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Parcours exemplaire: Du 93 à la Nasa !

Parcours exemplaire: Du 93 à la Nasa !

Le merveilleux parcours d’Allan Petre. Allan Petre intégrera la Nasa en janvier 2024. Originaire de Villemomble en Seine-Saint-Denis (93), le Français de 24 ans qui a grandi dans un milieu modeste s’est confié aux « Echos » sur sa réussite.

Détenteur d’un double diplôme d’ingénieur CNAM et ISAE-ENSMA, Allan Petre a réussi à intégrer la Nasa après une alternance à ArianeGroup.

« Vous êtes la preuve qu’il faut croire en ses rêves », l’a félicité en privé Emmanuel Macron. Reçu ce jeudi par Bruno Le Maire à Bercy, qui voit en lui « un vrai modèle de réussite », Allan Petre a réalisé son rêve : entrer à la Nasa . Le jeune français de 24 ans, qui a grandi dans un milieu modeste en Seine-Saint-Denis (93), rejoindra l’agence spatiale américaine en janvier 2024. Il s’est confié aux « Echos ».

Passionné depuis toujours par l’espace, il regardait en boucle les vidéos de Neil Armstrong et Apollo. Et, plus récemment, les exploits de Thomas Pesquet ou le développement de SpaceX . De tels parcours ne sont pourtant pas évidents à imiter quand l’on vit dans le département le plus pauvre de France métropolitaine.

Elevé par un père technicien dans l’informatique et une mère agent de restauration dans une école maternelle, c’est avant tout « le fait d’avoir un objectif précis depuis tout petit et une forte volonté » qui lui a permis de rejoindre l’agence américaine. Avant d’ajouter que ses parents ont joué un rôle essentiel en lui offrant une « éducation stricte », veillant toujours à ce qu’il ait de bons résultats scolaires.

À 17 ans pourtant, ses professeurs lui déconseillent de s’orienter vers le secteur aérospatial qu’ils jugent « trop sélectif ». Il commence alors un diplôme universitaire de technologie en gestion des entreprises et des administrations qu’il ne termine pas. « La formation ne me correspondait pas, je ne me sentais pas à ma place ».

Ses parents l’incitent à ne pas lâcher pour les mêmes raisons que ses professeurs. Mais il s’obstine et s’inscrit dans un nouveau diplôme technique en génie thermique et énergétique de l’Université Paris-Nanterre (Ville-d’Avray). Le diplôme lui semble plus adapté pour espérer intégrer une grande école d’ingénieurs.

Il faut pourtant compter deux heures de transports aller et deux heures de transports retour, tout en travaillant comme vendeur chez Hugo Boss le week-end. Il tenait à financer ses études seul.

Les efforts payent : Allan Petre est admis à un double diplôme d’ingénieur au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) et à l’Ecole nationale supérieure de mécanique et d’Aérotechnique (ISAE-ENSMA).

Il décroche en même temps une alternance chez ArianeGroup, leader européen des lanceurs spatiaux. « C’était vraiment une grande joie et puis aussi une revanche ». Succès mérité, sa scolarité est excellente et il termine dans les trois premiers de sa promotion avant de partir réaliser un stage auprès d’un chercheur en astrophysique à l’Université de Floride.

CLIMAT- PIC DE CHALEUR « SANS PRÉCÉDENT »( NASA)

CLIMAT- PIC DE CHALEUR « SANS PRÉCÉDENT »( NASA)

 

La planète emmagasinerait près de deux fois plus de chaleur qu’en 2005, une augmentation « alarmante » selon les chercheurs de de la Nasa et de la National Oceanic and Atmospheric Administration (Noaa).

Concrètement, la notion de « déséquilibre énergétique » tel qu’il est mis en avant par la Nasa et la Noaa fait référence à la différence entre la quantité d’énergie radiative du Soleil (qui est absorbée par l’atmosphère et la surface de la Terre) et la quantité de rayonnement infrarouge thermique que la Terre émet dans l’espace.

Pour arriver à ces conclusions, les scientifiques ont comparé les données provenant de capteurs satellites, qui suivent la quantité d’énergie entrant et sortant du système terrestre, et les données des flotteurs océaniques. Ce système de flotteurs de collecte de données, permet « une estimation précise de la vitesse à laquelle les océans du monde se réchauffent ».

 

Les origines de cette augmentation seraient d’abord liées à l’activité humaine, puisque l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre maintiendrait la chaleur dans l’atmosphère terrestre, piégeant les rayonnements qui devraient normalement s’échapper dans l’espace. Un déséquilibre qui, forcément, a ensuite d’autres conséquences:

« Le réchauffement entraîne d’autres changements, tels que la fonte de la neige et de la glace, ainsi qu’une augmentation de la vapeur d’eau et des changements dans les nuages ​​qui peuvent encore accentuer le réchauffement. Le déséquilibre énergétique de la Terre est l’effet net de tous ces facteurs. »

Les chercheurs ont également déclaré qu’un changement « naturel » dans l’océan Pacifique d’une phase froide à une phase chaude avait probablement joué un rôle important dans l’amplification de ce déséquilibre énergétique. Selon eux, cette recherche ne donne cependant qu’un aperçu du changement climatique en cours, et il n’est pas possible de prédire avec certitude « ce à quoi pourraient ressembler les prochaines décennies pour l’équilibre du budget énergétique de la Terre ».

PIC DE CHALEUR « SANS PRÉCÉDENT »( NASA)

PIC DE CHALEUR « SANS PRÉCÉDENT »( NASA)

 

La planète emmagasinerait près de deux fois plus de chaleur qu’en 2005, une augmentation « alarmante » selon les chercheurs de de la Nasa et de la National Oceanic and Atmospheric Administration (Noaa).

Concrètement, la notion de « déséquilibre énergétique » tel qu’il est mis en avant par la Nasa et la Noaa fait référence à la différence entre la quantité d’énergie radiative du Soleil (qui est absorbée par l’atmosphère et la surface de la Terre) et la quantité de rayonnement infrarouge thermique que la Terre émet dans l’espace.

Pour arriver à ces conclusions, les scientifiques ont comparé les données provenant de capteurs satellites, qui suivent la quantité d’énergie entrant et sortant du système terrestre, et les données des flotteurs océaniques. Ce système de flotteurs de collecte de données, permet « une estimation précise de la vitesse à laquelle les océans du monde se réchauffent ».

 

Les origines de cette augmentation seraient d’abord liées à l’activité humaine, puisque l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre maintiendrait la chaleur dans l’atmosphère terrestre, piégeant les rayonnements qui devraient normalement s’échapper dans l’espace. Un déséquilibre qui, forcément, a ensuite d’autres conséquences:

« Le réchauffement entraîne d’autres changements, tels que la fonte de la neige et de la glace, ainsi qu’une augmentation de la vapeur d’eau et des changements dans les nuages ​​qui peuvent encore accentuer le réchauffement. Le déséquilibre énergétique de la Terre est l’effet net de tous ces facteurs. »

Les chercheurs ont également déclaré qu’un changement « naturel » dans l’océan Pacifique d’une phase froide à une phase chaude avait probablement joué un rôle important dans l’amplification de ce déséquilibre énergétique. Selon eux, cette recherche ne donne cependant qu’un aperçu du changement climatique en cours, et il n’est pas possible de prédire avec certitude « ce à quoi pourraient ressembler les prochaines décennies pour l’équilibre du budget énergétique de la Terre ».




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