Emmanuel Macron n’aime pas les casseroles : normal il en traîne un paquet
Macron n’aime pas les casseroles par principe et considère que leur utilisation pour protester est une atteinte à la vie démocratique. De quoi sourire évidemment car il s’est assis souvent sur des principes de la démocratie. D’abord en s’introduisant sur recommandation des banques dans le gouvernement de François Hollande alors qu’il n’avait jamais effectué le moindre mandat local, le moindre engagement citoyen.
Ensuite comme un coucou, il s’est installé dans le nid pour éliminer Hollande en se présentant comme de gauche. Finalement, il a mené surtout une politique favorable aux plus riches. Une belle casserole politique et une belle trahison. On pourrait ajouter les conditions de son financement par les grandes entreprises. La justice n’a jamais élucidé d’où venait exactement l’argent.
De même dans l’affaire Alstom il a mêlé intérêt personnel et intérêt collectif en bradant l’entreprise aux Américains, ensuite en la faisant reprendre par EDF qui ne voulait pas. Le tout aux frais de la princesse. Non parlons pas des les atteintes au principe constitutionnel quand il s’affranchit des institutions intermédiaires sociales ou parlementaire imposées de force une loi mal ficelée et peu efficace on pourrait aussi parler des injures récurrentes et du mépris à l’égard de tous ceux qui peut apparaître comme une contestation au président monarque.
La vérité sans doute c’est que Macron est un usurpateur à la solde des grands intérêts financiers qui a utilisé le parti socialiste pour accéder à la plus haute fonction sans avoir jamais connu le moindre engagement social ou sociétal et même en s’étant affranchi du service militaire pour cause d’étude.
Comme citoyen engagé, on fait vraiment mieux. hors sol, méprisant et incompétent, Macron se prend pour un monarque et croit laisser dans l’histoire une marque significative alors que son héritage sera surtout marqué du sceau de l’échec et d’une impopularité historique. Il n’est même pas certain qu’il pourra terminer son mandat