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Afrique: ces pays qui n’en finissent pas de s’enfoncer

Afrique: ces pays qui n’en finissent pas de s’enfoncer

Sans être superstitieux, on peut se demander si une malédiction n’affecte pas ce superbe continent qu’est l’Afrique. Pourtant en moyenne tout est réuni pour une vie harmonieuse : les ressources, le climat, la jeunesse de la population. Certes, il s’agit d’une moyenne car des Etats sont plus avantagés que d’autres, plus développées que d’autres. Les avis d’experts ne manquent pas sur les facteurs explicatifs relatifs à l’extrême pauvreté en moyenne de ce continent, une pauvreté économique mais aussi démocratique. La plupart de ces experts n’ont jamais vécu durablement en Afrique en tout cas au sein des populations. Du coup, ils proposent tout simplement face aux crises caractérisées par la montée des violences et des dictatures que les pays occidentaux quittent le continent.

C’est évidemment oublier que déjà les chinois sont les plus influents économiquement en Afrique et qu’ils progressent en développant efficacement et discrètement business sur fond de corruption. Les russes de leur côté s’implantent pour surtout des motifs politiques mais aussi pour piller les pays. Côté occidental y compris en Europe, chaque pays joue son propre jeu dans un intérêt diplomatique et parfois économique.

Certains experts proposent un désengagement total de l’Occident y compris par exemple sur le plan militaire ou économique avec la suppression du franc CFA. Ils oublient évidemment que la place serait vite occupée par d’autres puissances étrangères et surtout par les terroristes islamistes qui ne cessent de progresser.

La plupart des putschistes ne s’intéressent qu’au pouvoir et à la mainmise sur les richesses. Ces militaires se désintéressent totalement de la lutte contre le terrorisme repliés qu’ils sont pour la plupart autour des capitales et des lieux de pouvoir. Des militaires qui la plupart du temps se consacrent surtout à des fonctions de police et à la corruption et qui négligent évidemment les fonctions de défense.

De la même manière, proposer la suppression brutale du franc CFA, aujourd’hui soutenu à bout de bras par l’Europe et la France, aboutirait à une dévaluation de près de 50 % et un renchérissement considérable des biens essentiels. Une véritable catastrophe sociale et humanitaire se produirait alors. Avec aussi comme conséquence son lot d’immigrations sauvages vers l’Europe.

La priorité est donc d’abord de procéder à une analyse pertinente de la situation et ne pas s’en tenir à ce qu’on peut penser dans les salons des ambassades ou même les services de renseignements qui ont été incapables de prévoir les récents événements politiques.

Il ne faut certainement pas quitter l’Afrique mais changer la nature des relations. Par exemple ne plus financer des grands projets dont une partie disparaît dans les sables de la corruption ou dans les superstructures des grandes organisations. Il faut financer des projets beaucoup plus utiles, plus urgents mais ciblés et suivis par des équipes de projets compétentes et intègres.

Parallèlement, il convient de favoriser ce tissu de PME qui manquent tellement à l’Afrique pour remplacer une partie de l’économie informelle. Mais cela suppose des financements des compétences et des formations. Une des urgences est de former à la gestion ces futurs entrepreneurs qui confondent trop aujourd’hui montant du tiroir caisse et profits.

Former doit être l’axe stratégique de l’aide au développement : aide économique, aide sociale, aide militaire, aide technologique et aide démocratique.

Surestimer l’ampleur de la contestation à l’égard de la France constitue une erreur d’analyse. En effet, dans la plupart des pays on peut avec 1,50 € et une bière par manifestant réunir des foules éphémères, versatiles et manipuler temporairement l’opinion.

Une opinion qui a cependant des raisons objectives à ne pas être satisfaite de l’efficacité de la gestion de certains politiques dans certains pays et même de la politique de développement de la France.

Se retirer brutalement de l’Afrique se traduira inévitablement notamment par une progression des terroristes islamiques qui n’auront aucun mal à prendre la place des militaires d’opérette du Niger, du Burkina ou du Mali. Se retirer brutalement de l’Afrique serait provoquer une une crise sociale sans précédent et une vague d’immigration impossible à maîtriser.

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Politique- Cette Afrique qui n’en finit pas de s’enfoncer

Cette Afrique qui n’en finit pas de s’enfoncer

Sans être superstitieux, on peut se demander si une malédiction n’affecte pas ce superbe continent qu’est l’Afrique. Pourtant en moyenne tout est réuni pour une vie harmonieuse : les ressources, le climat, la jeunesse de la population. Certes, il s’agit d’une moyenne care des Etats sont plus avantagés que d’autres, plus développées que d’autres. Les avis d’experts ne manquent pas sur les facteurs explicatifs relatifs à l’extrême pauvreté en moyenne de ce continent, une pauvreté économique mais aussi démocratique. La plupart de ces experts n’ont jamais vécu durablement en Afrique en tout cas au sein des populations. Du coup, ils proposent tout simplement face aux crises caractérisées par la montée des violences et des dictatures que les pays occidentaux quittent le continent.

C’est évidemment oublier que déjà les chinois sont les plus influents économiquement en Afrique et qu’ils progressent en développant efficacement et discrètement business sur fond de corruption. Les russes de leur côté s’implantent pour surtout des motifs politiques mais aussi pour piller les pays. Côté occidental y compris en Europe, chaque pays joue son propre jeu dans un intérêt diplomatique et parfois économique.

Certains experts proposent un désengagement total de l’Occident y compris par exemple sur le plan militaire ou économique avec la suppression du franc CFA. Ils oublient évidemment que la place serait vite occupée par d’autres puissances étrangères et surtout par les terroristes islamistes qui ne cessent de progresser.

La plupart des putschistes ne s’intéressent qu’au pouvoir et à la mainmise sur les richesses. Ces militaires se désintéressent totalement de la lutte contre le terrorisme repliés qu’ils sont pour la plupart autour des capitales et des lieux de pouvoir. Des militaires qui la plupart du temps se consacrent surtout à des fonctions de police et à la corruption et qui négligent évidemment les fonctions de défense.

De la même manière, proposer la suppression brutale du franc CFA, aujourd’hui soutenu à bout de bras par l’Europe et la France, aboutirait à une dévaluation de près de 50 % et un renchérissement considérable des biens essentiels. Une véritable catastrophe sociale et humanitaire se produirait alors. Avec aussi comme conséquence son lot d’immigrations sauvages vers l’Europe.

La priorité est donc d’abord de procéder à une analyse pertinente de la situation et ne pas s’en tenir à ce qu’on peut penser dans les salons des ambassades ou même les services de renseignements qui ont été incapables de prévoir les récents événements politiques.

Il ne faut certainement pas quitter l’Afrique mais changer la nature des relations. Par exemple ne plus financer des grands projets dont une partie disparaît dans les sables de la corruption ou dans les superstructures des grandes organisations. Il faut financer des projets beaucoup plus utiles, plus urgents mais ciblés et suivis par des équipes de projets compétentes et intègres.

Parallèlement, il convient de favoriser ce tissu de PME qui manquent tellement à l’Afrique pour remplacer une partie de l’économie informelle. Mais cela suppose des financements des compétences et des formations. Une des urgences est de former à la gestion ces futurs entrepreneurs qui confondent trop aujourd’hui montant du tiroir caisse et profits.

Former doit être l’axe stratégique de l’aide au développement : aide économique, aide sociale, aide militaire, aide technologique et aide démocratique.

Surestimer l’ampleur de la contestation à l’égard de la France constitue une erreur d’analyse. En effet, dans la plupart des pays on peut avec 1,50 € et une bière par manifestant réunir des foules éphémères, versatiles et manipuler temporairement l’opinion.

Une opinion qui a cependant des raisons objectives à ne pas être satisfaite de l’efficacité de la gestion de certains politiques dans certains pays et même de la politique de développement de la France.

Se retirer brutalement de l’Afrique se traduira inévitablement notamment par une progression des terroristes islamiques qui n’auront aucun mal à prendre la place des militaires d’opérette du Niger, du Burkina ou du Mali. Se retirer brutalement de l’Afrique serait provoquer une une crise sociale sans précédent et une vague d’immigration impossible à maîtriser.

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Cette Afrique qui n’en finit pas de s’enfoncer

Cette Afrique qui n’en finit pas de s’enfoncer

Sans être superstitieux, on peut se demander si une malédiction n’affecte pas ce superbe continent qu’est l’Afrique. Pourtant en moyenne tout est réuni pour une vie harmonieuse : les ressources, le climat, la jeunesse de la population. Certes, il s’agit d’une moyenne care des Etats sont plus avantagés que d’autres, plus développées que d’autres. Les avis d’experts ne manquent pas sur les facteurs explicatifs relatifs à l’extrême pauvreté en moyenne de ce continent, une pauvreté économique mais aussi démocratique. La plupart de ces experts n’ont jamais vécu durablement en Afrique en tout cas au sein des populations. Du coup, ils proposent tout simplement face aux crises caractérisées par la montée des violences et des dictatures que les pays occidentaux quittent le continent.

C’est évidemment oublier que déjà les chinois sont les plus influents économiquement en Afrique et qu’ils progressent en développant efficacement et discrètement business sur fond de corruption. Les russes de leur côté s’implantent pour surtout des motifs politiques mais aussi pour piller les pays. Côté occidental y compris en Europe, chaque pays joue son propre jeu dans un intérêt diplomatique et parfois économique.

Certains experts proposent un désengagement total de l’Occident y compris par exemple sur le plan militaire ou économique avec la suppression du franc CFA. Ils oublient évidemment que la place serait vite occupée par d’autres puissances étrangères et surtout par les terroristes islamistes qui ne cessent de progresser.

La plupart des putschistes ne s’intéressent qu’au pouvoir et à la mainmise sur les richesses. Ces militaires se désintéressent totalement de la lutte contre le terrorisme repliés qu’ils sont pour la plupart autour des capitales et des lieux de pouvoir. Des militaires qui la plupart du temps se consacrent surtout à des fonctions de police et à la corruption et qui négligent évidemment les fonctions de défense.

De la même manière, proposer la suppression brutale du franc CFA, aujourd’hui soutenu à bout de bras par l’Europe et la France, aboutirait à une dévaluation de près de 50 % et un renchérissement considérable des biens essentiels. Une véritable catastrophe sociale et humanitaire se produirait alors. Avec aussi comme conséquence son lot d’immigrations sauvages vers l’Europe.

La priorité est donc d’abord de procéder à une analyse pertinente de la situation et ne pas s’en tenir à ce qu’on peut penser dans les salons des ambassades ou même les services de renseignements qui ont été incapables de prévoir les récents événements politiques.

Il ne faut certainement pas quitter l’Afrique mais changer la nature des relations. Par exemple ne plus financer des grands projets dont une partie disparaît dans les sables de la corruption ou dans les superstructures des grandes organisations. Il faut financer des projets beaucoup plus utiles, plus urgents mais ciblés et suivis par des équipes de projets compétentes et intègres.

Parallèlement, il convient de favoriser ce tissu de PME qui manquent tellement à l’Afrique pour remplacer une partie de l’économie informelle. Mais cela suppose des financements des compétences et des formations. Une des urgences est de former à la gestion ces futurs entrepreneurs qui confondent trop aujourd’hui montant du tiroir caisse et profits.

Former doit être l’axe stratégique de l’aide au développement : aide économique, aide sociale, aide militaire, aide technologique et aide démocratique.

Surestimer l’ampleur de la contestation à l’égard de la France constitue une erreur d’analyse. En effet dans la plupart des pays on peut avec 1,50 € et une bière par manifestant réunir des foules éphémères et manipuler temporairement l’opinion.

Une opinion qui a cependant des raisons objectives à ne pas être satisfaite de l’efficacité de la gestion de certains politiques dans certains pays et même de la politique de développement de la France.

Se retirer brutalement de l’Afrique se traduira inévitablement notamment par une progression des terroristes islamiques qui n’auront aucun mal à prendre la place des militaires d’opérette du Niger, du Burkina ou du Mali. Se retirer brutalement de l’Afrique serait provoquer une une crise sociale sans précédent et une vague d’immigration impossible à maîtriser.

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« L’intelligence artificielle va générer plus d’emplois qu’elle n’en élimine »

« L’intelligence artificielle va générer plus d’emplois qu’elle n’en élimine »

Par
Georges Nahon, Ancien directeur du centre d’innovation d’Orange à San Franciscodans Le Monde

Un article qui mérite la lecture mais dont il faut sans doute relativiser les conclusions. En effet, l’intelligence artificielle n’en est qu’à ses débuts et à terme personne ne peut savoir quelles seront les conséquences notamment quantitatives sur l’emploi car la révolution reste encore à venir. NDLR

L’exceptionnelle accélération des progrès de l’intelligence artificielle (IA) et la rapidité fulgurante de son adoption par des millions de gens en un temps record, grâce notamment à ChatGPT et au lancement de GPT-4, une nouvelle version sortie à la mi-mars avec des améliorations considérables, amènent de nombreux observateurs à poser à nouveau une brûlante question : est-ce que l’IA remplacera, déplacera ou créera de nouveaux emplois ?

Au début 2023, la vague d’environ 200 000 licenciements qui a touché le secteur de la technologie aux Etats-Unis, notamment dans la Silicon Valley, a été attribuée à la crise économique et géopolitique mondiale, et au surrecrutement intervenu pendant et juste après la pandémie du Covid-19. L’IA était donc hors de cause.

Mais, d’ici à 2025, estime le Forum économique mondial, l’IA remplacera quelque 85 millions d’emplois, tandis que 97 millions de nouveaux emplois seraient créés sur la même période grâce à l’IA. Selon le cabinet de conseil PwC, l’IA sera responsable d’une augmentation de 14 % du produit intérieur brut de l’Amérique du Nord d’ici à 2030.

Sam Altman, président d’OpenAI, l’entreprise qui a développé ChatGPT, s’inquiète de la rapidité avec laquelle certains emplois seraient remplacés dans un proche avenir. Une nouvelle étude d’OpenAI publiée en mars estime que ChatGPT et les futurs outils « génératifs » qui en dérivent pourraient avoir un impact sur la moitié des tâches accomplies par environ 19 % des travailleurs aux Etats-Unis. Et 80 % verraient au moins 10 % de leurs tâches affectées par ChatGPT.

De nouvelles compétences
Rappelons toutefois que l’utilisation d’outils logiciels comme Excel a rendu le travail des comptables plus efficace, leur permettant de se concentrer sur des tâches plus complexes qui nécessitent leur expertise spécifique. Excel n’a pas réduit le besoin de comptables, mais a amélioré leur efficience. Et le nombre de comptables a augmenté aux Etats-Unis.

Lire aussi la tribune : Article réservé à nos abonnés « ChatGPT nous invite à un regain d’intelligence dans tous les domaines, dont l’enseignement »
En réalité, l’adoption généralisée de l’IA exigera de nouvelles compétences techniques et non techniques. L’IA générative a un impact visible dans les domaines créatifs tels que la musique, l’art et l’écriture. Ce qui crée de nouveaux rôles, tels que ceux de spécialiste du contenu généré par l’IA, conservateur d’art IA et producteur de musique IA. Un autre domaine exigeant de nouvelles compétences est celui des services commerciaux, notamment avec les chatbots [robot conversationnel en ligne] et les assistants virtuels alimentés par l’IA.

L’IA générative change aussi la nature des emplois existants. Par exemple, les comptables peuvent maintenant utiliser des systèmes alimentés par l’IA pour automatiser de nombreuses tâches, libérant ainsi du temps pour d’autres tâches plus stratégiques. De même, les médecins peuvent utiliser des systèmes alimentés par l’IA pour analyser les données des patients et identifier les risques potentiels pour la santé. L’impact est aussi très significatif dans le monde du droit.

JO 2021 : les Japonais n’en veulent plus

JO 2021 : les Japonais n’en veulent plus

 

 

 

Alors que les autorités japonaises n’ont cessé de militer pour que se maintiennent les JO d’été en 2021, l’opinion japonaise, elle, bascule très nettement en faveur de l’annulation de l’épreuve.

 

Les organisateurs insistent sur les protocoles sanitaires et laissent entendre qu’ils pourraient limiter drastiquement les places pour les spectateurs étrangers, mais la campagne de vaccination au Japon ne débutera au mieux pas avant fin février. Comme le souligne le sexagénaire Taro, la voix de la population compte peu : « C’est une décision difficile qui ne nous appartient pas, c’est au Comité olympique de se prononcer, mais je pense qu’il faut annuler. Je travaille dans le secteur médical, et on ne sait pas du tout quand on viendra à bout de ce virus. »

Au Japon, selon les plus récents sondages, 80% des citoyens sont désormais réfractaires à la tenue des J.O cet été. Le Premier ministre martèle, lui, que les préparatifs se poursuivent comme prévu.

Municipales: pas d’effet du vote sur l’épidémie : du pipeau, on n’en sait rien!

  • Municipales: pas d’effet du vote sur l’épidémie : du pipeau, on n’en sait rien!
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  • Une équipe de statisticiens et d’épidémiologiste aurait conclu que la décision d’organiser un premier tour des élections municipales n’aurait eu aucun impact sur la propagation de la pandémie. Une étude complètement bidon fondée sur l’évolution des cas enregistrés sur l’évolution des infectés passés dans les hôpitaux. Un échantillon nullement représentatif de la population. Que cette étude soit pertinente il aurait fallu se fonder sur un échantillon de personnes ayant participé au vote et non prendre en compte les seules victimes passées dans un hôpital. Tout cela sans l’étude faite justifiait le bien-fondé de la décision du gouvernement d’organiser le premier tour des élections alors que dès le lendemain le même gouvernement décidé du confinement. Notons évidemment que cette étude n’a pas pris en compte la diffusion chez les asymptomatiques qui ont pu ultérieurement contaminer de futurs malades est beaucoup plus tard. Rappelons-nous des études dites scientifiques considérant il n’y a pas si longtemps que le port du masque était inutile voire dangereux à la qu’il est aujourd’hui considéré comme indispensable. Même raisonnement contradictoire à propos des tests. Même sur le confinement, l’appréciation des différents scientifiques mondiaux révèle des contradictions.

Sondage Crise sanitaire : le gouvernement n’en fait pas assez pour 53 %

Sondage Crise sanitaire  : le gouvernement n’en fait pas assez pour 53 %

 

Selon une étude menée les 31 mars et 1er avril auprès d’un millier de Français par Odoxa avec Dentsu Consulting, pour Le Figaro et Franceinfo, les Français considèrent encore à 53 % que le gouvernement n’en fait pas assez.

Au flou de la parole gouvernementale sur les stocks de masques et de produits sanitaires s’est greffé le manque de clarté des oppositions sur leurs positions, selon l’opinion publique. Toutes les oppositions sont ainsi jugées majoritairement «pas à la hauteur», et leur parole est largement «méconnue» des Français, alors qu’Édouard Philippe réunit ce jeudi matin les chefs de parti en visioconférence. Que ce soit sur le confinement ou le maintien du premier tour des élections municipales, les volte-face des responsables politiques ont ajouté à la confusion.

Concernant Emmanuel Macron, qui a opéré un changement de ton face à la propagation du virus et a déclaré un véritable état de «guerre», 53 % des Français estiment toujours qu’il n’en fait pas assez. Le jugement pour l’exécutif est cependant moins sévère par rapport à la semaine dernière où 65 % des Français étaient persuadés que le gouvernement n’avait pas fait le nécessaire pour bien équiper les hôpitaux et les soignants face à l’épidémie.

Les forêts tropicales risquent de produire plus de CO2 qu’elles n’en absorbent

Les forêts tropicales risquent de produire plus de CO2 qu’elles n’en absorbent  

 

Actuellement, ces forêts représentent 50% des capacités mondiales de séquestration de carbone, mais elles atteignent rapidement la saturation. Début mars 2020, des chercheurs ont même averti que bientôt (dans 15 ans environ pour la forêt amazonienne), les forêts tropicales produiraient plus de carbone qu’elles n’en captent.

 

Les arbres diminuent la quantité de CO2 dans l’atmosphère, quand la quantité de carbone qu’ils absorbent à travers la photosynthèse dépasse le CO2 émis à leur mort, dans un incendie, après une sécheresse ou à cause de la déforestation. Cette capacité de captation chute plus vite en Amazonie que dans les forêts d’Afrique subsaharienne.

Une équipe d’une douzaine de chercheurs, en Europe et en Afrique, a suivi la croissance des arbres et leur mortalité sur une période de cinquante ans dans des forêts africaines. Ils ont ensuite comparé ces données à des informations similaires sur la forêt amazonienne.

Conclusion, si certaines forêts ont grandi plus vite, dopées par le dioxyde de carbone dans l’atmosphère, ces maigres gains sont effacés par les arbres tués par les feux, les sécheresses et les pics de température. En extrapolant ces données sur les 20 prochaines années, leur étude, publiée dans le journal scientifique Nature, estime que la capacité des forêts africaines à absorber le carbone va décliner de 14% d’ici à 2030, et que celle de l’Amazonie va atteindre zéro avant 2035.

« Cette baisse est en avance de dizaines d’années sur les prédictions les plus pessimistes« , souligne Wannes Hubau, un expert des écosystèmes forestiers au Musée royal de l’Afrique centrale, à Bruxelles. « La mortalité est une étape naturelle du cycle de la vie des arbres de forêt. Mais en injectant autant de CO2 dans l’air, nous avons accéléré ce cycle« , a-t-il déclaré à l’AFP.

 

Sondage Grand débat : 67% des Français mais Macron n’en tiendra pas compte pour 62 %

Sondage Grand débat : 67% des Français mais Macron  n’en tiendra pas compte pour 62 %

Les Français sont convaincus de la nécessité du grand débat national. 67% pensent que c’est une « bonne chose ». Mais ils sont également une majorité (62%) à penser qu’Emmanuel Macron n’en tiendra pas compte, selon un sondage Opinion Way pour LCI, Le Figaro et RTL publié ce mardi 22 janvier.  Le chef de l’État part donc avec un handicap de taille sans compter que plus des deux tiers des Français espèrent une seule et même conclusion : que l’exécutif revienne sur certaines mesures prises depuis le début du quinquennat, notamment la réforme de l’impôt sur la fortune, et plus largement qu’il modifie sa politique économique. Tout l’inverse à priori des intentions d’Emmanuel Macron. Si le président entend mettre en avant l’écologie pour remettre à plat les impôts et les taxes, il pourrait avoir du mal à convaincre les Français : en effet seulement 11% d’entre eux jugent que le thème de la transition écologique est prioritaire. Loin, très loin de la fiscalité et des dépenses publiques qui restent en tête de leurs préoccupations.

*Enquête réalisée auprès d’un échantillon de Français recrutés par téléphone puis interrogés par Internet du 21 au 22 janvier 2019. Échantillon de 1.007 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. L’échantillon a été constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de catégorie socioprofessionnelle, de catégorie d’agglomération et de région de résidence.

Parti communiste : une agonie qui n’en finit pas

Parti communiste : une agonie qui n’en finit pas

 

Il y a évidemment quelque chose de pathétique dans l’agonie du parti communiste français. Un parti qui fut l’une des premières forces politiques de France en son temps mais qui depuis ne cesse de dépérir. De devenir presque anecdotique. En cause sans doute,  d’abord le fait que le communisme a échoué partout dans le monde, pire qu’il a généré dictature, violence voire des massacres. En tout cas,  il n’a produit nulle part cette espérance de progrès techniques, sociaux  et démocratiques. Pourtant la théorie est belle malheureusement inapplicable compte  tenu du niveau de formation moyen des citoyens et de leur morale politique. L’humain reprend toujours le dessus avec ses castes, son oligarchie, ses intérêts particuliers et comme pour la plupart des régimes, la folie du pouvoir qui fait vendre les âmes pour un bout de fromage électoral. Le parti communiste en son temps a participé à l’élaboration du modèle social français par contre il a toujours eu du mal à intégrer les innovations économiques, sociales sociétales. Un vrai gâchis en vérité car nombre de militants sincères, d’un dévouement exemplaire et honnêtes se sont usés et perdus dans les contradictions d’un parti dont la finalité vise seulement à sauver la peau de quelques élus que veut bien lui consentir le parti socialiste. Pas étonnant si pour une fois la proposition de  »base commune » de la direction du PCF a été devancée par un texte alternatif lors du vote des adhérents, a annoncé le parti samedi 6 octobre.  Le texte alternatif « Pour un manifeste du Parti communiste du XXIe siècle », défendu notamment par le chef des députés communistes André Chassaigne, est arrivé en tête avec 42,15 % des 30 172 suffrages exprimés. La proposition de  »base commune » du Conseil national,  »Le communisme est la question du XXIe siècle », n’arrive qu’en seconde position avec 37,99 % des suffrages exprimés. Deux autres textes ont récolté 11,95% et 7,90%.

Apple a versé 14 milliards de retard d’impôt à l’Irlande….qui n’en veut pas !

Apple a versé 14 milliards de retard d’impôt à l’Irlande….qui n’en veut pas !

 

Une situation particulièrement ubuesque puisque Apple condamné par l’union européenne à verser 14 milliards environ de retards d’impôts à l’Irlande qui n’en veut pas. Du coup l’Irlande a placé la somme sur un compte spécial en attendant la suite de la procédure engagée par Apple (et l’Irlande !) pour protester contre cette condamnation. On le sait, l’Irlande fait partie de ces paradis fiscaux qui fait du dumping fiscal l’un des principaux attraits du pays. : attirer le maximum de sièges sociaux des grandes multinationales notamment américaines. D’autres pays comme la France en particulier ce seraient empressés d’empocher les 15 milliards. Le pire c’est que l’Irlande va faire appel devant la cour de justice européenne afin d’obtenir un jugement annulant l’obligation faite par la commission européenne d’encaisser le retard de fiscalité. Pas étonnant qu’avec une telle bienveillance fiscale, l’Irlande demeure l’un des pays les plus privilégiés par les multinationales pour y situer de leurs  sièges sociaux.

Route : mortalité en baisse pourquoi ? On n’en sait rien !

Route : mortalité en baisse pourquoi ? On n’en sait rien !

13,5 % de  baisse en septembre et une baisse de 2 % sur un an. Pourquoi ?  Réponse comme à chaque fois : on n’en sait rien. Régulièrement le ministre ou l’office national de la sécurité routière annonce soit des chiffres en augmentation ou en baisse pour les tués et blessés de la route. En réalité aucun organisme compétent n’analyse de manière scientifique les facteurs explicatifs de ces variations. Du coup, on s’en remet à des explications de bistrot ou alors  on en profite pour justifier une augmentation du nombre de radars (par ailleurs sans doute indispensables). L’Etat va multiplier les radars embarqués (qui ne sont pas repérables par les dispositifs antiradars) en externalisant leur exploitation à des opérateurs agréés. Après avoir testé les radars à double sens, les autorités vont également déployer des radars de nouvelle génération capables de détecter de nouvelles formes d’infractions (comme l’interdiction de demi-tour). Des dispositifs de leurre seront également installés de manière à accroître la vigilance des conducteurs. Techniquement, les radars fixes seront toujours signalés par un panneau d’avertissement. Mais près de 10.000 panneaux annonceront des radars qui n’existent pas.les gouvernement successifs tentent de justifier cette intensification des contrôles radars, très impopulaires et souvent soupçonnés d’alimenter les caisses de l’Etat. Recettes engrangées par les radars (environ  milliards)) servent à financer l’entretien et l’installation de ces contrôles et participent au financement des infrastructures routières ainsi qu’aux collectivités locales. La vérité c’est que cette ressource n’est pas réellement affectée et qu’elle tombe dans le vaste trou du budget. Tendanciellement sur très longue période l’insécurité routière à heureusement diminué mais il est bien difficile d’identifier les facteurs explicatifs. La qualité des infrastructures peut jouent évidemment un rôle comme l’amélioration des dispositifs de sécurité des véhicules, les contrôles et les sanctions. Par contre on est bien incapable d’expliquer des variations parfois assez fortes entre certains mois voir certaines années. Par exemple, on est bien incapable de mesurer l’incidence de l’utilisation illégale de portables par les conducteurs qui pourtant sont encore nombreux à ne pas pouvoir se séparer de leur téléphone et autre Smartphones. Cette incapacité tient surtout au fait  que le pays ne dispose pas d’un véritable service de la sécurité routière dont les responsabilités sont éparpillées sur plusieurs administrations et corps de contrôle.

 

Le Brexit n’entamera pas la reprise (Sapin …..Qui n’en sait rien ! )

Le Brexit n’entamera pas la reprise (Sapin …..Qui n’en sait rien ! )

 

 

À peine connus les résultats du brexit, l’inénarrable  Sapin, comme nombre d’experts ont chaussé leurs lunettes roses pour considérer que la décision des Britanniques n’entamera pas la reprise en France et en Europe. Une prédiction illusoire car la vérité c’est que personne n’en sait rien. Tout dépendra en faite deux l’importance des perturbations sur les marchés financiers, sur les marchés des changes voire sur les investissements. On sait que les marchés ont horreur des incertitudes comme les investisseurs. Ces incertitudes vont nécessairement s’inscrire dans la durée : plusieurs mois voire plusieurs années. On notera d’ailleurs une première divergence sur le calendrier du brexit puisque le président de la commission économique Jean-Claude Juncker souhaite que les procédures de rupture avec la Grande-Bretagne soient immédiatement engagées tandis que du côté britannique Cameron, mais aussi le fantasque Boris Johnson qui a milité pour le brexit souhaitent attendre  la fin de l’année pour engager les discussions. Sans doute Boris Johnson susceptible d’ailleurs de remplacer Cameron comme Premier ministre commence-t-il maintenant apprendre conscience des retombées négatives possibles de son engagement stupide. Il est clair en tout cas que le scénario d’une rupture la plus rapide possible serait susceptible de mettre fin aux incertitudes et de rassurer ainsi les investisseurs. Pour autant la reprise n’est pas assurée car les conséquences du brexit seront négatives surtout pour la Grande-Bretagne mais aussi pour l’union européenne. La croissance européenne pourrait être affectée d’une baisse de 0,1 à 0,2 % et celle de la Grande-Bretagne pourrait aller jusqu’à 0,3 %. Pour qu’il n’y ait pas un changement significatif dans le redémarrage de la croissance encore faudrait-il que cette croissance soit actuellement à la hauteur. Ce qui est loin d’être le cas au second trimestre qui va enregistrer un tassement de la croissance du PIB. Du coup affirmé que le brexit n’entamera pas la reprise relève de l’approximation voire de l’escroquerie. La victoire du « Brexit » au référendum britannique ne devrait pas enrayer la reprise de l’économie française dans l’immédiat mais, à terme, celle-ci en pâtira forcément, estiment des économistes interrogés par Reuters. On notera d’ailleurs l’avis particulièrement ambigu de certains experts. « En l’absence de contagion financière trop importante, il va y avoir un choc négatif sur la croissance française cette année mais il ne devrait pas être de nature à vraiment casser la dynamique   Mais il est difficile de prévoir comment l’Union européenne va gérer cet événement inédit et l’incertitude est d’autant plus grande que « les négociations risquent de s’embourber très vite, faute d’attelage très robuste pour mener les négociations côté européen dans les six à neuf mois qui viennent », estime Jean-Michel Six, chef économiste pour l’Europe de l’agence de notation Standard & Poor’s.

(Avec Reuters)

Christine Lagarde ne pense pas refaire de la politique en France : ça tombe bien elle n’en a jamais fait !

Christine Lagarde ne pense pas refaire de la politique en France : ça tombe bien elle n’en a jamais fait !

 

 

Bizarres certains sondages puisque 50 % des Français considèrent que Christine Lagarde ferait une bonne présidente de la république. Sans doute un résultat lié à sa posture lisse mais sans intérêt de l’intéressée. Comme disait Alain mannequin la principale qualité de Christine Lagarde « c’est  très bien lire les communiqués du tréso »r (ministère des fiances). . Maintenant elle se contente de lire les communiqués du FMI mais sans la moindre originalité, la moindre analyse personnelle mais avec un accent anglais qui fait envie à la plupart de nos politiques restés  eux avec l’accent britannique appris en sixième. Bref en l’état actuel de la nullité de la classe politique,  ce sont les muets ou ce qui parlent  pour ne rien dire qui deviennent  les plus populaires. En France aujourd’hui même un âne pourrait devenir président de la république, ce sera d’ailleurs vraisemblablement le cas comme au cours des précédents quinquennats ;  on risque en effet de choisir encore un président à l’encéphalogramme culturel complètement plat. Bref plutôt un personnage au profil de camelot. La directrice du Fonds monétaire international (FMI) Christine Lagarde assure donc  ne pas penser « refaire de politique en France », assurant ne pas avoir de « plan de carrière », dans un entretien à paraître lundi 28 septembre dans le quotidien Les Echos.  »Très sincèrement, non, je ne pense pas refaire de politique en France », assure dans cette interview l’ancienne ministre de l’Économie de Nicolas Sarkozy, qui a pris la succession de Dominique Strauss-Kahn à la tête du FMI en juillet 2011.  Dans un sondage rendu public début septembre par l’institut Harris Interactive, 50% des Français avaient estimé qu’elle ferait une bonne présidente de la République, 16% des sondés assurant même qu’elle remplirait très bien ce rôle.  « Les résultats de ce sondage m’ont profondément touchée », assure Christine Lagarde. Mais « je n’ai jamais fait de plan de carrière, je ne vais pas commencer maintenant », ajoute-t-elle. La directrice du FMI a vu son horizon judiciaire et donc politique s’éclaircir cette semaine, un non-lieu ayant été requis à son encontre dans l’enquête sur l’arbitrage controversé à plus de 400 millions d’euros dont a bénéficié Bernard Tapie en 2008.  Christine Lagarde avait été mise en examen le 27 août 2014 pour « négligence » dans cette affaire, les juges lui reprochant notamment de ne pas avoir formellement contesté l’arbitrage une fois qu’il a été rendu. Si les magistrats instructeurs de la Cour de Justice de la République, seule instance habilitée à enquêter sur les membres du gouvernement pour les faits commis dans l’exercice de leur fonction, suivaient cette réquisition de non-lieu, les poursuites visant l’ancienne ministre de l’Économie seraient abandonnées.

Quelles compétences pour les départements ? On n’en sait rien !

Quelles compétences pour les départements ? On n’en sait rien !

C’est évidemment le paradoxe fondamental des élections départementales, on ne connait pas quelles seront les attributions ( pas étonnant que 30% ignorent tout de ces élections départementales qui ne sont que des cantonales rebaptisées). Au départ c’était clair:  l’économie aux régions, le social aux départements. Mais d’amendement en amendement on a  complètement détricoté le projet initial. Du coup ce sera comme avant le même empilage administratif et politique avec le communes, les communautés de communes, les syndicats intercommunaux, les métropoles ; les départements et les régions. Forcément dès lors qu’il y a des élus ils veulent des compétences, des budgets du personnel.  Le texte n’a cessé d’évoluer. Il a été quasi totalement détricoté par le Sénat. Pourtant Hollande avait annoncé la fin des départements d’ici 2020. Il n’en sera rien car le lobby des élus a obtenu gain de cause. Du coup la fameuse réforme territoriale est complètement dénaturée. Depuis son arrivée mi-février devant l’Assemblée nationale, le projet  continue de prendre des « coups » via les quelque 2.000 amendements déposés. Résultat, on s’éloigne de plus en plus de la cohérence de départ. Et le texte va davantage ressembler à un empilage de dérogations locales. Certes, comme prévu, dans un souci de clarification, la clause de compétence générale, qui permet à une collectivité d’intervenir dans tous les domaines, va disparaître pour les régions comme pour les départements. Mais, sous l’impulsion d’élus de tous bords, cet objectif est petit à petit rogné. « C’est une somme d’exceptions à la française que l’on surajoute. A un moment on s’occupe des élus de la montagne, à d’autres de ceux du littoral Tout cela aboutit à un maquis d’organisation territoriale qui sera probablement moins efficace qu’auparavant », constate le chef de file de l’UDI Philippe Vigier. « C’est une espèce d’imbroglio dans lequel personne ne se retrouve », renchérit son homologue de l’UMP Christian Jacob. Par exemple, alors que, initialement, il était prévu que la gestion des collèges soit transférée des départements aux régions, finalement, le Sénat en a décidé autrement en gardant la compétence des départements. Et les députés se sont ralliés à cette décision. En revanche les transports scolaires seront, eux, transférés aux régions… Difficile de comprendre. Idem pour la voirie urbaine qui va rester finalement de la compétence des départements alors qu’elle devait aller aux régions.  D’autres amendements votés par l’Assemblée ne vont pas simplifier les choses en accordant des dérogations aux départements sur le développement économique – notamment dans le domaine du tourisme -  au moins jusqu’en 2017… Alors que, initialement, ce sont les régions qui devaient piloter toute la politique économique. Mais, là aussi, la défense des intérêts locaux l’emporte… Et que dire des intercommunalités. Lundi 2 mars, les députés ont aussi multiplié les dérogations au relèvement prévu du seuil des intercommunalités de 5.000 à 20.000 habitants afin d’adapter « les périmètres à la diversité et à la réalité des territoires ». Il semble loin, le temps où le Président François Hollande présentait cette nouvelle organisation des compétences territoriales comme l’une des réformes structurelles dont la France avait besoin. C’était pourtant il y a à peine plus d’un an, en janvier 2014. Il annonçait aussi la fin des départements pour 2020 afin d’alléger le « mille-feuille » français.

 

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