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Le ministre allemand des finances condamne nettement les salaires des patrons de Volkswagen

Le ministre allemand des finances condamne nettement les salaires des patrons de Volkswagen

Le ministre allemand des finances ne fait jamais dans la dentelle aussi bien lorsqu’il s’agit de critiquer la politique de la banque centrale européenne que lorsqu’il condamne nettement les rémunérations des patrons de la société Volkswagen qui a perdu 4 milliards l’an passé suite au scandale du trucage des émissions polluantes. On aimerait évidemment que les autorités françaises montrent autant de détermination pour condamner les  dérapages des patrons français concernant leur propre salaire. De ce point de vue les hausses de rémunération de patron de Renault n’ont donné lieu qu’à une protestation relativement molle. Le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, déplore le versement de primes aux dirigeants de Volkswagen pour 2015, année marquée par le scandale du trucage des tests anti-pollution, le plus grave de l’histoire du groupe automobile.« Je n’ai pas de sympathie pour les managers qui commencent par entraîner une entreprise de premier plan dans une crise potentiellement mortelle et qui défendent ensuite leurs primes personnelles lors d’un débat public », déclare Wolfgang Schäuble dans les colonnes du Frankurter Allgemeine Sonntagszeitung. « Cela montre que quelque chose ne fonctionne pas. »Volkswagen prévoit de verser aux douze membres de son directoire 63,24 millions d’euros au titre de l’année passée, marquée par une perte record en raison du coût des litiges et indemnisations liés au « Dieselgate ». Volkswagen a déclaré le 22 avril une perte d’exploitation annuelle de 4,1 milliards d’euros, conséquence de 16,2 milliards d’euros de charges exceptionnelles liées au scandale.

2017 : Juppé (41%) nettement devant Sarkozy (23%) pour la primaire

2017 : Juppé (41%) nettement devant  Sarkozy (23%) pour la primaire

Alain Juppé (41%) creuse l’écart avec Nicolas Sarkozy (23%) dans les intentions de vote pour le premier tour de la primaire présidentielle de la droite et du centre, selon un sondage Elabe pour BFM TV et L’Opinion publié mercredi. Dans l’hypothèse, aujourd’hui la plus vraisemblable, d’un second tour entre Alain Juppé et Nicolas Sarkozy, le maire de Bordeaux l’emporterait aux primaires  avec 64% contre 36% à l’ancien président. Pour le premier tour, Bruno Le Maire se classe en troisième position avec 13% des intentions de vote devant François Fillon (11%). Viennent ensuite Nathalie Kosciusko-Morizet (4%), Nadine Morano (3%), Jean-François Copé (3%), Hervé Mariton (1%), Frédéric Lefebvre (0,5%) et Jean-Frédéric Poisson (0,5%). L’enquête a été réalisée par internet du 16 février au 16 mars auprès d’un échantillon de 5.001 personnes âgées de 18 ans et plus, à partir duquel a été extrait un sous-échantillon de 513 personnes inscrites sur les listes électorales et se disant certaines d’aller voter au premier tour de la primaire. Elabe estime à environ 4,4 millions d’électeurs le potentiel de participation au premier tour de la primaire, qui aura lieu le 20 novembre.

Sondage présidentielles 2017 : Hollande nettement éliminée dès le premier tour

Sondage présidentielles 2017 : Hollande nettement éliminée dès le premier tour

Sauf événement imprévisible, Hollande sera battu très nettement au premier tour des élections présidentielles. Son score prévisible entre 16 et 18 pour cent correspond d’ailleurs au plafond de verre de sa popularité qui stagne à environ 20 %. Sa seule chance éventuelle serait d’avoir à affronter Nicolas Sarkozy dont le résultat sera hypothéqué par la présence d’un François Bayrou qui monte dans les sondages pour approcher les 15 %. Il faudrait encore que ni Mélenchon, ni Cécile Duflot ne se présentent  pour éviter l’éparpillement des voix à gauche. Et même dans ces cas de figure Hollande aurait du mal à se qualifier face à Nicolas Sarkozy. Dans l’hypothèse d’une candidature de Juppé le score de François Hollande serait au moins aussi catastrophique que celui qu’avait obtenu Lionel Jospin. La prochaine élection présidentielle pourrait donc s’apparenter à un chemin de croix pour François Hollande. Un sondage IFOP-Fiducial publié mardi pour Paris Match révèle à quel point le chef de l’État est dans une très mauvaise posture à 14 mois du premier tour. Face à Alain Juppé ou Nicolas Sarkozy, le socialiste ne pourrait pas accéder au second tour. Dans le cas d’une candidature des Républicains portée par Alain Juppé, ce dernier arriverait en tête du premier tour avec 30% des voix (35% si François Bayrou n’est pas candidat, comme il l’a laissé entendre dans pareille situation). Il devancerait Marine Le Pen (27 à 28%). François Hollande serait relégué à la troisième place avec 16 à 18% des voix. Si Nicolas Sarkozy est de nouveau le candidat de la droite, il pourrait obtenir 21% des suffrages. Devancé par la présidente du Front national (25%). François Hollande est alors crédité de 18%. Avec 15%, François Bayrou serait en embuscade. L’avenir pourrait s’éclaircir pour François Hollande si François Fillon gagnait la primaire de la droite et du centre. Marine Le Pen serait encore en tête lors du premier tour avec 28% des voix mais une incertitude apparaît pour savoir qui irait l’affronter au second tour. Le socialiste comme le républicain sont crédités de 18% des votes. Avec 14,5%, François Bayrou reste assez haut.

Régionales Nord-Pas-de-Calais-Picardie : Marine Le Pen nettement battue

Régionales Nord-Pas-de-Calais-Picardie : Marine Le Pen nettement battue

Selon une enquête TNS Sofres OnePoint, Xavier Bertrand, le candidat LR, recueillerait 53 % des suffrages.  Xavier Bertrand, la tête de liste de la droite et du centre en région Nord-Pas-de-Calais-Picardie, est donné pour la première fois largement gagnant au second tour avec 53 % des intentions de vote contre 47 % à Marine Le Pen, selon un sondage TNS Sofres OnePoint pour Le Figaro et LCI réalisé les 7 et 8 décembre et publié mercredi. Depuis l’annonce, dès dimanche soir, du retrait de sa liste par le socialiste Pierre de Saintignon, avec l’accord de la maire de Lille, Martine Aubry, les appels à voter Bertrand se sont multipliés à gauche. Arrivé au premier tour en troisième position avec 18,11 % des voix, largement derrière la liste de la présidente du Front national (40,64 %), et de celle du candidat les Républicains (24,96 %), Pierre de Saintignon avait annoncé dans la soirée de dimanche le retrait de sa liste pour faire «barrage au Front national».  76 % des électeurs du PS seraient prêts à voter pour le député LR de l’Aisne au second tour, 15 % faisant le choix de s’abstenir. Pour Emmanuel Rivière, le directeur de l’unité stratégique d’opinion de TNS Sofres, «cette nette avance (de l’ancien ministre de Nicolas Sarkozy) est évidemment fragile. Les électeurs de gauche sont très décidés à faire barrage au FN et à voter pour lui. C’est un choix de raison plus que de cœur, qui n’est pas naturel. Les électeurs de gauche n’ont pas envie d’être dans la région qui aura permis à Marine Le Pen d’accéder à un grand pouvoir exécutif.» Rivière reconnaît qu’«un faux pas, une déclaration malencontreuse peuvent conduire ces électeurs à finalement s’abstenir».

2017- Sondage primaire à droite : Juppé nettement en tête

2017- Sondage primaire à droite : Juppé nettement en tête

Si Sarkozy bénéficie d’un soutien majoritaire au sein du parti les républicains par contre Juppé sortiraient largement gagnant parmi la population des électeurs de droite qui serait amenée à s’exprimer lors des primaires qui seront organisées dans près de 10 000 bureaux de vote.  Une étude Ipsos-Sopra Steria, à paraître jeudi dans l’hebdomadaire, porte sur la primaire de la droite et du centre qui doit se dérouler l’an prochain. Les résultats sont sans concession : Alain Juppé l’emporte avec 40% d’intentions de vote, devant Nicolas Sarkozy et ses 34%. Suivent ensuite les deux challengers : Bruno Le Maire et François Fillon, à égalité à 11%. Au second tour, Alain Juppé est toujours devant, avec 56% des suffrages, contre 44% pour Nicolas Sarkozy, toujours selon cette enquête. L’institut Ipsos explique s’être basé sur un échantillon représentatif de 7.003 personnes, sympathisants de droite et donc potentiels participants à la primaire. Le Point assure avoir resserrée  »cette base large en la resserrant aux sondés qui se disent ‘certains’ d’aller voter ». Les résultats se rapprochent de ceux d’une étude IFOP réalisée pour le JDD et parue le 30 août dernier. Aux yeux des sympathisants de droite, Alain Juppé l’emporterait avec 40% des suffrages, devant Nicolas Sarkozy (35%), Bruno Le Maire (14%) et François Fillon (11%).

Sondage 2017 : Hollande battu nettement au premier tour

Sondage 2017 : Hollande battu nettement au premier tour

 

 

Les sondages se suivent et ce ressemblent : Hollande sera éliminée en 2017 des le premier tour. Pour résumer il y a toujours environ 80 % des électeurs qui ne souhaitent pas que Hollande se présente à l’élection présidentielle est mécaniquement il ne recueille que de l’ordre de 20 % dans les sondages.  Selon une récente enquête IFOP pour Le Figaro et RTL, Hollande voit son score plafonner à 19 % d’inventions de vote, en restant irrémédiablement vissé à la troisième place du premier tour, quel que soit son adversaire à droite. La première place est encore occupée par Marine Le Pen. Elle devance aussi bien Nicolas Sarkozy avec 27 % qu’Alain Juppé avec 29 %. Les deux leaders de droite enregistrent le même score de 25 %, soit 6 points d’avance sur le président. l’avance des candidats de la droite ne cesse de s’accentuer. Il y a encore quelques mois, Hollande n’était qu’à 2 ou 4 points de Sarkozy ou Juppé. Cet écart grandissant rend encore plus incertaine la possible qualification du chef de l’État pour un second tour. «Il est clair qu’il ne s’est pas produit de dynamique en faveur de François Hollande. Au contraire ; il perd du terrain par rapport à ses concurrents pour l’accession au second tour», analyse Jérôme Fourquet, directeur du pôle opinion de l’IFOP. Marine Le Pen, qui devance Nicolas Sarkozy de 2 points à 27 % et Alain Juppé de 4 points avec 29 % d’intentions de vote, ne semble pas pâtir de son conflit politico-familial avec son père. «Sur un an, la présidente du FN est au même niveau. La crise interne au FN ne lui a pas porté ombrage. Et par rapport au premier tour de 2012, elle gagne 9 points, ce qui est considérable», explique Jérôme Fourquet. Par ailleurs, les Français souhaitent, encore très majoritairement (78 %), que François Hollande ne soit pas candidat en 2017. Plus dangereux encore pour le chef de l’État, 53 % des électeurs de Hollande au premier tour 2012 ne veulent pas de lui comme candidat en 2017.

 

Sondage 2017: Juppé nettement en tête

Sondage 2017: Juppé nettement en tête

Selon un sondage Viavoice à paraître ce mardi 3 mars dans Libération,  près de la moitié des Français (48%) estiment qu’Alain Juppé serait « un bon président de la République », devant Manuel Valls (40%) et Nicolas Sarkozy (37%). Le maire de Bordeaux gagne un point par rapport au précédent baromètre, réalisé en décembre, le Premier ministre 8 points et le président de l’UMP 6 points. François Fillon serait un bon président pour 33% des personnes interrogées (+7 points), François Bayrou pour 30% d’entre elles (+6 points) et Marine Le Pen pour 29% (+2 points). Martine Aubry et Laurent Fabius obtiennent tous deux 24% d’avis positifs, devançant Emmanuel Macron (23%), Ségolène Royal et Bruno Le Maire (22% pour chacun). François Hollande arrive en 12e position avec 20% de réponses positives, en progression de 9 points. Xavier Bertrand obtient 17%, devant Laurent Wauquiez (15%), Nathalie Kosciusko-Morizet, Jean-Luc Mélenchon et Nicolas Hulot (14% tous les trois), suivis d’Arnaud Montebourg et Najat Vallaud-Belkacem (13%).

Sondage : Juppé nettement devant Sarkozy

Sondage : Juppé nettement devant Sarkozy

 

 

Dans un sondage BVA Orange-il se confirme que le retour de Sarkozy est vraiment raté puisque désormais Juppé le devance nettement, pire même Marine Lepen est devant Sarkozy. ; En fait c’est la conséquence de plusieurs phénomènes, en dépit de meetings quasi quotidiens et du  battage médiatique, la crédibilité de Sarkozy est entamée. D’abord par son bilan négatif lorsqu’il était président de la république, ensuite par des orientations programmatiques relativement floues ( 35 heurs, mariage pour tous, chômage, Europe), enfin par accumulation d’affaires financières qui renforcent son coté bling-bling. . Les  personnes sondées ont placé Alain Juppé largement devant Nicolas Sarkozy, 55% (+2) d’entre eux souhaitant que le maire de Bordeaux « ait davantage d’influence dans la vie politique française », contre 26% (-7) pour l’ancien président. Autre phénomène inquiétant pour Sarkozy, le faiat qu’elle apparaisse come le principal opposant dans in autre sondage. Un élément qui pourrait confirmer que Marine Lepen peut arriver en tête en 2017 même si ses chances au second tour sont assez inexistantes. En effet Pour la première fois, la présidente du FN Marine Le Pen devance Sarkozy dans la liste des personnalités proposées (29%, +1). Le baromètre montre aussi un saut de popularité pour le ministre de l’Économie, Emmanuel Macron (36%, +13), qui se place au quatrième rang derrière Alain Juppé, François Bayrou et Bruno Le Maire.

 

Privatisations : Jospin nettement en tête devant Chirac et Balladur

Privatisations : Jospin nettement en tête devant Chirac et Balladur

 

 

Pour boucher les trous du budget la France a pris l’habitude de vendre ses bijoux de famille, la gauche avec Jospin a été la plus active dans ce domaine.  La plus grande erreur a sans dote été la braderie des autoroutes aux profits indécents qui seraient bien utiles pour abonder les recettes budgétaires. Evidemment compte tenu de la situation catastrophique actuellement on va continuer les privatisations.   « Au moins quatre milliards d’euros de cessions d’actifs seront mis au service du désendettement de la France l’année prochaine », a annoncé le ministre des Finances Michel Sapin, dimanche 5 octobre, sur Europe 1. Le gouvernement prévoit donc une nette accélération des privatisations partielles, après des années de calme sur les marchés. Voilà bientôt trente ans que les gouvernements successifs vendent les bijoux de famille de l’Etat, dans des conditions parfois critiquées. Mais quel a été le Premier ministre le plus prolixe en la matière ? Nettement en tête Lionel Jospin (1997-2002). Sous son mandat, aérospatiale-Matra et Usinor-Sacilor sont intégralement privatisés. L’Etat ouvre le capital de France Telecom (6,5 milliards) et de la CNP, et cède de nombreux titres : EADS (pour plus d’un milliard d’euros), AXA-UAP, Total, Pechiney… En 1999, Les Echos qualifient Dominique Strauss-Kahn – alors ministre de l’Economie – de « plus grand des privatiseurs ». Un an plus tôt, Le Monde s’était déjà étonné que « Lionel Jospin privatise plus qu’Alain Juppé ». Mais si Lionel Jospin est le Premier ministre qui a le plus privatisé, ce sont Jacques Chirac (1986-1988) et Edouard Balladur (1993-1995) qui ont lancé le mouvement. Le premier s’appuie sur la loi de 1986, qui prévoit la privatisation de 65 entreprises d’ici à 1991, nationalisées pour la plupart en 1945 et en 1982. C’est l’époque où TF1 passe dans les mains de Bouygues et où sont vendues Saint-Gobain ou la Société générale. Le second s’appuie sur un texte de 1993, qui cible 21 entreprises, dont 12 non-vendues sous Chirac. Cette fois, c’est le tour de la BNP, Rhône-Poulenc, Elf Aquitaine, Renault ou la Seita. Jean-Pierre Raffarin (2002-2005) cède de larges parts de Thomson, France Telecom et Air France-KLM.et  le gouvernement de Dominique de Villepin (2005-2007) va continuer.

 

Primaire UMP 2017 : Juppé nettement devant Sarkozy

Primaire UMP 2017 : Juppé nettement devant Sarkozy

En recul de trois points par rapport à une précédente enquête de juillet, l’ancien Président est désormais devancé par Alain Juppé dans les intentions de vote (35% contre 47%). Le maire de Bordeaux, pour sa part, est en progression de 15 points. Suivent Bruno Le Maire – qui pour l’heure pas candidat à cette élection – avec 10% (+2 points), François Fillon avec 5% (-2 points) et Xavier Bertrand avec 2% (-1 point). Les marges d’erreurs sont néanmoins importantes, de l’ordre de six points, le sondage ayant été réalisé auprès d’un échantillon de 1.224 personnes, dont 336 comptent participer à la primaire. En effet, ce sont 28% des sondés qui manifestent leur intention de participer à la primaire à droite. Un chiffre en hausse de quatre points en trois mois et qui va au-delà des seuls sympathisants de l’UMP Les sympathisants UMP, d’ailleurs, restent de leur côté favorables à l’ex-président. Nicolas Sarkozy recueille 51% des intentions de vote des adhérents au parti (-3 points) devant Alain Juppé 37% (+8 points). François Fillon est troisième, avec 7%, devant Bruno Le Maire et Xavier Bertrand, crédités chacun de 2% des intentions de vote.

 

Déficit commercial : nettement dans le rouge en août

Déficit commercial : nettement dans le rouge en août

En dépit de la baisse des importations, la balance commerciale est encore nettement dans le rouge. Les importations baissent sous l’effet d’une consommation des ménages atone mais les exports régressent  du fait de la diminution de la demande externe et du manque de compétitivité de l’économie française.  Le déficit commercial de la France s’est creusé à 5,78 milliards d’euros en août du fait d’un net recul des exportations, tombées à leur plus bas depuis près de trois ans, selon les statistiques CVS/CJO publiées jeudi par les Douanes. Il se compare à un déficit de juillet revu en légère baisse à 5,53 milliards d’euros, alors qu’il avait été annoncé à 5,54 milliards en première estimation. Le déficit cumulé sur les huit premiers mois de l’année s’élève à 40,3 milliards d’euros contre 41,1 milliards un an plus tôt. Pour le mois d’août, les Douanes font état d’un recul de 0,6% des importations, à 41,4 milliards d’euros. Dans le même temps, les exportations ont diminué de 1,3% par rapport à juillet, à 35,6 milliards d’euros, soit leur plus bas niveau depuis septembre 2011. Le déficit des seuls produits manufacturés s’est élevé à 4,2 milliards contre 3,8 milliards en juillet. Les ventes d’Airbus (13 appareils) ont représenté 1,19 milliard d’euros sur le mois contre 1,99 milliard en juillet (25 appareils). « Au nouveau recul des livraisons aéronautiques s’ajoute un retrait des ventes pour la chimie, le pétrole raffiné, le blé et les équipements industriels », soulignent les douanes dans un communiqué. Par zones géographiques, le déficit avec les pays hors Europe s’est creusé à 4,0 milliards (-3,65 milliards un mois plus tôt). Celui avec les autres pays de l’Union européenne est resté quasi stable à 3,49 milliards contre 3,47 milliards. Avec la seule zone euro, il a diminué à 3,69 milliards contre 3,93 milliards.

 

Sondage 2017 : Juppé nettement devant Sarkozy

Sondage 2017 : Juppé nettement devant Sarkozy

 

Suite notamment à sa prestation télévisée très réussie Juppé a marqué des points et fait nettement la course en tête devant Sarkozy. En effet Quarante trois pour cent des Français préfèreraient qu’Alain Juppé représente l’UMP à l’élection présidentielle de 2017 contre 23% qui sont en faveur de Nicolas Sarkozy, 29% ne se prononçant pas, selon un sondage Odoxa publié samedi par Le Parisien/Aujourd’hui en France/i>télé. Le Parisien précise que François Fillon « est désormais relégué au cinquième rang avec un petit 4%, derrière Xavier Bertrand (5%) et Bruno Lemaire (9%). » Pour les deux premiers, la tendance s’inverse très fortement chez les sympathisants de L’UMP (62% en faveur de Sarkozy, contre 26% pour Juppé), moins fortement mais majoritairement chez les sympathisants de droite (51% pour Sarkozy, 30% pour Juppé). Quant à la personnalité des deux hommes, les sondés sont 55% à penser que Sarkozy a plus d’autorité et de charisme qu’Alain Juppé (41%). En revanche, la tendance est favorable à Alain Juppé pour son côté rassembleur (50% pour le maire de Bordeaux contre 46% pour l’ancien président), pour sa compétence (61% à Alain Juppé, 35% à Nicolas Sarkozy) et surtout pour sa sincérité (73% pour Alain Juppé et 21% pour Nicolas Sarkozy). Sondage réalisé par Odoxa les 2 et 3 octobre 20914 auprès d’un échantillon de 1.000 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

 

France 2 : Juppé bat nettement Sarkozy

France 2 : Juppé bat nettement Sarkozy

 

Pas de doute possible Juppé a remporté son match télévisé sur France 2. Il y a d’abord les sondages pour en témoigner. Sur 800 téléspectateurs interrogés, 79% ont jugé l’ancien ministre des Affaires étrangères de Nicolas Sarkozy compétent et 72% sympathique ; 61% ont dit qu’il ferait « un bon président ». Selon un sondage du même institut réalisé après l’interview de Nicolas Sarkozy sur France 2, le 21 septembre, seulement 34% des téléspectateurs ont trouvé l’ex-chef de l’Etat convaincant. Au delà de ces éléments quantitatifs, il y a surtout le contenu qualitatif de la prestation de Juppé. Un Juppé qui s‘est nettement montré au dessus de nombre de politiques ayant pratiqué cet exercice télévisuel. Sur le fond,  Juppé s’est montré particulièrement compétent et sur la forme son intervention a été d’une grande tenue. D’une certaine manière, il a même rompu avec les discours démago des « grandes gueules de la politique ». Pondéré, sérieux, respectueux de ses interlocuteurs,  Juppé a montré un visage qu’on ne lui connaissait pas, souriant, décontracté, plein d’humour aussi. Faiat rare chez un politique il a fait son mea culpa affirmant qu’i n’était pas exemplaire (en rappelant ses condamnations où par parenthèse il a payé pour Chirac) mais honnête. Juppé est apparu très serein donnât vraiment l’impression qu’il a la stature d’un homme d’Etat. « Je suis quelqu’un qui fait appel à la réflexion plutôt qu’à la fébrilité », a fait valoir Alain Juppé jeudi soir.  Le 21 septembre, Nicolas Sarkozy avait adopté un ton condescendant à l’égard de son ancien ministre: « Alain Juppé, je l’ai connu quand j’avais 20 ans (…). C’est quelqu’un pour qui j’ai même de l’admiration et j’aurai besoin de lui. » Réplique du maire de Bordeaux jeudi: « Moi j’ai connu Nicolas Sarkozy quand j’avais 30 ans et j’aurai besoin de lui. Donc on est en phase. » ; Surtout une réponse de Jupé marqué l’émission à savoir sur ce qui concerne son rapport à l’argent. Quand on l’a interrogé s’il  se faisait rémunérer  pour ses conférences, il a déclaré qu’il n’avait jamais rien reçu, ni demandé (sauf une fois 1000 euros). Une différence essentielle avec Sarkozy qui se fait payer 100 000 euros chaque prestation et qui s’en vante presque. C’est une question d’étique personnelle a estimé Juppé. Certes Juppé a auusi un passif politique, comme Sarkozy, Fillon et d’autres, il lui faudra notamment expliquer pourquoi il ‘a pas été aussi efficace dans le passé. Mais dans la batille de la médiocrité et de la démagogie, Juppé apparait aujourd’hui (pas forcément demain) nettement au dessus de la mêlée.

Sondage 2017 : Juppé nettement devant Sarkozy

Sondage 2017 : Juppé nettement devant Sarkozy

Sur 1.050 personnes interrogées mardi et mercredi, 35% préfèrent Alain Juppé pour porter les couleurs de l’UMP à l’élection présidentielle de 2017, contre 20% en faveur de l’ex-chef de l’Etat (-3 points depuis avril, -7 depuis mars). L’ancien président de la République, mis en examen mercredi pour trafic d’influence actif, corruption active et recel de violation de secret professionnel, reste en tête dans le cœur des sympathisants de droite (38% contre 32%) mais perd du terrain (-2 points depuis avril, -14 depuis mars). Nicolas Sarkozy a dénoncé mercredi soir sur TF1 et Europe 1 une « instrumentalisation d’une partie de la justice française » à son encontre et une volonté de « l’humilier » et il a assuré n’avoir rien à se reprocher. « Est-il normal, alors qu’il n’y a aucun indice grave et concordant contre moi (…), qu’on poursuive les écoutes sur l’ancien chef de l’Etat qui pourrait avoir demain des responsabilités d’opposition ? » a-t-il dit, avant de préciser qu’il ne renonçait pas à revenir sur la scène politique. Selon la même enquête, 63% des sondés considèrent que l’ex-chef de l’Etat est traité « comme n’importe quel justiciable », contrairement à ses dires, alors qu’ils n’étaient que 48% à le penser il y a trois mois. Seulement 23% des personnes interrogées disent le juger honnête (-5 points depuis mars) et 59% estiment qu’il a fait son temps (+11 points).

Présidentielle 2017 : Juppé nettement favori face à Marine Le Pen

Présidentielle 2017 : Juppé nettement  favori face à  Marine Le Pen

Juppé, cest pas vraimenet nouveau , ni vraimenet très sexy mais les français semblent fatigués des calemots qui font le contraire de ce qu’ils disesnt. En cas d’un face-à-face entre Alain Juppé et Marine Le Pen, 49% des sondés choisiraient donc  le maire UMP de Bordeaux, 21% la présidente du Front national et 30% ne se prononceraient pour « aucune de ces deux personnalités », selon un sondage Ifop  publié ce dimanche 15 juin par Atlantico. Nicolas Sarkozy ferait moins bien. L’ancien président recueille les faveurs de 41% des sondés, contre 19% pour Marine Le Pen. La part des sondés ne se prononçant pour aucun des deux augmente alors de 10 points, à 40%. François Fillon recueille quant à lui 44%, contre 22% pour Mme Le Pen (34% pour aucun des deux). Autre fait notable à droite, Nicolas Sarkozy est celui qui recueille le plus de soutien parmi les sondés se disant proches du FN (17%, contre 80% pour Marine Le Pen), nettement plus que Alain Juppé (5%-93%) et François Fillon (7%-91%). Manuel Valls devance Nicolas Sarkozy et François Fillon avec 45%, mais face au Premier ministre, les soutiens de Marine Le Pen s’élèvent à 24% (31% pour aucun des deux). Enfin, François Hollande ne recueille que 33%, contre 29% pour la présidente du FN (38% pour aucun des deux).

 

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