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Parlement : qui sont ces inconnus macronistes députés à l’Assemblée nationale

Parlement : qui sont ces inconnus macronistes députés à l’Assemblée nationale

À l’occasion des débats sur les chaînes d’information et d’une façon générale sur les médias, on voit débarquer des représentants du courant macroniste actuellement députés à l’Assemblée nationale. La plupart sont complètement inconnus et le resteront sans doute puisque très peu seront réélus à la prochaine échéance électorale. Beaucoup sont très jeunes et sortent en fait directement des instituts d’études politiques recrutés sur Internet par Macron. Ils ont en commun surtout pour beaucoup de n’avoir jamais travaillé sauf dans la politique. Ils n’ont pas non plus d’expérience en matière d’engagements et ce clergé répète en boucle et plus maladroitement le sermon du patron de la secte d’arrivistes incompétents vendus au pouvoir financier.

Il y a quelque chose de pathétique à écouter leur argumentation. Bref des perroquets complètement ignorants des réalités et même des textes qui prêchent en reprenant bêtement le discours officiel. Il faut dire qu’une chèvre aurait été élue à leur place. Juridiquement, leur élection n’est pas en cause mais politiquement ces jeunes blancs-becs n’ont aucune légitimité. Ce sont des courtisans qui n’ont aucune expérience de l’engagement collectif et qui parlent de ce qu’ils ignorent avec une incompétence crasse et une totale illégitimité démocratique.

Il serait temps d’exiger des candidats députés un minimum d’expérience démocratique et politique pour éviter que la plus haute assemblée ne ressemble à une école maternelle.

Le problème c’est que Macron lui-même fait la preuve en permanence de son immaturité politique en ajoutant des contradictions à ses renoncements et à ses promesses ésotériques. Et par mimétisme pathétique, les jeunes députés reprennent le refrain infantile de Macron.

Assemblée nationale-Parlement : qui sont ces blancs-becs macronistes députés à l’Assemblée nationale

Assemblée nationale-Parlement : qui sont ces blancs-becs macronistes députés à l’Assemblée nationale

À l’occasion des débats sur les chaînes d’information et d’une façon générale sur les médias, on voit débarquer des représentants du courant macroniste actuellement députés à l’Assemblée nationale. La plupart sont complètement inconnus et le resteront sans doute puisque très peu seront réélus à la prochaine échéance électorale. Beaucoup sont très jeunes et sortent en fait directement des instituts d’études politiques recrutés sur Internet par Macron. Ils ont en commun surtout pour beaucoup de n’avoir jamais travaillé sauf dans la politique. Ils n’ont pas non plus d’expérience en matière d’engagements et ce clergé répète en boucle et plus maladroitement le sermon du patron de la secte d’arrivistes incompétents vendus au pouvoir financier.

Il y a quelque chose de pathétique à écouter leur argumentation. Bref des perroquets complètement ignorants des réalités et même des textes qui prêchent en reprenant bêtement le discours officiel. Il faut dire qu’une chèvre aurait été élue à leur place. Juridiquement, leur élection n’est pas en cause mais politiquement ces jeunes blancs-becs n’ont aucune légitimité. Ce sont des courtisans qui n’ont aucune expérience de l’engagement collectif et qui parlent de ce qu’ils ignorent avec une incompétence crasse et une totale illégitimité démocratique.

Il serait temps d’exiger des candidats députés un minimum d’expérience démocratique et politique pour éviter que la plus haute assemblée ne ressemble à une école maternelle.

Le problème c’est que Macron lui-même fait la preuve en permanence de son immaturité politique en ajoutant des contradictions à ses renoncements et à ses promesses ésotériques. Et par mimétisme pathétique, les jeunes députés reprennent le refrain infantile de Macron.

Parlement : qui sont ces blancs-becs macronistes députés à l’Assemblée nationale

Parlement : qui sont ces blancs-becs macronistes députés à l’Assemblée nationale

À l’occasion des débats sur les chaînes d’information et d’une façon générale sur les médias, on voit débarquer des représentants du courant macroniste actuellement députés à l’Assemblée nationale. La plupart sont complètement inconnus et le resteront sans doute puisque très peu seront réélus à la prochaine échéance électorale. Beaucoup sont très jeunes et sortent en fait directement des instituts d’études politiques recrutés sur Internet par Macron. Ils ont en commun surtout pour beaucoup de n’avoir jamais travaillé sauf dans la politique. Ils n’ont pas non plus d’expérience en matière d’engagements et ce clergé répète en boucle et plus maladroitement le sermon du patron de la secte d’arrivistes incompétents vendus au pouvoir financier.

Il y a quelque chose de pathétique à écouter leur argumentation. Bref des perroquets complètement ignorants des réalités et même des textes qui prêchent en reprenant bêtement le discours officiel. Il faut dire qu’une chèvre aurait été élue à leur place. Juridiquement, leur élection n’est pas en cause mais politiquement ces jeunes blancs-becs n’ont aucune légitimité. Ce sont des courtisans qui n’ont aucune expérience de l’engagement collectif et qui parlent de ce qu’ils ignorent avec une incompétence crasse et une totale illégitimité démocratique.

Il serait temps d’exiger des candidats députés un minimum d’expérience démocratique et politique pour éviter que la plus haute assemblée ne ressemble à une école maternelle.

Le problème c’est que Macron lui-même fait la preuve en permanence de son immaturité politique en ajoutant des contradictions à ses renoncements et à ses promesses ésotériques. Et par mimétisme pathétique, les jeunes députés reprennent le refrain infantile de Macron.

Démocratie : qui sont ces blancs-becs macronistes députés à l’Assemblée nationale

Démocratie : qui sont ces blancs-becs macronistes députés à l’Assemblée nationale

À l’occasion des débats sur les chaînes d’information et d’une façon générale sur les médias, on voit débarquer des représentants du courant macroniste actuellement députés à l’Assemblée nationale. La plupart sont complètement inconnus et le resteront sans doute puisque très peu seront réélus à la prochaine échéance électorale. Beaucoup sont très jeunes et sortent en fait directement des instituts d’études politiques recrutés sur Internet par Macron.

Il y a quelque chose de pathétique à écouter leur argumentation. Bref des perroquets complètement ignorants des réalités et même des textes qui prêchent en reprenant bêtement le discours officiel. Il faut dire qu’une chèvre aurait été élue à leur place. Juridiquement, leur élection n’est pas en cause mais politiquement ces jeunes blancs-becs n’ont aucune légitimité. Ce sont des courtisans qui n’ont aucune expérience de l’engagement collectif et qui parlent de ce qu’ils ignorent avec une incompétence crasse et une totale illégitimité démocratique.

Il serait temps d’exiger des candidats députés un minimum d’expérience démocratique et politique pour éviter que la plus haute assemblée ne ressemble à une école maternelle.

Le problème c’est que Macron lui-même fait la preuve en permanence de son immaturité politique en ajoutant des contradictions à ses renoncements et à ses promesses ésotériques. Et par mimétisme pathétique, les jeunes députés reprennent le refrain infantile de Macron.

Presse nationale: le risque d’une crise politique qui va durer

Presse nationale: le risque d’une crise politique qui va durer

La presse française est à peu près unanime pour considérer que le vote de justesse (neuf voix seulement de la motion de censure) ne change pas grand-chose et risque au contraire de plonger la France dans une crise politique qui risque de durer.

Ainsi par exemple le JDD reprend les propos du député « républicain » du Pas de calais : « Il y avait d’autres choses à faire que de braquer le pays. Il faut que le Président retire son projet de loi, rappelle les organisations syndicales autour de la table », liste l’élu du Pas-de-Calais, qui ajoute : « Une France ingouvernable pendant quatre ans, on n’a pas besoin de ça. » À quelques mètres de là, dans la salle des pas perdus du Palais-Bourbon, Éric Woerth (Renaissance) est l’un des rares députés de la majorité présents : « Cette réforme arrive à son aboutissement. (…) Quelle déception ? La motion a été rejetée ! », insiste-t-il.

Le journal « Le Figaro » indique qu’après ce vote dont les résultats sont particulièrement étroits la majorité a encore moins le moral que précédemment. Le journal se pose la question de savoir si ce gouvernement n’est pas déjà mort reprenant les propos de la chef de file des insoumis Mathilde Panot «d’ores et déjà mort aux yeux des Français» et une chef de gouvernement qui n’a «plus de pouvoir pour continuer son action», devant «démissionner en emportant sa réforme avec elle.» Avant de tonner : «Rien n’a été réglé, et tout continue dans le pays pour continuer à faire en sorte que cette réforme soit retirée.»
Toujours au sein des Insoumis, Jean-Luc Mélenchon a, quant à lui, appelé à la «censure populaire (…) puisque le processus de censure parlementaire n’a pas fonctionné.» L’ancien candidat des Insoumis à la présidentielle «souhaite que cette censure populaire s’exprime en tout lieu, en toutes circonstances et qu’elle nous permette d’obtenir le retrait du texte.» «Neuf voix de différence ne suffisent pas à nous faire changer d’avis», a-t-il ajouté. Pour le premier secrétaire du PS Olivier Faure, «Emmanuel Macron a ouvert une crise sociale et politique», et «s’est isolé.» Prédisant que «le gouvernement Borne vit ses dernières heures», le député socialiste de Seine-et-Marne considère qu’«il n’y a désormais plus que trois solutions : le retrait immédiat, le référendum ou la dissolution.»

Le journal la tribune pour savoir si Macon peut encore reprendre la main. car
dans la rue, mais aussi l’opinion, la contestation contre ce texte n’en reste pas moins très forte encore. Les raffineries sont bloquées, des grèves dans les services publics sont annoncées. Dans ce contexte tendu, que peut désormais faire Emmanuel Macron pour reprendre la main et redonner du souffle à son quinquennat sans être empêché ?

Le journal reprend les propos de Laurent Berger, le leader de la CFDT, devenu chef de file de la mobilisation sociale, ne voit qu’une solution pour sortir de l’impasse. Et il le demande solennellement au locataire de l’Elysée : « pour retrouver l’apaisement dans le pays, ne promulguez pas la loi ». Sa requête a toutefois toutes les chances de rester lettre morte : « On n’a pas traversé tout ça, pris des coups, pour retirer notre projet », répond, agacé, un ministre de premier plan.
Le journal évoque une suite assez hypothétique. Après un conflit si dur, pas sûr que les centrales acceptent de venir siéger autour de la table pour évoquer les conditions de travail, etc. Laurent Berger, pourtant sensible à cette question, a d’ores et déjà prévenu : « On ne va pas faire comme si de rien était, de faire ‘reset’ comme sur un ordinateur » Bref, il faudra sûrement un sas de décompression de quelques semaines avant de renouer le dialogue.

Sur BFM ,s’interroge pour savoir si le gouvernement n’est pas déjà mort.
La motion de censure transpartisane a manqué de neuf voix pour être adoptée, la motion du Rassemblement national en a manqué de 193. Le gouvernement n’a donc pas été renversé par un vote des députés à l’Assemblée nationale, ce lundi. Les oppositions de gauche et RN ont immédiatement appelé à la démission d’Élisabeth Borne. La Nupes a appelé Emmanuel Macron à ne pas signer le texte, la dernière étape pour ratifier le texte.

Dans le journal « l’opinion » on évoque maintenant la perspective du recours au référendum d’initiative partagée (RIP) via le dépôt d’une proposition de loi dédiée a été officialisé le jour même où le gouvernement a franchi le dernier obstacle à l’adoption du projet de loi à l’Assemblée via le recours à l’article 49.3 de la Constitution.
A peine les motions de censure sur le texte étaient-elles rejetées que des députés de gauche brandissaient des pancartes RIP. Cette démarche pourrait contribuer à alimenter la contestation – déjà puissante – contre le report de l’âge légal de 62 à 64 ans et compliquer la mise en oeuvre de la réforme prévue dès septembre.La réforme « accentue les inégalités sociales et porte particulièrement préjudice aux populations les plus vulnérables », argue la proposition de loi publiée ce lundi et déjà transférée au Conseil constitutionnel. « Il revient donc au peuple français, par voie de référendum, de pouvoir se prononcer pour ou contre la limitation de l’âge légal de départ à la retraite à 62 ans. »

Société et Démocratie : qui sont ces blancs-becs macronistes députés à l’Assemblée nationale

Société et Démocratie : qui sont ces blancs-becs macronistes députés à l’Assemblée nationale

À l’occasion des débats sur les chaînes d’information et d’une façon générale sur les médias, on voit débarquer des représentants du courant macroniste actuellement députés à l’Assemblée nationale. La plupart sont complètement inconnus et le resteront sans doute puisque très peu seront réélus à la prochaine échéance électorale. Beaucoup sont très jeunes et sortent en fait directement des instituts d’études politiques recrutés sur Internet par Macron.

Il y a quelque chose de pathétique à écouter leur argumentation. Bref des perroquets complètement ignorants des réalités et même des textes qui prêchent en reprenant bêtement le discours officiel. Il faut dire qu’une chèvre aurait été élue à leur place. Juridiquement, leur élection n’est pas en cause mais politiquement ces jeunes blancs-becs n’ont aucune légitimité. Ce sont des courtisans qui n’ont aucune expérience de l’engagement collectif et qui parlent de ce qu’ils ignorent avec une incompétence crasse et une totale illégitimité démocratique.

Il serait temps d’exiger des candidats députés un minimum d’expérience démocratique et politique pour éviter que la plus haute assemblée ne ressemble à une école maternelle.

Le problème c’est que Macron lui-même fait la preuve en permanence de son immaturité politique en ajoutant des contradictions à ses renoncements et à ses promesses ésotériques. Et par mimétisme pathétique, les jeunes députés reprennent le refrain infantile de Macron.

Démocratie : qui sont ces blancs-becs macronistes députés à l’Assemblée nationale

Démocratie : qui sont ces blancs-becs macronistes députés à l’Assemblée nationale

À l’occasion des débats sur les chaînes d’information et d’une façon générale sur les médias, on voit débarquer des représentants du courant macroniste actuellement députés à l’Assemblée nationale. La plupart sont complètement inconnus et le resteront sans doute puisque très peu seront réélus à la prochaine échéance électorale. Beaucoup sont très jeunes et sortent en fait directement des instituts d’études politiques recrutées sur Internet par Macron.

Il y a quelque chose de pathétique à écouter leur argumentation. Bref des perroquets complètement ignorants des réalités et même des textes qui prêchent en reprenant bêtement le discours officiel. Il faut dire qu’une chèvre aurait été élue à leur place. Juridiquement, leur élection n’est pas en cause mais politiquement ces jeunes blancs-becs n’ont aucune légitimité. Ce sont des courtisans qui n’ont aucune expérience de l’engagement collectif et qui parlent de ce qu’ils ignorent avec une incompétence crasse et une totale illégitimité démocratique.

Il serait temps d’exiger des candidats députés un minimum d’expérience démocratique et politique pour éviter que la plus haute assemblée ne ressemble à une école maternelle.

Le problème c’est que Macron lui-même fait la preuve en permanence de son immaturité politique en ajoutant des contradictions à ses renoncements et à ses promesses ésotériques. Et par mimétisme pathétique, les jeunes députés reprennent le refrain infantile de Macron.

Obésité : une urgence de prévention nationale

Obésité : une urgence de prévention nationale

Face à l’évolution de la prévalence de l’obésité en France, la Coalition Obésité appelle les pouvoirs publics à renforcer la prévention et la prise en charge globale de cette maladie.
(JDD))

La Coalition Obésité rassemble des associations de patients, des professionnels de la santé, des organisations de lutte contre la précarité alimentaire ou encore un think tank. Voici leur tribune : « L’obésité est plus que jamais un enjeu sanitaire, sociétal et économique dans notre pays. Les chiffres le démontrent. Le nombre de personnes adultes atteintes de cette pathologie a doublé en deux décennies, passant de 8,5 % en 1997 à 17 % en 2020, soit plus de 8,5 millions de personnes souffrant d’obésité en France.

Outre l’impact sociétal, une récente étude du cabinet Asterès, dirigé par l’économiste Nicolas Bouzou, met notamment en évidence l’impact économique considérable que représente l’obésité en France : « 8,4 milliards d’euros par an pour l’assurance maladie, 1,3 milliard d’euros par an pour les organismes complémentaires d’assurance maladie (OCAM) et 900 millions d’euros par an pour les entreprises. »

Déjà en 1997, l’OMS précisait que « l’obésité est une maladie multifactorielle complexe » relevant bien des maladies chroniques. En France, le Sénat rappelait à juste titre, dans son rapport publié en juin 2022, le caractère pandémique du surpoids et de l’obésité, qui figurent parmi les premières comorbidités associées au virus responsable de la Covid-19.
La France doit faire de l’obésité une priorité de ses futures politiques de santé. Cette reconnaissance est capitale car elle nous invite à repenser la perception que nous nous faisons, individuellement comme collectivement, des personnes qui en souffrent.
L’obésité doit devenir une grande cause nationale en 2024

À l’approche de la Journée mondiale de l’obésité, alors que les estimations prévoient que plus d’un Français sur quatre pourrait souffrir d’obésité en 2030, nous appelons à la mobilisation de toutes les énergies, celles des professionnels de santé, des chercheurs, des associations de patients et des pouvoirs publics, pour mieux prévenir, mieux soigner et mieux prendre en charge l’obésité dans son intégralité, allant de ses causes à ses complications.

Nous pensons que, face à une maladie aussi multifactorielle, l’action publique est primordiale et doit s’intensifier. La feuille de route nationale « Prise en charge de l’obésité 2019-2022 » avait fait un constat lucide de l’ampleur de la situation en France. Mais malheureusement, face à un manque de suivi des actions et de moyens, nous faisons le bilan aujourd’hui que beaucoup reste à faire pour que les personnes en situation d’obésité soient prises en charge de façon holistique. Soyons à la hauteur de l’enjeu et développons de nouvelles politiques publiques ambitieuses et adaptées.
L’obésité doit devenir une grande cause nationale en 2024.

Ensemble, nous devons faire reconnaître l’obésité comme une maladie chronique, en mettant le curseur sur l’information et la prévention.
Ensemble, nous appelons à une prise en charge globale et transversale de l’obésité qui doit, dans ses formes les plus sévères (IMC ≥35kg/m²), être reconnue comme affection de longue durée (ALD). Cela permettra d’ouvrir droit à une prise en charge de l’ensemble des dépenses de soins par la Sécurité sociale. En tant que maladie chronique, l’obésité doit être traitée par les différents moyens adaptés, aux différents stades de la pathologie.

Cette demande est attendue par les patients, qui cumulent bien souvent les difficultés économiques, sociales mais aussi les discriminations.
Ensemble, nous appelons à la création d’une délégation interministérielle à la lutte contre l’obésité, afin de coordonner et renforcer l’efficacité des actions, qui mobilisent de nombreuses expertises pour prévenir et traiter cette maladie dans toutes ses dimensions : santé, agriculture, sport, environnement, éducation…
À l’heure du concept de « One health » ou « Une seule santé », faisons de la lutte contre l’obésité un exemple de réussite d’une véritable politique de santé publique. »

Les signataires, membres de la Coalition obésité
• Muriel Coupaye, présidente de l’Association française d’études et de recherches sur l’obésité (AFERO)
• Anne-Sophie Joly, présidente du Collectif national des associations d’obèses (CNAO)
• Didier Bazzocchi, vice-président du Think tank CRAPS
• Laurence Champier, directrice générale de la Fédération française des banques alimentaires (FFBA)
• Jean-Philippe Ursulet, directeur général de la Ligue nationale contre l’obésité
• Étienne Tichit, directeur général de Novo Nordisk France
• Vincent Frering, président de la Société française et francophone de chirurgie de l’obésité et des maladies métaboliques (SOFFCOMM)

Retraites: Pas de vote de l’Assemblée nationale sur les 64 ans

Retraites: Pas de vote de l’Assemblée nationale sur les 64 ans !

Finalement sur l’une des principales dispositions de la réforme des retraites à savoir l’âge de départ à 64 ans l’Assemblée nationale n’aura pu voter faute de temps. Du coup, la réforme sera maintenant examinée par le Sénat.

Vendredi, à minuit, heure butoir, la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, a prononcé la fin des débats, contraints dans le temps par la procédure législative choisie par l’exécutif. Y rester alors encore plus de 7000 amendements à examiner !

« Nous arrivons désormais au terme des débats (…) C’est donc dans le respect de la Constitution que nos débats doivent désormais prendre fin. (…) Mesdames et Messieurs les députés insoumis, vous m’avez insulté quinze jours mais personne n’a craqué, et nous sommes là, devant vous, pour la réforme », a déclaré en fin de séance le ministre du Travail, Olivier Dussopt.

Peu avant 22 heures, il restait encore un peu plus de 7 000 amendements à examiner sur le projet de loi.

« Le gouvernement passe en force en utilisant l’article 47-1 de la Constitution. Il refuse de poursuivre les débats », a fustigé la présidente du groupe LFI à l’Assemblée, Mathilde Panot. Dans la soirée, le groupe écologiste a dénoncé auprès de l’AFP « un raté stratégique » de La France insoumise sur l’examen de la réforme, illustrant des divergences au sein de la coalition de gauche. Jeudi soir, Jean-Luc Mélenchon avait jugé « incompréhensible » le retrait d’amendements à gauche et appelé les députés à ne pas se « précipiter » vers l’article 7.

« Nous donnons une image déplorable de la démocratie », a regretté Charles de Courson (groupe indépendant Liot). « Notre texte va partir au Sénat sans que la représentation nationale n’ait voté (…). Nous risquons un sujet d’inconstitutionnalité, la sincérité des débats est en cause », a également déclaré le député Les Républicains Aurélien Pradié, demandant vendredi soir des précisions sur le dispositif des « carrières longues ». Vendredi soir, les débats ont entre autre buté sur ce dispositif et le nombre d’années, 43 ou 44, que vont devoir cotiser les personnes concernées. Des députés ont fustigé le flou du gouvernement sur cette question.

Au début de la semaine du 13 mars, sept députés et sept sénateurs se réuniront pour tenter de trouver un accord sur les principales mesures de la réforme, le principe usuel des commissions mixtes paritaires. En cas d’accord, le texte devra encore être adopté définitivement par l’Assemblée nationale et le Sénat.

Cirque à Assemblée nationale: aussi « con » que l’émission d’Hanouna ( Laurent Berger, CFDT)

Assemblée nationale: aussi « con » que l’émission d’Hanouna ( Laurent berger)

Faire aussi nul que l’émission d’Hanouna sur C8 ( destinée aux beaufs NDLR),c’est ce que fait l’Assemblée nationale estime Laurent Berger de la CFDT. La faute sans doute aux deux parties qui s’opposent de manière caricaturale à savoir la majorité d’une part et les insoumis d’autre part. En cause sans doute, le profil de nombreux de députés de ces deux camps composés essentiellement de crétins d’après Jean-François Kahn sur LCI dimanche soir. Cela vaut d’ailleurs aussi pour certains complètement dépassés et qui pourtant président les débats.

Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, a donc déploré dimanche le « spectacle lamentable » donné à l’Assemblée nationale lors des débats sur le projet gouvernemental de réforme des retraites, estimant que l’ »obstruction » parlementaire menée notamment par les députés de La France Insoumise (LFI) ne servait pas les intérêts des opposants au texte.

Interrogé dans l’émission « Le Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro », le dirigeant syndical a regretté que la multitude d’amendements déposés par le groupe LFI menace d’empêcher tout débat à l’Assemblée nationale sur l’article 7 de la réforme, le plus contesté car prévoyant un report de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite. « C’est un spectacle lamentable qui n’a rien à voir avec la dignité du mouvement de la rue », a dit Laurent Berger, au lendemain d’une quatrième journée de manifestations à travers la France. « Parfois j’ai eu l’impression (…) que c’était le plateau d’un célèbre soi-disant animateur tellement c’était médiocre, c’était n’importe quoi. On aurait dit le plateau d’Hanouna », a-t-il ajouté, en référence à l’émission « Touche pas à mon poste » de Cyril Hanouna sur C8.

« Je crois que ce qui se passe à l’Assemblée nationale ne sert pas (…) ce qu’on est en train de faire dans la rue », a poursuivi Laurent Berger, souhaitant qu’ »a minima l’article 7 soit en débat à l’Assemblée nationale ». « L’obstruction, je ne pense pas que ce soit une bonne solution (…), c’est une connerie. » Evoquant un « moment exceptionnel de mobilisation du monde du travail dans sa grande diversité », le secrétaire général de la CFDT a en outre exhorté Emmanuel Macron et le gouvernement à ne « pas rester sourds » à la contestation contre le projet de réforme des retraites sous peine de provoquer un « ressentiment énorme ». « Ce qui se passe est inédit dans notre pays (…) On ne peut pas rester sourd à ça. Le gouvernement et le chef de l’Etat ne peuvent pas rester sourds à cette mobilisation », a dit Laurent Berger. « Si on s’obstine, le ressentiment dans le monde du travail, dans la société, sera énorme et personne n’y gagnera. » « Ne pas écouter (…) ce serait une erreur (…) ce serait une faute démocratique qui pourrait avoir de multiples conséquences », a-t-il insisté.

EDF : l’Assemblée nationale vote contre le démantèlement contre l’avis du gouvernement

EDF : l’Assemblée nationale vote contre le démantèlement contre l’avis du gouvernement

À l’occasion d’une discussion concernant le ‘bouclier tarifaire TPE (très petites entreprises) spécifique » pour aider les boulangers et autres artisans à faire face à leur facture d’électricité, les députés de l’opposition ont voté un texte contre le démantèlement d’EDF et cela contre l’avis du gouvernement.

Faute d’effectifs suffisants, les représentants de la majorité de l’assemblée nationale ont quitté la salle et l’amendement présenté par un socialiste a été adopté.

Le pouvoir était contre en raison de la charge financière pour l’Etat, estimée à 18 milliards d’euros par le ministre de l’Industrie Roland Lescure. Des arguments contestés par le président de la commission des Finances Eric Coquerel (LFI) et le rapporteur Philippe Brun (PS).

En cause aussi dans cette affaire la problématique de la régulation de l’électricité. C’est un effet depuis la libéralisation du secteur que nombre d’intermédiaires parasites ,ont provoqué l’envolée des prix pour les entreprises ( des prix qui parfois ont progressé de 50 % voire de 100 %). Notons que les particuliers, eux et les très petites entreprises, bénéficient de tarifs réglementés et de hausse limitée à 15 % par exemple en 2023.

Suspensions de séance et rappels au règlement se sont multipliés. A la reprise de l’une d’elles, Aurore Bergé a annoncé que la majorité présidentielle ne participerait plus aux débats. Les députés macronistes ont donc quitté l’hémicycle, laissant la voie libre à une adoption du texte. Le texte de Philippe Brun veut une « nationalisation réelle » d’EDF et empêcher tout risque de « démembrement ». En commission, il avait fait adopter son texte par une coalition de députés de l’opposition, y compris de droite.

La proposition de loi est examinée au moment où l’Etat tente déjà de mener à bien une offre publique d’achat (OPA) destinée à renationaliser le géant de l’électricité. Bercy a fait valoir mercredi que l’Etat détenait « 95,82% du capital », le reste de l’opération étant suspendu à une décision de la Cour d’appel de Paris sur le recours de certains actionnaires minoritaires. L’audience est prévue le 23 mars et la décision doit être rendue au plus tard le 2 mai.

Pour Philippe Brun, l’OPA laisse la possibilité de « démanteler » le groupe, soupçonnant l’exécutif de ne pas avoir renoncé à un projet controversé de restructuration impliquant la séparation des activités nucléaires, hydroélectriques et renouvelables.

Éducation nationale :Le ministre reconnaît l’extrême faiblesse du niveau de l’école

Éducation nationale :Le ministre reconnaît l’extrême faiblesse du niveau de l’école

Jusque-là le ministre de l’éducation nationale s’est fait très discret. Cette fois, il sort un peu du bois pour annoncer des « exigences » qui en fait ressemblent davantage à des recommandations qu’à des orientations fermes.

En effet le propos du ministre de l’éducation nationale n’est pas nouveau. Il ne fait que rabâcher ce qui est connu à savoir le manque de niveau du primaire pour entrer en secondaire, la crise du recrutement. Quant à l’exigence de l’égalité des chances c’est évidemment un slogan qui ne pourra pas être résolu tant qu’une masse d’élèves en retard des connaissances de base viendront abaisser le niveau général dans le collège unique.

Bref pas vraiment une révolution, pas même une évolution juste des mots surtout quand on prévoit d’appliquer ce qu’on qualifie de nouvelles orientations à partir du 1er janvier. Pap Ndiaye,Le ministre de l’éducation nationale, reconnaît les difficultés « concernent la crise du recrutement des professeurs » mais aussi « le niveau des élèves, dont les comparaisons internationales révèlent les lacunes préoccupantes. il Regrette que près « d’un Français sur deux ne fasse pas confiance à l’institution scolaire », le ministre évoque « la défiance générale, marquée par la montée en puissance du secteur privé et par le scepticisme exprimé d’une partie des parents ».

Le ministre a donc annoncé trois types de mesures pour 2023 . D’abord concernant les enseignements fondamentaux du CM1 à la 6e pour « faciliter le passage de l’école primaire au collège ». Ensuite
Pour faciliter « l’égalité des chances ». La troisième et dernière exigence portée par le gouvernement stipule une amélioration du fonctionnement de l’école, aussi bien dans le système de recrutement des enseignants, que dans les conditions d’accueil des élèves. Pour répondre à ses problématiques, le ministre de l’Éducation a indiqué qu’un « changement structurel » allait avoir lieu afin que les professeurs puissent notamment « mieux accompagner chaque élève ». Enfin, Pap Ndiaye a conclu sa tribune par le rappel d’un principe essentiel dans le système éducatif français : la laïcité. Un énième rappel sans beaucoup d’effet !

Energie et Assemblée nationale: vents contraires pour les éoliennes

Energie et Assemblée nationale: vents contraires pour les éoliennes


Paradoxalement, la gauche ( communistes exceptés) qui soutenait sans réserve le développement des éoliennes mesure soudain l’impact de ces moulins à vent sur la biodiversité et sur les paysages.

Encore un effort et elle pourra aussi découvrir l’immense arnaque énergétique et économique d’installations qui nous sont imposées par l’Allemagne et l’Europe. Une Allemagne jouant sur deux tableaux, le tableau politique avec des éoliennes pour récupérer les voix écolos, le tableau économique avec l’utilisation massive et à bon marché du gaz russe.

Malheureusement le changement complet géostratégique n’a encore pas été intégré par l »Europe et par la gauche française qui il faut le rappeler est à l’origine du déclin du nucléaire en France. Une gauche complètement irresponsable qui a même envisagé la suppression totale du nucléaire. Résultat final, la France qui exportait de l’électricité en importe aujourd’hui notamment d’Allemagne ou l’électricité est produite grâce au charbon et au gaz.

Les députés Nupes se sont donc opposés aux dérogations demandées par l’exécutif, au motif que des parcs éoliens et solaires pourraient nuire à la biodiversité.

En effet, lors de l’examen en commission, les députés écologistes ont rejeté en bloc, aux côtés des Républicains (LR) et du Rassemblement national (RN), un dispositif central pour accélérer les procédures avant qu’un parc éolien ou solaire ne sorte de terre, pourtant approuvé par les sénateurs. Initialement, l’idée du gouvernement était d’affirmer que les projets d’installations d’énergie renouvelable répondent par principe à une « raison impérative d’intérêt public majeur » (RIPM) du fait de l’urgence climatique. Une manière de limiter la possibilité d’intenter des recours juridiques, et, surtout, de faciliter la demande de dérogation d’atteinte aux espèces protégées, en vertu de l’importance que revêt ledit projet. De fait, aujourd’hui, les énergéticiens doivent demander ce « label », et ne peuvent l’obtenir qu’après un long travail administratif.

Assemblée nationale: vents contraires pour les éoliennes

Assemblée nationale: vents contraires pour les éoliennes

Paradoxalement, la gauche ( communistes exceptés) qui soutenait sans réserve le développement des éoliennes mesure soudain l’impact de ces moulins à vent sur la biodiversité et sur les paysages.

Encore un effort et elle pourra aussi découvrir l’immense arnaque énergétique et économique d’installations qui nous sont imposées par l’Allemagne et l’Europe. Une Allemagne jouant sur deux tableaux, le tableau politique avec des éoliennes pour récupérer les voix écolos, le tableau économique avec l’utilisation massive et à bon marché du gaz russe.

Malheureusement le changement complet géostratégique n’a encore pas été intégré par l »Europe et par la gauche française qui il faut le rappeler est à l’origine du déclin du nucléaire en France. Une gauche complètement irresponsable qui a même envisagé la suppression totale du nucléaire. Résultat final, la France qui exportait de l’électricité en importe aujourd’hui notamment d’Allemagne ou l’électricité est produite grâce au charbon et au gaz.

Les députés Nupes se sont donc opposés aux dérogations demandées par l’exécutif, au motif que des parcs éoliens et solaires pourraient nuire à la biodiversité.

En effet, lors de l’examen en commission, les députés écologistes ont rejeté en bloc, aux côtés des Républicains (LR) et du Rassemblement national (RN), un dispositif central pour accélérer les procédures avant qu’un parc éolien ou solaire ne sorte de terre, pourtant approuvé par les sénateurs. Initialement, l’idée du gouvernement était d’affirmer que les projets d’installations d’énergie renouvelable répondent par principe à une « raison impérative d’intérêt public majeur » (RIPM) du fait de l’urgence climatique. Une manière de limiter la possibilité d’intenter des recours juridiques, et, surtout, de faciliter la demande de dérogation d’atteinte aux espèces protégées, en vertu de l’importance que revêt ledit projet. De fait, aujourd’hui, les énergéticiens doivent demander ce « label », et ne peuvent l’obtenir qu’après un long travail administratif.

Microsoft et Google exclus de l’Éducation nationale

Microsoft et Google exclus de l’Éducation nationale

Suite à une question parlementaire déposée par le député (Modem) Philippe Latombe, ardent défenseur de la souveraineté numérique française, le ministère de l’Éducation nationale s’est prononcé contre l’utilisation de Microsoft et de Google dans les écoles, collèges et lycées.

Invoquant le respect du RGPD, mais aussi de la doctrine « cloud au centre » de l’État ou encore l’arrêt dit Schrems 2 prononcé en 2020 par la Cour de justice européenne (CJUE), « le ministère a demandé d’arrêter tout déploiement ou extension de la solution de Microsoft ainsi que celle de Google », a répondu Pap N’Diaye, le ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse.

Le ministère de l’Éducation nationale estime que les solutions Office 365 de Microsoft (dont Word, Excel, Power Point…) et celles de Google Workplace ne sont pas conformes aux exigences européennes sur la protection des données et à la doctrine « cloud au centre » de l’État . Il demande aux écoles, collèges et lycées « d’arrêter tout déploiement ou extension » des solutions des deux géants américains, déjà très déployées. Ravies, les alternatives françaises se positionnent pour prendre le relais.

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