-Unis et de frapper les Etats de Louisiane et de Floride, a indiqué le centre américain des ouragans (NHC). Les tempêtes qui s’abattent sur les Etats-Unis perturbent la production de brut, mais entament également l’activité des raffineries, et donc la demande locale de pétrole non raffiné. Il est aussi possible « que le marché soit tout simplement à court d’investisseurs souhaitant parier à la hausse », a avancé Kyle Cooper d’IAF Advisors. « Je n’aime pas habituellement utiliser cet argument, mais les informations récentes sur le marché du pétrole penchent plutôt en faveur d’une augmentation des prix », a-t-il souligné en mentionnant la forte baisse des stocks de brut aux Etats-Unis ou le rapprochement entre la Russie et l’Arabie saoudite. « Il semble que le marché est dominé par l’idée que la production de brut aux Etats-Unis va continuer à augmenter via l’exploitation du pétrole de schiste », a avancé le spécialiste.

Prix Pétrole : chute à New-York

Prix Pétrole : chute à New-York

Le prix du pétrole qui avait enregistré ces dernières semaine une  certaine remontée chute à nouveau aux Etats-Unis. En cause les incertitudes sur la reprise mondiale et ses mouvements de yo-yo tant en Chine, qu’en Europe ou même aux Etats-Unis ( avec par exemple la baisse surprise du moral des ménages en mars). Sauf événements exceptionnels, les experts prévoit un prix de pétrole autour de 60 à 70 dollars en 2015. Une bonne nouvelle pour l’Europe et la France en particulier mais qui sera en partie compensée par la baisse de l’euro par rapport au dollar ( on s’approche de la parité 1 euro pour un dollar).  Les cours du pétrole ont chuté de plus belle après un rapport de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) soulignant la surabondance de l’offre en raison notamment de la production des Etats-Unis qui ne donne aucun signe de ralentissement. Le baril de Brent de la mer du Nord, référence mondiale pour l’or noir, a ainsi perdu 2,41 dollars (4,22%) à 54,67 dollars le baril, passant sous la barre des 55 dollars pour la première fois depuis un mois. Les investisseurs ont appris en séance que le moral du consommateur américain avait subi en mars une dégradation inattendue et marquée, selon les premiers résultats de l’enquête mensuelle de l’Université du Michigan, très suivie par les marchés. Un autre indicateur publié vendredi montre que les prix à la production aux Etats-Unis ont enregistré le mois dernier une baisse inattendue. Sur le marché des changes, le dollar a progressé de 0,75% face à un panier de devises de référence et vient de connaître sa plus forte progression sur deux semaines depuis six ans. Il est particulièrement vigoureux face à l’euro, qui lui a cédé 1,35%, à 1,0494 dollar, tout près d’un plus bas de 12 ans.

Ban Ki-Moon (ONU) rencontre le président Sarkozy à New York

Ban Ki-Moon (ONU) rencontre le président Sarkozy à New York

 Erreur sur la personne ou maladresse volontaire ? En tout cas le secrétaire de l’ONU reçoit le président (ex) Sarkozy. Il se pourrait que l’ONU ne soit pas informée des élections présidentielles de juin 2012 et du changement de locataire de l’Elysée. Ou alors Hollande est tellement transparent au plan international qu’on a préfèré recevoir son prédécesseur.  L’ancien président français Nicolas Sarkozy s’est donc entretenu vendredi à New York avec le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-Moon, a indiqué son attachée de presse.  Il s’agissait de « retrouvailles amicales » à la résidence new-yorkaise de M. Ban, a précisé Véronique Waché.   »C’est une visite privée à la demande du président Sarkozy », a souligné le porte-parole de l’ONU Martin Nesirky. Il a rappelé que M. Ban « avait travaillé en coopération étroite avec M. Sarkozy lorsque celui-ci était en fonction ».  M. Sarkozy venait de Montréal, où il a donné jeudi une conférence ( payée autour de 100 000 dollars, une bricole !) dans laquelle il a évoqué sa confiance dans l’avenir de l’Union européenne et de l’euro, selon le témoignage d’un des participants.

 

Bourses : Paris en baisse, New-York en hausse ; le même prétexte : le mur budgétaire américain

Bourses : Paris en baisse, New-York en hausse ; le même prétexte : le mur budgétaire américain

 

 

Paradoxe, la question du mur budgétaire américain et de l’évolution fiscale aurait fait chuter les bourses européennes et par contre monter les cours à New-York. Les Bourses européennes ont terminé la semaine sur une nouvelle séance de baisse vendredi et Wall Street a fini dans le vert ; En cause, d’après les analystes : le mur budgétaire américain. En  réalité, c’est la dégradation générale de la croissance mondiale qui provoque la tendance structurelle baissière tandis que les rumeurs et autres analyses ésotériques sont elles responsables des mouvements de yo-yo. Fondamentalement rien n’est réglé en Europe. Ni  en matière financière ni en matière économique ; Sur le plan financier, on ne sait toujours pas combien de temps on va soutenir la Grèce (jusqu’en 2014 ?) ou sortir ce pays de l’euro. Même chose pour l’Espagne dont la demande d’aide est urgente un jour, peut attendre le lendemain. Pour résumer le sud fait peur et maintenant la France inquiète. En fait la situation budgétaire des Etats européens est condamnée à se détériorer avec la récession qui s’installe. C’est le vrai motif d’inquiétude ;  l’activité recule entraînant  la remise en cause à terme des équilibres budgétaire et le chômage ; la question fiscale américaine pèse mais là encore c’est sa croissance qui interroge (baisse de la production industrielle de 0.4% en octobre).

New-York : Le pétrole en baisse

New-York : Le pétrole en baisse

Les cours du pétrole ont terminé en baisse à New York aujourd’hui, des inquiétudes pour la demande mondiale prenant le pas sur des craintes pour l’approvisionnement en or noir, dans un contexte de tensions géopolitiques au Moyen-Orient. Le baril de « light sweet crude » (WTI) pour livraison en novembre a lâché 1,14 dollar à 91,25 dollars, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).

 




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