Archive pour le Tag 'navires'

Pêche- Brexit : les navires de guerre britannique mobilisés !

Pêche- Brexit  : les navires de guerre britannique mobilisés !

Le déploiement de quatre patrouilleurs, intervient alors que le gouvernement conservateur a discrètement doublé au cours des derniers mois la flotte totale de patrouilleurs du Royaume-Uni, en la portant de quatre à huit vaisseaux. « Nous avons beaucoup travaillé pour nous assurer que nous serons prêts à faire face à toute éventualité », a déclaré un proche du dossier interrogé par The Guardian.

Deux navires patrouilleront donc en mer et deux autres se tiendront prêts à intervenir au cas où des bateaux de pêche pénétreraient dans la zone britannique de pêche. La pêche reste l’un des principaux points de friction dans les négociations commerciales entre l’UE et le Royaume-Uni. Selon un responsable de l’UE, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a cependant déclaré vendredi aux dirigeants du bloc, réunis en sommet à Bruxelles, qu’un « no deal » était plus probable qu’un accord. En l’absence d’accord, la Grande-Bretagne perdrait à partir du 1er janvier le libre accès au marché unique du bloc, riche de 450 millions de consommateurs.

Environnement – « Réduire la vitesse des navires marchands »: le gadget de Macron

Environnement – « Réduire la vitesse des navires marchands »: le gadget de Macron

 

Encore une parole forte mais creuse de Macron concernant l’environnement quand il affirme qu’il faut réduire la vitesse des navires de fret : « De manière très solennelle, pour la première fois, nous allons nous engager avec les transporteurs maritimes pour réduire la vitesse [des navires de fret]« , a déclaré Emmanuel Macron, avant l’ouverture du sommet du G7, à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques), samedi 24 août. Selon le chef de l’Etat, « c’est un des moyens les plus efficaces » pour réduire les émissions de gaz à effet de serre au niveau mondial et cette mesure constituerait « un vrai changement ». Il s’agit évidemment d’un gadget car la vraie question n’est pas vraiment la vitesse des navires mais le volume des transports. La réalité c’est que le commerce encourage  le développement inconsidéré des flux de marchandises. Par  ’exemple un transport de container de Hong Kong à Rotterdam coûtera autour de 1000 $, à peu près le même prix que le transport du même container de Paris à Marseille. Pour des marchandises d’un peu de valeur ajoutée le prix du transport ne représente à peu près rien. Ce qu’il faut réduire ce n’est pas la vitesse des navires mais le nombre de dessertes qui découlent de l’encouragement du commerce international nuisible à l’environnement et à la santé. Avec le même raisonnement pourrait aussi réduire la vitesse des avions. Il est vrai qu’on a bien réduit la vitesse des automobiles avec quelques résultats sur les rémissions polluantes mais on ne peut pas dire qu’on ait  agi de manière significative sur le volume des flux qui constitue le principal ennemi de l’environnement. Pour cela il conviendrait de remettre en cause les conditions du commerce international notamment d’arrêter ces accords commerciaux qui vont créer encore un peu plus d’anarchie en matière d’échange. Par exemple le CETA,  à accord commercial avec le Canada qui va favoriser la venue de produits agricoles en provenance bien sûr du Canada mais aussi le Mercosur (accord commercial avec le Brésil, l’Argentine, le Paraguay et l’Uruguay) sera en application. C’est tout le paradoxe de la relation de Macron à l’environnement qui consiste à donner des petits coups de peinture verte ici ou là mais qui refuse de s’attaquer aux facteurs explicatifs fondamentaux.

Ce n’est pas la première fois que l’idée est évoquée. La France l’a déjà proposée à l’Organisation maritime internationale (OMI) en avril 2019. Après la déclaration d’Emmanuel Macron, l’ancien ministre de l’Ecologie François de Rugy s’est d’ailleurs réjoui, sur Twitter, de cet engagement. « Heureux d’y avoir travaillé avec les acteurs du transport maritime français », a-t-il commenté.

 

Les cargos et les porte-conteneurs utilisent l’un des carburants les plus sales au monde, comme l’expliquait le journal suisse Le Temps en 2016. Un fioul épais, visqueux, difficile à brûler, plein de résidus de métal, de cendre et surtout de soufre. On l’appelle aussi « pétrole bunker ». Dans certaines zones du globe (dans le nord de l’Europe et sur les côtes nord-américaines), les navires ont l’obligation de consommer un carburant à la teneur en soufre abaissée à 0,1%. Ailleurs, cette teneur peut dépasser les 3%, explique Le Monde.

Toujours selon le quotidien, « les émissions de CO2 de l’industrie maritime représentent environ un milliard de tonnes par an, soit environ 3% de l’ensemble des émissions mondiales », tout en déplaçant beaucoup plus de marchandises que les transports routiers et aériens, « à pollution égale ».

Remboursement des navires Mistral à la Russie ?

Remboursement des navires Mistral à la Russie ?

 

« Pour l’instant, la livraison des Mistral n’est pas, dans le contexte que nous connaissons, possible ». a déclaré  Hollande  à deux jours d’une rencontre avec son homologue russe, Vladimir Poutine.  Le délicat sujet, lié à la crise dans l’est de l’Ukraine, est au menu des discussions entre les deux dirigeants prévues vendredi à Erevan, en marge des cérémonies du centenaire du génocide arménien.   »Sur le Mistral, nous évoquerons toutes les hypothèses », a déclaré mercredi le président français lors d’une conférence de presse à Paris avec son homologue ukrainien Petro Porochenko. « Et pour l’instant je l’ai dit, la livraison des Mistral n’est pas, dans le contexte que nous connaissons, possible ». « Si les bateaux ne sont pas livrés, je ne vois pas comment ils peuvent être payés, c’est un principe assez simple (…) Selon les différentes hypothèses, vous aurez paiement ou remboursement », a-t-il ajouté. Conclue en 2011, la vente à la Russie de deux bâtiments de projection et de commandement (BPC) est évaluée à 1,2 milliard d’euros. La livraison du Vladivostok, le premier des deux BPC construits à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), a été suspendue pour une durée indéterminée par la France l’an dernier en raison du rôle de Moscou dans la crise ukrainienne. Le deuxième BPC, baptisé Sébastopol, du nom de la ville de Crimée où est basée la flotte russe de la mer Noire, devait quant à lui être livré fin 2015 à la Russie.

 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol